Une bombe financière à retardement qui vient d’Afrique !

Les migrants économiques qui demandent l’asile à nos frontières obtiennent un libre accès à notre système social et notre système de soins, ce qui coûte très cher à la société. 78% de tous les bénéficiaires de l’aide sociale sont étrangers et près de la moitié d’entre eux viennent d’un pays africain. En raison de la non-intégration de ces gens sur le marché du travail (ou seulement après plusieurs génération), la politique d’asile de la Confédération coûte très chers aux contribuables.

J’étais parmi les premières personnes à mettre en garde, en 2014 déjà, contre les effets à retardement de cette « bombe financière » pour les communes. En ma qualité de responsable des affaires sociales à la commune d’Aarburg (AG), j’ai remarqué que de plus en plus de demandeurs d’asile en provenance d’Afrique (et plus particulièrement d’Erythrée) viennent en Suisse et restent durablement à l’aide sociale.

La Confédération, pourtant responsable de la politique d’asile et de l’accueil de ces personnes, ne les prend en charge que pendant 5 ou 7 ans ; passé ce délai, c’est la commune de résidence qui passe à la caisse. Pour ma commune, Aarburg, cette politique d’asile, ce sont 78% de bénéficiaires étrangers à l’aide sociale dont près de la moitié originaire d’Afrique !

L’asile s’est petit à petit transformé en une sorte de libre-circulation globale des personnes. Les migrants économiques arrivant en Suisse par ce biais n’ont même pas besoin de présenter un contrat de travail ; il leur suffit de dire « asile » à la frontière pour obtenir un accès illimité à nos assurances sociales et notre système de soin.

Aarburg n’est pas une exception, puisque les chiffres explosent aussi à l’échelle nationale, avec une augmentation de 130% des bénéficiaires africains en l’espace de 10 ans. Un quart des étrangers à l’aide sociale est d’origine africaine, alors que seulement 5% de la population résidante étrangère l’est.

Concrètement, cela signifie que le taux d’aide sociale chez les personnes originaires d’Afrique s’élève, selon le pays d’origine, à 80% ou plus.

 

Les contribuables suisses paient pour les familles nombreuses africaines

Cette charge financière pour les communes croît de façon constante. Chaque année, de nouveaux migrants viennent grossir la liste, ce alors que la Confédération s’en décharge financièrement.

88% des nouvelles demandes d’asile de personnes érythréennes ne proviennent plus de nouveaux migrants mais d’enfants nés en Suisse ou dans le cadre du regroupement familial.
Le taux de natalité des Érythréennes est 4x plus élevé que celui des Suissesses, entrainant non seulement des coûts plus élevés à charge de l’aide sociale mais aussi davantage de problèmes dans les écoles (un fait également constaté dans ma commune).
Tout cela bien entendu aux frais de la commune de résidence.

Le filet de sécurité social, initialement créé pour les Suisses dans le besoin, sert surtout aujourd’hui à repêcher des étrangers entre-temps installés. Conditionnés par une culture différente de la nôtre, nombre de ces étrangers fondent des familles nombreuses, aux frais des contribuables suisses.

Des générations à l’aide sociale

La Confédération a certes réagi, mais de loin pas comme l’UDC l’espérait. Tous les autres partis misent sur l’intégration en lieu et place d’une politique d’asile efficace et sélective. Des millions de francs d’argent public ont été consacré pour les questions supposées d’intégration, avec des objectifs très ambitieux.
Toutefois, les experts estiment que les Erythréens n’arriveront pas à s’intégrer sur le marché du travail suisse, même sur deux à trois générations. En clair, les jeunes Erythréens et leurs descendants coûteront encore très cher à l’aide sociale suisse, jusqu’à la retraite et même au-delà.

Face à ce constat, il est impératif de refondre complètement notre politique d’asile jusqu’ici généreuse et que nous cessions immédiatement d’accueillir des migrants économiques.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/editoriaux/une-bombe-financiere-a-retardement-qui-vient-dafrique/

Martina Bircher
UDC conseillère nationale (AG)

Allemagne: une bande d’enfants migrants de 12 à 14 ans agresse deux ados, les vole, les tabasse et les poignarde

Vendredi soir 18 juin, vers 21h45, deux jeunes de 15 et 16 ans ont été violemment battus, volés et poignardés par un bande de mineurs migrants à Essen.

Le gang a poursuivi deux garçons, leur a donné des coups de pied et les a volés, puis a retardé l'un d'eux et s'est enfui. Depuis, la police a encerclé les assaillants sans succès.

À à la gare d'Essen-Borbeck, en Allemagne, une bande d'enfants migrants de type africain se sont mis à harceler et pourchasser deux garçon de 15 et 16 ans. Le groupe de six à sept enfants a encerclé les jeunes en exigeant de l'argent, écrit V4NA.

Un porte-parole de la police a déclaré à propos de "l'incident" que bien que le gang ait reçu de l'argent des jeunes, ils ont continué à les suivre.

Craignant pour leur intégrité, le garçon de 16 ans a remis l'argent qui lui restait, espérant se débarrasser du groupe. Cependant, à l'entrée d'un immeuble, ils ont été rattrapés, encerclés de nouveau, le garçon de 15 ans a été poussé à terre puis roué de coups de pied par la bande, puis l'un des agresseurs a sorti un couteau et poignardé sa victime étendue au sol. Et lorsque le jeune de 16 ans s'est précipité au secours de son ami, il a été menacé d’un couteau, qui lui a été pointé au cou.

Avant de s'enfuir, le groupe a menacé les garçons de conséquences s’ils avisaient la police. Après cela, des passants ont aidé les jeunes et ont prévenu la police, qui n'a pas pu rattraper les agresseurs.

Les suspects sont décrit par la police d'une manière très "poétique":
"un groupe d' enfants,  âgés de 12 à 14 ans",  mesurant de 150 à 170 cm, ayant la peau foncée, des cheveux noirs bouclés (bouclés-bouclés? ou crépus?) et étaient tous vêtus de vêtements noirs.

Source https://vasarnap.hu/2021/06/27/migrans-gyermekekbol-allo-banda-rabolt-ki-fiatalokat

Source 2 (sous abonnement): https://v4na.com/hu/migrans-gyermekekb-l-allo-banda-rabolt-ki-fiatalokat-essneben

Traduction libre Albert Coroz

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Le Gauche allemande: Nous avons besoin de plus de réfugiés!

26 juin 2021 par Baron Bodissey

Le parti de gauche (Die Linke) en Allemagne est mécontent du rythme du « regroupement familial ». Il veut plus de migrants, et plus vite !

Merci à Hellequin GB pour la traduction anglaise de cet articlede Die Welt:

Environ 11 000 migrants attendent un rendez-vous pour un visa

Des milliers de personnes attendent des rendez-vous dans les missions diplomatiques allemandes. Actuellement, le nombre de visas approuvés pour le regroupement familial est bien au-dessous de la limite légale – la Gauche au Bundestag a vivement critiqué le gouvernement fédéral pour cela.

Selon un article de presse, près de 11 000 proches de migrants attendent un rendez-vous dans les missions diplomatiques allemandes à l'étranger pour un visa de regroupement familial.
Cela ressort de la réponse du gouvernement fédéral à une demande du groupe parlementaire de gauche au Bundestag, que les journaux du groupe de médias Funke ont reçue.
Selon cette source, fin mars, il y avait 10 974 demandes de rendez-vous pour un regroupement familial avec un réfugié admis dans ce pays avec une protection dite provisoire (en Suisse, c'est l'admission provisoire, le permis F) - par exemple dans les ambassades et les consulats au Liban, en Irak edu Nord et en Turquie.
Une admission provisoire ou limitée est accordée à toute personne qui risque de subir un préjudice grave dans son pays d'origine, par exemple la torture ou la guerre.
Par exemple, de nombreux réfugiés syriens de la guerre civile entrent dans cette catégorie.

Selon l'article de Funke, le nombre de visas mensuels pour le regroupement avec l'admission provisoire est encore bien en deçà de la limite de 1 000 personnes par mois fixée par la loi.
En janvier 2021, les missions diplomatiques allemandes ont délivré 264 visas pour le regroupement familial, en février 473, en mars 442 et en avril 363.
Dans le processus de demande, qui est complexe, l'Office fédéral de l'administration sert d'interface entre les autorités de l'immigration et les missions diplomatiques à l'étranger.
Avec la pandémie de covid et les restrictions qui concernent également le travail des consulats allemands, les chiffres avaient récemment considérablement diminué, mais ils étaient déjà inférieurs à la limite supérieure.
L'experte de l'Intérieur du groupe parlementaire de gauche au Bundestag, Ulla Jelpke, a vivement critiqué le gouvernement fédéral.

"Il est dommage qu'actuellement, seules quelques centaines de personnes ayant droit à la protection provisoire soient autorisées à rejoindre leur famille chaque mois - ce n'est même pas la moitié du quota déjà inconstitutionnel", a déclaré Jelpke aux journaux Funke.

Le traducteur de Gatesofvienna ajoute cette postface:

Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi les personnes bénéficiant de la protection reovisoire se voient accorder le droit au regroupement familial, et j'ai du mal à comprendre pourquoi la plus petite partie de la famille vivant en Allemagne ne rejoint pas la plus grande partie de sa famille dans son pays d'origine, puisqu'ils y vont déjà régulièrement lors de vacances payées par les contribuables.

Mais tout cela fait partie du « plus grand plan de génocide », je suppose. En effet, le gouvernement Merkelstani fournit une sorte d'aide à l'immigration avec ce visa, et cela au détriment de la population locale et des contribuables, et il accepte qu’encore plus de mèches soient allumées pour la poudrière sociale et que les déficits dans la construction de logements et la sécurité intérieure continuent à croître.

Je me demande pourquoi il n'y a pas eu de discussion sur l'impact CO₂ lors de l'adoption de ce scénario de "changement climatique politique"?
Au lieu d'expulser enfin les centaines de milliers de personnes obligées de quitter le pays, ils en reçoivent encore plus, gratuitement, et les bachibouzouks se multiplient de plus en plus.

Je suppose que le public ne saura jamais combien de membres de famille HOMMES en âge de combattre déménagent en réalité avec ce « visa », car ils ne semblent apparaître dans aucune des statistiques.
Je me demande pourquoi?

source: https://gatesofvienna.net/2021/06/we-need-more-refugees/#more-52220

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Et le problème avec les "inconnus" continue...

fk - 28.06.2021, 11:31

Un inconnu a apparemment attaqué au couteau et blessé deux personnes à Erfurt lundi matin. La police appelle à la prudence.

Lundi vers 6 heures du matin, un auteur inconnu a attaqué deux passants avec un couteau dans le quartier Muldenweg et Färberwaidweg à Erfurt puis s'est enfui à pied.

Les deux victimes, âgées de 45 et 68 ans, ont reçu des soins médicaux pour des coupures.
"Nous ne sommes actuellement pas en mesure de fournir des informations sur la gravité des blessures", a déclaré la porte-parole de la police Julia Neumann.

Les autorités recherchent actuellement l'auteur présumé avec un important contingent et un hélicoptère de la police est utilisé au-dessus de la ville.

source: https://www.thueringer-allgemeine.de/regionen/erfurt/messerangriff-erfurt-passanten-mit-messer-verletzt-hubschrauber-grossfahndung-id232646439.html

Genève: Il manque encore 800’000 francs pour la mise en place d’un restaurent offrant stages de cuisine et diplômes aux réfugiés

Genève: Cuisiner et déguster pour intégrer des réfugiés

David Ramseyer  - Les plats seront concoctés par des personnes ayant obtenu l’asile, qui visent in fine une certification fédérale. Depuis 2017, l’association Cuisine Lab a organisé une soixantaine d’événements gastronomiques, pour intégrer des réfugiés. [...]

... une attestation fédérale de formation professionnelle (AFP), un certificat fédéral de capacité (CFC) de cuisinier, [...]

Pour ouvrir le restaurant Agora [...] elle a besoin de 800’000 francs. [...]

[...] l’objectif n’est pas de faire de l’argent, mais de couvrir les frais de fonctionnement et le salaire des employés. [...]

 

 

« Plus de 700 requérants ont disparu dans la nature »

Ndlr: "La nature" se trouve autour du boulevard de Pérolles, derrière les Cropettes, devant l'église des Terreaux, ou à la gare d'Yverdon... Ces "disparus" vendent de la drogue dans nos rues en toute impunité, ils sont soignés, nourris, souvent logés, gratuitement, ils sont soutenus par des organisations subventionnées, des églises et des élus de gauche.

*****

(sme) Depuis l’ouverture du centre fédéral pour requérants d’asile de Chevrilles en avril 2018, sur 1470 personnes affectées, plus de la moitié sont parties sans laisser d’adresse. [...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/722-requerants-ont-disparu-dans-la-nature-980762773138

Cochem : un Somalien, demandeur d’asile, viole dès son arrivée en Allemagne

Un violeur expulsé - la Somalie ne voulait pas qu'il revienne

Cochem - Il est arrivé illégalement en Allemagne en tant que demandeur d'asile le 22 février 2014. Quelques jours plus tard seulement, il était derrière les barreaux pour viol.

Pendant longtemps, les autorités allemandes ont tenté en vain d'expulser Abdi Mohamed M. (23 ans) vers son pays d'origine, la Somalie. A présent, ça a enfin marché !

En réponse à une enquête du BILD, le district de Cochem-Zell a annoncé : "A présent, l'occasion se présente d'expulser ce demandeur d'asile vers son pays d'origine. Cela n'a été possible que dans le cadre d'un vol spécial avec un petit avion charter. L'avion a atterri ce matin en Somalie et l'individu en question y est également entré".

L'expulsion a été effectuée par la police fédérale. [...]

Le cas d'Abdi Mohamed M. avait suscité l'indignation. Extraits de son casier judiciaire :

Le Somalien (alors âgé de 17 ans) a violé une jeune fille de 16 ans le 3 mars 2014, quelques jours seulement après être entré illégalement dans le pays. Le même jour, il a agressé une autre femme (21 ans). Il a été condamné à six ans de prison pour le viol.

D'autres condamnations ont suivi, car il a continué à récidiver en prison : Actes exhibitionnistes, agressions sexuelles.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de


Rappels :

Propagande de l'ONU :

 

France : L’ONU condamne les actes antimusulmans mais pas les très nombreux attentats islamistes. « Nous souhaitons un bon Ramadan »

L’ONU juge l’initiative « anti-burqa » discriminatoire envers les musulmanes. Le Conseil fédéral se tait.

Imran Khan, Premier ministre pakistanais, critique l’islamophobie et Charlie Hebdo devant l’Assemblée générale de l’ONU

L’ONU défend “la liberté d’expression” des… casseurs antifas

L’ONU profite de ses stagiaires sans les rémunérer mais exige des milliards pour « l’aide humanitaire »

Genève. Procès de l’incendie mortel causé par un requérant d’asile algérien

Le Ministère public a bouclé lenquête sur lincendie du centre de requérants dasile des Tattes. Cette tragédie survenue dans la nuit du 16 au 17 novembre 2014 à Vernier avait provoqué la mort dun Érythréen de 29 ans. Quarante résidents avaient sauté par les fenêtres par crainte d’être brûlés ou asphyxiés.

(...)

Un pensionnaire algérien, B., serait à l’origine du sinistre « (...) Il na pas alerté les agents, ni na appelé les secours ou les pompiers. Il a sciemment décidé de quitter les lieux […], car il navait pas respecté les règles de sécurité au sein du foyer notamment linterdiction de fumer dans les chambres.»

(...)

TdG

Nos remerciements à Samantha Smith 

 

Autriche : des Antifa tentent d’empêcher l’expulsion de migrants criminels, dont des violeurs

Une cinquantaine de personnes ont bloqué une rue devant un centre de détention administrative, réclamant un "droit de rester" pour des migrants en cours d'expulsion, dont plusieurs condamnés pour viol, vol et autres crimes graves.

À Vienne, le 23 février dernier, des activistes ont tenté d'empêcher l'expulsion vers l'Afghanistan de plusieurs demandeurs d'asile déboutés, dont certains avaient été condamnés pour viol et autres crimes graves.

Jusqu'à 50 personnes, dont des membres du groupe d'extrême gauche "Antifa Autonomes Vienne", ont bloqué une rue et exigé un droit de rester pour les personnes en cours d'expulsion, selon le portail web autrichien Heute. D'énormes embouteillages se sont formés en direction du centre-ville de Vienne, obligeant la police à intervenir pour lever le blocus.

La plupart des manifestants sont alors partis sans résistance, mais certains s'étaient enchaînés au bâtiment. Deux d’entre eux s'étaient même enchaînés à la hauteur du deuxième étage.

Parmi les demandeurs d'asile déboutés figuraient plusieurs hommes ayant commis des crimes graves.

Sur les 37 personnes expulsées, 11 avaient déjà été condamnées pour un ou plusieurs crimes.

Ainsi, trois hommes ont été reconnus coupables de viol et tentative de viol. Il y avait également des crimes tels que la contrainte, les lésions corporelles, les menaces dangereuses, la séquestration, le vol avec ou sans violence, les dommages à la propriété, la résistance au pouvoir de l'État et les infractions sur les stupéfiants.

Les manifestations n'ont toutefois pas abouti. Les demandeurs d'asile déboutés ont été expulsés vers l'Afghanistan avec l'aide de l'organisation européenne de protection des frontières Frontex.

Les manifestations viennoises rappellent le cas d'un jeune Afghan entré illégalement dans le pays et qui devait être expulsé de Nuremberg en 2017.
Un groupe important, comprenant des Antifa, avait alors tenté d'empêcher son expulsion. Lors de son arrestation, l'Afghan avait menacé de revenir en Allemagne après un mois et de tuer des Allemands.

Dans le cas de Vienne également, l'un des expulsés a menacé de mort plusieurs personnes. Il a annoncé qu'il tuerait les autorités et les juges impliqués dans le rejet de sa demande d'asile.

En janvier, l'expulsion de trois familles vers la Géorgie et l'Arménie a provoqué un conflit au sein de la coalition gouvernementale autrichienne composée du Parti populaire autrichien et des Verts. Ces derniers ont condamné l'expulsion, tandis que le ministre de l'intérieur Karl Nehammer, du Parti populaire, l'a soutenue.

Sources:

Austria: Antifa demonstrators try to block deportation of migrant criminals, including rapists

Mega-Stau in Wien wegen Antifa-Demo vor der Polizei

Traduction Albert Coroz pour lesobservateurs.ch

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voir aussi:  https://lesobservateurs.ch/2021/04/06/autriche-la-viennoise-brulee-vive-par-son-ex-compagnon-egyptien-est-decedee/

Bavière : Violée par un réfugié d’Érythrée à deux reprises, une Allemande est abandonnée par l’administration de son propre pays

Daniela R., 27 ans, kinésithérapeute en formation, a été violée en août. Jusqu'à aujourd'hui, elle est sans abri, sans argent et sans perspectives d'avenir. Jusqu'à récemment, son assurance maladie ne voulait même pas payer son test VIH.

Munich - Daniela R. rencontre le jeune homme le 10 août au pont de l'Isar à Bad Tölz* autour d'une cigarette [NDLR : dans un autre article, le journaliste précise qu'il s'agit d'un réfugié d'Erythrée]. Elle l'accompagne à son appartement. Là, le jeune homme de 22 ans l'attaque, la maltraite, l'étrangle, la viole et la menace de mort. Secrètement, face à la crainte de la mort, Daniela R. écrit à ses colocataires. Ce sont des messages WhatsApp* désespérés auxquels personne ne répond. Le jeune homme de 22 ans la viole une seconde fois, puis s'endort. À un moment donné, Daniela R. ose composer le 911. Elle est secourue par la police.

Entre-temps, l'auteur du délit a été condamné*. Sept ans d'emprisonnement pour viol aggravé. Alors dossier clos ? Pour l'agresseur, peut-être. Pour la victime, la nuit du crime a marqué le début d'une lutte pour la survie qui se poursuit encore aujourd'hui.

Daniela R., cheveux blonds, yeux bleus, 27 ans, semble organisée et ordonnée. Seuls ses yeux qui rougissent de plus en plus et les traits doux de son visage, soudainement déformés par la douleur, laissent deviner le poids du traumatisme.

Violée, puis abandonnée par tout le monde

Non seulement parce qu'elle a été violée, mais aussi parce qu'elle a d'abord été victime et ensuite abandonnée par tout le monde. Daniela ne veut pas de pitié. Elle veut que son histoire soit entendue afin qu'une telle chose n'arrive à personne d'autre. Par exemple, le choc à la pharmacie, lorsque Daniela doit payer la pilule du lendemain et qu'elle craint de ne pas avoir assez d'argent sur son compte. 35 euros. Daniela vit de l'allocation chômage II et elle est complètement fauchée. Des secondes angoissantes. Puis ça lui revient. Elle vient de gagner son recours contre l'agence pour l'emploi. Il y a assez d'argent pour la pilule du lendemain. Juste assez. C'est la première fois que Daniela R. se sent complètement impuissante et très seule depuis que la police l'a secourue.

Le viol n'est pas une raison : l'assurance maladie ne veut pas prendre en charge le test de dépistage du VIH

Daniela et son gynécologue ne savent pas encore qu'elle doit également payer les frais de laboratoire pour tous les tests de dépistage des maladies sexuellement transmissibles, y compris le test VIH. Avec les coûts des séjours hospitaliers, cela représente 500 euros. Depuis, Daniela se bat pour être remboursée.

Violée - et deux jours plus tard SDF - Daniela devient une vagabonde

Le 13 août, ses colocataires mettent Daniela R. à la porte de son appartement de Tölz parce qu'ils ne veulent pas avoir affaire à la police. Daniela ne dispose pas d'un bail régulier. Deux jours après avoir été violée, Daniela devient une sans abri.

Depuis ce jour, Daniela ne vit plus dans un appartement à elle. Elle devient une vagabonde au milieu de la Haute Bavière. Et la peur l'habite toujours. La panique de devoir aller dans un endroit où elle vit sans protection avec des hommes étrangers. "J'avais incroyablement peur. Tout le temps." A l'époque, les seules personnes de confiance étaient les fonctionnaires de la police judiciaire de Weilheim. "Il n'y a que là que je me suis sentie en sécurité." Bien sûr, ils ne peuvent pas non plus l'aider à trouver un endroit où vivre. Elle n'était pas autorisée à dormir dans les cellules.

Un refuge pour femmes ? Daniela R. n'y a pas droit

Daniela R. appelle le service d'urgence pour les femmes. Là, on lui dit qu'elle n'a pas droit à une place dans un foyer pour femmes. Les places y sont réservées aux victimes de violences domestiques. Ce n'est pas le cas de Daniela.

Dans sa détresse, Daniela est admise dans une clinique. Là-bas, on lui dit qu'elle a besoin d'un soutien psychologique pour gérer le traumatisme. Mais les places sont entièrement réservées. Daniela reste dans le service normal pour les patients psychiatriques.

Accusations dans la clinique : "Ce n'est pas un refuge pour sans-abri", déclare une infirmière.

[...]

La clinique n'est pas un refuge pour sans-abri, lui dit une infirmière. De vrais patients auraient besoin de son lit. "Je me suis sentie comme une coupable à ce moment-là." Daniela emménage avec un ami. Il n'y a qu'une seule pièce, un seul lit, aucune intimité. Pourtant, pour la première fois, Daniela se sent en sécurité - et en même temps, elle sait qu'elle doit aller de l'avant.

L'organisation der Weisse Ring [NDLR : Association à but non lucratif qui aide les personnes ayant été victimes d'un crime.] la soutient depuis le début. Elle souhaite prendre en charge les frais de laboratoire et les frais médicaux. Daniela demande à l'agence pour l'emploi si elle est autorisée à accepter l'allocation ou si les vivres lui seront alors coupés. On lui répond qu'elle devrait le justifier dans une demande. Daniela écrit plusieurs pages. La demande est rejetée.

En fait, les bénéficiaires d'allocations de chômage sont autorisés à accepter des dons. C'est simplement que les travailleurs sociaux ne le savent pas toujours. (...) "Daniela R. a eu beaucoup de chance là-bas. Vous n'imaginez pas le nombre d'affaires de viols qui sont abandonnées." déclare Andrea Hölzel, membre de l'Anneau blanc, qui s'occupe de Daniela.

Six mois après le crime, l'assurance maladie paie

Entre-temps, plus de six mois après le crime, Daniela a reçu un contrat de location pour un appartement social. La caisse d'assurance maladie a également pris contact, après que Daniela a accumulé une longue correspondance avec elle, avec l'Association bavaroise des médecins de l'assurance maladie obligatoire et même avec l'Ordre des médecins bavarois. On lui a dit que les coûts seraient finalement couverts. Il s'agissait d'une "décision au cas par cas". Daniela a remboursé le don reçu de l'Anneau Blanc.

Alors au final, tout va bien ? Dossier clos ? Daniela hésite, regarde le ciel ensoleillé de Munich. "Je ne sais pas." La jeune femme de 27 ans apprend actuellement le métier de kinésithérapeute, mais un jour, elle devra avoir un contact physique étroit et quotidien avec des inconnus, "je ne sais pas si je le pourrai". Daniela est traumatisée. Il est difficile de dire si c'est à cause du crime de la mi-août ou de ses expériences des mois suivants.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Merkur.de (1) / Merkur.de (2)


Note : Depuis de nombreuses années, il est plus facile de vivre en tant que réfugié en Europe qu'en tant qu'Européen pauvre. Si un racisme systémique existe, il est dirigé contre les autochtones et ce sont nos propres gouvernements qui l'organisent, avec notre argent. Nos dirigeants nous imposent une immigration criminelle et patriarcale que nous ne voulons pas et nous abandonnent face à leurs violences sous couvert "d'enrichissement multiculturel" alors qu'ils connaissent la vérité.

Communautarisme, islam… Lorsque la Suisse accueille des cultures intolérantes au nom de la tradition humanitaire.

Isabella est Italo-Marocaine, Granit est Kosovar. Ils se confient sur leurs difficultés à s’épanouir et à envisager leur futur alors que certains proches s’opposent à leur union

(...)

Si, très vite, son copain Granit a été accepté au sein de sa famille, la situation a été bien différente pour la jeune fille. Elle doit encore faire face à l’hostilité de ses beaux-parents. Granit est d’origine kosovare et dans sa culture, la mixité a du mal à passer.

(...)

I: Il est clair que si j’avais été une Albanaise, la situation aurait été plus simple, puisqu’une Albanaise élevée dans cette même tradition n’aurait jamais «éloigné» Granit de sa famille et n’aurait pas accepté qu’il passe moins de temps avec ses proches. Heureusement que je suis musulmane, sinon, ça ne serait vraiment pas passé.

(...)

Le Temps


Article qui date d'août 2019 mais qui montre à quel point les semaines contre le racisme instituées par la Confédération et autres "cours d'éducation" sont une manipulation à l'encontre des Suisses.

Les autres ethnies ne sont ni pointées du doigt ni accusées de racisme mais elles ont tout loisir d'imposer chez nous leur mode de vie, leur communautarisme, leur religion alors qu'elles enfreignent nos lois (discrimination, racisme etc.).

 

Rappels :

Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

En 1999, Jean-Daniel Gerber, chef de l'Office fédéral des réfugiés affirmait "La Suisse la Suisse a un devoir de solidarité envers cette population kosovare"

L'Albanais Bashkim Iseni, délégué à l'intégration de la Ville de Lausanne, organise une Master Class «Contre le racisme et les discriminations» pour les élèves de 14 à 18 ans

Suisse. Cédric Wermuth, socialiste: « L’albanais et le serbo-croate devraient devenir des langues nationales. »

La socialiste Savary : «Le PS a des liens très forts avec les Albanophones»

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Swissinfo, financé par nos impôts, met de l’huile sur le feu : « Profilage racial, discriminations: en Suisse, un racisme structurel existe aussi »

Mireille Vallette : « Pour la Commission contre le racisme, ce sont toujours les Suisses qui sont coupables »

La Commission contre le racisme pleurniche : « Les médias stigmatisent les musulmans de Suisse »

La Commission contre le racisme veut davantage de cours contre la xénophobie dans les écoles suisses

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

Zurich : Une mosquée albanaise vendait un livre appelant au meurtre de ceux qui critiquent l’islam

 

Lausanne : Un Nigérian forçait des mineures nigérianes à se prostituer. Il a demandé l’asile politique à la France et vit du social.

Un père de famille nigérian est accusé d’avoir fait passer en Suisse des mineurs pour qu’elles s’y prostituent. Il est jugé lundi par le Tribunal correctionnel de Lausanne.

Il est prévenu de traite d’êtres humains qualifiée, de blanchiment d’argent et d’incitation à l’entrée et au séjour illégal. Rien que pour le premier de ces trois chefs d’accusation, cet homme domicilié avec sa femme à Nancy (F), où il a demandé l’asile politique et vit de l’aide sociale, encourt un minimum d’une année de prison ferme.

(...)

Battues et menacées de mort

(...)

24Heures.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini


Rappels :

Ada Marra : « La Suisse doit accueillir un nombre significatif de réfugié-e-s de Lesbos, et exiger la même chose des États membres de l’Union européenne. »

Hashim Thaçi, président du Kosovo, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Il avait été accueilli par la Suisse en tant que réfugié!

Rappel : Suisse. Les communautés religieuses exigent (!) davantage de protection pour les réfugiés

Suisse : Les enfants d’un réfugié qui vivent à l’étranger ont droit à l’AI

Réfugié en Suisse, un militaire du Liberia est accusé d’avoir mangé le cœur de sa victime

Neuchâtel : Au bénéfice du doute, un requérant d’asile libéré après avoir été accusé de viol. Il recevra 2’800 francs de dédommagement.

C’était la parole de l’un contre celle de l’autre et il n’y a pas de témoin. Un requérant d’asile camerounais poursuivi pour viol et acte sexuel avec une personne incapable de discernement a été acquitté lundi par le Tribunal du Littoral.

(...)

20min.ch

Les juristes du Comité de l’ONU contre la torture et du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes obtiennent l’annulation d’expulsions

Cenator: Installés depuis 2013 en Suisse, ces expulsés n'ont jamais été capables de s'assumer financièrement. Un travail d'occupation dans un atelier de vélos d'un centre pour réfugiés ou faire partie d'une équipe de foot, c'est juste un loisir.
Et ils n'ont pas honte de se plaindre et de s'accrocher après sept ans de vacances à nos frais!

D'autre part, "L’homme avait été politiquement très actif en Éthiopie puis depuis la Suisse", alors que les demandeurs d'asile et les réfugiés n'ont pas le droit de faire de la politique à l'étranger depuis la Suisse, car cela contrevient à la neutralité.
À présent, ils ont la possibilité de se battre pour leur pays sur place, nous leur avons rendu leur dignité.
Auparavant, ils ont vécu sur le dos des contribuables, qui croulent déjà sous le poids de ce genre de population à entretenir.

Leur pays est en crise? La Suisse aussi est en crise! Le monde entier est en crise! Notre pays surpeuplé n'en peut plus, les ONG qui vivent de ce commerce – et également du fruit de notre travail – devraient toutes être "débranchées".

Nous demandons aux journalistes du Courrier qui pondent ce genre d'articles à tire-larigot de publier pour une fois le bilan réel de ce que cette population nous coûte, y compris en frais judiciaires et administratifs.

Ce journal rouge flamboyant, jadis de tendance chrétienne, n'a gardé qu'une chose de sa tradition: les subventions.
Ras le bol de payer pour tous ces gauchistes !
Ras le bol de tous ce militantisme de nos médias subventionnés!

PS: Aujourd'hui, le Courrier est offert, en honneur à la journée de la femme. Il consacre toute une page aux photos cachées de la Guerre civile d'Espagne. Alors que la guerre civile qui se déroule actuellement en Occident est tue par ces mêmes milieux, qui déforment et escamotent le réel.

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«J’ai été traité comme un criminel»

Renvoyé de force en Ethiopie, Solomon témoigne de son arrestation et de ses inquiétudes à Addis-Abeba.

mercredi 3 mars 2021 Sophie Dupont

[...]

Image de l'article d'origine: Une manifestation contre les vols spéciaux de rapatriement des requérants d'asile s'est tenue le 24 février dernier sur la promenade de la Treille à Genève. Keystone

Renvois forcés

Renvoyé en Ethiopie par vol spécial le 27 janvier, Solomon Arkisso vit dans l’angoisse, chez sa mère. Il ne se sent pas en sécurité et s’inquiète pour sa santé. «J’avais des rendez-vous médicaux réguliers. Ici, ce n’est pas possible. Et je n’ose pas sortir de chez moi, les militaires sont partout en ville et surveillent les allées et venues», confie-t-il lors d’un entretien vidéo mené le 24 février.

L’homme d’une quarantaine d’année avait demandé l’asile politique dans notre pays en 2013. [...] Solomon Arkisso vivait avec sa sœur Rahel et sa nièce de 3 ans dans une chambre d’un foyer de l’Evam, à Yverdon. La famille venait d’avoir une bonne nouvelle: Rahel Arkisso obtenait un permis B, pour regroupement familial, le père de son enfant vivant en Suisse. Lui travaillait dans un atelier de réparation de vélo, programme d’occupation de l’Evam et jouait dans une équipe de foot à Morges. Malgré un plan de vol reçu en juin, il n’imaginait pas être arrêté pour un renvoi forcé. «Nous pensions qu’il allait recevoir des papiers et que nous allions enfin pouvoir être autonomes», témoigne Rahel Arkisso.

«La procédure s’est déroulée normalement»

[...]

«Au guichet, on m’a dit d’attendre dix minutes. Des policiers sont arrivés et m’ont menotté. Je n’ai pas compris ce qui m’arrivait, j’avais très peur. [...]

Le lendemain, il est à nouveau emmené à Lausanne, pour comparaître devant le Tribunal des mesures de contrainte et d’application des peines. «C’est seulement à ce moment que j’ai appris que j’allais être renvoyé», affirme-t-il. [...]

Grève de la faim

Samedi 23 janvier, Solomon Arkisso entame une grève de la faim, comme son compatriote Tahir Tilmo, qui doit faire partie du vol spécial. «J’avais tout essayé. C’était le dernier moyen de faire comprendre qu’il était impossible pour moi d’être renvoyé». La mobilisation contre le renvoi s’organise. Des associations, des amis et l’équipe de foot de Solomon Arkisso veillent toute la nuit du mardi 26 au mercredi 27 janvier devant la prison de Frambois. [...]

Rahel Arkisso participait la semaine dernière à une manifestation à Genève contre les renvois forcés. Un car affrété depuis Berne y a amené une cinquantaine d’Ethiopiens de toutes les régions de Suisse. «Nous avons manifesté pour nous tous. Nous vivons dans l’angoisse d’être renvoyés dans un pays en crise. Ici nous n’avons pas de papiers, nous ne pouvons ni travailler, ni étudier. Notre vie est sur pause», témoignait un manifestant venu de Zurich.

Deux renvois suspendus

Sur les sept personnes qui devaient être renvoyées le 27 janvier, deux ont bénéficié d’une suspension de leur expulsion, après un recours auprès du Comité contre la torture des Nations unies et du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes.

Les deux instances internationales ont demandé à la Suisse de surseoir le renvoi tant que les requêtes sont en cours d’examen. «De telles mesures sont prises si le comité les considère nécessaires pour éviter qu’un préjudice irréparable ne soit causé à la personne renvoyée», explique une juriste d’Asylex, l’ONG qui a rédigé les recours, qui garde l’anonymat. Les mesures ne sont pas motivées et la décision sur le fond peut prendre plusieurs années.

Dans ses recours, Asylex a fait valoir la situation spécifique de ses clients, le contexte de guerre civile en Ethiopie ainsi que des «conditions inhumaines» lors des vols spéciaux: entraves, utilisation de la violence pour forcer une personne à entrer dans l’avion.

Dans le premier cas, celui d’une femme célibataire, Asylex a fait recours auprès du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes. L’organisation a avancé qu’elle était particulièrement à risque de subir des violences sexuelles et liées au genre, les femmes étant plus exposées en situation de guerre. Détenue par le passé, la requérante d’asile déboutée est connue du gouvernement éthiopien.

Dans le deuxième cas, le recours a été déposé auprès du Comité contre la torture. L’homme avait été politiquement très actif en Ethiopie puis depuis la Suisse. «Le nombre de détenus politiques est plus nombreux depuis la guerre civile. Le risque est élevé pour nos clients. Selon des rapports d’Amnesty International, les violences et les arrestations pour des raisons politiques touchent tout le pays», relève la juriste. Pour Asylex, les mesures des deux comités de l’ONU sont un signal d’alarme, qui devrait convaincre le SEM de remettre en question tous les renvois en Ethiopie. SDT

Vaud interpelle le Conseil fédéral mais exécute le renvoi

Le Conseil d’Etat vaudois s’est adressé le 10 février au Conseil fédéral pour lui faire part de sa préoccupation à propos de la situation en Ethiopie. «Constatant que la Confédération considère que l’exécution des renvois à destination de l’Ethiopie est de manière générale possible, exigible et licite au regard du droit international et du droit suisse, il a demandé à connaître le point de vue précis du Conseil fédéral et les perspectives qu’il voit se dessiner sur cette question sensible», indique le chancelier Vincent Grandjean. Le canton de Vaud a pourtant procédé au renvoi de Solomon Arkisso.

Le malaise est palpable. Le Service de la population (Spop), du département du PLR Philippe Leuba, défend la position du Conseil fédéral: «La Suisse dispose d’un attaché migratoire relevant de l’ambassade de Suisse à Addis-Abeba. Ainsi, le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) est en mesure en tout temps d’apprécier la situation en Ethiopie et de déterminer si les conditions d’un renvoi sont remplies», souligne Stève Maucci, chef du Spop. L’Ethiopie accepte depuis peu le retour contraint de ses ressortissants. Canton et Confédération se renvoient la balle. Alors que le Spop rappelle que la décision d’un renvoi est fédérale, le SEM nous précise de son côté que les cantons sont responsables de l’exécution du renvoi.

Pour le SEM, les décisions de renvois prises suite aux mesures des comités des Nations unies ne sont pas de nature à remettre en question tous les renvois. «Tant le SEM que les comités des Nations unies prennent leur décision au cas par cas», indique Reto Kormann, porte-parole. Malgré le conflit en cours dans la région du Tigré, le SEM comme le Tribunal administratif fédéral jugent qu’il n’y a «pas de situation de violence générale en Ethiopie qui mettrait en danger l’ensemble des ressortissants du pays». Depuis novembre 2020, aucune personne de la région du Tigré n’a été renvoyée. SDT

Source: https://lecourrier.ch/2021/03/03/jai-ete-traite-comme-un-criminel/

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Bertrand Piccard
explorateur, médecin et leader d'opinion

« Nous vivons dans un monde où les inégalités, en plus d'être moralement inacceptables, deviennent aussi dangereuses pour la sécurité. C'est pourquoi j'admire le travail d'AsyLex. Cette équipe très motivée de jeunes bénévoles tente de rendre possible l'impossible – donner accès à une aide juridique gratuite aux personnes les plus défavorisées de notre société. »

Damien Cottier (dont nous avons récemment parlé ici)
conseiller national (PLR)

« Je trouve important de soutenir une association comme Asylex parce qu'elle vient en aide à des personnes en situation de grande fragilité qui ne connaissent pas le fonctionnement de nos institutions et qui se retrouvent démunis face à des enjeux complexes dans une langue et un environnement étranger. Asylex leur offre un appui utile pour mieux comprendre les enjeux d'une procédure complexe et potentiellement impressionnante. Il est important que la procédure d'asile permette de définir le plus objectivement possible qui sont les personnes qui ont droit à la protection internationale dans le sens de la Convention de Genève de 1951 sur les réfugiés. »

Lisa Mazzone
conseillère aux États (Les Verts)

« A l'arrivée du parcours migratoire, le système d'asile est un nouveau dédale, dans lequel il est essentiel de pouvoir se défendre en faisant valoir ses droits. AsyLex est un soutien précieux pour toutes les questions juridiques qui se trouvent sur cette route. »

Samira Marti
conseillère nationale (PS)

« 80 millions de personnes dans le monde sont aujourd'hui des réfugiés et à la recherche d'une protection. Ceux qui ont trouvé le chemin de la Suisse sont confrontés au prochain défi : le système d'asile suisse. Les conseils et l'assistance juridiques qu'Asylex offre gratuitement aux personnes concernées par la procédure d'asile sont donc extrêmement précieux et dignes d'être soutenus. »

Martin Landolt
conseiller national, président du PBD

« AsyLex représente les valeurs de la Suisse humanitaire. Je considère digne d'être soutenu le fait qu'ils effectuent un travail aussi qualifié avec l'aide de plus de 50 bénévoles dévoués - je souhaite à l'équipe de continuer à faire preuve de courage ! »

Source: https://www.asylex.ch/?about

Uelzen (All.) : Une adolescente violée par deux réfugiés syriens qu’elle avait aidés. Ils sont condamnés à du sursis.

L'adolescente a aidé les deux jeunes hommes à s'intégrer, leur a même donné des cours d'allemand. Puis ils ont violé l'écolière de 15 ans.

Quatre ans après le crime, Annika R. (nom modifié, maintenant âgée de 19 ans) de Hanovre a fait face à ses bourreaux. Le tribunal de district de Uelzen a maintenant déclaré Mohamad T. (24 ans) et Schadi A. (24 ans) coupables.

En été 2016, la fille d'une aide aux réfugiés avait visité le logement des Syriens dans le district de Lüchow-Dannenberg. Au début, ils ont bu du thé dans la pièce, puis l'ambiance a basculé. Selon l'acte d'accusation, Mohamad T. a soudainement tenu les bras de la jeune fille pendant que son complice la déshabillait et la violait.

Après l'agression sexuelle, le duo a menacé : "Si tu dis quoi que ce soit, nous tuerons toute ta famille."

Ce n'est qu'un an plus tard, alors que l'un des agresseurs devait s'installer dans sa maison, qu'elle a rompu le silence.

Lors du procès devant le tribunal pour mineurs (les accusés étant adolescents au moment du crime) le duo, jusqu'alors impuni, a nié le crime. Verdict : deux ans de prison avec sursis pour Schadi A., 18 mois pour son complice, plus une amende de 500 euros chacun.

Björn Nordmann, avocat de la victime : "Il est important pour mon client que le tribunal l'ait cru. Les quatre dernières années ont été difficiles pour elle".

Les avocats de la défense des deux hommes ont fait appel du verdict.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Lohmar (All.) : « Ils ont eu du plaisir à tuer ». 2 requérants d’asile marocains condamnés pour meurtre par torture

  • Deux hommes sont accusés d'avoir torturé et assassiné un homme de 45 ans pendant des heures.
  • Un accusé a été condamné à la réclusion à perpétuité. Le deuxième homme a été condamné à 11 ans de prison.
  • "Les deux personnes ont eu du plaisir à tuer", stipule le verdict.

Lors du procès d'un meurtre par torture dans un foyer de réfugiés à Lohmar (district de Rhein-Sieg), le tribunal de district de Bonn a condamné un prévenu à la réclusion à perpétuité. Un complice a été condamné à onze ans d'emprisonnement - en raison de sa consommation massive de drogues et d'alcool, il a été considéré comme ayant une capacité diminuée au moment du crime. Lundi, les deux accusés ont été reconnus coupables de meurtre cruel.

Les deux Marocains de 28 et 29 ans avaient ligoté et maltraité un homme de 45 ans dans sa chambre du logement municipal de Lohmar pendant plusieurs heures en juillet 2020. Entre autres, ils ont frappé le crâne de la victime plus de 20 fois avec un pied de table. Son visage a été complètement défiguré. L'autopsie a révélé 200 blessures cutanées sur tout le corps.

Un fonctionnaire a décrit sa première impression sur les lieux du crime avec ces mots: "C'était de la torture." Tout était couvert de sang. Au cours du procès, les accusés se sont largement appuyés sur les lacunes de leur mémoire.

(...)

Le président de la chambre a également déclaré que la frustration ne pouvait pas non plus être exclue. Les prévenus avaient précédemment appris que leur demande d'asile avait été rejetée. Puis ils ont rencontré la future victime. Ils ont bu et pris de la drogue pendant deux jours jusqu'à ce que "quelque chose se passe terriblement mal".

Après le verdict, les deux avocats de la défense ont déclaré qu'ils feraient appel.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Rnd.de

L’asile ou le coma! Le « syndrome de résignation » n’est observé quasiment qu’en Suède

Pourquoi de jeunes migrants tombent-ils dans un profond coma?
Le documentaire "Réveil sur Mars" de la Genevoise Dea Gjinovci, présenté en début d'année aux Journées de Soleure, met en lumière le "syndrome de résignation": en Suède, il arrive régulièrement que de jeunes migrantes et migrants tombent dans un profond coma.
Le Point J  (RTS) a voulu en savoir plus sur cette énigme médicale.

"Réveil sur Mars" raconte l'histoire de deux fillettes kosovares touchées par ce syndrome à l'annonce du rejet de la demande d'asile de leurs parents en Suède et restées dans un état de profonde apathie pendant plusieurs années. Plusieurs centaines de cas ont été observés au cours des années.

>> Lire aussi: "Réveil sur Mars", un documentaire fascinant sur une énigme médicale

Le syndrome de résignation "est une maladie reconnue par la Haute autorité de santé en Suède depuis 2014. Les premiers cas observés dateraient de 1958, avec une explosion de ce syndrome dans les années 2000. Pourtant, il n'est pas reconnu dans les grandes classifications internationales des maladies ou de diagnostics des troubles mentaux", détaille Sydney Gaultier, psychologue associé à l'unité transculturelle du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent au CHUV.

Un syndrome, c'est une forme de constellation de symptômes. L'ensemble de ces symptômes sont déjà connus par la psychiatrie. On les rencontre déjà dans des situations liées à l'asile, mais pas que.

Sydney Gaultier, psychologue associé à l'unité transculturelle du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent au CHUV

Sydney Gaultier ajoute qu'on "ne trouve pas d'unité explicative" qui expliquerait ce syndrome. "Le seul point commun de tous ces enfants est qu'ils relèvent de l'asile. Ce qui interroge peut-être aussi les conditions d'asile". [...]

Mais pourquoi le "syndrome de résignation" n'est-il observé quasiment qu'en Suède? Des phénomènes similaires ont-ils lieu en Suisse?

Ecouter l'épisode complet: https://www.rts.ch/info/sciences-tech/medecine/12010650-podcast-pourquoi-de-jeunes-migrants-tombentils-dans-un-profond-coma.html

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Wikipedia

[...] L'enfant atteint est totalement immobile, passif, et sans tonus musculaire. Il n'est capable ni de boire ni de manger, et il présente de l'incontinence4. Il n'est ni réactif aux stimuli physiques extérieurs ni à la douleur4,3. Cet état est comparé à la réaction de freezing de certains animaux exposés à un danger, qui font le mort3. Dans ce syndrome, trois des douze critères de catatonie sont remplis : absence d'activité psychomotrice et absence de réactivité à l'environnement, mutisme, et absence de réponse aux stimuli extérieurs3.

Ce syndrome ne peut pas être simulé. Il peut durer jusqu'à trois années5. [...]

article complet: https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_de_r%C3%A9signation

 

Zurich : Une Suissesse blessée à coups de couteau. Un demandeur d’asile débouté arrêté.

Vers 15h30, une femme a signalé à la police cantonale de Zurich qu'elle venait d'être attaquée sur une route de campagne à Otelfingen par un homme qu'elle ne connaissait pas et qu'elle avait été poignardée.

La Suissesse de 38 ans a subi des blessures non précisées et elle a été transportée à l'hôpital en ambulance.

Les opérations de recherche effectuées immédiatement ont conduit à l'arrestation d'un suspect peu de temps après. Il s'agit d'un demandeur d'asile de 22 ans, originaire d'Érythrée, dont la demande avait été rejetée. L'auteur présumé de l'infraction a été emmené dans un commissariat de police pour une enquête plus approfondie. (...)

Outre la police cantonale zurichoise, la police municipale de  Limmattal a participé à la chasse à l'homme. Les forces d'intervention ont été soutenues par l'hélicoptère de la police.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nau.ch

Fribourg : Multirécidiviste et à l’aide sociale, l’Erythréen sera expulsé

Arrivé en Suisse à l’âge de 11 ans, un Erythréen de 22 ans, qui a multiplié les actes délictueux et parfois violents va devoir quitter le pays.

(...)

L’an dernier, les juges sarinois l’avaient reconnu coupable d’une multitude de délits, dont une tentative de lésions corporelles graves et un brigandage, passibles d’une expulsion obligatoire selon le Code pénal. Sans emploi et soutenu par le service social, le jeune récidiviste n’a pas daigné se présenter à l’audience, mercredi.

(...)

20Min.ch

Terrorisme : le «cerveau» présumé de l’EI jugé. Il était arrivé en Allemagne en tant que demandeur d’asile

Il est présenté comme le «cerveau» du groupe État islamique en Allemagne: le prédicateur irakien «Abou Walaa» risque mercredi onze ans de prison pour avoir radicalisé des jeunes et dirigé un réseau djihadiste.

Le principal accusé était arrivé en Allemagne comme demandeur d’asile en 2001 et a été arrêté en novembre 2016 après une longue enquête du renseignement intérieur. Très prudent et discret, il était surnommé «le prédicateur sans visage», car ses prêches en ligne, très regardés dans la jihadosphère, ne le montraient jamais de face. 

(...)

24Heures.ch

Agression de Neuchâtel : le réfugié afghan aurait trouvé l’acide sur son lieu de travail

Cet Afghan, qui nie les faits, est l’unique suspect de cet assaut (...).

L’acide utilisé est particulièrement corrosif. En témoignent les spectaculaires éclaboussures blanches qui ont littéralement rongé le revêtement gris foncé du garage souterrain, ainsi que les marches d’escalier en béton longeant la rampe d’accès. (...)

(...)

TdG


Rappels :

Neuchâtel : Agression à l’acide par un Afghan. Il s’agit de l’ex-petit ami de la victime. Il avait déjà été condamné en tant que mineur puis en tant que majeur.

Berne offre 26 millions à l’Afghanistan, pays anti-chrétiens

Ada Marra : « La Suisse doit accueillir un nombre significatif de réfugié-e-s de Lesbos, et exiger la même chose des États membres de l’Union européenne. »

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

Le président du Kosovo Hashim Thaçi, inculpé pour crimes de guerre, démissionne. Il avait été accueilli en Suisse en tant que réfugié!

Suisse. Les communautés religieuses exigent (!) davantage de protection pour les réfugiés

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