Norvège: Le gouvernement critiqué pour son manque de diversité ethnique. « Il y a trop de Norvégiens dans le gouvernement norvégien. »

Le Centre Norvégien Contre le Racisme a critiqué le nouveau gouvernement du premier ministre Erna Solberg car il ne « refléte » pas « la population ».

Rune Berglund Steen, chef de l’ONG, a aussi dit que le manque de diversité représenterait un « problème démocratique ».

« Même le gouvernement de Trump a plus de gens originaires de minorités ethniques que le [gouvernement] norvégien », a déclaré Steen, qui parlait à la chaîne publique NRK.

Parmi les 68 ministres et secrétaires d’État présentés par Solberg alors qu’elle dévoilait son nouveau gouvernement mercredi, seules deux personnes semblent être originaires d’une minorité, selon NRK – la secrétaire d’État Anne Karin Olli, qui est d’origine laponne autochtone, et Rebekka Borsch, née allemande.

Steen a déclaré à NRK: "C’est un problème démocratique. Ceux au pouvoir doivent refléter la population générale et c’est très grave que ce ne soit pas le cas dans le gouvernement étendu."

Selon l’office statistique norvégien, plus de 800.000 personnes vivant en Norvège ont des parents nés à l’étranger, sur une population totale d’environ 5,2 millions d’habitants.

Sylo Taraku, du groupe de réflexion norvégien Agenda, a déclaré à NRK :

"Je suis déçu par la composition du gouvernement. C’est important pour les minorités d’être représentées, y compris parmi ceux qui dirigent le pays. C’est lié à l’identité et à la confiance dans le système. Cela envoie un signal malheureux."

Le ministre de l’Éducation et de l’Intégration, Jan Tore Sanner, a dit que les critiques sont injustifiées.

Il a déclaré à NRK: "Beaucoup de choses doivent être prises en compte quand un nouveau gouvernement est formé. La plus importante est les politiques qui seront menées, peu importe l’origine que l’on a."

Steen a dit à la chaîne publique que la diversité est saine en politique: "Les résultats politiques sont affectés par quelles personnes sont impliquées et par quel parcours elles ont. Il est clair que les personnes venant une minorité ethnique ont une expérience différente en ce qui concerne, par exemple, la création de politiques inclusives."

The Local Traduction Blanche Europe

Nice: Les membres du gouvernement hués et traités d’assassins

En complément de cet article déjà paru sur Les Observateurs.ch.

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Une minute de silence a été observée dans tout le pays. A Nice, les membres du gouvernement ont été hués et traités «d'assassins».

Quelques minutes avant le début de cet hommage, un silence de cathédrale s'installe dans la foule qui s'étend à perte de vue. Mais lors de l'arrivée du Premier ministre Manuel Valls, accompagnés du président LR de Paca Christian Estrosi et d'autres membres du gouvernement, un groupe de personnes rassemblées en face du lieu de la cérémonie hue copieusement le cortège.


Source

Bataclan : Testicules coupés, décapitations… Des tortures infligées aux victimes?

Extraits du rapport du député Georges Fenech (disponible ici), président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats. ND Christian Hofer: voici le lien du rapport du 21 mars 2016 qui est visible sur le site de l'Assemblée Nationale française: rien de plus officiel donc!

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Cette gauche répugnante et totalitaire

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Oui, la gauche, notamment la gauche française, est répugnante, méprisable, sectaire, médiocre, inculte et totalitaire. A défaut d'avoir quelques grandes qualités, elle a de nombreux défauts. Dans les années 1970-80, on vivait dans l'illusion que la gauche avait peut-être quelque chose à dire, à proposer. Mais aujourd'hui, en 2016, la gauche révèle son vrai visage : elle est nulle et liberticide.
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Elle est capitaliste, et, en même temps, elle est islamo-gauchiste. Ses représentantes et représentants ne pensent qu'à leur propre carrière politique, et, ce faisant, ils se tirent abondamment dans les pattes. Les hommes politiques de gauche pensent que les femmes ne sont que des putes et des salopes. Les femmes politiques de gauche pensent que les hommes sont tous des cochons. Bonjour l'ambiance.
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A ce propos, Elisabeth Lévy écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Nuit debout, c'est la fête de l'intransitivité : on parle pour parler, on lutte pour lutter. Et le bien commun dont il est question n'a, à mon avis, rien de bien et pas grand-chose de commun. Ces palabres n'ont rien de nouveau et sont d'un niveau accablant.
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Elisabeth Lévy : Un ramassis de toutes les vieilles lunes de l'extrême gauchisme, accommodées dans un fond de sauce anti-colonial, anti-israélien, anti-occidental, le tout dans une langue et avec des « concepts » d'une telle pauvreté qu'en comparaison, les slogans de 1968 sont des chefs d'œuvre. Dans six mois, quand les révolutionnaires d'opérette et les vrais vandales auront plié bagage, les postiers, les pompiers, les infirmières et les ouvriers postés passeront encore leurs nuits debout, conclut Elisabeth Lévy (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, Christian Vanneste écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Il y a un fond totalitaire chez les socialistes. Il y a une tendance générale dans les démocraties libérales à laisser s’imposer une pensée unique. La rencontre dans notre pays de cette double réalité a, depuis longtemps ruiné l’un des deux piliers de la démocratie, la liberté d’expression, sans laquelle les autres libertés ne sont qu’une apparence. L’origine du courant socialiste français dominant, c’est le marxisme, l’idée que l’appropriation collective des moyens de production est la condition d’une société juste, c’est-à-dire égalitaire, et qu’elle est de toute façon, une nécessité historique établie par la science économique, et non un choix.
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Christian Vanneste : Le parti socialiste a certes évolué, mais il reste prisonnier de ce péché originel qui lui fait croire qu’il détient la vérité et qui lui donne dans les débats une arrogance qui devient grotesque à la mesure des catastrophes économiques ou simplement des mauvais résultats qu’il engendre. Loin de se corriger, il verse alors dans une agressivité qui est attentatoire à la démocratie. Par ailleurs, la majorité des médias a peu à peu suscité puis imposé un champ limité de ce qui pouvait être dit ou pensé. Les exemples de l’avortement, du Pacs, celui du mariage unisexe, la repentance historique, l’affirmation identitaire, offrent l’image d’un ralliement historique de la droite molle à des « progrès » ouverts par la gauche.
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Christian Vanneste : Que dans ces domaines moins quantifiables que celui de l’économie, les avancées puissent être des reculs est passé sous silence. Les opposants, les résistants, les dissidents sont interdits de parole. Le mépris et l’insulte sont de droit à leur encontre. En fait, c’est sur ces questions où la discussion devrait être la plus ouverte qu’elle est proscrite au profit d’un véritable terrorisme intellectuel. La récente affaire de Black M à Verdun illustre ce paradoxe. En raison de propos antisémites, islamistes et homophobes, ce rappeur aurait du être banni par la gauche. Il a été choisi par un goût provocateur de promotion des minorités.
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Christian Vanneste : Puis, il a été déprogrammé lorsque l’indignation justifiée s’est déployée. Mais, bien qu’ayant reconnu son erreur en annulant le concert, la gauche s’est une fois de plus abandonnée à son sectarisme en déversant un torrent de mépris et d’injures sur les contestataires. Cette contre-attaque a ciblé une fois encore le Front National qu’il s’agit évidemment de rediaboliser. Des élus « républicains », comme Apparu se sont joints à la meute des commissaires politiques alors que des membres de ce parti avaient pourtant dénoncé le choix du rappeur.
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Christian Vanneste : L’exigence de dignité dans une commémoration patriotique devrait être spontanée chez tous. Elle devient aujourd’hui hérétique. Le sectarisme de la gauche, l’inconsistance de la prétendue « droite » sont des menaces pour la démocratie. Le pouvoir actuel qui tente d’introduire un peu de réalisme dans une politique économique calamiteuse, compense sur le terrain sociétal. Il faut mesurer le danger du processus pour la démocratie.
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Christian Vanneste : Un gouvernement démocratique ne peut avoir pour ambition de changer les mentalités, d’imposer un vocabulaire où le genre remplace le sexe, où le mot race est interdit, où le patriote hostile à une immigration envahissante se voit traiter de fasciste.  C’est Albert Camus qui disait justement que « mal nommer les choses ajoutait au malheur du monde, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté, 17 mai 2016
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http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/05/14/31003-20160514ARTFIG00096-elisabeth-levy-de-nuit-debout-a-verdun-le-chantage-au-fascisme-ne-passera-pas.php
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http://www.christianvanneste.fr/2016/05/17/la-gauche-totalitaire/
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France : Médias et gouvernement, tous unis pour nier le racisme anti-blanc

Pas de chance pour le gouvernement. Alors qu’il lançait une grande compagne contre le « racisme », entendez « le racisme des méchants blancs qui refusent la diversité », une bande de « jeunes » un peu plus turbulente qu’à l’ordinaire, mettait Bruxelles à feu et à sang.

Toute honte bue, les médias ont vendu cette propagande gouvernementale comme si elle était la réalité « vraie », sans parler de la menace terroriste, autrement réelle celle-ci.

Comprenne qui pourra

On croyait pourtant avoir compris, comme nous le montrent les clips du gouvernement, que c’étaient les petits blancs ignares et les méchants skins et identitaires à front bas qui menaçaient la République. Mais est-ce envisageable que les individus qui nous gouvernent, compétents et sérieux, aient pu se tromper à ce point-là sur les dangers qui planent sur nos têtes ?

Il faudra que l’on nous explique un jour tout de même, pourquoi, quatre mois après le Bataclan, personne au gouvernement n’a songé, pour illustrer la « haine de l’autre », à montrer quelques fanatiques barbus en train d’éructer leur haine contre les mécréants ? Le gouvernement doit certainement avoir de bonnes raisons pour cela, des raisons subtiles et secrètes qui dépassent l’entendement des gens du commun…

Mais ce qui est encore plus difficile à comprendre pour les esprits ordinaires, c’est le rôle des journalistes, si dévoués à la qualité de l’information : on se demande encore pourquoi les médias ont présenté ces vidéos comme s’ils étaient les portes paroles du gouvernement, son service com, en quelque sorte. Pourquoi aucune distanciation à l’antenne par rapport au sujet ? « Il faut contextualiser » explique-t-on aux apprentis journalistes, questionner le sujet : qui, quoi, où, comment, pourquoi, on n’est pas là pour passer les plats, il faut mettre de la plus-value dans l’info : où est passée la déontologie ?

Il a fallu attendre que l’avocat médiatique Gilles-William Goldnadel mette les pieds dans le plat du politiquement correct, aux Grosses têtes de RMC, en s’indignant de l’absence du racisme anti-blanc, pour que soit rompu, enfin, le ronron du consensus mou ; avant que Bruxelles, tragiquement, enterre l’affaire.

Alors, pourquoi aucune question un tant soit peu dérangeante sur les intentions du gouvernement, pourquoi aucune question sur le contenu de cette campagne ? Pourquoi aucun débat contradictoire pour montrer que le message que l’on nous impose comme une évidence, est peut-être plus lourd de sens par ce qu’il ne montre pas que par ce qu’il met en scène ? Que de belles empoignades en perspectives, avec des politiques, des sociologues, des philosophes des historiens… libres d’attaquer, ou d’approuver, la parole gouvernementale et qui se castagnent pour leur vérité. Du spectacle, du vrai – c’est bon pour l’audimat – pour des médias avides de prouver leur liberté de ton et justifier leur titre de quatrième pouvoir… On aurait pu imaginer un plateau avec Zemmour versus BHL dans un duel mortel, un corps à corps Marion la blonde contre Fourest la peste, le clash entre de Villiers, l’aristo et le jacobin Mélenchon, le choc entre Mamère, pépère sévère, et Ménard, père peinard, etc…, de quoi stimuler la créativité journalistique !

Des médias aux ordres ?

On pense, forcément, que si nos chers médias n’ont pas joué ce jeu-là, c’est qu’ils avaient de bonnes raisons pour ne pas le faire. Préserver la paix civile exige, parfois, de sacrifier ses principes déontologiques, quoiqu’il puisse en coûter à votre conscience professionnelle. C’est ça aussi le sens du devoir…

Car montrer des blancs victimes de racisme, n’est-ce pas encourager toutes les dérives xénophobes, véhiculer les préjugés et les fantasmes sur l’autre et ses différences ? N’est-ce pas légitimer la peur de l’étranger, jouer sur les pensées « nauséabondes », remettre en cause le vivre ensemble qui fonde les valeurs de la République, stigmatiser les habitants des quartiers populaires, favoriser le repli sur soi de la France moisie face à la France de la diversité et de l’ouverture, ouvrir la porte au retour des heures les plus sombres de notre histoire, et surtout, prendre le risque de l’amalgame ennemi de l’altérité ?

Les journalistes sont des gens sérieux et sans concession, ils ne sont pas aux ordres, ils obéissent juste à leur conscience. Et leur conscience en ces temps difficiles leur dit qu’il vaut mieux étouffer certains sujets si l’on veut rester au chaud. Combien de temps ce déni durera-t-il ? C’est toute la question.

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Un gouvernement aux abois : derrière un remaniement d’opérette, des mesures liberticides

François Hollande et Manuel Valls ont accouché d’un gouvernement ramasse miettes, chargé de réunir, pour 2017, tous les électeurs de gauche.

Prêts à tous les reniements pour rester au pouvoir, leur dernière initiative, prise au nom de la lutte contre le terrorisme, va surtout aboutir à toujours plus de restrictions des libertés.

Le très discret projet de loi sur la lutte contre le terrorisme en est l’exemple flagrant

Contrairement au projet de loi sur la déchéance de la nationalité qui a focalisé l’attention des medias et de l’opinion publique, ce projet est passé sous silence. Et pour cause, il comporte un vaste arsenal de mesures liberticides : facilitation des fouilles, traçabilité des cartes bancaires prépayées, interception des communications électroniques…

Noël Mamère y voit même, je cite : « Un premier pas vers une société orwellienne ».

Ces propos sont renforcés par la dernière croisade de Najat Vallaud Belkacem contre les soi disant « théories du complot »

C’est la dernière lubie du ministre de l’Education nationale ; au point d’avoir organisé une journée d’étude sur le sujet avec des spécialistes et d’avoir demandé la création sur le site Internet du gouvernement, d’une page « ontemanipule.fr » pour remettre la jeunesse sur le droit chemin !

Mais qu’entend le gouvernement par théorie du complot ?

Pour lui, il s’agit, de toute pensée non conforme à ce que les puissants souhaitent faire admettre comme vérité non discutable.

Imaginé par George Orwell dans son roman 1984, le ministère de la Vérité est ainsi devenu une réalité : « Orwell l’a imaginé, Najat l’a créé ».

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Gouvernement socialiste : une clique de beaux parleurs inopérants

Structurellement parlant, dès sa constitution, le Gouvernement de F. Hollande était un pari sur l’échec, une sorte de rendez-vous pris avec le fiasco. Pire même, et on en a maintenant la preuve, c’était comme une puissante assurance contre l’efficacité. Il faut dire qu’avec cet  art magistral de la synthèse, le Président socialiste, véritable prodige de la fusion des contraires, n’aura finalement obtenu que ce qu’il méritait.

Une série d’échecs et de revers douloureux. Sur tous les plans.

Un ensemble aussi hétéroclite qu’improbable

Qu’elle idée aussi de réunir dans un même Gouvernement des forces opposées et irréconciliables ? Comment pourrait-il en être autrement avec cette série de personnalités improbables et parfaitement incompatibles qui pourtant, telles des coqs arrogants, sont forcées de cohabiter dans un même cloaque :

- une Ministre de la Justice qui, inlassablement, travaille à éviter de stigmatiser les coupables, à vider les prisons, à saper le travail des juges, à défendre les violences des cités, et à protéger les populations musulmanes contre leur « fragilité » intrinsèque. Pour qui roule t-elle finalement ? Quel est son objectif personnel intime ? Le Président le sait il lui-même ? C.Taubira ne serait-elle nommée que pour apporter une caution ethnique, quelque soit le prix à payer pour le pays ?  Ca commence à coûter cher…

- un Premier Ministre M. Valls et un Ministre de l’économie E. Macron réformateurs libéraux, tout au moins dans le Verbe, qui sont encerclés et pris en otage par une majorité altermondialiste et un Président caméléon. Depuis leur nomination, qu’ont-ils produit concrètement ? En dehors de déclamations aussi tonitruantes qu’inutiles, qu’ont-ils pu apporter de positif à notre pays ? Comment le pourraient-ils au beau milieu d’un Gouvernement de majorité crypto-socialiste ?

- des ministres frondeurs qui exhibent sur la place publique la beauté transie de leur âmes oblatives, alors que ce ne sont que des postures pavloviennes anti-libérales et biens-sûr réactionnaires. Ne le sachant même pas, et se prenant pour le nombril d’une planète qui, contrairement à ce qu’ils croient, s’adonne à l’économie de marché, ils arborent des postures d’un autre âge et en tirent une gloriole qui déclenche le rire à l’étranger, mais pas chez nous. Hélas, ces reliques de l’histoire du capitalisme ne font pas qu’assurer le spectacle : elles bloquent totalement un exécutif qui n’avait déjà pas beaucoup de convictions.

- une Ministre de l’Education Nationale qui, derrière son immuable sourire de Joconde infatuée, ratatine méthodiquement ce qui restait du culte de l’excellence et de l’effort dans notre système scolaire et universitaire… Un système fortement marxisé dont les sociologues disent pourtant qu’il accroît les inégalités sociales, ce qui est le comble donc, avouons-le. Pour réduire ces inégalités, cette Ministre inspirée par les beaux sentiments de la gauche française n’a-t-elle rien trouvé de mieux que de niveler tout le monde par le bas ? Exit les « pseudo-intellectuels » que sont les M. Gaucher ou A. Finkielkraut qui ne pensent pas comme il faut. Place à des modèles culturels autrement moins faisandés : le mime J. Debbouze, cité en exemple par le Premier Ministre et repris par elle. Objectif nul. Zéro pointé, mais avec le sourire renaissance.

- une Ministre du Travail qui plusieurs semaines après sa nomination, ne connaît toujours pas le fonctionnement des fameux CDD, et qui, telle une débutante totalement inexpérimentée, la bouche en coeur, se fait ridiculiser lors d’une interview à la télévision. Et qui, comble de la malhonnêteté, justifie ensuite les attaques qui la visent un peu partout dans les média et les réseaux sociaux par le fait qu’elle est « une femme, et d’origine maghrébine » ! Toute la morgue idéologique de la gauche française se retrouve d’ailleurs contenue dans cet argument aussi pervers qu’insultant, argument qui signifie exactement ceci : le peuple est idiot, il suffit de lui dire ce qu’il doit penser pour régler le problème.

- un Ministre de l’Agriculture qui, face au mécontentement des paysans, mettra un temps fou à réagir. Que faisait-il dans son bureau ? A quoi pensait-il ? Puis qui sans surprise, se rabattra sur les mesures classiques, celles que la gauche affectionne tout particulièrement : l’allocation de subventions supplémentaires. Histoire d’éviter de réformer en profondeur, c’est tellement dangereux, et d’acheter du temps. Et accessoirement, d’accroître la dette.

- une Ministre de la Santé qui petit à petit se met à dos l’ensemble du secteur médical par ses décisions bizarres quand elles ne sont pas dangereuses.

- un Président qui justement ne semble toujours pas avoir compris la dimension de sa fonction. N’avait-il pas répondu à des journalistes qui lui faisaient remarquer le coût d’une mesure décidée par son Gouvernement : « cela ne coûte rien, c’est l’Etat qui paie » ? C’est dire le niveau moral et intellectuel de cet homme qui se trouve par on ne sait quel miracle au sommet non pas d’une république bananière, mais d’un Etat européen ! A croire qu’il n’a aucune idée de ce que sa fonction implique d’abnégation, de courage et de conviction. Tout dans son comportement laisse en effet penser qu’il en est encore resté au prestige d’antan de la position : le statut social d’un monarque, le trône suprême du haut duquel il surplombe un peuple dévoué à son culte, un peuple dont il honore la représentation de sa distinction royale. On comprend finalement que la gestion quotidienne ne soit pas la tasse de thé de ce François III, sauf bien sûr lorsqu’il s’agit d’empêcher son Premier Ministre de briller et de se constituer en rival. Il est en effet si doux de se trouver au plus haut niveau d’une monarchie que tous les moyens se justifient pour y rester cinq ans de plus. C’est une question d’essence.

Des résultats à la hauteur

Il est clair que toute cette ménagerie ne fait pas bon ménage. Elle parle beaucoup, elle aboie, elle dilapide les deniers de l’Etat. Mais elle ne cesse d’accumuler les échecs. Le plus terrible sera finalement ce M.Valls dont tout le monde espérait une prise de risque et une véritable autorité malgré les atermoiements stratégiques du Président-Monarque. Pris au piège, annihilé par un F.Hollande particulièrement manœuvrier, le Premier Ministre tente de compenser son inaction par le Verbe et l’Intonation. Ses propos sont d’autant plus violents que lui-même est devenu inopérent. Son visage se déforme à force de frustrations. Dire que cet homme qui incarnait l’autorité de l’Etat sera finalement le Premier Ministre d’un Gouvernement ayant eu certainement (et de très loin) le plus grand nombre de victimes du terrorisme sur le sol français ! Dire que cet homme aux trémolos libéraux (dixit « j’aime l’entreprise ») sera le Premier Ministre d’un accroissement simultané et significatif de la dette, du chômage et des impôts tandis que tous ces indicateurs s’améliorent chez nos voisins depuis environ deux ans !

Tel est le triste bilan de cette clique de beaux parleurs qui nous dirige depuis 2012 sous la baguette d’un Monarque dont la seule passion semble être celle de se maintenir sur sa position ô combien prestigieuse, quel qu’en soit le prix.

Claude ROBERT

http://www.eradiquons.fr/2015/11/16/gouvernement-socialiste-une-clique-de-beaux-parleurs-inoperants/

Gouvernement socialiste : échec économique et sécuritaire

Les attentats qui ont frappé Paris et sa banlieue nord vendredi soir sont monstrueux, abjects, totalement injustes. Ils frappent des innocents qui n’ont rien à voir avec les pseudo-justifications médiévales  d’un Etat Islamique qui veut soit disant venger le crime des  « impies ». Ceci étant clairement dit, avec près de 130 morts obtenus par le biais de multiples attaques simultanées, le mode opératoire de ces attentats fait froid dans le dos. Il pose une question particulièrement angoissante : la sécurité de notre territoire est-elle assurée ? S’il est si facile d’organiser de tels bains de sang, pourquoi cela ne se répèterait-il pas régulièrement, à Paris comme dans d’autres villes françaises ?

Suite

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Merci à Claude

L’incompétence totale de Myriam El Khomri, « ministre socialiste » du travail (Vidéo)

Démonstration de la discrimination positive que la gauche veut imposer partout: une incompétence crasse au détriment des autochtones qui eux sont relégués en citoyens de seconde zone dans leur propre pays au nom de "l'antiracisme".

L'incompétence TOTALE de Myriam El Khomri, "ministre" du travail

Combien de fois peut être renouvelé un CDD ? La ministre du Travail, Myriam El Khomri, n'est pas parvenue, jeudi, à répondre à cette question, qui renvoie pourtant à un article de la loi Rebsamen promulguée en août.

La loi sur le dialogue social et l'emploi, défendue par son prédécesseur François Rebsamen, permet aux employeurs de renouveler les CDD deux fois, au lieu d'une, dans la limite de 18 mois.

"Trois fois, jusqu'à trois ans", a pourtant répondu, dans un premier temps, la ministre, interrogée par Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV.

Relancée par le journaliste, elle a bafouillé: "Non, ce que je veux dire... Un CDI peut être requal... Un CDD peut être requalifié en CD... Un CD... Pardon... Un CDD peut être requalifié en CDI quand, justement, le cadre du recours au CDD n'a pas été..."

"Mais dites-moi, a coupé le journaliste, il peut être renouvelé combien de fois le CDD ?" "Plusieurs fois", a-t-elle répondu.

"Combien de fois ?" lui a-t-il demandé une dernière fois.

"Je ne pourrai pas vous le dire", a-t-elle concédé, après un silence.

En fin de matinée, la ministre a tenté de se justifier au micro de BFMTV, à la sortie du conseil des ministres: "J'ai répondu "trois" parce que, pour moi, c'est "trois contrats". Donc voilà, (...) ce n'était pas exact par rapport à la question du renouvellement, mais ça fait trois contrats quand on peut renouveler deux fois".

"La vérité, c'est que pour répondre à cette question, il y a autant de formes de CDD possibles qu'il y a de dérogations possibles, et si, justement, nous menons cette réforme du droit du travail, si nous apportons ces clarifications, c'est bien, en effet, parce que c'est complexe", a-t-elle poursuivi.

"Jean-Jacques Bourdin avait préparé son coup, il voulait son buzz, il a eu son buzz, je ne suis pas la première, je ne serai pas la dernière", a ajouté la ministre, tout en estimant que ce n'était "pas (son) rôle" d'aller "réciter l'intégralité des articles du Code du travail (dans) l'émission de Jean-Jacques Bourdin".

Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, a aussi pris la défense de Mme El Khomri, jugeant "complètement disproportionnées" les critiques contre la ministre, notamment sur les réseaux sociaux. "Ca va beaucoup trop loin", a-t-il ajouté, assurant que sa collègue avait "toute la confiance du Premier ministre et du gouvernement pour mener à bien les grandes réformes qu'elle est en train d'engager et de présenter".

Le journaliste de RMC réussit régulièrement à coller les personnalités politiques. Ainsi Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal en avaient fait les frais lors de la campagne présidentielle de 2007: la candidate PS avait été incapable de dire que la France possédait quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, tandis que le candidat UMP n'était pas parvenu à dire que le groupe terroriste Al Qaïda était sunnite et non chiite.

Source

France – Désormais le régime socialiste persécute. Gravissime!


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A partir de 2012, le gouvernement socialiste s’est progressivement transformé en un régime socialiste de plus en plus sectaire et répressif. Contre La Manif Pour Tous (LMPT) à Paris, contre Génération Identitaire (GI) à Poitiers, et, plus récemment, contre une série de site et de blogues de droite, et, même, contre certains médias classiques, tel l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.

Il s’agit-là, très clairement, d’une dérive autoritaire. Elle est d’autant plus inquiétante que le régime socialiste utilise désormais la police comme une police politique, lorsque cela lui semble utile.

Au plan historique et sociologique, l’émergence de cette République socialiste autoritaire est très intéressante. Elle signifie notamment que le régime en place - et ses innombrables relais médiatiques - ne supportent plus que l’on puisse les critiquer ou les contester (sans doute parce qu’ils se savent non-représentatifs de la majorité des Français ; et sans doute aussi parce qu’au fond d’eux-mêmes, ils commencent à avoir peur).

Et de ce fait, ils vont jusqu’à réprimer, museler et même persécuter l’opposition de droite (on ne mettra pas ici « Les Républicains » dans la catégorie « de droite », car à l’évidence, ce parti issu de l’UMP est dominé et contrôlé par des centristes et mêmes de par personnalités de centre-gauche).

L’Affaire FdeSouche

Pierre Sautarel, un des contributeurs du site de ré-information http://www.fdesouche.com/, raconte les faits et donne sa propre interprétation de l’action policière menée à son encontre. Il en ressort quelques faits marquants sur l’évolution du système répressif socialiste français (ci-dessous quelques extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).

L’attaque est policière et non plus milicienne

Jusqu’à présent, le PS s’appuyait sur des associations miliciennes, comme Actup, pour intimider par des actions violentes les citoyens de la ré-infosphère. On se souvient par exemple des infamies d’Actup contre la présidente de La Manif Pour Tous Ludovine de la Rochère, allant jusqu’à mettre en scène du faux sang sur les murs de la fondation Jérôme Lejeune, ou encore le saccage de la librairie d’Emmanuel Ratier par des militants socialo-fascistes.

Mais le PS semble avoir adopté des méthodes plus institutionnelles, profitant de son passage aux commandes de la République. Ainsi, Pierre Sautarel a fait l’objet d’une convocation et d’un interrogatoire musclé de la police, malgré la raison insignifiante, un prétexte : «J’ai reçu une convocation de la police pour une affaire de diffamation. Sur place j’ai appris que c’était dans le cadre d’une diffamation visant Pierre Bergé qui porte plainte. On me reproche d’avoir publié sur FdeSouche un lien vers un article du site Panamza que Pierre Bergé juge diffamatoire. Juste un lien. Même pas un copié-collé de l’article», explique la victime de l’action policière.

L’attaque vise la personne, sans relais médiatique

Jusqu’à présent, les militants PS excellait dans les actions symboliques à moindre frais, mais amplifiées grâce au relais des médias de propagande du système. Les Femen offrent les exemples les plus récents de ce type d’action dont le levier essentiel réside dans l’amplification médiatique des seins faméliques tristement associés à des messages de haine. Mais, dans le cas de Pierre Sautarel, la presse officielle n’a pas été mobilisée pour donner à l’interrogatoire une portée symbolique, l’attaque vise à atteindre la personne.

Il y a tout d’abord la volonté de trouver des chefs d’accusation qui n’existent pas. L’interrogatoire est musclé : «Ils voulaient absolument obtenir une chose : que je reconnaisse que je suis le directeur de la publication de FdeSouche. Or, je ne suis pas le directeur de publication du site». Bref, les grosses manœuvres pour créer un chef d’accusation.

Il y a ensuite la volonté d’humilier la personne en l’atteignant dans ses biens. En effet, les policiers ont perquisitionné au domicile et ont forcé la porte : «Ils ont saisi mon Smartphone que j’avais avec moi lors de la convocation. Ils se sont ensuite rendus chez moi, ont forcé la porte avec un serrurier et ont entièrement perquisitionné l’appartement à la recherche de mon matériel informatique et de mon ordinateur qu’ils n’ont pas trouvé.»

Le mensonge médiatique de la presse sous influence ne fonctionne plus

Mais le plus significatif, au-delà de la prétendue diffamation contre Pierre Bergé, c’est la prise de conscience par la caste médiatico-politique que leur mystification de l’opinion publique ne fonctionne plus. Et cela explique la violence, l’irrationnel même de l’action policière contre Pierre Sautarel. Il explique : «Dans une période où tout nous donne raison, ils sont ennuyés, oui. Que ce soit avec l’explosion de la délinquance, comme les 17 commissariats attaqués pendant la période du 14 juillet dont aucun média en vue n’a parlé, ou avec la montée des attentats islamistes, nous assistons à l’explosion de leur France plurielle et à une grave régression au niveau sécuritaire, identitaire et civilisationnel. Et les gens en prennent de plus en plus conscience. (…) Nous bousculons toute leur hiérarchisation de l’information et nous avons plus de visibilité que certains journaux professionnels ou même locaux. A ce qui serait passé complètement inaperçu, nous lui offrons une visibilité auprès du plus grand nombre. La profusion est éclatante. Les Français ne croient plus vraiment ce que leur disent les journaux télé lorsqu’ils constatent tout ce qui est passé sous silence » (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).

Michel Garroté

http://24heuresactu.com/2015/08/03/persecutions-contre-fdesouche-le-systeme-saffole/

   

Le gouvernement Français représente la plus grande menace pour la liberté d’expression

En attaquant régulièrement l’hebdomadaire Valeurs Actuelles pour ses prises de position courageuses contre l’immigration, via des associations subventionnées par le pouvoir, en voulant « faire taire » Riposte Laïque qui dénonce les actes terroristes commis sur notre sol contre notre population, via des actions penales initiées par le Ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve en personne, ou en attaquant, en Province, les collaborateurs de Riposte Laïque, via, ici ou là, un sous-préfet ayant épousé une « femme musulmane » rencontrée lors d’une affectation dans les îles de la République, le gouvernement Valls « assassine » ouvertement les droits les plus fondamentaux de la liberté de la Presse.

Du jamais vu en France, au niveau de la férocité, depuis 1898, année où le général Billot, emile-zolaministre de la Guerre, porte plainte contre Émile Zola (photo) et Alexandre Perrenx, le gérant du journal L’Aurore, suite à l’article « J’accuse » prenant la défense d’un officier Israélite, le capitaine Dreyfus, injustement condamné. Les deux prévenus sont jugés devant les Assises de la Seine du 7 au 23 février 1898, soit quinze audiences (au lieu des trois initialement prévues). Le ministre ne retient que trois passages de l’article, soit dix-huit lignes sur plusieurs centaines.

Le procès s’ouvre alors dans une ambiance de grande violence et Emile Zola, comme Valeurs Actuelles ou Riposte Laïque aujourd’hui, fait l’objet « des attaques les plus ignominieuses ». Fernand Labori, l’avocat de Zola, fait citer environ deux cents témoins. La réalité de l’Affaire Dreyfus, inconnue du grand public, est diffusée dans la presse. Plusieurs journaux publient les notes sténographiques in extenso des débats au jour le jour, ce qui instruit leurs lecteurs. Cependant, les nationalistes, derrière Henri Rochefort, sont alors les plus visibles et organisent des émeutes, forçant le préfet de police à intervenir afin de protéger les sorties de Zola à chaque audience.

Ce procès est aussi le lieu d’une véritable bataille juridique, dans laquelle les droits de la défense sont sans cesse bafoués, comme le révèle le site Wikipedia. De nombreux observateurs prennent conscience de la collusion entre le monde politique et les militaires. À l’évidence, la Cour a reçu des instructions pour que la substance même de l’erreur judiciaire ne soit pas évoquée. La phrase du président Delegorgue « la question ne sera pas posée », répétée des dizaines de fois, devient célèbre. Toutefois, l’habileté de Fernand Labori permet l’exposition de nombreuses irrégularités et incohérences, et force les militaires à en dire plus qu’ils ne l’auraient souhaité.

Le général de Pellieux, annonce à la neuvième audience, l’existence « d’une preuve décisive ». L’impossibilité qui est faite aux militaires de présenter leur preuve force le général de Boisdeffre, chef de l’état-major, à effectuer un chantage moral aux jurés en déclarant : « Vous êtes le jury, vous êtes la nation ; si la nation n’a pas confiance en les chefs de son armée, dans ceux qui ont la responsabilité de la défense nationale, ils sont prêts à laisser à d’autres cette lourde tâche. Vous n’avez qu’à parler ». Etranges similitudes avec l’offensive que subissent aujourd’hui Riposte Laïque et l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.

zola-aux-outragesCi-contre, Zola aux outrages, huile sur toile de Henry de Groux, 1898

Zola est alors condamné à un an de prison et à 3 000 francs d’amende, la peine maximale. Cette dureté de l’époque, comme les assignations d’aujourd’hui, est imputable à l’atmosphère de violence entourant le procès : « La surexcitation de l’auditoire, l’exaspération de la foule massée devant le palais de Justice étaient si violentes qu’on pouvait redouter les excès les plus graves si le jury avait acquitté M. Zola. » Cependant, le procès Zola est plutôt une victoire pour les dreyfusards. En effet, l’Affaire et ses contradictions ont pu être largement évoquées tout au long du procès, en particulier par des militaires. De plus, la violence des attaques contre Zola, et l’injustice de sa condamnation renforcent l’engagement des dreyfusards : Stéphane Mallarmé se déclare « pénétré par la sublimité de [l’]Acte [de Zola] » et Jules Renard écrit dans son journal : « À partir de ce soir, je tiens à la République, qui m’inspire un respect, une tendresse que je ne me connaissais pas. Je déclare que le mot Justice est le plus beau de la langue des hommes, et qu’il faut pleurer si les hommes ne le comprennent plus. » C’est à ce moment que le sénateur Ludovic Trarieux et le juriste catholique Paul Viollet fondent la Ligue pour la défense des droits de l’homme.

Le 2 avril, une demande de pourvoi en cassation reçoit une réponse favorable. Le site Wikipedia consacré à l’affaire Dreyfus révèle : « Il s’agit de la première intervention de la Cour dans cette affaire judiciaire. La plainte aurait en effet dû être portée par le Conseil de guerre et non par le ministre. Le procureur général Manau est favorable à la révision du procès Dreyfus et s’oppose fermement aux antisémites. Les juges du Conseil de guerre, mis en cause par Zola, portent plainte pour diffamation. L’affaire est déférée devant les assises de Seine-et-Oise à Versailles où le public passe pour être plus favorable à l’armée, plus nationaliste. Le 23 mai 1898, dès la première audience, Maître Labori se pourvoit en cassation en raison du changement de juridiction. Le procès est ajourné et les débats sont repoussés au 18 juillet. Labori conseille à Zola de quitter la France pour l’Angleterre avant la fin du procès, ce que fait l’écrivain. Les accusés sont de nouveau condamnés…. ».

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Le gouvernement a décidé de tuer la liberté d’expression

George Washington Law School

Pour Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C., « la plus grande menace sur la liberté d’expression en France n’est pas le terrorisme. C’est le gouvernement ».

Les plus grands spécialistes de la Presse Américaine avouent, depuis plusieurs mois, leurs inquiétudes pour la survie de la Liberté de la Presse en France, à l’image de Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C. . Pour cet universitaire chercheur de renommée mondiale, « Les meurtres à Charlie Hebdo, quoique tragiques, ne sont pas le problème.

« Dans l’heure qui a suivi le massacre dans les locaux de Charlie Hebdo, des milliers de Parisiens se sont rassemblés spontanément place de la République. Au cours de ce rassemblement sous les statues représentant la Liberté l‘Égalité et la Fraternité, ils ont scandé « je suis Charlie » et « Charlie liberté ». C’était un rare moment d’unité à la française, touchant et sincère.

« Pourtant on peut légitimement se demander pourquoi ils se rassemblent. La plus grande menace envers la liberté en France n’est pas venue des terroristes qui ont commis ces actes horribles la semaine dernière mais des Français eux-mêmes qui ont été parmi les meneurs du monde occidental à prôner des restrictions importantes à la liberté d’expression…. ».

Du coup, Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C. recadre le débat en affirmant : « En fait, si les Français veulent commémorer le souvenir de ceux qui ont été tués à Charlie Hebdo, il pourraient commencer par inverser la portée de leurs lois criminalisant l’insulte, la diffamation, ou l’incitation à la haine, à la discrimination ou à la violence sur des bases religieuses, raciales, ethniques, liées à la nationalité, au handicap, au sexe ou à l’orientation sexuelle.

« Ces lois ont été utilisées pour littéralement harasser le journal satirique et menacer son personnel des années durant. La liberté d’expression a été conditionnée à un usage responsable en France, suggérant que c’est plus un privilège qu’un droit pour ceux qui usent de controverse…. En 2006, après que Charlie Hebdo eût imprimé les caricatures de Mahomet qui avaient initialement été publiées dans un journal danois, le président français, Jacques Chirac, a condamné la publication et mis en garde contre de telles « évidentes provocations ».

Jacques Chirac avait même osé ces mots : « Tout ce qui peut heurter les convictions de quelqu’un d’autre, en particulier les convictions religieuses, devrait être évité. » Et d’ordonner « La liberté d’expression devrait toujours être utilisée dans un esprit de responsabilité. »

Charlie Hebdo déjà victime de la Grande Mosquée de Paris et de l’Union des Organisations Islamiques Françaises

La Grande Mosquée de Paris et l’Union des Organisations Islamiques Françaises ont poursuivi, sans relâche en justice le journal Charlie Hebdo pour « avoir insulté les musulmans, un crime passible d’une amende allant jusqu’à 22.500 € ou six mois d’emprisonnement ». La justice française a finalement délivré un jugement en faveur de Charlie Hebdo. Mais depuis, la volonté de contrôle de cette liberté d’expression en France n’a cessé de grandir, certains politiques, à l’image de Bernard Cazeneuve, affichant une soiffe de censure, de répression immodérée.

Jonathan Turley analyse parfaitement la « mise à mort de la liberté de la Presse en France : « Les différentes affaires judiciaires ont tapé tous azimuts. En 2008, par exemple, Brigitte Bardot a été condamnée pour avoir écrit une lettre au ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy, dans laquelle elle exprimait sa pensée selon laquelle les musulmans et les homosexuels mettaient en danger la France.

« En 2011, le styliste de mode John Galliano a été déclaré coupable d’avoir prononcé des paroles antisémites à l’encontre de trois personnes dans un café parisien.

En 2012, le gouvernement criminalisa la négation du génocide arménien (une loi ultérieurement retoquée par le Conseil Constitutionnel), mais la négation de l’Holocauste reste un crime.

En 2013, une mère française fut condamnée « apologie de crime » après avoir autorisé son fils, baptisé Jihad, à aller en classe vêtu d’un tee-shirt qui disait « Je suis une bombe »…. L’année dernière, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, prit des mesures pour interdire le spectacle du comédien Dieudonné M’bala M’bala déclarant qu’il n’était « désormais plus un comédien » mais « plutôt un antisémite et un raciste ». Il est facile de réduire au silence les personnages publics qui éructent des mots haineux ou des idées insupportables, mais la censure ne fonctionne que très rarement avec ceux qui sont en marge de notre société….. ».

Jonathan Turley relève avec précision : « Parmi les manifestants de janvier 2015, à Paris, place de la République se trouvait Sacha Reingewirtz, président de l’Union des Étudiants Juifs, qui déclara à NBC News :

« Nous sommes présents pour rappeler [aux terroristes] que la religion peut être librement critiquée ».

« L’Union des Étudiants Juifs n’était apparemment pas aussi magnanime en 2013, quand elle poursuivit avec succès en justice Twitter, à propos de publications jugées antisémites sur son site. Son président à l’époque balaya de la main les objections d’entrave aux libertés publiques déclarant que le réseau social se faisait lui-même « complice en offrant un boulevard aux racistes et aux antisémites. » Le gouvernement déclara les tweets illégaux, et une Cour de Justice française ordonna à Twitter de fournir les identités des auteurs des publications antisémites.

« Récemment, les restrictions à la liberté d’expression en France ont étendu leur domaine au-delà de la haine proprement dite avec des tribunaux intervenant de manière coutumière dans de simples délits d’opinion. Par exemple, l’année dernière, un tribunal français a infligé une amende à Caroline Doudet, une bloggeuse, et lui a ordonné de changer le titre de son sujet pour réduire sa visibilité sur Google concernant un commentaire négatif sur un restaurant.

« Alors que la France a remisé depuis longtemps ses lois sur le blasphème, la marge est très ténue pour les orateurs et les écrivains poursuivis pour des motifs de diffamation ou d’incitation à la haine. De même pour les extrémistes, cette différence est également très ténue à l’image de ceux qui, à Paris, ont appliqué leur justice personnelle à une liberté d’expression que le gouvernement lui-même qualifiait de délit. De leur point de vue, il ne s’agit que d’un degré d’appréciation en réponse à ce que le gouvernement a appelé des provocations illégales. A l’image du religieux musulman radical Anjem Choudary qui a écrit en janvier 2015, « Pourquoi dans ce cas le gouvernement français a-t-il autorisé le magazine Charlie Hebdo à continuer à provoquer les musulmans ? »… ».

Une intolérance croissante à l’égard de la Liberté d’expression

Ce fut l’intolérance française croissante à l’égard de la liberté d’expression qui a motivé l’équipe de Charlie Hebdo — en particulier son rédacteur en chef Stéphane Charbonnier — à se moquer de toutes les religions en usant de dessins et d’éditoriaux irrévérencieux. Charbonnier devait faire face de manière continuelle à des menaces de mort par des extrémistes, mais aussi de poursuites judiciaires devant les tribunaux. Et Jonathan Turley insiste : »En 2012, dans les protestations internationales à propos d’un film anti-islamique, Charlie Hebdo publia de nouveau des caricatures de Mahomet. Le Premier Ministre français, Jean-Marc Ayrault, avertit que la liberté d’expression « ne peut s’exprimer que dans les limites de la loi et sous le contrôle des tribunaux. »

« Charbonnier ne se laissa pas impressionner, ni par la pression gouvernementale ni par les protestations publiques ou l’inclusion de son nom sur une liste de cibles d’Al-Qaeda. Dans une interview au journal Le Monde, il repris à son compte une phrase du révolutionnaire mexicain Emiliano Zapata et déclara, « je préférerais plutôt mourir debout que vivre à genoux. » Stéphane Charbonnier fût le premier que les tueurs recherchèrent lors de l’attaque dans ses bureaux, et il fût parmi les premiers à être tué.

Les Français bien sûr n’ont pas été les seuls à revenir sur les lois et protections relatives à la liberté d’expression.

« La Grande-Bretagne, le Canada et d’autres nations les ont rejoints. Nous avons les mêmes bruits de fond ici aux États-Unis. En 2009, l’administration Obama de manière choquante apporta son soutien à ses alliés musulmans en essayant de définir un nouveau standard international du blasphème. Et Hillary Clinton, Secrétaire d’État, invita des délégations à Washington pour travailler sur la définition de ce nouveau standard et pour « renforcer nos muscles [afin] d’empêcher le retour des anciens schémas de division ». De la même manière, en 2012, le président Obama se rendit à l’ONU et déclara que « ceux qui diffament le prophète de l’Islam ne doivent plus pouvoir le faire dans le futur. »

« Il fut pourtant un temps où la liberté d’expression était précisément la promesse du futur. C’était même la ‘première pierre’ de la civilisation Occidentale et des libertés civiles.

« Une personne physique ne peut pas réellement diffamer une religion ou des personnages religieux en tant que tels (même s’il est vrai que la diffamation des morts est prohibée aux États-Unis). Les volontés de requalifier la critique d’une religion comme incitation à la haine ou diffamation sont précisément ce que Charbonnier, en tant que résistant, combattait. Il dit un jour qu’en titillant l’Islam il espérait le rendre « aussi banal que le Catholicisme » pour pouvoir en débattre en société.

« Stéphane Charbonnier est mort, comme il l’avait affirmé, debout plutôt qu’à genoux. La vraie question est : Combien parmi ceux qui se rassemblent sur la place de la République seraient réellement prêts à se tenir debout avec lui ? Ils devraient tous prêter une attention soutenue aux trois statues de la Place. Au nom de l’Égalité et de la Fraternité, la Liberté a été considérablement réduite en France. La terrible vérité est qu’il suffit d’un simple tueur pour abattre un journaliste mais qu’il faut une Nation entière pour assassiner un droit. » note encore Jonathan Turley, collaborateur régulier du Washington Post et du Le Journal du Siècle.

Les volontés de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve de requalifier la critique politique ou la critique d’une religion en crime ou délit témoignent d’une volonté d’asservissement de la Presse Libre, celle qui était défendue par Emile Zola, Jean Jaurès, ou encore André Malraux lorsque la France vivait des heures sombres et tragiques !

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411

Italie : Désormais, les délits « mineurs » pourront être classés sans suite…

Les juges pourront classer sans suite certains délits (comme la violation de domicile) et éviter que cela ne finisse au tribunal.

Après avoir abrogé le délit de clandestinité il y a environ une année, le système judiciaire italien a subit un changement révolutionnaire voulu par le gouvernement Renzi concernant les délits mineurs. Cette nouvelle "justice" est effective depuis le 2.04.2015.

Une liste impressionnante de délits ne seront plus poursuivis automatiquement. Les juges italiens pourront décider en "leur âme et conscience" de classer purement et simplement un dossier.

En apprenant cette nouvelle,  j'ai d'abord pensé à un hoax. J'ai alors fait quelques recherches qui ont toutes abouti au même résultat : cela semblait authentique. Encore sceptique, j'ai alors appelé notre ami Armando Manocchia (rédacteur en chef de Imola.oggi ) qui m'a confirmé que tout était rigoureusement vrai.

Ce changement majeur dans la justice italienne a été applaudi par la majorité des magistrats  (m'a-t-on glissé dans l'oreillette), qui demandaient cela depuis des années. Le juge deviendra donc maître absolu pour décider de poursuivre ou non.

Les mêmes dispositions seront-elles bientôt exigées en Suisse par nos associations bien-pensantes et par certains politiciens ? On est en droit de se poser la question... Gardons donc grand ouverts nos yeux et nos oreilles pour s'y opposer quand le moment viendra, car n'en doutons pas, il viendra.

Le chaos, c'est pour maintenant....

Danielle Borer

 

Voici une partie des délits "mineurs" concernés :

- Violation de domicile

- Vol simple

- Lésions corporelles involontaires

- Violence privée

- Escroquerie

- Accès abusif à un système informatique

- Fraude informatique

- Attentat à la sécurité des transports

- Exercice abusif d'une profession

- Conduite en état d'ivresse ou sous l'influence de substances stupéfiantes

- Non assistance à personne en danger

- Détention de matériel pédo-pornographique

- Diffamation

- Rixes

- Injures

- Actes obscènes

- Arrestation illégale

- Commerce de substances alimentaires nocives

- Injures

- Menaces

Liste complète en italien  ICI

 

 

Immigration: Berne montre aux cantons comment contourner la loi

Les milieux économiques se plaignent souvent de ne pas trouver le personnel adéquat en Suisse. La Confédération leur donne un coup de pouce.

La Confédération joue-t-elle un double jeu dans le débat sur l'immigration après le «oui» à l'initiative de l'UDC «Contre l'immigration de masse»? D'un côté, elle abaisse le nombre de «spécialistes» provenant de pays tiers et autorisés à venir travailler en Suisse. D'un autre côté, elle donne des conseils aux autorités cantonales pour contourner ces restrictions.

Le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) a envoyé cette semaine une lettre intitulée «Recommandations» aux autorités cantonales,explique le Tages-Anzeiger dans son édition du 5 mars 2015.

Source