[Vidéo] Un attentat islamiste à Auckland fait 6 blessés, le terroriste a été abattu

L'attaque a été qualifiée de terroriste par le Premier ministre néo-zélandais Jacinda Ardern, qui a précisé que l'individu avait poignardé six personnes. L'assaillant était un sympathisant de Daesh, de nationalité sri-lankaise, arrivé dans le pays en 2011. Il était par ailleurs connu de «plusieurs services» et a agi seul, selon la même source.

 

Arabie Saoudite : l’Etat islamique revendique l’attentat du cimetière non musulman, le consul de France visé

Le groupe djihadiste Etat islamique (EI) a revendiqué ce jeudi l'attentat qui a fait au moins deux blessés la veille au cimetière non musulman de Jeddah, en Arabie Saoudite, lors d’une cérémonie pour l’anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918, en présence de diplomates occidentaux.

Dans un communiqué sur sa chaîne de propagande sur Telegram, Daesh affirme avoir mené l’attaque « en soutien » au prophète Mahomet. « Un détachement de soldats du califat a réussi à poser un engin explosif au cimetière (…) dans la ville de Jeddah hier » mercredi où plusieurs diplomates étaient réunis, affirme le communiqué.

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20Minutes.fr

Quand l’un des fondateurs de Daech profite du système social français

La commission d'enquête parlementaire sur les fraudes sociales a été l'occasion pour l'un des rapporteurs de découvrir qu'un des fondateurs de Daech a longtemps pu bénéficier d'allocations.

 

 

Après des mois d'investigations dans le cadre de la commission d'enquête parlementaire relative à la lutte contre les fraudes aux prestations sociales, dont les conclusions ont été présentées à l'Assemblée nationale mardi 15 septembre, son rapporteur, le député UDI Pascal Brindeau, livre à Valeurs actuelles une de ses funestes découvertes.

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Valeurs Actuelles

Via Fdesouche

Allemagne : N’étant pas visés par des mandats d’arrêt, 9 membres de Daech expulsés par la Turquie seront remis en liberté

La Turquie a mis ses menaces à exécution et commence à expulser des djihadistes présumés arrêtés sur son sol. Neuf personnes doivent être rapatriées en Allemagne cette semaine. En l’absence de mandats d’arrêt, elles seront remises en liberté.

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Il s’agit d’un homme ayant la double nationalité irakienne et allemande et de six membres de sa famille, originaire de Basse-Saxe, ainsi que de deux épouses de combattants de l’EI, ont précisé ces sources. Ces personnes devraient être expulsées de Turquie et rentrer en Allemagne jeudi ou vendredi.

Le chef de la famille de sept personnes, connu des services allemands pour son appartenance au salafisme, est soupçonné d’avoir tenté de gagner la Syrie au printemps 2019.

Ils ont été arrêtés en Turquie et sont depuis détenus à la prison d’Izmir. Pour les autorités allemandes cependant, rien ne prouve qu’il ou sa famille soient membres de l’EI.

Les deux femmes, a priori expulsées vendredi, étaient détenues dans un camp syrien de prisonniers, dont elles s’étaient évadées, avant d’être interpellées par les autorités turques. Ces deux femmes devraient être interrogées à leur arrivée, puis surveillées, mais de tels dispositifs sont coûteux, relève-t-on de même source.

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La ministre fédérale de la Justice, Christine Lambrecht (SPD), s’est voulue mercredi rassurante. « Si la détention ne peut pas encore être ordonnée, les personnes peuvent faire l’objet d’une surveillance intensive ou porter un bracelet électronique »

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Ouest France

Via Fdesouche

Mort d’al-Baghdadi: Les USA soupçonnent la Turquie d’être liée aux djihadistes

Ankara a été écartée de l'opération américaine qui a abouti à l'élimination du chef de Daech, retrouvé à moins de 5 kilomètres du territoire turc. [...]

L'éphémère « calife » de Daech, que l'on pensait caché quelque part dans la zone désertique entre la Syrie et l'Irak, là même où a pris fin son « califat » en mars dernier, avait en réalité trouvé refuge dans un village de 7 000 âmes situé à Idleb, à moins de cinq kilomètres de la frontière turque.

 

https://youtu.be/_N8kJhtspyw

 

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Services de renseignements turcs

La résidence où a été retrouvé le « calife » djihadiste appartient à Abou Mohamad Salamé, un membre de Tanzim Hurras ad-Din, organisation issue de Hayat Tahrir al-Cham (HTS). Anciennement connu sous le nom de Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, HTS s'est allié à partir de 2015 à d'autres groupes islamistes et d'anciens membres de l'Armée syrienne libre pour former l'Armée de la conquête et s'emparer du nord-ouest de la Syrie aux dépens du régime syrien. « L'Armée de la conquête, dont faisait partie HTS, a été entraînée en Turquie et alimentée en armes et en combattants par Ankara », rappelle le géographe Fabrice Balanche, maître de conférences à l'université Lyon-2 et spécialiste de la Syrie.

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Selon le New York Times, Abou Bakr al-Baghdadi se trouvait à Baricha depuis plus de trois mois. « Il est donc difficile d'imaginer que HTS n'ait pas su qu'Al-Baghdadi se cachait dans la zone et que les Turcs n'en étaient pas informés », souligne le géographe.

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La Turquie a toujours joué un jeu trouble vis-à-vis des djihadistes dans la crise syrienne. Farouche opposant de Bachar el-Assad, le président turc Recep Tayyip Erdogan a longtemps ouvert sa frontière aux djihadistes d'al-Nosra et de Daech pour précipiter la chute du président syrien, avant d'être frappé à son tour par plusieurs attentats de l'État islamique sur le territoire turc à partir de 2015.

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Lepoint.fr

Nos remerciements à Fdesouche

 

Le juge Trévidic : “Le pire est devant nous, Daech prépare des massacres de masse en France”

Publié par Gaia - Dreuz le 6 octobre 2019

Source : Lemondejuif

Le vice-Président du tribunal de grande instance de Lille, le juge Trévidic, a affirmé mercredi que le pire en matière d’attaques terroristes islamiste est à venir pour la France, la cible prioritaire du groupe État islamique (EI).

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“La menace est à un niveau maximal, jamais atteint jusqu’alors. D’abord, nous sommes devenus pour l’EI l’ennemi numéro un. La France est la cible principale d’une armée de terroristes aux moyens illimités.”, a déclaré l’ancien patron du Pôle judiciaire antiterroriste dans un entretien accordé à Paris Match.

“J’ai acquis la conviction que les hommes de Daech [acronyme de l’Etat islamique] ont l’ambition et les moyens de nous atteindre beaucoup plus durement en organisant des actions d’ampleur, incomparables à celles menées jusqu’ici. Je le dis en tant que technicien : les jours les plus sombres sont devant nous. La vraie guerre que l’EI entend porter sur notre sol n’a pas encore commencé.”, a-t-il mis en garde.

“Nous avons en face de nous un groupe ­terroriste plus puissant que jamais. Bien plus puissant qu’Al-Qaïda à sa grande époque. L’EI, fort d’environ 30 000 “soldats” sur le terrain, a recruté plus de membres que l’organisation fondée par Ben Laden en quinze ans ! Et ce n’est pas fini. La France est, de fait, confrontée à une double menace. Celle du déferlement de ce que j’appelle les “scuds” humains du djihad individuel, ces hommes qui passent à l’action sans grande formation ni préparation, agissant seuls, avec plus ou moins de réussite, comme on a pu le voir ces derniers temps. Et celle, sans commune mesure, que je redoute : des actions d’envergure que prépare sans aucun doute l’EI, comme celles menées par Al-Qaïda, qui se sont soldées parfois par des carnages effroyables.”, a poursuivi M. Trévidic.

“Les hommes de Daech ont les moyens, l’argent et la faculté d’acquérir facilement autant d’armes qu’ils veulent et d’organiser des attaques de masse. Le terrorisme est une surenchère ; il faut toujours aller plus loin, frapper plus fort. Et puis, il reste “le prix ­Goncourt du terrorisme” à atteindre, et je fais là référence aux attentats du 11 septembre 2001 contre les tours du World Trade Center. Je n’imagine pas un instant qu’un homme tel qu’Abou Bakr ­al-Baghdadi et son armée vont se satisfaire longtemps d’opérations extérieures de peu d’envergure. Ils sont en train de penser à quelque chose de bien plus large, visant en tout premier lieu l’Hexagone.”, a expliqué le magistrat.

Selon M. Trévidic, “les juges, les policiers de la DGSI, les hommes de terrain, sont complètement débordés”. “Nous risquons d’aller dans le mur.”, a-t-il conclu.

source:

voir aussi:

L’attaque au couteau de Melbourne était un attentat de l’Etat Islamique

L'attaque au couteau qui a eu lieu ce matin à Melbourne se révèle être en réalité un attentat islamiste.

Le terroriste, un somalien connu des services de renseignement australien, a tué une personne et blessé deux autres avant d'être interpellé par des policiers. Ces derniers ont d'abord tenté de le neutralisé à main nue mais l'un des agents a dut faire usage de son arme alors que l'islamiste tentait de le poignardé.

L'Etat Islamique a revendiqué cette attaque. L'agence de propagande Amaq de l'organisation djihadiste indique :

«L'auteur de l'opération (...) à Melbourne (...) était un combattant de l'Etat islamique et a mené l'opération en réponse à des appels à cibler des ressortissants des pays membres de la coalition»

Marine Le Pen soumise à une expertise psychiatrique pour avoir tweeté des images de Daesh

La présidente du Rassemblement national a été mise en examen en mars dernier pour avoir diffusé des images d'exactions de Daesh sur Twitter.

 

Ces mercenaires français rappelés du Levant

La presse française diffuse depuis quelques semaines une campagne de communication criminelle. La profusion et la simultanéité de la parution d'autant d'articles sur le même sujet et avec la même orientation ne peut être que la mise en oeuvre d'une campagne coordonnée, donc commandée dans une intention précise.

Il s'agit de la campagne visant à assurer les anciens mercenaires recrutés en France qu'ils y seront bienvenus à leur retour de Syrie. Car une telle campagne, incluant l'intervention directe de divers ministres, ne saurait être destinée au public français, que le commanditaire a peu de chances de convaincre du bien-fondé de cette décision politique qu'il aurait plutôt intérêt à tenter de cacher. La cible de ce message est donc extérieure et ne peut pas être touchée discrètement et individuellement même s'il ne s'agit que de quelques milliers de personnes, ce qui a obligé à recourir à un moyen de communication volumineuse indirecte en dépit des risques politiques internes. La décision a donc dû être mûrement réfléchie.

Dans le cadre du projet de destruction de la Syrie, la France a laissé partir pour le djihad (la guerre "sainte") des milliers de futurs mercenaires généralement convaincus, et pour le djihad al-nikah (la prostitution "pour Allah") de futures prostituées généralement bernées. On pourrait certes appeler autrement que prostitution, vu d'un pays où l'activité librement exercée est légale, l'imposition de relations sexuelles multiples, et non rémunérées, par l'intimidation essentiellement psychologique au départ puis par la violence physique plus tard. Le mot n'existe d'ailleurs pas dans certains contextes culturels où le multipartenariat de la femme respectable (sous tutelle toute sa vie) est interdit et où le viol systématique de la femme esclave ou captive est une règle incontestable.

Au contraire par exemple la Tunisie, qui avait elle aussi vu partir (et pour sa part déploré) plusieurs milliers de jeunes gens et jeunes filles en 2012 et 2013, a criminalisé leur recrutement, leur regroupement et leur acheminement. Avant d'aller jusqu'à interdire la sortie du pays à toute personne de moins de trente-cinq ans sauf autorisation paternelle, le régime à dominante Ennahdha issu de la "révolution de jasmin" menée par les Frères Musulmans égyptiens et encensée par la presse démocrate française a fermé deux cents mosquées coupables (ou suspectées, faute de jugement) d'appels à la solidarité mahométane, localisé et débandé plusieurs centres de regroupement et sélection, et démantelé et incarcéré plusieurs réseaux d'acheminement, en vertu notamment des résolutions 1325 et 1820 du Conseil de Sécurité de l'ONU et du Protocole de Palerme.

Mais le gouvernement français, pour sa part, a choisi d'autoriser la propagande en France pour cette forme de confrontation totale qui viole non seulement les conventions internationales du droit positif interétatique moderne matérialisé dans les traités du système ONU, mais aussi les multiséculaires droits coutumiers de la guerre et à la guerre. Déjà en 1998, toutes les chaînes de télévision publique ou subventionnée diffusaient au journal du soir des "documentaires" sur le regroupement et le départ vers la Suisse, plateforme du recrutement ouest-européen, des volontaires pour la guérilla islamiste menée par le mouvement sécessionniste de la diaspora albanaise en Serbie (province de Kossovo et Métochie), et dont l'acheminement, au départ des grandes villes françaises, était prétendument grâcieusement offert par des compagnies d'autobus qu'on n'aurait peu souçonnées de djihadophilie. On n'a jamais su qui avait en réalité financé les autobus et surtout la campagne de communication télévisuelle manifestement autorisée, et l'année suivante les combattants irréguliers ainsi enrôlés publiquement en France reçurent l'appui aérien de l'OTAN et de la France (alors non membre de l'OTAN), un précédent plutôt encourageant pour les campagnes de recrutement à venir. Plus récemment lorsque le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré, le 12 décembre 2012, que le front Al Nosra (Al Qaeda en Syrie) ne pouvait être qualifié de terroriste car il faisait du "bon boulot", dont le monde entier a pu constater les résultats (malgré la propagande atlanto-islamiste) lors de la libération d'Alep, il faisait l'apologie d'une organisation dont il connaissait l'usage indiscriminé d'armes chimiques contre la population civile et l'usage ciblé du viol cultuel. Un an plus tard le ministère de l'intérieur a refusé la liste des mercenaires français identifiés par le gouvernement syrien, comme pour leur assurer l'impunité. Et au cas où des doutes seraient restés chez les candidats potentiels français ou résidents, le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve a déclaré le 5 août 2014 que prôner ledjihad n'était pas un délit et n'était pas pénalement répréhensible, dépénalisant ainsi le djihad lui-même (car il est interdit de prôner une pratique interdite) et apportant la caution du gouvernement français, qui ne l'a pas désavoué, à la commission non pas de simples crimes de guerre mais d'une véritable entreprise de crimes contre l'humanité.

Ces mots sont pesés, l'agression de la Syrie était bien un projet de destruction d'un pays par la commission à grande échelle de crimes contre l'humanité sur la société et la population civiles, pas une entreprise de neutralisation ou soumission politique au moyen d'une guerre, licite ou pas, dûment déclarée et menée par des moyens militaires réguliers.

Par son arrêt du 26 février 2015 dans l'affaire C-472/13 la Cour de Justice de l'Union Européenne a clairement reconnu la responsabilité et la clause de conscience de toute personne appartenant à des forces armées qui commettent des crimes de guerre, c'est-à-dire une sorte de participation à la responsabilité collective même sans commission personnelle desdits crimes. Bien au-delà de la classique notion de l'impossibilité de se retrancher derrière le devoir d'obéissance hiérarchique, le combattant civilisé restant toujours responsable de ses actes individuels, la CJUE a reconnu le droit (et sous-entendu le devoir) pour un soldat de refuser de participer à un conflit où son armée d'appartenance commet des crimes de guerre, et même de s'en retirer le cas échéant par la désertion. Si cet arrêt reconnaît aux Etats un "droit légitime à maintenir des forces armées", il ne saurait évidemment être reconnu aux forces irrégulières non étatiques, violatrices systématiques du droit de la guerre et recourant au mercenariat.

Mais la France n'avait pas attendu cet arrêt pour prévoir la réclusion criminelle à perpétuité, selon l'article 212-3 du code civil, pour toute "participation à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de l'un des crimes définis par les articles 211-1, 212-1 et 212-2". Ces articles définissent les crimes contre l'humanité. Plus précisément l'article 211-1 définit le crime de génocide comme tout acte criminel s'inscrivant dans un "plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux", et l'article 212-1 inclut dans les crimes contre l'humanité tout acte criminel comme meurtre, asservissement, déportation, viol, torture, séquestration au secret ou ségrégation, s'inscrivant dans un "plan concerté à l'encontre d'un groupe de population civile dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique". Compte tenu de la longue litanie des massacres, viols ou réductions en esclavage pour raison religieuse, des Kurdes de Tal Abyad aux Arméniens de Kassab en passant par les Assyriens de Maaloula, sans oublier les Yézidis du Sinjar, mais aussi Houleh, Taldo, Al Chomaryeh, Homs ou Alep, il n'y a depuis cinq ans aucun doute sur l'existence de faits matériels caractérisant la préparation et même la réalisation d'un plan concerté d'extermination ou, selon les cas, d'asservissement, à l'encontre de communautés particulières, voire de toutes les communautés non arabes sunnites du Levant. Les exactions se répartissent équitablement entre toutes les composantes prétendument rivales de la guérilla islamiste (les nébuleuses d'Al Nosra et de l'Etat Islamique), dont l'approvisionnement en armement est commun (Armée Syrienne Libre et Etats-Unis d'Amérique). Par conséquent toute personne coupable de participation à un groupement formé à cet effet est, selon l'article 212-3 du code civil, passible de la réclusion criminelle à perpétuité. Et la première preuve de la participation à ce groupement est évidemment le départ de France en direction des théâtres d'exaction, puisque les participants ne sont pas recrutés parmi les touristes français en Syrie ou en Turquie, mais parmi les sympathisants en France, et acheminés après recrutement, comme l'a démontré le démantèlement des réseaux recrutant en Tunisie. D'ailleurs la loi pénale française est aussi applicable à tout crime commis par un Français (ou assimilé) à l'étranger, selon l'article 113-6 du code pénal. Elle n'est pas optionnelle, contrairement par exemple aux dispositions purement nationales concernant la trahison au profit d'une puissance étrangère, car il s'agit là de la transcription et l'application en droit français d'instruments de droit international, donc d'obligations auxquelles la France a souscrit au titre de la lutte mondiale contre la criminalité contre l'humanité.

Par ailleurs le mercenariat est punissable, en France, de cinq ans de prison selon l'article 436-1 du code pénal. Il n'est même pas nécessaire que l'activité soit rémunérée pour être répréhensible, il suffit qu'elle ait visé l'obtention d'un avantage personnel important, comme le sont évidemment les récompenses promises par le Coran, voire simplement les captives promises par les recruteurs. Et il n'est pas nécessaire d'avoir concrètement combattu mais seulement d'avoir été recruté pour combattre, pour "prendre ou tenter de prendre part" à des violences. Et il n'est même pas nécessaire d'avoir été recruté en France, puisque l'article 436-3 précise que les faits (d'engagement mercenaire) commis à l'étranger par un Français ou une personne résidant habituellement en France sont également punissables selon la loi française. Quant aux crimes de guerre, certes plus délicats à établir puisqu'ils sont commis individuellement et à l'étranger, ils sont punissables de quinze ou vingt ans de réclusion criminelle, voire de la perpétuité selon leur nature.

Les pays musulmans, pour leur part, n'accueilleront pas leurs ressortissants à leur retour de Syrie ou d'Irak, aussi fermement qu'ils avaient refusé, une génération plus tôt, le retour des moudjahidines recrutés par les Etats-Unis et l'Arabie Séoudite pour combattre en Afghanistan, ceux qu'on appelait alors "les Afghans" et qui ne pouvaient qu'être transférés d'un théâtre d'opérations à l'autre faute de pouvoir rentrer dans leur pays d'origine. Même les pays qui, après une guerre civile, seraient prêts à accorder une amnistie aux rebelles qui acceptent d'être débandés et désarmés, comme en Algérie il y a vingt ans, ne sont pas prêts à incorporer à leur population des gens qui ne sont pas des anciens combattants même irréguliers mais des anciens violeurs, tortionnaires et massacreurs de population civile. Si une organisation internationale tentait d'imposer à un pays musulman de reprendre ses ressortissants, ceux-ci iraient directement en prison ou au billot d'exécution.

Pourtant peu de pays ont envoyé au Levant autant de pratiquants que la France. Si la Tunisie, peuplée de onze millions de musulmans, a vu partir plusieurs milliers de volontaires en seulement deux ans avant d'empêcher les départs, la France, peuplée de quinze millions de musulmans, a dû sur sept ans en fournir un nombre au moins supérieur, comme en attestent les nombreux témoignages sur l'importance du contingent français en Syrie. Lorsque le président François Hollande a annoncé, le 14 janvier 2014, qu'il y avait de l'ordre de 700 combattants français (ou résidents) en Syrie, cela ne pouvait comprendre que les départs remarqués, mais le chiffre était vraisemblablement déjà supérieur, et doit être aujourd'hui encore plus supérieur au millier annoncé par le ministère de la justice en juin 2017.

Leur recrutement et leur départ avait été au moins toléré, sinon fomenté, par le gouvernement français. La seule manière pour celui-ci de prétendre que ce n'était pas le cas, et qu'il n'est pas complice ou commanditaire des crimes de guerre mais aussi des crimes contre l'humanité systématiquement perpétrés en Syrie, est d'appliquer à leur retour le code pénal, donc l'incarcération immédiate puis la passation en jugement pour mercenariat et pour participation à un groupement formé pour perpétrer des crimes contre l'humanité.

Stratediplo

Vaincre l’islamisme

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Michel Garroté  --  La différence entre islamisme et islam est une différence de degré et non pas une différence de nature. L'islamisme, c'est l'islam en action. Certes, l'islam a connu une courte période laïque, avec des dictateurs non-islamiques en Turquie, en Egypte, en Irak, en Libye, et, encore aujourd'hui, en Syrie. Mais sur 14 siècles d'islam, il y a eu et il y a encore un islam dans sa forme islamique, tels l'Arabie saoudite et le Qatar. Sans compter les dizaines de millions de musulmans qui vivent en Europe.
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A ce propos, sur Causeur.fr, Aurélien Marq, Chargé de questions de Sécurité, écrit notamment : "Dès lors qu’un Etat cède petit à petit aux revendications de l’islam politique, dans l’espoir d’apaiser les communautés les plus virulentes, par peur d’une hypothétique guerre civile, par culpabilité post-coloniale, par haine de soi ou par clientélisme électoral, les islamistes s’estiment victorieux".
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Aurélien Marq : "A leurs yeux, chaque concession n’est pas une main tendue mais une marque de faiblesse qui les encourage à réclamer toujours plus. A poursuivre les attentats, aussi, puisque l’effet de sidération rend leurs cibles vulnérables et que, en Occident du moins, crier aux amalgames et à l’islamophobie leur permet de faire entendre leurs exigences. Réfléchissant sur le long terme, ils vont toujours plus loin mais veillent à ne pas y aller trop vite".
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Ainsi, ajoute Aurélien Marq, "pour vaincre l’islamisme, détruire Daech ne suffit pas. La lutte doit aussi être culturelle. La lutte contre l’islamisme doit être simultanément militaire, policière et culturelle, et même après la chute du califat [l'Etat Islamique, dit "Daech"] elle sera loin d’être terminée".
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Aurélien Marq : "Contrairement à ce qui a trop souvent été dit et écrit, les islamistes ne veulent pas la guerre civile. Ils veulent l’islamisation. La guerre civile n’est éventuellement qu’un moyen d’y parvenir, à condition qu’ils estiment avoir de bonnes chances de la gagner, mais elle n’est pas le seul moyen envisageable. De même, les tensions entre communautés ne sont pas un but en elles-mêmes".
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Aurélien Marq : "L’idéologie wahhabite de l’Arabie saoudite est presque exactement la même que celle de l’Etat islamique, elle est un véritable Etat, possède les lieux saints de l’Islam, et défie ouvertement la communauté internationale en jouant un double jeu que tout le monde connaît mais que peu osent dénoncer", précise Aurélien Marq.
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Voilà pour Aurélien Marq. Pour ce qui me concerne, l'islam a toujours pratiqué, et pratique encore aujourd'hui, le double, voire le triple langage. Ce que les musulmans nous disent en anglais ou en français est une chose. Ce qu'ils se disent entre eux arabe en est une autre. De plus, ils ne pratiquent pas la réciprocité : des revendications musulmanes chez nous oui ; des revendications de la part des non-musulmans en terre d'islam non.
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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http://www.causeur.fr/guerre-daech-etat-islamique-avenir-44945.html
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France: En pleine procession de Pâques, 3 musulmans crient « Allah akbar, vous allez tous sauter et vive Daesh »

Une enquête pour "apologie du terrorisme" est ouverte après qu'une procession catholique a été perturbée à Toulon. Ce jeudi la cathédrale était placée sous surveillance.

Alors que la communauté catholique est plongée dans les célébrations précédant Pâques (la Semaine Sainte), une procession religieuse a été perturbée ce mercredi dans le centre ancien de Toulon. La cérémonie n'a cependant pas été interrompue.

Une grande partie du clergé varois était réunie pour assister à la traditionnelle messe chrismale, à 19 heures, dans la cathédrale Sainte-Marie-de-la-Seds. Cet office, présidé par l'évêque, était précédé d'une procession entre la place Louis-Blanc et la cathédrale.

Selon des témoignages recueillis par la police, trois individus ont menacé, vers 18 heures, un groupe de prêtres et de religieuses, sur la place de la Cathédrale, en jetant un sac-à-dos dans leur direction. Et en criant "Allah Akbar", "Vous allez tous sauter" et "Vive Daech".

"UNE PROVOCATION"

Le trio a pris la fuite tandis que l'alerte était donnée. Deux jeunes suspects ont été interpellés et placés en garde à vue. Le troisième a été appréhendé ce jeudi après-midi. Ce dernier a reconnu avoir jeter le sac-à-dos, a-t-on appris de source judiciaire.

Les trois individus sont âgés de 16 ou 17 ans. Deux sont connus de la justice. Aucun n'a le profil d'individu radicalisé, précise la même source, évoquant "un comportement stupide".

Contacté par Var-Matin, un prêtre toulonnais joue l'apaisement: "J'étais en bout de procession, je n'ai rien vu. Personne ne s'est plaint, il doit s'agir d'une provocation, il faut relativiser."

Source et article complet

Nos remerciements à Wilhelm ✙ ن

Syrie: frappe de la coalition contre un dépôt d’armes chimiques de l’EI

Un lecteur nous propose (merci à Michel) :

La coalition internationale a porté mercredi une frappe contre un dépôt d’armes chimiques appartenant à Daech à Deir ez-Zor, faisant des centaines de victimes, a annoncé l’État-major syrien. L’incident prouve que les terroristes possèdent des armes chimiques, affirme l’armée syrienne.

Suite

« Daech a violé des milliers de femmes chrétiennes »

Dans «Le martyre des chrétiens d’Orient ; portraits et témoignages», aux éditions Calmann-Lévy, le reporter Frédéric Pons donne la parole aux populations chrétiennes persécutées notamment par l'Etat islamique.

Familier du Moyen-Orient, le grand reporter Frédéric Pons a parcouru, tel un pèlerin en quête de vérité, cette vaste région en guerre pour décrire «le premier génocide du XXI siècle». Pour cela, il rappelle le dernier rapport d’Amnesty International qui cite avec précision les enlèvements, les cas de torture, les exécutions sommaires et «les crimes de guerre » imputables aux groupes armés islamistes. Et ceux accompagnés de «crimes contre l’humanité commis à grande échelle par les forces gouvernementales syriennes». «La nouveauté, écrit-il, n’est pas dans cet acte d’accusation contre le régime syrien, maintes fois dressé depuis mars 2011, mais dans la mise en cause des groupes rebelles eux-mêmes». On les croyait «modérés. On les découvre barbares». Leur soutien ? «Gouvernements et associations islamistes basés au Qatar, en Arabie Saoudite, en Turquie, avec la bienveillance des Etats-Unis».

Daech a mis en place une politique d’extermination comparable à celle des nazis

Pons rappelle «qu’il aura fallu presque deux ans pour que la communauté internationale prenne conscience de la réalité de cette extermination des chrétiens d’Orient, pour qu’elle entende ce terme de «génocide». C‘est d’ailleurs le titre d’un autre rapport de deux ONG américaines remis en mars 2016 à l’ancien secrétaire d’Etat John Kerry. «On ne pourra pas dire qu’on ne savait pas» s’insurge justement Frédéric Pons. Massacres de masse, assassinats ciblés, viols, réduction en esclavage, déplacements forcés, enlèvements, séparations brutales entre hommes et femmes, blessures, incendies, vols. «Daech a violé des centaines et probablement des milliers de femmes chrétiennes, endommageant de manière permanente leurs organes reproducteurs ou les laissant enceintes des œuvres de leurs ravisseurs», souligne le rapporteur.

«Ils dressent aussi la liste de 126 églises attaquées, et celle, nominative, des 1131 chrétiens assassinés jusqu’en 2014. Est cité le père catholique Patrick Dubois, petit fils de déporté, spécialiste des crimes de masse contre les Juifs en Ukraine commis par l’armée allemande pendant la seconde guerre mondiale. Pour lui, «Daech a mis en place une politique d’extermination comparable à celle des nazis. C'est un génocide au regard des lois qui relèvent du traité de Rome. Les bébés sont parfois arrachés à leurs mères dès l’accouchement. On leur dit qu’ils vont être adoptés par des familles musulmanes» Le but : qu’ils deviennent des enfants  soldats. Quant aux jeunes filles enlevées, «les chefs de Daech choisissent les plus jolies après avoir vérifié leur virginité, pour les garder ou les revendre : 60 euros environ pour une femme de 30-40 ans, 160 euros pour une enfant de 1 à 9 ans , chrétienne ou yézidie». Une minorité, d’à peine 600000 personnes, non musulmane, vieille de plus de 7700 ans accusée de polythéisme par les islamistes qui n’acceptent pas que d’autres religions aient existé avant l’Islam.

La France aveuglée par son partenariat avec le Qatar et l'Arabie saoudite

Frédéric Pons cite le témoignage d’une député yézidie qui reçoit parfois des appels terribles de captives, ayant pu disposer d’un téléphone un court moment. «J’ai été violée 30 fois ce matin raconte l’une d’elles…», «s’il vous plaît, bombardez-nous», implore une autre. Grâce aux témoignages recueillis sur le terrain, l’écrivain nous fait mieux comprendre à travers leur quotidien le calvaire des chrétiens d’Orient. «Les musulmans nous qualifient depuis toujours de Nassirya, de Nazaréens, raconte Toma. C’est un terme insultant dans leur esprit». Malgré les promesses, environ 3600 visas ont été seulement accordés, avec des tracas administratifs dès l’arrivée à Roissy. «Les migrants clandestins musulmans venus de Syrie, de Somalie ou d’Afghanistan ont été mieux traités que nous confie Omar. Mais on a compris qu’à côté de la France officielle, il y avait des Français. Nous en avons rencontré qui nous ont tellement aidés».

Fin connaisseur de cet Orient compliqué, Pons n’élude aucune responsabilité malgré «la chanson de geste» officielle dispensée aujourd’hui. «L’échec américain et européen a démontré que les bons sentiments ne font pas une bonne politique. La morale ou l’émotion médiatique n’a rien à faire avec la géopolitique et la stratégie, souligne l’auteur. Pour avoir ignoré les facteurs immatériels et spirituels, pour avoir négligé la longue évolution historique de ces terres de vieilles civilisations, pour avoir méprisé les peuples, les décideurs occidentaux portent une immense part de responsabilité dans le malheur des pays arabo-musulmans, et donc dans le calvaire des chrétiens d’Orient». Les gouvernements français ne sont pas épargnés. «Scotchée aux analyses de Washington, liée de façon outrancière à son partenariat commercial et financier avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, la France de Sarkozy et de Hollande a d’emblée pris le parti de l’opposition armée».

Persuadée de la faiblesse du régime Assad, elle a fait de sa chute sa priorité… La France a longtemps nié le vrai visage des groupes armés, a ignoré la montée en puissance politique et militaire de la Russie et a négligé son rôle traditionnel de protection des chrétiens d’Orient». Au passage, Pons rappelle que si les chrétiens ne sont pas les seuls à souffrir de persécution religieuse dans le monde , «ils représentent les ¾ des victimes pour motifs religieux : 200 millions d’entre eux ne peuvent pas vivre librement leur foi dans une soixantaine de pays, et plus de 100000 chrétiens sont tués chaque année à cause de leur foi. Cette christianophobie mondialisée tue ainsi un peu plus de 270 chrétiens chaque jour».

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Levée de l’immunité de Marine Le Pen pour des tweets dénonçant les crimes de Daech

Une commission du Parlement européen a ouvert la voie aujourd'hui à la levée de l'immunité parlementaire de Marine Le Pen, demandée dans le cadre d'uneenquête sur la diffusion par la présidente du Front national de photos du groupe Etat islamique sur Twitter.

Les eurodéputés de la commission "Affaires juridiques" se sont prononcés en faveur de la levée de cette immunité, réclamée par le parquet de Nanterre, qui a ouvert une information judiciaire à son encontre pour "diffusion d'images violentes".

L'ensemble des députés doit maintenant se prononcer jeudi sur cette question, mais les votes en commission parlementaire sont généralement suivis en plénière.

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Pays-Bas: Terroriste présumé arrêté avec un véritable arsenal

Un Néerlandais de 30 ans a été interpellé mercredi à Rotterdam. Il est «soupçonné d'avoir préparé un crime terroriste».

La police a saisi une kalachnikov AK-47, deux chargeurs pleins, quatre boîtes de «pièces illégales de feu d'artifices», un tableau représentant un drapeau utilisé par le groupe Etat islamique (EI), des téléphones portables et la somme de 1600 euros en liquide, a annoncé vendredi le parquet national néerlandais dans un communiqué.

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Grande-Bretagne : des terroristes islamistes financés par les allocations ?

Des centaines de milliers de livres de prestations sociales britanniques pour le logement et la famille ont été utilisés pour financer le terrorisme ces dernières années, prétend un ex-responsable du gouvernement britannique de la surveillance.

«Plusieurs centaines de milliers de livres ont été utilisées pour financer le terrorisme d’une manière ou d’une autre», notamment pour des armes et le voyage de ceux qui rejoignent les rangs de l'Etat islamique, a confié au quotidien britannique The Times Lord Carlile, ancien superviseur officiel de la législation anti-terroriste. «Ce type d'activité frauduleuse a augmenté lors de la montée de Daesh», a-t-il ajouté.

Cette assertion apparait après avoir appris que deux hommes, le Belge Zakaria Boufassil et le Britannique Mohammed Ali Ahmed, auraient transmis de l'argent liquide provenant d'aides d'Etat au suspect des attaques à Bruxelles, Mohammed Abrini. En juillet 2015, dans un parc de Birmingham lors d’un rendez-vous secret, les deux hommes ont en effet donné 3 000 livres (plus de 3 500 euros) à Mohammed Abrini, connu comme «l’homme au chapeau», dont la silouhette avait été capturée par des caméras de vidéosurveillance de l’aéroport de Bruxelles, en mars dernier.

Cet argent issu des prestations sociales aété frauduleusement touché par Anouar Haddouchi, un autre Belge ayant combattu aux côtés de Daesh en Syrie pendant un an. Il avait fait une demande d'allocations sociales en Grande-Bretagne depuis 2009 bien qu’habitant la plupart de temps en Arabie saoudite.

Au total, près de 11 000 livres (13 000 euros) lui ont été versés, dont une partie après le départ de sa femme et lui-même en zone de guerre. Le Conseil municipal de Birmingham a déjà présenté ses excuses pour cette erreur, précisant que presque 6 000 livres (plus de 7 000 euros) ont été payés après le départ du couple.

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Un Chrétien d’Irak témoigne: « Les musulmans ne veulent pas des autres, ils veulent seulement que tout le monde soit musulman. »

Le texte complet, le son n'était pas de qualité (vidéo tirée de Twitter, d'un particulier qui a enregistré par hasard devant sa télévision):

Certains chrétiens ont été dénoncés à l'Etat islamique par leurs voisins musulmans.

De quoi briser toute perspective de vivre-ensemble. Même pour cet homme qui d'ordinaire prêche le pardon.

L'homme chrétien:

- Dans chaque homme musulman, il y a une graine de Daesh.Parce que les musulmans ne veulent pas des autres. Ils veulent seulement que tout le monde soit musulman. Et puis voilà. Sinon il faut les tuer. C'est difficile de vivre avec les musulmans. Et vous, vous ne croyez pas à ça?"

La journaliste:

- On essaie de croire qu'en mélangeant les cultures, en mélangeant les gens, on augmente la tolérance, le respect, des valeurs comme l'amour, la fraternité, la générosité. Et que c'est important les peuples entre eux et d'accueillir ceux qui sont en détresse.

- ça c'est bien mais les imams ne veulent pas les mélanges.

- Donc pour vous il n'y a pas d'espoir? Pour les chrétiens?

- Non

 

https://youtu.be/lxfbzJf5JvQ

 

A relire:

Allemagne: au moins 743 réfugiés chrétiens attaqués par des musulmans en 2016