Macron a accueilli 1,8 à 2 millions de migrants supplémentaires

A deux mois de l'élection présidentielle, le député européen Brice Hortefeux, invité de la matinale de Sud Radio, voici quelques jours, a affirmé : "la France n’a jamais accueilli autant de migrants sur son territoire et j'estime qu’il y en a 1,8 million de plus qu’au début du quinquennat d’Emmanuel Macron". Eric Zemmour, pour sa part, avance le chiffre de 2 millions.

L'ancien ministre de l'intérieur Brice Hortefeux a détaillé l'invasion migratoire : "la réalité du bilan de la politique migratoire d’Emmanuel Macron. c’est que, un, il n’y a jamais eu autant d’étrangers sur notre territoire, dans notre histoire. Ça ne s’est jamais produit. Au total, sur le quinquennat, cela fera globalement 1,8 million de migrants supplémentaires sur notre territoire, autour de cela. Il y a les titres de séjour, de l’ordre de 270.000, les demandeurs d’asile autour de 100.000, vous avez les clandestins à peu près 40.000 par an, et ainsi de suite. Donc vous arrivez à ce que je vous dis. Il n’y aurait pas eu la crise du Covid, on serait à 2 millions."

Nous avons vérifié. Et ça tombe bien puisque le bilan annuel des chiffres clés de l’immigration du ministère de l’Intérieur est tombé la semaine dernière.

Inter titre : Il y a les titres de séjour, de l’ordre de 270.000 par an.

C’est vrai. Brice Hortefeux connait ses chiffres. En 2021, 271.675 titres de séjour ont été délivrés, soit une hausse de 21,9 % par rapport à 2020 (année Covid).

Inter tire : Les demandeurs d’asile sont autour de 100.000 par an.

C’est vrai. 104.577 premières demandes en guichets uniques ont été déposées, contre 81.531 en 2020, soit une hausse de 28 %. Y a bon la France, ses allocations familiales, ses logements gratuits, ses APL, ses aides diverses. Il faut bien utiliser les impôts des contribuables !

Vous ajoutez à tout ça les clandestins, à peu près 40.000 par an, et ainsi de suite…

C’est là que ça se complique. Qui dit clandestin, dit personne en situation irrégulière, qui souvent se cache, et qui par définition est difficile à compter. Donc les chiffres fournis par le ministère de l'intérieur sont très inférieurs à la réalité et ne reflètent pas la réalité de l'invasion migratoire.

Ce que l’on sait, c’est que près de 200.000 migrants clandestins sont arrivés dans l’Union européenne l’an dernier, le chiffre le plus élevé depuis 2017, selon Frontex, l’agence européenne des frontières.

Inter titre : 600 000 à 700 000 clandos selon le ministre Darmanin

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a indiqué dans le journal Le Parisien qu’il estimait à 600.000 à 700.000 le nombre de clandestins. Durant la période du gouvernement Hollande, le nombre de clandestins en France était estimé à 300.000 personnes.

Les chiffres du ministre de l'intérieur confortent l'estimation d'Eric Zemmour qui défend, bec et ongle, le chiffre de 2 millions de migrants supplémentaires depuis le début du quinquennat de Macron. Eric Zemmour connait ses dossiers dans le cadre de sa campagne de reconquête.

En 2020, environ 320.000 personnes bénéficient de l’AME (Aide médicale de l’État), selon le gouvernement Castex. Ce chiffre parle de lui-même.

Inter titre : 2021 : 52 000 migrants "pagaient" pour traverser la manche

En 2021, 52.000 migrants ont tenté la traversée clandestine de la Manche vers la Grande-Bretagne, dont 28.000 ont réussi à rallier les côtes anglaises, selon le ministère de l’Intérieur. 1 002 migrants naufragés au large de Calais et mis à l’abri en 2021 contre 341 en 2020, soit une augmentation de 194 %, selon l’Ofii (Office français immigration intégration).

 

Nos sources

– Caisse Nationale d'Assurance Maladie

_ Ministère de la Santé

Ined

– Insee

– Nations Unies

– Organisation internationale pour les migrations

– Ministère de l’Intérieur

– Pew Research center

– Global migration data analysis centre

La Montagne

Immigration et démographie urbaine: les cartes à peine croyables de France Stratégie

Ce que nous apprennent les cartes de France Stratégie

Seine Saint-Denis, Paris intra-muros… mais aussi Rennes ou Limoges (!): la proportion des 0-18 ans nés de deux parents extra-européens explose dans de nombreuses aires urbaines. Un basculement démographique historique. Analyses.


Depuis de nombreuses années, la question des statistiques ethniques constitue un sujet brûlant au sein des débats relatifs au fait migratoire, à son approche scientifique et à ses répercussions dans la société française.

En effet, la jurisprudence en vigueur du Conseil constitutionnel considère que « si les traitements nécessaires à la conduite d’études sur la mesure de la diversité des origines des personnes (…) peuvent porter sur des données objectives, ils ne sauraient, sans méconnaître le principe énoncé par l’article 1er de la Constitution, reposer sur l’origine ethnique ou la race » (décision du 15 novembre 2007 [1]).

Néanmoins, si la constitution de bases de données fondées sur la « race » ou l’origine ethnique auto-déclarée – telles qu’elles existent notamment aux États-Unis ou en Grande-Bretagne – demeure formellement interdite, il n’en va pas de même quant à l’origine nationale des individus. En se fondant sur les données du recensement, l’INSEE entretient ainsi tout un appareil statistique relatif au nombre d’immigrés vivant en France (NB : sont seuls considérés comme immigrés les individus nés étrangers à l’étranger), au nombre d’enfants nés de parents immigrés et aux pays d’origine de ceux-ci.

C’est sur cette base que France Stratégie, organisme de prospective rattaché au Premier ministre, a rendu publique en 2020 une vaste étude consacrée à « la ségrégation résidentielle en France ».

Le champ de l’étude

Se penchant sur les données INSEE disponibles pour les 55 « unités urbaines » françaises comptant plus de 100 000 habitants, les équipes de France Stratégie ont élaboré une cartographie détaillée visant à comprendre « l’inégale répartition dans l’espace urbain des différentes catégories de population » au regard de plusieurs critères mesurés en 2017 : la tranche d’âge, le statut d’activité (actifs occupés / chômeurs / inactifs), la catégorie socio-professionnelle, le statut d’occupation du logement (HLM ou autre)… Mais aussi l’origine migratoire directe : les immigrés et leurs enfants.

Grâce à un travail exhaustif de transposition cartographique qu’il convient de saluer, le site créé pour l’occasion permet de visualiser, pour chacune des grandes et moyennes agglomérations françaises :

  • Le pourcentage d’immigrés européens / extra-européens parmi les 25-54 ans ;
  • La part d’enfants nés de parents immigrés européens / extra-européens parmi les 0-18 ans.

En mobilisant la profondeur des données du recensement, ce site propose de visualiser l’historique de ces statistiques sur plusieurs jalons des cinquante dernières années : en 1968, 1975, 1990, 1999 et 2017 – dernière année étudiée. Il est ainsi possible d’obtenir une vision fidèle des transformations démographiques majeures qu’ont connu les villes françaises au cours du demi-siècle écoulé.

A lire aussi: Les Turcs en France sont-ils vraiment acquis à Erdogan?

Ledit travail de cartographie est réalisé à la fois au niveau des communes et des zones IRIS (« Ilôts regroupés pour l’information statistique »), lesquelles correspondent à un découpage par quartier d’environ 2 000 habitants chacun appliqué par l’INSEE. Le choix de ce maillage fin nous offre une véritable précision dans l’analyse géographique des phénomènes.

Au regard des éléments très riches ainsi mis à disposition, force est de constater que les mutations générées par les flux migratoires sont particulièrement frappantes, tout comme les phénomènes de séparation géographique qu’elles induisent dans l’ensemble des métropoles.

Nous proposons d’examiner ici quelques exemples significatifs, en nous focalisant sur un même indicateur : le pourcentage des 0-18 ans nés d’immigrés extra-européens et son évolution depuis 1990.

Commençons par deux zooms dans l’unité urbaine de Paris, qui porteront sur :

  1. Le département de la Seine-Saint-Denis,
  2. La capitale intra-muros.

La Seine-Saint-Denis

Les données INSEE cartographiées par France Stratégie nous apprennent que les enfants immigrés ou nés de parents immigrés extra-européens sont majoritaires parmi les 0-18 dans plus de la moitié des communes de Seine-Saint-Denis en 2017.

Ce basculement est particulièrement marqué dans certaines communes :

  • La Courneuve : 75% des 0-18 ans sont nés de parents immigrés extra-européens (moins d’un quart des mineurs résidant sur la commune est donc d’origine française ou européenne)
  • Villetaneuse : 73%
  • Clichy-sous-Bois : 72%
  • Aubervilliers : 70%.
  • Pierrefitte-sur-Seine : 69%

Si l’on procède à la même analyse par zone IRIS, on se rend compte que les pourcentages concernés sont encore plus élevés dans certains quartiers de ces villes – jusqu’à 84% dans certaines zones de Clichy-sous-Bois :

En 1990, si ces taux étaient déjà nettement plus élevés en Seine-Saint-Denis que la moyenne nationale, ils étaient néanmoins beaucoup plus faibles qu’aujourd’hui :

  • A la Courneuve, la proportion d’enfants d’immigrés extra-européens a augmenté de 60% entre 1990 et 2017.
  • A Pierrefitte-sur-Seine, la proportion d’enfants d’immigrés extra-européens a augmenté de 102% : elle a donc plus que doublé.

Paris intra-muros

Les enfants d’immigrés extra-européens représentent jusqu’à la moitié des 0-18 ans résidant dans certains arrondissements parisiens :

  • 50% dans le XIXème arrondissement
  • 43% dans le XVIIIème
  • 42% dans le XXème
  • 41% dans le XIIIème

Au-delà des moyennes par arrondissement, l’analyse des statistiques disponibles par quartier permet d’identifier les zones de la capitale où cette mutation démographique est plus accentuée encore :

  • Clignancourt / Porte de Saint-Ouen (XVIIIème) : 72% des 0-18 ans sont issus de parents immigrés extra-européens
  • Stalingrad / avenue de Flandre (XIXème) : 71%
  • Porte de la Chapelle (XVIIIème) : 66%
  • Porte de Pantin (XIXème) : 66%

D’autre part, l’analyse au niveau des IRIS permet d’établir à quel point la population de Paris s’apparente désormais à un véritable « archipel » – pour reprendre l’expression fameuse de Jérôme Fourquet. Au sein d’un même arrondissement voisinent parfois des quartiers à la composition démographique radicalement différente. Il en va ainsi du XVIIIème :

  • Laumarck-Caulaincourt : 12% d’enfants d’immigrés extra-européens parmi les 0-18 ans
  • Château-Rouge (à 900 mètres de distance) : 66%

A lire aussi: Les Turcs en France: un «isolat» séparatiste?

En 1990, si la population immigrée était déjà plus forte à Paris qu’ailleurs, les taux en question étaient cependant beaucoup plus faibles. On a assisté à une explosion de la part de la natalité extra-européenne sur les trois dernières décennies : + 25 points en moyenne dans toute l’agglomération parisienne, avec une diffusion dans l’ensemble des arrondissements intra-muros.

Si la métropole parisienne constitue sans conteste la pointe avancée des transformations démographiques générées par l’immigration extra-européenne, les données compilées par France Stratégie démontrent néanmoins que les mêmes dynamiques sont à l’œuvre sur l’ensemble du territoire national. Nos lecteurs peuvent obtenir les données cartographiées pour leur ville sur le site https://francestrategie.shinyapps.io/app_seg/.

Nous nous limiterons ici à analyser brièvement deux exemples particulièrement parlants, car portant sur des villes de province qui n’ont jamais constitué des « terres d’immigration » au XXème siècle :

  1. Une grande ville de l’Ouest : Rennes
  2. Une ville moyenne située dans la « diagonale du vide » : Limoges

Rennes et sa métropole

À l’instar du reste de la Bretagne, la région rennaise est longtemps restée à l’écart des différentes vagues d’immigration reçues par la France depuis le XIXème siècle. Cela est resté le cas pour les flux extra-européens… jusqu’à ces dernières années – ainsi que le démontrent les données INSEE.

Les enfants de parents immigrés extra-européens représentent désormais presqu’un quart (22,8%) des 0-18 ans vivant dans l’agglomération de Rennes en 2017. Si certaines communes périphériques restent encore peu concernées par cette mutation, celle-ci est spectaculaire dans plusieurs quartiers de Rennes – où les jeunes d’origine extra-européenne sont parfois majoritaires :

  • Le Blosne : 51% des 0-18 sont des enfants d’immigrés extra-européens
  • Villejean / Beauregard : 50%
  • Bréquigny : 45%

Cet aspect spectaculaire prend encore plus de sens lorsqu’il est mis en rapport avec les cartes de 1990 : le pourcentage d’enfants de parents extra-européens parmi les jeunes de la métropole rennaise a été multiplé par 3 en moins de 30 ans (passant de 7,7% à 22,8%). Dans certains quartiers, cette augmentation est vertigineuse :

  • À Villejean-Beauregard, la part des jeunes nés d’immigrés extra-européens a augmenté de 355% en 27 ans
  • À Brequigny, cette proportion a augmenté de 221%

Limoges et son aire urbaine

Capitale du Limousin rural et enclavé, la ville de Limoges et ses environs n’ont – comme la Bretagne – pas constitué un lieu d’arrivée ordinaire des flux d’immigration vers la France. L’isolement géographique et la structure économique de la région ne se prêtaient pas à une « attractivité » de cette nature. Pourtant, en 2017, les cartes de France Stratégie dévoilent une démographie limougeaude largement perfusée par l’immigration extra-européenne.

Les enfants de parents immigrés extra-européens représentent en moyenne plus d’un quart (27,5%) des 0-18 ans vivant dans l’unité urbaine de Limoges. Ils sont même nettement majoritaires dans certains quartiers :

  • Les Portes Ferrées / Saint-Lazare : 61% des 0-18 sont des enfants d’immigrés extra-européens
  • Ester / Beaubreuil : 61%
  • Corgnac / Val de l’Aurance : 58%

En 1990, les enfants de parents extra-européens ne représentaient que 10,2% des 0-18 ans dans l’agglomération de Limoges ; leur part a donc augmenté de 170% en moins de trente ans. Si cette hausse est générale, les mêmes quartiers sont à la pointe de ce phénomène :

  • Dans la zone de Corgnac / Val de l’Aurance, la part des jeunes nés d’immigrés extra-européens a augmenté par exemple de 262% en 27 ans
  • Aux Portes Ferrées, elle a augmenté de 165%

Cependant, outre la hausse globale, l’aspect le plus remarquable de la situation limougeaude réside dans des communes et des quartiers qui n’étaient absolument pas concernés par l’immigration extra-européenne voici 27 ans, mais dont la population jeune en est aujourd’hui issue dans une part importante. Pour citer quelques uns de ces territoires :

  • Dans la ville de Panazol (la plus peuplée de l’unité urbaine après Limoges), les enfants d’immigrés extra-européens représentaient 1% des 0-18 sur le territoire communal en 1990 ; ils sont désormais 15% en 2017 – soit une multiplication par quinze de cette part ;
  • À Isle, ils étaient 2% en 1990 ; ils sont 18% en 2017 – soit une multiplication par neuf ;
  • Au Palais-sur-Vienne, ils étaient 5% en 1990 ; ils sont 24% en 2017 – soit une multiplication par cinq.

Les angles morts de cette étude

Il apparaît utile de préciser que les données INSEE mobilisées par France Stratégie seraient sous-évaluées si l’on cherchait à les utiliser pour estimer la part complète de telle ou telle origine « ethnique » au sein d’une population – et ce pour deux raisons principales :

  1. Ce calcul n’inclut pas la « troisième génération », celle des enfants nés de grands-parents immigrés extra-européens ;
  2. Il n’intègre probablement que très partiellement la présence de mineurs immigrés clandestins (sachant que la population totale des immigrés illégaux dans la seule Seine-Saint-Denis est estimée entre 150 000 et 450 000 individus d’après un rapport parlementaire de 2018 [2]).

Les données ici présentées ne remplacent donc pas les « statistiques ethniques », objets récurrents de polémiques et d’obstacles juridiques, dont la démographe Michèle Tribalat considère pourtant qu’elles sont « indispensables à la connaissance » [3].

Par ailleurs, la double dynamique induite par la surnatalité des populations immigrés et l’accélération de l’immigration au cours des dernières années (cf partie « Pourquoi un tel bouleversement ? ») conduisent à penser que les données ici compilées en 2017 sont déjà significativement dépassées.

Enfin, l’approche englobante de la catégorie des « 0-18 ans » ne donne pas une idée aussi précise que possible des dynamiques en cours. Au vu de la tendance dessinée par ces cartes, on peut imaginer que la proportion d’enfants d’immigrés extra-européens est plus forte chez les 0-5 ans ou les 0-10 ans que chez les 10-18 ans. Une telle segmentation statistique aurait permis de percevoir de façon plus précise l’accélération des transformations démographiques en cours, ainsi que leur impact à venir sur l’ensemble des catégories d’âge

Pourquoi un tel bouleversement ?

Les transformations démographiques ici décrites – qu’il faut bien reconnaître comme sans précédent dans notre Histoire par leur nature, leur ampleur et leur rapidité – sont liées à la conjonction de deux moteurs migratoires, lesquels ne cessent d’accélérer leurs cadences et de se nourrir réciproquement :

  1. La poursuite et l’accélération de l’immigration vers la France

Pour la seule année 2019, 469 000 étrangers se sont légalement installés sur le territoire national (titres de séjour accordés + demandes d’asile enregistrées + mineurs étrangers reconnus « isolés » [4]), soit un record absolu. Il faut ajouter à cela les entrées clandestines, difficiles à chiffrer par nature mais que l’on peut estimer à plusieurs dizaines de milliers par an.

  1. La surnatalité des populations immigrées par rapport aux natifs. 

Sur une période de vingt années entre 1998 et 2018 :

  • Le nombre de naissances d’enfants dont au moins un parent est étranger a augmenté de 63,6%
  • Le nombre de naissances d’enfants dont les deux parents sont étrangers a progressé de 43%.
  • Le nombre de naissances d’enfants dont les deux parents sont français a baissé de 13,7% [5].

En 2018, près d’un tiers des enfants nés en France (31,4%) ont au moins un parent né à l’étranger [6].

Les femmes immigrées ont un taux de fécondité de 2,73 enfants par femme en moyenne, contre 1,9 pour les natives [7]. Ce contraste est encore plus marqué pour certaines nationalités extra-européennes : ledit taux s’élève à 3,6 enfants par femme en moyenne pour les immigrées algériennes, 3,5 enfants par femme pour les immigrées tunisiennes, 3,4 enfants par femme pour les immigrées marocaines et 3,1 enfants par femme pour les immigrées turques, ce qui est plus élevé que la fécondité de leurs pays d’origine (respectivement 3 ; 2,4 ; 2,2 ; 2,1).

Malgré ses limites, l’analyse à laquelle nous venons de nous livrer démontre que les effets cumulés de l’immigration et des différentiels de fécondité ont d’ores et déjà modifié significativement la population française dans les grandes et moyennes agglomérations – et qu’ils continuent de le faire.

Une fois posé ce diagnostic incontestable, il est permis à chacun de s’interroger sur les conséquences d’un tel basculement à court, moyen et long terme, étant entendu qu’il ne pourra cesser de s’amplifier « naturellement » sans la mise en œuvre d’une volonté politique contraire.

> Retrouvez l’intégralité des articles de l’Observatoire sur leur site http://observatoire-immigration.fr <


[1] Décision n° 2007-557 DC du 15 novembre 2007, « Loi relative à la maîtrise de l’immigration, à l’intégration et à l’asile » (site du Conseil constitutionnel)

[2] Rapport d’information sur l’évaluation de l’action de l’Etat dans l’exercice de ses missions régaliennes en Seine-Saint-Denis, enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 31 mai 2018 (rapport CORNUT-GENTILLE-KOKOUENDO).

[3] Entretien au Figaro, 26 février 2016 (lien)

[4] Sources : Ministère de l’Intérieur et OFPRA

[5] Statistiques de l’état civil de l’INSEE et du document « T37BIS : Nés vivants selon la nationalité des parents (Union européenne à 28 ou non). Calculs : OID. https://observatoire-immigration.fr/natalite-et-immigration/

[6] Op. cit.

[7] Interview de François Héran, professeur de démographie au Collège de France, par Ivanne Trippenbach pour L’Opinion, 4 octobre 2019 (Lien)

[8] François Héran, op. cit.

source: https://www.causeur.fr/immigration-et-demographie-urbaine-les-cartes-a-peine-croyables-de-france-strategie-208601

Suède : tribunal attaqué par des hommes masqués afin d’empêcher la tenue d’un procès pour préparation de meurtre

Un procès pour meurtre surveillé par la police en banlieue de Stockholm a fait l'objet d'une attaque violente jeudi. Une vingtaine d’hommes masqués, armés d’engins pyrotechniques, ont attaqué la police.

Vers 9 heures du matin, une bande de plus de vingt jeunes hommes masqués, liés aux gangs criminels X-Team et Bandidos, a attaqué le tribunal de district d'Attunda, en banlieue nord de Stockholm, avec de puissants engins pyrotechniques ressemblant à des bombes, appelés bangers, a rapporté Samhällsnytt. Ils en ont également lancé sur les policiers chargés de surveiller le procès et sur les renforts arrivés sur les lieux après le début de l'attaque.

Ces gangs recrutent principalement parmi les personnes issues de l'immigration.

Une dizaine d'agresseurs ont été mis en garde à vue. On ne sait pas s'ils ont ensuite été placés en détention ou aussitôt relâchés. C'est seulement l'après-midi que la police a pris le contrôle de la situation.

Le procès concerne quatre hommes accusés d'avoir planifié un massacre à l'arme automatique lors d'une fête d'enfants. Il avait été transféré d'un autre tribunal de district à la suite d'incidents violents similaires impliquant quelque 80 personnes. La police avait pu déjouer le projet de massacre à la dernière minute. […]

Swedish district court attacked by masked gang members to stop murder trial

Traduction libre Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

La Commission européenne encourage l’augmentation de l’immigration dans le cadre de la #NextGenerationEU

Dans une photo Instagram, la Commission européenne révèle comment elle envisage l'Europe dans l'ère post-Corona. Une nouvelle augmentation de l'immigration fait partie du plan visant à rendre l'Europe encore davantage "colorée".

Sur les médias sociaux, un message de la Commission européenne a provoqué un véritable "shitstorm" [NDLR : littéralement: une tempête de merde]. Sous le hashtag #NextGenerationEU, elle a fait la promotion du prochain budget à long terme de l'UE, d'un montant de 1 800 milliards d'euros, qui doit être utilisé pour construire une Europe post-Covid 19.

"Ensemble, nous pouvons façonner le monde dans lequel nous voulons vivre." écrit la Commission. Mais apparemment, il existe des différences entre l'UE et les citoyens concernant le monde à façonner. De nombreux utilisateurs ont critiqué le fait qu'aucun Européen "autochtone" - c'est-à-dire ce que certains utilisateurs considèrent probablement encore comme des Européens - n'était représenté sur l'image. Les appels à la sortie de l'UE sont également de plus en plus forts dans les colonnes de commentaires, avec les termes DEXIT, IREXIT, ILATEXIT, GREXIT et ROEXIT.

 

La fin de la propagande

Beaucoup demandent également la fin de la propagande constante au nom de la "diversité". Ils notent que les Blancs ou les Européens de provenance occidentale sont apparemment le seul groupe de population qui peut être ouvertement et systématiquement discriminé en toute impunité.

Un jour seulement après la publication de l'article, la Commission européenne s'est finalement sentie obligée d'écrire un commentaire. Elle a été attristée par le grand nombre de réactions négatives en raison de la couleur de peau du père et de l'enfant. Après tout, la société européenne est diverse et c'est une force pour l'Europe, qu'ils ont voulu montrer et représenter dans le message. Avec une telle sensibilité de la part de l'UE, il est presque surprenant qu'elle utilise encore le terme désuet de "père" - selon l'idéologie moderne de gauche - et qu'elle n'utilise pas déjà le terme moderne et progressiste de "parent".

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Wochenblick.at / Instagram.com de la Commission européenne


Rappels :

Policiers brûlés vifs à Viry-Châtillon : l’avocat général a débuté son réquisitoire en déclarant aux accusés « Je sais que vous êtes une richesse pour notre société »

France : Pierre, 68 ans, battu à mort par des « jeunes » dans sa cage d’escalier

Bruxelles : «Je (romps) mon ramadan à cause de toi fils de p…»: un accompagnateur de train violenté par des jeunes

L’ONG Sea-Eye envoie un nouveau navire pour migrants : Il a en grande partie été financé par l’Église protestante allemande.

Liège (Belgique) : affrontement entre bandes tchétchènes et kurdes à la kalashnikov, 1 mort et 2 blessés

Reims : un Congolais, au bénéfice du statut de réfugié, écroué pour le meurtre et le viol d’un travesti

Procès à Genève: arbitre battu, les trois accusés ont écopé de peines avec sursis mais assorties d’expulsion

 

 

 

France : Pierre, 68 ans, battu à mort par des « jeunes » dans sa cage d’escalier

Agé de 68 ans, il a été battu à mort par cinq jeunes dans sa cage d’escalier. Le 10 avril dernier, Pierre S. a été retrouvé gisant en début de soirée, la tête ensanglantée, à Floirac (Gironde).

(...)

Les premières investigations ont permis aux enquêteurs d’apprendre qu’une bande de jeunes avait pris ses habitudes dans les escaliers (situés en extérieur) de la résidence, où ils fumaient et buvaient [NDLR : La photo de l'un des ces "jeunes" est publiée par l'article d'origine]. La victime aurait ainsi été confrontée à ceux-ci, déclenchant leur violence pour une réflexion. Ils l’auraient fait chuter, avant de la rouer de coups de pied et de prendre la fuite.

(...)

Cnews.fr

L’ONG Sea-Eye envoie un nouveau navire pour migrants : Il a en grande partie été financé par l’Église protestante allemande.

Pendant six mois, le navire de sauvetage, qui battra pavillon allemand, a été reconstruit par environ 250 volontaires regroupés dans l’initiative «United4Rescue» qui regroupe 744 partenaires, dont Médecins sans frontières, la Confédération allemande des syndicats ou encore la gauche radicale allemande Die Linke.

Il a en grande partie été financé par l’Église protestante allemande.

(...)

20min.ch

Suisse : Le phénomène de gangs se développe. « La culture de la violence des banlieues françaises, des ghettos des villes allemandes et américaines fait son chemin ici »

Pour ces jeunes, l'agitation du Vendredi saint a été un coup de pouce qui les a motivés. Pour le reste de la Suisse, cela ressemble à un mauvais rêve. Vous vous frottez les yeux et vous vous demandez : qu'est-ce qui ne va pas avec ces jeunes ?

Nous avons cherché des réponses, nous avons parlé à des spécialistes de la délinquance, des avocats, des pédopsychiatres et des porte-parole de la police. Et nous l'avons découvert : Saint-Gall n'est pas une exception. Saint-Gall est le point culminant temporaire d'un développement qui se prépare depuis un certain temps. Une évolution vers une culture de la violence chez les jeunes. Et le Covid est l'accélérateur de ce feu.

La violence en hausse

Dirk Baier est criminologue à l'Université des sciences appliquées de Zurich. Son rapport avec une évaluation des statistiques policières actuelles sur la criminalité est disponible exclusivement pour le SonntagsBlick : depuis 2015, la criminalité des jeunes a augmenté d'un tiers. Dans toute la Suisse. Dans presque tous les délits. Principalement en ce qui concerne les vols - de 146 %, avec 497 prévenus en 2020. Et en ce qui concerne les agressions physiques - de 122 %, avec 353 prévenus en 2020. En ce qui concerne les agressions simples (avec 599 prévenus en 2020), les menaces et les violences à l'encontre des fonctionnaires de la moitié au moins (avec 210 accusés en 2020).

[...]

Les régions éloignées des grands centres sont également touchées. Dans son dernier rapport annuel, le Service de la jeunesse de Soleure met en garde contre une "tendance croissante" dans le domaine des "menaces, de la coercition et du port d'armes telles que des poings américains, des couteaux pliants à ressort ou des armes factices".

[...]

Rien que pour l'année de la pandémie, les chiffres se manifestent par des incidents brutaux. En voici quelques exemples :

En juillet, deux jeunes de 15 ans et un jeune de 19 ans ont poignardé un jeune de 19 ans lors d'une dispute au Seebecken de Zurich.

En août, dix jeunes hommes se battent si violemment dans le quartier de Steinenvorstadt à Bâle que l'un d'entre eux doit se rendre à l'hôpital gravement blessé.

En septembre et octobre, une bande de 14 jeunes se livrent à neuf vols à main armée dans la ville de Berne. Parmi eux, même des jeunes de 14 ans.

Il y a deux mois, un groupe de jeunes a tabassé deux autres personnes à l'Opéra de Zurich en raison de leur homosexualité et de leur transpersonnalité.

Et à présent les émeutes à Saint-Gall. La police a arrêté 21 jeunes. Les dommages matériels s'élèvent à 50 000 francs.

Un jour après les émeutes de Saint-Gall, le samedi soir de Pâques, notre reporter s'est immergé dans la foule à la gare de Stadelhofen à Zurich et au bord du lac. "Ich gange Stadi", est devenu un mot de code dans l'ère du Covid. "Stadi" est une scène. Le "Stadi" est le monde des "bro's" en pantalons de sport avec des coupes de cheveux parfaitement rasées, ajoutant un "vallah" à une phrase sur deux - "je jure" en arabe [NDLR : Les mêmes références islamiques comme en France]. "Stadi" est le monde des "kids" de Zurich et de la Rostgürtel : Schwamendingen, Altstetten, Dietikon, Schlieren - ils sont fiers de leurs origines de banlieues. Si fiers, en fait, qu'ils se regroupent en bandes.

[...]

Jusqu'à présent, les conflits de gangs étaient un phénomène marginal en Suisse.

A présent, ce qui est nouveau, c'est que les jeunes hommes "agissent souvent en groupe", se battent avec d'autres jeunes, comme l'a déclaré la responsable de la police judiciaire de Zurich, Christiane Lentjes Meili, lors d'une récente conférence de presse.

Ce qui est également nouveau, c'est que les conflits sont "devenus plus durs". Souvent, il ne s'agit plus d'une simple menace. Ils portent souvent des armes, qu'ils utilisent par la suite également.

La culture de la violence des banlieues françaises, des ghettos des villes allemandes et américaines fait également son chemin ici. Et s'impose comme une culture populaire. Cela est lié aux "modèles de la scène hip-hop", selon le criminologue Dirk Baier.

Avec les sous-fifres qui ont gravi les échelons pour devenir des rappeurs gangsters avec des voitures de luxe et des armes à feu en poche. Ils se vendent via Youtube, Tiktok, Snapchat et Instagram - les "lignes de vie" des jeunes.

Les rappeurs suisses se mettent aussi en scène comme des gangsters. Dukat, un jeune homme de 20 ans originaire d'Adliswil, dans le canton de Zurich [NDLR : il s'agit vraisemblablement d'un Albanais comme le montrent les images de son clip plus bas et de son Instagram ou encore l'utilisation du terme albanais "Jeta" dans l'une de ses chansons], lance depuis un jukebox du "Stadi" : "Cours plus vite, sinon tu recevras des blessures par balles. Nous avons du matériel et des poils aux couilles. (...) La dernière chose que tu verras, c'est mon sourire  moqueur et dieu, je criblerai ta maison de trous."

 

 

Note : "Dukat" est également le nom d'un lieu en Albanie.

 

 

 

 

Les garçons l'imitent, ils affinent leur image de gangster via les médias sociaux. Comme le gang de Schlieren. Sur leur compte Instagram HNCD - l'acronyme français de leur code postal - ils diffusent des photos et des vidéos de locaux préfabriqués, des couteaux qu'ils ouvrent, des armes de poing qu'ils chargent, des billets de 1000 francs.

 

 

 

 

St. Gallen n'était probablement que le début

Après la nuit d'émeutes, une vidéo Tiktok montrant une scène est devenue virale : des policiers bloquant la rue devant eux, une dizaine de gars faisant collectivement des pompes - une démonstration de puissance machiste [NDLR : Vidéo visible dans le tweet ci-dessus.]. La vidéo diffuse la chanson de la star du rap allemand Haftbefehl : "Je fais mon chemin à la machette. Sur la route avec un neuf millimètres."

Les émeutes annoncées ne se sont pas concrétisées. Le problème ne disparaît pas pour autant. Les mesures [NDLR : concernant le Covid] restent rigides, l'ennui et la frustration augmentent, et à présent, les soirées deviennent plus chaudes. Les jeunes retrouveront sans doute leur place dans la société. Avec violence, si nécessaire.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch


Rappels :

Suisse : La violence des jeunes a augmenté. Le Blick interviewe un jeune Albanais.

Renens, Meyrin, Onex… Vidéos de la diversité voulue par la gauche en Suisse

Bienne : L’Albanais avait presque égorgé Markus. La victime n’obtient aucun dédommagement.

Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

Zurich : Une mosquée albanaise vendait un livre appelant au meurtre de ceux qui critiquent l’islam

Des soldats suisses d’origine albanaise chantent l’hymne de la Grande Albanie. L’armée s’en fiche.

Le Dailymail : « Comment la Suède est devenue un paradis pour les gangsters. Le pays le plus libéral d’Europe a accueilli des réfugiés du Moyen-Orient il y a cinq ans… »

Suède : Nos banlieues sont également séparées par groupes ethniques.

 

 

 

 

 

Dresde (All.) : Une jeune fille de 12 ans attirée dans un appartement par un Érythréen et abusée sexuellement.

Dresden - Un homme de 32 ans originaire d'Érythrée aurait attiré une jeune fille (12 ans) dans son appartement et aurait ensuite eu des rapports sexuels avec elle : Le bureau du procureur de Dresde a porté plainte contre l'Érythréen pour abus sexuel aggravé sur un enfant.

"L'accusé aurait abordé une fille de 12 ans sur une aire de jeux à Dresde-Gorbitz le 20 décembre 2020 et lui aurait demandé de l'accompagner dans un appartement voisin", a déclaré le procureur principal Jürgen Schmidt.

La fille a suivi l'homme dans l'appartement. Là, selon l'acte d'accusation, il "a pratiqué de force des actes sexuels sur la jeune fille". La fille a ensuite pu quitter l'appartement."

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Genève : Augmentation de 93% des cas traités par le Tribunal des mineurs : Les mineurs non accompagnés à l’origine de cette hausse.

Les brigandages explosent avec +65% sur un an.

Les cambriolages +26%

Les infractions contre le patrimoine +11%

Les rixes et les agressions ont également augmenté.

 

 

Rts.ch


Rappels :

Le collectif Perce-Frontières dénonce les conditions d’accueil des mineurs non accompagnés à Genève.

“À Genève, 80 % des mineurs non-accompagnés que l’on rencontre ont des problèmes de santé mentale”

Genève : les migrants mineurs non accompagnés exigent que la Suisse les prenne en charge financièrement jusqu’à 25 ans

Maurice Berger, pédopsychiatre : la France n’a plus d’autre choix que de se retirer de la Convention européenne des Droits de l’Homme pour pouvoir expulser les mineurs non accompagnés criminels

Pays-Bas : Les employés d’un centre pour migrants affirment que des criminels nord-africains se font passer pour des « mineurs non accompagnés »

Suisse: Les églises protestantes, des socialistes et des Verts veulent imposer un contingent de 10’000 réfugiés par année.

La Suisse priée par l'ONU de mieux accueillir les mineurs non accompagnés

Lausanne: Cercle de silence en faveur des « réfugiés mineurs non accompagnés »

 

 

 

 

Zurich : Des enseignants n’osent pas critiquer l’islam de peur d’être traités de racistes

Le terme "islamiste" est déconseillé" - Dans certaines écoles de Zurich, le fondamentalisme musulman est un sujet tabou.

A Zurich, certains enseignants n'osent pas aborder ouvertement l'islamisme et la migration. Le sujet est tabou dans les manuels scolaires et dans les universités.

En octobre dernier, dans une banlieue de Paris, l'enseignant Samuel Paty a été décapité par un islamiste pour avoir montré en classe les caricatures de Mahomet provenant du magazine satirique "Charlie Hebdo". Depuis lors, l'influence de l'islam et de l'islamisme sur les écoles publiques a été débattue dans certains pays européens.

De nombreuses personnes se demandent si des sujets tels que la liberté d'expression, le conflit au Moyen-Orient ou l'Holocauste peuvent être discutés ouvertement en classe, et dans quelle mesure une image patriarcale des femmes façonne le quotidien scolaire.

La situation à Zurich n'est pas comparable à celle de la France. Là-bas, des conflits surgissent sans cesse dans la vie quotidienne de l'école parce que les élèves musulmans rejettent le concept de laïcité. En 2018 déjà, l'institut de sondage Ifop avait constaté qu'un peu moins de 40 % des enseignants français s'étaient déjà autocensurés en classe pour éviter de tels conflits avec les élèves.

L'association des enseignants zurichois, en revanche, ne voit pas de problèmes structurels liés à la religion, selon son président Christian Hugi. Il décrit ces incidents comme des "cas individuels" qui peuvent généralement être résolus lors de discussions. L'association des organisations islamiques de Zurich (VIOZ) n'a pas non plus connaissance, à l'heure actuelle, de cas concrets de conflits dans les écoles en rapport avec l'islam.

Cependant, si l'on creuse un peu plus, on entend des enseignants zurichois dire que le sujet est assez virulent. Mais presque personne ne veut faire de commentaires publics à ce sujet.

Tabou dans la formation des enseignants

Quelle est la raison de cette réticence ? Certains éléments indiquent que le tabou des problèmes liés à l'Islam s'est transformé en une sorte d'angle mort institutionnalisé. Cette impression est donnée, entre autres, par le guide "Genre et diversité dans la communication" publié en 2018 par la Haute École intercantonale d'éducation spécialisée basée à Zurich.

Plusieurs enseignants rapportent à la NZZ que les sujets de la migration et de l'islam sont déjà tabous pendant la formation des enseignants. Le politicien et enseignant UDC zurichois Stefan Urech a perçu le traitement de cette question à la Haute école pédagogique de Zurich (PHZH) comme "hautement politisé" : "Le multiculturalisme y est présenté exclusivement sous ses aspects positifs. Je n'ai pas connu de dialogue ouvert à ce sujet." Il aimerait voir davantage d'études sur le sujet. Toutefois, selon lui, il est essentiel que les enseignants soient interrogés de manière anonyme afin qu'ils ne subissent pas de pression pour donner des réponses politiquement correctes.

(...)

Les manuels laissent de côté les questions essentielles

Les manuels publiés par Lehrmittelverlag Zürich remettent également en question la possibilité de mener un discours ouvert sur l'éducation. Il y a quelques années déjà, l'éditeur a été critiqué par les partis bourgeois du Conseil cantonal : son matériel pédagogique était coloré idéologiquement par la gauche. Les publications sur le thème de l'Islam soulèvent également des questions d'équilibre.

Le manuel "Blickpunkt 3 - Religion und Kultur" (accent 3 - religion et culture) est destiné à familiariser les élèves du secondaire avec les religions du monde. Sous le titre "Die Scharia – den richtigen Weg finden", les auteurs consacrent une double page à la jurisprudence islamique. Il explique comment "les meilleurs érudits" discutent de questions controversées sur la base du Coran et des hadiths et parviennent à un verdict. Le fait que dans certains pays arabes, ces jugements conduisent à des châtiments corporels tels que la lapidation ou la flagellation n'est pas mentionné. Il n'est pas non plus fait mention du système des fatwas, dans lequel des érudits appellent au meurtre des détracteurs de l'islam sur la base de la charia.

L'encadré d'information sur le sujet du «Jihad» reste vague: alors que le «Grand Jihad» est décrit comme «l'effort intérieur des gens pour être le plus proche possible de Dieu», le «Petit Jihad» est détaillé ainsi : «Il y a des musulmans radicaux qui interprètent le jihad de telle manière qu'ils sont censés attaquer les non-croyants afin de faire d'imposer la domination de l'islam." La grande majorité des musulmans rejette cette conception.

Le manuel fait sans cesse référence à cette "majorité de musulmans" qui s'intègre sans problème. Le fait que l'influence des minorités sur les normes applicables est également importante pour les sociétés n'est pas débattu.

Le livre d'accompagnement destiné aux enseignants est encore plus clair : il n'y a "aucune raison de croire que les musulmans ne peuvent pas s'intégrer dans les sociétés occidentales démocratiques". Il convient d'insister sur ce point, car dans l'Islam, comme dans d'autres religions, il existe aussi des "personnes ou des groupes" qui ont des opinions fondamentalistes et "reçoivent souvent beaucoup d'attention dans les médias".

Les enseignants craignent d'être accusés de racisme

On peut se demander si les enseignants peuvent oser critiquer publiquement l'influence de l'Islam sur la vie quotidienne de l'école dans une telle atmosphère. Nous avons parlé à quatre enseignants zurichois dans le cadre de cette recherche, à savoir qu'ils ne veulent pas faire de commentaires par crainte de détriments professionnels et d'accusations de racisme, à l'exception du politicien UDC Stefan Urech.

Pourtant en principe, ils ne rejettent pas l'immigration ni l'islam. Par exemple, une enseignante de l'école secondaire de Winterthur affirme que les histoires personnelles de migration des élèves pourraient enrichir les cours. Néanmoins, une image unilatérale est parfois véhiculée dans la formation des enseignants : Lorsque les étudiants arrivent ensuite dans les écoles, ils sont dépassés et surpris de constater que le multiculturalisme peut être non seulement un enrichissement mais également un fardeau.

Les problèmes se posent surtout avec les garçons issus de familles musulmanes ayant un faible niveau d'éducation. En tant que femme, vous devez clarifier le rapport de force dès le départ et les affronter pour être prise au sérieux. Les jeunes enseignantes, en particulier, trouvent souvent cela difficile. Un jour, un élève musulman a déclaré à une collègue féminine : "Je ne reçois pas d'ordres des femmes. Il s'agit d'une exception, mais cela arrive.

Dans beaucoup de ces familles, les mères n'ont pas grand-chose à dire sur l'éducation, elles sont surtout responsables du bien-être physique, dit l'enseignante. En général, seuls les pères, qui sont terriblement fiers de leurs fils, se présentent aux réunions parents-enseignants. Si les pères sont confrontés au fait que les choses ne vont pas aussi bien à l'école qu'ils le pensent, on doit faire attention à ne pas blesser leur fierté.

Au cours de sa formation d'enseignant, Stefan Urech, politicien de l'UDC, a également fait l'expérience de la façon dont les visions du monde musulman peuvent changer l'enseignement quotidien. Lors d'un stage dans une école secondaire de Winterthur, il a remarqué pour la première fois à quel point il était privilégié en tant qu'homme dans certaines situations. "Mes collègues féminines devaient faire beaucoup plus d'efforts pour obtenir le respect et l'attention des étudiants musulmans que l'on me donnait naturellement."

Les "raisons culturelles" comme excuse

Même avec des élèves plus jeunes, une interprétation stricte de l'Islam conduit souvent à des conflits, nous dit une pédagogue lors d'une conversation. Elle travaille dans une école primaire de la région de Zurich, qui accueille de nombreux élèves issus de l'immigration musulmane. Elle aussi ne veut pas que son nom soit visible dans le journal. Trop souvent, dit-elle, elle s'est heurtée au rejet de ses collègues ou a été accusée de racisme lorsqu'elle a tenté de susciter un discours critique sur l'islam. Pourtant, elle est elle-même issue de l'immigration ; ses parents, âgés d'une quarantaine d'années, sont originaires du Chili.

Il y a quelques années, elle a encadré une jeune fille musulmane originaire de Somalie qui ne participait jamais aux fêtes de classe et autres événements. Elle a noté "plus de contacts avec les pairs" comme objectif de soutien. Cependant, la mère a réagi de manière indignée à ce sujet lors de l'entretien avec les parents. L'objectif de soutien a été abandonné. Rien n'a changé pour la jeune fille, mais pour la pédagogue : le cas lui a été retiré et c'est désormais une collègue qui en est responsable.

La psychologue scolaire qui a pris cette décision a invoqué des "raisons culturelles". Peu de temps auparavant, la mère musulmane avait regretté que "la charia ne s'applique pas encore ici". . .". Pour la pédagogue, la raison pour laquelle la fille doit rester isolée est évidente : Les parents auraient voulu empêcher tout contact avec les "non-croyants" et craignaient que, lors des nuitées avec la classe, les enfants ne soient pas strictement séparés selon leur sexe.

Certains sujets sont exclus de l’enseignement

Une autre fois, la pédagogue a lu en classe un extrait d'un livre de mythes scandinaves. Un élève musulman de quatrième année s'est opposé avec véhémence à l'idée qu'il y ait plus d'un Dieu. Dans de telles situations, elle entend presque toujours les autres enseignantes dire qu'il faut l'accepter, car "c'est comme ça dans leur culture". Néanmoins, elle essaie d'échanger des idées avec ses collègues - même après l'assassinat de Paty. Mais sa suggestion de commémorer la victime du meurtre dans la salle des professeurs par une minute de silence a été rejetée.

Mais sa suggestion de commémorer la victime du meurtre dans la salle des professeurs par une minute de silence a été rejetée.

 

La pédagogue parle d'un "aveuglement" du corps enseignant. Au nom d'une supposée tolérance, certains sujets politiques ont été exclus, tandis que d'autres, comme le mouvement "Black Lives Matter" aux États-Unis, ont bénéficié de cours entiers. À cela s'ajoute la crainte d'une éventuelle agression de la part des parents musulmans. Pour cette raison, la directrice n'a pas voulu parler publiquement de ces problèmes. En privé, cependant, la directrice est d'accord avec elle sur de nombreux points. La pédagogue déclare : "Le sujet de l'islam vous isole."

 

À cela s'ajoute la crainte d'une éventuelle agression de la part des parents musulmans.

 

 

Détourner le regard est dangereux

Susanne Wiesinger, institutrice viennoise, connaît également ce sentiment d'isolement. Son cas illustre pourquoi les enseignants osent rarement critiquer publiquement l'influence de l'islam. En 2018, Susanne Wiesinger a publié le livre "Kulturkampf im Klassenzimmer : Wie der Islam die Schulen verändert" (Guerre culturelle dans la salle de classe : comment l'islam change les écoles), qui a fait grand bruit en Autriche. Après sa publication, la plupart de son entourage s'est détourné d'elle, déclare Susanne Wiesinger. Seuls quelques amis proches sont restés. Sur le plan professionnel aussi, elle a dû supporter des inconvénients : Certains collègues la considéraient comme raciste ou islamophobe. D'autres sont d'accord avec elle et sont reconnaissants que "quelqu'un dise enfin la vérité" - mais seulement lors de conversations privées entre deux personnes.

En particulier dans les milieux de gauche, les aspects problématiques de la migration sont souvent passés sous silence. Susanne Wiesinger est également issue d'un milieu de gauche et s'est donc longtemps interdit toute réflexion critique sur le multiculturalisme. Cependant, en tant qu'enseignante, elle se sent également responsable envers les enfants musulmans dont les libertés sont restreintes par une éducation islamique parfois stricte. Elle dit : "Nous ne devons pas détourner les yeux."

Cependant à Zurich, rien ne permet de penser qu'un examen plus approfondi sera effectué à l'avenir. La pédagogue de la région de Zurich mentionnée plus haut observe même une tendance inverse : parmi ses collègues, on constate une peur croissante d'être considéré comme raciste. (...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nzz.ch

L'article a été trouvé par Madame SaïdaKeller-Messahli

Mions (69) : un père et sa fille de 13 ans sauvagement tabassés par deux mineurs clandestins, ils ont aussi reçu des coups de scalpel, le père a “une entaille de 10 cm”

Une adolescente de 13 ans et son père ont été violemment agressés par deux mineurs en situation irrégulière sur le territoire français ce jeudi après-midi à Mions, dans la métropole de Lyon (Rhône). La jeune fille a reçu des coups, elle est blessée.

L’agression a eu lieu route de Corbas à Mions. Deux mineurs s’en sont violemment pris à une adolescente de 13 ans pour lui voler son téléphone rapporte Le Progrès. La victime a résisté et a alors été frappée à coups de poing puis avec un scalpel a précisé son père, à nos confrères.

L’adolescente a alerté ses parents, puis son père a été agressé à son tour. Il affirme avoir reçu des coups de poing et des coups de pied au visage et aux jambes. L’homme explique au Progrès qu’il a aussi reçu un coup de scalpel au niveau du ventre et qu’il a «une entaille de 10 cm .

(…)

Actu 17

Via Fdesouche

Graz (Autriche) : Un migrant de 9 ans sème la peur et la violence en classe. Il a même menacé de faire exploser l’école.

Incident choquant dans une école primaire de Graz : un enfant de neuf ans a été battu et étranglé jusqu'à perdre connaissance par trois camarades pendant la classe. Une expérience traumatisante pour toute la classe. Les parents accusent l'administration de l'école de fermer systématiquement les yeux. A présent, la police enquête.

Ce qui se serait passé fin mars dans la troisième classe d'une école primaire de Graz est tout simplement inconcevable : Lors du deuxième cours, trois garçons ont frappé sauvagement un camarade de classe et l'ont étranglé jusqu'à ce qu'il perde connaissance. L'enseignant a pu maîtriser le "principal agresseur" - des camarades de classe ont entraîné les autres loin de la victime. "Je n'ai été informé de cet incident que dans l'après-midi. Mon fils était mort de peur et je ne pouvais pas être là pour lui", déclare horrifiée la mère de l'enfant maltraité.

"Le meneur" a déjà provoqué une intervention de la police l'année dernière

Ce n'était pas le premier incident avec le "meneur" du trio de garçons. Cet enfant de neuf ans issu de l'immigration a déjà provoqué une opération de secours et de police l'année dernière. Il parle constamment de se tuer ou de tuer d'autres personnes, et a même menacé de faire exploser l'école. Il n'y a jamais eu de réelles conséquences de la part de la directrice (celle-ci a refusé de commenter l'affaire lorsque le site d'informations "Krone" lui a posé la question).

La mère de la victime s'est adressée elle-même à la direction de l'instruction publique, et ce pour la deuxième fois après l'agression de son fils. "A présent, ma préoccupation n'est pas de blâmer, mais d'obtenir enfin de l'aide. Il n'y a pas que mon fils qui a peur d'aller à l'école."

La direction de l'éducation souligne qu'elle a toujours pris les mesures appropriées. "Il s'agit, par exemple, du déploiement d'un conseiller pédagogique et du personnel psychologique scolaire". Désormais, un "processus de contrôle intensif a été lancé pour garantir un climat de classe exempt de violence et de peur". Des enquêtes sont toujours en cours concernant l'approche de l'école face à cet incident spécifique.

La police enquête également. Par ailleurs, les garçons ont été suspendus - le meneur jusqu'au 23 avril, les autres seront de retour à l'école lundi (12 avril).

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Krone.at

 

 

Bienne : L’Albanais avait presque égorgé Markus. La victime n’obtient aucun dédommagement.

Son agresseur n’était pas radicalisé, mais schizophrène: comme le prévenu est sans argent, la victime n’obtient pas les 30 000 francs demandés.

Poignardé par-derrière alors qu’il ressortait de la Migros avec deux litres de lait achetés pour une amie, Markus a été poignardé sans raison le 27 novembre 2019, à Bienne. Lacéré derrière une oreille, cet aîné jovial et robuste de 77 ans n’a pas perdu connaissance, «C’était rouge partout», confiait-il au matin.ch, six semaines après l’agression. Son agresseur albanais de 55 ans a été jugé par contumace, mais aucune indemnité ne sera versée à la victime.

(...)

Msn.com

Nos remerciements à Tao li


Rappels :

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

Suisse : un Albanais du Kosovo détourne 110’000 francs d’aide financière destinée au Covid

Zurich : Une mosquée albanaise vendait un livre appelant au meurtre de ceux qui critiquent l’islam

Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

Bâle-Ville : Deux Albanais condamnés pour avoir encouragé une mère de famille à se prostituer

Kamel (prénom d’emprunt), l’agresseur sexuel d’une adolescente de 15 ans, condamné et expulsé de Suisse

Jugé en mars dernier, à Boudry, pour des attouchements sexuels sur une Neuchâteloise de 15 ans lors d’un trajet en bus, un ressortissant français a été reconnu coupable la semaine dernière. Le tribunal a en outre ordonné son expulsion de Suisse.

(...)

Kamel*, son agresseur, a été reconnu coupable d’actes d’ordre sexuel sur mineure.

(...)

Arcinfo.ch

Nos remerciements à Samantha Smith


Note : Le prénom d'emprunt doit évidemment être proche ethniquement de celui du coupable. Quant à l'expulsion, elle ne servira pas à grand-chose vu nos frontières ouvertes.

« Réfugiés » secourus en mer : Le drapeau Antifa accroché sur la proue du « Sea-Watch 4 »

Actuellement, le "Sea-Watch 4" se trouve dans le port de Borriana en Espagne, afin de rendre le ferry de migrants apte à la prochaine mission de recherche et de récupération.

 

 

Deux photos montrent le drapeau (anti)fasciste sur la proue du navire, apparemment les membres de l'équipage appartiennent au mouvement fasciste, ou alors l'ONG - et vraisemblablement pas seulement celle-ci - fait partie des extrémistes de gauche. A présent, elles révèlent encore une fois qui sont en réalité ces "humanitaires".

On ne sait pas si les photos ont été prises alors que le navire se trouvait encore dans le port italien ou seulement à Borriana , mais cela n'a pas d'importance.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Politikstube.com


Rappel :

Le navire de Banksy chargé de migrants appelle l’Europe à l’aide : « Ce n’est pas de l’humanitaire mais un combat antifasciste »

L’invasion de masse se poursuit malgré la crise Covid-19

Albert Coroz : La RTS vient de communiquer dans son émission Forum que seuls 40% des nouveaux immigrés sont arrivés avec un contrat de travail. (C'est nous qui disons "seuls", car pour la RTS, ce chiffre est un exploit!)

L'invité, le professeur Philippe Wanner, démographe de l'Université de Genève, se réjouit de ce que l'intérêt des jeunes "immigrés" ne faiblit pas pour la Suisse, même s'il déplore une légère baisse; leur arrivée compense (!) partiellement la baisse des naissances.

Les statistiques de 2020 montrent une augmentation de 12%  de la mortalité en Suisse (y compris dans la classe d'âge entre 60-70 ans), et un recul de l’espérance de vie. 

Ces chiffres devraient normalement faire taire ceux qui disent qu'il n'y a aucune augmentation de la mortalité avec le Covid. 
Depuis 1918, il n'y a pas eu une baisse pareille de la natalité en Suisse.

Mais pas de souci selon Philippe Wanner, la baisse du nombre des Suisses de souche est en grande partie compensée par l'immigration!

Ces chiffres devraient encore être corrigés pour tenir compte des décès dus à une temporisation des soins pour ne pas surcharger le système hospitalier et de la quasi disparition de la grippe grâce aux mesures d'hygiène.

*****

La population de la Suisse continue de croître rapidement malgré la crise Covid-19, l’augmentation du taux de mortalité et la baisse de la natalité. La cause: l’immigration sans borne d’étrangers UE et de migrants économiques. Durant cette crise, des individus refusant de s’intégrer et d’autres fainéants continuent de s’installer confortablement en Suisse et profitent de notre luxueux système social pendant que de nombreux nationaux craignent pour leur emploi. Il est donc plus urgent que jamais que la Suisse reprenne le contrôle de l’immigration sur son territoire.

L'information de l’Office fédéral de la statistique a de quoi inquiéter!

 

La population résidente permanente de la Suisse s’est accrue fin 2020 de 0,7% par rapport à la même période de l’année précédente pour atteindre 8,7 millions de personnes.

Elle a donc augmenté de 61’000 personnes en l’espace d’un an, soit l’équivalent de la population de la ville de Lucerne,
et cela malgré la crise Covid-19, l’augmentation du nombre de décès (plus 12,1%, soit 76’000 au total) et la baisse de la natalité!

 

137’400 immigrants ont afflué en Suisse en 2020, année du Covid-19!

La raison principale est la poursuite de l’immigration de masse provoquée par la libre circulation des personnes. Nonobstant les restrictions imposées aux voyageurs, la crise économique et le confinement, 137’400 étrangers ont immigré en Suisse l’an passé. Cette arrivée massive de ressortissants étrangers se poursuit alors qu’il y a moins d’emplois, que le secteur gastronomique est bouclé et que le commerce de détail a dû fermer ses portes pendant des mois.

Situation de plus en plus tendue sur le marché du travail

La situation sur le marché du travail est de plus en plus tendue. Actuellement quelque 300’000 personnes sont au chômage partiel. Le nombre de chômeurs augmente et de nombreux salariés ont perdu leur emploi. Les jeunes ont du mal à trouver une place d’apprentissage. Tout cela n’empêche nullement les immigrants d’entrer en masse: la Suisse reste attractive malgré la crise, notamment grâce à son généreux système social.

La crise due à la pandémie confirme une fois de plus que les immigrants restent dans le pays même en des périodes économiquement difficiles et s’installent confortablement dans le filet social. La raison est simple: un étranger UE fainéant touche plus d’argent de l’assurance-chômage ou de l’aide sociale qu’il ne peut en gagner en travaillant dans son pays d’origine. Il n’a donc aucune raison de quitter la Suisse même en période de crise. La baisse de l’émigration d’étrangers de 14,9% en 2020 confirme ce constat.

Les étrangers prennent aux Suisses les lits des hôpitaux

Comme si cela ne suffisait pas, les étrangers prennent aux Suisses les lits des hôpitaux. Les médias suisses annoncent en effet qu’un nombre disproportionné de migrants occupent les services de soins intensifs. « 70% de migrants dans les lits d’hôpitaux », titrait récemment le quotidien zurichois « Tages-Anzeiger ».

Oui à une gestion autonome de l’immigration, non à la politique molle des autres partis

Cette immigration massive en pleine crise illustre les deux lourds handicaps dont souffre la Suisse: la libre circulation des personnes et un système d’asile inapte. Il est plus urgent que jamais que notre pays reprenne le contrôle de l’immigration et réforme son droit d’asile (nouvelle définition du statut de réfugié, création d' »espaces de transit » à la frontière), faute de quoi la situation continuera de se détériorer – au détriment des Suisses et des étrangers déjà établis.

L’UDC continuera de combattre avec détermination la politique molle des autres partis et de s’engager pour une gestion souveraine de l’immigration – pour le bien de notre pays et de ses habitants.

source:

Autriche : La Viennoise brûlée vive par son ex-compagnon égyptien est décédée

Nous parlions de cette agression déjà ici.


Début mars, une buraliste de Vienne-Alsergrund a été victime d'une tentative de meurtre. L'auteur du crime : son compagnon. L'homme d'origine égyptienne l'a aspergée d'essence et a mis le feu. Le lundi de Pâques, la triste nouvelle est arrivée : la femme a succombé à ses blessures.

Pendant des semaines, Nadine a lutté pour sa vie aux soins intensifs. Samedi, elle a perdu ce combat. Auparavant, amis et connaissances se sont recueillis en mémoire de la Viennoise de 35 ans. (...)

Tout avait été fait pour sauver la jeune femme, mais finalement, le fardeau subi par son corps a été trop fort. Son petit ami d'origine égyptienne, qui l'aurait aspergée de bézine et aurait mis le feu, devra désormais faire face à des accusations de meurtre. (La présomption d'innocence s'applique).

(Traduction libre Christian Hofer pour LesObservateurs.ch)

Exxpress.at

Karlsruhe : Deux migrants syriens jugés pour avoir tabassé et jeté un Allemand de 54 ans sur les rails alors qu’un train arrivait, il avait été grièvement blessé

05/04/2021

Karlsruhe (Allemagne) – Un individu de 26 ans est jugé pour avoir poussé un homme sur les rails devant un train de marchandises qui arrivait en gare de Waghäusel.

Il est accusé de tentative de meurtre et de lésions corporelles dangereuses. Il a frappé la victime à coups de poing et de pied pour l’empêcher de remonter sur le quai.

Le train a percuté l’Allemand âgé de 54 ans, qui a été grièvement blessé. Dès mercredi (9h00), l’auteur principal sera rejoint dans le box des accusés par son frère de 23 ans, qui est accusé de complicité. Il avait sécurisé la scène du crime, selon le parquet.

La police avait arrêté les deux frères syriens présumés dans un foyer d’accueil pour demandeurs d’asile.

Karlsruhe-Insider


05/08/2020

Allemagne – des manifestants proches de l’AfD ont manifesté à Waghäusel contre la politique d’immigration du gouvernement fédéral. Le Parti de gauche et le SPD avaient appelé à une contre-manifestation.

Ils agitent des drapeaux allemands à côté des parapluies : Les manifestants se sont rassemblés lundi soir à la gare de Waghäusel – où deux réfugiés syriens ont poussé un homme de 54 ans sur la voie ferrée, alors qu’un train arrivait en gare.

“Merkel doit partir” était l’une des phrases les plus prononcées par les manifestants, ainsi que le souhait de voir “tous les politiciens chasser du pays”.

Le maire de Waghäusel, Walter Heiler :

“(…) Nous ne devons pas commettre l’erreur de supposer qu’une minorité de la population, qui appelle maintenant à des expulsions massives de migrants et tente d’utiliser les récents événements à ses propres fins, soit la population entière de Waghäusel ! Ce n’est pas Waghäusel. Il n’y a pas de place à Waghäusel pour la xénophobie ! (…)”

Bnn.de / Wochenblatt


Allemagne – Deux demandeurs d’asile syriens ont été arrêtés, dans la ville de Waghäusel, après avoir poussé un Allemand de 54 ans devant un train qui arrivait en gare. La victime est grièvement blessée après avoir été percutée par le train.

L’attaque a eu lieu à la gare de Waghäusel la semaine dernière, les deux suspects ont été arrêtés deux jours plus tard dans un foyer pour demandeurs d’asile, après avoir été identifiés par la police locale.

Les deux demandeurs d’asile syriens sont des frères âgés de 22 et 25 ans.

Le frère aîné aurait agressé physiquement l’Allemand et l’aurait ensuite poussé sur la voie ferrée. Il a empêché l’homme de remonter sur le quai. Pendant ce temps, le Syrien de 22 ans encourageait son frère.

(…) Malgré un freinage d’urgence, l’homme a été heurté par un train de marchandises qui approchait et a été grièvement blessé. Il n’est pas en danger de mort, mais souffre d’une fracture de la cuisse et de plusieurs os cassés.

Heidelberg 24

Via Fdesouche

“Cassez-vous ! Wallah !” : des policiers et pompiers ciblés par des tirs de mortiers dans un foyer de migrants à Paris

Des policiers ont été pris pour cible samedi 27 mars à Paris, dans le 15e arrondissement, a appris Le Figaro de sources policières. Il est 20h20 ce jour-là lorsque deux équipages de policiers interviennent pour un différend de voisinage lié à du tapage, au sein d'un foyer de migrants.

 

Sur place, les policiers trouvent un habitant de ce foyer blessé à la main par un coup de couteau : il doit être conduit à l'hôpital. Son logement a également été dégradé.

Quelques minutes plus tard, à 20h40, - alors qu'ils transportaient le blessé -, les policiers et les sapeurs-pompiers ont été la cible de nombreux tirs de mortiers d'artifice de la part d'une trentaine d'individus, vraisemblablement des jeunes du quartier. Les policiers et les pompiers ont alors dû quitter les lieux.

(...)

Le Parisien / Valeurs Actuelles


Rappel :

La police interrompt la dernière manifestation pacifique de Génération Identitaire et dissout le groupe.

Bavière : Violée par un réfugié d’Érythrée à deux reprises, une Allemande est abandonnée par l’administration de son propre pays

Daniela R., 27 ans, kinésithérapeute en formation, a été violée en août. Jusqu'à aujourd'hui, elle est sans abri, sans argent et sans perspectives d'avenir. Jusqu'à récemment, son assurance maladie ne voulait même pas payer son test VIH.

Munich - Daniela R. rencontre le jeune homme le 10 août au pont de l'Isar à Bad Tölz* autour d'une cigarette [NDLR : dans un autre article, le journaliste précise qu'il s'agit d'un réfugié d'Erythrée]. Elle l'accompagne à son appartement. Là, le jeune homme de 22 ans l'attaque, la maltraite, l'étrangle, la viole et la menace de mort. Secrètement, face à la crainte de la mort, Daniela R. écrit à ses colocataires. Ce sont des messages WhatsApp* désespérés auxquels personne ne répond. Le jeune homme de 22 ans la viole une seconde fois, puis s'endort. À un moment donné, Daniela R. ose composer le 911. Elle est secourue par la police.

Entre-temps, l'auteur du délit a été condamné*. Sept ans d'emprisonnement pour viol aggravé. Alors dossier clos ? Pour l'agresseur, peut-être. Pour la victime, la nuit du crime a marqué le début d'une lutte pour la survie qui se poursuit encore aujourd'hui.

Daniela R., cheveux blonds, yeux bleus, 27 ans, semble organisée et ordonnée. Seuls ses yeux qui rougissent de plus en plus et les traits doux de son visage, soudainement déformés par la douleur, laissent deviner le poids du traumatisme.

Violée, puis abandonnée par tout le monde

Non seulement parce qu'elle a été violée, mais aussi parce qu'elle a d'abord été victime et ensuite abandonnée par tout le monde. Daniela ne veut pas de pitié. Elle veut que son histoire soit entendue afin qu'une telle chose n'arrive à personne d'autre. Par exemple, le choc à la pharmacie, lorsque Daniela doit payer la pilule du lendemain et qu'elle craint de ne pas avoir assez d'argent sur son compte. 35 euros. Daniela vit de l'allocation chômage II et elle est complètement fauchée. Des secondes angoissantes. Puis ça lui revient. Elle vient de gagner son recours contre l'agence pour l'emploi. Il y a assez d'argent pour la pilule du lendemain. Juste assez. C'est la première fois que Daniela R. se sent complètement impuissante et très seule depuis que la police l'a secourue.

Le viol n'est pas une raison : l'assurance maladie ne veut pas prendre en charge le test de dépistage du VIH

Daniela et son gynécologue ne savent pas encore qu'elle doit également payer les frais de laboratoire pour tous les tests de dépistage des maladies sexuellement transmissibles, y compris le test VIH. Avec les coûts des séjours hospitaliers, cela représente 500 euros. Depuis, Daniela se bat pour être remboursée.

Violée - et deux jours plus tard SDF - Daniela devient une vagabonde

Le 13 août, ses colocataires mettent Daniela R. à la porte de son appartement de Tölz parce qu'ils ne veulent pas avoir affaire à la police. Daniela ne dispose pas d'un bail régulier. Deux jours après avoir été violée, Daniela devient une sans abri.

Depuis ce jour, Daniela ne vit plus dans un appartement à elle. Elle devient une vagabonde au milieu de la Haute Bavière. Et la peur l'habite toujours. La panique de devoir aller dans un endroit où elle vit sans protection avec des hommes étrangers. "J'avais incroyablement peur. Tout le temps." A l'époque, les seules personnes de confiance étaient les fonctionnaires de la police judiciaire de Weilheim. "Il n'y a que là que je me suis sentie en sécurité." Bien sûr, ils ne peuvent pas non plus l'aider à trouver un endroit où vivre. Elle n'était pas autorisée à dormir dans les cellules.

Un refuge pour femmes ? Daniela R. n'y a pas droit

Daniela R. appelle le service d'urgence pour les femmes. Là, on lui dit qu'elle n'a pas droit à une place dans un foyer pour femmes. Les places y sont réservées aux victimes de violences domestiques. Ce n'est pas le cas de Daniela.

Dans sa détresse, Daniela est admise dans une clinique. Là-bas, on lui dit qu'elle a besoin d'un soutien psychologique pour gérer le traumatisme. Mais les places sont entièrement réservées. Daniela reste dans le service normal pour les patients psychiatriques.

Accusations dans la clinique : "Ce n'est pas un refuge pour sans-abri", déclare une infirmière.

[...]

La clinique n'est pas un refuge pour sans-abri, lui dit une infirmière. De vrais patients auraient besoin de son lit. "Je me suis sentie comme une coupable à ce moment-là." Daniela emménage avec un ami. Il n'y a qu'une seule pièce, un seul lit, aucune intimité. Pourtant, pour la première fois, Daniela se sent en sécurité - et en même temps, elle sait qu'elle doit aller de l'avant.

L'organisation der Weisse Ring [NDLR : Association à but non lucratif qui aide les personnes ayant été victimes d'un crime.] la soutient depuis le début. Elle souhaite prendre en charge les frais de laboratoire et les frais médicaux. Daniela demande à l'agence pour l'emploi si elle est autorisée à accepter l'allocation ou si les vivres lui seront alors coupés. On lui répond qu'elle devrait le justifier dans une demande. Daniela écrit plusieurs pages. La demande est rejetée.

En fait, les bénéficiaires d'allocations de chômage sont autorisés à accepter des dons. C'est simplement que les travailleurs sociaux ne le savent pas toujours. (...) "Daniela R. a eu beaucoup de chance là-bas. Vous n'imaginez pas le nombre d'affaires de viols qui sont abandonnées." déclare Andrea Hölzel, membre de l'Anneau blanc, qui s'occupe de Daniela.

Six mois après le crime, l'assurance maladie paie

Entre-temps, plus de six mois après le crime, Daniela a reçu un contrat de location pour un appartement social. La caisse d'assurance maladie a également pris contact, après que Daniela a accumulé une longue correspondance avec elle, avec l'Association bavaroise des médecins de l'assurance maladie obligatoire et même avec l'Ordre des médecins bavarois. On lui a dit que les coûts seraient finalement couverts. Il s'agissait d'une "décision au cas par cas". Daniela a remboursé le don reçu de l'Anneau Blanc.

Alors au final, tout va bien ? Dossier clos ? Daniela hésite, regarde le ciel ensoleillé de Munich. "Je ne sais pas." La jeune femme de 27 ans apprend actuellement le métier de kinésithérapeute, mais un jour, elle devra avoir un contact physique étroit et quotidien avec des inconnus, "je ne sais pas si je le pourrai". Daniela est traumatisée. Il est difficile de dire si c'est à cause du crime de la mi-août ou de ses expériences des mois suivants.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Merkur.de (1) / Merkur.de (2)


Note : Depuis de nombreuses années, il est plus facile de vivre en tant que réfugié en Europe qu'en tant qu'Européen pauvre. Si un racisme systémique existe, il est dirigé contre les autochtones et ce sont nos propres gouvernements qui l'organisent, avec notre argent. Nos dirigeants nous imposent une immigration criminelle et patriarcale que nous ne voulons pas et nous abandonnent face à leurs violences sous couvert "d'enrichissement multiculturel" alors qu'ils connaissent la vérité.