Suisse : La violence des jeunes a augmenté. Le Blick interviewe un jeune Albanais.

Un jeune de l'agglomération zurichoise avait traité les garçons de l'autre ville de "mauviettes", puis les coups ont volé. "Juste un contre un", dit Danjel. Jusqu'à ce qu'un des gars sorte un revolver et le pointe sur lui et les autres.

Danjel, tu as dû avoir peur.

Danjel : Je n'avais pas peur. Quand tu sors une arme, tu dois tirer. Que ce soit dans les airs, sur le sol ou sur les autres. Sinon, je n'ai aucun respect pour toi.

Pourquoi?

Cela, je l'ai appris dans ma culture albanaise.

Pourquoi a-t-il sorti une arme ?
Parce que c'est une mauviette. Puis il a laissé tomber ses munitions aussi, il a dû les chercher sur le sol. Sorry, mais tu n'est pas assez mature pour avoir une arme avec toi. Après quoi, il s'est vite barré.

Et c'est tout?

Non. J'ai pris une arme, aussi, et j'ai fait le tour de sa ville le jour suivant, le cherchant partout. Jusqu'à ce qu'il m'envoie un texto, "Hey, on peut oublier ça, j'ai peur de quitter la maison."

Tu aurais détruit ton avenir et ta famille.

Oui, mais je l'aurais fait, je l'aurais pris avec.

Mais pourquoi ?

Pourquoi ? Pour ma fierté.

Danjel ne veut pas dire d'où il a eu l'arme. La police n'a pas été impliquée. Ses copains confirment l'incident, ils étaient là aussi.

(Traduction libre Christian Hofer pour LesObservateurs.ch)

Blick.ch


Rappel :

Fedpol milite pour le durcissement de la loi sur les armes (loi qui ne vise que les citoyens honnêtes)

Les Albanais sont interdits de possession d'armes en Suisse

Des soldats suisses d’origine albanaise chantent l’hymne de la Grande Albanie. L’armée s’en fiche.

Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

Suisse: Des soldats d’origine albanaise photographiés avec l’écusson albanais

Des soldats suisses posent avec un drapeau albanais

Suisse: Lorsque notre administration accueillait les criminels de l’UCK en tant que réfugiés.

Le président du Kosovo fier de l’intégration des Kosovars en Suisse

La socialiste Savary : «Le PS a des liens très forts avec les Albanophones»

Des soldats suisses prêts à servir l'armée kosovare

 

 

Renens (Vaud) : « Ils étaient plusieurs à le frapper »

Une bagarre a opposé des collégiens mercredi vers midi. Selon un témoin, un ado a été pris à partie par un groupe. Bilan: quatre interpellations et un blessé léger.

(...)

20Min.ch


Rappels :

Vaud. Renens : «Un cocktail Molotov a été lancé sur l’école primaire»

Renens capitale multiculturelle

Vaud. Renens: La racaille impose sa loi. « La police a dû se retrancher dans le Coop Pronto. »

Lausanne-Renens : Un élu socialiste d’origine kurde jugé pour captation de suffrages

Renens : braquage au Coop Pronto par deux individus de type nord-africain.

Renens: La première femme voilée à faire l’armée sous enquête disciplinaire

Lorsque la RTS faisait la promotion du multiculturalisme à Renens à l'aide de politiciens socialistes en humiliant les Suisses qui y étaient opposés

Genève – Jeunes agressés à coups de barres de fer par une bande rivale

Cenator: Deux bandes rivales, l’une armée de pizzas, l’autre de barres de fer et de béquilles… vingt contre dix, on devine qui sont les petits babtous dans cette histoire.

***

Deux adolescents ont été blessés samedi après une attaque surprise dispersée par la police. Une enquête est en cours pour lésions corporelles graves.

«Mon fils de 16 ans mangeait une pizza avec un ami quand ils ont été interpellés par une bande de jeunes qui leur ont demandé de quel quartier ils venaient, raconte une maman. Ils ont répondu ‘Avanchets’ et là, il y a eu un déchaînement de violence. Les deux ont fini à l’hôpital, mon fils avec une plaie de 20 cm sur le crâne et son camarade avec une main brisée.»

Samedi soir, sur le coup des 21h45, les forces de l’ordre confirment être intervenues non loin du carrefour du Bouchet et du centre commercial de Balexert. «Une dizaine de jeunes qui mangeaient dans un parc ont été approchés par une vingtaine d’adolescents venant d’un autre quartier et roués de coups à l'aide de barres de fer et de béquilles»

[...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/jeunes-agresses-a-coups-de-barres-de-fer-par-une-bande-rivale-917572010145

Genève : De violentes bandes de jeunes, majoritairement issus d’Afrique du nord, effraient les habitants

Le secteur, en particulier le parc des Cropettes, est depuis plusieurs mois le théâtre de violences perpétrées par des groupes de jeunes en errance, majoritairement issus d’Afrique du nord, certains semblant être des mineurs non accompagnés (MNA).

Ainsi que le rapportent «Le Courrier» et la «Tribune de Genève», lassées et effrayées par la récurrence des bagarres et des épisodes de vol, de deal et de racket, trois associations (les parents d’élèves des Cropettes et de Beaulieu, les habitants de l’Ilôt 13 et les riverains de la place des Grottes) ont adressé en début de semaine une lettre ouverte au Conseil d’Etat et au Conseil administratif de la Ville.

[...]

20min.ch


Rappels :

Genève : les migrants mineurs non accompagnés exigent que la Suisse les prenne en charge financièrement jusqu’à 25 ans

Le Haut Commissariat pour les réfugiés veut que la Suisse accueille "mieux" les mineurs non accompagnés

Amnesty International demande encore que la Suisse prenne en charge des migrants

Une juge belge recadre un mari violent qui revendiquait ses origines turques pour expliquer sa violence à l’égard de sa femme

Une juge belge recadre un mari violent qui revendiquait ses origines turques pour expliquer sa violence à l'égard de sa femme

 

Hausse continue de la violence en France : ce débat qui n’existe pas

Publié par H16 le 10 février 2020

Parfois, l’actualité commande de traiter de la rubrique faits divers. Bien sûr, s’il apparaît hardi pour ne pas dire scabreux de tirer des conclusions générales de ces faits divers consternants, l’observation attentive de certains non-dits, du vocabulaire employé ou de l’angle choisi pour traiter certains d’entre eux fournit en revanche quelques clés pour comprendre un certain état d’esprit qui s’est installé dans le pays…

En effet, lorsqu’on prend la peine de revenir sur certains faits divers qui ne sont, finalement, abordés que par cette presse de proximité, et qu’on essaye de déterminer si les faits relatés relèvent d’un malheureux concours de circonstance, d’un drame tragique parmi tant d’autres, sans liens, ou s’il s’agit plutôt d’une tendance globale, on se heurte souvent à l’impossibilité de tirer des conclusions définitives.

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Certains journalistes ont tenté cette approche. Le dernier en date, Laurent Obertone, dont j’avais fait la recension du livre Orange Mécanique ici, a précisément construit son tableau sur la base de ces faits divers et aboutit à la conclusion d’une France de plus en plus violente, en proie croissante à des problèmes de gestion de ses populations les plus espiègles dans ses débordements, avec d’un côté un délitement de l’autorité (tant côté des forces de l’ordre que de la justice et de l’application des peines) et de l’autre, un abandon choisi de ces sujets pourtant quotidiens par la presse nationale et par les élites politiques.

Le constat de l’époque avait évidemment choqué et provoqué un tollé de réactions, globalement négatives, dans cette presse et chez ces politiciens. Pourtant, le constat reste : la montée de la délinquance, de la criminalité et de la violence ne semble intéresser la presse que de façon très épisodique. [...]

article complet:

Suisse : le Syrien qui avait brisé la mâchoire de sa professeure bénéficie de cours de boxe. Près de 8’000 francs par mois à la charge des contribuables. [MàJ]

Nous parlions déjà de cette agression ici.


Mise à jour 27 janvier 2020

Le Blick a modifié son article en conséquence. Visiblement, le décompte du journal était inexact. Le montant est désormais de 8'000 francs suisses par mois.

 

Ancienne version :

 

Nouvelle version :

Aperçu de l’image

 

Blick.ch

 


En juin dernier, le jeune Syrien (âgé 14 ans) avait brisé la mâchoire de son institutrice. A présent, il bénéficie d'un encadrement spécial avec entrainement à la boxe afin de réduire son agressivité. Montant des coûts : près de 8'000 francs par mois. A cela s'ajoutent les frais scolaires d’un montant similaire.

En juin dernier, un Syrien, alors âgé de 14 ans, a agressé son institutrice à Möriken-Wildegg (Argovie) en lui assénant un coup de poing. Le coup était si violent qu'il lui a cassé la mâchoire.

Au départ, l'élève agressif n'a pas pu trouver de place dans une classe. Après une courte période de détention provisoire, un encadrement spécial a été mis en place pour l'élève à problèmes - pour environ 8 000 francs par mois, comme le rapporte le journal "Schweiz am Wochenende".

L'adolescent agressif a été intégré dans la structure de jour pour jeunes Türöffner "Work and Box" à Möriken-Wildegg. En plus des cours, il y bénéfice d'un entrainement à la boxe, ce qui suscite aujourd'hui de vives critiques.

L'experte en post-éducation Sefika Garibovic affirme dans le journal "Schweiz am Wochenende" qu'avec la boxe, les jeunes prédisposés à la violence sont uniquement formés pour commettre de futurs passages à tabac.

[...]

Coûts mensuels : un peu moins de 16 000 francs

La famille vit en Suisse depuis cinq ans et ne parle apparemment pas encore allemand. Doris Iten (58 ans) membre de l'UDC et du Grand Conseil d'Argovie a voulu savoir si les parents participaient à un programme d'intégration et comment ils seraient tenus responsables. Selon le rapport, les parents ont suivi des cours d'allemand obligatoires. Le conseil d'Etat reste muet concernant leurs compétences en langue allemande.

L'encadrement spécial de l'atelier pour jeunes Türöffner coûte 7'918 francs par mois. En outre, selon le journal "Schweiz am Wochenende", 200 francs par jour sont nécessaires pour la structure quotidienne ainsi que pour la nourriture (15 francs par jour), les cours scolaires (750 francs par semaine) et un entraînement mental pour le contrôle de l'agressivité (142 francs par semaine). Au total, cela représente près de 16'000 francs par mois.

À cela s’ajoutent des coûts estimés à 15'000 francs concernant une expertise psychiatrique médico-légale à Zurich. Ce rapport doit servir de base aux décisions prises dans le cadre des procédures pénales pour mineurs concernant le lieu où le mineur ira à l'école à l'avenir.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à Patrick Payerpacher et à Daniel Brand

 

En France, 92 % de la violence gratuite des jeunes provient de l’immigration

14 janvier 2020 - par

Le 29 décembre vers 6 heures du matin, deux jeunes hommes ont été roués de coups à Poitiers, victimes du « péage à coups », ce droit de tabassage que s’octroient les bandes qui ensauvagent nos rues. Le principe est simple : « Si vous voulez passez, il va falloir prendre des coups ». Les deux victimes ne connaissaient pas le groupe qui les a interpellées. Et ce fut le massacre. Pas de vol, pas de menaces, seulement des coups.

C’est le principe de la violence gratuite que pratiquent toutes les 44 secondes, dans nos villes et nos campagnes, des bandes essentiellement maghrébines et subsahariennes.

Ce n’est pas moi qui le dis, mais le professeur Maurice Berger, pédopsychiatre et psychanalyse renommé, auteur de Sur la violence gratuite en France (Éditions de L’Artilleur).

https://www.youtube.com/watch?time_continue=17&v=vb7eeaurSAI&feature=emb_logo

Interrogé sur les ondes de Sud Radio par Valérie Anglade-Expert, le professeur Berger côtoie ces acteurs de la violence gratuite dans les CER (Centre éducatif renforcé). Il décrit une faune où les Français de souche ne sont que 8 %.

À la journaliste, inquiète d’une telle précision – Horreur, Maurice Berger aurait-il fait des statistiques ethniques ? – il lui rétorque que médecin, il fait de l’épidémiologie.

Comment analyser l’attitude de ces fauves humains ?
Rien à voir avec les explications habituelles des politicards, précise le professeur. Il ne faut pas chercher d’excuses dans la ghettoïsation, la précarité, le chômage pour expliquer les coups de plus en plus forts assénés par ces adolescents qui n’en sont pas vraiment.

Même si le professeur ne peut s’empêcher de découvrir des causes sociétales aux prédateurs (spectateurs de violences conjugales dès leurs premières années, manque d’empathie parce victimes de violence sournoise – manque d’amour parental), de minimiser leur nombre (« Ce n’est qu’une minorité »), il tisse clairement le lien entre migration et violence gratuite. Le tabassage sans raison provient d’enfants issus de la culture arabo-musulmane du continent sauvage.

Manque total d’empathie, sans pensée personnelle – ils n’ont que celle de la meute (si on peut nommer cela une pensée), peu ou pas sanctionnés par la justice (surtout pas de peine de prison alors que pour le professeur Berger, elle permettrait de changer la donne, de les faire réfléchir un peu au-delà de leur unique neurone), ces purs produits de l’immigration sont difficiles, voire impossibles à gérer.

Pour eux, la réalité est un jeu où règne la loi du plus fort. Tendre une embuscade aux forces de l’ordre, caillasser les pompiers, brûler des voitures, pour le pédopsychiatre, ce n’est pas une révolte contre l’uniforme ou la société de consommation, mais des jeux de fous dangereux.
Détruire. C’est leur plaisir. Leur grand, leur immense plaisir.

Dans cette destruction, il y a celle des victimes dont personne ne veut entendre parler. Certaines ont des séquelles pour le reste de leurs jours. Un restant de vie démonétisée par les agresseurs, les politicards, les médias, les juges. « On a six mois avec sursis pour avoir frappé quelqu’un qui ne pourra plus jamais exercer son métier ou plus jamais marcher », jette Maurice Berger.
Les décérébrés de la violence gratuite disent n’en avoir rien à foutre.
« Pourquoi tu ne l’as pas tué ?  » a demandé Maurice Berger à un de ces monstres qui avait plongé dans le coma le passager d’un bus.
« Parce que mon copain m’a tiré en arrière par la capuche de mon sweat. »
Le médecin ne précise pas si la racaille en voulait à son copain de l’avoir privé de la fin de son jeu.

Aujourd’hui, il n’est plus nécessaire aux anthropologues de se rendre dans les forêts profondes pour rencontrer des tribus comme les Iks décrit par Colin Turnbull, une des peuplades les plus cruelles d’Afrique, elles sont au cœur de nos centres-villes.
Merci qui ?

Marcus Graven

source:

Bâle multiculturelle. Une grosse bagarre fait 4 blessés : 2 Algériens et 2 Kosovars

Quatre personnes ont été hospitalisées après avoir été poignardées lors d'une bagarre entre une vingtaine de personnes samedi soir.

[...]

Plusieurs protagonistes ont réussi à s'enfuir, mais la police a pu interpeller sept personnes âgées de 19 à 44 ans, dont les quatre blessés. Il s'agit de deux Kosovars, deux Algériens, d'un Macédonien, d'un Serbe et d'un Libyen.

20Minutes.ch

 

Rappels :

Pour l’UDC Guy Parmelin, les manifestations de Shaqiri et Xhaka sont simplement de l’émotion. « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »

Simonetta Sommaruga flashe sur un drapeau suisse confectionné avec des tissus du monde entier, symbole du multiculturalisme.

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Canton de Zurich : un Albanais tue sa femme « Il est devenu de plus en plus religieux et fanatique. »

Nos médias titrent « qu’un Suisse est suspecté de terrorisme » alors qu’il s’agit d’un naturalisé Bosniaque! Merci Sommaruga pour le multiculti!

 

Argovie : Un Syrien de 14 ans brise la mâchoire de son enseignante « Il aurait demandé aux filles de mieux s’habiller au nom d’Allah »

Le jeune de Möriken-Wildegg parlait beaucoup du Coran et demandait aux filles de s'habiller plus décemment dans la cour de récréation.

L'élève qui a frappé son institutrice à Möriken-Wildegg est un Syrien de 14 ans. D'après les recherches de la "Weltwoche", l'adolescent avait déjà attiré l'attention par le passé.

L'affaire a choqué : La semaine dernière, l'Aargauer Zeitung a publié qu'un élève de l'école Chestenberg de Möriken-Wildegg (Argovie) avait cassé la mâchoire de son enseignante avec un coup de poing. Elle avait voulu vérifier si l'élève syrien avait un couteau avec lui - comme il l'avait eu par le passé.

Aujourd'hui, Alex Baur, journaliste à la "Weltwoche", s'est également occupé de l'affaire. Selon ses recherches, "M." a 14 ans. Il provient d'une famille syrienne avec de nombreux enfants, qui est arrivée en Suisse il y a environ cinq ans et qui vit de l'aide sociale. Il parle bien l'allemand et est décrit comme "assez intelligent, sûr de lui et vif d'esprit".

Mais "M." parle souvent du Coran depuis quelque temps déjà. Il aurait demandé aux filles de l'école de s'habiller et de se comporter plus décemment "au nom d'Allah". Dans ce contexte, il aurait agité un couteau dans la cour de récréation de l'école. Ce qui l'a conduit, selon la "Weltwoche", a devoir vider ses poches à chaque fois avant d'être autorisé à entrer dans la classe.

https://www.youtube.com/watch?v=iZcz-cSo-Mc

 

Deux jours de détention

Au cours de l'un de ces inspectione, l'enseignante aurait été agressée. Elle n'a pas touché l'élève, mais elle lui a seulement demandé de lui montrer le contenu de ses sacs. L'adolescent l'a ensuite attaquée et, selon des témoins oculaires cités par l'auteur de la "Weltwoche", a frappé l'enseignante de 62 ans cinq ou six fois avec son poing et le tranchant de la main. Quand elle s'est enfuie, il l'aurait encore frappée. La mère de deux fils (adultes) était sur le point de prendre sa retraite. Comme la Weltwoche l'a appris de son entourage, elle est encore sous le choc.

Le Syrien a pu être arrêté peu après son agression. Après avoir passé deux jours en détention, le jeune se trouve en liberté. Le bureau du procureur de la jeunesse enquête. Il ne retournera pas à l'école du district de Chestenberg.

Selon la "Weltwoche", un de ses amis, également syrien, a été "expulsé de l'école il y a un an pour des raisons disciplinaires et envoyé dans un lieu spécial à l'extérieur du district scolaire de Chestenberg".

Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Aargauerzeitung.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Grums (Suède) : Un gang d’enfants migrants impose sa violence à la population locale

Menaces de viol, coups de matraque, jets de pierres. L'épreuve de l'année dernière pour les voisins d'un petit quartier de Grums, en Suède, se transforme de plus en plus en cauchemar. Un gang d'enfants composé de migrants âgés de 8 à 12 ans met le quartier dans une telle peur que les enfants suédois ne sortent plus pour jouer.

Les locataires d'une zone de la petite municipalité de Grums dans le Värmland, en Suède, ont trop peur de laisser sortir leurs enfants depuis qu'une bande de migrants âgés de 8 à 12 ans a commencé à harceler la région l'été dernier.

Kajsa et Malin, mères de familles, vivent dans le quartier. "Ils ont jeté des pierres, frappé des enfants avec des tuyaux d'acier et des bâtons jusqu'à ce qu'ils commencent à saigner. Le pire, c'est la prise d'étranglement qui a laissé des marques sur le cou de l'enfant. Mais il est également question de menaces sexuelles : "Je vais te baiser" ou "Je vais te violer", déclare Malin au journal suédois de l'Union des locataires, Hem och Hyra.

Le syndicat des locataires craint une recrudescence du racisme

Malin et Kajsa ont contacté l'Union suédoise locale des locataires de Grums pour obtenir de l'aide. Le syndicat des locataires a écrit une lettre à la police locale, aux services sociaux et à la société de logement Grumsbostäder, dans laquelle le syndicat demande que des mesures soient prises contre l'escalade de la situation. Dans sa lettre, le syndicat met l'accent sur la crainte d'une escalade du racisme et de la ségrégation.

"Ceux qui causent les problèmes et la violence sont les enfants des nouveaux arrivants. C'est pourquoi les voisins commencent à faire le lien entre les problèmes et les opinions xénophobes. A long terme, il en résultera un voisinage très séparé où les voisins parlent en termes de "nous et eux". Cela s'aggravera si l'on n'y met pas fin très rapidement", écrit l'Union dans sa lettre.

Aucun rapport de police

Personne n'a encore déposé de rapport de police, malgré la violence et la gravité de la situation, comme les ecchymoses sur le cou des enfants. Lors d'une récente rencontre entre les locataires, le syndicat et la police, certains locataires ont pensé qu'il serait impossible de signaler des enfants d'à peine huit ans et que la police rirait d'eux. Lennart Hynynen, policier local de Grums, est très troublé par ces incidents.

"Je n'ai pas encore tous les détails, mais d'après ce que j'ai entendu, c'est très troublant. Depuis toutes mes années en tant que policier, je n'ai jamais vu des jeunes menacer des gens comme ça et agir avec une violence aussi grave.

Crainte de représailles

La locataire Malin déclare que la situation est incontrôlable et que sa fille a de plus en plus peur de quitter l'appartement.

"L'une de mes filles pleure la nuit et veut qu'on aille dans notre caravane car elle a tellement peur. Et nous ne pouvons pas leur dire d'arrêter non plus, par peur de la vengeance. Ils mettront des ordures dans nos boîtes aux lettres ou ils attaqueront mes enfants encore davantage lorsque je ne suis pas là. En tant qu'adulte, se faire cracher au visage et se faire dire "je ne t'écoute pas parce que tu es une femme" et se faire traiter de mots que je n'utilise jamais, c'est extrêmement insultant. Cela peut paraître étrange pour quelqu'un qui ne l'a pas vécu, mais on perd tout quand un enfant vous fait de telles choses et que vous ne savez pas quoi faire", déclare Malin.

Les parents ne parlent pas suédois

Le problème a commencé il y a un an et s'est aggravé de façon incontrôlable au cours des derniers mois. Personne ne peut discuter avec les parents du gang d'enfants car ils ne parlent pas suédois. Un interprète est nécessaire à chaque contact, ce qui rend la communication plus difficile.

Le policier Lennart Hynynen confirme qu'il est tout à fait possible de signaler des enfants à la police et que les services sociaux doivent prendre en charge les cas de jeunes délinquants.

"De mon point de vue, les problèmes de ce genre viennent des parents et dans ce cas, je sais que ces parents ne parlent pas du tout suédois, donc nous ne pouvons pas vraiment dire si ces parents savent vraiment ce que font leurs enfants", précise Lennart Hynynen.

Hemhyra.seVoiceofeurope.com

Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

 

 

Quand les migrants agressent les Allemands, faut-il cacher l’info pour ne pas stigmatiser ?

Allemagne : Weimar – Au « marché aux oignons » du Weimar Volksfest, le plus populaire de Thuringe, lors d’un festival folklorique, une vingtaine de migrants illégaux ont agressé sexuellement une jeune femme de 20 ans et lui ont fait subir des attouchements sexuels.

Son ami, âgé de 26 ans, qui s’était porté à son secours, a été roué de coups, de même que les agents de sécurité qui intervenaient et qui ont été blessés légèrement.

Quatre suspects ont été appréhendés, trois syriens et un irakien, puis ont été libérés afin de ne pas attiser la haine contre les migrants.

Le ministre de l’Intérieur de Thuringe, Georg Maier (du parti SPD) a déclaré au quotidien Bild :

« Je prends cet incident très au sérieux. Si la suspicion est confirmée, cela aura des conséquences importantes pour les auteurs ».

A la condition bien sûr qu’on les retrouve, les auteurs, car ils sont probablement déjà bien loin !

Berlin – Après une récente agression, au cours de laquelle deux jeunes maghrébins ont attaqué et poursuivi, jusque sur la plate-forme du métro, dans le quartier de Neukolln, et roué de coups un transsexuel, les autorités de police dénoncent que les auteurs de ces agressions homophobes sont dans leur grande majorité commises par des migrants illégaux de religion musulmane.

Toujours selon la police, en 2017, 324 cas d’agressions homophobes avaient été signalés, mais que 90% de ces actes ne sont pas déclarés « parce que les victimes sont persuadées que la police ne ferait rien et ne recherche pas les auteurs ».

Depuis le début de 2018, une augmentation très importante de ces agressions homophobes est constatée.

Devant la gravité de la situation et la fragilité du gouvernement, les médias ont reçu des « consignes » afin d’éviter de stigmatiser l’immigration clandestine en dissimulant les identités et les origines des auteurs des faits divers quotidiens.

Manuel Gomez pour Dreuz.info.

Suisse : « Il faut plus de policiers pour combattre la violence. »

Christian Hofer : L'article fait évidemment l'impasse sur l'origine de cette criminalité et passe sous silence que le "terrorisme" provient de l'islam. Une manière de procéder typiquement de gauche après avoir ouvert nos frontières à n'importe qui.

Il ne faudrait surtout pas que les Suisses se posent les bonnes questions.

Et pendant que cette violence augmente, la Confédération va... désarmer les Suisses en retour. Ainsi seule la racaille restera armée. Tout va pour le mieux dans la tête de nos dirigeants.

**********

 

Il n'y a pas de remède miracle pour lutter contre l'augmentation de la violence dans l'espace public. Augmenter la présence policière est la première mesure à prendre, estime Stefan Blättler, président de la Conférence des commandants des polices cantonales.

(...)

Et de nouvelles menaces, telles que le terrorisme et la cybercriminalité, ont certes rendu le travail plus vaste et varié, mais aussi plus exigeant.

20 Minutes.ch

 

Rappels :

 

Genève : Nouvelle agression gratuite d’un mineur. Le 24 Heures refuse d’indiquer les caractéristiques ethniques des agresseurs

Genève : Romain, 15 ans, agressé gratuitement par un groupe d’adolescents de « couleur ». Le 20 Minutes censure les caractéristiques physiques de l’agresseur.

Suisse. Etude : Conflits amoureux des jeunes. Les musulmans sont davantage violents.

Une étude de l'Uni de Zurich décrypte la violence dans les relations des 17-18 ans. Une violence aux relents de machisme. Les jeunes musulmans y seraient plus sujets.

Musulmans plus violents

Selon eux, ce sont surtout les jeunes issus de l'immigration non occidentale, en particulier les garçons musulmans, qui sont plus que les autres sujets à la violence. Des différences entre jeunes musulmans et non musulmans qui sont davantage marquées lorsqu'il s'agit de surveiller son propre partenaire, selon l'étude.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à nos lecteurs

 

Rappel :

Agressions sexuelles à Brest : « Au risque d’être taxé de raciste, nous sommes confrontés à une culture qui maltraite les femmes »

Suisse. Insolence, violences, resquille: les jeunes requérants d’asile rendent la vie difficile aux agents CFF. (Mise à jour)

Les jeunes demandeurs d'asile, principalement d'Afrique du Nord et d'Erythrée, rendent la vie difficile aux agents de bord des CFF: beaucoup voyagent sans billet, sont insolents et parfois violents.

Les femmes sont particulièrement ciblées. Les victimes racontent.

Par Philipp Gut

Ils aident Andreas Müller à effectuer le contrôle. Au cours de la perquisition, les agents découvrent 100 francs. Les gardes-frontières suggèrent au contrôleur de prendre l'argent et de délivrer un billet et un reçu aux deux passagers qui resquillent. Les deux individus donnent pour destination finale Zurich.

Andreas Müller fait ce que les autorités frontalières suggèrent. L'affaire semble réglée. Mais à Weinfelden, les gardes-frontières sortent. Les Nord-Africains le remarquent - et dès que le train est parti, ils se dirigent vers le contrôleur. Ils veulent récupérer leur argent. Ils exigent. Et ils demandent en contrepartie de recevoir une amende. Andreas Müller refuse parce qu'il sait par expérience que les amendes sont rarement payées par les demandeurs d'asile.

Le refus déchaine encore davantage la rage des Nord-Africains, la situation devient de plus en plus menaçante. Müller ne voit qu'une seule issue: face aux jeunes hommes violents, il s'enfuit dans la cabine du train et s'y enferme.

Les Nord-Africains courent après lui et martèlent sans retenue la porte de service verrouillée. "Heureusement," a déclaré Andreas Müller, "j'ai alors pu prévenir la police des transports de Winterthur et faire expulser les deux Nord-Africains du train."

La situation rencontrée par Andreas Müller n'est pas un cas isolé: plusieurs de ses collègues sont presque tous les jours confrontés à des demandeurs d'asile qui voyagent sans billet, se comportent de manière peu coopérative et savent très bien qu'ils sont rarement poursuivis à la fin.

La Weltwoche s'est entretenue avec plusieurs employés (chefs et personnel) de train des Chemins de fer fédéraux suisses (CFF) et a transcrit leurs expériences. Pour des raisons compréhensibles, les personnes concernées ne veulent pas que leur véritable nom soit visible dans le journal.

(...)

Pour former leur personnel, les CFF proposent des cours de «communication interculturelle». On y enseigne principalement que l'on doit éviter la confrontation et protéger les passagers ainsi que soi-même. L'escalade doit être évitée dans tous les cas.

En cas de doute, les agents de bord doivent se retirer et ne pas poursuivre le resquilleur récalcitrant qui s'enfuit.

(...)

Source (article réservé aux abonnés) Traduction libre Christian Hofer
pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain et à Marie

 

 

 

 

Allemagne: Un adolescent de 15 ans et ses parents roués de coups par d’autres élèves. « La violence dans les écoles a considérablement augmenté au cours de l’année dernière. »

Allemagne. Arrondissement de Dahme-Forêt-de-Spree

Les parents du garçon ont également été attaqués lors de l'incident de Königs Wusterhausen. L'étudiant avait été victime d'intimidation auparavant et à présent, il reste à la maison - pour sa sécurité.

Sandra Bahl * tremble toujours des mains à cause de l'émotion quand elle entend parler de l'incident qui s'est déroulé devant l'école secondaire. "Le Docteur Hans Bredow s'est exprimé jeudi dernier. "C'est si brutal et si grave. Nous, en tant que parents, nous sommes totalement à bout, nous ne savons pas ce que nous devrions encore faire".

Le fils de Bahls, âgé de 15 ans, Thomas *, a subi à plusieurs reprises de l'intimidation de la part de ses camarades de classe. Jeudi cependant, l'ampleur de la violence a été d'un autre niveau. Selon Sandra Bahl, un camarade de classe a frappé brutalement Thomas au visage. "Quand il a essayé de s'échapper et de chercher un professeur, d'autres camarades de classe ont gardé la porte fermée. "Thomas a alors couru vers les toilettes - mais les agresseurs le suivent, donnent des coups de pied à la porte, menacent Thomas et lui intiment l'ordre de sortir.

La situation dégénère complètement

Dans l'après-midi, la situation dégénère complètement. Les parents de l'enfant viennent s'informer sur l'incident, après une discussion avec le directeur Erik Dorow du Secrétariat de l'école, lorsqu'ils entendent un groupe de jeunes crier à l'arrêt de bus devant le bâtiment. Environ 15 élevés se jettent sur Thomas Bahl., le grand frère essaie de le protéger.

«Quand nous sommes arrivés, nous avons vu notre fils plein de sang sur le visage et sur le tee-shirt», explique Sandra Bahl.

Son mari et elle ont littéralement sauté dans la foule pour libérer leurs fils. Mais les adolescents ne s'arrêtent pas.  "Deux ont sauté à la gorge de mon mari, on lui a donné un coup de pied dans les jambes", explique Sandra Bahl.Même lorsque la famille a voulu partir, les enfants les poursuivent. "Nous avons été traités de tous les noms. Nous avons encore essayé de calmer la situation ".La famille Bhal se rend d'abord à la police, puis elle a été à l'hôpital.

Dans l'ensemble, la violence dans les écoles de tout le Land de Brandebourg a considérablement augmenté au cours de l'année écoulée (selon le MAZ). L'Office national de la police criminelle (LKA) a enregistré 185 cas de blessures corporelles graves dans les écoles du Brandebourg rien qu'en 2017. C'est une augmentation significative de 44%. Dans l'ensemble, le nombre de blessures dans les écoles a même augmenté de 60% pour atteindre 748 cas.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

France. Dijon: Rixe entre Pakistanais et Africains. Les assaillants sont des « mineurs isolés étrangers », deux blessés à coups de couteau

(image d'archive)

Selon les premières informations, un homme avait été blessé par arme blanche. On en sait un peu plus aujourd’hui sur les faits : d’abord, ce n’est pas une, mais deux personnes qui ont été blessées, l’une au thorax, l’autre à un bras.

(…) Selon les premiers éléments des investigations, menées sous l’autorité du parquet, une rixe aurait éclaté entre mineurs étrangers isolés demandeurs d’asile, pakistanais d’un côté et africains de l’autre, tous hébergés dans des foyers d’accueil dijonnais. Le jeune homme interpellé est un ressortissant pakistanais. Les deux victimes, des adolescents d’une quinzaine d’années, viennent de pays d’Afrique noire. Les enquêteurs de la brigade de répression des atteintes aux personnes recherchent les autres protagonistes de la rixe, dont on ignore l’origine exacte.

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