Divagations europhiles et internationalistes de nos médias.

Un de nos lecteur nous propose dans la série : «il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir», la suite des divagations europhiles et internationalistes de nos médias.

Le journal de 7 heures de la 1ère continue sur sa lancée de petit catéchisme pour européistes.  Et encore ce mardi matin 5 janvier sur les ondes -négatives- de la radio socialiste romande. Lors de l'interview d'Yves Bertoncini - directeur de l'institut Jacques Delors, c’est dire s'il en croque! - nos sempiternels donneurs de leçons en ont remis une couche. La solidarité fonctionne à plein régime entre parasites subventionnés.
Bref, entre les regrets sur Schengen, «pas mort» paraît-il (on n'a pas les mêmes lectures…) et les frontières fermées entre Autriche, Allemagne, Danemark et Suède, ces dignes représentants de la confrérie des lécheurs d’anus en profitent pour remettre une couche anti-UDC dans l'optique de la votation du 28 février prochain sur la fameuse initiative de mise en œuvre.
Pour résumer, nos 2 complices s’amusent que le nombre de naturalisations ait augmenté, comme quoi la crainte de cette initiative pousse(rait) les étrangers à demander leur naturalisation. Hi, hi. hi, l'UDC qui est contre les étrangers est directement la cause de cette augmentation, comme c'est drôle!

C’est marrant, parce que j’ai un bon copain, né de parents français, qui a effectivement demandé sa naturalisation en 2015. Les bobos de la RSR devrait l'interviewer, ils seraient surpris. Parce que si cet ami - indépendant, parfaitement intégré, en Suisse depuis sa naissance il y a plus de 40 ans - a enfin demandé sa naturalisation, ce n'est pas par peur de l'initiative, bien au contraire. Jusqu'à présent, il craignait les formalités et les complications, n’avait pas envie de se coltiner le «long parcours du combattant» (sic) d'une naturalisation, les leçons d’histoire, etc. Ce qui est risible lorsqu'on sait qu'il a fait toute sa scolarité en Suisse! Bref, convaincu par ses amis que ce ne serait qu'une formalité - justement -, il s'y est enfin attelé.
Et s'il l'a fait, c’est peut-être par peur, d'une certaine manière. Peur de ce que la France est devenue. Peur de la Socialie et du bordel ambiant. Peur de la délinquance et des zones de non-droit. Peur de devoir rendre des comptes à des fonctionnaires fouineurs, peur d’une fiscalité délirante. Peur de l'état d’urgence et de la dictature pro-européene. Peur d’une immigration incontrôlée et de de la mort des démocraties.

Mon ami a reçu son passeport et pourra bientôt aller voter. Certainement UDC.

Jeferson, janvier 2016