Ces médias qui se foutent des Français

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Ivan Rioufol (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les médias ont choisi : pour la France, ce sera Alain Juppé ; pour les Etats-Unis, ce sera Hillary Clinton. Mais la machine propagandiste ne s’arrête pas là. Samedi soir, dans On n’est pas couché (France 2), chacun a tenu à se féliciter, avec la ministre du logement, Emmanuelle Coste, de la politique d’accueil pour tous du gouvernement et de sa décision de poursuivre dans cette voie impensée. Durant cette même émission, personne n’a jugé utile de relancer Magyp Cherfi (groupe Zebda) qui a assuré, parlant du tueur de Montauban et de Toulouse, Mohamed Merah : "On a le devoir d’une empathie".
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Laurent Ruquier, qui ne fait pas mystère de ses opinions pour la gauche forcément généreuse et éclairée, est devenu un personnage incontournable de la pensée médiatique. France Inter, autre service public, demeure pareillement la voix officielle du conformisme léthargique ; je n’ai jamais été invité à y débattre. Après l’élection de François Hollande en 2012, ma participation à C dans l’air (France 5) a été rapidement suspendue. Pour de nombreux jeunes journalistes de l’audiovisuel, Edwy Plenel, patron de Médiapart, est un modèle à suivre, en dépit de ses alliances avec l’islam totalitaire. Ce sont ces médias grégaires, soumis au confort moral du politiquement correct, qui espèrent faire encore la pluie et le beau temps.
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Cependant, leur apparente force cache une faiblesse, qui est celle du pouvoir plus généralement : ils ne voient plus passer les trains. Comme les hommes politiques, les commentateurs labellisés se parlent entre eux, s’imitent, se suivent, s’auto-congratulent, s’auto-protègent, se chamaillent pour la forme. Mais ils se coupent de cette France qui ne se sent plus représentée. Un gouffre les sépare de plus en plus d’une opinion rebelle. L’engouement médiatique pour Juppé et son centrisme fade promeut un candidat ayant toutes les caractéristiques qui plaisent au Système. Mais c’est justement la légitimité du Système qui est en jeu, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/10/ces-medias-allies-dun-systeme-.html
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Calais. Les médias nous montrent 3 mineurs pour cacher l’immense majorité des clandestins adultes (Vidéo)

Via  :

ENFIN a trouvé les 3 seuls enfants de Calais, devant les caméras des médias. ça ferait rire si ce n'était un pur scandale !

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"Ceci est la réalité du camp. Ils ne viennent pas de Syrie. Ils viennent du Soudan et d'Afghanistan. Et ça c'est ce que les médias vous montrent : les 3 enfants du camp."

La chroniqueuse éclate de rire devant l'ampleur de la manipulation.

 

 

Réflexions sur la déformation médiatique

Nous vivons encore un de ces moments de tourmente ou la violence des émotions tend à prendre le pas sur la réflexion.

C'est maintenant, plus que jamais lorsque nous subissons un état de choc que nous devons redoubler de vigilance face aux manipulations possibles des médias volontaires ou non.

Il nous faut prendre le recul nécessaire, nous détacher de l’immédiateté et tenter, je dis bien tenter de regarder au dessus du troupeau.

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Les principes de la propagande de guerre des USA contre la Syrie (Vidéo)

De Michel Collon, même si le pedigree du personnage est très à gauche.

Le concept de « médiamensonge » a été créé par le journaliste Gérard de Sélys dans le dossier Médiamensonges.

 

  • Occulter le contexte historique ou géographique nécessaire à la compréhension des enjeux, afin d'imposer une version biaisée ou tronquée.
  • Occulter les intérêts économiques des grosses multinationales et des gouvernements sous une présentation noble et désintéressée (arrêter une menace terroriste, imposer la paix, etc.). Ainsi, la nationalisation du pétrole vénézuélien et sa soustraction de facto aux appétits des multinationales occidentales seraient les véritables « crimes » de Chavez aux yeux de l'Occident.
  • Diaboliser l'adversaire pour faire peur aux gens et court-circuiter leur réflexion.
  • Attaquer le dirigeant et non son peuple (parfois même, pour défendre celui-ci contre son dirigeant, comme Saddam Hussein en Irak). Mais ce sont souvent ces mêmes peuples qui font les frais de la guerre (les fameux « dommages collatéraux »).
  • Monopoliser l'information et éviter tout véritable débat, les médias devant être contrôlés pour ne pas laisser les autres points de vue s'exprimer.

https://youtu.be/rfvojUn0BbI

 

Extrémisme: les médias aveugles de l’oeil gauche

Article paru sur le site de la SRF. Traduit de l’allemand par Yohan Ziehli.

En Suisse, l’extrême gauche a été responsable, l’année dernière, de 6 fois plus de délits violents que l’extrême droite. Selon les statistiques. Elle légitime sa violence en se basant sur la bonne cause, nous dit le sociologue Klaus Schroeder. La faute en revient aussi aux médias qui seraient aveugles de l’oeil gauche.

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Demandes d’asile en hausse de 85% par rapport à l’année passée: Comment nos médias cachent la vérité.

Christian Hofer: Les différents médias romands titrent triomphalement que les "demandes ont baissé" alors que les statisticiens savent pertinemment qu'on ne calcule pas par rapport aux mois passés mais par rapport aux mêmes mois de l'année précédente, ceci pour rester objectif, dans un même contexte. Les différentes périodes de l'année influencent grandement les chiffres de l'asile. Le Matin, la RTS, le 24H manipulent en toute connaissance de cause. Plus encore, aucune contradiction n'est possible sur Le Matin ou la RTS puisque... les articles sont fermés aux commentaires! Le graphique donné par le 20 Minutes.ch en allemand est sans concession lorsqu'on compare avec le mois de mars 2015.

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Le nombre de demandes d'asile en Suisse a diminué de façon constante au cours des trois premiers mois de l'année - au cours du trimestre précédent par environ 45 pour cent.

Néanmoins, la situation reste tendue. Par rapport à l'année dernière, les demandes ont augmenté de 85 pour cent.

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Source

Poignée de main interdite dans l’islam: Comment les médias romands nient le problème

On a pu voir que certains médias romands ont choisi différentes postures afin d'endormir les lecteurs. Tour d'horizon d'une presse dont le seul but désormais est de propager une idéologie politique synonyme d'une marche forcée, qui n'acceptera aucune contradiction:

Le Matin pour sa part a choisi de donner la faute à... Internet. "C'est sur Internet que les deux garçons ont pu apprendre cette règle" clame victorieusement le Matin qui a pu trouver ici le coupable idéal. Bien évidemment, leur père a confirmé cette interdiction et il est... imam à la mosquée de Bâle. Oui rien que ça.

C'est un "petit détail" qui n'est pas mis en exergue. Le compartimentage des informations est une chose bien aisée pour qui veut occulter certaines données. On prendrait les Suisses pour des imbéciles qu'on ne le ferait pas autrement!

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C'est la même technique qui a été appliquée par un autre média romand: La Tribune de Genève.

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Il est vrai qu'Internet représente un danger... surtout en lisant les inepties que nos médias romands colportent parfois.

De son côté, Le Temps va lui encore plus loin:

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Ce journal a trouvé la référence ultime pour soutenir que tout cela était faux: Le président de l'Union vaudoise des associations musulmanes. Le Temps se dissimule derrière l'avis d'un "expert" pour prétendre que tout cela est une invention d'Internet. On s'étouffe de rire en constatant avec quel aplomb Le Temps nous sert une histoire à dormir debout:

"On ne peut faire une règle d’une source obscure de la Toile. Il faudrait au contraire entamer un dialogue avec ces jeunes, les aider à trouver des références dans le pays qui est le leur, la Suisse. »

«Lors d’une réunion de l’UVAM ce matin, une communauté nous racontait que dans son pays, on fait le baise-main aux enseignantes! C’est dire si la question, pour elle, ne s’est jamais posée.»

 

A peu près tout ce qui est écrit est inexact. Ces deux enfants se réclament d'un dogme étranger et le père place l'islam au-dessus de nos lois comme le confirme Saïda Keller-Messahli. Dès lors, ils ne sont pas dans leur pays, n'en déplaise à Pascal Gemperli. Ils sont même opposés à tout ce qui fait la Suisse, de par la vidéo mise sur le Facebook, de par leur attitude, de par leur refus continuel. Comment interpréter qu'un musulman apprécie une vidéo de l'État islamique alors qu'il habite dans un pays aux racines chrétiennes? Que la Suisse est "son pays"? De qui se moque-t-on? D'autre part, on retrouve ici la rhétorique d'extrême gauche: Il suffit au premier venu de s'établir en Suisse pour que notre pays lui appartienne. Quelle arrogance!

Deuxième point, tant pour la première affaire que pour celle de Bâle Ville, les parents ont certifié que la poignée de main était interdite entre des inconnus de genres différents. Dès lors, ce n'est plus "Internet" mais les musulmans eux-mêmes (dont un imam pour rappel) qui valident cette interdiction. Nabil Arab, administrateur de la fondation du roi Fayçal, a même pris la défense des deux garçons en déclarant que le prophète Muhammed n'avait pas touché à d'autres femmes que la sienne. Or Muhammed est l'exemple à suivre pour tous les musulmans. Ces deux frères ont donc simplement appliqué les faits et gestes de leur prophète, rien de plus. Ce qu'il dit est confirmé par plusieurs hadithsPrétendre que cette interdiction est étrangère à l'islam est tout simplement de la désinformation. 

Enfin, on ne pourra que sourire devant l'argument de M. Gemperli, citant une "réunion de l'UVAM" pour clamer que c'est une invention d'Internet: "Une communauté qui déclare que dans son pays le baise-main est permis", quelle valeur cela a-t-il dans l'islam? avec quelles sources peut-il prouver que ce n'est pas une spécificité locale? Où sont les textes du coran ou les hadiths qui certifient que cela est autorisé? Sur le fond, il ne possède pas le moindre argument.

En clair, le fameux expert reproche aux autres musulmans ce qui lui-même est incapable de fournir: la preuve tangible que le contact entre un homme étranger et une femme étrangère est autorisé dans l'islam. Or tout porte à croire que cette interdiction est avérée, outre les hadiths, notamment à travers la séparation physique qui est pratiquée dans la vie quotidienne du monde islamique: écoles, mosquées, hôpitaux... On ne compte plus les cas français où du personnel hospitalier se retrouve roué de coups parce qu'il a touché à une femme musulmane.

Bien évidemment, pour nos médias "c'est encore la faute à Internet".

Dossier préparé par Christian Hofer, 11 avril 2016

France : Médias et gouvernement, tous unis pour nier le racisme anti-blanc

Pas de chance pour le gouvernement. Alors qu’il lançait une grande compagne contre le « racisme », entendez « le racisme des méchants blancs qui refusent la diversité », une bande de « jeunes » un peu plus turbulente qu’à l’ordinaire, mettait Bruxelles à feu et à sang.

Toute honte bue, les médias ont vendu cette propagande gouvernementale comme si elle était la réalité « vraie », sans parler de la menace terroriste, autrement réelle celle-ci.

Comprenne qui pourra

On croyait pourtant avoir compris, comme nous le montrent les clips du gouvernement, que c’étaient les petits blancs ignares et les méchants skins et identitaires à front bas qui menaçaient la République. Mais est-ce envisageable que les individus qui nous gouvernent, compétents et sérieux, aient pu se tromper à ce point-là sur les dangers qui planent sur nos têtes ?

Il faudra que l’on nous explique un jour tout de même, pourquoi, quatre mois après le Bataclan, personne au gouvernement n’a songé, pour illustrer la « haine de l’autre », à montrer quelques fanatiques barbus en train d’éructer leur haine contre les mécréants ? Le gouvernement doit certainement avoir de bonnes raisons pour cela, des raisons subtiles et secrètes qui dépassent l’entendement des gens du commun…

Mais ce qui est encore plus difficile à comprendre pour les esprits ordinaires, c’est le rôle des journalistes, si dévoués à la qualité de l’information : on se demande encore pourquoi les médias ont présenté ces vidéos comme s’ils étaient les portes paroles du gouvernement, son service com, en quelque sorte. Pourquoi aucune distanciation à l’antenne par rapport au sujet ? « Il faut contextualiser » explique-t-on aux apprentis journalistes, questionner le sujet : qui, quoi, où, comment, pourquoi, on n’est pas là pour passer les plats, il faut mettre de la plus-value dans l’info : où est passée la déontologie ?

Il a fallu attendre que l’avocat médiatique Gilles-William Goldnadel mette les pieds dans le plat du politiquement correct, aux Grosses têtes de RMC, en s’indignant de l’absence du racisme anti-blanc, pour que soit rompu, enfin, le ronron du consensus mou ; avant que Bruxelles, tragiquement, enterre l’affaire.

Alors, pourquoi aucune question un tant soit peu dérangeante sur les intentions du gouvernement, pourquoi aucune question sur le contenu de cette campagne ? Pourquoi aucun débat contradictoire pour montrer que le message que l’on nous impose comme une évidence, est peut-être plus lourd de sens par ce qu’il ne montre pas que par ce qu’il met en scène ? Que de belles empoignades en perspectives, avec des politiques, des sociologues, des philosophes des historiens… libres d’attaquer, ou d’approuver, la parole gouvernementale et qui se castagnent pour leur vérité. Du spectacle, du vrai – c’est bon pour l’audimat – pour des médias avides de prouver leur liberté de ton et justifier leur titre de quatrième pouvoir… On aurait pu imaginer un plateau avec Zemmour versus BHL dans un duel mortel, un corps à corps Marion la blonde contre Fourest la peste, le clash entre de Villiers, l’aristo et le jacobin Mélenchon, le choc entre Mamère, pépère sévère, et Ménard, père peinard, etc…, de quoi stimuler la créativité journalistique !

Des médias aux ordres ?

On pense, forcément, que si nos chers médias n’ont pas joué ce jeu-là, c’est qu’ils avaient de bonnes raisons pour ne pas le faire. Préserver la paix civile exige, parfois, de sacrifier ses principes déontologiques, quoiqu’il puisse en coûter à votre conscience professionnelle. C’est ça aussi le sens du devoir…

Car montrer des blancs victimes de racisme, n’est-ce pas encourager toutes les dérives xénophobes, véhiculer les préjugés et les fantasmes sur l’autre et ses différences ? N’est-ce pas légitimer la peur de l’étranger, jouer sur les pensées « nauséabondes », remettre en cause le vivre ensemble qui fonde les valeurs de la République, stigmatiser les habitants des quartiers populaires, favoriser le repli sur soi de la France moisie face à la France de la diversité et de l’ouverture, ouvrir la porte au retour des heures les plus sombres de notre histoire, et surtout, prendre le risque de l’amalgame ennemi de l’altérité ?

Les journalistes sont des gens sérieux et sans concession, ils ne sont pas aux ordres, ils obéissent juste à leur conscience. Et leur conscience en ces temps difficiles leur dit qu’il vaut mieux étouffer certains sujets si l’on veut rester au chaud. Combien de temps ce déni durera-t-il ? C’est toute la question.

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A propos du Donald

Il y a bien longtemps au tout début des années 60, j’étais tombé par hasard sur un jeune homme qui venait de s’échapper de Roumanie et qui comme bien des Roumains parlait le Français. Durant la discussion il me dit soudain « Vous avez quelqu’un de très bien en France et c’est le General …Salan». Pour ceux à qui cela ne dit rien, le dit General Salan était l’un des quatre officiers qui avaient commis une tentative de coup d’Etat contre de Gaulle quelques mois avant.

Quelque peu interloqué, je lui dis, « Certes, certes, mais pourquoi ? »La réponse fut sublime de profondeur. « Voyez-vous, me dit-il, la radio Roumaine officielle ne cesse d’en dire du mal. »Et c’est la que je compris pour la première que dans les pays où la liberté d’information n’existe pas et où sévit un « Ministère de la Vérité », la population pour se faire une opinion n’a pas d’autre moyen que de prendre le contrepied de la vérité officielle. L’ennui bien sur est qu’en termes logiques, le contraire d’une erreur peut ne pas être la vérité, mais une autre erreur, mais cela reste utile.

Je n’ai jamais oublié cette leçon et je l’applique depuis avec bonheur.

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Les médias « complotistes » : 0 mort. Les médias « normaux » : des millions de morts. Qui sont les plus dangereux ?

Il faut bien mettre « complotistes » entre «  » car ça ne veut en soi rien dire . Il ne faut pas tomber dans le piège de créer une nouvelle catégorie de médias qui seraient « complotistes » par opposition aux médias « traditionnels » .

Il existe simplement des médias achetés qui travaillent au service d’une idéologie ou d’une entité, et des médias libres et indépendants, qui eux donnent de vrais infos. 

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Merci à Pierre H.

Médias : la méfiance grandit. À qui la faute ?

Nos lecteurs nous prient de publier (merci à Pierre H.)

Le désarroi des médias français est perceptible. De plus en plus de journalistes prennent conscience de l’hostilité grandissante du public à leur égard. Tandis que certains cherchent à se remettre en question comme ceux réunis au sein du Comité Orwell, d’autres ont déjà trouvé les boucs émissaires idéaux : les médias alternatifs. Ceux-là, que ce soit par lâcheté ou par incapacité à voir plus loin que les slogans qui leur sont servis ou qu’ils ont glanés ici et là, en reviennent toujours au principe bien commode de « ce n’est pas moi, c’est l’autre ».

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Guerre de l’information – Qu’est-ce que c’est ? Qui fait ça? Et qui en profite ?

De plus en plus de personnes ont peur d’une nouvelle grande guerre sur le sol européen. Sans l’accord du peuple on ne peut pas faire des grandes guerres. C’est pourquoi il faut reconnaitre qu’avant chaque grande guerre, il y a une guerre de l’information. Guerre de l’information – Qu’est-ce que c’est ? Qui fait ça? Et qui en profite ?
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Source

Merci à Lucie

Quand Soljenitsyne dénonçait l’irresponsabilité des médias

En 1974, Alexandre Soljenitsyne est expulsé de l’Union soviétique. Il s’installe d’abord en Suisse, puis aux Etats-Unis où il donne plusieurs interviews et discours restés célèbres, notamment à Harvard (1978). L’écrivain craint que le recul de la spiritualité, l’individualisme et la société de consommation soient une nouvelle forme d’aliénation de la personne humaine, plus difficile à comprendre et à combattre que les institutions ouvertement autoritaires du régime soviétique. Le dissident soviétique dénonce ce qu’il appelle le « déclin du courage » lié au « matérialisme occidental ». Parmi les signes « avant-coureurs de la fin », l’irresponsabilité de la culture, et de la presse en particulier (introduction par Axel Rokvam sur le site Liberté Politique). Extrait ci-dessous du passage concernant la responsabilité de la presse :

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Propagande socialiste et médiatique contre l’initiative de mise en oeuvre

Nos lecteurs nous prient de publier. Merci à Cenator :

Le PS poursuit sa propagande mensongère contre l’initiative de mise en œuvre, en prétendant qu’elle aboutirait au renvoi des auteurs de délits mineurs.
Dernier exemple en date, l’émission « Mise au point » de la RTS ( 20 h 05, à 15 mn 20 s) : Pour Rebecca Ruiz, PS, la loi actuelle permet déjà d’expulser les auteurs de crimes comme ceux de Cologne, tandis que l'initiative de mise en oeuvre vise les excès de vitesse ou les revenus non déclarés.

Dès 9 mn 10 s :

Une journaliste kurde assassinée par Daech

Personne n’avait revu Ruqia Hassan depuis le mois de juillet. Son exécution a été annoncée à sa famille par Daech il y a quelques jours.
Photo : Twitter
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Depuis quelques mois, l’« État islamique » s’est lancé dans une véritable chasse aux médias. Ruqia Hassan, 30 ans, avait décidé de rester à Raqqa, le fief des djihadistes, pour témoigner.

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Merci à Cenator

Le Matin, le 24h, la Tribune de Genève: Aucune mention des agressions sexuelles par ces “réfugiés” qu’ils affectionnent tant

Tour d'horizon de nos médias qui ne ratent aucune occasion pour procéder à une propagande en faveur de ces migrants.

Pour Le Matin.ch, le silence est pour l'instant de mise. Mais nous pouvons "bénéficier" en première page d'une interview de Lolita Morena au sujet de Warluzel. Il y a des priorités vous comprenez...

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Il en est de même pour le 24H et la Tribune de Genève. On ne voudrait surtout pas les déranger en leur demandant de faire ce pour quoi ils sont payés...

De leur côté, Bluewin et 20Minutes.ch ont eu le courage de transmettre l'information, sans verser dans la bien-pensance, leurs informations ayant toutefois été publiées bien après l'article des Observateurs.ch :

« Nous ne pouvons accepter que des groupes d’hommes d’Afrique du Nord s’organisent pour humilier de façon éhontée des femmes sans défense.»

Le Temps a lui choisi une autre stratégie en donnant la parole à...Merkel, la responsable même de la présence de ces centaines de milliers de migrants en Allemagne et par extension de ces agressions contre son propre peuple. On n'échappera pas non plus au slogan anti-raciste qui confine à la stupidité dans une telle situation "punir sans égard pour leur apparence, leurs origines ou leur histoire personnelle". Sauf que cette situation est analysée par la police elle-même comme étant totalement inédite et qu'elle est spécifiquement liée à la culture de certains migrants :

«Nous avons affaire à une forme de criminalité organisée d’un type inédit» 

La première responsable est donc bien Merkel. Ce qui ne prive pas cette dernière d'être "outrée". Ce n'est visiblement pas la culpabilité qui l'étouffe!

On notera aussi la citation mise en exergue par ce "journal de référence" :

Le fait que des personnes d’origine étrangère soient associées à ces faits ne doit pas conduire à ce que les réfugiés soient systématiquement soupçonnés

Bien entendu, le jeu consiste à accuser tout ceux qui ont eu raison, qui ont dénoncé la dangerosité de cette immigration composée à 80% d'hommes jeunes, en pleine forme, souvent violents, bien nourris aux frais des contribuables allemands, ne possédant pas le même respect des femmes que l'Européen et dont les besoins sexuels étaient évidents. En clair, ceux qui avaient raisons sont... coupables.

Pour Le Temps, anticiper un tel drame était tout simplement impossible, malgré le contexte mentionné plus haut et malgré les nombreux articles publiés par Les Observateurs.ch (ici et ici ou encore ici). Mieux même, ceux qui se prétendent si "supérieurement intelligents" sont incapables de formuler la moindre logique de base, osant même ce titre aberrant "Stupeur en Allemagne après les agressions sexuelles de la St-Sylvestre". Comme si une telle situation découlait d'une surprise totale. De qui se moque-t-on?

On semble découvrir la réalité dans certaines rédactions alors même qu'elles bénéficient de tous les canaux d'informations possibles, des technologies de pointe, d'un budget dépassant de loin celui de notre site. Peut-être devraient-elles lire Les Observateurs.ch afin de s'informer réellement?

Pire, Le Temps continue à parler de "réfugiés" au sujet de personnes agressant sans retenue de jeunes Allemandes, le terme étant utilisé pour émouvoir encore et toujours le lecteur et culpabiliser ainsi la moindre critique : "L’affaire montre à quel point le débat politique est crispé autour de la question des réfugiés."

Par conséquent, l'aveuglement va continuer. Pensez donc, il serait inopportun de fiche en l'air la propagande établie après de nombreux mois d'efforts du "pauvre réfugié à sauver face à une Europe coupable et insensible". Quant à la remise en question, elle ne fait évidemment pas partie de leur agenda.

Pour ma part, Les Observateurs ne sont plus un site de réinformation mais bien d'informations, de celles que certains médias ne veulent plus transmettre à une population dont l'ignorance est au bénéfice de la politique de gauche.

Christian Hofer pour Les Observateurs.ch