Genève. Nouveaux droits politiques pour les étrangers au niveau communal et cantonal : La gauche appuie totalement.

Pierre Maudet (...) explique être en faveur de l’éligibilité des étrangers sur le plan communal. Au niveau cantonal, il estime en revanche que la voie à suivre est la naturalisation, laquelle doit être facilitée. Et de rappeler qu’il a participé en 2005 à la campagne de votation qui a débouché sur l’accession au droit de vote communal pour les étrangers résidant depuis au moins huit ans sur le territoire.

L’appui des deux candidats de gauche apporté au projet de loi est en revanche total.

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TdG


Rappels :

Genève : Le respect de la diversité va devenir une exigence légale

Genève : 29 avocats et juristes dénoncent des discriminations à l’égard des jeunes migrants

Genève. Vols et brigandages violents : 150 « mineurs », originaires le plus souvent d’Afrique du Nord, occupent la police

Onex (Genève) : la gauche interdit à toute personne de filmer les séances du Conseil municipal

Opération Papyrus de Maudet avec le soutien de Sommaruga : Validation de dossiers malgré des soupçons de fraude, ingérence de Maudet, absence de directives…

Interdit en France, Hani Ramadan parle « en toute légalité » à Genève. Pour le PLR Pierre Maudet, cela ne pose aucun problème.

Genève: Pierre Maudet encourage la naturalisation afin de contrer l’initiative UDC

Onex (Commune à forte immigration à Genève) : «Je n’ai jamais vu autant de dingues au mètre carré»

Suisse. Coronavirus : la priorité pour le PS et les Verts? l’aide sociale et le chômage pour les étrangers!

Cette semaine, la Commission des institutions politiques (CIP) du National a écrit une lettre au Conseil fédéral. Elle concerne les étrangers qui vivent en Suisse. Les parlementaires aimeraient s’assurer qu’un éventuel recours au chômage ou à l’aide sociale – en raison du coronavirus – ne pénalise pas leur droit de séjour. «Il s’agit de trouver des solutions ciblées pour toutes les personnes qui subissent les effets de cette pandémie», explique Ada Marra (PS/VD), une des élus qui – avec Balthasar Glättli (Verts/ZH) – est à l’origine de l’intervention.

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24heures.ch

Le droit de vote pour les étrangers s’esquisse en Valais

Le Valais pourrait offrir le droit de vote aux personnes étrangères, sous condition. C’est en tout cas le souhait de la commission traitant des droits politiques de la Constituante valaisanne, qui s’est prononcée en faveur de cette idée. Et ce tant au niveau communal qu’au niveau cantonal.

Réunie début novembre, la commission a tranché en faveur du droit de vote, au plan communal, pour les étrangers au bénéfice d’une autorisation d’établissement, soit un permis C. Elle soutient également le droit d’éligibilité de ces personnes «pour tous les pouvoirs». Avec une exception toutefois, elles ne pourraient pas prétendre à la présidence d’un exécutif communal.

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Le Temps

 

Suisse : 40% d’étrangers à l’EPFL. On évoque des quotas pour les élèves étrangers.

Genève, notamment la faculté de médecine, se trouve également dans la même situation. Mais l'on peut craindre que les accords de libre-circulation provoquent des problèmes et interdisent tout quotas.

A noter que les universités françaises sont surchargées, notamment par le nombre d'étrangers extra-européens qui viennent y étudier. Les problèmes de la France deviennent les nôtres par le biais de la libre circulation.

 

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L'école est victime de son succès. Plus de 40% des étudiants viennent de filières hors Suisse, et les auditoires sont bondés.

Comme l'explique «Le Temps», cette démographie galopante n'est pas sans poser de problème. Pour certains cours, les auditoires sont bondés, au point que certains élèves les suivent assis par terre. Et, en période de révision, la bibliothèque ouvre à 7 h. Dix minutes plus tard, toutes les places sont prises.

Ainsi, l'une des solutions envisagées est celle de limiter le nombre d'admissions d'étudiants étrangers.

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20Minutes.ch

Trévise (Italie) : fui par les Italiens, un collège où 9 élèves sur 10 sont nés à l’étranger risque la fermeture

Les enfants italiens se comptent sur les doigts d’une main: sur 10 élèves, seulement un est né en Italie. Et c’est ainsi que le collège Coletti de Trévise risque la fermeture.

« Désormais il est vu comme le collège des étrangers. Ça ne plait pas aux familles italiennes. Ainsi beaucoup préfèrent envoyer leurs enfants ailleurs. En conséquence les inscriptions chutent. Et à présent il y a le risque qu’il ferme. C’est une fin qui va dans le sens des choses » ont déclaré au Gazzettino il y a quelques jours, les parents d’élèves du quartier de San Liberale.

La zone est en effet désormais connue pour être le quartier multiethnique de la ville. De nombreux parents se sont mobilisés pour convaincre d’autre Italiens d’inscrire leurs enfants dans l’établissement. Le directeur a même lancé un appel, soutenant que « nous travaillons à un haut niveau, avec contre nous des préjugés infondés ».

[…] Les inscriptions pour l’année scolaire 2017/2018 ont été faibles et en majorité issues d’élèves immigrés. Seulement 16 demandes, a rapporté la Tribuna di Treviso, dont 70% étaient étrangers. Pour éviter de créer une classe dans laquelle les enfants italiens se sentiraient dans un ghetto, il a été décidé de transférer ces enfants dans l’autre siège de l’établissement, dans le quartier de Santa Bona. […]

« Si les familles italiennes décident de s’en aller, qui restera-t-il? », se demande le directeur, Mario Dalle Carbonare, comme le rapporte La Verità. « C’est un cercle vicieux qui s’auto-alimente ». Et ce n’est certainement pas un cas isolé.[…] Dans l’école « Giulio Cesare » de Mestre, comme l’écrivait Il Giornale, existent des classes dans lesquelles on trouve 22 élèves étrangers sur 23 au total, « où l’on parle seulement en bengalais, les enseignants ne communiquent pas avec leurs élèves ni avec leurs parents, et certaines écolières musulmanes ne participent pas au cours de musique parce que l’Islam le leur interdit ». L’école fut au final contrainte de mettre en place des « quotas pour Italiens ».

Il Giornale via fdesouche

Censurer la nationalité des délinquants: les Verts veulent généraliser la pratique dans toute la Suisse

Criminalité

Le parti s’active pour que les polices du pays suivent l’exemple de la ville de Zurich. L'UDC songe à lancer une initiative cantonale.

Le parti national est en contact avec les sections cantonales pour encourager le dépôt d’interventions appelant à abandonner toute allusion à la nationalité. «C’est une information qui n’apporte rien si ce n’est de renforcer des préjugés dangereux et l’idée d’un lien causal entre l’origine et le délit. Or, ce sont d’autres facteurs qui jouent un rôle, comme le niveau socioéconomique ou de formation», plaide Lisa Mazzone, vice-présidente des Verts. La conseillère nationale genevoise veut empêcher que cette donnée soit instrumentalisée à des fins politiques.

À Genève, son parti pourra compter sur le soutien des socialistes. «Nous allons très certainement déposer une motion. Cette pratique encourage le racisme ordinaire. Elle est à bannir dans les communiqués de police, comme dans les médias», affirme Romain de Sainte Marie, député et vice-président du PS cantonal.

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Source et article complet

Rappel: La censure à Zurich provient d'un extrémiste de gauche

France : Le scandale des mineurs étrangers isolés (mineurs non accompagnés) [vidéo]

Alors que la presse n'en parle quasiment jamais, Gilles Pennelle (Conseiller régional FN de Bretagne, Président du groupe FN au Conseil régional, Conseiller Communautaire Fougères,
Conseiller Municipal de Fougères) a décidé de dire toute la vérité sur le scandale des "mineurs étrangers isolés"

Suisse: 60% des viols sont causés par des étrangers. Les requérants d’asile de plus en plus coupables.

Christian Hofer: Bien entendu, cette information est absente de notre presse romande.

Le mensonge par omission peut donc continuer sans la moindre restriction.

Ces chiffres devraient être encore revus à la hausse car nombre de délinquants étrangers ont acquis notre passeport par la biais de notre administration laxiste.

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Comme le montrent les nouvelles statistiques sur la criminalité, les étrangers sont responsables de 60% des viols. 10% d'entre elles sont le fait de demandeurs d'asile.

Les plaintes d'abus sexuels provenant des demandeurs d'asile ont augmenté. C'est ce que montre les nouvelles statistiques sur la criminalité. Comme l'écrit le journal « Sonntagszeitung » , les requérants d'asile représentent 10% des prévenus en 2016.

Ainsi, sur les 495 accusés dont l'identité est connue, 298 proviennent d'étrangers. Plus en détail, dans ceux-ci on dénombre 51 requérants d'asile, y compris deux requérants déboutés dont le délai de départ avait expiré.

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Selon le journal, il y a une augmentation dans plusieurs cantons - dont l'Argovie. Selon Barbara Breitschmid de la police cantonale argovienne, la plupart des cas d'agression sexuelle par les demandeurs d'asile se sont produits dans les trains, les gares et les centres commerciaux.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Le niveau des médecins généralistes étrangers est insuffisant

Les médecins vaudois critiquent le niveau de formation de généralistes étrangers

Le système actuel de reconnaissance des diplômes permet à certains généralistes étrangers insuffisamment qualifiés de s’installer dans notre pays, dénonce la société vaudoise de médecine.

"Ce qui coûte le plus cher, en médecine comme ailleurs, c’est l’incompétence". Cette phrase tirée d’un article du Courrier du médecin vaudois de décembre 2016 illustre l’inquiétude des praticiens établis face à l’arrivée de généralistes étrangers à la formation discutable.

La formation des généralistes commence en Suisse par une formation de base sur six ans. Avant d'obtenir le titre de spécialiste en médecine générale, les apprentis médecins doivent encore suivre cinq ans de formation postgrade.

Exigences minimales insuffisantes

Parallèlement, pour un praticien étranger qui souhaite s’établir en Suisse, les accords bilatéraux exigent un diplôme valide et trois ans de pratique en milieu hospitalier. Or, en Suisse, un médecin sur deux a effectué une partie de sa formation à l'étranger.

Ces exigences sont insuffisantes car trop vagues, dénoncent les médecins vaudois. Il y a une brèche dans laquelle s’engouffrent certains praticiens.

Interrogé par la RTS, le Dr Philippe Randin de Genève cite le cas d’une femme médecin qui a effectué ses études à l’étranger, mais qui n’avait plus pratiqué la médecine depuis une vingtaine d’année. Cette personne a pu obtenir un titre de médecin praticien en Suisse, qui lui permet d’exercer comme généraliste.

Une dizaine de cas suspects

S'ils veulent pratiquer en Suisse, les médecins étrangers doivent au préalable faire reconnaître leur titre par la Confédération et les cantons. Mais les autorités sont désarmées pour intervenir lorsque les critères minimaux sont respectés. Une fois l’autorisation de pratiquer octroyée, il faut une plainte d’un patient pour qu’un canton puisse intervenir .

Le président des médecins vaudois, Philippe Eggiman, voit passer par exemple plusieurs centaines de demandes d'autorisation de pratique par année. Une dizaine de cas seraient suspects.

Une réponse politique

L’installation - légale - de médecins au niveau de formation problématique jette le discrédit sur la très grande majorité de médecins étrangers parfaitement qualifiés. A l'instar de Béatrice Allain Pons, généraliste française installée depuis 2013 à Lutry, qui se dit "profondément attristée, même choquée" par le comportement "non déontologique" de ses confrères qui mettent "tout le monde dans le même panier".

Pour les médecins vaudois, la réponse doit venir du politique. "Les procédures devraient permettre de lever les doutes, et le cas échéant de refuser la reconnaissance, même lorsque les conditions purement formelles sont réalisées", écrit le Courrier du médecin vaudois.

Le sujet a été porté devant les Chambres fédérales, jusqu'ici sans succès. Tenu de respecter les accords bilatéraux en la matière, le Conseil fédéral estime n'avoir qu'une marge de manoeuvre limitée.

Serge Mérillat/rens

Source RTS

Italie: Trop d’élèves étrangers musulmans dans les classes, l’école met des quotas.

Christian Hofer: On relèvera toute la naïveté de cette directrice qui pense encore qu'il y a une interaction possible alors que l'islam déteste tout ce qui est étranger à son mode de pensée.

Ce ne sont pas ces communautés qui changeront mais les Européens qui devront s'acclimater, face au nombre et par la force de leurs us et coutumes puisque la gauche a tout fait pour détruire les nôtres.

Quant à parler d'un "enrichissement mutuel", qu'elle nous explique où il se trouve lorsqu'une fillette de 8 ans porte le voile ou lorsque ces mêmes enfants sont interdits de cours de musique. On nous demande donc de nous ouvrir à des cultures complètement hermétiques qui ne sont ici que pour profiter. Je vous laisse deviner qui sera le perdant.

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La directrice de l'école polyvalente "Julius Caesar" dans la ville de Mestre a décidé d'introduire dans son école un quota maximum de 40% d'étudiants étrangers dans chaque classe.

Trop d’enfants étrangers dans les salles de classe, il est impossible d’étudier. A l'école polyvalente « Julius Caesar » à Mestre, près de Venise, 7 élèves sur 10 sont des étrangers.

Une classe est composée de 24 enfants bengalais et d'un italien et les leçons, comme on peut le lire sur Libero, progressent lentement parce que les étudiants étrangers n'arrivent pas à communiquer avec l'enseignante et les médiateurs culturels sont trop peu nombreux.

Les jeunes filles musulmanes, pour des raisons religieuses, ne peuvent pas jouer de la flûte, et donc ne participent pas au cours de musique, et celles de 8-9 ans se présentent à l'école avec le voile.

La directrice, Rachel Scandella, a déterminé que dès l'année prochaine dans les nouvelles classes, le pourcentage des élèves étrangers ne pourra pas dépasser 40%, tirant ainsi parti des possibilités offertes par une circulaire datant de 2010 du ministère de l' Education qui permet d'abaisser la limite jusqu'à un seuil de 30%.

"Les raisons de cette décision - dit -elle - sont loin d'être des questions politiques. La mienne est un choix de gestion. La direction que prend cet établissement n'est pas bonne. Avec de tels chiffres, nous ne sommes pas en mesure de garantir la qualité de l'éducation , ni aux enfants italiens ni aux étrangers ». La présidente parle de sections «ghetto» et explique: «Les classes monoethniques sont un problème encore plus important, il n'y a pas d'enrichissement, la question de l'inclusion est contournée. Je veux que cette petite fille qui ne peut pas jouer de la flûte sache qu'il est tout à fait permis de le faire", je veux que l'école, qui doit offrir un service éducatif, donne l'occasion d'en apprendre davantage sur les différentes cultures afin de lui permettre un jour, en tant qu'adulte, de choisir librement. «Si toutes les familles d'une classe sont bengalaises - continue Rachel Scandella - la confrontation et la contamination croisées avec la culture italienne deviennent presque impossibles." Les mères qui attendent leurs enfants à la sortie de l'école ne parlent pas italien et cela complique encore davantage l'apprentissage de notre langue.

A l’école maternelle de « Jules César », dans laquelle on atteint un pic de 96 % d'enfants extra-communautaires, avec tous les problèmes qui en découlent.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à 

Neuchâtel: L’éligibilité des étrangers soumise au peuple

Les étrangers disposent du droit de vote communal et cantonal mais la droite exige la naturalisation pour l'éligibilité. Une telle extension des droits politiques serait inédite en Suisse.

Ce projet d'extension des droits civiques des étrangers a été déposé par les groupes socialiste et PopVertsSol au parlement en 2015. La gauche entend ainsi renforcer le modèle d'intégration neuchâtelois. Le Conseil d'Etat et le Grand Conseil soutiennent ce projet de modification de la constitution cantonale.

Dans le canton de Neuchâtel, les étrangers disposent du droit de vote communal et cantonal. En 2007, le peuple a accepté de leur octroyer le droit d'éligibilité sur le plan communal. En revanche, près de 60% des votants ont alors refusé d'accorder l'éligibilité sur le plan cantonal.

Source et article complet via le Facebook du PNS

 

 

BL : Initiative pour laisser voter les étrangers et les jeunes

Deux récoltes de signatures ont abouti, réclamant le droit de se rendre aux urnes dès 16 ans et sans être de nationalité suisse.

Les citoyens de Bâle-Campagne se prononceront sur le droit de vote des étrangers et des adolescents dès 16 ans. Jeunes socialistes et jeunes Verts du canton ont déposé mardi un nombre largement suffisant de signatures pour faire aboutir deux initiatives en ce sens.

Suite

Genève, Bâle et Zürich exigent davantage de force de travail étrangère

Les ministres des cantons économiquement forts appellent à augmenter de 30% les quotas des spécialistes des pays tiers, non-membres de l'UE. Notre revue de presse dominicale

Neuchâtel: Feu vert à l’éligibilité des étrangers

Les étrangers doivent être éligibles au niveau cantonal, estime le Grand Conseil qui a émis un tel vote ce 21 juin 2016. La population devra se prononcer sur ce sujet à son tour en votation. Une telle extension des droits politiques serait inédite en Suisse.

Le projet avait été déposé en 2015 par les groupes socialiste et PopVertsSol.

Source

Le groupe UDC inquiet devant la forte hausse du chômage

Au cours de sa séance de ce mardi, le groupe UDC a décidé de déposer une interpellation urgente concernant la forte hausse du chômage, en particulier parmi les étrangers vivant en Suisse. Les parlementaires UDC invitent en outre la Confédération à modérer les dépenses pour la coopération internationale.

Le groupe UDC est inquiet devant la forte hausse du chômage en Suisse. Il a déposé une interpellation urgente demandant au Conseil fédéral de répondre à plusieurs questions concernant ce problème. Le recensement suisse de la main-d'œuvre pour le premier trimestre 2016 indique que le nombre d'étrangers sans travail dépasse pour la première fois celui des chômeurs suisses non seulement en valeur relative, mais aussi en chiffres absolus (128 000 chômeurs étrangers contre 121 000 chômeurs suisses). Par rapport au premier trimestre de l'année passée, le nombre d'étrangers en quête de travail a augmenté presque deux fois plus vite (+22,9%) que celui des chômeurs suisses (12,5%).

Le message sur la coopération internationale 2017-2020 comprend cinq crédits-cadres d'un montant total d'environ 11 milliards de francs et prévoit une croissance des dépenses de 2,7% par an. Or, malgré la hausse constante des dépenses pour l'aide au développement, la pression migratoire en provenance des pays africains et asiatiques ne cesse de croître. Du point de vue de l'UDC, l'aide au développement doit être davantage ciblée et limité à 0,4% du PIB, ce qui équivaut à une réduction de 1,5 milliard de francs des dépenses supplémentaires prévues. L'UDC insiste en outre sur la nécessité d'exiger obligatoirement une contrepartie à l'aide suisse au développement sous la forme d'accords de réadmission des immigrants clandestins originaires des pays bénéficiaires.

Communiqué / UDC Suisse, le 1er juin 2016