Le PLR zurichois veut légaliser et contrôler les drogues dures

Comme il l’explique à la NZZ, cette légalisation ne devrait pas se faire d’un coup, mais de façon très progressive et contrôlée. (...)

PS et PLR se rejoignent

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«Nous sommes heureux que le PLR soutienne enfin une vieille revendication du PS. Nous pouvons maintenant travailler ensemble pour faire pression en faveur de la dépénalisation», s’est réjoui Oliver Heimgartner, coprésident du PS zurichois.

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20min.ch

Suisse : Le phénomène de gangs se développe. « La culture de la violence des banlieues françaises, des ghettos des villes allemandes et américaines fait son chemin ici »

Pour ces jeunes, l'agitation du Vendredi saint a été un coup de pouce qui les a motivés. Pour le reste de la Suisse, cela ressemble à un mauvais rêve. Vous vous frottez les yeux et vous vous demandez : qu'est-ce qui ne va pas avec ces jeunes ?

Nous avons cherché des réponses, nous avons parlé à des spécialistes de la délinquance, des avocats, des pédopsychiatres et des porte-parole de la police. Et nous l'avons découvert : Saint-Gall n'est pas une exception. Saint-Gall est le point culminant temporaire d'un développement qui se prépare depuis un certain temps. Une évolution vers une culture de la violence chez les jeunes. Et le Covid est l'accélérateur de ce feu.

La violence en hausse

Dirk Baier est criminologue à l'Université des sciences appliquées de Zurich. Son rapport avec une évaluation des statistiques policières actuelles sur la criminalité est disponible exclusivement pour le SonntagsBlick : depuis 2015, la criminalité des jeunes a augmenté d'un tiers. Dans toute la Suisse. Dans presque tous les délits. Principalement en ce qui concerne les vols - de 146 %, avec 497 prévenus en 2020. Et en ce qui concerne les agressions physiques - de 122 %, avec 353 prévenus en 2020. En ce qui concerne les agressions simples (avec 599 prévenus en 2020), les menaces et les violences à l'encontre des fonctionnaires de la moitié au moins (avec 210 accusés en 2020).

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Les régions éloignées des grands centres sont également touchées. Dans son dernier rapport annuel, le Service de la jeunesse de Soleure met en garde contre une "tendance croissante" dans le domaine des "menaces, de la coercition et du port d'armes telles que des poings américains, des couteaux pliants à ressort ou des armes factices".

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Rien que pour l'année de la pandémie, les chiffres se manifestent par des incidents brutaux. En voici quelques exemples :

En juillet, deux jeunes de 15 ans et un jeune de 19 ans ont poignardé un jeune de 19 ans lors d'une dispute au Seebecken de Zurich.

En août, dix jeunes hommes se battent si violemment dans le quartier de Steinenvorstadt à Bâle que l'un d'entre eux doit se rendre à l'hôpital gravement blessé.

En septembre et octobre, une bande de 14 jeunes se livrent à neuf vols à main armée dans la ville de Berne. Parmi eux, même des jeunes de 14 ans.

Il y a deux mois, un groupe de jeunes a tabassé deux autres personnes à l'Opéra de Zurich en raison de leur homosexualité et de leur transpersonnalité.

Et à présent les émeutes à Saint-Gall. La police a arrêté 21 jeunes. Les dommages matériels s'élèvent à 50 000 francs.

Un jour après les émeutes de Saint-Gall, le samedi soir de Pâques, notre reporter s'est immergé dans la foule à la gare de Stadelhofen à Zurich et au bord du lac. "Ich gange Stadi", est devenu un mot de code dans l'ère du Covid. "Stadi" est une scène. Le "Stadi" est le monde des "bro's" en pantalons de sport avec des coupes de cheveux parfaitement rasées, ajoutant un "vallah" à une phrase sur deux - "je jure" en arabe [NDLR : Les mêmes références islamiques comme en France]. "Stadi" est le monde des "kids" de Zurich et de la Rostgürtel : Schwamendingen, Altstetten, Dietikon, Schlieren - ils sont fiers de leurs origines de banlieues. Si fiers, en fait, qu'ils se regroupent en bandes.

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Jusqu'à présent, les conflits de gangs étaient un phénomène marginal en Suisse.

A présent, ce qui est nouveau, c'est que les jeunes hommes "agissent souvent en groupe", se battent avec d'autres jeunes, comme l'a déclaré la responsable de la police judiciaire de Zurich, Christiane Lentjes Meili, lors d'une récente conférence de presse.

Ce qui est également nouveau, c'est que les conflits sont "devenus plus durs". Souvent, il ne s'agit plus d'une simple menace. Ils portent souvent des armes, qu'ils utilisent par la suite également.

La culture de la violence des banlieues françaises, des ghettos des villes allemandes et américaines fait également son chemin ici. Et s'impose comme une culture populaire. Cela est lié aux "modèles de la scène hip-hop", selon le criminologue Dirk Baier.

Avec les sous-fifres qui ont gravi les échelons pour devenir des rappeurs gangsters avec des voitures de luxe et des armes à feu en poche. Ils se vendent via Youtube, Tiktok, Snapchat et Instagram - les "lignes de vie" des jeunes.

Les rappeurs suisses se mettent aussi en scène comme des gangsters. Dukat, un jeune homme de 20 ans originaire d'Adliswil, dans le canton de Zurich [NDLR : il s'agit vraisemblablement d'un Albanais comme le montrent les images de son clip plus bas et de son Instagram ou encore l'utilisation du terme albanais "Jeta" dans l'une de ses chansons], lance depuis un jukebox du "Stadi" : "Cours plus vite, sinon tu recevras des blessures par balles. Nous avons du matériel et des poils aux couilles. (...) La dernière chose que tu verras, c'est mon sourire  moqueur et dieu, je criblerai ta maison de trous."

 

 

Note : "Dukat" est également le nom d'un lieu en Albanie.

 

 

 

 

Les garçons l'imitent, ils affinent leur image de gangster via les médias sociaux. Comme le gang de Schlieren. Sur leur compte Instagram HNCD - l'acronyme français de leur code postal - ils diffusent des photos et des vidéos de locaux préfabriqués, des couteaux qu'ils ouvrent, des armes de poing qu'ils chargent, des billets de 1000 francs.

 

 

 

 

St. Gallen n'était probablement que le début

Après la nuit d'émeutes, une vidéo Tiktok montrant une scène est devenue virale : des policiers bloquant la rue devant eux, une dizaine de gars faisant collectivement des pompes - une démonstration de puissance machiste [NDLR : Vidéo visible dans le tweet ci-dessus.]. La vidéo diffuse la chanson de la star du rap allemand Haftbefehl : "Je fais mon chemin à la machette. Sur la route avec un neuf millimètres."

Les émeutes annoncées ne se sont pas concrétisées. Le problème ne disparaît pas pour autant. Les mesures [NDLR : concernant le Covid] restent rigides, l'ennui et la frustration augmentent, et à présent, les soirées deviennent plus chaudes. Les jeunes retrouveront sans doute leur place dans la société. Avec violence, si nécessaire.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch


Rappels :

Suisse : La violence des jeunes a augmenté. Le Blick interviewe un jeune Albanais.

Renens, Meyrin, Onex… Vidéos de la diversité voulue par la gauche en Suisse

Bienne : L’Albanais avait presque égorgé Markus. La victime n’obtient aucun dédommagement.

Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

Zurich : Une mosquée albanaise vendait un livre appelant au meurtre de ceux qui critiquent l’islam

Des soldats suisses d’origine albanaise chantent l’hymne de la Grande Albanie. L’armée s’en fiche.

Le Dailymail : « Comment la Suède est devenue un paradis pour les gangsters. Le pays le plus libéral d’Europe a accueilli des réfugiés du Moyen-Orient il y a cinq ans… »

Suède : Nos banlieues sont également séparées par groupes ethniques.

 

 

 

 

 

Zurich : Des enseignants n’osent pas critiquer l’islam de peur d’être traités de racistes

Le terme "islamiste" est déconseillé" - Dans certaines écoles de Zurich, le fondamentalisme musulman est un sujet tabou.

A Zurich, certains enseignants n'osent pas aborder ouvertement l'islamisme et la migration. Le sujet est tabou dans les manuels scolaires et dans les universités.

En octobre dernier, dans une banlieue de Paris, l'enseignant Samuel Paty a été décapité par un islamiste pour avoir montré en classe les caricatures de Mahomet provenant du magazine satirique "Charlie Hebdo". Depuis lors, l'influence de l'islam et de l'islamisme sur les écoles publiques a été débattue dans certains pays européens.

De nombreuses personnes se demandent si des sujets tels que la liberté d'expression, le conflit au Moyen-Orient ou l'Holocauste peuvent être discutés ouvertement en classe, et dans quelle mesure une image patriarcale des femmes façonne le quotidien scolaire.

La situation à Zurich n'est pas comparable à celle de la France. Là-bas, des conflits surgissent sans cesse dans la vie quotidienne de l'école parce que les élèves musulmans rejettent le concept de laïcité. En 2018 déjà, l'institut de sondage Ifop avait constaté qu'un peu moins de 40 % des enseignants français s'étaient déjà autocensurés en classe pour éviter de tels conflits avec les élèves.

L'association des enseignants zurichois, en revanche, ne voit pas de problèmes structurels liés à la religion, selon son président Christian Hugi. Il décrit ces incidents comme des "cas individuels" qui peuvent généralement être résolus lors de discussions. L'association des organisations islamiques de Zurich (VIOZ) n'a pas non plus connaissance, à l'heure actuelle, de cas concrets de conflits dans les écoles en rapport avec l'islam.

Cependant, si l'on creuse un peu plus, on entend des enseignants zurichois dire que le sujet est assez virulent. Mais presque personne ne veut faire de commentaires publics à ce sujet.

Tabou dans la formation des enseignants

Quelle est la raison de cette réticence ? Certains éléments indiquent que le tabou des problèmes liés à l'Islam s'est transformé en une sorte d'angle mort institutionnalisé. Cette impression est donnée, entre autres, par le guide "Genre et diversité dans la communication" publié en 2018 par la Haute École intercantonale d'éducation spécialisée basée à Zurich.

Plusieurs enseignants rapportent à la NZZ que les sujets de la migration et de l'islam sont déjà tabous pendant la formation des enseignants. Le politicien et enseignant UDC zurichois Stefan Urech a perçu le traitement de cette question à la Haute école pédagogique de Zurich (PHZH) comme "hautement politisé" : "Le multiculturalisme y est présenté exclusivement sous ses aspects positifs. Je n'ai pas connu de dialogue ouvert à ce sujet." Il aimerait voir davantage d'études sur le sujet. Toutefois, selon lui, il est essentiel que les enseignants soient interrogés de manière anonyme afin qu'ils ne subissent pas de pression pour donner des réponses politiquement correctes.

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Les manuels laissent de côté les questions essentielles

Les manuels publiés par Lehrmittelverlag Zürich remettent également en question la possibilité de mener un discours ouvert sur l'éducation. Il y a quelques années déjà, l'éditeur a été critiqué par les partis bourgeois du Conseil cantonal : son matériel pédagogique était coloré idéologiquement par la gauche. Les publications sur le thème de l'Islam soulèvent également des questions d'équilibre.

Le manuel "Blickpunkt 3 - Religion und Kultur" (accent 3 - religion et culture) est destiné à familiariser les élèves du secondaire avec les religions du monde. Sous le titre "Die Scharia – den richtigen Weg finden", les auteurs consacrent une double page à la jurisprudence islamique. Il explique comment "les meilleurs érudits" discutent de questions controversées sur la base du Coran et des hadiths et parviennent à un verdict. Le fait que dans certains pays arabes, ces jugements conduisent à des châtiments corporels tels que la lapidation ou la flagellation n'est pas mentionné. Il n'est pas non plus fait mention du système des fatwas, dans lequel des érudits appellent au meurtre des détracteurs de l'islam sur la base de la charia.

L'encadré d'information sur le sujet du «Jihad» reste vague: alors que le «Grand Jihad» est décrit comme «l'effort intérieur des gens pour être le plus proche possible de Dieu», le «Petit Jihad» est détaillé ainsi : «Il y a des musulmans radicaux qui interprètent le jihad de telle manière qu'ils sont censés attaquer les non-croyants afin de faire d'imposer la domination de l'islam." La grande majorité des musulmans rejette cette conception.

Le manuel fait sans cesse référence à cette "majorité de musulmans" qui s'intègre sans problème. Le fait que l'influence des minorités sur les normes applicables est également importante pour les sociétés n'est pas débattu.

Le livre d'accompagnement destiné aux enseignants est encore plus clair : il n'y a "aucune raison de croire que les musulmans ne peuvent pas s'intégrer dans les sociétés occidentales démocratiques". Il convient d'insister sur ce point, car dans l'Islam, comme dans d'autres religions, il existe aussi des "personnes ou des groupes" qui ont des opinions fondamentalistes et "reçoivent souvent beaucoup d'attention dans les médias".

Les enseignants craignent d'être accusés de racisme

On peut se demander si les enseignants peuvent oser critiquer publiquement l'influence de l'Islam sur la vie quotidienne de l'école dans une telle atmosphère. Nous avons parlé à quatre enseignants zurichois dans le cadre de cette recherche, à savoir qu'ils ne veulent pas faire de commentaires par crainte de détriments professionnels et d'accusations de racisme, à l'exception du politicien UDC Stefan Urech.

Pourtant en principe, ils ne rejettent pas l'immigration ni l'islam. Par exemple, une enseignante de l'école secondaire de Winterthur affirme que les histoires personnelles de migration des élèves pourraient enrichir les cours. Néanmoins, une image unilatérale est parfois véhiculée dans la formation des enseignants : Lorsque les étudiants arrivent ensuite dans les écoles, ils sont dépassés et surpris de constater que le multiculturalisme peut être non seulement un enrichissement mais également un fardeau.

Les problèmes se posent surtout avec les garçons issus de familles musulmanes ayant un faible niveau d'éducation. En tant que femme, vous devez clarifier le rapport de force dès le départ et les affronter pour être prise au sérieux. Les jeunes enseignantes, en particulier, trouvent souvent cela difficile. Un jour, un élève musulman a déclaré à une collègue féminine : "Je ne reçois pas d'ordres des femmes. Il s'agit d'une exception, mais cela arrive.

Dans beaucoup de ces familles, les mères n'ont pas grand-chose à dire sur l'éducation, elles sont surtout responsables du bien-être physique, dit l'enseignante. En général, seuls les pères, qui sont terriblement fiers de leurs fils, se présentent aux réunions parents-enseignants. Si les pères sont confrontés au fait que les choses ne vont pas aussi bien à l'école qu'ils le pensent, on doit faire attention à ne pas blesser leur fierté.

Au cours de sa formation d'enseignant, Stefan Urech, politicien de l'UDC, a également fait l'expérience de la façon dont les visions du monde musulman peuvent changer l'enseignement quotidien. Lors d'un stage dans une école secondaire de Winterthur, il a remarqué pour la première fois à quel point il était privilégié en tant qu'homme dans certaines situations. "Mes collègues féminines devaient faire beaucoup plus d'efforts pour obtenir le respect et l'attention des étudiants musulmans que l'on me donnait naturellement."

Les "raisons culturelles" comme excuse

Même avec des élèves plus jeunes, une interprétation stricte de l'Islam conduit souvent à des conflits, nous dit une pédagogue lors d'une conversation. Elle travaille dans une école primaire de la région de Zurich, qui accueille de nombreux élèves issus de l'immigration musulmane. Elle aussi ne veut pas que son nom soit visible dans le journal. Trop souvent, dit-elle, elle s'est heurtée au rejet de ses collègues ou a été accusée de racisme lorsqu'elle a tenté de susciter un discours critique sur l'islam. Pourtant, elle est elle-même issue de l'immigration ; ses parents, âgés d'une quarantaine d'années, sont originaires du Chili.

Il y a quelques années, elle a encadré une jeune fille musulmane originaire de Somalie qui ne participait jamais aux fêtes de classe et autres événements. Elle a noté "plus de contacts avec les pairs" comme objectif de soutien. Cependant, la mère a réagi de manière indignée à ce sujet lors de l'entretien avec les parents. L'objectif de soutien a été abandonné. Rien n'a changé pour la jeune fille, mais pour la pédagogue : le cas lui a été retiré et c'est désormais une collègue qui en est responsable.

La psychologue scolaire qui a pris cette décision a invoqué des "raisons culturelles". Peu de temps auparavant, la mère musulmane avait regretté que "la charia ne s'applique pas encore ici". . .". Pour la pédagogue, la raison pour laquelle la fille doit rester isolée est évidente : Les parents auraient voulu empêcher tout contact avec les "non-croyants" et craignaient que, lors des nuitées avec la classe, les enfants ne soient pas strictement séparés selon leur sexe.

Certains sujets sont exclus de l’enseignement

Une autre fois, la pédagogue a lu en classe un extrait d'un livre de mythes scandinaves. Un élève musulman de quatrième année s'est opposé avec véhémence à l'idée qu'il y ait plus d'un Dieu. Dans de telles situations, elle entend presque toujours les autres enseignantes dire qu'il faut l'accepter, car "c'est comme ça dans leur culture". Néanmoins, elle essaie d'échanger des idées avec ses collègues - même après l'assassinat de Paty. Mais sa suggestion de commémorer la victime du meurtre dans la salle des professeurs par une minute de silence a été rejetée.

Mais sa suggestion de commémorer la victime du meurtre dans la salle des professeurs par une minute de silence a été rejetée.

 

La pédagogue parle d'un "aveuglement" du corps enseignant. Au nom d'une supposée tolérance, certains sujets politiques ont été exclus, tandis que d'autres, comme le mouvement "Black Lives Matter" aux États-Unis, ont bénéficié de cours entiers. À cela s'ajoute la crainte d'une éventuelle agression de la part des parents musulmans. Pour cette raison, la directrice n'a pas voulu parler publiquement de ces problèmes. En privé, cependant, la directrice est d'accord avec elle sur de nombreux points. La pédagogue déclare : "Le sujet de l'islam vous isole."

 

À cela s'ajoute la crainte d'une éventuelle agression de la part des parents musulmans.

 

 

Détourner le regard est dangereux

Susanne Wiesinger, institutrice viennoise, connaît également ce sentiment d'isolement. Son cas illustre pourquoi les enseignants osent rarement critiquer publiquement l'influence de l'islam. En 2018, Susanne Wiesinger a publié le livre "Kulturkampf im Klassenzimmer : Wie der Islam die Schulen verändert" (Guerre culturelle dans la salle de classe : comment l'islam change les écoles), qui a fait grand bruit en Autriche. Après sa publication, la plupart de son entourage s'est détourné d'elle, déclare Susanne Wiesinger. Seuls quelques amis proches sont restés. Sur le plan professionnel aussi, elle a dû supporter des inconvénients : Certains collègues la considéraient comme raciste ou islamophobe. D'autres sont d'accord avec elle et sont reconnaissants que "quelqu'un dise enfin la vérité" - mais seulement lors de conversations privées entre deux personnes.

En particulier dans les milieux de gauche, les aspects problématiques de la migration sont souvent passés sous silence. Susanne Wiesinger est également issue d'un milieu de gauche et s'est donc longtemps interdit toute réflexion critique sur le multiculturalisme. Cependant, en tant qu'enseignante, elle se sent également responsable envers les enfants musulmans dont les libertés sont restreintes par une éducation islamique parfois stricte. Elle dit : "Nous ne devons pas détourner les yeux."

Cependant à Zurich, rien ne permet de penser qu'un examen plus approfondi sera effectué à l'avenir. La pédagogue de la région de Zurich mentionnée plus haut observe même une tendance inverse : parmi ses collègues, on constate une peur croissante d'être considéré comme raciste. (...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nzz.ch

L'article a été trouvé par Madame SaïdaKeller-Messahli

Suisse : Un ex-Imam donne des instructions de meurtre depuis la prison

Azad M. est détenu à la prison cantonale de Frauenfeld depuis mars 2021. Le Tribunal pénal fédéral l'a condamné à 70 mois de prison et l'a reconnu coupable d'implication dans une organisation criminelle.

Mais même en détention, l'ancien responsable de prière de la mosquée An'Nur de Winterthour semble rester actif. Notamment, il a utilisé les appels téléphoniques qu'il était autorisé à passer pour appeler au meurtre, comme le rapporte le "Tages-Anzeiger" (article payant).

Ainsi, en février, il aurait ordonné à son frère en Allemagne de «ne pas laisser une personne s’en sortir». Les conversations étant surveillées par une interprète, il a ensuite été mis en garde. Les choses ont dégénéré lors d'un appel téléphonique en mars dernier, au cours duquel il a tenté de donner des instructions à sa mère en Irak sur la manière de gérer la mort de son neveu : "Maman, dis-leur de le laisser..." le téléphone lui a été arraché des mains, mais il a tout de même réussi à crier que quelqu'un "devait aller chez cet homme et le laisser crever", écrit le "Tages-Anzeiger".

Après 15 ans d'emprisonnement, l'expulsion

Cet Irakien de 53 ans vit en Suisse depuis 1998. De là, il aurait fourni un soutien logistique et financier à la milice terroriste de l'Etat islamique. Après avoir purgé sa peine, il sera expulsé du pays pendant 15 ans. En outre, selon divers médias, il a menacé de faire tuer sa femme si elle divorçait. Le couple a depuis divorcé.

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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

20Minuten.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini


Rappels :

Suisse. Winterthour: Un Imam éthiopien inculpé pour appel au meurtre

Le djihadiste de Winterthour était un ancien employé de la poste, connu comme un salafiste radical

Suisse : Les rapatriés de l’Etat Islamique n’ont même pas été condamnés à de la prison ferme

Suisse. Winterthour: L’imam, au bénéfice du statut de réfugié, aurait poussé sa femme à devenir terroriste

Winterthur: Soupçons de pédophilie à la mosquée

Exclusif. Mosquée de Winterthur: L’imam appelle à la mort des… chrétiens et des non musulmans.

Suisse: Pas de surveillance préventive des mosquées car il n’y a pas de base légale

Zurich : Les Verts veulent supprimer des emplois pour fluidifier le trafic

Une proposition des Verts a lancé les conseillers municipaux dans un grand débat sur l’avenir de Zurich: doit-on y supprimer des emplois? Le parti écologiste estime en effet que réduire le nombre de places de travail en ville pourrait atténuer les problèmes de circulation en fluidifiant le trafic des pendulaires.

Les Verts ont déclenché le débat en proposant de faire en sorte, à l’avenir, à ce qu’il n’y ait qu’un seul emploi pour deux résidents.

(...)

20Min.ch


Rappels :

Les Verts sont opposés à la résiliation de la libre-circulation

Paul Rechsteiner (PS) veut le passeport helvète pour les étrangers nés en Suisse et Lisa Mazzone (Verts) veut faciliter la naturalisation!

Voile intégral – Les Jeunes Verts prêts à aller jusqu’à Strasbourg

Suisse : Les Verts veulent un droit de vote fédéral pour les étrangers

Zurich : Une initiative UDC exige que la police rende publique la nationalité des délinquants. Les jeunes socialistes et les jeunes Verts s’y opposent.

Zurich : Une mosquée albanaise vendait un livre appelant au meurtre de ceux qui critiquent l’islam

Texte qui fait suite à notre article concernant la publication de ce manuel musulman en Autriche et en Allemagne. Comme nous l'évoquions, ce livre a également été distribué en Suisse via le site Islamshop.ch (notez la langue albanaise du site).


Une fondation islamique vend un ouvrage qui prône le meurtre pour ceux qui critiquent la religion et le "châtiment corporel" des épouses.

La mosquée albanaise de Zurich-Seebach n'est pas un lieu de culte musulman normal. Le visiteur peut déjà le constater de l'extérieur. Sous l'inscription en albanais "Mosquée Seebach" est écrit en grosses lettres "Islamshop". Sur son site web, il est indiqué qu'il s'agit du "plus grand magasin en ligne de Suisse".

Ce que cette mosquée, enregistrée sous le nom de "Fondation de la jeunesse islamique" dans le registre du commerce, vend en ligne et dans sa librairie située juste derrière la porte d'entrée, a pourtant tout pour plaire. On y trouve par exemple pour 39,90 francs "Ilmihal pour les femmes", un livre traduit du turc, une sorte de guide islamique pour la femme musulmane. Cet "ouvrage" a attiré l'attention du "Oberösterreichisches Volksblatt".

Contre les infidèles et le féminisme

Le livre indique par exemple que "toute personne qui insulte le prophète Mahomet, l'offense ou dénigre sa religion de quelque manière que ce soit doit être tuée."

Et il doit être tué même s'il se repent de ses actes. La décapitation de Monsieur Samuel Paty, professeur de français, en octobre dernier, a montré ce que de tels appels peuvent provoquer. Monsieur Paty a été brutalement assassiné dans la rue pour avoir osé traiter de la question des caricatures de Mahomet en classe.

Lorsque ce journal a appelé Bashkim K. (nom modifié), le fondateur et responsable d'Islamshop.ch, ce dernier a déclaré qu'il ne pouvait pas connaître le contenu de tous les livres qu'il distribuait. Bashkim K. laisse sans réponse les questions concernant les passages problématiques du guide. Sur le site web de la boutique, il est à présent indiqué que le produit "Ilmihal pour femmes" est épuisé.

(...)

L'autorité de surveillance veut engager des poursuites pénales

Depuis un certain temps, l'autorité de surveillance a des doutes sur le fait que le capital de départ de la fondation de 50 000 francs soit réellement utilisé conformément au but dédié. En mai 2019, l'Autorité fédérale de surveillance des fondations a écrit : "Actuellement, il faut partir du principe que la fondation doit être liquidée. Si nécessaire, les responsabilités civiles et/ou pénales des organes de la fondation doivent également être examinées (...)."

L'autorité de surveillance a nommé un expert et a fait radier Bashkim K. du registre du commerce en tant que président du conseil de fondation. Mais cela n'a servi à rien. Même l'expert n'a pas non plus réussi à avoir une vue d'ensemble de la situation financière. En février, exaspéré, il a jeté l'éponge. L'autorité de surveillance de la fondation veut maintenant déposer une plainte pénale pour désobéissance aux ordres officiels. Elle n'avait pas connaissance du livre "Ilmihal pour les femmes". Les autorités de poursuite pénale devront clarifier si la fondation a commis une infraction pénale.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Tagesanzeiger.ch

Madame Saïda Keller-Messahli est à l'origine de la découverte de cet article.

Police zurichoise obligée de préciser la nationalité des criminels mais pas l’origine

La police devra indiquer la nationalité des délinquants dans le canton de Zurich. L'origine des Suisses naturalisés ne sera cependant pas précisée. Les Zurichois en ont décidé ainsi, comme ils ont fixé un cadre aux détectives contre les abus à l'aide sociale.

(...)

Swissinfo.ch

Nos remerciements à Info


Rappels :

Soleure : Un Albanais naturalisé avait tué son gendre. Le 20 Minutes claironne qu’il s’agit d’un Suisse.

Jura : Les auteurs de la fusillade sont des jeunes naturalisés « Cette nuit-là, la guerre des clans opposait des Kosovars à des Africains. »

Vaud et Genève naturalisent le plus, Schwytz et Glaris le moins

Naturalisation: la ville de Lucerne naturalisera gratuitement les moins de 25 ans

Jeton, Kosovar naturalisé Suisse, jugé pour meurtre : En prison, il chante « Tout ce dont j’ai besoin, je le prendrai par la force »

Suisse : un islamiste naturalisé est déchu de la nationalité suisse

 

Zurich : Une Suissesse blessée à coups de couteau. Un demandeur d’asile débouté arrêté.

Vers 15h30, une femme a signalé à la police cantonale de Zurich qu'elle venait d'être attaquée sur une route de campagne à Otelfingen par un homme qu'elle ne connaissait pas et qu'elle avait été poignardée.

La Suissesse de 38 ans a subi des blessures non précisées et elle a été transportée à l'hôpital en ambulance.

Les opérations de recherche effectuées immédiatement ont conduit à l'arrestation d'un suspect peu de temps après. Il s'agit d'un demandeur d'asile de 22 ans, originaire d'Érythrée, dont la demande avait été rejetée. L'auteur présumé de l'infraction a été emmené dans un commissariat de police pour une enquête plus approfondie. (...)

Outre la police cantonale zurichoise, la police municipale de  Limmattal a participé à la chasse à l'homme. Les forces d'intervention ont été soutenues par l'hélicoptère de la police.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nau.ch

Zurich : Une initiative UDC exige que la police rende publique la nationalité des délinquants. Les jeunes socialistes et les jeunes Verts s’y opposent.

A Zurich, une initiative de l'UDC soumise au peuple le 7 mars exige que la police rende public la nationalité des délinquants dans ses communiqués de presse. Concrètement, elle veut obliger une publication systématique de la nationalité et de l'origine des criminels, des suspects et des victimes.

(...)

La police de la Ville de Zurich a tranché en 2017, décidant de ne plus publier ces informations [NDLR : En vérité il s'agit d'un politicien de gauche, Richard Wolff, qui est derrière cette décision, ce que la RTS ne mentionne évidemment pas.]. Et c'est une des seules à y renoncer en Suisse. En effet, si chaque corps de police peut décider de sa pratique, la tendance est plutôt d'inclure la nationalité.

En réaction à la décision de la police de Zurich, l'UDC a lancé une initiative cantonale. Le gouvernement la rejette, mais propose un contre-projet. S'il est accepté, la nationalité devra être communiquée, mais pas les origines des personnes naturalisées.

(...)

Les jeunes Verts et les Jeunes socialistes ne partagent pas cet avis et s'opposent à l'initiative UDC et au contre-projet gouvernemental.

(...)

RTS

Nos remerciements à Info

Zurich : Trois personnes attaquées par une foule de jeunes

Contactées, les forces de l’ordre municipales confirment de gros rassemblements de personnes à la gare de Stadelhofen tout comme près de la place du Sechseläuten. Elle fait aussi état de plusieurs altercations. Vers 22h, deux individus ont ainsi été attaqués et blessés par un grand groupe de gens. Les agents ont pu arrêter un suspect de 16 ans. Peu après 23h, une autre dispute a dégénéré près de la place Stadelhofen. Un homme de 38 ans a subi une blessure au couteau. Il a été emmené à l’hôpital. La police a lancé un appel à témoins.

 

 

(...)

20Min.ch

 

Zurich: l’UDC veut la mention de la nationalité dans les communiqués de police

L’UDC veut obliger les polices à mentionner la nationalité et le statut migratoire dans les communiqués. Les Zurichois votent le 7 mars.

«Deux hommes, de 25 et 36 ans, ont été arrêtés...» au lieu de – par exemple – «un Kosovar de 25 ans et un Suisse de 36 ans...»: depuis fin 2017, la police municipale zurichoise ne mentionne plus de nationalité dans ses communiqués de presse. Pour l’UDC, cette «désinformation» est une manœuvre de la gauche destinée à «cacher la criminalité étrangère.» Elle veut corriger la pratique de la première ville du pays, demandant même la mention d’une éventuelle origine (...)

Le Nouvelliste

Nos remerciements à Info

Zurich : un Serbe avait incité un jeune de 14 ans à détrousser une retraitée et à braquer deux boutiques de stations-services

Un Serbe habitant le canton d'Argovie, âgé de 36 ans et père de trois enfants, a commis trois vols avec le fils d'une connaissance, âgé de 14 ans, il y a presque trois ans de cela.

A leur palmarès: deux attaques contre des shops de stations-services, à Dielsdorf (ZH) et Riedikon (ZH), ainsi qu'un vol chez une retraitée âgée de 75 ans, à Niederglatt (ZH).

(...)

20min.ch

Zurich : un Egypto-Suisse s’énerve et frappe lors d’un contrôle de billets « Contrôleur de m*** »

 

Un contrôle de billet avait totalement dégénéré, en juillet 2018 à Zurich. Un passager et trois employés des transports publics comparaissaient vendredi devant la justice.

Le Égypto-Suisse s'est présenté sans billet à un contrôle à Zurich-Wipkingen. "Je me suis senti harcelé par les contrôleurs", a expliqué Samir* au tribunal. L'insulte "contrôleur de merde" a fusée, puis la situation a dégénéré.

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Blick.ch


 

Selon l’acte d’accusation, un des employés des VBZ a repoussé le resquilleur, qui l’a traité de «contrôleur de m***» avant de le frapper au visage. Les collègues du contrôleur attaqué se sont alors rués sur le jeune homme et l’ont plaqué au sol. Un des contrôleurs, âgé de 47 ans, lui a ensuite donné un violent coup de pied contre la tête.

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En mars 2019, deux policiers s’étaient rendus à son domicile et avaient voulu l'emmener au poste pour un interrogatoire qui n’avait rien à voir avec la dispute remontant à l’été 2018. Le jeune homme avait refusé de les suivre, avait commencé à crier et à cracher sur les pieds des policiers. Les agents avaient finalement dû le menotter.

20min.ch

 

Note : l'article du 20min.ch a effacé la nationalité de l'individu.

Zurich : Le multirécidiviste Carlos détruit une cellule indestructible

Le Zurichois, ayant fait les gros titres il y a quelques années pour avoir bénéficié d’un traitement de luxe en prison, a saccagé une nouvelle unité de l’établissement pénitentiaire Pöschwies (ZH) ayant coûté près de 2 millions de francs.

Le rapport rendu public ce samedi par le média alémanique révèle que le Zurichois a donné de gros coups de poing sur les portes de sa cellule. Elles ont été si endommagées qu’elles ne peuvent plus être utilisées.

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20min.ch


Rappels :

Zurich : le multirécidiviste «Carlos» condamné à une thérapie stationnaire en milieu fermé

Suisse : Carlos, le détenu qui a coûté plus d’un million de francs

Zurich: Vingt-neuf incidents en prison imputés à «Carlos»

Couple kosovar à Zurich : Il la viole et la trompe, elle tente de l’empoisonner. Ils auraient aussi volé 33’000 francs à l’aide sociale.

Le Kosovar est accusé d’avoir violé sa femme de 53 ans à trois reprises entre décembre 2017 et avril 2018. Les faits se seraient déroulés dans leur appartement commun situé à Zurich. Il l’aurait forcée à reproduire des scènes qu’il avait vues dans des films pornos.

Le deuxième acte d’accusation concerne son épouse. Également active dans le domaine des soins, elle est accusée de tentative de meurtre.

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Pour couronner le tout, la justice zurichoise reproche au couple d’avoir abusé de l’aide sociale. Il aurait ainsi perçu indûment près de 33’000 francs.

20min.ch

 

 

Zurich : Deux requérants déboutés tombent d’une fenêtre en tentant d’échapper à la quarantaine

Les demandeurs d’asile déboutés se trouvaient dans un centre de rétention à Zurich. Des personnes infectées par le coronavirus sont aussi hébergées dans l’immeuble.

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Trente-six demandeurs d’asile déboutés y sont actuellement hébergés. Au total, 16 ont été testés positifs au coronavirus jeudi dernier.

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20Min.ch

Zurich : Dispute dans une famille d’origine kosovare. Un mort et deux blessés.

Jeudi matin, il y a eu une dispute familiale dans un appartement du quartier de Zurich. Une personne est décédée et deux autres ont été blessées.

La police de la ville de Zurich a annoncé jeudi que peu avant 7 heures du matin, un rapport a été reçu concernant une violente dispute familiale dans un appartement de Zurich-Wollishofen. Sur place, la police a rencontré deux femmes blessées, toutes deux suisses, âgées de 18 et 50 ans, et un homme gravement blessé. Le Suisse de 47 ans [NDLR : originaire du Kosovo et donc naturalisé, sans doute comme les deux femmes puisqu'ils se marient très souvent entre eux] est mort dans son appartement malgré des mesures de réanimation immédiates. Les deux femmes, épouse et fille de la victime, ont été emmenées à l'hôpital.

Comme 20Minuten.ch le mentionne, l'homme de 47 ans est M.B.* Né au Kosovo, il dirige une entreprise automobile depuis 20 ans, en tant qu'employé de B. dit : "Je les connais depuis longtemps". Le fait que l'incident se soit produit le surprend : "Il n'y a jamais eu de bagarre. C'était des gens pacifiques". [...]

Comme l'indique l'homme, B. était venu du Kosovo en Suisse à l'âge de 16 ans et, avec sa femme, il a eu deux enfants, un fils et une fille.

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Un porte-parole de la police zurichoise a déclaré que les deux blessés transportés à l'hôpital sont dans un état grave.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observarteurs.ch)

20minuten.ch / Albinfo.ch

Hinwil (Zurich) : deux enfants albanais agressent un autre. Le 20 Minutes cache les prénoms. (Vidéo)

Les deux premiers enfants parlent albanais (du Kosovo). On ne peut pas savoir si celui qui se fait frapper (et dont le père intervient) est albanais également.

Voici la traduction albanais-français, que le 20 Minutes refuse de faire

L'autre enfant descend.

Les deux enfants (l'enfant albanais qui filme dit à l'autre Albanais) :

- Tape-le, tape-le

- N'aie pas peur, n'aie pas peur.

- C'est moi qui le frappe, n'aie pas peur

 


Version du 20 Minutes (notez les prénoms et le fait que la victime devient un simple belligérant):

Au lieu de séparer son fils Alan* [NDLR : l'enfant qui descend] qui se battait avec Brice*, un autre enfant du quartier, un père de famille est intervenu pour attaquer lui-même l’adversaire de sa progéniture.

Filmée, la confrontation est rapidement devenue virale et est arrivée jusque dans les mains du papa de l’enfant frappé. «Cela m’a brisé le cœur de voir mon fils allongé là, en pleurs», a raconté B.S.*, 38 ans à 20 minutes. «Comment un adulte peut-il faire une chose pareille? Vous ne frappez personne, en particulier les enfants».

 

 

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«Vous pouvez voir sur la vidéo que le père a autorisé son fils à attaquer Brice*, jusqu’à ce qu’il intervienne lui-même. Ce n’est pas visible sur la vidéo, mais il a frappé mon fils une fois au visage - à la joue et à l’œil - puis l’a frappé une deuxième fois, mais l’a manqué.»

20min.ch