Genève : les socialistes s’opposent au contrôle intensif des clandestins

Dans le viseur des élus PS, l’administration fédérale des douanes. (...) Car au début de février, les contrôles «intenses» et «systématiques» ont semé un vent de panique parmi les bénéficiaires de l’aide alimentaire sur le site de Caran d’Ache, à Thônex. Ces contrôles ne ciblent pas frontalement les lieux de distribution, mais donnent lieu à des interpellations de sans-papiers, puis à la transmission du dossier à l’Office cantonal de la population et des migrations en vue d’une expulsion, selon les collectifs de soutien aux travailleurs illégaux.

Or Genève adopte une pratique conciliante à l’égard des personnes sans titre de séjour depuis plusieurs décennies.

(...)

TdG


Rappels :

Genève : Violente agression d’un livreur clandestin par une bande « très défavorablement connue »

Genève : Le respect de la diversité va devenir une exigence légale

Genève. Nouveaux droits politiques pour les étrangers au niveau communal et cantonal : La gauche appuie totalement.

Genève. Vols et brigandages violents : 150 « mineurs », originaires le plus souvent d’Afrique du Nord, occupent la police

Onex (Commune à forte immigration à Genève) : «Je n’ai jamais vu autant de dingues au mètre carré»

Opération Papyrus de Maudet avec le soutien de Sommaruga : Validation de dossiers malgré des soupçons de fraude, ingérence de Maudet, absence de directives…

 

Suisse. Traités internationaux : Seul le camp rose-vert s’oppose à ce que le référendum obligatoire soit inscrit dans la Constitution

Le référendum obligatoire pour les traités internationaux à caractère constitutionnel fait déjà partie du droit constitutionnel non écrit. Il pourrait désormais figurer dans la Constitution fédérale.

«Le projet ne crée pas plus de démocratie directe, mais plus d’insécurité et de marge de manœuvre pour l’interprétation», lui a opposé Daniel Jositsch (PS/ZH). Pour chaque traité international, de longues discussions pourraient avoir lieu, afin de déterminer s’il est de rang constitutionnel ou non et donc s’il doit être soumis au peuple ou non, a abondé Lisa Mazzone (Verts/GE).

[...]

Au final, seul le camp rose-vert a rejeté en bloc le projet.

[...]

TdG

Pour les socialistes de Genève, l’obligation du port du masque est une « évidence »

Par Joëlle Bertossa, Sylvain Thévoz, coprésident·e PS, Ville de Genève

L’obligation du port du masque dans les lieux publics est une évidence qui ne devrait pas faire débat. Pourtant, un certain nombre de citoyen·ne·s la remettent en question. Les débats sont devenus tendus et même acrimonieux à ce sujet depuis l’annonce du Conseil d’État d’obliger le port du masque dans les commerces à dater du mardi 28 juillet.

Ostensiblement, une ligne de fracture se marque entre les pro et anti-masques. Cela est regrettable. Notre société n’a pas besoin d’une telle fracture, au moment où l’unité et l’engagement de toutes et tous contre la maladie et ses terribles répercussions sociales et économiques doivent se renforcer.

[...]

Tdg.ch


Alain Berset le 3 avril 2020 :

«Nous avons toujours dit que, dans le fond, pour les personnes en bonne santé, les masques n’apportent pas de plus-value importante, répond le ministre. Mais cela dépend aussi toujours du moment de la crise dans lequel on se trouve. Je vous ai toujours dit que l’on ne peut rien exclure.»

TdG


Cela dépend surtout des stocks de masques, inexistants à l'époque, et du fait qu'il faut cacher au peuple suisse l'incompétence de la Confédération puisque celle-ci n'a rien prévu pour sa propre population alors que les fonctionnaires sont payés pour "prévoir"!

Par contre, lorsqu'il s'agit d'envoyer des milliards aux pays en voie de développement et de soutenir les musulmans, aucun problème pour Berset!

Rappels :

Avec 2 mois de retard, l’OFSP « recommande le port du masque si les distances ne peuvent être respectées »

Suisse : L’Etat savait que l’on manquerait de masques

Le Matin : « Ces autorités qui nous ont menti sur les masques de protection »

Daniel Koch de l’OFSP : « Il n’est actuellement pas faisable de rendre les masques obligatoires. Il faudrait 300 millions de masques pour cela. »

Belgique : Près de 80% des mandats publics des pararégionaux sont occupés par des socialistes

Forem, IFAPME, CGT ... Le PS truste 80 % des mandats publics au sommet de la hiérarchie des pararégionaux.

La situation de forte politisation du sommet de l’administration wallonne, avec une domination certaine du PS, une présence solide du CDH et une percée d’Ecolo, avait été détaillé dans La DH du 3 juin, à partir d’une cartographie du Gerfa (Groupe d’étude et de réforme de la fonction administrative).

Cette politisation ne se limite toutefois pas au Service public de Wallonie (SPW). Pour la première fois, le Gerfa a étendu son analyse aux organismes pararégionaux wallons. Ces entités qu’on appelle également organismes d’intérêt public fonctionnent sous l’autorité de la Région wallonne, emploient plusieurs milliers de fonctionnaires et sont elles aussi soumises au code de la fonction publique wallonne. Comme au SPW, leurs dirigeants sont désignés par mandat octroyé par le gouvernement wallon. La DH a pu consulter une étude qui sera publiée dans le diagnostic du Gerfa de juin.

[...]

Dhnet.be

Nos remerciements à pierrebxl

 

Les jeunes socialistes déclarent que Bâle est une « zone sans UDC »

Il y a une quinzaine d'années, Christoph Eymann, conseiller national du LDP, a proclamé Bâle "zone sans UDC" (SVP-freien Zone) et ce terme est apparu pour la première fois dans la ville du bord du Rhin. Lors des élections de 2019, les Jeunes socialistes bâlois, qui n'ont pas grand-chose à voir avec le LDP, vont relancer ce slogan :

«Les JUSO de Bâle-Ville suivent son exemple et montrent aujourd'hui par leur action qu'un parti raciste et haineux comme l'UDC ne peut représenter une ville cosmopolite et tolérante comme Bâle à la Berne fédérale », ont-ils écrit dans un communiqué de presse jeudi soir.

[...]

Le conseiller national Sebastian Frehner a réagi avec humour. "C'est bien que les jeunes socialistes aient trouvé une autre affiche de l'UDC qui n'a pas encore été détruite par leurs partisans", répond-il au site d'information BaZ, remerciant les jeunes socialistes pour leur publicité gratuite. [...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bazonline.ch

POLLUTION DES EAUX SOUTERRAINES. LES AGRICULTEURS INJUSTEMENT ACCUSÉS

LES VERTS ET LES SOCIALISTES ENTIÈREMENT RESPONSABLES.

Le dernier rapport NAQUA sur la qualité des eaux souterraines que l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) a publié cet été laisse extrêmement songeur. Les agriculteurs y sont accusés par l’OFEV d’être les principaux responsables de la pollution de nos eaux souterraines.

Cette accusation a été reprise de long en large par les grands médias et par une partie du monde politique, telle la conseillère nationale (PS) Ada Marra qui ne s’est pas privée d’en rajouter, allant jusqu’à accuser le monde agricole d’actes de négligence et de mettre en danger nos ressources aquifères. En cette période pré-électorale dénoncer le bouc émissaire en se présentant comme de vertueux défenseurs de l’environnement tombait donc comme du pain béni.

Oui, sauf que quiconque aurait lu ce rapport de l’OFEV en aurait éprouvé un certain malaise.

Le chapitre sur les nitrates y est en particulier plus que problématique pour ne pas dire plus. Et l’accusation unilatérale portée contre les agriculteurs à tout le moins inadmissible. L’OFEV aurait pu faire preuve d’un minimum de retenue, comme il sied à tout auteur scientifique, il s’est passé ce principe par-dessous la jambe.

De quoi s’agit-il ?

Le problème se présente ainsi. Alors que l’OFEV accuse dans son rapport les agriculteurs de polluer nos eaux souterraines, une autre publication, celle de l’Office fédéral des statistiques (OFS), dit exactement le contraire, et se félicite des excellents résultats du monde agricole en matière de nitrates.

Ces rapports fédéraux nous montrent deux services de l’Etat qui disent exactement le contraire l’un de l’autre. Et alors on de se demande comment c’est possible.

Dans sa publication sur les nitrates l’OFS indique que l’agriculture a considérablement diminué son utilisation de l’azote (dont la dégradation et le surplus se transforme dans l’eau en nitrates). La production de résidus d’azote en Suisse est passée de 150'000 tonnes dans les années nonantes à 100'000 tonnes aujourd’hui, soit une réduction de plus d’un quart.

L’OFS rajoute :

Mais ce n’est pas l’interprétation que fait l’Office fédéral de l’environnement (OFEV).

Et l’on se demande alors d’où vient cette contradiction.

Dans son rapport AQUA 2019 l’OFEV justifie ses accusations contre le monde agricole. Il montre deux cartes, la première qui situe les puits de mesures de qualité de l’eau souterraine en Suisse selon des régions divisées en zones urbanisées, zones agricoles, de forêt, et ainsi de suite. Puis une seconde carte qui montre les puits qui ont enregistré les dépassements de taux de nitrates.

Les stations de mesure en rouge ci-dessous sont celles qui se trouvent dans les zones de grandes productions agricoles.

L’OFEV compare ensuite les stations de mesure en zone de grandes productions agricoles (en rouge ci-dessus) avec les stations où l’on a trouvé les taux de nitrates les plus élevés, stations en rouge et en orange ci-dessous.

Et l’OFEV conclut de ces deux cartes que les zones de grandes productions agricoles sont celles où l’on trouve le plus de dépassements de taux de nitrates. Et que par conséquent c’est l’agriculture la principale responsable de la pollution de nos eaux souterraines.

Oui, sauf que si l’on y regarde de plus près il existe au moins deux grandes exceptions.

La région grisonne qui en gros va de Coire à Bad Ragaz et suit la vallée du Rhin et qui est considérée comme une zone de grandes production agricole (carrés rouges à gauche ci-dessous) et qui est pourtant une région qui montre des dépassements en nitrates minimes (à droite ronds verts et oranges).

À l’inverse, ci-dessous, la région de Bâle-Ville qui n’est pas considérée comme une zone de grandes production agricole (les carrés gris indiquent de la zone urbaine) et qui montre des taux très élevés de nitrates (ronds rouges à droite).

Il existe donc au moins deux cas très significatifs ou une corrélation entre zone de grande production agricole et pollution très élevée aux nitrates n’est pas valable sans autres considérations.

Ce constat aurait dû amener à un minimum de prudence avant d’accuser sans réserve toute la corporation de l’agriculture. Cela aurait été la moindre des choses.

La preuve par le compte de l’azote.

L’injustice de cette accusation est confirmée par les données sur la production de l’azote.

Pour bien comprendre il faut ici se rappeler son cycle. En simplifié l’azote c’est les engrais que l’on introduit dans la production agricole, azote qui se transforme en protéines végétales dont l’homme se nourrit ou en protéines animales (le bétail consomme des protéines végétales et les transforme en protéines animales que nous consommons). L’azote qui est perdu lors de la production (ex. par ruissèlement dans les champs) se retrouve dans les eaux sous forme de nitrates, de même l’azote que l’homme consomme sous forme de protéines est rejeté sous forme de nitrates dans les eaux usées que les stations d’épuration en principe dénitrifient.

Le compte de l’azote peut être ainsi assez précisément évalué, on peut quantifier l’azote qui entre dans notre système de production-consommation de denrées alimentaires et l’azote qui en ressort, autrement dit la quantité de nitrates que nous rejetons dans notre environnement.

Et ici le constat est sans ambiguïté, il montre l’injustice qu’il y avait à désigner les agriculteurs suisses comme les seuls et uniques responsables et à les prendre en boucs émissaires de la dégradation de nos eaux souterraines.

- Depuis 1990 la surface des terres agricoles en Suisse (sans les surfaces naturelles) a baissé de près de 12 %.

- Depuis 1990 la quantité de bétail a diminué de 15 %.

- Depuis 1990 la quantité d’azote utilisé par l’agriculture Suisse a diminué de 16 %.

Alors que notre population est passée de 6.7 à 8.4 millions d’habitants et a augmenté de 26 % !

Désigner les agriculteurs suisses d’aujourd’hui comme les principaux et seuls responsables de la pression sur nos eaux souterraines était donc particulièrement injustifié.

Faut-il rappeler à l’OFEV que la pollution de l'eau par les nitrates est une pollution avec une grande inertie en raison de la lenteur et de la complexité du cycle de l'azote dans les sols. Et que si comme il le dit, les taux de nitrates ne baissent plus, on peut tout de même poser la question de savoir si ce n’est pas en raison de cette inertie naturelle et d’une pollution héritée du passé et non pas en raison des comportements des agriculteurs d’aujourd’hui.

À tout le moins, il restait encore beaucoup de questions à poser avant de s’en prendre uniquement aux agriculteurs de notre pays et à les désigner comme les principaux coupables.

Une approche politiquement biaisée.

Lorsqu’on lit le rapport de l’OFEV on constate que s’il cherche à incriminer les agriculteurs d’autres acteurs semblent en comparaison curieusement épargnés. La carte qui suit en donne un exemple.

Cette carte documente la pollution des eaux souterraines à raison cette fois de ce que l’on nomme les phytosanitaires, en gros les herbicide et les pesticides, qui sont reconnus cancérogènes pour l’homme contrairement aux nitrates dont le problème reste (jusqu’à preuve du contraire) uniquement celui de l’eutrophisation de nos eaux.

Comment en effet ne pas voir que les principales stations qui ont mesuré des dépassements extrêmement importants de substances phytosanitaires se trouvent toutes à proximité de voies importantes de communication ou de nœuds de transports. Bien évidemment pour pouvoir attribuer la pollution au transport il aurait fallu ici étudier les versants d’écoulements à proximité des puits concernés. Mais le fait est là. Comment retrouve-t-on précisément ces excès près des voies autoroutières et ferroviaires d’importance alors que le secteur routier a l’interdiction d’utiliser tout herbicides et le ferroviaire partiellement ? Une question qui aurait dû être un peu plus posée.

Tous les points rouges sont proches d’une autoroute à grand trafic, parfois cumulé à des voies ferroviaires. La région de Brig comporte une gare de triage importante et la voie qui conduit au tunnel du Simplon. Ici on semble avoir évité de s’en prendre à l’accroissement des transports.

De telles questions se posaient également pour les COV, en gros les résidus d’hydrocarbures, par ailleurs, eux-aussi, autrement plus problématiques pour la santé de l’homme que les nitrates, hydrocarbures qui ont été essentiellement retrouvés dans les eaux souterraines proches des concentrations urbaines et industrielles.

Le même constat pouvait être fait à propos ce que le rapport désigne sous la notion doucement euphémisante « d’indicateurs d’eaux usées » mais qui concerne tous les produits chimiques organiques de synthèse, tels les tensio-actifs, les résidus de médicaments, les édulcorants artificiels, les produits anticorrosifs, les agents complexant, les composés chimiques de l’industrie spécialisée, et on en passe, et que l’on retrouve dans les eaux souterraines lorsque les stations d’épurations ne peuvent les traiter ou que les systèmes de canalisations sont surchargés ou défaillants. Des indicateurs que la Suisse ne relève à l’échelle nationale que depuis 2013.

En 2014, dernière année de mesures compilées, ces substances (toxiques pour l’homme) ont été retrouvées dans 200 des 530 stations de mesures d’eaux souterraines ! Elles ont été retrouvées dans les eaux souterraines à proximité des rivières et des fleuves, indiquant par-là qu’il y a donc bien une relation avec les insuffisances des stations d’épurations [1].

Dans 200 des 530 stations de mesures !

Et l’on voudrait nous faire croire que le premier problème des eaux souterraines de notre pays serait celui posé par les agriculteurs… C’est juste une plaisanterie !

Un principe de prudence corrompu par l’intérêt politique des Verts et des Socialistes.

Le principal problème posé par la pollution de nos eaux souterraines se trouve dans la limite de nos capacités de contrôles. S’il existe 100'000 composés chimiques recensés sur le marché et potentiellement toxiques pour l’homme l’OFEV ne peut en mesurer que 60, il en reste donc 99'940 non mesurés. Et un contrôle de toutes ces substances nous est à jamais matériellement impossible, le coût de mesure de toutes ces substances serait impossible à financer à teneur des moyens dont nous disposons. De même que les stations d’épurations seraient incapables de toutes les traiter.

Pour illustrer ce problème on renvoie au cas récent de l’agence européenne de surveillance qui vient de déclarer potentiellement cancérogène un composé que précisément nous ne mesurions pas, le chlorothalonil, et qui vient d’être interdit [2].

Un enfant de dix ans comprendrait alors ici la nature et l’urgence des constats qui sont faits.

Les nitrates sont en voies d’être maitrisés du mieux que nous pouvons. Et le principal problème auquel nous avons à faire face aujourd’hui est alors celui de la croissance de ces autres composés chimiques dus à nos activités quotidiennes et que nous rejetons en permanence dans nos eaux. Croissance de composés chimiques dans nos eaux dont la progression est liée à notre croissance démographique.

Le simple bon sens et ce constat, un minimum de prudence, auraient dû démontrer ici que si nous voulons préserver la qualité de nos eaux souterraines avec les moyens dont nous disposons, il était impératif de limiter dès aujourd’hui la pression humaine sur notre territoire.

Mais ça ce n’est pas la politique que les Verts et les Socialistes veulent imposer à notre pays. Leur programme politique est diamétralement contraire aux mesures de limitation démographique qui seraient nécessaires pour protéger notre sol et nos eaux souterraines. Ils défendent une ouverture migratoire totale et une Suisse à plus de 10 millions d’habitants !

Leur dogmatisme, leur manque de réalisme, est une véritable catastrophe pour notre pays.

Concernant le rapport de l’OFEV (dont on doute qu’il n’y ait aucun souverainiste dans leur service) on aura presque tout dit lorsqu’on dira qu’il confirme ce qui est dit ici puisqu’il conclut lui-même que «notre principale ressource en eau potable subit une pression croissante » (p.128) que « l’extension des zones urbanisées et des voies de communication réduit la protection assurée par le sol, qui sert de filtre lors de la recharge des eaux souterraines » (p.131) mais qu’à aucun moment il ne suggère ou ne laisse entendre que cela puisse avoir un quelconque lien avec notre croissance démographique démentielle.

Vous l’aurez compris, une fois de plus. Chut, circulez il n’y a rien à voir. Les dogmes règnent en maîtres sur le territoire helvète.

Vous pensiez que gouverner c’était prévoir. Alors il faudra vous faire à l’idée que ce n’est actuellement plus le cas en Suisse.

Michel Piccand

Addendum.

On remercie les Verts et les Socialistes pour le chlorothalonil.

L’affaire du chlorothalonil montre toute l’inconséquence véritablement criminelle des Verts et des Socialistes à vouloir à la foi l’abolition des frontières, l’explosion démographique de notre pays à 10 voire 12 millions d’habitants, et puis à venir ensuite jouer les offusqués lorsque l’agriculture recourt à des procédés de production intensive.

Faut-il leur rappeler que l’aubergine bio à 8.20 le kg ne sera jamais accessible à une grande partie de notre population, à moins de subventionner la consommation de produits bio directement au citoyen. Bonne idée après tout, en prélevant par exemple les subventions destinées à la culture, au théâtre et au cinéma, à Erasmus, à la RTS, etc. pour les transférer directement au citoyen-consommateur et pour permettre à tous les Suisses de se nourrir sainement. Ce qui devrait quand même être une priorité.

On remercie donc ici les Ada Marra, les Lisa Mazzone, les Adèle Thorens, les Robert Cramer, les Carlo Sommaruga, et on en passe, tous ces socialistes et ces Verts et leurs acolytes du PDC et du PLR, qui ont violé toutes nos institutions et notre démocratie pour nous obliger à vivre dans une société en explosion démographique constante avec les conséquences de surexploitation sur les ressources de notre pays qui en découlent.

Et à ceux qui voudraient nous faire croire que l’on pourrait très bien nourrir en bio toute notre population on rappellera que depuis l’explosion migratoire, l’importation de denrées alimentaires de l’extérieur n’a cessé de croitre dans notre pays au point que nous devons désormais importer plus de 40% de notre alimentation de pays où rien ne garantit de manière crédible que les aliments produits à meilleurs coûts le sont par des agriculteurs plus respectueux des normes environnementales que les agriculteurs de Suisse… (qu’ils aillent donc lire ce qui est marqué sur les bidons à Algésiras… et trouvent des cartes qui recensent les stations d’épurations et leurs fonctionnement dans ces régions…)

C’est littéralement à s’arracher les cheveux de bêtise !!

La seule manière de limiter la pression sur nos eaux est de limiter notre croissance démographique, il n’y en a pas d’autre.

Plus il y aura de monde sur notre territoire et plus l’accumulation de résidus toxiques dans nos eaux souterraines sera élevée.

_____________

[1] Le rapport de l’OFEV tire cette même conséquence sur les stations d’épurations : « Plus la part d’eaux usées (traitées) dans un cours d’eau est élevée et plus l’infiltration est importante, plus ces indicateurs d’eaux usées atteignent des concentrations élevées dans les eaux souterraines. » Rapport OFEV p.106.

[2] Le chlorothalonil est un fongicide utilisé sur le blé, l’orge, la tomate et la pomme de terre, il est utilisé dans l’agriculture qui fournit les denrées alimentaires de base, précisément dans des productions où le rendement a dû être augmenté pour répondre à l’augmentation démographique de notre pays.

Les métabolites du chlorothalonil sont des cancérogènes de catégorie 1B avec un potentiel génotoxique.

L’administration fédérale vient de demander l’arrêt immédiat de son usage dans l’agriculture, la mesure a pris effet dès la rentrée.

RAPPORT OFEV

État et évolution des eaux souterraines en Suisse 2019.

https://www.bafu.admin.ch/bafu/fr/home/themes/eaux/publications/publications-eaux/resultats-observatoire-eaux-souterraines-naqua.html

Dénis de démocratie

Libération refuse la démocratie aux USA. Il nie la liberté des peuples d'élire qui ils veulent. Et si en plus, ces élus appliquent le programme qu'ils ont déclaré, c'est une catastrophe pour les socialistes et autres partis politiques qui en général, s'en moquent.

Marie France Garaud le disait d'ailleurs, "les programmes politiques ne sont que les inventaires de leurs faillites futures". C'est dire que cela remonte loin cette idée de programme construit pour les gogos d'électeurs.

"Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent" disait Charles Pasqua. Pourtant, chacun avait l'amour de la France et ne seraient pas tombés aussi bas comme ont su le faire les derniers Présidents de la République des 40 dernières années. Aussi loin que l'on regarde dans le rétroviseur, on ne voit personne qui au fond, avait l'amour de la France chevillée au corps comme celui qu'avait le général Charles De Gaulle, malgré tous les écarts commis en particulier, envers les Français d'Algérie.

Comme à son habitude l'ineffable Libération  reste au niveau des caniveaux gauchistes. Voici un journal qui défend la démocratie mais insulte les électeurs qui ne votent pas dans le bon sens. Ce n'est pas dit clairement bien sûr, mais les électeurs américains seraient des idiots, des racistes, de sales petits blancs, et tant pis si une grande partie des électeurs de Donald Trump était noir, hispanique et asiatique. Ce qui compte, c'est laisser une empreinte médiatique laissant entrevoir le discours habituel de ces islamo-gauchistes qui est "les heures les plus sombres de notre histoire", auquel vous pouvez ajouter "le ventre encore fécond de la bête immonde". Tant pis également, si la bête immonde qui sévit aujourd'hui depuis 15 ans sur toute la planète est le nazislamisme. Qu'importe si les femmes en islam sont traitées comme des serpillières, vitriolées en Asie, exécutées au sabre ou lapidées en Arabie, pendues en Iran, etc. Femme sous citoyenne, quasi esclave et trop souvent contente par la grâce d'une "religion" qui les encourage pour quelques hassanettes de plus. (les bons points pour le paradis).

libé-non-démocrate

Ce qui compte pour ces torchons de la socia-lie, ce sont les Madonna qui s'érigent chaque jour dans les médias en Sainte Vierge, entre deux soirées sur scène, en démonstrations dégradantes de femelles bonobos en chaleur. Une insulte à la dignité de la femme. Elles montrent et démontrent que leurs discours démocrates ne valent pas plus que leurs étrons. Désolé, mais je crois encore que "la femme est l'avenir de l'homme" et ces Madonna et autres artistes, sont indignes.

madonna

Libération fait partie de ce paysage qui offense la dignité, la décence et le respect que nous devons aux femmes. Libération  fait sa pute et arpente les trottoirs à la recherche du gauchiste attardé, bourré au zadiste, et trop con pour comprendre qu'il pisse sa bière sur lui, et ne vit que de la générosité des contribuables.

Libération se dit démocrate et vomi sur le vote qui a amené Donald Trump au pouvoir. Parce qu'il n'y croyait pas, n'y pensait même pas. Sa boussole est déglinguée. Elle ne montre plus le Nord, mais l'Est. Elle se tourne vers la Mecque et Libération fait le lien entre deux visions du monde, celui des altermondialistes et celui de la Oumma. Viendra le jour, où cette Oumma fera la peau aux autres mondialistes.

"L'expérience n'est qu'une bougie qui n'éclaire que celui qui la porte" disait Confucius. L'Histoire des peuples devraient être des lampadaires pour éclairer chaque Nation de son expérience. L'ensemble, pourrait-être un immense soleil pour éclairer l'humanité. Et pourtant, cette humanité bégaie et répète à chaque générations suivante, les mêmes folies, les mêmes erreurs à chaque coin du globe. Nous retrouvons sans arrêts les mêmes Daladier et Chamberlain prêts à se vendre, comme la Du Barry suppliant le bourreau Samson  pour quelques minutes de plus. Si elle avait pu, que lui aurait-elle proposé pour sauver sa vie. Madonna a sûrement la réponse puisqu'elle avait proposé une fellation à chaque électeur d'Hilary Clinton !

L'humanité est responsable. Elle se donne les mêmes dirigeants, les mêmes dictateurs, les mêmes vendus dans les démocraties, et donc les mêmes corrompus de l'Afrique à l'Asie en passant par l'Amérique et l'Europe.

L'Humanité a décidé de ne pas ouvrir les rideaux et faire entrer le soleil. En clair, comme le disait Orwell, "un peuple qui réélit des corrompus, des renégats n'est pas une victime, il en est le complice."

Les Américains ont appelé Donald Trump à la Maison Blanche ! L'improbable Trump. El il fait ce qu'il dit à la surprise du monde entier. Il a tiré les leçons de l'histoire. Qui en France fera de même ? Certes, je pense à Marine Le Pen malgré sa triste et désolante déclaration sur "l'islam compatible avec les lois de la République". Alors, va pour le Front National  puisque nous n'avons rien d'autre. Rien d'autre que cette désolante représentation politique islamophile et tous vendus à peu de chose près, à Bruxelles, au Qatar et à l'Arabie Saoudite

Gérard Brazon

 

Réflexions d’un Juif sur le « génocide » des Européens

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Michel Garroté - Sur Riposte Laïque, Anatoly Livry se livre à une réflexion longue, passionnée et explosive, sur le mal français et sur le déclin de l'Europe, réflexion dont je reproduis ci-dessous des extraits adaptés (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Né au sein d’une famille juive dans la capitale de l’Union soviétique encore à la belle époque de la stabilité de Brejnev que l’on appelle la « stagnation », je ne pouvais m’empêcher de regarder par-delà le limes idéologique, ce qui m’a alors transformé, encore citoyen de l’URSS, en un anticommuniste primaire, secondaire et tertiaire et ce qui m’a valu des décennies plus tard, une fois naturalisé Français, d’être chassé de la Sorbonne. Un dissident vrai le restera toujours, tant poursuivi par le KGB que dans la France des "robots" : nous, les résistants, nous possédons le talent de recueillir des données simples, basiques, de les comparer, puis de poser des questions parfois naïves, ce qui pourtant fait immédiatement de nous des ennemis mortels à abattre par un système incapable d’apporter une réponse à nos interrogations sans que celle-ci n’ébranle les fondements de son totalitarisme tout-puissant, qu’il soit russophone ou francophone.
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Ayant grandi dans un monde sans Internet, au contact d’une civilisation glorifiant le livre, élevé par une école national-socialiste élitiste « à la germanique » fondée par un Staline admiratif du IIIe Reich et de ses philanthropies, mon unique lien avec le passé, derrière le rideau de fer, résidait dans la lecture des vieux journaux du parti unique communiste. Pourtant, même là, épluchant les pages excrémentielles de la Pravda, cette source exclusive d’informations, l’on parvenait à mettre à mal le despotisme qui les avait produites quelques décennies auparavant. L’analyse de texte est un métier dangereux pour toute dictature. Or, à peine âgé d’une douzaine d’années, retrouvant le numéro 7955 daté du 29 septembre 1939 du torchon du « comité central du parti communiste pan-soviétique bolchevique », je lisais les conclusions de l’« accord germano-soviétique de l’amitié et de la frontière entre l’URSS et l’Allemagne », autrement dit en termes limpides : l’assassinat d’une certaine Pologne qui a déclenché, quelques semaines avant la publication du traité, l’agression du IIIe Reich par la Grande-Bretagne et la IIIe république, parodos de la Deuxième Guerre mondiale.
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Les camarades Ribbentrop et Molotov s’étaient réunis, annonçait la Pravda, pour « régulariser des questions survenues suite à la scission de l’État polonais, initiative grâce à laquelle l’Allemagne et l’URSS ont posé les fondements solides d’une longue paix en Europe orientale. Les deux parties sont d’avis que la liquidation de la présente guerre entre l’Allemagne d’un côté et l’Angleterre et la France de l’autre côté répondrait aux intérêts de tous les peuples. Vers cette fin les deux gouvernements canaliseront leurs efforts, si nécessaire de concert avec d’autres États amis. Si, cependant, les efforts des deux gouvernements demeuraient vains, cela signifierait que l’Angleterre et la France porteraient elles seules l’entière responsabilité de la poursuite de la guerre. Dans ce cas de figure, l’Allemagne et l’URSS se consulteront mutuellement quant aux moyens de riposte. » (Pravda, 29 septembre 1939, page 1). À cette époque, encore adolescent, j’ai osé poser des questions spontanées, ce qui fut le premier acte, alors inconscient, de dissidence dans ma vie : pourquoi la Grande-Bretagne et la France, suite à l’annexion par l’URSS de la partie orientale de la Pologne, n’ont-elles pas également déclaré la guerre à Staline ?
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Mais surtout, élevé avec les condamnations du tribunal de Nuremberg comme bible socialiste, j’interrogeais mes maîtres : de quel droit le juge soviétique a-t-il condamné les dirigeants allemands pour avoir déclenché cette guerre que l’URSS avait également initiée avec le Reich six années auparavant, tout en accusant la Grande-Bretagne et son acolyte français d’en porter toute la responsabilité devant les peuples de l’univers. Et pour comble : pourquoi, au lieu de juger l’Allemagne, les deux responsables de la Seconde Guerre mondiale n’attaqueraient-ils pas l’URSS, occupant dès 1945 cette Pologne au secours de laquelle les Britanniques avec des Français ont volé à peine six ans auparavant. L’unique réponse que j’ai reçue fut la répression et c’est seulement plusieurs années plus tard que j’ai compris que l’authentique rival à abattre dès les années 30 était non pas un assaillant militaire quelconque, mais le national-socialisme d’un peuple indo-européen, ce paradis sur terre que des Allemands entendaient créer d’abord pour eux-mêmes, puis pour les nations du continent.
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Plus tard, Français, diplômé d’un DEA en histoire à l’EHESS de Paris, j’ai poursuivi mes investigations sur les sources de Soljenitsyne tout en enseignant la littérature russe à la faculté d’Études slaves de Paris IV-Sorbonne et j’ai découvert, tant dans les archives russes et allemandes que dans l’habituellement très menteuse Wikipédia, que le nombre officiel de prisonniers du Goulag condamnés pour « crimes contre-révolutionnaires » s’élevait, pour la seule année 1939, à environ un demi-million de personnes.
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Pourtant, mes chers collègues professeurs universitaires français atteignaient très rapidement le point Godwin quand ils calomniaient leurs concurrents académiques, « nazi » étant la pire des injures dans une faculté de France. En d’autres termes : même la troisième génération de professeurs universitaires français après le sordide mai 68 déclenché par des marxistes d’alors était atteinte des réflexes pavloviens inculqués par les protocoles du tribunal de Nuremberg, pourtant incapable d’apporter des réponses aux questions les plus basiques. Puis, sont venues mes interrogations sur la nécessité de la loi proposée par le communiste Gayssot et introduite à l’Assemblée nationale par Fabius, notre actuel ministre. De plus, Juif soucieux du bon sens, j’essaie toujours de me mettre à la place de mes coreligionnaires dits « persécutés par l’extrême droite » et qui seraient secourus par cette loi inique.
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En effet, la thèse de ceux qui l’avaient promue et qui la protègent demeure la suivante : les contestataires de la condamnation imposée en 1946 par les vainqueurs sur les vaincus à Nuremberg cherchent à justifier les crimes contre les Juifs et, par conséquent, souhaitent la création d’un cadre civique où les pogroms anti-judaïques pourraient avoir lieu. Or, il s’avère que simultanément les défenseurs de cette loi liberticide exaltent l’« intégration européenne ». J’ai donc suivi à la lettre la ligne générale imposée par nos staliniens modernisés et, en « bon Européen », ai porté mon regard sur les pays occidentaux de notre continent où le code pénal ignore la contestation des « crimes contre l’Humanité commis durant la IInde Guerre mondiale ». Je me suis arrêté sur un pays que je connais fort bien, la Suède, laquelle, avec ses voisins scandinaves, « ne punit pas la négation des génocides ou des crimes contre l’Humanité », comme il y a encore quelques années l’approuvait l’Institut helvétique du droit comparé.
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Passionné par la connaissance, je me suis saisi des statistiques des crimes anti-judaïques perpétrés en France, pays de la loi Fabius-Gayssot, et de celles du royaume des Bernadotte, lequel, selon la logique de nos liberticides républicains, abandonne ses Juifs aux « massacres des Nazis ». Quel n’a pas été mon étonnement de découvrir que la Ve république, ce pays de la loi Fabius-Gayssot, battait à plate couture la Suède par le pourcentage d’agressions antisémites. Par ailleurs, curieux, je me suis rendu en Israël où j’ai fréquenté une communauté de mes coreligionnaires, sujets suédois, qui avaient fui la ville de Malmö où leurs ancêtres vivaient pourtant depuis des siècles. Pratiquant auprès d’eux mes acquis linguistiques en hébreu et en suédois, je leur ai demandé si c’était bien les descendants des Vikings qui les avaient poussés à l’« Alya » ?
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Les miséreux binationaux suédo-israéliens m’avaient rassuré d’une seule voix : le responsable de leur exode était la mairie trotskisante de la ville de Malmö qui attire depuis des décennies tout le Maghreb et toute la Turquie avec le Moyen-Orient et l’Afrique subsaharienne, promouvant naturellement le culte mahométan de ses électeurs préalablement naturalisés par tribus entières. Les intellectuels bornés de nos universités ne peuvent même pas accuser la Suède des crimes colonialistes dont ces dégénérés ethno-masochistes, pourtant Français de souche, accablent leur patrie : les uniques colonies suédoises des siècles passés furent la Finlande et la Norvège. Que de drôles de choses se passent dans notre Europe, car pour génocider des Aryens du Nord, les cosmopolites ne peuvent évidemment pas recourir, comme en France, au « sens des responsabilités des descendants de colonisateurs d’Afrique et d’Asie ».
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Les déracinés de la Suède, neutre depuis plus d’un siècle, pratiquent donc une pleurnicherie d’un racisme anti-blanc beaucoup plus humiliante pour la sapience de leurs compatriotes : « Vous êtes de la même extraction germanique que les Nazis. Taisez-vous et laissez-vous effacer de la surface du globe. Sinon, vous recommencez l’Holocauste d’Hitler ». Cependant, aux Suédois, il reste une éventuelle échappatoire spirituelle – que, certes, ils n’utilisent pas pour l’instant : celle d’entamer, un jour, une discussion sur l’« Holocauste des Nazis ». Nous autres Français dont l’âme est otage d’une loi socialo-communiste n’aurons même pas cette possibilité pour nous défendre un jour : au nom de la lutte contre une occupation quasi mythique de quelques dizaines de milliers de cousins germains, nous sommes forcés d’accepter un contingent semblable d’envahisseurs, lequel cependant arrive par vagues mensuelles.
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Nous aboutissons donc à une perversité dont l’analyse nous dévoile le réel but de la loi Fabius-Gayssot, apparaissant alors comme un moteur psycho-médiatique, et non législatif, de l’extermination des peuples européens. Les architectes de la loi Fabius-Gayssot sont d’authentiques criminels contre l’humanité, a fortiori contre les Juifs de base qu’ils sacrifieront avec une délectation perverse. Voilà pourquoi, dès qu’une voix, même celle d’un Juif supra-médiatisé, s’élève contre l’invasion et l’occupation des terres européennes, ces ordures hystériques sombrent dans une crise qu’ils considèrent comme une démarche intellectuelle : « Vous vous comportez comme les Nazis envers les Juifs. Reconduire les clandestins (« migrants », comme ces alogoi les appellent) chez eux, c’est comme envoyer les Juifs dans les chambres à gaz d’Hitler », vocifèrent ces aliénés, même face à des Juifs français de bon sens.
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Et ils agitent frénétiquement la loi Fabius-Gayssot aggravée par les fardeaux légalisés qui en découlent avec toutes leurs multiples « incitations à la haine ». En revanche, dès qu’ils ont amassé en France, suite à ce chantage doctrinal permis par la loi Fabius-Gayssot, des foules d’occupants allogènes, celles-ci, au fur et à mesure qu’elles remplacent les Aryens, se mettent gaillardement à massacrer mes consanguins juifs. Je conclurais en ces termes : l’immonde loi Fabius-Gayssot n’a pas rempli son rôle intrinsèque, celui d’éviter les pogroms et les meurtres des Juifs français – les statistiques des États européens ayant échappé aux oukases contre les « contestations de crimes contre l’Humanité pendant la Seconde Guerre mondiale » le prouvent clairement. Pire encore : par sa perversité, la loi Fabius-Gayssot encourage les actes délictuels visant les Juifs français, car elle excite l’envie de mahométans entassés en France par les mêmes socialo-communistes qui, plus suicidaires que traîtres, voient dans l’oumma la source inépuisable de leurs futurs électeurs.
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Cependant, comme je l’avais déjà précisé et que je le répète en toute conscience (car la pédagogie, c’est la répétition), ces promoteurs de la loi Fabius-Gayssot se moquent ouvertement des Juifs français. Soyons plus clair : cela ne sera pour eux que satisfaction si ces Juifs occidentaux périssent par centaines de milliers, nouvelles victimes collatérales de l’installation d’un gouvernement mondial sur une planète sans races ni peuples – une Terre déchirée par l’inculture et la laideur, la criminalité multi-ethnique et des guerres inépuisables, chaos aisé à administrer par une poignée des yahoos. Le but fondamental des prêtres fanatiques du cosmopolitisme, c’est de bâillonner, grâce à la loi Fabius-Gayssot, les derniers résistants à l’occupation de l’Europe qui se révoltent contre le génocide des peuples aryens, un génocide qu’ils appliquent avec l’effronterie des grands psychotiques malfaisants que l’on a trop laissés sans surveillance, conclut Anatoly Livry sur Riposte Laïque (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Anatoly Livry est un universitaire franco-suisse né à Moscou. Docteur ès lettres, polyglotte, auteur de nombreux articles et ouvrages scientifiques, dont  Nabokov le nietzschéen (édition "Hermann"), il a également enseigné à l'université Nice-Sophia Antipolis ainsi qu'à Paris IV-Sorbonne. Auteur de quinze livres publiés, Anatoly Livry est lauréat de quatre prix scientifiques internationaux, de deux prix littéraires russe et américain et d'un  Prix international pour le "Courage Civique dans ses engagements de poète et de citoyen", ce dernier récompensant les analyses d'Anatoly Livry de la démocratie occidentale ainsi que le fait d'avoir théorisé et publié, en tant que Professeur-invité à l'Université d'Etat de Russie, son expérience de la procédure de qualification du Conseil National des Universités (CNU), 2011-2015. Anatoly Livry est actuellement membre du CTEL de Nice-Sophia Antipolis, du laboratoire Littératures, Imaginaire, Sociétés (LIS) de l'Université de Lorraine (anciennement Centre de recherches Jean Mourot) ainsi que de la Société Française de Littérature Générale et Comparée (SFLGC) depuis 2013.Depuis l'été 2012, Anatoly Livry est Professeur-invité de l'Université d'Etat de Russie Moscou-Lomonossov où il enseigne les littératures grecque antique, russe et française, le théâtre suédois et français, le cinéma suédois ainsi que les philosophies antique, allemande et russe. Théorisant sa propre expérience, Anatoly Livry enseigne la sémiotique du fonctionnement de l'Université française.
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http://ripostelaique.com/reflexions-dun-juif-loi-fabius-gayssot-source-genocide-europeens.html
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Propagande socialiste et médiatique contre l’initiative de mise en oeuvre

Nos lecteurs nous prient de publier. Merci à Cenator :

Le PS poursuit sa propagande mensongère contre l’initiative de mise en œuvre, en prétendant qu’elle aboutirait au renvoi des auteurs de délits mineurs.
Dernier exemple en date, l’émission « Mise au point » de la RTS ( 20 h 05, à 15 mn 20 s) : Pour Rebecca Ruiz, PS, la loi actuelle permet déjà d’expulser les auteurs de crimes comme ceux de Cologne, tandis que l'initiative de mise en oeuvre vise les excès de vitesse ou les revenus non déclarés.

Dès 9 mn 10 s :

Le camarade Bideau, grand démocrate devant l’Eternel [audio]

 

Ndlr : Le comédien Jean-Luc Bideau nous a fait ce soir une démonstration magistrale de démocratie socialiste au sujet de l'élection au Conseil fédéral du 9 décembre prochain. RTS/Forum du 02.12.15

En début de journal, Forum nous informe ce soir que le groupe socialiste a finalement décidé d'auditionner les trois candidats proposés par l'UDC pour la course au Conseil fédéral. Cette manière d'accepter les revendications de l'UDC ne passe pas très bien auprès de la base. Tactique contre principe, le débat déchire les élus roses aux chambres. Débat entre Jean-Luc Bideau, acteur suisse et militant socialiste, et Hans Stöckli, conseiller aux Etats socialiste bernois (dès 2'35'', mais ce qui précède est intéressant...)

Quimperlé : Les socialistes appellent la population à se cotiser pour héberger les migrants clandestins

Ci-dessus, des représentants de la LDH, de Cimade, d'Emmaüs, et du Droit d’Asile Quimper, responsables de cet appel..

 

Alors que la ville de Quimperlé, dans le département du Finistère, affiche déjà 10% de chômeurs (source), le maire socialiste Michaël Quernez et les membres du Parti Socialiste se sont donnés un objectif politique : demander à la population de se cotiser pour accueillir les migrants du tiers-monde.

Suite

Suisse: Les Jeunes socialistes veulent libéraliser les drogues dures

Les Jeunes Socialistes veulent légaliser la consommation de cannabis mais aussi de toutes les drogues. Le sujet sera débattu lors de l'assemblée des délégués samedi, rapporte le journal dominical Zentralschweiz am Sonntag.

Fabian Molina confirme. «Il n'y a pas d'autres possibilité qu'une légalisation totale pour combattre le marché noir», affirme le président de la Jeunesse socialiste, pour qui il faut trouver d'autres solutions alors que la consommation de drogues augmente et que le trafic est complètement contrôlé par des groupes mafieux.

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Le PS et les commandes de matériel UDC sous de fausses identités

Par Yoann Ziehli

Les représentants socialistes, jeunes ou vieux, m’étonneront toujours. Abandonnant le combat réel pour leurs idées historiques, ils semblent désormais privilégier les actions de sabotage envers leurs adversaires.

Il y a un mois à peine, nous épinglions la Jeunesse socialiste qui demandait à ses militants de commander du matériel UDC sous de faux noms afin d’augmenter les frais de ce parti et, explicitement, de nuire à leurs campagnes politiques. D’autres stratégies étaient expliquées afin de coûter cher au vieux parti du peuple.

Il semblerait que leurs aînés les aient entendus: comme le démontre le site Freie Schulen, une commande d’une brochure des Jeunes UDC a été commandée avec une fausse adresse email. Remarquant la supercherie, une courte recherche de l’adresse IP a permis d’arriver directement… au secrétariat central du Parti socialiste suisse!

Les employés du parti rose n’osent-ils pas commander du matériel en leur nom propre? Quelle est la politique de sanctions envers les personnes osant lire les idées des autres?

Voila de belles questions que je n’aurais jamais imaginer avoir à poser… Mais qui font bien sourire.

Yohan Ziehli

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Dominique Strauss-Kahn et les turpitudes socialistes

Le suspense n'aura pas duré: en requérant la relaxe contre Dominique Strauss-Kahn, le procureur de l'affaire du Carlton confirme la trajectoire prise par le parquet de Lille qui avait déjà demandé un non-lieu lors de l'instruction. DSK sortira libre du tribunal, blanchi aux yeux de la justice.

Le procès portait moins sur les pratiques sexuelles dépravées de l'individu que sur les moyens de preuve. Tant le juge que le procureur en conclurent que le dossier était "vide", mais c'est avant tout une question d'interprétation. Les éléments à charge étaient bien présents, comme de nombreux SMS, les témoignages de jeunes femmes, ou encore le prêt d'une garçonnière à des amis pour des orgies avec des prostituées, constitutif de proxénétisme. DSK savait pertinemment qu'il avait affaire à des professionnelles du sexe et sa façon de plaider le contraire n'aura convaincu, étrangement, que les autorités judiciaires.

Que vaut contre la parole d'un ex-directeur du FMI celle d'une prostituée sodomisée par lui? Nous avons désormais la réponse.

Il y aura des gens - indécrottables tenants de théories du complot, fans jusqu'au-boutistes de DSK ou naïfs finis de la présomption d'innocence - qui se réjouiront de la conclusion de la cour, y voyant le triomphe de leur vision personnelle. Le grand public sera peut-être plus circonspect. J'ai pour ma part les plus grandes peines à croire que le verdict eut été identique si le médiatique accusé avait été encarté au Front National plutôt qu'au Parti Socialiste.

dsk1Le procès DSK offre une nouvelle définition au proxénétisme. Il suffit apparemment de ne jamais prononcer le mot p... et ensuite on peut faire à peu près ce que l'on veut, évoquant au besoin du "libertinage". Nul doute que cette jurisprudence sera exploitée à fond par les professionnels du secteur. Le président Lemaire avait annoncé le 2 février que le tribunal de Lille ne ferait pas de morale mais du droit ; on eut préféré qu'il se livrât aussi, à l'occasion, à un peu de justice.

Rétrospectivement, le procès du Carlton de Lille donne un nouvel éclairage à l'agression et au viol au Sofitel de New York d'une modeste femme de chambre. Les adeptes d'un complot ourdi par Nicolas Sarkozy ou d'une machination orchestrée par la femme de ménage elle-même, Nafissatou Diallo, ne semblent plus très plausibles. Pareil pour l'affaire Tristane Banon. Quelqu'un clamera-t-il encore que l'agression sexuelle dont fut victime la jeune femme est pure invention?

Dominique Strauss-Kahn plaida à l'ouverture du procès qu'il répondrait de l'acte d'accusation de proxénétisme aggravé et pas de ses pratiques sexuelles "hors norme" ; difficile pourtant d'en faire abstraction. La presse en fit étalage jour après jour, révélant de façon crue les relations primitives que DSK entretenait avec la gent féminine. Entre un DSK vautré dans le stupre et une Najat Vallaud-Belkacem souhaitant abolir la prostitution, il aurait fallu organiser un petit débat.

Dominique Strauss-Kahn était l'incarnation du succès. Ses relations et ses prétendues compétences avaient conduit Nicolas Sarkozy à le nommer à la tête du FMI. Il était marié à une femme riche et célèbre. Il ne comptait que des amis. Il était le mieux placé, et de très loin, dans la course à l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle de 2012.

L'image a depuis volé en éclat. Il trompait allègrement sa femme avec des prostituées. Doté d'un appétit sexuel aussi insatiable qu'incontrôlable, il tentait lourdement de coucher avec la moindre femme à son goût dont il pouvait croiser le chemin. Il participait à des orgies organisées pour lui par un cercle de connaissance souhaitant se faire bien voir lorsqu'il accèderait à la plus haute marche du pouvoir - une phrase bien longue pour parler de corruption. Il eut ce train de vie pendant des décennies.

DSK incarnait finalement mieux que personne l'hypocrisie de la gauche caviar: le riche qui méprise les riches et mène un train de vie de nabab. L'homme intègre qui ne respecte ni ses engagements conjugaux ni même ses partenaires sexuels. L'apôtre de l'égalité homme-femme qui considère ces dernières comme des objets et tenta plusieurs fois de les violer. Le haut fonctionnaire pétri d'intérêt général qui se laisse délibérément entretenir par un cercle de courtisans intéressés. Le voyou que chacun voyait déjà président.

Et, c'est encore le pire, tout le monde le savait. Les politiciens collègues de parti, et même l'opposition. Les journalistes. Les fonctionnaires du FMI qui organisèrent le voyage et accueillirent dans les locaux de l'institution une des prostituées favorites du maître de maison. La propre mère de Tristane Banon, une des innombrables victimes de l'ogre, qui conseilla à sa fille de ne pas porter plainte de peur de jeter une ombre sur sa propre carrière au sein du PS français.

Jusqu'à l'affaire du Sofitel DSK était considéré comme le meilleur candidat socialiste à l'élection présidentielle. Il fallut son arrestation soudaine par la police américaine pour mettre un terme abrupt à sa trajectoire politique, une prouesse dont la justice française fut éternellement incapable. N'y avait-il aucun lanceur d'alerte au PS, au gouvernement, au FMI, dans les rédactions de la presse? Personne, jamais?

DSK sortira libre du tribunal, mais pas victorieux. Sa carrière politique est terminée. Mais tous les complices qui l'ont couvert pendant ces années, ces journalistes obséquieux, ces collègues de parti si prompts à accuser autrui tout en gardant silence sur les errements de leurs camarades idéologiquement proches, cette justice si pusillanime... Tous ces gens restent en place et n'ont de comptes à rendre à personne.

Stéphane Montabert - Sur le web et sur Lesobservateurs.ch