« C’est la loi » : le commissaire européen (non élu) Thierry Breton annonce la mise en place de la censure pour le 25 août !

C'est donc ça l'Union européenne dont on nous vante les mérites ? Après avoir annoncé il y a quelques mois que l'UE entrait en "économie de guerre" pour produire un million d'obus pour l'Ukraine (adieu "l'Europe de la paix" !), le commissaire européen (non élu) Thierry Breton vient d'annoncer que ça y est, à partir du 25 août, les réseaux sociaux vont être mis au pas !

 

Fini la contestation ! Fini l'opposition ! Tous les "contenus haineux" ou qui appellent à la révolte" seront supprimés ! Et tous les réseaux sociaux qui ne se plieront pas à la sacro-sainte "LOI" de la Commission européenne (non élue, rappelons le toujours !), couic ! On les éjecte du continent !

Où est la haine Thierry Breton ?

Mais où est la "haine" Thierry Breton, quand on parle de produire un million d'obus pour faire la guerre ? Où est la haine quand on veut transformer l'Europe en une vaste usine d'armement ?

 

Et puis... une question : si on appelle le peuple russe à se révolter contre Vladimir Poutine, serons nous censurés ? Si on appelle à renverser le gouvernement hongrois de Viktor Orban, est-ce un "appelle à la révolte" ?

 

 

Sauver la démocratie par la censure, le rêve américain

Le gratuit 20Minutes nous apprend que Barack Obama plaide pour un contrôle accru des réseaux sociaux responsables selon lui de « l’affaiblissement des démocraties. » Rien que ça. L’ancien président n’y va pas de main morte. Il voit sur le net des « contenus inflammatoires, polarisants qui attirent l’attention et encouragent la participation », ajoutant que « l’une des causes majeures de l’affaiblissement des démocraties tient au profond changement dans nos façons de communiquer et de nous informer ».
C’est vrai ça, des contenus inflammatoires, polarisants qui attirent l’attention et encouragent la participation, qu’est-ce que c’est que ça ? Le débat peut-être. Ce serait tellement plus facile si le monde entier gobait sans réserve le message démocrate américain fait de bonté, de générosité et d’émancipation des peuples. Mais hélas, il y a quelques réfractaires, dont celui qui écrit ces lignes.
Ce que demande Obama a un nom, la censure. Le chantre de la démocratie vue par les Etats-Unis vit mal le fait que d’autres que lui aient voix au chapitre, puissent proposer leurs réflexions au reste du monde. Il ne doit y avoir qu’une seule parole, la bonne, la sienne. Cela a aussi un nom, la propagande.
Et c’est précisément ce qu’offrent les réseaux sociaux, une alternative à la pensée officielle, unique. Il y a de tout sur la toile, du bon et du mauvais. Mais en démocratie, c’est au citoyen qu’il revient de trier le bon grain de l’ivraie, il n’a pas besoin qu’un ancien président des Etats-Unis le fasse à sa place.
Permettez-moi de conclure en vous remerciant sincèrement d’avoir porté quelques secondes d’attention à ces lignes que vous ne pourriez plus lire si les censeurs parvenaient à imposer leurs vues.

Contorsions journalistiques pour cacher l’origine du criminel et son passé de récidiviste

Vincent Donzé - LeMatin.ch

Le jeune voisin d’une retraitée jurassienne a quitté la Suisse avec 70 000 francs et 4000 euros d’économies

[...] Les soupçons se sont rapidement portés sur un voisin qui rendait service et prodiguait des soins à l‘octogénaire. [...]

Le voleur a tenté de se rendre en Afrique, via l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle. [...]

Le jeune voleur a écopé d’une peine ferme d’emprisonnement de 180 jours. Il devra payer des frais judiciaires fixés à 5300 francs. [...]

aticle complet: https://www.lematin.ch/story/il-depouille-une-vieille-dame-arrete-a-roissy-puis-a-delemont-691931663588

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Xavier Fernandez - 2minutes.ch

Il se fait pincer avec le magot dans un aéroport français

Un homme avait dérobé 70’000 francs à sa voisine, une dame âgée.

[...] Les autorités françaises l’avaient ensuite laissé libre de rentrer en Suisse et n’ont pas informé leurs homologues jurassiennes de la trouvaille. C’est donc parce que l’accusé avait maladroitement gardé les documents que l’argent a pu être récupéré [...]

[...] 180 jours d’emprisonnement, le sursis octroyé dans un premier ayant été révoqué [...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/il-se-fait-pincer-avec-le-magot-dans-un-aeroport-francais-564873448085

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Une octogénaire victime d'un vol à Delémont -il y a 7 mois

www.rfj.ch

Le Ministère public a annoncé ce lundi qu'une octogénaire de Delémont a été victime d'un vol d'une somme d'argent importante à son domicile. Le prévenu a été interpelé et a avoué les faits

Une octogénaire victime d'un vol d'une forte somme d'argent à son domicile à Delémont. Dans son communiqué, le ministère public annonce qu'une enquête de la police municipale a déterminé que l'auteur était un voisin, un ressortissant africain qui effectuait régulièrement des visites de courtoisie…

En censurant le débat sur le laboratoire de Wuhan, Facebook a montré son vrai visage

La censure décidée par Facebook au sujet du laboratoire de Wuhan montre «son vrai et laid visage»: le géant de la technologie est condamné pour «s’être fait bien voir de la Chine» et avoir étouffé la liberté d’expression par une interdiction – qui n’a été levée qu’après que Biden a ouvert une enquête.

  • Facebook dit qu’il laissera (à nouveau) ses utilisateurs discuter de l’idée que le Covid ait fui du laboratoire
  • C’est une inversion de la politique menée depuis février, qui interdisait les publications sur la «désinformation nuisible»
  • Toute discussion sur la fuite du Covid du laboratoire de Wuha nétait qualifiée de «théorie du complot»
  • À l’époque, on pensait que le coronavirus avait probablement passé des chauves-souris à l’homme
  • Mais des rapports récents suggèrent à nouveau que le virus a pu s’échapper accidentellement du laboratoire
  • Joe Biden a ordonné mercredi à des espions américains d’enquêter sur les origines du coronavirus
  • Le Dr Fauci a également fait volte-face sur la question, tout comme les médias de gauche américains
  • La Chine a réagi avec fureur, accusant Biden de «politiser» la question et laissant entendre que les biolaboratoires américains devraient faire l’objet d’une enquête au lieu de celui de Wuhan.

Par Martin Robinson, journaliste en chef et James Tapsfield Rédacteur politique pour Mailonline

Facebook a levé son interdiction de commentaires des utilisateurs sur le fait que Covid-19 soit d’origine humaine, après que Joe Biden ait ordonné aux agences de renseignement d’enquêter pour savoir si le coronavirus avait fui d’un laboratoire de Wuhan – moins de quatre mois après avoir affirmé qu’il s’agissait d’une théorie du complot.

Facebook a été accusé aujourd’hui [27 mai] de «montrer son vrai et laid visage» et d’avoir étouffé la liberté d’expression, quand il a levé son interdiction de publier des articles débattant de la question de savoir si Covid-19 pouvait être artificiel - mais seulement après que Joe Biden ait ordonné à la CIA de vérifier si le virus venait d’un laboratoire de Wuhan.

Le chef de la politique mondiale de Mark Zuckerberg, Nick Clegg, ancien député britannique et dirigeant libéral démocrate, a également été qualifié de «faible» pour avoir autorisé des mois de censure sur le réseau social.

Les critiques ont qualifié le comportement de Facebook de «méprisable» et l’ont supplié de respecter la liberté d’expression plutôt que de vouloir «faire plaisir» à des États tels que la Chine, qui a interdit Facebook mais reste un marché publicitaire de 5 milliards de dollars par an.

La théorie selon laquelle le coronavirus a fui d’un laboratoire de Wuhan a été initialement rejetée par les médias de gauche l’année dernière comme une théorie du complot, après avoir été mentionnée par Donald Trump, mais ils ont maintenant changé de cap avec le lancement de l’enquête américaine.

Le député conservateur britannique Peter Bone a déclaré à MailOnline: «Il me semble vraiment que Facebook n’est pas une plate-forme ouverte sur laquelle les gens peuvent exprimer leur point de vue. C’est une plate-forme ouverte sur laquelle les gens peuvent exprimer leur point de vue tant qu’ils sont d’accord avec Facebook.

«Les décisions de Facebook sont basées sur la politique et non sur des principes ... Si c’est à la mode chez l’élite libérale, cela peut passer. Si c’est l’élite libérale qui le dit, ça doit être OK, si c’est le président Trump qui le dit, ce doit être horrible.

«Trump disait exactement ce que dit maintenant Biden, mais selon Facebook Trump n’était pas autorisé à le dire. Tandis que tout le monde aime Biden sur Facebook, donc il doit avoir raison. Il y a une règle pour l’une des visions politiques et une autre pour l’autre.»

Et les médias américains libéraux, qui se sont gaussés de Donald Trump quand il a déclaré il y a un an qu’il avait «un degré élevé de confiance» dans le fait que le virus s’était échappé d’un laboratoire, ont finalement admis qu’il avait peut-être raison - après avoir ridiculisé l’idée pendant un an.

Facebook avait décidé en février de «supprimer» tous les messages affirmant que le coronavirus était «artificiel» ou que le virus avait été «créé par un individu, un gouvernement ou un pays» - en les qualifiant de «désinformation» et d’«affirmation réfutée» qui nécessitait une «action agressive» de la part des modérateurs.

Mais aujourd’hui, le géant de la technologie a annulé son interdiction de discuter de la théorie, quelques heures à peine après que le président Biden ait ordonné à ses agences de renseignement de lancer une enquête pour savoir si le virus était artificiel après tout – et de rendre rapport sous 90 jours.

Éviter la censure Facebook (Conseils techniques – 16:52)

Un des gros problèmes sur Facebook, en particulier francophone, c’est la censure qui peut détruire des communautés humaines qui se sont formées autour d’un intérêt commun.

Si vous maintenez une page, elle représente un fort investissement en efforts, en temps et en émotions. Par contre, si la censure frappe, votre groupe peut sauter du jour ou lendemain.

Ceci entraine la rupture des relations humaines qui s’étaient formées au fil du temps et brise le contact entre des gens qui s’appréciaient.

Les gens se perdent de vue et il n’y a plus moyen de revenir en arrière.

Toute communauté, même la plus anodine, n’est pas à l’abri d’une censure aveugle, souvent pilotée par algorithme, qui peut décider de tout détruire.

Dans cette vidéo, je donne des conseils précis sur comment s’affranchir de Facebook et reprendre le contrôle de vos données et garantir la pérennité de vos communautés internet.

Vous pouvez toujours garder une page ou un groupe Facebook mais il est essentiel que les débats soient menés sur un forum hébergé sous un nom de domaine et un espace que vous contrôlez entièrement.
Les hébergeurs qui font du web hosting ne sont pas nécessairement plus démocratiques que Facebook.
Par contre, dans la vidéo j’explique comment des ennuis avec un hébergeur internet ne signifient pas la fin de votre communauté si vous prenez les précautions que je détaille.
Il y a aussi des conseils sur l’achat ou l’enregistrement du nom de domaine et quelles précautions prendre pour ne pas le perdre en cas de censure.

Enfin, il y a une partie sur comment cacher son adresse IP (l’adresse du site web) afin que vous puissiez être hébergé en France et à bon prix sans que personne ne puisse se plaindre à votre hébergeur (parce qu’ils ne sauront pas où il se trouve !).

16:52, Aldo Sterone: "Qu'Allah me pardonne"

Antonio Hodgers, conseiller d’État Vert genevois, réclame une censure plus sévère sur les réseaux sociaux

Forum, 02.04.2021

Le débat - Médias: une modération en ligne insuffisante?

Débat entre Antonio Hodgers, conseiller d'Etat genevois, Denis Etienne, médiateur de Tamedia, et Julie Collet, responsable réseaux sociaux du Nouvelliste.

Discussion entre trois gauchistes qui sont à 99% du même avis: https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-debat-medias-une-moderation-en-ligne-insuffisante?id=12075534

La Turquie peut forcer Twitter à la censure

Le réseau social Twitter va nommer un représentant officiel en Turquie, se soumettant à une loi controversée qui pourrait l'obliger à retirer des contenus à la demande des autorités.

(...)

En janvier, la Turquie avait interdit Twitter de revenus publicitaires pour le contraindre de nommer un représentant légal conformément à une loi entrée en vigueur en octobre. Aux termes de cette loi, les réseaux sociaux ayant un représentant en Turquie peuvent être contraints de retirer des contenus à la demande des autorités turques sous 48 heures. En cas de refus, diverses sanctions sont prévues. Les principaux réseaux sociaux avaient nommé ces derniers mois leur représentant en Turquie, comme Facebook en janvier.

(...)

Lorientlejour.com

Lausanne Cités: La Suisse serait en retard pour légiférer contre les discours de haine sur les réseaux sociaux

Cenator : Lausanne Cités, c’est l’hebdomadaire « gratuit » racheté en hâte par les socialistes, au pouvoir depuis trente ans, lorsque le bruit a couru que Christoph Blocher s’y intéressait.
Ainsi, le seul média qui a failli échapper à la propagande marxiste est tombé également dans le giron de la gauche.

Dans sa dernière publication accessible en ligne, Lausanne Cités déplore que la censure de Trump sur Twitter soit arrivée si tardivement.

Il va de soi, pour le journaliste de cet article comme pour les personnes interviewées, que Donald Trump a diffusé de la haine et qu’il a bien mérité son bannissement des réseaux sociaux. Ici, comme toujours dans les médias de la bien-pensance, les faits, la réalité sont totalement soumis à l'idéologie.

L’ensemble des médias subventionnés de la Suisse romande ont diffusé sur Trump, durant toute sa présidence et jusqu’au-delà, un déversement de haine et de diabolisation systématique, absolument sans nuance et sans limite. Mais à présent, pour ceux qui détiennent le pouvoir, la haine se trouve dans le camp de Trump, de ceux qui ont plébiscité sa politique et sa vision du monde.

Nous imaginons aisément ce que seront les générations d’économistes qui vont sortir de nos universités, où ils sont endoctrinés par des professeurs marxistes, comme Samuel Bendahan, qui enseigne l’économie à l’EPFL et à l’UNIL et est aussi conseiller national socialiste.
Avec tous nos Bendahan, nous avons de gros soucis à nous faire pour l’avenir de la Suisse, car les nouvelles élites sortant de certaines facultés des Hautes Ecoles vont œuvrer à la destruction de certains fondements de notre pays, causer des souffrances terribles, comme partout où la jeunesse gauchiste fanatisée a pris le pouvoir.

Voici quelques extraits de cette perle qu’est l’article de

Charaf Abdessemed : Haine sur les réseaux sociaux: la Suisse est-elle laxiste ?

Samuel Bendahan : « Il est juste que le compte de Donald  Trump ait été suspendu, même s’il relève de l’hypocrisie que cette suspension arrive aussi tard [...] »

Bendahan trouve que « l’inertie de la Suisse est incompréhensible », et il explique cela par le fait que « la majorité du parlement défend prioritairement les intérêts des milliardaires et des grandes entreprises qui  songent plutôt à faire du profit au lieu de contrôler la société. »

Stéphane Koch, expert en réseaux sociaux : « La décision de Twitter fait suite à un ensemble de mises en garde qui ont été adressées à Trump après le 6 janvier. Et il est quand même rassurant de voir que comme tout le monde, même un président peut être soumis à un règlement. »

Koch veut que « les États se dotent de législations » pour censurer et « punir les personnes qui propagent les appels à la haine », et déplore que la Suisse soit si en retard dans ce domaine.

Isabelle Moret, toujours aussi opportuniste et désireuse de plaire à tous, se dépêche d’ajouter qu’elle « condamne le contenu de beaucoup de tweets de Donald Trump », mais que la censure peut être « le début d’une pente dangereuse ».

http://www.cfch.ch/fileadmin/user_upload/20_Zusatzseiten/10_Aktuell_News/Dokumente/Lausanne_Cites_10.02.2021_web_3.pdf

Inde. Twitter obéit au gouvernement et bloque les comptes de paysans

 Twitter a temporairement bloqué lundi un grand nombre de comptes et de tweets en Inde à la demande du gouvernement, notamment ceux d'un important magazine d'information et d'agriculteurs qui organisent des manifestations dans la capitale. 

Une source au sein du ministère des Technologies de l'Information a déclaré à l'AFP que le gouvernement avait demandé au géant des réseaux sociaux d'agir à l'encontre de quelque 250 comptes Twitter et de tweets au motif qu'ils représentaient une «grave menace pour l'ordre public».

(...)

Journaldemontreal.com

Le Deux Poids Deux Mesures et l’Hypocrisie des Géants du Net

Plusieurs réseaux sociaux géants ont grandement surpris en bannissant le président américain Donald Trump de leurs plateformes alors que les dirigeants iraniens, un gouvernement que le département d'État américain considère comme le principal sponsor du terrorisme dans le monde, sont libres d'opérer librement sur leurs réseaux sociaux.

Facebook et Instagram ont les premiers bloqué « indéfiniment » les comptes du président Trump. Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré :

« Permettre au Président de continuer à utiliser notre service pendant cette période nous a paru représenter un risque trop grand. Par conséquent, ses comptes Facebook et Instagram seront bloqués indéfiniment et pour au moins les deux prochaines semaines, jusqu'à ce que la transition politique ait eu lieu pacifiquement ».

Twitter a immédiatement emboîté le pas de Facebook et les comptes du président Trump, de Michael Flynn et de Sidney Powell ont été suspendus. Concernant le président Trump, Twitter a déclaré :

« Après un examen attentif des derniers Tweets du compte @realDonaldTrump et de leur contexte - en particulier la manière dont ses tweets sont reçus et interprétés sur Twitter et hors Twitter - nous avons définitivement suspendu le compte en raison du risque d'incitation à la violence. »

Seuls deux tweets du président ont apparemment posé problème à Twitter : dans l'un Donald Trump a déclaré qu'il n'assisterait pas à l'inauguration du président-élu Joe Biden, le 20 janvier : « À tous ceux qui ont posé la question, je n'irai pas à l'inauguration du 20 janvier ». Dans le second, le président Trump a écrit :

« Les 75 millions de grands patriotes américains qui ont voté pour moi, pour AMERICA FIRST, et pour MAKE AMERICA GREAT AGAIN, auront une INFLLUENCE GÉANTE dans le futur. Nul ne pourra les mépriser, ni les maltraiter de quelque manière que ce soit !!! »

Twitter a expliqué :

« Ces deux Tweets doivent être lus et interprétés dans le contexte large des évènements qui affectent notre pays et qui font que les déclarations du Président peuvent mobiliser différents publics, notamment pour inciter à la violence, ainsi que dans le contexte du modèle de comportement de ce compte au cours des dernières semaines. Ces Tweets ayant été passés au crible de notre politique de lutte contre la « Glorification de la Violence », il nous est apparu clair que ces messages violaient nos règles en la matière et que l'utilisateur @realDonaldTrump méritait d'être immédiatement et de manière définitive, suspendu. »

Une telle interprétation semble pour le moins exagérée - surtout si on la compare à ce qui est autorisé sur Twitter sans même une « petite note explicative » d'aucune sorte.

Ainsi, que penser du statut réservé au Guide Suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, qui produit des tweets antisémites et incendiaires à jet continu et qui incarne un régime que le Département d'État américain qualifie de « pire sponsor du terrorisme au monde » ? Khamenei n'a aucun problème avec Twitter quand il appelle publiquement à l'anéantissement d'Israël et qu'il nie l'Holocauste.

« Nous soutiendrons et assisterons toute nation et tout groupe partout dans le monde qui s'oppose et combat le régime sioniste », a tweeté Khamenei le 20 mai 2020, « et nous ne craignons pas de le dire. #FlyTheFlag (Brandissons le drapeau) ».

Le 18 mai 2020, Khamenei a tweeté :

« La Cisjordanie doit s'armer, tout comme Gaza. Seul le rapport de force peut atténuer les épreuves des Palestiniens. Aucun compromis ne réduira si peu que ce soit la cruauté de cette entité usurpatrice, diabolique aussi féroce qu'un loup. #FlyTheFlag ».

Le 21 mai 2020, il a tweeté :

« Le peuple de Palestine devrait organiser un référendum. Le système politique pour lequel il voterait devrait s'imposer à toute la Palestine. Le seul remède à la suppression du régime sioniste est une résistance armée sans concession. »

La politique de Twitter concernant les « organisations violentes » affirme que :

« il n'y a pas de place sur Twitter pour les organisations violentes, à commencer par les organisations terroristes et les groupes extrémistes violents, ni pour les individus affiliés à ces groupes et qui font la promotion de leurs activités illicites... Nos évaluations en vertu de cette politique s'appuient sur les listes nationales et internationales officielles d'organisations terroristes... »

Ces tweets du Guide Suprême iranien ne violent-ils pas les règles de Twitter ?

Plus choquant, le 9 novembre 2014, Khamenei a twitté qu'il était nécessaire d'anéantir Israël : « Pourquoi et comment #Israël peut-il être éliminé ? La réponse de l'ayatollah Khamenei à 9 questions clés. #HandsOffAlAqsa » (Bas les Pattes d'Al Aqsa) ». Khamenei a ainsi posté sur Twitter une capture d'écran détaillant exactement le processus de destruction d'Israël. Ces tweets sont toujours en ligne.

Interrogée en vidéoconférence sur les tweets antisémites de l'ayatollah, Ylwa Pettersson, responsable régionale de Twitter pour les pays nordiques et Israël, a déclaré aux membres de la Commission de l'immigration, de l'insertion et de la diaspora de la Knesset israélienne, que :

« Concernant les dirigeants, notre approche prévoit que les interactions directes qu'ils peuvent avoir avec d'autres personnalités publiques, leurs commentaires sur les questions politiques du jour où les rodomontades sur les questions militaro-économiques en matière de politique étrangère ne violent pas nos règles. »

La réponse a suscité une louable indignation. Et bien des élus ont estimé qu'ils se retrouvaient face à une politique du deux poids-deux mesures. La députée israélienne Michal Cotler-Wunsh, qui dirigeait la discussion, a écrit :

« Wow. Twitter vient d'admettre que les tweets des dirigeants iraniens appelant au génocide des juifs NE VIOLENT PAS sa règlementation ! CECI est un deux poids-deux mesures. C'est de l'antisémitisme. »

L'avocat des droits de l'homme Arsen Ostrovsky a tweeté :

« Je ne plaisante pas ! Lors d'une audition à la Knesset sur l'antisémitisme, le représentant de @Twitter a annoncé qu'ils lancent un avertissement au compte @realDonaldTrump parce que cela est « utile au débat public », mais l'appel au GENOCIDE de l'Iran @khamenei_ ir passe pour un « commentaire acceptable sur les questions politiques du jour » cc. @CotlerWunsh ».

Les géants des médias sociaux autorisent les dirigeants iraniens à tweeter des menaces de mort aux Américains, à tenir des propos antisémites et à appeler à la destruction d'Israël. Quelqu'un va-t-il se lever pour les arrêter ?

source: https://fr.gatestoneinstitute.org/16992/hypocrisie-reseaux-sociaux

Le Dr Majid Rafizadeh, stratège et consultant en affaires, est diplômé de Harvard, politologue, membre du conseil d'administration de la Harvard International Review et président du Conseil international américain sur le Moyen-Orient. Il est l'auteur de plusieurs livres sur l'islam et la politique étrangère américaine. On peut le contacter a [email protected]

(Photo de Justin Sullivan / Getty Images)

Twitter supprime définitivement le compte de Trump de sa plateforme

Twitter a définitivement retiré le compte du président Donald Trump de sa plateforme, affirmant que ses tweets récents étaient "en violation de sa politique relative à la glorification de la violence".

"Après avoir examiné de près les récents Tweets du compte @realDonaldTrump et le contexte qui les entoure - en particulier la façon dont ils sont reçus et interprétés sur Twitter et hors de Twitter - nous avons suspendu définitivement ce compte en raison du risque de nouvelles incitations à la violence", a écrit Twitter dans une déclaration.

"Dans le contexte des événements horribles de cette semaine, nous avons bien précisé mercredi que de nouvelles violations des règles de Twitter pourraient entraîner cette décision. Notre cadre d'intérêt public est là pour permettre au public d'entendre directement les représentants élus et les dirigeants mondiaux. Il repose sur le principe que les citoyens ont le droit de demander des explications au grand jour.

"Cependant, nous sommes très clairs, depuis des années, sur le fait que ces comptes ne sont pas entièrement au-dessus de nos règles et ne peuvent pas se servir de Twitter pour inciter à la violence, entre autres choses. Nous continuerons à être transparents en ce qui concerne nos politiques et leur mise en œuvre".

Twitter a cité deux des plus récents messages du président pour justifier son action.

Le premier disait : "Les 75'000'000 de grands patriotes américains qui ont voté pour moi, AMERICA FIRST, et MAKE AMERICA GREAT AGAIN, auront une VOCATION GÉANTE dans le futur. Il ne leur sera pas manqué de respect et ils ne seront pas traités injustement de quelque manière que ce soit !!!

[...]

Article complet: https://www.theepochtimes.com/twitter-removes-trump-from-its-platform_3649669.html

Traduction Cenator

 

La nouvelle loi polonaise pourrait imposer aux entreprises de médias sociaux des amendes pouvant atteindre 2,2 millions d’euros pour avoir censuré des propos licites

Si cette loi est adoptée, elle permettra aux Polonais de faire appel devant les tribunaux en cas d'interdiction et de censure injustes liées à la suppression de postes sur les médias sociaux

22 décembre 2020

Editeur: Remix News – Auteur: Grzegorz Adamczyk

Les défenseurs de la liberté d'expression de tout l'Occident célèbrent un nouveau texte de loi en cours de préparation par le ministère polonais de la justice, qui vise à garantir le respect des droits des utilisateurs de médias sociaux.

Le ministre de la justice, Zbigniew Ziobro, a souligné que "les utilisateurs de médias sociaux doivent avoir le sentiment que leurs droits sont protégés. Il ne peut y avoir de censure de l'expression. La liberté d'expression et de débat est l'essence même de la démocratie."

Un nombre croissant de messages sont supprimés par les sociétés de médias sociaux et les utilisateurs se voient imposer des interdictions ou même des suppressions de compte. Habituellement, à ce stade, ces utilisateurs sont à la merci des plateformes de médias sociaux et ont des options limitées.

Alors que la liberté de parole et d'expression est vitale dans les démocraties, les médias sociaux sont dominés par des entreprises qui peuvent introduire leurs propres directives. Dans le même temps, ces entreprises doivent respecter les lois des pays dans lesquels elles opèrent.

Le vice-ministre de la justice Sebastian Kaleta, qui supervise le travail sur les lois, a déclaré que le temps est venu pour la Pologne d'avoir des règlements qui protègent contre les abus des sociétés Internet géantes, selon l'agence de presse polonaise Benchmark.pl.

Il a ajouté que la nouvelle réglementation permettra à la Pologne de punir les sociétés de médias sociaux pour avoir violé les droits des utilisateurs, ce qui sera soutenu par le plein pouvoir du système judiciaire polonais. Si les sociétés sont reconnues coupables de violer les droits des utilisateurs et refusent d'obéir à la décision d'un tribunal, elles pourraient se voir infliger une amende allant jusqu'à 2,2 millions d'euros.

Dans le cas d'un conflit entre un site de médias sociaux et l'utilisateur, la nouvelle loi prévoit qu'un tribunal polonais décidera si une loi a effectivement été enfreinte, ce qui aurait justifié la censure.

Les conservateurs sont souvent la cible de la censure des médias sociaux

Après l'adoption de la nouvelle loi anti-censure, les médias sociaux ne pourront plus supprimer des messages ou bloquer des comptes à leur guise. Cette nouvelle loi concerne les messages qui n'enfreignent pas la loi polonaise. Ainsi, par exemple, les utilisateurs qui publient de la pornographie enfantine ou d'autres contenus illégaux n'auront aucun recours en vertu de la nouvelle loi pour faire rétablir leurs messages ou débloquer leurs comptes.

Cependant, une grande partie de la censure qui a lieu sur les plateformes de médias sociaux n'a rien à voir avec des contenus illégaux. Les conservateurs ont particulièrement insisté sur le fait que leur contenu a été interdit ou censuré sur les plateformes de médias sociaux, qui sont connues pour leur adhésion à la politique libérale. En fait, le média d'État polonais Poland Daily, qui publie des informations et des nouvelles sur la Pologne, a été interdit de Twitter au début de l'année et n'a pas été rétabli depuis des mois, bien qu'il n'y ait aucune violation évidente des directives de Twitter. Notre propre publication, Remix News, a également été interdite de la plateforme sans explication.

[…]

source: https://rmx.news/article/article/new-polish-law-will-fine-social-media-companies-2-2-million-for-censoring-lawful-speech

La censure qui s’en vient

Publié par H16 le 13 novembre 2020

Les récents développements de l’actualité, au-delà de l’éclairage qu’ils ont pu apporter sur le partisianisme des médias, a aussi mis en exergue la tendance inquiétante de notre société de communication à vouloir résolument contrôler absolument toutes les informations déversées sur le public.

La tendance est aussi inquiétante qu’est puissante la force déployée pour s’assurer que chaque internaute voit ce qu’il doit voir, écarte ce qu’il doit écarter, parle de ce qu’il doit parler, aime ou conspue ce qu’il doit aimer ou conspuer.

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Ainsi, les affaires Biden (le Burismagate d’un côté, les soupçons de prise d’intérêt avec les autorités chinoises de l’autre) n’ont guère fait parler d’elles alors qu’elles méritaient amplement enquêtes et suivi de toute une profession qui tente encore de faire croire qu’elle pratique le journalisme : la façon dont les médias habituels (de télé, de radio, de papier) ont choisi, parfois ouvertement, de ne pas en parler ou de minimiser ces affaires en dit long à la fois sur leurs propres biais (ici, très clairement sur la gauche du spectre politique) et sur les biais de toute une frange de la société, sa partie la plus technophile et branchée, qui a elle aussi choisi d’ignorer cette accumulation de faits troublants.

Parallèlement, Google, Facebook, Twitter ont, dans le courant du mois de septembre et d’octobre, fait assaut d’inventivité pour que le sujet disparaisse de leurs plateformes : Twitter a par exemple activement fait le nécessaire pour que l’affaire, révélée par le New York Post, ne soit pas discutée par ses utilisateurs. Facebook a usé de toutes les tactiques possibles, un peu plus finement que Twitter, pour faire disparaître les posts relatifs, bloquer les références à l’article infâmant, ou pour en réduire l’exposition aux utilisateurs de son réseau social. Google, encore plus subtilement, a déclassé les recherches relatives et enfoui les articles détaillant les griefs à l’encontre de la famille Biden derrière la cohorte de petits articulets de la presse grand public qui minimisaient largement l’importance de l’affaire.

Tout ceci n’a rien d’anodin : tant les médias que les sociétés de communication actuelles ont bien un agenda, que l’on pourra qualifier comme on voudra mais qui, c’est absolument certain, ne comprend pas de laisser chacun s’exprimer comme il l’entend.

Et ce n’est pas un mal typiquement américain, mais bien une tendance forte visible sur toute la planète, depuis les contrées les plus riantes de la Chine communiste totalitaire jusqu’en Europe sociale-démocrate écolo-hystérique en passant par l’Amérique progressisto-gauchiste : à mesure que les moyens de communication sont devenus plus nombreux, plus simples et plus accessibles à tous, les entreprises technologiques, les médias et les politiciens se sont empressés de s’assurer qu’on ne pourrait surtout pas y dire ce qu’on voulait.

La liberté d’expression s’y réduit maintenant chaque jour grignotée par des groupes de pression ayant étrangement toujours la même coloration politique et morale et dont les comportements de plus en plus agressifs finissent par diffuser dans toute la société ; par exemple, du côté des rédactions journalistiques qui font, elles aussi, assaut de vertus, on n’en est plus à essayer d’apporter des informations aussi solides et factuelles que possible, on a maintenant pour but d’éduquer les masses bêtes et adipeuses qui osent penser de traviole.

Une pandémie se développe et certains s’interrogent sur les origines du virus, sur les traitements les plus efficaces, sur les bonnes méthodes pour combattre les transmissions ? Pourtant, tout le monde sait que les gouvernements ont, comme pour la sécurité, la croissance ou l’éducation, les réponses à tout ça ! Dès lors, au-delà de fournir les bonnes idées, les bonnes infos, il faut aussi lutter activement contre les mauvaises idées, les mauvaises infos !

Une élection semble comporter des irrégularités ? Mais enfin, nous ne sommes plus en 2016 où, comme chacun sait, les élections étaient honteusement manipulées par des entités étrangères pleines de slaves fourbes ! En 2020, tout est sous contrôle et s’il faut se poser une question, c’est plutôt de savoir si l’on a fait suffisamment pour faire taire les abrutis !

Ces interrogations angoissées (comment certains peuvent-ils sérieusement douter de la parole millimétriquement mesurée et calibrée des médias adoubés par eux-mêmes et leurs pairs, non mais oh ?), qu’on retrouve dans un nombre croissant de sujets, imposent de trouver une méthode pour calmer le jeu et contenir les impétrants indélicats, ceux qui bousculent le vivre ensemble et le discuter ensemble : on ne peut pas laisser les grands organes de presse, les grands instituts de sondage, les grands opérateurs de communication et les grandes entreprises de réseaux sociaux se faire ridiculiser par des individus qui, il faut bien l’avouer, savent à peine lire, écrire et compter et ne sont pas (encore) d’une minorité opprimée.

Pour les réduire au silence, on pourra recourir à différents moyens.

Ainsi, rien de tel qu’un gros « fasciste ! » balancé au bon moment pour couper court au vieux débat désagréable et euthanasier les vieilles pensées poussiéreuses de l’opposant. Mieux encore : on peut préemptivement estampiller les idées alternatives de « complotistes ! », ce qui permet d’avorter l’embryon de débat avant qu’il n’ait pu naître et risquer qu’il apporte des contradictions aux Vérités Immuables exposées officiellement.

Mais le mieux, c’est lorsque les efforts sont faits par les méchants eux-mêmes : par un mélange habile de polarisation agressive des débats (« si tu n’es pas avec moi, tu es contre, tu mérites de périr, et il n’existe aucune position intermédiaire intelligente et digne d’intérêt ») et d’une bonne grosse pression sociale, on obtiendra même le Graal : l’auto-censure de ceux qui ne pensent pas comme la Meute des Gentils !

Dans ce contexte, la question n’est plus de savoir où est la vérité mais qui a le droit d’émettre une opinion et qui ne l’a pas. L’opinion va dans le bon sens : il lui sera fait forte publicité, même si ce sont d’énormes âneries (Le cas du Lancet suffit à illustrer ceci).

Cependant, ne vous y trompez pas : pour garantir que les gens ne pensent pas et n’agissent pas autrement que comme il leur est permis, l’étape suivante, riante et joyeuse, c’est le tabassage, soft et social d’abord, puis violent et physique ensuite.

La Cancel Culture va prendre un tour intéressant lorsqu’il s’agira, comme le proposent certains petits éditorialistes aux poussées totalitaires inquiétantes, d’interdire un nombre croissant d’activités lorsque les comportements attendus ne seront pas obtenus. Mao, Staline, Hitler ou Honecker auraient adoré disposer des moyens actuels de ces éditorialistes.

Interdire des activités en parfaite violation des droits les plus élémentaires, pour celui qui n’a pas montré allégeances aux autorités ? Cela paraît fou ? Et pourtant, comme le montrent certains signes (Ticketmaster demandant une preuve de vaccin pour assister à un concert, par exemple), c’est déjà dans les tuyaux…

Quant à l’étape suivante, elle est déjà en préparation depuis un moment : si, dans un premier temps, il s’agira de faire sauter l’anonymat des vilains et des méchants, par exemple en tenant des listes (les gauchistes adoôorent les listes) comme le préconise Alexandria Occasional Cortex, afin de fusiller leur vie sociale, dans un second temps, on comprend qu’il faudra en finir une fois pour toutes de ce vilain anonymat qui sévit sur les interwebs : une intense campagne a déjà commencé et elle se nourrira de chaque événement, de chaque peur des citoyens affolés. La Loi Avia n’est qu’une étape dans ce cheminement.

Tout le monde saura bien vite que c’est parce qu’on est anonyme qu’on peut dire ce qu’on pense, donc insulter et harceler en ligne. Personne, en revanche, n’entendra que c’est aussi parce qu’on est anonyme qu’on peut dire ce qu’on pense, et donc dénoncer les abus, dévoiler les complots, les machinations et les corruptions.

L’anonymat sautera et, avec lui, le reste de la liberté d’expression.

Cette marche vers le pire n’est pas inéluctable mais elle est bien entamée. C’est sans doute pour cela que l’on observe un tel mouvement de repli d’un nombre croissant d’individus vers des plateformes alternatives dont les conditions d’utilisation sont moins opaques, arbitraires ou partiales, et les règles de modération plus favorables à l’expression d’idées alternatives.

Ceci permet presque un peu d’optimisme, si ce n’est que, de nos jours, être positif entraîne trop souvent une mise en quarantaine…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © H16. Publié avec l’aimable autorisation de l’auteur (son site)

source: https://www.dreuz.info/2020/11/13/la-censure-qui-sen-vient/

blastingnews.com, un média d’information indépendant basé en Suisse, censure Patrick Loiseau, Pierre Cassen, Riposte Laïque

Patrick Loiseau, Pierre Cassen, Riposte Laïque, censurés par blastingnews.com

Publié le 23 octobre 2020 - par

Avec l’arrivée de nouveaux correcteurs, blastingnews.com qui se présente comme un média d’information, indépendant de tout État, parti politique, mouvement religieux, censure à tour de bras toutes les informations qui dénoncent le terrorisme et les excès de l’islam.

Ils incarnent désormais la censure sur le site d’information blastingnews.com : de haut en bas, Yassine Khelfa, Bertille Duthoit, Angelo Paura, les mousquetaires qui “bâillonnent” l’information, protègent les islamistes et auteurs d’attentats via leur censure.

 

 

Créé par Andrea Manfredi fondateur de Supermoney.eu, avec un siège éditorial basé en Suisse, en 2013, le site d’information blastingnews.com se présente comme un média d’information, indépendant de tout État, parti politique, mouvement religieux. Début 2015 le site comptait déjà plus de 250 000 contributeurs pour 11 millions de visiteurs uniques répartis dans 34 pays à travers le monde

Voici quelques mois, l’équipe éditoriale européenne a été renouvelée, avec une nouvelle directrice des contenus, Bertille Duthoit (qui a remplacé Elliot Lallement), de nouveaux correcteurs à l’image de Yassine Khelfa, un nouveau directeur international des contenus, Angelo Paura, basé à New York. Et la censure des articles fournis a foudroyé des centaines de contributions, qui respectaient la chartre éditoriale.

Ce site, qui au départ, entendait traiter toute l’actualité sans parti pris, n’a pas consacré une seule ligne, dans sa page société, ou dans sa page opinions, à l’enseignant français décapité par un islamiste devant un collège.

En 2016, blastingnews.com a même reçu par Google DNI (Digital News Innovation Fund) une subvention de 0,5 million d’euros pour révolutionner l’information numérique dans toute l’Europe.

Acte 1

Le 7 octobre, à mon habitude, je fournis au site un article documenté sur la sortie du livre de Patrick Loiseau “L’islam nouveau cancer du mouvement ouvrier” (1). Cet article est immédiatement censuré par le nouveau correcteur Yassine Khelfa et par la directrice des contenus, Bertille Duthoit, 23 ans. Le même Yassine Khelfa tente de justifier sa censure et m’écrit dans un mail : “ce filtre flirte avec l’islamophobie dès le titre comme certains de vos articles flirtent avec la fachosphère et pourtant le site a été très sympa de vous laissez vous exprimer pour que vous puissiez bien vous sentir après ces publications…”. ( NDLR : les fautes d’orthographe et de français sont dans le message original).

À l’initiative de ce nouveau correcteur, je reçois un “mail punition” de la directrice des contenus qui stipule “ma mise à pied” : “en mettant en avant un livre publié aux éditions Riposte Laïque connu pour ses polémiques/propos d’extrême-droite ainsi que le titre “L’islam nouveau cancer du mouvement ouvrier”, vont à l’encontre de nos valeurs. Nous avons donc décidé avec l’équipe en charge du contenu de suspendre votre compte pour un mois. Nous espérons que vous comprendrez notre décision,”.

Acte 2

Dans les heures qui suivent, les deux larrons dépublient, en laissant néanmoins des coquilles vides, tous les articles consacrés à Pierre Cassen, aux attentats d’islamistes fanatiques, à des présentations de livres, à l’image de celui d’Élisabeth Schemla, journaliste à l’Obs. Voici une liste non exhaustive ci-dessous :

“L’islam nouveau cancer du mouvement ouvrier” de Patrick Loiseau aux éditions Riposte Laïque

https://fr.blastingnews.com/societe/2020/08/pour-pierre-cassen-lislamisme-constitue-une-menace-pour-la-republique-et-la-laicite-003187076.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2018/05/attaque-terroriste-de-paris-qui-est-khamzat-azimov-002564137.html

https://fr.blastingnews.com/opinions/2019/12/creuse-50-strasbourgeois-veulent-liberer-un-imam-palestinien-assigne-a-residence-003032780.html

https://fr.blastingnews.com/opinions/2019/12/lislam-lepreuve-francaise-par-la-journaliste-elisabeth-schemla-003034318.html

https://fr.blastingnews.com/opinions/2016/11/colere-en-ardeche-departement-submerge-par-le-chomage-et-les-migrants-001284167.html

https://fr.blastingnews.com/opinions/2016/12/depute-suisse-addor-refuse-que-la-justice-francaise-soit-la-police-mondiale-de-la-pensee-001300211.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2016/12/justice-riposte-laique-condamnee-a-paris-mais-relaxee-a-lyon-001330267.html

etc., etc.

Ma réponse est cinglante à l’égard de ces “pieds nickelés” du journalisme, via un mail : “J’en déduis que balstingnews.com cautionne, peut être via certains de ses correcteurs, l’islam politique, l’islam intégriste, et qu’il ne faudra plus publier d’articles sur les dérives des imams, sur de nouveaux attentats islamiques en France et à l’étranger, sur les mosquées où les imams prêchent la haine et l’assassinat… Merci de m’éclairer car j’entends réaliser un sujet sur la nouvelle politique “pro-islamique” de blastingnews.com sur un autre site.”.

J’attends toujours une réponse à ce jour.

Mais, pour se protéger le “cul”, les Khelfa et Duthoit osent publier cette “mise en garde” au-dessus de tous mes articles encore en ligne sur blastingnews.com :

Note des éditeurs : Plusieurs articles de Francis Gruzelle, auteur de cet article, ont été supprimés de la plateforme Blasting News. Les propos, sujets et idées partagés ne respectaient pas la ligne éditoriale de Blasting News.”

Mais quelle ligne éditoriale ? Celle de la soumission à une religion ? Celle de la dissimulation du terrorisme ?

Pauvre presse en ligne ! Pauvres internautes spoliés en matière d’informations objectives !

Acte 3

Irrités par ma réponse, Yassine Khelfa et Bertille Duthoit dépublient, dans les heures qui suivent, plusieurs dizaines d’articles n’ayant rien à voir avec l’islam (2).

Ayant sans doute découvert que le siège du site Riposte Laïque est basé en Israël et que le président est de confession juive, les deux “prédateurs de l’information” dépublient tous les articles consacrés à la défense d’Israël, au massacre des Juifs durant la Deuxième Guerre mondiale, à la Shoah.

https://fr.blastingnews.com/societe/2019/07/16-au-20-juillet-1942-13-152-juifs-arretes-a-paris-sur-ordre-de-la-prefecture-de-police-002950615.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2020/10/entre-deux-fleuves-ou-le-journal-du-camp-nazi-de-bergen-belsen-par-abel-j-herzberg-003209576.html

Acte 4

Plusieurs sites Facebook perpétuant la mémoire de la Shoah, ou des groupes internet rassemblant des Israélites ayant repris mes articles consacrés à la Shoah crient au négationnisme, à l’antisémitisme, et certains écrivent au directeur international des contenus de blastingnews.com à New York.

Le 9 octobre, une partie des articles consacrés à la Shoah sont remis en ligne par Angelo Paura, qui écrit aux plaignants : “Merci pour votre e-mail. Ces accusations de négationnisme sont étonnantes puisqu’elles vont à l’encontre de notre charte et de nos idées.
Veuillez nous excuser pour cette erreur, nous avons republié les articles demandés. Pour l’un deux, la photo a été modifiée car celle proposée montrait des images qui pouvaient être dérangeantes pour certains lecteurs. Merci de votre compréhension, Cordialement”

Ben voyons, “une erreur” de la part des correcteurs Yassine Khelfa et Bertille Duthoit ? Ou le fruit d’un antisémitisme primaire ?

Acte 5

J’écris au directeur international des contenus Angelo Paura : ” C’est du “foutage de gueule”, qui semble cautionné par la direction internationale de blastingnews.com. J’avais pris la décision  de cesser toute publication sur le site Blastingnews.com pendant une période de six mois. Comme lors des deux précédents incidents. Alors le mail de l’apprentie journaliste Bertille Duthoit (qui laisse supposer qu’elle n’a même pas de carte de presse) voulant supprimer “le permis de publier” pendant un mois, comme un flic sur le bord de la route suspend le permis de conduire, me fait doucement rigoler et vous caricature dans “le ridicule” et illustre votre énervement. Et explique sans doute l’hémorragie de contributeurs réguliers de bons niveau (les Sapin, Ektorama, Wallace, etc) et de correcteurs plus doués que ceux officiant aujourd’hui.

À ce stade, je doute de votre sincérité et de vos capacités. Car affirmer que mon article est “islamophobe”, alors que je suis resté très neutre sur le contenu et les extraits du bouquin, flaire la “mauvaise foi et les préjugés”. Pourquoi Amazon, la FNAC, Decitre, etc., qui ont, eux aussi une politique de lutte contre l’islamophobie, diffusent-ils sur leurs plateformes le nouveau livre “L’islam nouveau cancer du monde ouvrier” du marxiste Patrick Loiseau ?

Acte 6

De manière posée et réfléchie, je créé une plateforme sur Facebook intitulée

https://www.facebook.com/Stop-%C3%A0-la-censure-sur-blastingnewscom-et-les-informations-censur%C3%A9es-100610438513170/

Chaque lecteur peut ouvrir cette page et liker la page, pour marquer sa désapprobation face à cette censure idéologique, bête, stupide, qui fait crever à petit feu l’information et la réflexion, qui encourage les dérives islamiques.

Car embaucher des correcteurs au rabais décrédibilise blastingnews.com comme le révélait dernièrement le site mediapart :

https://blogs.mediapart.fr/eric-labbe/blog/310815/blasting-news-du-journalisme-pour-redacteurs-exploites-et-meprises


Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411

( 1 ) Livre de Patrick Loiseau : l’intégralité de l’article censuré par blastingnews.com

Titre : ‌”‌L’islam nouveau cancer du mouvement ouvrier” de Patrick Loiseau aux éditions Riposte Laïque

Marxiste et membre de la IVe Internationale pendant 40 ans, Patrick Loiseau veut aider les ouvriers avec L’islam nouveau cancer du mouvement ouvrier.

Les éditions Riposte Laïques publient un livre de 364 pages, intitulé L’islam nouveau cancer du monde ouvrier du militant syndical et marxiste Patrick Loiseau. Pour cet ancien ajusteur-fraiseur, qui totalise 40 ans de lutte ouvrière, “Les travailleurs et intellectuels ont dorénavant à lutter contre le capitalisme et contre le féodalisme islamiste…”. Drapeaux rouges sur fond vert, ce livre très argumenté est à la lutte ouvrière ce que Escort étudiante itinéraire d’une enfant gâtée témoignage de la mystérieuse Octopus est à l’exploitation de la femme et à la sociologie.

Patrick Loiseau ou l’islam dénoncé par un trotskyste

“Enfin un trotskiste islamophobe” écrit Pierre Cassen dans la préface du livre de Patrick Loiseau, en insistant sur un phénomène de la société française : “Par conformisme, par lâcheté, par peur d’être amalgamés à l’extrême droite, au racisme, des millions d’électeurs et de militants de gauche se sont couchés, lamentablement, devant le rouleau compresseur islamique”, comme précédemment dénoncé dans un ouvrage de Pierre Cassen Et la gauche devint la putain de l’islam .

L’ajusteur-fraiseur Patrick Loiseau fustige les admirateurs de la charia

L’ancien ajusteur-fraiseur explique que “le terme cancer a été choisi à dessein pour, d’une part, insister sur le risque mortel encouru par les organisations ouvrières et démocratiques qui méconnaissent les visées sous-tendues par les admirateurs du coran et de la charia et, d’autre part pour interpeller le fait qu’il eût fallu, pour ne pas tomber dans une situation de non-retour difficilement curable, ne pas créer un terrain favorable pour qu’il puisse y déposer son poison….”.

“L’Islam, c’est le refus de la laïcité” selon Patrick Loiseau

Patrick Loiseau préconise, au fil des 364 pages, que toutes les organisations et syndicats ouvriers “mettent en oeuvre la séparation totale avec l’islam sous toutes ses formes. Ce rappel à une laïcité totale de la République et du monde ouvrier trouve son apogée dans le chapitre III “Islam et laïcité”.

L’auteur rappelle que “L’islam porte en son sein le refus de la laïcité… D’ailleurs l’expression “Islam politique” est un parfait pléonasme parce qu’en islam, il n’y a pas de séparation entre l’orthodoxie (ce qu’il faut croire) et l’orthopraxie ‘ce qu’il faut faire)…. La loi et la foi sont les deux faces d’une même pièce”.

Patrick Loiseau décortique les prises de position du NPS et du P.T.

Et l’auteur décortique les prises de position de certains partis dits d’extrême gauche, notamment, page 147 et suivantes, le Nouveau parti anticapitalistique (NPS), et leurs prises de positions.

Et Patrick Loiseau effectue le constat argumenté que les formations révolutionnaires, citant au passage l’ex-Parti des travailleurs (P.T.) ont “toujours eu l’habitude de s’abstenir de commentaires ou de polémiques sur le terrain particulier de la religion, de l’homosexualité, des moeurs privées, etc pour se concentrer sur le seul objectif de la construction du Parti, de la défense du syndicalisme ouvrier, de la participation au terrain de la lutte des classes….”.

Francis GRUZELLE
Carte de presse 55411

 

 

(2) Quelques exemples parmi les dizaines d’articles dépubliés le 7 octobre par blastingnews.com, dont des articles consacrés à un curé malvoyant verbalisé à tort, ou dénonçant les proxénètes qui font “tapiner” des lycéennes mineures :

https://fr.blastingnews.com/opinions/2019/12/chine-digitale-les-cybermercenaires-a-la-conquete-de-la-planete-003036177.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2019/06/jura-un-cure-malvoyant-doit-payer-100-euros-a-la-sncf-pour-un-trajet-de-18-km-002936429.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2019/06/nicolas-hulot-le-liberalisme-est-incompatible-avec-les-enjeux-ecologiques-002937941.html

https://fr.blastingnews.com/opinions/2017/06/la-banque-postale-encore-a-lecoute-de-ses-fideles-clients-001753685.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2019/07/apres-les-diners-fastueux-et-lhlm-indu-francois-de-rugy-demissionne-002949219.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2018/05/lyon-le-sang-des-caids-pourrait-couler-002604073.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2018/05/le-milieu-marseillais-enterre-ses-morts-un-lyonnais-abattu-002608477.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2018/05/de-nombreux-coups-de-feu-echanges-dans-la-banlieue-de-lyon-2-gendarmes-blesses-002604507.html

https://fr.blastingnews.com/opinions/2016/11/colere-en-ardeche-departement-submerge-par-le-chomage-et-les-migrants-001284167.html

https://fr.blastingnews.com/opinions/2016/12/depute-suisse-addor-refuse-que-la-justice-francaise-soit-la-police-mondiale-de-la-pensee-001300211.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2016/12/justice-riposte-laique-condamnee-a-paris-mais-relaxee-a-lyon-001330267.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2018/05/meurtres-en-serie-a-marseille-des-kalachnikov-lyonnaises-002599045.html

https://fr.blastingnews.com/divertissement/2020/10/yvan-strelzyk-publie-par-les-editions-de-lastronome-sinspire-de-la-realite-du-nord-est-003210162.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2019/06/nicolas-hulot-le-liberalisme-est-incompatible-avec-les-enjeux-ecologiques-002937941.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2020/05/le-ministre-olivier-dussopt-arrose-par-la-saur-pour-lobtention-dun-marche-public-003142929.html

https://fr.blastingnews.com/politique/2020/02/municipales-beaucoup-de-listes-lrem-dissimulees-sous-une-etiquette-passe-partout-003067487.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2019/10/emplois-carrefour-assigne-en-justice-par-ses-salaries-pour-fraude-a-marseille-003008537.html

https://fr.blastingnews.com/opinions/2020/10/avec-escort-etudiante-itineraire-dune-enfant-gate-temoignage-de-la-mysterieuse-octopus-003204638.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2017/06/poste-en-ardeche-un-colissimo-de-la-poste-distribue-6-jours-apres-en-bretagne-001799089.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2018/05/mayonnaise-a-lhuile-de-moteur-pas-de-suite-judiciaire-pour-les-enseignes-conc-002579149.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2020/04/a-corbas-et-bourg-en-bresse-le-raid-arrete-2-membres-de-lultra-gauche-avant-un-attentat-003128449.html

https://fr.blastingnews.com/societe/2018/05/grenoble-en-passe-detre-la-capitale-de-la-prostitution-002579871.html

etc, etc ,

Chroniques d’un chaos annoncé

Tout est dans le titre. On va analyser des choses (qu'on ne peut pas décrire pour éviter la censure des algorithmes) mais on va aussi jeter un coup d'oeil sur l'actualité mais aussi sur le futur proche.
Nous sommes à moins de 2 mois avant la fin officielle de l'état profond aux États-Unis et le début du nettoyage du reste du monde. Venez nombreux et surtout, partagez.

https://www.youtube.com/watch?v=Xd9LEvmdrLI

Facebook, Twitter et YouTube suppriment les vidéos des médecins qui soutiennent l’hydroxychloroquine

Mimi Nguyen-ly, 29 juillet 2020

Facebook, Twitter et YouTube ont retiré les vidéos d’une conférence de presse tenue lundi par un groupe de médecins, en invoquant la violation de leur politique. Les membres de ce groupe, appelé « America’s Frontline Doctors » (docteurs américains en première ligne), s’étaient prononcés en faveur de l’hydroxychloroquine un médicament antipaludique, pour le traitement et la prévention du Covid-19, et ont affirmé qu’il y avait une désinformation généralisée sur ce médicament.

Lors de la conférence de presse devant la Cour suprême américaine à Washington, le groupe a également appelé à une « approche durable » de la pandémie du virus du PCC* (virus du Parti communiste chinois), en demandant instamment l’ouverture des écoles et des entreprises.

Facebook, Twitter et YouTube ont retiré la vidéo de 45 minutes de la conférence de presse plusieurs heures après qu’elle a été partagée sur les plateformes et visionnée par des millions de personnes, dont plus de 13 millions seulement sur Facebook.

Un porte-parole de Facebook a déclaré qu’il avait retiré la vidéo « parce qu’elle contenait de fausses informations sur les traitements et les remèdes contre le Covid-19 » et a déclaré à CNN qu’il montrerait à la place « des messages dans le fil d’actualité aux personnes qui ont réagi, commenté ou partagé des informations erronées nuisibles liées au Covid-19 que nous avons supprimées, les reliant à des mythes démystifiés par l’Organisation mondiale de la santé ».

Sur Twitter, le président Donald Trump avait partagé deux vidéos du sommet. Mais dès mardi matin, Twitter a retiré les vidéos. Twitter a également retiré une vidéo de la conférence de presse partagée par Breitbart News. Un porte-parole de Twitter a déclaré à CNN que les mesures prises étaient conformes à sa politique de « désinformation ».

YouTube a également retiré la vidéo de la conférence de presse, remplaçant les images par un message disant que le contenu avait été retiré pour « violation des lignes directrices de la communauté de YouTube ».

La conférence de presse faisait partie d’un sommet de deux jours que le groupe organise, appelé « Sommet des blouses blanches », au Capitole. Selon le site web du groupe récemment formé, l’objectif du sommet est, en partie, de « créer l’opportunité pour les médecins de première ligne de parler directement au peuple américain », et « d’éduquer et d’informer les membres du Congrès, qui ont également fait l’objet d’une désinformation généralisée ».

Lors de la conférence de presse, le Dr Stella Immanuel, médecin de soins primaires au Rehoboth Medical Center de Houston, Texas, a déclaré avoir traité plus de 350 patients avec le Covid-19 en utilisant une combinaison d’hydroxychloroquine (HCQ), de zinc et d’azithromycine, et a qualifié la combinaison de médicaments de « remède ».

« Au cours des derniers mois, après avoir pris en charge plus de 350 patients, nous n’en avons pas perdu un seul. Ni un diabétique, ni une personne souffrant d’hypertension, ni une personne asthmatique, ni une personne âgée. Nous n’avons pas perdu un seul patient », a-t-elle déclaré.

« Je suis venue ici à Washington D.C. pour dire qu’ ‘aux États-Unis, personne n’a besoin de mourir' », a-t-elle ajouté.

Dr Immanuel, qui est également un ministre chrétien de la délivrance avec un compte YouTube actif montrant son travail dans les « ministères de la puissance du feu », a critiqué les études qui ont suggéré que l’hydroxychloroquine est inefficace dans le traitement du Covid-19, qualifiant ces études d’ « imposture scientifique » soutenue par des « entreprises pharmaceutiques mensongères ».

« Je veux savoir qui parraine cette étude. Je veux savoir qui est derrière tout ça parce que [si ce qu’ils disaient était vrai], il m’aurait été impossible de traiter 350 patients et plus : personne n’est mort et ils vont tous mieux », a-t-elle déclaré.

Elle a ensuite affirmé que « toute étude qui dit que l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas est une imposture scientifique », ajoutant : « Je veux qu’ils me montrent en quoi cela ne fonctionne pas. »

« C’est ce que je dirais au sujet de toutes ces études, elles comportaient des doses élevées, elles ont été données à de mauvais patients. Je les appellerai des impostures scientifiques. […] Comment serait-ce possible que mes 350 patients soient tous vivants et qu’en même temps, quelqu’un puisse affirmer que cela ne fonctionne pas ? Je vous le dis à tous, toutes ces études sont une imposture scientifique », a-t-elle dit.

[...]

 

article complet: https://fr.theepochtimes.com/facebook-twitter-et-youtube-suppriment-videos-medecins-qui-soutiennent-lhydroxychloroquine-1477718.html

Attaques, insultes, harcèlement… Eric Zemmour dérange

Une atmosphère lourde pèse sur la liberté d’expression. Ces dernières semaines, Eric Zemmour a été victime de plusieurs attaques, physiques ou verbales, à un rythme qui semble s’accélérer. Certes, l’écrivain dissident a toujours eu à essuyer quelques insultes de militants d’extrême-gauche ou de la bien-pensance, mais une espèce de routine semble s’installer. Une routine inquiétante.

Revenons sur toutes les attaques qu’il a subies ces derniers mois:

L’épisode le plus marquant fut son agression par une racaille fin avril, où Eric Zemmour avait été traité de «gros fils de pute». Son agresseur lui avait même craché au visage, ce qui en période de Covid-19, équivaut à une véritable agression physique. L’agresseur s’était tout de suite vanté sur les réseaux sociaux, s’étant filmé lui-même, avant quelques jours plus tard de s’excuser de manière pitoyable (après que l’agression ait fait un tollé). Eric Zemmour a au moins bénéficié d’un grand nombre de soutiens suite à cette agression, de la part de personnalités venant de la gauche comme de la droite.

Le 2 juin, c’est l’avocat d’Eric Zemmour, Maître Olivier Pardo, qui a reçu des menaces de mort suite à son interview dans Valeurs Actuelles. «On va lui faire un Charlie Hebdo, on va le tuer, on va tous vous tuer», ces propos ont été proférés par téléphone au cabinet parisien de l’avocat…

Puis, le 12 juin, le numéro de téléphone d’Eric Zemmour avait été diffusé sur les réseaux sociaux. L’éditorialiste avait alors recu plus d’une centaine de messages injurieux, allant jusqu’à des menaces de mort sur lui et sa famille.

Eric Zemmour avait été interpellé mi-mai par une femme voilée au cri de «Vive l’islam, Vive Allah». L’essayiste se promenait tranquillement dans la rue et a répondu par un petit rire.

Le média islamiste Al-Jazeerra s’en est pris à Eric Zemmour avec «sa tête de serveur kabyle» dans une vidéo où l’argumentation frôle le néant

Le rappeur Booba a interpellé Eric Zemmour sur Twitter concernant des propos de ce dernier sur George Floyd : « Un jour faudra qu’on discute Eric ». Puis, il a diffusé sur Instagram un message beaucoup plus long, dans un français approximatif : « Il s’appel (sic) Eric Zemmour personne va l’arrêter ou c’est comment?!!! Combien de temps y vont nous humilier publiquement sans que personne ne dise rien. Le gars fait tous les plateaux télé pour cracher son venin contre les noirs les arabes le rap le voile l’islam…. À croire que c’est un agent du gouvernement. Et en plus il est vilain!!! ». Le rappeur a deux semaines plus tard relayé une pétition visant à interdire Eric Zemmour des médias.

Une pétition lancée par… Priscillia Ludosky. La gilet jaune souhaite explicitement «bannir Eric Zemmour des médias». L’éditorialiste avait d’ailleurs déclaré que le Mouvement des Gilets Jaunes était phagocyté et infiltré par l’extrême-gauche. Comme quoi il n’avait pas tort et d’autres exemples le montrent (Jérome Rodrigues, Maxime Nicolle, etc.).

Des chants injurieux avaient été scandés contre Eric Zemmour lors d’une manifestation antiraciste le 13 juin. Les manifestants criaient à plusieurs reprises : «Zemmour, on t’encule».

Citons enfin qu’un islamiste va porter plainte contre lui, que les Verts l’ont dénoncé au CSA et qu’un procès se tient actuellement contre lui pour ses propos lors de la Convention de la Droite. 10 000 euros sont requis contre Eric Zemmour. Également, Hapsatou Sy avait totalement relativisé son agression fin avril dans une vidéo restée célèbre pour l’argumentation solide de la chroniqueuse (Grosse ironie).

Eric Zemmour a lui-même déclaré être habitué à ces insultes et même à ces agressions… Mais nous sommes bien obligés de reconnaître que le rythme auquel tout ceci arrive s’est accéléré. La fracture de la société française est actée et tous les camps sont de plus en plus irréconciliables.

Rappelons qu’en l’espace de quelques semaines, une gendarme de 25 ans à été fauchée et volontairement tuée par un chauffard, un chauffeur de bus a été assassiné par des racailles à Bayonne, une jeune fille de 23 s’est fait fauchée et trainée sur 800m par 2 racailles (pour une banale altercation). Elle en est morte. Un jeune de 23 ans s’est fait poignardé par un homme tout juste sorti de prison et lui aussi en est mort. Ces cas ne représentent malheureusement que la pointe de l’Iceberg des violences qui ont lieu dans notre société. Ces violences sont le plus souvent commises par des racailles issues de la contre-société islamisée qu’on laisse se développer en France depuis des décennies.

Plusieurs d’entre vous conseillent d’ailleurs à Mr. Zemmour de prendre un garde du corps. Espérons que les évènements récents poussent celui-ci à le faire,

-Dissident Officiel

La police lui rend visite à son domicile pour un commentaire sur Facebook

Cet homme a eu un débat politique sur Facebook et le lendemain, la police de la pensée s'est présentée à sa porte à cause de ses commentaires "offensants" et d'une communication "malveillante"!
L'"offenseur" nie avoir fait des commentaires malveillants. Il n'a pas été arrêté mais pourrait bien se retrouver au tribunal !

Traduction automatique disponible sur Youtube

Le compte de Trump suspendu tandis qu’une vague de censure se propage sur Internet interdisant les voix pro-Trump

Tim Pool

Twitch a déclaré que le discours de Trump en 2016 et le récent rassemblement de Tulsa avaient violé ses règles.

Aujourd'hui, Reddit a banni plus de 2 000 subreddits différents, dont The Donald. The Donald était l'un des points de rassemblement les plus importants, sinon le plus important, pour les partisans de Trump. Ce qui est pourtant curieux, c’est qu’ils avaient quitté Reddit il y a 4 mois et Reddit les a bloqués quand même.

Cela signifie que Reddit applique des règles rétroactivement, et donc que personne ne peut être sûr de ne pas violer les règles un jour.

Pendant ce temps, la fraude dans le vote par correspondance est un vrai problème. Moi-même, j'ai reçu un bulletin de vote par correspondance pour quelqu'un qui ne vit chez moi.

Tous les freins sont sortis pour arrêter Trump.

Traduction libre Cenator

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Voir aussi en français:

https://www.journaldemontreal.com/2020/06/29/comportements-haineux-twitch-et-reddit-sattaquent-a-trump-et-a-ses-partisans-1

https://www.huffingtonpost.fr/entry/twitch-et-reddit-bannissent-donald-trump-et-certains-de-ses-fans_fr_5efa5172c5b6acab2845a3ca

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