Tessin: La minorité bruyante manifeste contre la destruction d’un nid de gauchistes

Cenator: Ci-dessous, l'interprétation de cet événement donnée par la RTS (article RTS info et Esther Coquoz avec reportage sur place), représentative de l'opinion générale des médias en Suisse romande, qui placent la violence du côté des autorités.

Toutes les occupations illégales sont sacrées pour la Gauche.
Et les médias, fonctionnant comme papier de toilette pour ces derniers, accourent aussitôt pour rendre propre leur noble cause.

Notons cet emploi d'euphémisme comme "centre culturel""centre autogéré",  "centre autonome",  "zone occupée", pour un endroit ou une maison squattés illégalement par des jeunes d'extrême gauche, la tête remplie de crétineries marxistes hors sol, causant à la collectivité des frais et des nuisances à n'en plus finir, tout en prenant les contribuables en otage.

Se croyant révolutionnaires, fiers d'avoir tout gratuit et de mener une vie de récréation comme s'ils étaient restés bloqués à l'âge de 10 ans, les squatteurs, au nom des dernières modes déconstructionnistes, réclament toujours d'être au-dessus des lois.

Le plus révoltant dans tout cela, c'est le parti-pris de la classe bavarde subventionnée, qui leur offre systématiquement la publicité.

Nous rappelons à la RTS que Norman Gobbi a été démocratiquement élu, contrairement aux manifestants. Et si la Gauche a réuni 500 manifestants, ce n'est RIEN comparé au nombre des votants, malgré la présence des journalistes.

La surmédiatisation de cet épisode ne vise qu'à manipuler l'opinion, comme pour pratiquement tous les événements relayés par la RTS en lien avec des affaires de la Gauche.

Article en lien avec ce genre de surmédiatisation:

Dictature de la minorité : pourquoi les plus intolérants gagnent

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RTS info: Colère et manifestation à Lugano après la destruction d'un centre culturel

Quelque 500 personnes ont manifesté samedi à Lugano pour protester contre la destruction du "Macello", un centre autogéré situé dans le quartier du Molino. Cette institution culturelle et de rencontre a été démolie il y a une semaine.

Si la police craignait des débordements, la manifestation s'est déroulée pacifiquement et de manière très festive, avec de nombreuses familles. Les agents étaient toutefois présents en nombre et la police tessinoise a même reçu des renforts venus d'autres cantons.

Cette manifestation fait suite aux événements qui se sont déroulés la semaine dernière à Lugano. En une nuit, des bulldozers ont détruit ce lieu autogéré, en place depuis une vingtaine d'années à la place d'anciens abattoirs. Auparavant, une centaine de manifestants qui étaient entrés dans le bâtiment en avait été évacués par la police.

Une action qui a choqué

Si cet endroit et ses occupants n'étaient pas forcément soutenus par tous à Lugano, la manière de procéder a vraiment dérangé et a été vécue par beaucoup comme un acte de violence symbolique.

L'ancien procureur tessinois Paolo Bernasconi a ainsi déclaré, choqué: "Nous sommes un État de droit et non de pelleteuses." De leur côté, les autorités se sont défendues en affirmant que la police avait pris cette décision pour des raisons de sécurité, alors qu'une manifestation tournait mal.

Cette semaine, un climat hostile s'est installé à Lugano: le conseiller d'Etat de la Lega Norman Gobbi s'est vu menacer avec l'inscription "Gobbi morto" sur la place de la mairie et 300 manifestants se sont réunis devant la maison du syndic leghiste Marco Borradori.

source: https://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/12254471-colere-et-manifestation-a-lugano-apres-la-destruction-dun-centre-culturel.html

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Forum, 5.6.21 - résumé:

Esther Coquoz affirme d'emblée, avec sa voix agressive, que la destruction du squat a vivement choqué l’opinion.

C'est la conclusion en début d'interview que Coquoz fait parvenir aux auditeurs, en valorisant exclusivement l'opinion de la minorité bruyante pour laquelle roule la RTS.

Coquoz précise : En ce moment, 500 personnes manifestent pacifiquement, en famille, festivement, mais la manifestation risque de dégénérer à cause des Black Blocks et l’extrême droite.

-Le réflexe pavlovien des journalistes romands : le terme d’extrême gauche déclenche immédiatement l’association avec l’extrême droite, qui est en réalité inexistante.-

Interview de la journaliste Deborah Sohlbank sur le lieu de la manifestation:
                        «  C’est un acte symbolique!»

Deborah S. rapporte les mots d’un ancien procureur tessinois :

            « Nous sommes un État de droit, non de pelleteuses ».


Nos deux journalistes vont encore un peu appuyer sur la pédale pour être certaines que nous avons bien compris où sont les gentils et où sont les méchants.

       « Les bulldozers ont détruit en une nuit un vieux bâtiment squatté depuis 20 ans.»

Deborah S. : Un climat hostile a été constaté à Lugano avec l’exemple du graffiti : « Gobbi morto » sur la place de la mairie.

Coquoz : C’est un véritable séisme politique ?

Deborah S. : Oui, les Verts ont déposé plainte auprès du parquet tessinois pour délit contre la protection de l’environnement. On ne détruit pas un vieux bâtiment comme ça, ça pourrait relâcher de l’amiante.

Les autorités ont répondu qu’il n’y avait pas d’amiante.

La Gauche a demandé un enquête parlementaire au Grand Conseil.

UNIA a une info brûlante qui contredit les informations rassurantes des autorités. 

Et pour conclure, Deborah S. annonce que des têtes pourraient tomber si la gauche emporte la mise.

Lien vers l'audio: La destruction d’un squat de Lugano enflamme le Tessin

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L'UDC condamne le vandalisme et dénonce la "collusion" de la gauche

"C'est avant tout le Parti socialiste qui est responsable", précise la formation dans un communiqué.

par Dario Ornaghi, 5-6.06.2021

Photo mise en avant:

Foto lettore

L'UDC condamne le vandalisme et dénonce la "collusion" de la gauche

A mort les fachos»: à Paris, une procession catholique attaquée par les gauchistes

Procession catholique attaquée à Paris par des communistes, les Antifas et les manifestants pour la Commune de Paris (29/05/2021)

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Les ANTIFAS attaquent les CATHOLIQUES - Charlotte d’Ornellas

1 juin 2021

Pour rendre hommage aux martyrs de la Commune, des catholiques se sont rassemblés samedi 29 mai, à l’occasion des 150 ans de cet événement. Leur procession a été interrompue par un groupe d’antifas qui les ont violemment agressés et insultés. Un retour sur cet événement avec Charlotte d’Ornellas.

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https://twitter.com/D4rc_/status/1399046810208018440?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1399046810208018440%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.fdesouche.com%2F2021%2F06%2F01%2Fparis-une-procession-catholique-attaquee-par-des-militants-dextreme-gauche%2F

🚨 PARIS : UNE PROCESSION CATHOLIQUE VIOLEMMENT ATTAQUÉE PAR L'EXTRÊME GAUCHE !

1 juin 2021
ne procession organisée par des paroisses et associations diocésaines a été violemment agressée par des individus d’extrême gauche. Des bouteilles, des poubelles et des barrières grillagées ont été jetées sur les fidèles ! Des personnes âgées et des familles qui participaient à la procession ont dû se réfugier dans une église. Des personnes âgées ont été frappées à coups de poing. Un homme a été blessé et hospitalisé. 💥 Cela ne peut plus durer ainsi ! J’ai besoin de vous pour réveiller la France chrétienne ! Pour cela je vous invite à rejoindre tout de suite le Réseau sainte Jeanne d’Arc ! Pour en savoir plus, utilisez le lien ci-dessous:

Vaud : Premier syndic de la gauche radicale à Vevey

«C’est historique. C’est la consécration d’un long travail sur les dernières années et même de certains de nos militants depuis les années 1990.» Heureux, Yvan Luccarini. Grâce à lui, la syndicature de Vevey passe à la gauche radicale pour la première fois. Seul candidat au terme du délai de ce mardi midi, le municipal sortant est élu tacitement.

Le représentant de Décroissance-Alternatives a été intronisé par l’alliance de gauche (DA, Les Verts et le Parti socialiste), grande gagnante le 28 mars avec cinq de ses candidats élus au sein de la future Municipalité à sept membres.

(...)

24heures.ch


Rappels :

Initiative contre la burqa : Genève, Lausanne, Vevey, Berne… ont refusé l’interdiction

Vevey : Un ressortissant nigérian en séjour illégal tabassé par ses compatriotes « La place stratégique de Vevey leur appartient pour leur business »

Vevey (VD) : Condamné pour avoir insulté l’un des 4 migrants nord-africains qui ont violé son amie

Trafic de drogues à Vevey : La présence policière ne vise pas à arrêter les dealers.

Vevey (VD) : Une bibliothèque entend féminiser Wikipedia

Vevey (VD) : Au bénéfice de l’aide sociale, un Pakistanais organisait des mariages blancs

« Réfugiés » secourus en mer : Le drapeau Antifa accroché sur la proue du « Sea-Watch 4 »

Actuellement, le "Sea-Watch 4" se trouve dans le port de Borriana en Espagne, afin de rendre le ferry de migrants apte à la prochaine mission de recherche et de récupération.

 

 

Deux photos montrent le drapeau (anti)fasciste sur la proue du navire, apparemment les membres de l'équipage appartiennent au mouvement fasciste, ou alors l'ONG - et vraisemblablement pas seulement celle-ci - fait partie des extrémistes de gauche. A présent, elles révèlent encore une fois qui sont en réalité ces "humanitaires".

On ne sait pas si les photos ont été prises alors que le navire se trouvait encore dans le port italien ou seulement à Borriana , mais cela n'a pas d'importance.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Politikstube.com


Rappel :

Le navire de Banksy chargé de migrants appelle l’Europe à l’aide : « Ce n’est pas de l’humanitaire mais un combat antifasciste »

La féministe Anaïs Timofte (POP, communiste, Lausanne) se bat pour la burqa… pour combattre l’UDC

Cenator: Vous trouverez ci-dessous les réflexions de la présidente du POP Vaud, Anaïs Timofte, sur les prochaines votations fédérales.

L’article illustre parfaitement la Gauche suisse de tout bord, qui regorge de haine envers la Suisse, sa population et ses traditions.
Parallèlement, le seul parti qui défend encore les intérêts des autochtones, l’UDC, est son ennemi à abattre.

Anaïs Timofte, présidente du POP Vaud, accumule les clichés dans son article:
«Le parti prétendument agrarien ... parti nationaliste bourgeois»  –
le terme «bourgeois», dans la bouche d’une telle gauchiste, c’est comme «capitaliste», le pire des mots et des maux.


Finalement, malgré de rares positions divergentes internes, l’ensemble des partis de la gauche combattent l’initiative «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage dans l’espace public».

Pour cette gauche unie dans la haine du peuple, le nouveau prolétariat de substitution importé est devenu le prétexte de leurs revendications de justice sociale, car elle mise sur cette diversité pour acquérir plus de pouvoir.
Nous avons vu, en France, les frères de lutte de cette gauche radicale détruire de l’intérieur le mouvement des Gilets jaunes. Cette même gauche, qui est devenue une usine à victimes, refuse de reconnaître les droits de ceux qui sont les victimes de leur politique multiculturaliste, et étouffe tous les cris de désespoir.

Lorsqu’une initiative représente des idées proches de l’UDC, comme «No Billag» ou l’interdiction de se dissimuler le visage, la Gauche argumente toujours de la même manière, en inversant la réalité, voire en brandissant la menace que tout va devenir pire si les gens ne votent pas dans leur sens.
Tout le monde sait que la burqa est le porte-drapeau de la charia, qui est en totale opposition avec nos lois; mais pour cette gauche «padamalgam», le raciste, le fasciste devient celui qui veut interdire cette enseigne même de l’islamisme.

Timofte:

«l’instrumentalisation de l’initiative populaire dans le but de susciter une polémique au sujet d’un bout de tissu s’apparente à une véritable confiscation des outils démocratiques par un parti qui en a les moyens financiers

Le mythe récurrent de l’UDC parti des multimilliardaires, suivi du cliché Blocher riche comme Crésus, n’est jamais loin dans ces attaques. Or dans un article publié le même jour dans 24 heures, nous apprenons que le PS lausannois dépense vingt fois plus (253’000.-) que l’UDC, ce qui montre clairement quels sont les partis qui ont les moyens.

En réalité, les pauvrissimes POP et Ensemble à Gauche, c’est-à-dire l’extrême gauche et l’ultra-gauche, dépensent 107'000 fr.
Et la présidente du POP reproche à l’UDC de dépenser 13'000 fr.!

De leur côté, les dépenses électorales de l’ensemble des Pastèques lausannois réunis se montent à 577'000 fr. en 2021.

D’autres arguments gratuits, voire mensongers, comme «l’initiative est mal rédigée», sont également systématiques dans les médias lorsque l’initiative représente un sujet proche de l’UDC.

Rien ne semble suffire à cette Gauche haineuse, qui a déjà accaparé et bétonné pratiquement tout le pouvoir. À Lausanne, par exemple, La Gauche occupe le trône depuis trente ans, elle a distribué entre petits copains et leurs proches pratiquement tous les postes clefs, faisant la pluie et le beau temps, sans aucune force d’opposition.

En Suisse romande, aucun contre-pouvoir à l’horizon, la Gauche domine déjà la totalité de nos médias, tous subventionnés, qui font en plus sa promotion et combattent l’UDC de toutes leurs forces.

Cette Gauche a asservi totalement l’instruction publique, et en plus elle a acquis la prérogative de censurer les réseaux sociaux.

Madame Timofte accuse l’UDC de mettre en danger la démocratie suisse en détournant le débat public, qui devrait porter selon elle »sur notre modèle économique, plutôt que sur des choix vestimentaires.»

Elle accuse l’UDC de «faire les fonds de tiroir avec l’initiative «antiburqa» en n’hésitant pas à encombrer nos institutions démocratiques de sujets à l’opposé du primordial ...»

Pour Timofte, la priorité de l’UDC devrait être de débattre notre modèle capitaliste!  Cette politicienne a un toupet sans limite, c’est probablement même sa plus belle qualité!

Dans son délire de toute-puissance, Timofte veut donner des leçons de démocratie à l’UDC, et pleure de misère financière, tout en s’octroyant le droit de définir les sujets à débattre pour le peuple suisse.
Avec le visage sans scrupules de cette Gauche dans son combat pour la burqa, et l’inversion de la réalité dans ses positions féministes, on aura vraiment tout vu!
Encore une fois, la Gauche ose tout, c’est même à ça qu’on la reconnaît!

Nous constatons chaque jour que les néo-marxistes, en gagnant la guerre culturelle, ont également accaparé le droit de définir ce qui est vrai et réel.

«Le savoir, c’est le pouvoir», dit-on.

Mais le pouvoir que détiennent ceux qui définissent désormais ce que sont le savoir et le vrai est simplement effrayant!

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Levons le voile sur les enjeux des votations fédérales

Anaïs Timofte commente deux des objets soumis au vote le 7 mars.

Alors que l’UDC a subi ces dernières années de nombreux revers dans les urnes qui indiquent que le terrain exploité par le parti nationaliste bourgeois n’est plus le même que celui qui avait fait son succès au tournant des années 2000, ce parti fait tout de même les fonds de tiroir avec l’initiative «antiburqa» en n’hésitant pas à encombrer nos institutions démocratiques de sujets à l’opposé du primordial.

«Le parti prétendument agrarien se montre finalement peu enclin à protéger les agriculteurs suisses.»

Ce voile de fumée tombe à point pour cacher la position de l’UDC Suisse sur l’accord de libre-échange avec l’Indonésie.
Le parti prétendument agrarien se montre finalement peu enclin à protéger les agriculteurs suisses face aux importations et se réjouit même de la mise en compétition des travailleurs suisses avec leurs homologues indonésiens dans tous les secteurs.

Parallèlement, le lancement de l’initiative «antiburqa» montre clairement comment des problématiques sociétales qui ne concernent qu’à peine trente personnes sont agitées afin d’invisibiliser les positions antipopulaires du camp bourgeois en matière sociale et économique.

De nombreux commentateurs rappellent après chaque scrutin le faible taux de participation. C’est dire combien il est crucial de conserver les outils démocratiques de l’initiative et du référendum pour des causes d’intérêt public. À l’inverse, l’instrumentalisation de l’initiative populaire dans le but de susciter une polémique au sujet d’un bout de tissu s’apparente à une véritable confiscation des outils démocratiques par un parti qui en a les moyens financiers.

Resituer le débat public

Pour la gauche populaire que nous représentons, la discorde ne doit pas se structurer autour de questions sociétales (ou de mœurs), mais bien autour des questions sociales. Cela afin de resituer le débat public sur notre modèle économique, plutôt que sur des choix vestimentaires.

Face à cette initiative antiburqa, il existe donc un «non» de gauche qui ne s’apparente pas à une défense du voile intégral, mais à une volonté de réelle défense des outils de la démocratie directe afin que ceux-ci servent l’intérêt public. Qu’il s’agisse des conditions de travail et de revenu, de l’accès à la santé, des protections sociales, de l’avenir de nos retraites ou de l’urgence climatique: les véritables enjeux qui méritent que notre constitution soit dérangée ne manquent pas. Le référendum contre l’accord de libre-échange avec l’Indonésie en est un, pas l’initiative «antiburqa».

Source: https://www.24heures.ch/levons-le-voile-sur-les-enjeux-des-votations-federales-885015291338

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Toujours à propos des positions de l’extrême gauche: l’affichette du Courrier de ce week-end est une manipulation éhontée, elle prête à confusion en donnant malhonnêtement l’impression que pour dire non à la burqa il faut dire non à l’initiative. C’est faux. 

Ne nous laissons pas induire en erreur;

il faut voter OUI si l’on veut dire
«OUI à l’interdiction de se dissimuler le visage».

 

Allemagne : Politiciens de l’AfD frappés, un stand détruit. Il s’agit d’une campagne de violence planifiée par les antifas

Samedi dernier, le candidat de l'AfD Stephan Schwarz (36 ans) a été attaqué par 15 à 20 voyous à Schorndorf et a dû être transporté à l'hôpital.

Le stand d'information du parti a été complètement détruit lors de l'attaque. (...) L'incident a bénéficié d'une couverture médiatique dans toute l'Allemagne.

La police a par la suite arrêté provisoirement cinq suspects (18 à 25 ans), et la sécurité de l’État est en train d’enquêter. Le candidat de l'AfD, Stephan Schwarz, a depuis quitté l'hôpital.

Dans une lettre d'aveux présumée postée sur Indymedia [NDLR : un site web utilisé par les radicaux de gauche], des auteurs anonymes ont écrit : "Un an après l'attaque de Hanau, ceux qui s'agitent le plus agressivement contre tout ce qui n'est pas allemand et qui fournissent ainsi les munitions idéologiques aux terroristes de droite ont été amenés à comprendre qu'être raciste signifie encore et toujours avoir des ennuis".

Il est fait mention à la campagne «Action antifacsiste - Contre les solutions de crise de droite».

Le ministère de l'Intérieur de Bade-Wurtemberg a déclaré au journal Der Welt que cette campagne avait été "initiée par la scène d'extrême gauche de Bade-Wurtemberg au début du mois de février 2021".

 

https://www.youtube.com/watch?v=_0yJwv_QAVo&feature=emb_logo

 

Selon la déclaration, cela "visait les élections régionales dans le Bade-Wurtemberg et la Rhénanie-Palatinat au printemps ainsi que les élections fédérales à l'automne de cette année". En outre, "diverses "actions antifascistes" ont été annoncées tout au long de l'année 2021".

Un portail en ligne distinct a même été mis en place pour la campagne de la gauche radicale. On y célèbre non seulement l'attaque de Schorndorf, mais on y discute également d'une action à Reutlingen au sud de Stuttgart, qui a également eu lieu samedi.

"Le matin, les antifas de Reutlingen et de Tübingen se sont rassemblés sur la place du marché et y ont tenu un stand d'information sur l'AfD", peut-on lire.

Selon leur déclaration, ils étaient également actifs à Francfort, en Hesse, et "avec 200 personnes dans la rue contre la présence de l'AfD à Mühlheim lors des élections du conseil municipal".

Un dépliant se trouve également sur la page de la campagne Antifa. Sous la rubrique "Saboter la campagne électorale de droite", des conseils sont donnés sur la manière de rendre inutilisables les affiches électorales de l'AfD ou de perturber les stands d'information.

Les politiciens de l'AfD sont particulièrement victimes de la violence

Avant tout, peu importe que leurs prospectus électoraux soient détruits ou simplement "modifiés"", écrivent les auteurs sur la page du tract. "Chaque geste contre leur propagande est un coup porté à leur encontre et leur enlève leur place dans l'opinion publique."

Ils poursuivent : "C'est pourquoi il devrait être possible pour chacun - militant ou cadre - de faire sa part pour rendre la campagne inconfortable et coûteuse pour la droite".

Selon le Welt, les attaques contre les politiciens ont récemment augmenté de manière significative. Le rapport indique que les politiciens de l'AfD sont particulièrement touchés.

Ainsi, 863 infractions ont été enregistrées à leur encontre au cours de l'année écoulée - ce qui correspond à plus de 40% de tous les cas comptabilisés.

Selon le Welt, sur un total de 52 crimes violents enregistrés contre des politiciens du Bundestag, 37 cas visaient des élus de l'AfD, suivis par des politiciens de l'Union et du SPD avec quatre cas chacun.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Tag24.de


Rappels :

Allemagne : Les Antifas se préparent à attaquer des policiers et des opposants politiques

En Allemagne, les Antifa lynchent un homme politique en pleine campagne électorale

Allemagne : Au parlement, la gauche soutient officiellement les extrémistes Antifas. « Merci aux Antifas »

Allemagne. Chemnitz : le parti d’Angela Merkel et la gauche soutiennent les antifas face aux patriotes allemands.

Allemagne : les antifas publient un guide du «touriste émeutier» avant une réunion du parti de droite l’Alternative pour l’Allemagne (AfD)

Allemagne. Les extrémistes Antifa ont perturbé le congrès de l’AfD à Cologne avec l’aide de dirigeants politiques de gauche

L’administration allemande responsable de l’enseignement civique : « L’extrémisme de gauche partage les idées libérales et de liberté, d’égalité et de fraternité »

L'extrémisme de gauche : il dissimule une multitude de positions et d'attitudes partiellement contradictoires. Contrairement à l'extrémisme de droite, les mouvements socialistes et communistes partagent les idées libérales de liberté, d'égalité, de fraternité - mais les réinterprètent à leur manière. Ainsi, l'extrême gauche veut provoquer le renversement du capitalisme par des actions révolutionnaires afin d'établir ensuite un ordre social socialiste.

Qu'est-ce qui sépare les extrémistes de gauche des extrémistes de droite et des islamistes, où se trouvent les chevauchements ? Quels sont les groupes actifs en Allemagne ? Et quels objectifs poursuivent-ils ? Ce dossier fait la lumière sur l'idéologie, la structure et l'histoire de l'extrémisme de gauche en Allemagne.

 

 

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bpb.de

 


Note : La Bundeszentrale für politische Bildung est une administration de la République fédérale d'Allemagne fondée en 1952, relevant du ministère fédéral de l'Intérieur, basé à Bonn.

L'État fédéral et l'agence fédérale pour l'éducation civique travaillent à l'interface entre l'État, la politique, les établissements d'enseignement, la science et les médias. Son activité comprend l'éducation civique parascolaire des jeunes et des adultes, ainsi que l'éducation civique dans les écoles. Chargée d'une mission de service public, elle est guidée par les principes du pluralisme, de la confrontation des idées et de la rationalité.

 

Leipzig (All.) : des véhicules de l’armée incendiés par l’extrême-gauche (Vidéos)

Journaliste travaillant pour le quotidien allemand Bild, Julian Röpcke n’y est pas allé par quatre chemins. « Après le K pour Kunduz [province afghane où est déployé un contingent de la Bundeswehr, ndlr] vient le L pour Leipzig », a-t-il lancé sur Twitter, avec le mot-clé « terrorisme », pour commenter l’incendie volontaire de plusieurs véhicules militaires dans un quartier de Leipzig, le soir du Nouvel An.

 

 

 

Selon la presse locale, onze véhicules tout-terrain de la Bundeswehr, de type Mercedes G250 « Wolf » [l’équivalent allemand de la Peugeot P4, ndlr] ont été incendiés alors qu’ils se trouvaient dans les locaux d’un garagiste local pour y subir des réparations et une révision. Et sept ont été détruits.

Pour la police, l’origine criminelle de cet incendie ne fait guère de doute. Et la piste s’oriente vers la mouvance d’extrême-gauche, particulièrement active à Leipzig.

[...]

Opex360.com / Bild.de

France. Coup de filet dans les milieux d’extrême-gauche : vers un retour de la violence politique qui tue ?

Université de Lausanne : «Vos patrons capitalistes doivent payer. Longue vie à la mouvance antifasciste!»

Une entreprise broyarde a été victime d’un vol pour le moins surprenant sur le campus de l’Université de Lausanne, dans la nuit de mercredi à jeudi. Au moment de reprendre le travail au sein du Biophore, le bâtiment occupé par la Faculté de biologie et de médecine, des ouvriers se sont aperçus que les caisses qui renfermaient leurs outils étaient vides. «Nous avons retrouvé une lettre de revendication sur un établi», confie le patron qui préfère rester anonyme. Le texte, écrit dans la langue de Shakespeare, le laisse perplexe.

«Désolé modestes travailleurs – vous êtes l’âme de ce pays! Mais vos patrons capitalistes doivent payer. Longue vie à la mouvance antifasciste! Nous avons aussi pris des outils plus loin derrière la porte rouge. Ils seront utilisés pour et par le peuple. Vous ne devriez pas laisser les portes ouvertes.» Le tout ponctué d’un «Fuck Capitalism», évidemment.

[...]

24heures.ch


La menace terroriste reste élevée en Suisse

Morges serait le premier attentat islamiste dans notre pays

Sur les six premiers mois de l’année, les actes de violence ont augmenté. Ils ont été majoritairement perpétrés à l’arme blanche par des auteurs isolés. Parmi ces attentats terroristes figure probablement le meurtre commis à Morges (VD) le 12 septembre dernier, indique le SRC. Il s’agirait de la première attaque à motivation djihadiste en Suisse.

Du côté des voyages à motivation djihadiste, le dernier départ de Suisse a été enregistré en 2017. Aucune personne motivée par l’idéologie djihadiste n’est revenue de Syrie ou d’Irak depuis 2016. À quelques exceptions près, les 16 personnes rentrées en Suisse de la zone de conflit dans ces deux pays se comportent de façon discrète, selon le SRC.

[...]

20min.ch / Rapport de Sécurité


 

Dans le contexte du terrorisme djihadiste, l’ « État islamique » continue à donner le ton. La menace terroriste en Suisse reste élevée. De nouveaux attentats en Europe sont probables – en premier lieu des attentats inspirés par l’ « État islamique ». Aux yeux des djihadistes, la Suisse fait certes partie des cibles d’attentats légitimes, mais elle ne constitue pas une priorité.

Le potentiel de violence persiste aussi bien parmi les extrémistes de gauche que les extrémistes de droite. Au sein des milieux d’extrême gauche, les formes de violence plus graves comme les incendies intentionnels restent principalement limitées à des cibles considérées comme présentant un lien avec ce que ces milieux désignent par la « répression ». Lors de manifestations, une participation accrue à des actions violentes et une agressivité marquée, voire croissante, sont perceptibles. Les milieux d’extrême gauche tentent notamment de prendre la tête de nouveaux mouvements, comme ce fut le cas cette année lors des manifestations Black Lives Matter en Suisse, et de les instrumentaliser à leurs propres fins.

Les membres des milieux d’extrême droite font actuellement preuve de retenue vis-à-vis de l’usage de la violence, mais il convient de tenir compte d'indices faisant état d’entraînements à des sports de combat et de la possession d’armes fonctionnelles. En Suisse, le principal risque d’attaque motivée par l’extrême droite émane d’auteurs isolés partageant les convictions de ces milieux, mais qui ne sont pas membres à part entière de groupes extrémistes violents établis.

Vbs.admin.ch

Bâle : des extrémistes de gauche diffusent le numéro privé de policiers

Tout a commencé par une attaque ciblée d’un site de la société Securitas en août. Des hackers y ont semble-t-il dérobé des données personnelles d’employés de la société de sécurité, mais aussi de policiers, de fonctionnaires de justice ou de gardiens.

Ces données, principalement des numéros de portable, ont ensuite été diffusées sur un site d’activistes de gauche.

[...]

20Min.ch

Lettre empoisonnée destinée à Donald Trump : La femme arrêtée aurait été radicalisée par des mouvements d’extrême gauche pro-immigration

La femme de Longueuil qui a envoyé une lettre contenant de la ricine au président américain aurait pu être radicalisée par des mouvements d’extrême gauche, selon des sources contactées par notre Bureau d’enquête.

L’un des courants de pensée auxquels Pascale Ferrier aurait pu adhérer serait lié à une mouvance pro-immigration, relatent ces mêmes sources, qui ont requis l’anonymat.

La femme originaire de France se serait radicalisée notamment en fréquentant différents groupes sur les réseaux sociaux.

[…]

« J’ai trouvé un nouveau nom pour toi : “Le clown tyrannique hideux”, j’espère que tu l’apprécies », pouvait-on lire dans la lettre postée du Canada et portant la signature « Esprit Rebelle Libre ».

Les recherches du FBI démontrent que Ferrier avait utilisé les mêmes mots le 9 septembre dernier sur les médias sociaux Twitter et Facebook en ajoutant cependant cette référence : « #killTrump ».

L’auteure affirme également que si le poison destiné à Donald Trump ne le décourageait pas d’abandonner sa candidature aux prochaines présidentielles, elle se rendrait aux États-Unis avec ses fusils… et c’est exactement ce qu’elle a fait.

[…]

Selon le témoignage de l’agent spécial du FBI Jonathan Preston, qui se qualifie d’expert en « armes de destruction massive », les empreintes digitales de Ferrier ont été trouvées sur d’autres courriers envoyés au Texas pendant la même période.

Elle avait déjà été arrêtée le 13 mars 2019 dans la localité de Mission, au Texas, pour possession d’armes non enregistrées et d’un permis de conduire falsifié.

C’est en recoupant les empreintes trouvées sur les lettres et celles des banques de données du FBI que les policiers américains auraient identifié la suspecte.

[…]

Journal de Montréal

Via Fdesouche

Allemagne : Les Antifas se préparent à attaquer des policiers et des opposants politiques

Selon les informations dont disposent les autorités de sécurité, l'"Action antifasciste" (Antifa) d'extrême gauche se prépare à des attaques contre des policiers, des opposants politiques et des extrémistes de droite présumés.

C'est ce qu'a rapporté le magazine d'information FOCUS, citant une analyse des risques réalisée par l'Office fédéral de la police criminelle et l'Office fédéral de protection de la Constitution.

Les autorités mettent en garde contre la "professionnalisation de l'usage de la violence"

Le document fournit par les deux autorités indique que le groupe Antifas et ses quelque 50 groupes de soutien régionaux "professionnalisent l'exercice de la violence" depuis un certain temps. Les extrémistes de gauche ont récemment calculé que leurs adversaires seraient gravement blessés. Même des assassinats ciblés sont concevables, rapporte le magazine d'information, en référence à une étude de l'Office de protection de la Constitution de Berlin.

Dans un dossier Internet complet, le mouvement Antifa de Berlin reconnaît expressément des douzaine d'attaques contre des opposants politiques ainsi que des attaques par le feu et la  peinture contre des biens immobiliers et des véhicules. Dans les texte, les victimes ridiculisées étaient pour la plupart des politiciens de partis de droite, des membres de sociétés d'étudiants, et des journalistes.

Les services de renseignements occidentaux possèdent des indications selon lesquelles des membres allemands du mouvement Antifa suivent un entraînement au combat avec la milice de gauche kurde YPG en Syrie. Selon le magazine d'information FOCUS, des photos sur Internet montrent de jeunes Européens avec des fusils d'assaut.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Focus.de


Rappels :

Suisse : pour le socialiste Fabian Molina, les antifa qui saccagent des villes sont des héros

Allemagne : Au parlement, la gauche soutient officiellement les extrémistes Antifas. « Merci aux Antifas »

Greta Thunberg photographiée avec un t-shirt des extrémistes de gauche « antifas »

L’ONU défend “la liberté d’expression” des… casseurs antifas

Seattle : les antifas s’approprient un « Etat autonome », sous la férule d’un gangsta rappeur, où le Blanc est discriminé

Portland (USA) : des Antifas brûlent des bibles et des drapeaux américains (Vidéos)

Portland (États-Unis) : un militant antifa pédophile poignarde un Noir pro-Trump au cours d’émeutes #BlackLivesMatters

Trump veut inscrire la mouvance «antifa» sur liste terroriste

L’Antifa veut établir un système anarcho-communiste en Syrie, avec le YPG/PKK (Analyste américain)

Dijon : la voiture de Marine Le Pen attaquée par des antifas

À Seattle, c’est déjà une réalité : des Antifa armés font la loi dans une « zone autonome » sans police

 

Le fascisme anti-occidental suprémacistes noirs, islamistes et extrême gauche : décryptage de Black Lives Matter avec Pierre Rehov (2ème partie)

Source : Valeursactuelles

Pierre Rehov est reporter de guerre, réalisateur de documentaires, chroniqueur dans la presse française, israélienne et américaine et romancier. Bien avant que le grand public n’entende parler des « Black Lives Matter » et même que n’éclatent les affaires Floyd aux Etats-Unis et Traoré en France, Rehov avait pressenti l’émergence de ce nouveau « fascisme anti-occidental » rouge-black-vert qui unit des suprématistes noirs, des islamistes et des mouvements d’extrême-gauche décidés à détruire de l’intérieur l’Occident judéo-chrétien. Deuxième partie de son entretien avec Alexandre del Valle.

Lire la première partie

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Alexandre del Valle. A la lumière du phénomène Traoré, dont les « comités » sont clairement liés aux Frères-Musulmans, aux gauchistes révolutionnaires et à la Nation de L’Islam, assiste-t-on à un mouvement révolutionnaire anti-occidental planétaire ?

Pierre Rehov. L’affaire Traoré est née des mêmes mécanismes que j’ai décrits en réponse à votre première question. Sauf que la France n’est pas les Etats Unis et que cette mascarade sulfureuse a trouvé ses partisans dans les plus hautes sphères de l’Etat. Tout autant que George Floyd, délinquant récidiviste tué par un policier blanc au cours de son arrestation, Adama Traoré était inscrit dans les registres de police pour violence, recel, outrages, extorsion à main armée, menaces de mort, conduite sans permis, usage de stupéfiants, vol à la roulotte et viol d’un co-détenu qu’il menaçait régulièrement d’une fourchette. Triste portrait d’un individu qui ne méritait pas pour autant la mort.

Mais à une époque de renversement des valeurs comme conséquence du rejet d’un système, il n’en fallait pas davantage pour faire d’un voyou une icône de la victimisation. Sa sœur, Assa Traoré, est donc devenue le symbole de l’antiracisme à la française, en bénéficiant du soutien d’une presse de gauche qui n’en est pas à sa première incartade dans ce domaine, et de mouvements politiques tels celui de Mélenchon, fervent nostalgique du stalinisme et antisioniste primaire, ce qui fait de lui, qu’il s’en défende ou non, un antisémite proche d’un Korbyn en Angleterre, d’une Linda Sarsour, d’une Ilhan Omar, d’une Rachida Tlaïb ou d’un Louis Farrhakan aux USA.

Est-il exact que des milliardaires démocrates, des GAFAM et autres Soros anti-Trump ont soutenu le BLM ?

Il est troublant de constater que la fondation de George Soros, soutien inconditionnel des Démocrates et de nombreux mouvements dissidents, vient d’injecter 220 millions de dollars dans une ombrelle de mouvements de défense des Noirs face à la justice, dont 100 millions seraient donnés à BLM. L’organisation « Thousand Currents » à Oakland, en Californie, reçoit les dons de BLM parce que la Black Lives Matter Foundation n’a pas le statut d’exonération fiscale. Donc l’organisation radicale de gauche « Thousand Currents » « sponsorise fiscalement » BLM. C’est elle qui reçoit leurs dons, qui se chiffrent maintenant en millions. Comme l’association à but non lucratif « Thousand Currents » contrôle l’argent, les donateurs sont autorisés à déduire les dons faits à BLM de leurs impôts. Et comme aucun journaliste ne révèle l’existence de Thousand Currents, il est impossible de retracer ces dons.

N’oublions pas que les fondatrices de BLM sont marxistes. Opal Tometi, troisième fondatrice, est également la directrice exécutive de la « Black Alliance for Just Immigration« . Ce groupe est associé à la « Freedom Road Socialist Organization« , un groupe marxiste-léniniste qui a reçu un financement de la Fondation Tides dirigée par George Soros.

Le terme BLM cache en fait l’existence de deux groupes bien distincts dans leurs objectifs, le premier servant aux médias pour cacher les buts du second. Il y a d’une part les gens qui participent aux manifestations BLM parce qu’ils aiment l’Amérique, considèrent qu’elle est raciste, et veulent qu’elle s’améliore et les activistes de l’organisation BLM qui haïssent le capitalisme, haïssent l’Amérique et veulent sa destruction. Parallèlement au slogan « Les vies des Noirs comptent », éminemment louable, il y a l’organisation BLM Global Network Foundation, qui est une organisation marxiste. La BLM Global Network Foundation, financée par Soros au travers de l’Open Society, se sert du prétexte du slogan pour faire avancer le marxisme. Elle ne considère absolument pas que « Les vies des Noirs comptent » et ne se manifeste jamais lorsque des Noirs, même des enfants, sont tués à Chicago tous les week end.

Quant aux GAFAM (acronyme des géants du Web – Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft)* la vision progressiste de ses dirigeants n’est plus à démontrer et les conservateurs ont beau jeu d’affirmer, preuve à l’appui, que leurs messages sont censurés dans des proportions alarmantes, tandis que les pires excès de l’autre camp sont tolérés avec une complaisance démesurée. Ce qui conduit à des aberrations, telle que Twitter supprimant des messages de Trump père et fils en faveur du traitement préconisé par le professeur Raoult contre le Covid19, tandis que Facebook refuse de censurer les appels à la destruction d’Israël par l’Ayatollah Khameini, considérant qu’il s’agit d’un message politique et donc n’entrant pas en contradiction avec ses règles d’utilisation. Dans la nouvelle vision de l’humanité, qui ressemble par certains aspects à celle des années trente, envisager l’extermination des Juifs israéliens ne s’éloigne pas trop du politiquement correct. J’en arrive à la conclusion que les éléments du GAFAM balancent entre une idéologie de nantis à l’égo surdimensionné et la nécessité de séduire la plus grande masse pour des raisons commerciales. Le politiquement correct est leur label de notoriété.

[* Note de Dreuz : le terme est utilisé couramment pour parler de l’ensemble des géants de la High Tech, au delà des 5 principaux (Twitter, …), vu que ceux ci présentent quasi tous les mêmes travers « progressistes »]

Pourquoi parle-t-on moins du sort de citoyens américains pacifiques et des conséquences des émeutes BLM que de celui d’un voyou, certes tué par un flic sadique ?

Pendant les deux semaines d’anarchie nationale qui ont suivi la mort de George Floyd, des policiers ont été abattus, tailladés et agressés, leurs véhicules ont été bombardés et détruits. Mais les élites américaines sont restées silencieuses. A Minneapolis, les fusillades ont plus que doublé cette année par rapport à l’année dernière. Dans la ville voisine de St. Paul, les tirs d’armes à feu ont plus que doublé. A Chicago, 18 personnes ont été tuées et 47 blessées lors de fusillades le dernier WE de juin. Parmi les victimes, on compte un garçon d’un an qui se trouvait dans une voiture avec sa mère et une fille de 10 ans qui a été frappée à la tête à l’intérieur de sa maison. Le week-end précédent à Chicago, 104 personnes ont été abattues, dont 15 mortellement. Parmi les personnes décédées, un garçon de 3 ans qui se trouvait dans une voiture avec son père et une fille de 13 ans atteinte d’une balle dans la tête à l’intérieur de sa maison. Le taux d’homicides à New York est le plus élevé depuis cinq ans. Le nombre de victimes de fusillades a augmenté de plus de 42 % jusqu’au 21 juin par rapport à la même période en 2019. Le nombre de fusillades au cours des trois premières semaines de juin a été plus de deux fois supérieur à celui de la même période en 2019, faisant de ce mois de juin le plus sanglant de la ville depuis près d’un quart de siècle.

Mais qui en parle ? Fin juin, à 4 heures du matin, une femme de 30 ans a reçu une balle dans la tête à Brooklyn, lors d’une fête. Le samedi après-midi, un homme et une femme ont été abattus devant une maison de Brooklyn. Tôt vendredi matin, une jeune fille de 19 ans a été abattue au cœur de Manhattan. Les homicides de Milwaukee ont augmenté de 132 %. Les fusillades sont en hausse à Indianapolis. Depuis le début de l’année, Baltimore compte plus de morts qu’à ce jour en 2019. Les meurtres de juin incluent une femme de 23 ans qui était enceinte de huit mois et sa fille de trois ans. Jusqu’à présent cette année, 78 % des victimes d’homicides à Chicago sont noires, bien que les Noirs représentent moins d’un tiers de la population. Mais les partisans du « supprimez les budgets de la police » et l’establishment démocrate n’ont rien dit sur la perte croissante de vies noires.

Au lieu de cela, la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, préfère tweeter sur le droit à l’avortement, la gay pride et la « culpabilité » du président Trump dans l’épidémie de coronavirus. Les attaques gratuites contre des citoyens âgés se sont multipliées ces dernières semaines : une femme de 78 ans a reçu un coup de poing à la tête à Brooklyn, un homme de 80 ans a été jeté à terre, traîné et volé dans le Bronx et une femme de 92 ans a percuté une bouche d’incendie dans le Gramercy Park de Manhattan. La délégitimisation à grande échelle de la justice américaine et le battement de tambour incessant sur la suprématie des Blancs s’inscrivent dans un climat fasciste où il est devenu interdit de s’indigner contre ce deux poids deux mesure.

Pendant ce temps, les responsables de la justice pénale eux-mêmes se rendent. Le commissaire de police de New York a démantelé l’outil le plus efficace du département pour faire disparaître les armes illégales de la rue (Les “Serpico”, les policiers infiltrés dans les gangs”) et le gouverneur de NY, Andrew Cuomo, a aboli les cautions pour sortir après les arrestations : les criminels sont remis en liberté immédiatement et peuvent recommencer leurs agressions. Les policiers de tout le pays se font ordonner d’ignorer les délits de bas niveau, et les procureurs des villes refusent de poursuivre les arrestations pour atteinte à l’ordre public. En revanche, le couple de Saint Louis qui a osé défendre, armes à la main, sa propriété contre l’attaque d’une meute BLM qui venait de détruire son portail et avait envahi son jardin, n’a même pas le droit d’invoquer le droit à l’auto-défense garanti par le second amendement de la constitution américaine, face à un procureur noir (élu grâce au financement de Soros) qui a décidé d’avoir leur peau. Des embuscades attendent les officiers qui répondent aux alertes de tirs, aux fêtes illégales et à d’autres délits.

Récemment, des officiers new-yorkais ont été agressés avec des bouteilles et des déchets par un groupe de 500 personnes à 3h45 du matin à Harlem alors qu’ils essayaient de trouver la source d’une fusillade. Un officier de Baltimore a reçu une balle dans l’estomac au début du mois alors qu’il tentait de disperser une grande fête à l’ouest de Baltimore. Deux voleurs de voitures à Chicago ont percuté un policier avec leur voiture volée et l’ont traîné sur une courte distance en juin dernier. Fin mai, des foules ont jeté des bouteilles de verre sur des officiers de Chicago alors qu’ils tentaient d’arrêter des suspects armés. Dans un cas, la foule a essayé de libérer le suspect d’une voiture de patrouille. Ce n’est pas seulement une fracture de la société, mais la volonté délibérée de mettre en exergue les rares faits justifiant l’idéologie gauchiste propagée par certains médias, au détriment d’une réalité dont souffrent de plus en plus les pays occidentaux.

Voyez-vous des points communs entre l’ascension du nazisme en 1933 et la montée de la haine antisémite puis envers l’Homme Blanc constatée avec BLM et l’islamisme radical ?

Le seul parallèle que je puisse faire aujourd’hui est l’ascension de l’islamisme avec la complicité des mouvements d’extrême gauche, qui voient dans cette conquête une revanche bienvenue des « opprimés du colonialisme » sans se rendre compte que les valeurs qu’ils prétendent défendre sont à l’opposé de celles contenues dans l’islam militant.

L’extrême gauche a tout raté. Les pays qui se sont adonnés au Marxisme sont tous des exemples d’échec, d’absolutisme, d’économie anémique, et n’ont pu survivre en tant que système que par la terreur imposée à leurs populations. N’ayant pas réussi à transformer la société au nom d’une idéologie contraire à la nature humaine, les Marxistes et autres Trotskistes, Léninistes et Maoïstes, se sont retranchés derrière la défense des peuples victimes du colonialisme en Afrique et au Moyen Orient. Mais voici que ces peuples, plusieurs générations après leur libération, sont toujours dans l’échec, gangrénés par la corruption de leurs dirigeants et que leurs révolutions n’aboutissent qu’à l’avènement de systèmes de plus en plus obscurantistes. Il fallait donc trouver la victime absolue, celle qui n’aurait pas encore réussi à faire ses preuves car toujours sous le joug de l’oppression occidentale.

Avec la renaissance d’Israël, berceau du peuple Juif, l’Histoire leur a offert un cadeau de choix. Le peuple palestinien. On a vu les premiers résultats aux tous débuts de l’Intifada déclenchée par Arafat avec la conférence de Durban qui est vite devenue une convention antisioniste, durant laquelle au nom de l’antiracisme il était de bon ton de crier « mort aux Juifs ». Ce constat est valable pour une frange extrême des écologistes, pour les militantes féministes les plus virulentes et pour la communauté gay, qui reproche à Israël de mettre en avant son libéralisme à l’égard des minorités sexuelles (Tel Aviv et Jérusalem accueillent chaque année parmi les plus grandes parades de la fierté) pour masquer un pseudo génocide contre les Arabes de Palestine. Que des homosexuels soient torturés, battus à mort ou jetés du haut des immeubles en terre d’Islam les dérange beaucoup moins que l’existence du seul état Juif dans moins d’1% du Proche-Orient.

L’origine de cet antisémitisme virulent associé à un combat pour l’hégémonie d’une idéologie politico-religieuse est complexe et mérite d’être abordée de façon factuelle, ce qui est impossible à travers un résumé par essence réducteur. Si je vous dis que le Nazisme a eu un grand rôle à jouer dans la naissance du nationalisme arabe de Palestine, et que ce même nationalisme, mort avant que d’avoir abouti avec la conquête de la Judée Samarie et Gaza par la Jordanie en 1948, est ressuscité en 1964 sous la pression de l’Union Soviétique pour sauver le panarabisme pantelant du président Nasser, cela ressemble à un slogan politique. Pourtant, ce sont des faits vérifiables et inscrits dans l’histoire.

Mais la haine antisémite gravée dans la pensée islamique remonte à Mahomet, lorsqu’après avoir été initié au monothéisme par les Juifs et les Chrétiens, il a voulu convertir les tribus qui l’avaient convaincu de l’existence d’un dieu unique à sa nouvelle religion, plagiat des précédentes. Leur refus a engendré des massacres relatés avec fierté dans les Hadiths, et une phrase a traversé les temps jusqu’à aujourd’hui : « khaybar khaybar ya yahud jaish muhammad saya’ud » (Khaybar Khaybar, O Juif, l’armée de Mahomet va revenir). Khaybar a été un lieu de bataille célèbre, à l’issue de laquelle Mahomet et ses sbires ont massacré la quasi-totalité des Juifs, converti leurs enfants à l’Islam et réduit leurs femmes et leurs filles en esclavage. Cette phrase est inscrite dans l’éthos palestinien, sachant que les dirigeants de l’OLP, du Fatah et du Hamas, tout en prétendant le contraire pour les premiers, n’accepteront jamais une paix négociée mais seulement une victoire par les armes conduisant à la destruction d’Israël. D’où le confit sans fin du Proche Orient dans le cadre d’une réécriture de l’histoire financée par les pétrodollars et portée par la peur du terrorisme, avec la complicité des Nations Unie, tributaires de leur majorité arabe et tiers-mondiste automatique et celle d’une Europe assoiffée de pétrole et paralysée par la peur.

En résumé vous avez deux mouvements parallèles lancés à la conquête du monde. L’Islamisme et le Marxisme. Leur avènement passe forcément par la destruction de l’occident, de sa culture, de ses richesses et de son histoire. Une fois encore, les Juifs en sont les boucs émissaires.

Doit-on avoir peur pour le futur de l’Occident ? Comment contrer ce « fascisme anti-occidental » rouge-brun-vert ?

C’est une inquiétude. Les sociétés blanches occidentales sont en train de se fissurer et risquent un jour d’être détruites non par des conquêtes extérieures, mais par implosion. Hitler disait « envoyez-moi un avocat des droits de l’homme, je l’accueillerai avec une mitraillette ». C’est un peu le mécanisme de déliquescence de nos sociétés que l’on voit à l’œuvre. D’un côté les partisans du « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », qui se retrouvent à chanter des chansons de scout après chaque attentat terroriste, et de l’autre des idéologues cyniques, actifs et sanguinaires, contre lesquels nos démocraties, en l’état, ne font pas le poids.

Notre époque est la première durant laquelle des populations entières, par peur de perdre leur petit confort, et au nom d’un politiquement correct que le président Truman méprisait, prennent le parti de l’adversaire et se jugeant responsables d’une situation dont ils sont victimes. Cela par une réécriture de l’histoire. Celle de la guerre d’Algérie, par exemple, où les terroristes du FLN sont exonérés pour les atrocités qu’ils ont commises, tandis que les soldats du contingent français et leurs descendants doivent faire amende honorable devant une population immigrée qui a fui son pays d’origine, malgré les infrastructures admirables construites par la France et le pétrole du Sahara que De Gaulle a bien voulu abandonner.

Quelles que soient les ressources d’un pays, il faut un système cohérent, une volonté populaire commune, des dirigeants sincères et un niveau d’éducation suffisant pour les exploiter afin d’en partager les richesses. Les terres d’Islam sont incapables de produire de tels dirigeants mais seulement des systèmes autoritaires et des gouvernements corrompus. D’où cet exode massif d’émigrés économiques vers des pays que certains conspuent dès leur arrivée, partant du principe « qu’on leur a tout pris et qu’on leur doit tout ».

Je ne crois pas au « grand remplacement » comme le résultat d’une cabale qui ressemblerait au « Protocole des Sages d’Islam », mais plutôt comme celui de la lâcheté des leaders européens qui vivent dans la culpabilité post-coloniale et se sont laissés convaincre que l’ouverture des frontières à des millions d’immigrés soulagerait leur conscience tout en autorisant l’afflux d’une main d’œuvre nécessaire. J’observe ce phénomène avec un certain dégout, car leur philosophie se résume à « nous avons besoins d’immigrés pour ramasser nos poubelles et payer nos retraites ». En cédant à leur tendance paternaliste d’arrivistes bobos, ils ont ouvert les portes à une véritable invasion d’individus dont un grand nombre ont été élevés dans l’idée que la colonisation a été la source de leur malheur et que tout leur est dû. Les Espagnols, Portugais et Yougoslaves qui constituaient le creuset de l’immigration jusqu’aux Trente Glorieuses préféraient sans doute leur pays d’origine à la France, mais n’arrivaient pas à Paris avec un esprit revanchard. Les deux migrations ne sont pas comparables, ne serait-ce que sur le plan religieux et culturel.

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

source 1: https://www.valeursactuelles.com/monde/del-valle-le-fascisme-anti-occidental-supremacistes-noirs-islamistes-et-extreme-gauche-decryptage-de-black-lives-matter-avec-pierre-rehov-partie-2-122386

source 2: https://www.dreuz.info/2020/08/06/le-fascisme-anti-occidental-supremacistes-noirs-islamistes-et-extreme-gauche-decryptage-de-black-lives-matter-avec-pierre-rehov-2eme-partie/

Berlin : Des habitants se sentent menacés par des anarcho-féministes. Les politiciens de gauche répondent qu’ils ne changeront rien.

Note : La lettre de protestation de ces habitants s'intitule "Solidarité pour Liebig34, une gifle pour nous". Liebig34 est le mouvement anarchiste que les habitants dénoncent et qui est soutenu par la gauche.


Berlin - Fin juin, les habitants des nouveaux bâtiments situés entre la Rigaerstraße 22 et la Liebigstraße 1 ont écrit une lettre de protestation aux politiciens du quartier, comme la maire de Kreuzberg, Monika Herrmann (56 ans, membre des Verts).

Ils se sentent menacés et demandent de l'aide.

Voici la réponse insolente ! Elle a été signée par Annika Gerold et Julian Schwarze des Verts et par Katja Jösting et Oliver Nöll du parti Die Linke (La Gauche).

La lettre indique notamment : "Il s'agit d'un "projet de maison anarchiste, queer et féministe", où "il est possible de vivre ensemble comme un collectif sans structures patriarcales ou discriminatoires". Nous ne voulons rien en retirer".

Les responsables politiques soulignent l'importance des squatters pour l'image de Friedrichshain-Kreuzberg ... "Ils font partie de notre identité, que nous puissions ou non nous identifier aux discours qui y sont tenus."

Les habitants se sentent véritablement harcelés par ces mêmes squatters. Un graffiti "Les Yuppies doivent mourir" a été étalé sur une vitre. Un autre graffiti souhaite que les habitants attrapent le coronavirus "dans la gorge". Des pierres auraient été jetées dans des chambres d'enfants et dans une garderie.

 

 

Les responsables politiques concluent : "A notre avis, une expulsion ou un départ du collectif Liebig34 ne changerait rien à cette situation. Au contraire, cela servirait probablement de prétexte ou de justification à une nouvelle escalade".

Pour les auteurs de la lettre "Solidarité pour Liebig34, une gifle pour nous", cette réponse est une seconde gifle. "C'est une insulte", se plaint un habitant indigné.

Car les politicien du parti de la Gauche et des Verts ont introduit une résolution au niveau du Conseil municipal. Dans ce document, ils se sont prononcés contre l'expulsion ordonnée par le tribunal du projet de logement alternatif Liebigstrasse 34. Et l'appel à l'aide lancé par la suite par les résidents a été presque simplement étouffé.

C'est un fait : depuis des années, de violentes émeutes éclatent autour de la scène des squatters à Friedrichshain. Ce n'est que dans la nuit du 30 juin que le chaos de l'extrême gauche a provoqué une coupure de courant entre la Liebigstrasse et la Zellestrasse, érigeant des barricades, barbouillant les façades des maisons de peinture et démolissant des voitures.

L'opposition a de nouveau vivement critiqué le Sénat. L'alliance "Rouge-Rouge-Vert a affaibli l'État constitutionnel pendant des années avec une fausse tolérance et de l'inaction", a déclaré le chef de faction de la CDU, Burkhard Dregger.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de / Bz-berlin.de

 

USA : des extrémistes de gauche déboulonnent une statue… qui tombe sur l’un d’entre eux

Et une pétition veut remplacer cette statue par une statue de la rappeuse Missy Elliott

 

 

En Virginie, des manifestants s'en sont pris à un monument confédéré alors que la colère contre l'injustice raciale provoquée par la mort de George Floyd secoue les Etats-Unis.

 

 

Toutes les statues ont été couvertes de peintures et les manifestants ont été filmés en train de les faire tomber. Une personne qui faisait face à l'une des statues a été blessées lorsque celle-ci est tombée sur lui. L'étendue de ses blessures n'est pas encore connue.

RTL.be

via Fdesouche

L’entreprise de glaces Ben & Jerry’s : « Il faut démanteler la suprématie blanche »

Nous tous, chez Ben & Jerry's, sommes scandalisés par le meurtre d'un autre Noir par des policiers de Minneapolis la semaine dernière et par la réponse violente que la police continue d'opposer aux manifestants. Nous devons faire entendre notre voix. Nous devons être solidaires avec les victimes de meurtre, de marginalisation et de répression en raison de leur couleur de peau, et avec ceux qui cherchent à obtenir justice par des manifestations dans tout notre pays. Nous devons dire son nom : George Floyd.

 

 

George Floyd était un fils, un frère, un père et un ami. Le policier qui a mis son genou sur le cou de George Floyd et les policiers qui sont restés sur place n'ont pas seulement tué George Floyd, ils l'ont volé. Ils l'ont volé à sa famille et à ses amis, à son église et à sa communauté, et à son propre avenir.

Le meurtre de George Floyd est le résultat d'une brutalité policière inhumaine qui est perpétuée par une culture de la suprématie blanche. Ce qui est arrivé à George Floyd n'est pas le résultat d'une "pomme pourrie", mais la conséquence prévisible d'un système et d'une culture racistes et pleins de préjugés qui ont traité les individus noirs comme des ennemis dès le début. Ce qui est arrivé à George Floyd à Minneapolis est le fruit de graines toxiques plantées sur les rives de notre pays à Jamestown en 1619, lorsque les premiers hommes et femmes asservis sont arrivés sur ce continent. Floyd est le dernier d'une longue liste de noms qui remonte à cette époque et à ce rivage.

[...]

Les policiers qui ont assassiné George Floyd, qui l'ont volé à ceux qui l'aimaient, doivent être traduits en justice. Dans le même temps, nous devons nous atteler à la tâche plus compliquée qui consiste à rendre justice à toutes les victimes de la violence et du racisme parrainés par l'État.

[...]

Il y a quatre ans, nous avons déclaré publiquement notre soutien au mouvement Black Lives Matter. Aujourd'hui, nous voulons être encore plus clairs sur la nécessité urgente de prendre des mesures concrètes pour démanteler la suprématie blanche sous toutes ses formes.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour les Observateurs.ch)

Benjerry.com

Etats-Unis : Des extrémistes ont incendié une résidence avec un enfant à l’intérieur, puis ils ont bloqué les pompiers (Vidéo)

Un responsable de la police de l'État de Virginie a fondu en larmes lors d'une conférence de presse dimanche, en décrivant comment des extrémistes et des émeutiers ont mis le feu à une résidence familiale avec des enfants à l'intérieur et ont ensuite empêché les pompiers d'intervenir.

William Smith, le chef du département de police de Richmond en Virginie, a éclaté en sanglots devant la presse alors qu'il racontait le chaos qui s'est produit lors des émeutes de samedi soir.

 

 

William Smith décrit comment des "manifestants" ont intentionnellement mis le feu à une résidence avec un enfant à l'intérieur et ont ensuite empêché les pompiers et les services d'urgence d'atteindre l'incendie. Heureusement, les policiers ont pu aider les pompiers à franchir les "manifestatns" pour atteindre la maison et sauver l'enfant.

William Smith relève également que son service de police dispose d'informations selon lesquelles de nombreux individus ont voyagé dans tout le pays participer aux troubles.

"Nous savons qu'il s'agit d'un effort organisé. Nous sommes déterminés à identifier ceux qui sont derrière tout cela. Et nous faisons de notre mieux pour arrêter les auteurs des violences sur notre communauté, notre ville et nos citoyens", a conclu M. Smith.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Voiceofeurope.com

Stuttgart : les extrémistes de gauche se félicitent d’avoir tabassé des militants de droite, dont un se trouve toujours dans le coma

Retour en arrière : Il y a presque deux semaines, trois hommes (38, 45 et 54 ans) se rendaient à la manifestation "Querdenken 711" au Wasengelände lorsqu'ils ont été frappé dans la Mercedesstraße.

Andreas Z., 54 ans, a subi de graves blessures à la tête et se trouve depuis en danger de mort. Il est membre du groupe de droite "Zentrum Automobil" (ZA) au sein du comité d'entreprise de Daimler.

"Son état est toujours critique", a déclaré jeudi le porte-parole de la police, Stephan Widmann, à TAG24. "Il se trouve toujours dans le coma."

Pour les auteurs de l'article publié sur Indymedia [NDLR : site utilisé par l'extrême gauche], le jeune homme de 54 ans, qui lutte contre la mort, est un "fasciste" dont la grave blessure à la tête "l'a amené dans un état médical critique".

Pour les auteurs anonymes, l'attaque n'est "qu'un exemple de diverses interventions antifascistes tangibles qui ont été effectuées ce jour-là contre la présence fasciste".

[...]

Sur le site Indymedia, l'attaque est présentée ainsi : Les militants antifascistes ont attaqué "trois personnes de droite qui voulaient rejoindre le point de rencontre du groupe d'entreprises fascistes "Zentrum Automobil". Les trois individus se sont retrouvés au sol après une courte confrontation".

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Tag24.de

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