« C’est la loi » : le commissaire européen (non élu) Thierry Breton annonce la mise en place de la censure pour le 25 août !

C'est donc ça l'Union européenne dont on nous vante les mérites ? Après avoir annoncé il y a quelques mois que l'UE entrait en "économie de guerre" pour produire un million d'obus pour l'Ukraine (adieu "l'Europe de la paix" !), le commissaire européen (non élu) Thierry Breton vient d'annoncer que ça y est, à partir du 25 août, les réseaux sociaux vont être mis au pas !

 

Fini la contestation ! Fini l'opposition ! Tous les "contenus haineux" ou qui appellent à la révolte" seront supprimés ! Et tous les réseaux sociaux qui ne se plieront pas à la sacro-sainte "LOI" de la Commission européenne (non élue, rappelons le toujours !), couic ! On les éjecte du continent !

Où est la haine Thierry Breton ?

Mais où est la "haine" Thierry Breton, quand on parle de produire un million d'obus pour faire la guerre ? Où est la haine quand on veut transformer l'Europe en une vaste usine d'armement ?

 

Et puis... une question : si on appelle le peuple russe à se révolter contre Vladimir Poutine, serons nous censurés ? Si on appelle à renverser le gouvernement hongrois de Viktor Orban, est-ce un "appelle à la révolte" ?

 

 

Hijab : gauche et verts complices de l’islamisme au parlement européen

 

François-Xavier Bellamy a proposé, avec ses collègues du PPE, d’interdire que la Commission européenne finance de nouvelles campagnes pour promouvoir le hijab. La gauche et les verts ont empêché que cet amendement soit mis aux voix ! La complicité avec l’islamisme s’affiche à visage découvert. François-Xavier Bellamy a martelé « « La liberté est dans le hijab. » Ce message n’est pas diffusé par une organisation islamique, mais par le Conseil de l’Europe. Un symptôme parmi d’autres d’une dérive très grave, qu’il ne faut surtout pas prendre à la légère, où se mêlent entrisme, complaisance et détournement…. » Tout est dit.

https://streamable.com/im819p

Avec l’argent des contribuables européens, le Conseil de l’Europe (à différencier du Conseil européen, institution de l’UE qui regroupe les chefs d’État et de gouvernement des pays membres) a mis à disposition sur son site plusieurs dizaines de visuels en anglais et adaptés au format des réseaux sociaux dans le cadre d’une campagne de communication visant à «lutter contre les discours de haine antimusulmans».

Alors que les femmes de nombreux pays arabes tentent de s’émanciper du hijab, cette campagne de communication de l’Europe, en faveurs de traditions musulmanes inventées, est cofinancée par l’Union européenne via son programme «Droits, Égalité et Citoyenneté». Doté de 439 millions d’euros, ce programme inadmissible prétexte contribuer à ce que «l’égalité et les droits des personnes tels qu’ils sont inscrits dans le Traité, la Charte et les conventions internationales des droits de l’homme, soient promus, protégés et effectivement mis en œuvre».

«Comment le Conseil de l’Europe peut-il publier que «la liberté est dans le hijab» quand tant de femmes dans le monde, et même en Europe, sont menacées ou persécutées dès qu’elles tentent de se découvrir ?», s’insurge le philosophe et député européen LR François-Xavier Bellamy, qui s’alarme et dénonce une «complaisance qui touche au déni de réalité». «Quand le conseil de l’Europe fait la promotion du voile islamique c’est une négation de nos racines judéo-chrétiennes, de notre civilisation, de l’esprit des Lumières», explique aussi Éric Ciotti.

Centrées principalement sur le hijab, les affiches mais aussi des vidéos de l’Europe ont mis en avant le voile islamique comme «un choix» et «un droit humain». « Avec le voile islamique, «je peux être moi-même sans devoir me cacher» », clamaient, haut et fort, les panneaux au format Instagram, quand un autre revendiquait, de manière mensongère, « à côté d’une femme voilée souriante la «liberté religieuse en tant que femme européenne»…. ».

Depuis des années, des hauts fonctionnaires, des politiques, des universitaires, des chercheurs alertent sur les stratégies d’entrisme qu’ils observent de la part d’une nébuleuse islamiste qui, sous couvert d’antiracisme, prend place dans l’environnement des institutions européennes : des associations, des fédérations, des organisations non gouvernementales proposent des projets et obtiennent des financements européens énormes, indécents.

Scène ordinaire sur une plage du sultanat d’Oman, royaume régi par la charia. Décryptage : ils n’ont pas de Jean-Luc Mélenchon ou d’Éric Piolle à Mascate pour imposer le hijab ou le burkini. Les femmes d’Oman se baignent en maillot de bain.

Ces nébuleuses islamistes utilisent les mots-clés en vogue : défendre l’inclusion, promouvoir la diversité, contrer les « discours de haine »… Et, au nom de la « lutte contre l’islamophobie », elles parviennent à imposer leurs thèses. Le meilleur exemple est le projet « dialogue sur la radicalisation et l’égalité » (DARE), financé dans le cadre du programme de recherche européen Horizon 2020, qui a conclu au fait que la « radicalisation » (le mot islamisme n’est jamais cité) s’expliquait par les « discriminations structurelles » en Europe. Improbable retournement : les pays victimes d’une série d’attentats en deviennent soudain les coupables…

Le meilleur exemple pour dénoncer les dérives dangereuses du parlement européen, sous l’influence de nébuleuses islamiques est le royaume d’Oman, jouxtant l’Arabie Saoudite et le Yémen. Certes, Oman pratique officiellement la charia, c’est-à-dire que le droit religieux est la source principale du code pénal. Cependant, il s’agit dans ce pays kharidjite d’une vision de la loi religieuse extrêmement différente de ce qui se pratique dans les pays wahhabites voisins (Arabie saoudite, Qatar), et la liberté de culte est garantie. Les femmes peuvent travailler ou conduire et n’ont pas d’obligation légale de porter le voile.

Et le pays possède des tribunaux modernes qui ne connaissent ni lapidation ni condamnations anachroniques. Les couples non mariés peuvent partager une chambre d’hôtel, l’alcool et les cigarettes sont disponibles dans des boutiques spécialisées (mais leur consommation sur la voie publique est régulée), et le pays bénéficie de plages où les femmes peuvent se baigner librement en maillot de bain. N’en déplaise à Jean-Luc Mélenchon et à Éric Piolle, maire écolo de Grenoble, qui devraient s’offrir quinze jours de vacances à Oman, pour découvrir d’autres horizons, d’autres musulmans que ceux des banlieues grenobloises ou des banlieues de Seine-Saint-Denis.

Un des supports de communication payé par l’Europe pour favoriser l’islamisme et le hijab dans les pays membres. Un déni de réalité !

 

Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :

https://lesobservateurs.ch/2022/05/12/djellabas-et-voiles-interdits-pour-rencontrer-les-dirigeants-doman/

https://lesobservateurs.ch/2022/07/06/ayatollahs-verts-de-la-mairie-de-grenoble-ils-privent-les-enfants-de-viande-et-poisson/

Notre alignement sur l’UE correspond à la fin de notre fierté nationale et de notre crédibilité

Notre lecteur, Antoine :

Les sanctions économiques et financières de l’UE sont à assimiler à un boomerang !
Le retour dans les gencives risque de faire très mal.
De plus nos inconscients 7 petits nains du Conseil Fédéral n’ont rien trouvé de mieux que de s’associer à l’UE pour appliquer ces sanctions !
Soit on est NEUTRE et on le reste, soit on prend parti et on en subira les conséquences !

***

Carla Montet: Oui, la censure de RT et de Sputnik, reprise comme les sanctions contre la Russie, est semblable à sorte d’adhésion à l’UE, et par là même la fin de notre neutralité.

N’oublions pas que l’UE, sans aucun mandat qui lui aurait permis de le faire, vient de livrer pour 450 millions d’euros d’armements à l’Ukraine. 

Alors que nous sommes bassinés par la propagande pro-UE, selon laquelle c’est grâce à l’UE qu’il y a la paix en Europe, cette dernière s’est autorisée à fournir de l’aide militaire à l’un des belligérants, pour participer à une guerre dont aucun des protagonistes ne fait partie de l’UE. 

Jusqu’à présent, la Gauche suisse n’a jamais cessé de pousser notre pays à entrer dans cette usine à gaz totalitaire et coûteuse, en tenant le discours que notre pays sera renforcé par notre soumission à celle-ci, ou plus hypocritement, par notre soumission aux « valeurs européennes ». 

Auparavant, le narratif prétendait que l'UE avait amené la paix en Europe grâce à sa Cour des Droits de l'Homme, à la libre circulation, à Schengen, à son marché commun, ou, encore mieux, grâce aux normes européennes. Normes évidemment compatibles avec la transition énergétique, avec  les réglements concernant la forme des cornichons, les ampoules électriques, l'usage des produits phytosanitaires, les droits des LGBT... tout ce micmac nous aurait permis, durant des décennies, de ne pas nous entretuer en Europe.
Il serait bien entendu éhonté d'évoquer la guerre au Kosovo devant un tableau si idyllique, l'UE, c'est la paix entre les nations, point barre. 

Maintenant, tout comme jadis au Kosovo, l’UE alimente ouvertement la guerre en Ukraine aux côtés des USA, et cela, bien sûr, parce qu'elle œuvre pour la paix entre les nations.


Et la Suisse, incapable de faire son autocritique après sa boulette avec "la reconnaissance de de l'indépendance de Kosovo" (c'est à dire dépouiller les Serbes de leurs terres ancestrales), vient de griller la dernière cartouche de sa neutralité, en s'alignant sur les sanctions de l'UE contre la Russie.

Le recrutement des étrangers par l'Ukraine va-t-en guerre, a déjà généré 20'000 soldats pour prendre les armes contre les Russes (très certainement beaucoup de jeunes naïfs), mais aussi parmi eux, des soldats formés, des groupes d’élite qui ont déjà participé aux guerres de l’OTAN, et des mercenaires. Ils vont se retrouver du côté de l'armée ukrainienne, des civils ukrainiens et des néo-nazis. En  face des jeunes soldats russes de 19 ans, et des Tchétchènes de Kadyrov.

En aucune manière nous n'aurions dû nous mêler à tout cela, ni même mobiliser la population pour l'accueil des réfugiés. Nos autorités et les journalistes se réjouissent que nous ayons suffisamment de places dans nos infrastructures d'asile, donc, c'est l'offre qui crée la demande, ce qui ne prouve qu'une chose, à savoir que toute l'industrie de l'asile devrait être démantelée, avant que ce ne soit la Suisse qui soit démantelée par elle .
Au lieu de la position actuelle, le CF aurait dû exiger que l'UE débloque les fonds confisqués illégalement de la Pologne et de la Hongrie et invite l'UE à les restituer à ces pays, qui ont déjà accueillis la majorité des réfugiés d'Ukraine.

***

Pendant ce temps, la propagande de Gauche pro-UE, bat son plein. Des affichettes inonde la Suisse romande, 24heures, TDG, etc.

« La population suisse favorable à des compromis avec l’UE »

L’article est disponible sur 20minutes.ch : https://www.20min.ch/fr/story/la-population-suisse-favorable-a-des-compromis-avec-lue-224957125450

Extraits: «80% des personnes interrogées sont d’accord sur le fait que l’accès au marché européen se détériorera pour l’industrie suisse des exportations si les accords ne sont pas actualisés», affirme Interpharma. »

 

« En revanche, 62% des sondés ne sont pas ou peu enclins au compromis sur la directive européenne sur la citoyenneté. «Au Conseil fédéral, désormais, d’agir», conclut René Buholzer, directeur d’Interpharma. » 

Les commentaires qui suivent l’article de 20 minutes.ch sont très majoritairement contre le fait que la Suisse s’associe à l’UE, et ils trouvent que le sondage n’est pas crédible.
Le commentaire jugé le plus détestable par tous est un pro-UE.

Étonnant que cette position se trouve partout où il n’y a pas trop de censure, mais ne se retrouve pas dans les urnes lors des votations.
***

Extraits des commentaires les plus plébiscités sur 20minutes.ch :

Bonobobo 06.03.2022, 05:46

Voilà, la propagande commence. A se demander si tout ceci n'est pas planifié. Bien sûr que d'une certaine manière, l'Europe pourrait être au top, mais comme elle est gérée par des blaireaux corrompus, non merci.

MoanCH 06.03.2022, 05:32

Je ne sais pas si vous avez remarqué, de plus en plus lorsque nous disons non dans un sujet en votation, il y a toujours une personne du CF pour dire que ce n'était pas le moment que d'autres sujets ont influencés le résultat et qu'il faudrait faire revoter la population. Comment expliquer au CF que non c'est non.

lellau 06.03.2022, 05:05

ce sondage est encore une manipulation envers le peuple Suisse C'est NON!!!

Casper2 06.03.2022, 03:07

Mais bien sûr ! L’Europe est en train de partir en sucette et il faudrait adhérer à cette faillite généralisée. Merci mais non merci.

Albert.1014 06.03.2022, 00:56

La Suisse rentre dans l’Europe = la fin de la Suisse ! On va droit dans le mur, ça sera le bordel, et faudra accepter que notre pays devienne la France numéro 2 ! Faut arrêter de paniquer, surtout ne pas adhérer à cette Union européenne

C'est juste!(99 lecteurs)

Taz1961 05.03.2022, 23:48

Si on adhère à l’UE c’est la fin je pense qu’il faut arrêter de nous gonfler avec cette histoire sponsoriser cette bande d’incapables et de profiteurs c’est NON !!!

Dnoforptate 05.03.2022, 23:46

Pour retrouver leur souveraineté et leur autonomie, la GB a quitté l’UE. Et l’idée mûrit dans d’autres pays membres. Donc des accords ok mais dans le respect de la constitution, de notre souveraineté et sans aucun dictat de l’UE.

Rosagrüns 06.03.2022, 05:51

La pharmacie a commandé un sondage payé par la pharma, donc favorable à qui, la est la question.

AlexanderTheGreat 05.03.2022, 23:42

Ça ne fera que la dixième fois que l’on vote sur le sujet. Mais comme les journalistes de gauche ne sont pas d’accord, ils nous harcèlent quotidiennement avec des sondages effectués auprès de frontaliers (qui ont fui l'Europe mais qui veulent quand même qu’on la rejoigne).

Davidmoilesboules 05.03.2022, 23:29

Sondage fait à la gare de Lausanne et au centre Genève, non c’est sûr, cela représente la majorité Suisse 🇨🇭 #poudredeperlinipinpin

Joeboubi 05.03.2022, 23:26

Financer cette bande de clowns a Bruxelles, non merci!

SteveBongwe 05.03.2022, 23:10

on a assez fait de "compromis" depuis 30 ans, certes "l’économie suisse profite des accords avec l'Europe, mais qu en est il des travailleurs suisses... concernant ce pseudo "sondage" des associations pharmaceutiques (MEGA LOL), j'ai bizarrement pas été consulté et si oui, j'aurai exposé ma totale opposition à faire des "compromis" avec l'Europe... surtout avec le ton peu diplomatique que prend l'Europe envers la Suisse, l'Europe n'a de considération pour la Suisse que les énormes contributions que notre pays peut faire, rien d'autre.. car vu notre niveau de développement, on ne bénéficiera jamais de rien en provenance de l'Europe. (quel résident suisse souhaiterait aller travailler en Europe???)...

Philou14 05.03.2022, 23:06

Théorie de gauchistes dans un journal de gauche par des journalistes utopistes!

Le commentaire ayant reçu le plus de mentions « Détestable » est pro-UE et gauchiste : 

H.T  05.03.2022, 23:46

Il est temps qu’on change de mentalité, nous avons besoins de l'union européenne, j'habite à Fribourg coté suisse allemande mais je suis pour l union européenne, si la suisse était à la place de l Ukraine la suisse vont directement pleurer auprès de l’Europe. Il est temps de changer de mentalité et comment à accepter que en 2022 l union fait la force et commencer à penser pour nos enfants, une stabilité dans la vie et dans l économie. La Russie nous a prouvé que seul on arrive pas et si vous êtes pas d accord alors aller aider le peuple ukrainien au lieu de penser pour soi.

 

Premier Sommet européen contre le racisme : Von der Leyen « Nous devons nous concentrer sur notre attachement à la diversité »

Dans la perspective de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale qui aura lieu ce dimanche, la présidente Ursula von der Leyen a déclaré : «Nous devons continuer à parler du racisme. Et nous devons envoyer un message fort à toute l’Union: Il n’y a pas de place pour la discrimination en Europe, qu’elle soit fondée sur la race, l’origine ethnique ou la religion. La Journée internationale contre la discrimination raciale doit être l’occasion de réfléchir de manière critique à nos lacunes, mais aussi de nous concentrer sur notre attachement à la diversité et sur la contribution de personnes de tous horizons à notre vie quotidienne. Aujourd’hui plus que jamais, l’unité exige que nous rejetions le racisme et chérissions nos différences

La vice-présidente chargée des valeurs et de la transparence Věra Jourová a déclaré ce qui suit : «Nous devons parler du racisme. L’année dernière, nous avons présenté un plan d’action ambitieux pour lutter contre le racisme en Europe. Le sommet nous offre l’occasion de parler du racisme et de réfléchir à la manière d’inverser la tendance. Ce ne sera pas facile, mais c’est indispensable. Nous allons redoubler d’efforts en ce sens.» Helena Dalli, commissaire chargée de l’égalité, a quant à elle déclaré: «L’actualité nous rappelle constamment à quel point il est urgent de lutter contre la discrimination raciste et xénophobe en Europe. Le racisme structurel existe toujours. Nous devons commencer par nous-mêmes et apporter les changements nécessaires.»

(...)

Europa.eu

Chantage : l’Union Européenne utilise l’accès au programme de recherche pour forcer la Suisse à accepter l’accord-cadre

Quelles que soient les difficultés actuelles avec Bruxelles, la Confédération veut faire partie de «Horizon Europe», le gigantesque programme de recherche de l'Union européenne (UE). Le Parlement a réservé plus de six milliards de francs à titre de contribution.

Formellement, l’accord-cadre et «Horizon Europe» ne sont pas liés l'un à l'autre. Mais à présent, Bruxelles utilise l'accès au programme de recherche pour accroître la pression. Les négociations sur la participation suisse à «Horizon Europe» sont bloquées.

«La patience de Bruxelles est épuisée»

(...)

20min.ch


Rappels :

Le PDC genevois veut que la Suisse adhère à l’UE

Le Parlement européen décrète l’Union Européenne «zone de liberté LGBTIQ»

Union Européenne : Vers une interdiction des voitures à essence et à diesel

Ursula von der Leyen, présidente de l’Union européenne : « La Turquie n’est pas un ennemi »

Union européenne contre les peuples. La commissaire politique Johansson veut que l’Europe accueille encore plus de migrants

L’Union européenne n’accorde pas l’équivalence boursière à la Suisse

« L’accord-cadre avec l’Union européenne est une trahison, car il signifierait la fin de la démocratie directe en Suisse »

Le parti socialiste pour l'adhésion à l'Union européenne et contre l'armée

 

 

 

Le Parlement européen décrète l’Union Européenne «zone de liberté LGBTIQ»

Avec 492 voix pour et 141 contre, l’UE a été décrétée «zone de liberté LGBTIQ» (lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, intersexes, queers) par le Parlement européen. Cette déclaration symbolique vient tacler les «zones libres de toute idéologie LGBT» introduites par une centaine de collectivités locales en Pologne. 

(...)

24Heures.ch

Suisse : Le Nomes plébiscite l’accord cadre qui signerait la fin de notre souveraineté

Le Nomes regrette le blocage des négociations entre la Suisse et l’UE autour de l’accord institutionnel: «Les adversaires de cet accord clé, note-t-il, veulent conduire la Suisse dans une impasse en matière de politiques étrangère et économique. L’UE est un projet de paix.

Pour la Suisse, la poursuite de l’intégration européenne ne concerne pas uniquement le présent – il s’agit avant tout d’une question d’avenir.»

(...)

20min.ch


Rappels :

Foraus, Operation Libero, (NOMES), la PSE appellent le Conseil fédéral à signer l’accord avec l’UE

RTS: Le Nomes repense à une adhésion de la Suisse à l’UE: Interview de François Cherix

François Cherix, socialiste et président du Nomes, appelle le Conseil fédéral à reprendre l’intégration de la Suisse dans l’UE.

Relations Suisse - UE: le Nomes appelle à l'intégration européenne de la Suisse

Accord-cadre avec l’UE : pour l’Union syndicale suisse, la protection des salaires n’est pas garantie

La France «espère» que la Suisse pourra valider l’accord-cadre

 

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne : l’Europe a de nouveau «un ami à la Maison Blanche après quatre longues années».

Pour ceux qui doutaient encore que l'Union Européenne mène une politique de gauche.


L'Europe a « de nouveau un ami » à la Maison-Blanche et invite le président américain Joe Biden à une réunion avec les dirigeants de l'UE afin de « construire ensemble un pacte fondateur nouveau » pour les relations transatlantiques, ont déclaré mercredi 20 janvier 2021 les présidents des institutions européennes.

L'Europe « a de nouveau un ami à la Maison-Blanche après quatre longues années » de présidence Trump, a lancé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, devant le Parlement européen, quelques heures avant l'investiture de Joe Biden. « Ce jour apporte de bonnes nouvelles : les États-Unis sont de retour et l'Europe est prête à renouer avec un ancien partenaire de confiance pour donner une nouvelle vie à notre précieuse alliance », a-t-elle ajouté.

(...)

Lepoint.fr

Allemagne : Les impôts et les fonds européens ont servi à construire une mosquée turque à 3 millions de francs

En Europe, l'Islam politique utilise les mêmes tactiques que celles qui ont permis aux islamistes turcs de prendre le pouvoir : les islamistes infiltrent les structures de l'État de façon rampante.

Depuis le 11 septembre, les médias et les politiciens occidentaux recherchent désespérément des exemples positifs d'intégration réussie des communautés musulmanes. En 2008, par exemple, les médias allemands ont parlé du "Miracle de Marxloh". Il s'agissait d'une magnifique mosquée turque à Duisburg-Marxloh, qui a été subventionnée à hauteur de 3 millions d'euros par l'argent des impôts allemands et des fonds européens.

Une idée fausse de cette époque perdure encore aujourd'hui dans l'Islam européen et la politique d'intégration : on pense que les musulmans peuvent être mieux intégrés grâce à un Islam organisé. On espère que les associations islamiques aideront l'État à lutter contre la radicalisation des jeunes musulmans. À cet égard, les organisations islamiques ont été et sont encore une partie du problème.

Ditib, l'association turque des mosquées, a reçu l'argent à l'époque après avoir promis d'organiser des cours de langue pour les femmes dans la mosquée et de créer des emplois pour les jeunes musulmans dans cette région économiquement faible. Mais dès que la mosquée a été achevée, Ditib a licencié la représentante des femmes et a annulé les cours de langue ; aucun projet n'a été réalisé. Rien de tout cela n'a eu de conséquences pour cette association. Les fidèles priaient dans la mosquée aux frais des contribuables, ils rendaient hommage à Erdogan et à son AKP [NDLR : Le "Parti de la justice et du développement", parti politique d'Erdogan].

La dictature religieuse

L'islam politique en Europe fonctionne avec les mêmes tactiques de "saucissonnage" qui ont aidé les islamistes en Turquie à prendre le pouvoir. Ce pays laïc a fait un virage vers une dictature religieuse.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

NZZ

Union Européenne : Vers une interdiction des voitures à essence et à diesel

Les projets de la Commission européenne visant à introduire la norme d'émission de gaz d'échappement la plus stricte de tous les temps à partir de 2025 se heurtent à une résistance farouche !

"Avec l'introduction de la norme EURO 7 prévue, la Commission européenne va de facto interdire les voitures à moteur à combustion à partir de 2025", a déclaré Hildegard Müller, présidente de l'Association allemande de l'industrie automobile (VDA), au BILD.

La Commission veut prescrire qu'à l'avenir un véhicule doit rester pratiquement exempt d'émissions dans toutes les situations de conduite - que ce soit avec une remorque en montée ou aux heures de pointe dans la circulation urbaine.

"C'est techniquement impossible et tout le monde le sait", a poursuivi Mme Müller.

► Auparavant, une valeur moyenne pour un véhicule s'appliquait à toutes les situations de conduite imaginables. Avec la norme prévue, qu'Ursula von der Leyen veut adopter en 2021, chaque valeur devrait s'appliquer à l'avenir. En outre, les nouvelles valeurs limites ne doivent pas dépasser la tolérance de mesure actuelle.

Hildegard Müller : "Si ces considérations prévalent, il sera impossible pour les citoyens de conduire un moteur à combustion. Il serait plus honnête que la Commission européenne soit ouverte à l'idée d'une interdiction et qu'elle ne se cache pas derrière des règles techniques. Il pourrait alors y avoir une discussion démocratique à ce sujet".

Quelques jours à peine avant le sommet de la chancellerie, mardi, la responsable de l'association industrielle a fait une déclaration inhabituellement dure. Hildegard Müller : "Si l'UE veut supprimer les voitures à essence et diesel, elle doit également décrire les alternatives."

À Bruxelles, l'accent est mis sur la mobilité électrique. Mais jusqu'à présent, il manque une infrastructure de tarification adéquate pour les nouvelles voitures électroniques - et ce dans toute l'Europe.

"Avec son projet, la Commission européenne veille à ce qu'aucune nouvelle voiture propre équipée d'un moteur à combustion interne ne puisse être mise sur le marché. Les vieux véhicules sont davantage susceptibles de rester au sein de la population et le renouvellement souhaitable de toutes les voitures non électriques est empêché. Avec ces plans, l'UE va frapper plus durement des pays comme l'Allemagne. La production de voitures modernes est l'une des rares chaînes de valeur que nous ayons encore entièrement en Allemagne".

Leur crainte : de nombreuses régions des Länder comme la Bavière, le Bade-Wurtemberg, la Sarre, la Saxe, la Basse-Saxe et la Rhénanie-du-Nord-Westphalie devraient faire face à des pertes d'emplois massives.

Hildegard Müller : "Au lieu d'une interdiction, nous avons besoin d'innovations et d'investissements dans les eFuels et la pile à combustible. Le problème n'est pas le moteur à combustion, mais le carburant".

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Les ministres européens de l’Intérieur renoncent au mot “islamisme” pour parler de “terrorisme”

L’UE affirme que la lutte contre le terrorisme n’est pas dirigée contre la religion : « Notre lutte n’est pas dirigée contre les croyances religieuses, mais contre l’extrémisme violent », déclarent les ministres de l’Intérieur de l’UE dans un communiqué.

Les ministres de l’Intérieur de l’UE ont tenu vendredi une réunion virtuelle pour discuter des récentes attaques en France et en Autriche.

Les ministres ont publié une déclaration commune à l’issue de la réunion soulignant que « la lutte contre le terrorisme n’est dirigée contre aucune croyance religieuse ou politique ».

Avant la réunion de vendredi, la France et l’Autriche ont publié des projets, appelant à des efforts plus forts dans la « lutte contre l’islamisme », mais d’autres Etats membres se sont opposés à lier l’islam à la lutte contre le terrorisme, selon le portail d’information basé à Bruxelles Politico.

La déclaration souligne également l’importance de l’inclusion, de la cohésion sociale et de l’intégration dans la lutte contre la radicalisation et l’extrémisme. […]

AA / Aftonbladet

Via Fdesouche


Pour ceux qui auraient un doute : le site du Conseil de l'Union européenne :

bbc.com / Consilium.europa.eu

 

 

Quel est le rôle du Conseil de l'Union européenne ?

Il négocie et adopte la législation de l'UE avec le Parlement européen, sur la base des propositions présentées par la Commission européenne. Il coordonne les politiques des pays de l'UE. Il développe la politique étrangère et de sécurité de l'UE, en s'appuyant sur les lignes directrices du Conseil européen.

Europa.eu/european-union

Les institutions européennes sont-elles trop blanches?

L'étude commandée par la Commission sur la diversité de son personnel ouvre le débat au sein de l'UE.

Non ". Bref, tranchant, cette réponse fut suivie d'un long silence, comme s'il n'y avait rien d'autre à ajouter. C’est ce que la commissaire à l’intérieur, la socio-démocrate suédoise Ylva Johansson, a déclaré le 10 septembre dernier, quand on lui a demandé si les minorités ethniques en avaient assez de place dans le personnel des institutions européennes. " Tous les citoyens européens doivent être représentés, nous devons être le reflet de la société", a-t-elle ajouté sous couvert d'autocritique après une longue pause.

Quelques jours après cette intervention, la Commission européenne a annoncé le 18 septembre qu'elle avait pris le taureau par les coins. Pour la première fois de son histoire, elle mène une enquête - facultative et anonyme - sur le profil ethnique de ses salariés. Des informations qui lui permettront de mettre en œuvre sa politique de recrutement et de fixer un objectif de représentation minimum.

A la recherche de solutions

[...]

Lefigaro.fr

 

L’UE « condamne le suprémacisme blanc sous toutes ses formes, y compris l’utilisation de slogans qui visent à saper le mouvement Black Lives Matter et à en diluer la portée »

Dans une « Résolution du 19 juin 2020 sur les manifestations contre le racisme après la mort de George Floyd » le Parlement européen « condamne le suprémacisme blanc sous toutes ses formes, y compris l’utilisation de slogans qui visent à saper ou à affaiblir le mouvement « Black Lives Matter » et a en diluer la portée »

 

 

 

 

Liste des résolutions et textes adoptés vendredi 19 juin 2020 à Bruxelles

Lien du PDF de la « Résolution du 19 juin 2020 sur les manifestations contre le racisme après la mort de George Floyd »

Via Fdesouche

Union Européenne : La Turquie va recevoir 500 millions d’euros supplémentaires pour financer les « réfugiés »

L'UE veut augmenter les fonds destinés aux réfugiés en Turquie. Comme l'ont rapporté les journaux du groupe de presse Funke (éditions du samedi), la Commission européenne veut offrir 485 millions d'euros supplémentaires pour financer deux projets d'aide aux réfugiés. Cet argent doit être versé en complément des six milliards d'euros que l'UE avait promis dans l'accord avec la Turquie en 2016.

À l'époque, Ankara s'était engagée à reprendre tous les réfugiés arrivant dans les îles grecques de la mer Égée et à prendre des mesures plus fermes contre les bandes de passeurs. En retour, l'UE avait promis des milliards d'aide à la Turquie. Mais pendant des mois, Ankara a accusé les Européens de verser l'argent trop lentement, et a menacé à plusieurs reprises de ne pas respecter l'accord.

A présent, afin de désamorcer le conflit, la Commission européenne veut fournir des fonds supplémentaires. Selon le rapport, ces fonds doivent être mobilisés directement et à court terme via le budget actuel de l'UE 2020. Toutefois, le Parlement européen et le Conseil des États membres doivent encore se mettre d'accord sur une modification du budget 2020 à ce sujet.

La Commission européenne met en garde : "En raison de l'épidémie de Covid19, la situation économique en Turquie s'aggrave et les réfugiés non protégés sont parmi les plus touchés par la crise.

Par conséquent, les ressources nécessaires devraient être mobilisées d'urgence pour financer la poursuite des deux principales opérations d'aide humanitaire de l'UE.

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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Die Welt


Rappels :

La Turquie continue ses provocations : Deux nouveaux incidents de tirs à la frontière

Coronavirus : 90 000 détenus amnistiés en Turquie “Des auteurs de féminicide, des violeurs, des pédophiles sont libérables, mais pas les détenus d’opinion”

Mevlut Cavusoglu, ministre turc : « L’ UE doit accueillir les réfugiés et accélérer le processus d’adhésion de la Turquie, grand pays européen »

Syrie : la Turquie bombarde l’armée syrienne et annonce qu’elle n’empêcherait plus les millions de réfugiés présents sur son territoire de se rendre dans l’UE

Simonetta Sommaruga : La trahison de la démocratie suisse ?

Le vendredi 7 février, la radio SRF a rapporté que la Présidente de la Confédération, Simonetta Sommaruga, avait demandé à la présidente de la Commission européenne, Mme von der Leyen, de ne plus faire pression au sujet de l'accord-cadre avec l'UE jusqu'au vote sur l'initiative de limitation, sinon les chances d'un vote favorable à cette dernière augmenteraient. La présidente de la Commission européenne a promis de garder le silence jusqu'au 17 mai 2020. Que penser d'une Présidente de la Confédération pactisant avec une institution étrangère dans le but d'influencer le peuple suisse ?

Si le contenu de cette annonce devait être correct, ne serait-ce que de manière synthétique, il s'agirait d'un scandale gravissime. Il est en effet scandaleux que la Présidente de la Confédération s'entende avec la Commission européenne pour influencer les votes démocratiques en Suisse. En agissant de la sorte, la Présidente de la Confédération en exercice se rend coupable de trahison. Ses déclarations antérieures sur l'importance qu'à la démocratie directe à ses yeux se révèlent dans ce cas être de la pure hypocrisie.

L'Action pour une Suisse indépendante et neutre voit se confirmer ses craintes. La  Berne fédérale et l'alliance de ceux qui cherchent à se rapprocher à tout prix de l'UE perdent manifestement le respect de la démocratie, négligent la défense des intérêts de la Suisse souveraine et font visiblement preuve d'une audace inadmissible.

L'Action pour une Suisse indépendante et neutre demande au Conseil fédéral des éclaircissements à ce sujet et appelle tous les démocrates sincères à refuser cette façon de procéder.

ASIN.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini


Rappel :

Ultimatum : Bruxelles donne neuf jours à la Suisse pour signer l’accord institutionnel

Ultimatum : Bruxelles donne neuf jours à la Suisse pour signer l’accord institutionnel

L'Union européenne fixe un nouvel ultimatum au Conseil fédéral.

L’Union européenne (UE) cherche à mettre la Suisse dos au mur. Elle veut parvenir à un accord institutionnel avec Berne dans les meilleurs délais. Elle fixe ainsi une nouvelle échéance au Conseil fédéral. Selon une note confidentielle que nous avons pu lire, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, l’a annoncé à son homologue suisse, Simonetta Sommaruga, lors de leur rencontre au Forum économique mondial de Davos, en janvier.

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24heures.ch

La grande crainte des medtech suisses: devoir s’expatrier pour survivre à cause de la bureaucratie de l’UE

Les articles se multiplient pour nous préparer à accepter l'accord-cadre affectant directement notre souveraineté au lieu d'incriminer l'Union Européenne pour son diktat insupportable.

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Les firmes de technologie médicale suisses doutent. La nouvelle réglementation de Bruxelles sur les dispositifs médicaux, qui entrera en force en mai 2020, fait craindre le pire. Les firmes se préparent à devoir franchir une montagne de bureaucratie pour exporter en Europe. «Nous risquons même de perdre les start-up du secteur, qui figurent pourtant parmi les piliers de l’innovation en Suisse», s’inquiète Peter Studer, responsable des affaires réglementaires de Swiss Medtech. La faute à l’accord-cadre institutionnel qui péclote à Berne.

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Pourquoi ces difficultés sur la route des exportateurs de valves cardiaques et autres prothèses de hanche? Jusqu’à aujourd’hui, les accords bilatéraux — qui régissent l’accès au marché de l’UE (libre circulation des personnes, transport aérien, etc.) — permettaient aux medtech suisses de jouir de l’accord sur la suppression des obstacles techniques au commerce (ARM). Une valve cardiaque artificielle homologuée ici pouvait aussi être écoulée en Europe. Mais cela ne devrait pas durer. Comme l’accord-cadre entre Berne et l’UE (destiné à bétonner les bilatérales) n’avance pas, la Suisse risque de se voir retirer cet avantage. «En 2020, la reconnaissance mutuelle automatique pour l’homologation d’appareils médicaux pourrait tomber», confirme Peter Studer.

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24heures.ch

 


Rappels :

Accord-cadre avec l’UE: l’Union des paysans serre les rangs avec l’UDC

« L’accord-cadre avec l’Union européenne est une trahison, car il signifierait la fin de la démocratie directe en Suisse »

Edito du 24 Heures : « Avec l’accord-cadre, l’Union Européenne exige de la Suisse des conditions inacceptables ».

Le groupe UDC se prononce unanimement contre l’accord-cadre

Sommaruga, Cassis et Schneider-Ammann veulent imposer un accord-cadre à la Suisse

 

L’ancien conseiller fédéral Joseph Deiss plaide pour l’adhésion de la Suisse à l’UE

L'ancien conseiller fédéral estime que la Suisse gagnerait en souveraineté si elle adhérait à l'Union européenne.

«A Bruxelles, des décisions sont constamment prises qui affectent la Suisse qu'on le veuille ou non. Nous ne pouvons les influencer que si nous sommes impliqués et avons notre mot à dire», relève l'ex-politicien de 73 ans. [...]

L'ancien élu PDC a mis en garde contre le fait de faire de l'adhésion un tabou. «Quand un pays transforme ses défis vitaux en tabous politiques, la stagnation est garantie», avertit-il.

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20Min.ch