Naturalisation - Arber Bullakaj, un Suisse en mode inclusif
En devenant Suisse, son combat n’a fait que commencer. Arber Bullakaj milite à la tête d’une association qui prépare une initiative populaire pour accorder la naturalisation à tous les résidents étrangers de plus de quatre ans en Suisse [...]
suite réservée aux abonnés: https://www.letemps.ch/suisse/arber-bullakaj-un-suisse-mode-inclusif
Résumé et commentaires : Arber Bullakaj, 35 ans, originaire de Prizren au Kosovo, est chef d'une entreprise informatique avec 45 collaborateurs, sise à la Bahnhofstrasse à Zurich. Membre du PS, il a créé un bureau d'aide aux migrants.
Il est arrivé en Suisse orientale à l'âge de 8 ans, en 1994, par le biais du regroupement familial, suivant son père saisonnier.
Il a été scolarisé, et dit qu'il s'est fait des copains dès le premier jour d'école. L'enfant Arber Bullakaj se sentait déraciné et dans sa classe, alors qu'il y avait 70% d'étrangers, pour la plupart des Balkans. Il se plaint également que l'enfant de 8 ans qu'il était avait "le sentiment de tout devoir recommencer à zéro" (!).
À noter que nous, les kouffars, nous nous sentons aussi déracinés durablement chez nous depuis cette immigration de masses imposée.
Et lorsqu'on regarde le bilan, c'était la plus grave erreur que la Suisse ait commise depuis son existence, en plus, contre son propre peuple.
Bullakaj a grandi en Suisse, ses parents, sa famille y ont demandé l'asile, ils ont tout reçu gratuitement des contribuables pour leur intégration, et voilà le résultat!
Naturalisé à l'âge de 20 ans, il en garde un tel souvenir qu'il a décidé d'en faire "le combat de sa vie", en dépit du fait que tout s'est bien passé pour lui, toute la procédure a été correcte avec la présence de Barbara Gysi, PS.
Arber Bullakaj trouve que le processus de naturalisation est très intimidant, donne le sentiment de subir un interrogatoire.
Pour argumenter, Bullakaj note qu'il est arrivé en Suisse une quinzaine d'années après la sortie du film Les Faiseurs de Suisses, qui a ouvert les yeux d'un million de Suisses, et il précise que ce film n'est pas une parodie, une comédie pour rire, mais présente bel et bien la réalité sur la naturalisation en Suisse au premier degré.
Notons que ce film réalisé par un gauchiste a fait énormément de tort à la Suisse. Traduit en X langues, il a été diffusé massivement dans les pays du bloc des "démocraties populaires" à des fins de propagande "anticapitaliste".
Son auteur, Rolf Lyssy, a publié son autobiographe, Swiss Paradise, où il raconte sa vie et la grave dépression qu’il a traversée à cause de la radinerie des Suisses qui peinent à financer ses projets merveilleux...
L'apogée de Lyssy, c'est la période de Fritz Zorn en Suisse, le début de la généralisation de la haine de soi, le tout se vaut nihiliste, la démoralisation subversive comme outil de manipulation des masses.
[...] Ce film constitue l'un des plus grands succès du cinéma suisse avec 940'145 entrées dans le pays (qui comptait à l'époque 6,5 millions d'habitants). Il resta au sommet du box-office suisse de 1978 à 1997, date à laquelle il fut détrôné par Titanic. [...] source
Bullakaj trouve insupportable que deux millions de personnes n'aient pas le droit de vote en Suisse, mais il ajoute que lorsque tout le monde y aura accès, si son initiative passe, avec deux millions de votants en plus, ce sera la révolution !
C'est pourquoi Bullakaj est à la tête d'une association pour aider les candidats à obtenir le passeport suisse et qui prépare une initiative populaire pour naturaliser chaque résident en Suisse après quatre ans, sans critères économiques, linguistiques.
Il juge que c'est injuste, discriminant, que des critères d'endettement ou de dépendance à l'aide sociale puissent empêcher l’accès à la nationalité suisse, car cela veut dire que l'État s'en prend aux pauvres.
Bullakaj s'indigne également concernant les critères arbitraires pour devenir suisse, tels que les compétences linguistiques, écrites et orales, et ces critères injustes se sont encore durcis avec la nouvelle loi de 2018, au lieu que l'on ait allégé cette horrible procédure.
Voir l'article d'Yvan Perrin : Venez comme vous êtes !
Pour Bullakaj, la Suisse n'est une démocratie qu'à 75%, puisqu'elle exclut les étrangers.
Très bientôt, démographie et islamo-gauchisme aidant, ce seront les Bullakaj qui définiront la conception de la démocratie, de la citoyenneté, où tous les résidents deviennent automatiquement des citoyens. p
Puis la Suisse passera au stade suivant où il y aura des dhimmis haram et des élus halal.
Son association aide les candidats recalés à recourir, et "souvent nous finissons par gagner", mais le drame pour Bullakaj provient de l'effet dissuasif des tentatives infructueuses, et il ajoute:
La Suisse les considère comme des "étrangers", alors qu'ils sont nés ici.
***
La Suisse a accueilli 400'000 à 500'000 migrants des Balkans en 30 ans, en leur offrant à l'arrivée gîte, couvert, soins, nos assurances sociales, des traducteurs, une assistance judiciaire en cas de délits ou crimes, tout un staff spécialisé, et le peuple n'a été ni consulté, ni même renseigné sur les dangers de l'incompatibilité du vivre-ensemble avec des civilisations si différentes.
Depuis lors, toute une usine d'assistance et militantes droit-de-l’hommistes travaillent ensemble pour la disparition de la Suisse main dans la main avec les partis de Gauche, tout en culpabilisant le peuple par des accusations de xénophobie, de racisme et d'injustice envers ses victimes, les migrants
En réalité, l'initiative Bullakaj, c'est le retour de bâton: nous sommes victimes de nous-mêmes, nous avons pris pour de la générosité ce qui n'était, à vrai dire, que de la stupidité, de la naïveté et de l'ignorance.
A présent, après avoir expérimenté durant trente ans les effets du multicivilisationisme, beaucoup de personnes seraient partantes pour renvoyer toutes les victimes mécontents, issues de l'immigration.
Ainsi que tous ceux qui ont commis des délits, qui travaillent contre les intérêts suisses, qui entrent dans les partis de Gauche expressément pour saper les fondements de notre pays : ils devraient être expulsés avec tous leurs membres de famille (le regroupement familial inversé).
Puisque le passeport suisse est distribué comme des bonbons depuis vingt ans, puisque pour tous ces gens cela ne suffit pas, et que pour eux notre héritage ne veut plus rien dire, enlevons-leur aussi les privilèges qu'ils ont reçus avec ce passeport!
Monsieur Bullakaj veut la révolution pour notre disparition, opposons lui alors une révolution pour notre survie!
Carla Montet
***
Voir aussi cet article important concernant la communauté venant de l'Ex-Yougoslavie: Les trois messages de la vidéo du CCIS «contre l’islamophobie»
(L'image en une est tirée de cette vidéo.)