Etre ou ne pas être islamophobe : telle est la question

   
Michel Garroté  --  Selon l’idéologie islamophile à la mode (idéologie islamophile qui juge et condamne l’islamophobie), l’islam aiderait, soi-disant, l’Occident, à redéfinir son identité ; à pratiquer le dialogue des cultures ; et à pratiquer le multiculturalisme. A cet égard, l’idéologie islamophile reproche, à l’Occident, d’avoir une identité judéo-chrétienne monolithique. Et dans ce cadre, l’islam apporterait, paraît-il, quelque chose de nouveau.
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L’islam aiderait, soi-disant, les Occidentaux, à redéfinir leur relation avec les autres. L’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à lutter contre le racisme ; contre la discrimination ; contre le regard porté sur les musulmans. Un regard colonial, nous  dit l’idéologie islamophile, un regard colonial influencé par l’histoire de l’Occident face à l’islam.
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L’islam aiderait, soi-disant, les Occidentaux, à transcender l’ère coloniale et les croisades. L’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à devenir multiculturels. Et l’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à faire de la lutte contre la discrimination, une priorité. Voilà résumée, en quelques lignes, l’idéologie islamophile.
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Je n’invente rien. C’est bel et bien ainsi, qu’est formulée, l’idéologie islamophile, par les journalistes, les historiens, les sociologues, les enseignants, les chercheurs, les faiseurs d’opinion et les politiciens. Et quiconque n’adhère pas à cette idéologie islamophile, est, automatiquement, accusé d’être islamophobe.
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Car l’idéologie islamophile, non seulement s’est construite sur du sable mouvant ; mais en plus, elle ne peut souffrir quelque débat que ce soit. Quiconque n’adhère pas à l’idéologie islamophile ne peut qu’être islamophobe. Et quiconque est islamophobe ne peut qu’être raciste. On le voit ici, le niveau du débat, est à peu près aussi lamentable, que l’était, le débat sur le communisme.
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A ce propos, Ivan Rioufol écrit notamment : En réalité, le pouvoir macronien n’est guère différent des précédents : il reste fort avec les faibles et faible avec les forts. Les lourds silences du chef de l’Etat sur le terrorisme, l’islam, la cohésion nationale suffisent à mesurer ses faiblesses. Le lynchage d’une policière par des "jeunes sensibles", lors du Nouvel An à Champigny-sur-Marne, est venu rappeler ce qu’est devenue la France : une nation éclatée, conflictuelle, gagnée par un néo-racisme porté par des minorités querelleuses.
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Il est des lieux où une contre-société islamisée s’est installée, dans la haine de la France, de ses représentants, de sa démocratie. C’est en France qu’un philosophe, Robert Redeker, est sous protection policière depuis plus de dix ans, cible d’une fatwa. C’est en France que les journalistes de Charlie Hebdo vivent dans un bunker et ne peuvent sortir qu’escortés par des flics. D’anciens collaborateurs du journal satirique subissent aussi ce sort.
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C’est en France que des politiques irresponsables persistent à s’indigner d’une "islamophobie" sans comprendre qu’en usant de ce mot piégé ils consolident une idéologie totalitaire qui cherche à embrigader les musulmans. Mais que pense Macron ? Ses évitements, camouflés derrière la logorrhée d’une "pensée complexe", ressemblent de plus en plus à des renoncements. Face à l’islam conquérant, sa main tremble, conclut Ivan Rioufol.
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 9.1.2018
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2018/01/macron-sabre-en-bois-et-main-t.html
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Au gentil bobo de ma famille

Lors d'un Week-end en famille, je fus fort contrarié par un propos qui m'a touché et je dirais même blessé. Je ne suis sûrement pas le seul "islamophobe" à avoir vécu une remontrance, un rejet, une vindicte de la part d'un membre de sa famille.

Il est vrai que dans un vide grenier, une petite brocante ayant eut lieu dans un village, au fin fond du Loir et Cher, j'aurais pu éviter de montrer mon étonnement devant deux ou trois voilées qui circulaient avec leurs mômes, sans compter celui qui était en attente d'une sortie prochaine !

J'aurai pu atténuer mon agacement devant ces voilées qui chipotaient le prix de quelques vêtements,  comme si elles étaient aux souks. Oui, c'est vrai, j'aurai pu me taire, lorsqu'un peu plus tard, je vis une autre femme voilée, qui vendait des bibelots. Pas très malin, en famille, que d'affirmer que jamais je n'achèterai quoi que ce soit chez elle !

Et puis vint le clash, quand vint ma réflexion spontanée sur le fait que je ne supportais pas de voir des voilées afficher leur religion et encore moins dans un village de campagne.

Il n'y a rien de pire qu'un membre de la famille qui vous dit que votre obsession l'agace, que votre islamophobie l'ennuie, que votre discours est limite raciste, d'extrême droite, et que finalement "cela ne m'étonne pas que tu ai voté Front National".

On est toujours prêt à se battre, lorsque l'adversité vient d'ailleurs. On peut toujours répondre, argumenter, et se défendre lorsque l'interlocuteur n'est pas de chez vous, issu de vos tripes, de votre sang !

Tout ce que vous êtes capable d'énumérer sur le fait que l'islamophobie n'est pas du racisme, que le voile est un signe religieux servant à marquer la femme, la mettant en situation d'être inférieure, que le Coran est intrinsèquement mortifère,etc. Tout s'efface...

Vint les classiques arguments des gentils bobos, le discours "humanistes", les appels à la compréhension, à l'acceptation des différences, et le choc soudain et brutal, que votre combat n'a jamais été intégré, imprégné, compris par ce/ces membres proches de votre famille, pas plus que vos engagements politiques et votre combat patriote.

Ainsi donc, vous avez protégé votre progéniture, satisfait ses demandes, obéit aux désirs familiaux, mit dans de bonnes écoles, écarté les dangers des fréquentations douteuses, engagé dans des chemins scolaires et universitaires.

Vous avez été soulagé de voir que votre progéniture avait trouvé sa voie, et qu'elle se réalise sur de bonnes bases. Celles que vous pensiez être, au minimum, un peu les vôtres !

Vous réalisez que votre discours, et toutes les bonnes raisons pour lesquelles vous avez mis en place cette protection, se retournent contre vous. Vous n'êtes plus qu'un "extrémiste de droite", un islamophobe, limite raciste, et que ce serait bien qu'enfin, vous compreniez que le passé, c'est le passé, que l'Histoire c'est l'histoire, que l'avenir, c'est l'acceptation de l'autre, du différent, y compris de la femme voilée, etc.

Exit Victor Hugo: Il n’y a pas d’arbres ni de plantes sans racines ! Il n’y a pas d’avenir sans passé.

Bienvenue Guillaume Faye: Pour réussir socialement, il faut avoir une position qui aille dans le sens de la soft idéologie antiraciste, immigrationiste et égalitaire comme au temps de l'URSS, où il fallait être prosoviétique !

On découvre que les parents éduquent, protègent, aiment, et ont eu souvent peur pour leurs enfants ! Qu'ils ont maladroitement parfois, tenté d'enseigner leurs vécus, leurs expériences. En fait, ceux qui formatent, c'est l'entourage, les amis, l'école et les cours formatés, l'enseignement universitaire, et font de votre progéniture, des sortes d'étrangers au second degré qui vous regardent, et vous jugent avec des "critères droits de l'hommistes" et des pseudos "valeurs républicaines", contre lesquelles pourtant, vous aviez voulu les mettre en garde hier, en leur donnant un esprit critique !

Vient le jour ou parents, vous réalisez comme cette mère Iranienne, que sa fille la surveille à la demande de son école, pour savoir si elle se maquille ! La petite fille ne voit pas le mal ! Elle pense qu'elle rend service à sa mère !

Alors, étant incapable de faire monter la chaudière et aller à l'explosion familiale, j'ai acheté un drapeau Français. Un tellement grand, que je ne sais toujours pas où le mettre chez moi ! Je l'ai acheté à un Africain ! Un drapeau de la France me disait-il ! Même pas honte...

Au cas où ce membre de ma famille devait me lire, je voudrai lui dire cette phrase de John Donne : n'envoie jamais demander pour qui sonne le glas : il sonne pour toi.

Qu'il écoute bien cette vidéo, et qu'il sache bien pourquoi je me suis lancé dans ce combat contre une idéologie mortifère. Pourquoi j'exècre au plus haut point l'islam et tout ce qu'il représente, voile islamique compris, outil premier de sa propagande ! Qu'il comprenne enfin que je suis bien plus humaniste que lui, bien plus amoureux de la liberté que lui, bien plus fier de mon pays et de son Histoire, et que je crois toujours comme il y a 40 ans, comme l'affirmait Aragon que : la femme est l'avenir de l'homme !

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Gérard Brazon

Les Français sont-ils « islamophobes » ?

   
Michel Garroté - Commençons par rappeler une évidence : le mot "islamophobie" signifie "peur de l’islam". Il est donc parfaitement légitime, de se dire "islamophobe", lorsque l'on a, tout simplement, "peur de l’islam". Formulé autrement, il n'est pas interdit (il ne devrait pas être interdit), lorsque l'on vit dans un Etat de droit occidental - libre et démocratique -, d'avoir peur de telle ou telle religion, d'avoir peur de telle ou telle idéologie, et, de le dire, ou, de l'écrire.
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En France (et ailleurs en Occident), la grande imposture, consiste à vouloir condamner, pénaliser, les "islamophobes", ce qui revient à se comporter comme les pays-membres de l'Organisation de la Coopération islamique (OCI).
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Dit autrement, ce qui revient à aborder "l'islamophobie", comme elle est abordée, en Arabie saoudite, au Qatar, en Iran ; en clair, comme elle est abordée (en fait : interdite), dans des pays, qui ne sont pas des Etats de droit, libres et démocratiques ; des pays qui, bien au contraire, sont des dictatures intégristes (des dictatures "islamo-fascistes").
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D'où ma question : la France, lorsqu'elle condamne et pénalise les islamophobes, est-elle islamo-fasciste, est-elle un nouveau pays-membre de l'Organisation de la Coopération islamique ?
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A ce propos, sur Boulevard Voltaire, Jean-Michel Léost, Professeur honoraire, dans une analyse intitulée "Non ! Les Français ne sont pas 'islamophobes' !", écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Vous vous méfiez de l’islam : vous êtes un homme dangereux, vous êtes islamophobe ! C’est le genre de raccourci, qui prétend nous décrire une réalité, alors qu’il nous en éloigne. C’est la rengaine des adeptes de la bien-pensance, qui répètent, comme des perroquets, des slogans préfabriqués, plutôt que de réfléchir par eux-mêmes.
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Pire ! Les manifestations d’islamophobie alimenteraient le terrorisme. Ainsi, le nouveau secrétaire général de l’ONU, a récemment déclaré, en Arabie saoudite : « L’une des choses qui attisent le terrorisme est l’expression, dans certaines parties du monde, de sentiments et de politiques islamophobes ».
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Il convient de démonter ces sophismes qui n’ont qu’une apparence rationnelle. D’abord, le terme d’islamophobie désigne étymologiquement la peur de l’islam, non la haine contre les musulmans. Ensuite, c’est une étrange logique que d’inverser la cause et la conséquence : car c’est le terrorisme, les actes commis par les musulmans radicaux, qui suscitent cette peur, et, non pas, le contraire.
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En fait, l’islamophobie, est, une invention, destinée à éviter tout débat sur l’islam. Les associations antiracistes qui la dénoncent exercent une sorte de chantage en assimilant la critique d’une religion à la haine contre les fidèles de cette religion. C’est le début d’un processus totalitaire.
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La gauche, qui se réfère volontiers à l’esprit des Lumières, leur emboîte le pas. L’idéologie l’aveugle et lui met des œillères. Bien sûr, il se produit des actes anti-islamiques, perpétrés par un petit nombre d’irresponsables, qui trouvent amusant, de placer une tête de cochon, ou, de dessiner quelques graffitis injurieux, à l’entrée d’une mosquée. On crie alors à l’islamophobie, on sonne l’alarme contre cette gangrène qui s’étendrait, et, menacerait la paix civile.
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Dans le même temps, des églises sont régulièrement profanées, sans que le gouvernement ni les médias, ne s’en émeuvent. Lorsque le père Hamel a été égorgé, a-t-on entendu quelqu’un dénoncer le racisme et la haine – pourtant bien réels – contre des chrétiens ? A-t-on entendu quelqu’un demander que cesse la christianophobie ?
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Les Français, dans leur immense majorité, ne sont pas islamophobes : ils sont inquiets, quand ils voient s’exprimer, des revendications communautaristes, auxquelles cèdent trop facilement les autorités publiques. Ils redoutent les dérives d’une religion conquérante, qui a montré, dans l’Histoire, en de multiples occasions, son impérialisme, et, sa volonté, de s’imposer partout, au nom de sa vérité.
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Les Français souhaitent défendre leur culture et leur identité :
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Qu’ils soient ou non croyants, ils considèrent que la France a des racines chrétiennes, et, veulent, les préserver, car un peuple ne se développe harmonieusement qu’à partir de ses racines. Ils ne sont pas hostiles aux musulmans, mais dénoncent des dérives religieuses ou culturelles. Est-il illégitime de préférer, les traditions issues du christianisme, à celles, d’une religion qui peut imposer la charia ?
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Le vrai débat se situe entre ceux qui veulent préserver la culture française, et, ceux, qui ont choisi le camp du multiculturalisme. Est-il raciste de demander aux populations immigrées, de s’intégrer, à notre mode de vie, à nos valeurs, ou, à la religion musulmane, de se libérer des ferments, qui, peuvent, conduire au fanatisme ?

Parler d’« islamophobie », c’est vouloir bâillonner ceux qui posent des questions. Ce n’est pas défendre la liberté, ni, la tolérance, c’est désarmer l’esprit critique, c’est se faire complice de la servitude, et, de la soumission, ajoute Jean-Michel Léost (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Source :-

http://www.bvoltaire.fr/jeanmichelleost/non-francais-ne-islamophobes,313830
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Anti-racisme et intello-gauchisme

   
Depuis plusieurs décennies, la police de la pensée décide qui est raciste et qui est antiraciste. Dans les années 1980, cette police de la pensée focalisait son combat essentiellement sur la droite nationale. A l’époque, les intellos-gauchistes traquaient l’antisémitisme, tantôt réel, tantôt présumé, en vogue dans les mouvances de Jean-Marie le Pen, feu François Brigneau et feu Jean Madiran notamment. Il est vrai que ces mouvances n’ont rien fait pour lever le doute sur leur antisémitisme.-
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Entre les ambiguïtés, les sous-entendus et quelques énormités, tel le « point de détail de l’histoire de la deuxième guerre mondiale », formule de Jean-Marie Le Pen pour définir les chambres à gaz, il est vrai qu’avec tout cela, les mouvances de la droite nationale n’ont fait qu’augmenter les soupçons relatifs à leur antisémitisme.
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La réhabilitation du maréchal Pétain réclamée par feu François Brigneau de son vivant et la confusion – typiquement maurrassienne – entretenue par feu Jean Madiran de son vivant entre mondialistes, francs-maçons et Juifs, cela aussi, n’a fait qu’augmenter les soupçons relatifs à l’antisémitisme de la droite nationale.
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Il est frappant que cette mouvance nationale et traditionaliste - en dépit de ou à cause de - ses effectifs réduits et divisés, soit, encore et toujours, incapable de sortir de ses œillères et de ses anachronismes.
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Certes, aujourd'hui, en 2016, le mouvement bleu marine n'est pas antisémite et il intervient sur un autre niveau. Mais la mouvance nationale et traditionaliste, elle, continue de s'enfermer dans une judéophobie pathologique.
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Il reste cependant une réalité incontestable, à savoir que dans les années quatre-vingt, l’antiracisme prenait principalement les allures d’une lutte sans merci, des intellos-gauchistes, contre la droite nationale.
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On peut d'ailleurs se demander – quelle était à l’époque et quelle est aujourd’hui – la légitimité de cet antiracisme d’inspiration intello-gauchiste. Car les intellos-gauchistes  soi-disant antiracistes étaient, aussi, et, sont, encore, aujourd'hui, les porte-drapeaux de l’antisionisme. Et en cela, ils sont les catalyseurs d’une haine primaire, systématique et viscérale à l’égard de Etat juif et à l'égard des citoyens juifs de cet Etat juif : l’Etat Israël.
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Pour ce qui me concerne, le problème numéro un - est et reste - l’idéologie islamiste et son racisme anti-judéo-chrétien. Et pour ce qui me concerne, la priorité numéro un - est et reste - la défense et la valorisation de la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. Force est de constater, que la police de la pensée, n’a guère évolué, depuis les années 1980, ni sur ce point, ni sur les autres. Elle a même empiré.
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Car c’est désormais la simple critique du multiculturalisme qu’elle assimile à une nouvelle forme racisme. La police de la pensée cautionne l’interdiction de critiquer ceux qui demandent à la France de renoncer à la centralité de son identité.
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Nous sommes donc ici confrontés une fois encore à l’interdiction de défendre et de valoriser la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. La pénalisation de la défense de la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne signifierait concrètement l’interdiction – et par conséquent la fermeture – de certains blogues.
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En clair, l’accusation d’islamophobie est devenue un obstacle à l’expression de l’esprit critique. Défendre la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne est donc - selon la police de la pensée - un délit d’islamophobie, délit qu’il faudrait pénaliser.
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En revanche, nul désir, chez les soi-disant antiracistes d’inspiration intello-gauchiste de pénaliser ou d’interdire le racisme anti-juif qui - la plupart du temps - se cache derrière l’antisionisme. La police politique veut pénaliser les fils spirituels de Jacques Maritain (que nous sommes) comme si nous étions des maurrassiens (alors que nous ne le sommes pas).
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La police de la pensée prône, de façon inconditionnelle et exclusive, une société soi-disant multiculturelle, qui - de fait - donne la part belle à l’idéologie islamiste ; une société soi-disant multiculturelle, qui - de fait - ostracise la pensée laïque judéo-chrétienne.
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Notons que ce choix est typiquement intello-gauchiste : peu importe que derrière la société multiculturelle se profile l’idéologie islamiste ; l’essentiel, pour les soi-disant antiracistes d’inspiration intello-gauchiste, c’est d’en finir avec la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne, société qu’ils méconnaissent et haïssent à la fois.
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Michel Garroté, 22. 9.2016 pour https://lesobservateurs.ch/
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L’islamophobie (n’) existe (pas)

   
Michel Garroté - Niqab et burkini, tel est le "débat", en ce moment, chez nos amis français. Enfin, dans les médias français et au sein de la classe politique (déjà...) en campagne pour 2017, oui. Chez nos amis français, en revanche, le débat est autre, plus élévé, et, en même temps, plus proche des réalités de chaque jour. Bref, au-delà du niqab et du burkini, le débat populaire (populiste, diront les bourgeois de gauche bien installés) c'est l'islam. Ci-dessous, nos lecteurs trouveront les extraits de deux chroniques, celle d'Ivan Rioufol et celle de Christian Vanneste. Et moi de proclame, un brin fatigué de le répéter : "l’islamophobie (n’) existe (pas)"...
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Ivan Rioufol écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Oui, l’islam agresse la France. Et il revient d’abord aux musulmans – les démocrates, lucides et effarés – de faire entrer dans le lit de la laïcité une doctrine qui lui est étrangère. La raison critique ne peut soutenir plus longtemps, en effet, que le Coran est un texte tombé du Ciel, sacralisé par une signature divine.
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Ivan Rioufol : Après les tueries de Nice, qui ont ensanglanté, au nom d’Allah, la Promenade des Anglais (86 morts, 400 blessés) le soir du 14 juillet, après l’égorgement dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray, le 26 juillet, du père Jacques Hamel, tentant de repousser ses deux bourreaux aux cris de "va-t’en Satan !", après les carnages précédents à Charlie Hebdo, à l’Hyper Cacher, au Bataclan, dans les cafés parisiens, après toutes les autres terreurs islamistes et avant les prochains massacres, il n’est plus possible de taire la question musulmane.
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Ivan Rioufol : Entendre les capitulards et les sophistes éluder cette confrontation nécessaire en associant les musulmans aux juifs persécutés par Vichy et les nazis témoigne de la confusion des esprits qui s’organise, au seul bénéfice d’une idéologie totalitaire et conquérante conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, Christian Vanneste écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le mot (phobie) possède un sens rigoureux qui appartient au vocabulaire de la psychiatrie. La phobie est une peur paralysante, pathologique, démesurée par rapport à ce qui la provoque. La critique de l’islam, c’est de l’islamophobie ! Le procédé a fait recette. L’islamophobie présumée condamne a priori toute critique de la religion musulmane. Elle dresse un rempart à l’abri duquel on peut proclamer, contre toute évidence, que l’islam est une religion de paix et d’amour et en bas duquel les critiques pourtant fondées sur la lecture du coran et des hadiths, sur l’histoire et sur des pans entiers de l’actualité, passent pour de perfides attaques motivées par de méprisables préjugés.
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Christian Vanneste ajoute : Il est parfaitement légitime dans une démocratie libérale, dans un État de droit, d’exprimer des opinions désagréables pour des personnes ou pour des groupes dès lors qu’il ne s’agit pas d’injures, ni d’insultes ou de diffamations. Si la critique des religions est mal supportée par les croyants, elle est légitime dans la mesure où la religion exprime des idées et qu’on a le droit de les contester. Il est grand temps de revenir à plus de cohérence. Le terme de « phobie » en dehors de son emploi médical est scandaleux. Dans une société démocratique et libérale, il est indispensable que chacun puisse dire ce qu’il pense des idées ou des comportements d’autrui. L’islamophobie n’existe pas, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/08/bloc-notes-la-france-au-defi-d.html
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http://www.bvoltaire.fr/christianvanneste/lislamophobie-nexiste-pas,279194
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Ce à quoi je pense en cette fin d’année

FN-violences-3

 

Depuis décembre 2014, je publie mes articles sur Les Observateurs, à raison d'un ou deux billets par semaine. Auparavant, en fait depuis avril 2007, je publiais déjà mes analyses sur Internet. Je dois avouer que l'année 2015 qui s'achève fut particulièrement riche en événements. Au plan mondial, notamment dans le conflit en Syrie, Poutine a décidé de prendre les choses en mains, face à l'islamo-gauchiste Obama. En Europe, la migration mahométane de peuplement est devenue massive.
 
Au Proche et au Moyen Orient, ainsi qu'en Libye, l'Etat Islamique (EI), malgré la nouvelle stratégie de Poutine, continue de dominer, pour l'instant du moins, le théâtre des opérations. L'EI contrôle une partie de la Libye, à 300 km seulement de l'Europe, et, il infiltre les rangs des "migrants". Une Europe qui a résolument choisi le camp de l'islamisme conquérant et violent, allant jusqu'à alléguer que le problème majeur sur le Vieux continent, c'est "l'islamophobie" et "l'extrême-droite".
 
Je suis impressionné par le degré de stupidité et de sectarisme atteint dans les médias européens au cours des douze derniers mois. Ils sont devenus un appareil répressif qui "tue" toute personne osant écrire ne serait-ce que quelques vérités de simple bon sens. Le quatrième pouvoir est devenu le premier pouvoir et il glisse toujours plus vers le totalitarisme. Il risque, à force d'en rajouter, de faire régner le chaos, et, même, de déclencher une guerre civile européenne. Le journaliste-type en 2015 ne ressemble pas aux idiots utiles du temps de la Guerre froide. Non. le journaliste-type en 2015 va plus loin.
 
Le journaliste-type en 2015 fait, purement et simplement, partie de la nomenklatura et son appareil bureaucratique. Il n'est pas un simple idiot utile. Il est un fonctionnaire journaleux dans le système répressif et au service du système répressif. Il est un apparatchik. Nous sommes entré dans l'ère du Stasi-journalisme ouest-européen. Nous sommes des dissidents et des insoumis que l'on déporterait volontiers dans l'Archipel d'Allah, dans le Daesh-goulag, dans les camps du réchauffement islamique de la planète, une sorte de retour vers l'enfer du désert syro-irakien et son napalm vert-coranique. Apocalypse Now : this is the end my friend.

 
Sur son blog, Christian Vanneste, président de La Droite Libre, un laboratoire d’idées conservateur et libéral (voir lien en bas de page), écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien en bas de page) : On ne peut toutefois qu’être frappé par la disparition de toute cohérence entre la réalité et les discours, de toute logique dans les discours eux-mêmes. On assiste à une fragmentation de la pensée, à une fragilité des idées qui se chassent les unes les autres, sans exclure toutefois certaines obsessions qui, elles, reviennent régulièrement.
 
Christian Vanneste : On peut même constater l’accueil complaisant de certains délires. Certes, la mauvaise foi idéologique peut les expliquer. Certes, leur raison d’être peut se trouver dans un souci de se mettre en valeur par des propos excessifs, ou par le service, rémunéré ou non, à rendre à certains groupes de pression, mais jamais le « viol en réunion » du bon sens n’a atteint un degré si provoquant, comme si à force d’abêtir l’opinion, désormais tout était possible.
 
Christian Vanneste : Un récent article du « Monde » ( 24/12/2015) en donne une illustration saisissante. Le titre affirme que « La presse internationale critique l’extension de la déchéance de la nationalité. » A la lecture, il s’avère que cette presse se réduit au Wall Street Journal, au Temps suisse, à La Libre Belgique et… à un site saoudien, Arab News, qui dénonce le cadeau fait au FN. Cette leçon de démocratie venue de la monarchie absolue wahhabite laisse pantois. Le journal financier américain s’alarme en spécialiste pour les valeurs françaises, comme l’égalité. Le quotidien helvète s’inquiète pour le Président qui risque de « perdre son âme ».
 
Christian Vanneste : Qu’un individu qui a plusieurs nationalités, qui est donc plus « égal » que les autres, perde celle qu’il aime au point de tuer « ses compatriotes » parce qu’ils sont français procède cependant du plus élémentaire bon sens. Cette mesure a été réclamée par de nombreux élus de droite dont je faisais partie. Elle n’appartient pas au FN. Quant au sacro-saint et républicain droit du sol, il est sauf pour les ignares, un droit monarchique retrouvé par la République pour se faire des soldats à bon compte. Le droit du sang est celui de la République, acté lors de la rédaction du Code Civil. Notre « quotidien de référence » n’hésite pas à reprendre une double réduction. Les idées de droite sont FN, et le FN, c’est le diable. Ce sont bien sûr les mêmes qui clament : « Pas d’amalgame ».
 
Christian Vanneste : Or, ce principe ne vaut qu’à sens unique. Certes beaucoup de musulmans pratiquants vivent leur foi paisiblement. Mais il faut s’isoler sur une île déserte, sans la moindre communication, et en se bouchant par précaution les yeux et les oreilles, pour ne pas voir que de l’Afrique jusqu’à Bruneï, en passant par le Moyen-Orient, le fanatisme et l’intolérance sont associés à l’Islam, pour ne pas percevoir les difficultés de l’intégration en France d’une population musulmane trop importante et trop éloignée culturellement, pour ne pas savoir que contrairement aux Evangiles, le Coran ne contient pas que de paroles de paix. « Ce sont des maudits. Où qu’on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement » ( S33 v61) n’est pas le précepte d’un Dieu d’amour.
 
Christian Vanneste : Négligeant ces évidences cruelles, une certaine Sophia Aram a récidivé dans l’amalgame vicieux commis par Bourdin. Celui-ci avait cru deviner une communauté d’esprit entre Daesh et FN ( Pas d’amalgame ! ). Manifestement très contente d’elle-même, celle qui porte si mal son prénom a renchéri. Aucun doute pour elle : ce qui est grave, ce n’est pas de commettre des atrocités, c’est de les montrer ou d’en parler. Le vrai danger n’est pas Daesh qui tue, mais le FN qui montre les tueries, et qui avoue sa vraie nature raciste, en retirant une des trois photos, celle du journaliste blanc américain en laissant les deux autres.  Amalgame au carré, inversion des valeurs, procès d’intention : un exemple caricatural donné par une prétendue journaliste, dont la vocation de commissaire politique ne fait aucun doute. La nullité satisfaite du discours a un mérite. Ensuite, on peut dire : « le vide existe, je l’ai rencontré ».
 
Christian Vanneste : Ainsi, tous les jours, le vieux bon sens cartésien des Français est-il bombardé, atomisé. Les nationalistes corses prétendent qu’il y a une nation corse, mais s’effraient dès que la boîte de Pandore du communautarisme s’ouvre avec fracas. Un traquenard est tendu à des policiers et des pompiers dans un « quartier sensible » d’Ajaccio, habité semble-t-il par de nombreuses personnes d’origine musulmane. En réaction, une salle de prières  est vandalisée. Pas d’amalgame, bien sûr… Mais qui ne voit qu’à force de favoriser le communautarisme, en laissant s’étendre les « communautés », ou en les reconnaissant comme telles, on crée les conditions de ces affrontements ?
 
Christian Vanneste : Lorsque des discours irrationnels essaient de justifier une politique absurde, on peut pronostiquer l’issue fatale. Depuis des années, les Français sont soumis à un bourrage de crâne pour leur faire croire que la dépense publique est une vertu et l’euro une monnaie géniale, que le sexe n’est qu’une invention sociale, l’Histoire de France, une suite de crimes dont il faut se repentir, et enfin, que leur pays se résume à un espace laïc et ouvert à tous pour y « vivre ensemble ». Le fait qu’un certain nombre d’entre eux gardent toute leur tête et résistent à la schizophrénie ambiante tient du miracle, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir lien en bas de page).
 
De son côté, sur Riposte Laïque, Thierry Michaud-Nérard écrit (extraits adaptés ; voir lien en bas de page) : Lu dans la presse : « Cohabitation (UMPS) dans les régions : entre eux, ça va faire des étincelles ! Dans plusieurs régions conquises par (l’UMPS), les nouveaux maîtres (des fraternités) doivent compter avec les puissants barons locaux (des fraternités) et les maires socialistes (des fraternités) des grandes villes ». Philippe Martinat, dans le Parisien, veut nous faire croire que Xavier Bertrand « ne mange pas dans la main » de Martine Aubry, pour tromper les électeurs du ch’nord, assujettis aux notables bourgeois de province.
 
« Depuis le 13 décembre et le second tour des élections régionales, de drôles de cohabitations (UMPS) sont en train de se chercher entre certains maires (UMPS) socialistes de très grandes villes qui règnent aussi parfois sur leur métropole et les nouveaux présidents de régions, élus (UMPS) de droite. « S’ils peuvent se retrouver sur certains points, ces couples pacsés, contre leur (plein) gré, vont aussi probablement (faire semblant de) s’affronter sur d’autres (quand leur) point commun (est) la détestation du Front national. Au lendemain de sa victoire acquise… grâce au désistement de la liste PS, Xavier Bertrand, le président (UMPS) de la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a demandé à rencontrer Martine Aubry.
 
« Où ? » a questionné la maire de Lille. « Dans votre mairie », a répondu (le) conciliant Bertrand… en souvenir des gaufres qu’Aubry lui avait offertes pour le remercier de son aide au CHU de Lille, lorsqu’il était ministre… L’entretien, auquel assistait Pierre de Saintignon, a été « franc, cordial et direct », selon Bertrand ». Et finalement, Philippe Martinat nous propose, dans le Parisien, un conte de Noël : « Mais tout ne sera pas toujours sucré entre les deux barons de la gauche et de la droite. Bien qu’il s’en défende (mollement) « Je ne veux pas partir à la conquête de Lille ». Bertrand (UMPS de droite) y sera peut-être mécaniquement poussé par la dynamique en faveur de la droite (de Marine Le Pen) dans cet ancien bastion de gauche du Nord.
 
« Après avoir conquis la métropole de Lille, le département du Nord puis la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, le prochain domino est le beffroi de Lille », pronostique un socialiste (UMPS de gauche) du cru. « Même si l’interlocuteur naturel du patron de la région, sur les dossiers économiques, est la métropole de Lille, dirigée par Damien Castelain, un maire de sensibilité centre droit, élu (UMPS de droite) avec l’aval d’Aubry (et) soutenu par la droite (UMPS), la capitale régionale fait de sa maire un partenaire incontournable. Bertrand a promis de la consulter régulièrement au sein d’une conférence territoriale régionale (UMPS) ».
 
Les médias, grassement subventionnés, doivent rendre crédible le mythe de la discorde (UMPS). C’est la « rivalité négociée par les bourgeois UMPS », pour le partage en commun des rentes et des privilèges. Les bourgeois UMPS se connaissent bien et ils déjeunent ensemble sur le dos des contribuables. Ils se sont amusés à tromper les électeurs assoupis, avec leur hystérie anti-FN, ce dont Marine s’est offusquée à bon droit. Les bourgeois UMPS se complaisent à ces fausses échauffourées, alors que les relations entre les irresponsables politiques, UMPS de gauche et UMPS de droite, que rien n’oppose, sont au beau fixe. On veut nous faire croire que tout opposerait l’UMPS de gauche et l’UMPS de droite, dans le style et sur le fond, quand on a vu les attitudes de l’UMPS, après les fausses attaques et les copinages en fin de campagne.
 
L’UMPS de gauche et l’UMPS de droite se rejoignent dans une antipathie commune envers Marine, la seule à représenter « un vrai chef de file de l’opposition », dont elles ne goûtent, ni sa manière de faire de la politique de manière concrète, ni sa personnalité, courageuse et déterminée, ni sa moralité. Comme de pures mystifications politico-médiatiques, l’UMPS de gauche et l’UMPS de droite voudraient faire semblant d’avoir des désaccords, notamment sur le « financement du logement pour les migrants et les sans-papiers », jusque dans les quartiers bourgeois de la capitale. Personne ne croit que l’UMPS fera l’erreur d’être transparente.
 
C’est pourquoi on n’attend aucune vérité « des intrigues et manipulations des fraternités GOF-UMPS ». On peut suggérer à Marine l’idée d’établir des « tests de dépistage » des intrigues occultes des fraternités GOF-UMPS, qui œuvrent en sous-main, et en confiance, dans l’entourage de Hollande et de l’État-PS. Le point commun des élus des fraternités GOF-UMPS, c’est qu’ils ne sont pas rivaux. Après avoir fait semblant de s’opposer, les uns contre les autres, sur les plateaux des télés, durant les régionales, l’UMPS de droite a invité l’UMPS de gauche à la séance inaugurale des nouveaux conseils régionaux. La poignée de main de l’UMPS de droite a été pour l’UMPS de gauche, une fois élue à la présidence des régions.
 
« Une main lave l’autre et on s’entend comme larrons en foire », alors que les pommes de discorde sont des enjeux factices entre l’UMPS de gauche et l’UMPS de droite, comme dénoncées par Philippe de Villiers. Il s’agit avant tout de ne représenter aucun danger électoral pour les ambitions des élus de l’UMPS qui tiennent beaucoup à « tous les avantages indus de leur misérable carrière politicienne ». Ils n’ont donc pas à craindre la moindre critique, sur tous les aspects de la corruption des élus, dans la gestion obscure des régions et dans les « subventions pour l’aide aux entreprises amies », celles qui soutiennent les politiciens, façon Gattaz.
 
L’UMPS de gauche est, semble-t-il, sévèrement sur ses gardes, quand l’UMPS de droite ne cesse de progresser dans les régions. L’UMPS de gauche, consciente de la tactique de l’UMPS de droite, sait bien où elles veulent toutes les deux en venir, en effet, pour tromper les électeurs par leur « hystérie anti-FN ». En clair, l’UMPS de gauche et l’UMPS de droite sourient en catimini et rient sous cape, conscientes de la tactique des fraternités GOF-UMPS destinée à planter Marine. Pourtant, la ligne Bleu-Marine est la seule puissante force d’opposition au système corrompu de la fausse alternance gauche-droite. Elles ont en partage une vraie compétence commune, celle qui est de faire élire des copains des fraternités GOF-UMPS, tactique destinée à maintenir le système UMPS en place. Cela ne devrait pas poser trop de problèmes aux nouveaux élus des régions, qui sont des adeptes convaincus des « entreprises occultes des fraternités GOF-UMPS ».
 
La fausse division du système UMPS en place n’est pas de favoriser la civilisation. Elle doit susciter des groupes de copains des fraternités GOF-UMPS qui, sans elle, n’existeraient pas. Elle joue le même rôle que les maffias, où elle est la source de cohésion des clans maffieux. La solidarité maffieuse des fraternités GOF-UMPS a pour but principal de faire élire des copains, pour contourner les règles démocratiques. Le lien de solidarité des fraternités GOF-UMPS est celui dont « la réfutation des règles démocratiques constitue le vrai crime ». On saura donc ce qu’est le système UMPS, si l’on sait ce qu’est « son crime contre la démocratie », conclut Thierry Michaud-Nérard (fin des extraits adaptés ; voir lien en bas de page).
 
Introduction et mise en page par Michel Garroté
 
http://www.christianvanneste.fr/2015/12/26/une-societe-schizophrene/

 

http://www.ladroitelibre.fr/nos-publications/communiques-de-presse/apres-le-desastre-la-refondation/

 

http://ripostelaique.com/lumps-de-gauche-lumps-de-droite-et-le-grand-orient-en-ordre-de-bataille.html