Argovie : Une centaine d’adolescents et jeunes adultes prêts se battre dans un centre commercial

"Nous avons dû nous enfermer dans un magasin et attendre les Securitas."

Une centaine de jeunes ont été impliqués dans un conflit vendredi au centre commercial de Spreitenbach. Les jeunes ont également essayé d'entrer dans les magasins fermés à clé.

Dans le centre commercial de Spreitenbach AG, plusieurs affrontements entre une centaine de jeunes se sont produits le vendredi soir. Selon la police cantonale argovienne, ces affrontements ont eu lieu tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du bâtiment.

 

 

Selon un lecteur-reporter, les jeunes ont également essayé d'entrer dans les magasins fermés à clé. "Plusieurs magasins ont déjà fermé à 20h au lieu de 22h à cause des émeutes", explique le lecteur-reporter, dont la partenaire travaille dans le centre commercial. Le vendredi, les magasins étaient censés rester ouverts deux heures de plus en raison du Black Friday.

Données personnelles enregistrées

Les employés de diverses boutiques se sont enfermés dans les magasins pour leur propre sécurité. Là, ils ont dû attendre 45 minutes et ont finalement été escortés par les Securitas jusqu'au parking souterrain, rapporte le lecteur-reporter.

On ne sait pas encore pour quelle raison le conflit entre les jeunes a éclaté.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

20Minuten.ch


Une centaine d’adolescents et jeunes adultes étaient près d’en venir aux mains vendredi soir dans un centre commercial de Spreitenbach (AG). Appelées sur les lieux, des patrouilles de police ont été accueillies par des jets de bouteilles et autres objets.

Il y avait de l’électricité dans l’air, beaucoup d’agressivité, ont constaté les agents à leur arrivée.

[...]

20Min.ch

Argovie : un Erythréen poignarde son épouse

Une Erythréenne de 34 ans victime de plusieurs coups de couteau a été secourue par la police dans la nuit de samedi à dimanche à Rombach, dans le canton d’Argovie.

[...]

En raison de la situation, les secours ont rapidement compris que l’Erythréenne avait été victime de violences. Son mari, également érythréen, s’est rendu plus tard à la police.

Ce dernier est soupçonné d’avoir commis les violences. Il a été arrêté. Un couteau a été saisi dans l’appartement.

20min.ch

Reinach : la plus grande mosquée d’Argovie se construirait grâce à l’argent du Koweit, par le biais d’une organisation albanaise. Le maire PLR est enthousiaste.

À Reinach, la construction de la plus grande mosquée d'Argovie a commencé. Saïda Keller-Messahli, spécialiste de l'Islam, critique le fait que l'argent provient de manière cachée du Koweït.

Il y a deux semaines, les travaux ont commencé à Reinach pour la plus grande mosquée du canton d'Argovie. Le client, la communauté albano-islamique, a reçu le permis de construire en un temps record de sept mois.

Martin Heiz (PLR), maire de la municipalité, avait décrit le projet appelé "Tulipan" comme "valant absolument la peine d'être soutenu".

A présent, Saïda Keller-Messahli a pris la parole pour faire une déclaration. Née en Tunisie, elle est l'une des plus éminentes spécialistes de l'Islam en Suisse. Elle est l'auteur du livre "Islamistische Drehscheibe Schweiz" et présidente du Forum pour un Islam progressiste.

Représentant d'un Islam archi-conservateur

Le projet de construction à Reinach appartient à la nouvelle organisation faîtière DAIGS (Dachverband Albanisch Islamische Gemeinschaft Schweiz). La mosquée "Tulipan" prévue coûtera cinq millions de francs.

Saïda Keller-Messahli accuse les politiciens locaux de naïveté. Les responsables politiques ont été rassurés par la réponse habituelle des fonctionnaires musulmans: L'argent pour la construction de la mosquée provient des dons des membres et aucun argent ne vient de l'étranger. "Comme si la communauté albanaise en Suisse était une communauté super-riche", écrit Keller-Messahli.

Les véritables financiers sont restés discrètement cachés. Selon les informations officielles de l'autorité turque Diyanet, une "association turco-islamique" est également située dans le même bâtiment à Reinach. Cependant, l'association n'a été enregistrée nulle part.

Le Koweït a déjà financé d'autres mosquées

On a déjà vu ailleurs qui finance de tels bâtiments en Suisse. A Wil (Saint-Gall), Netstal (Glaris) et Plan-Les-Ouates (Genève), des mosquées de l'organisation faîtière albanaise ont été construites avec des millions venant de Koweïtiens. "Un pays qui, comme le Qatar, est particulièrement soucieux de soutenir les réseaux des Frères musulmans", prévient Saïda Keller-Messahli.

L'Association des mosquées albanaises de Suisse UAIS et son organisation faîtière nouvellement créée DAIGS sont les représentants d'un Islam archi-conservateur.

Les imams des mosquées DAIGS sont connus pour inviter des prêcheurs radicaux et soutenir ouvertement les acteurs salafistes au Kosovo. "Ils ont souvent promis de ne plus inviter de prêcheurs radicaux", a déclaré l'experte en islam.

L'Argovie se classe à la 4e place parmi les cantons munis de mosquées

Après les cantons de Zurich, de Saint-Gall et de Berne, le canton d'Argovie, avec environ 25 mosquées, occupe la quatrième place, tout comme les cantons de Bâle, en termes de nombre de mosquées : environ la moitié des mosquées en Argovie sont soit turques, soit albanaises. Il y a également deux mosquées bosniaques.

"Le Qatar finance et la Turquie agit", a poursuivi Keller-Messahli. Dans les Balkans en particulier, la Turquie d'aujourd'hui se rattache à un passé ottoman transfiguré et réanime les fantasmes correspondants, dit-elle.

La tulipe figure également sur les armoiries des Ottomans. Jusqu'à aujourd'hui, elle est la fleur nationale de la Turquie et ses six feuilles représentent les six croyances islamiques.

En outre, Keller-Messahli critique le fait que le projet de construction de la mosquée de Reinach ne soit pas publié publiquement. Le projet n'est pas non plus abordé avec la population, mais il est caché et peut seulement être trouvé en albanais.

Cela contraste fortement avec les propos du maire de la municipalité, M. Martin Heiz, qui a parlé avec enthousiasme d'un "pont entre les religions et les cultures" et d'une "minorité qui veut exprimer sa reconnaissance au grand public".

Selon l'Aargauer Zeitung, les documents de demande de permis de construire ne contiennent aucune information sur la capacité des pièces, c'est-à-dire sur le nombre de personnes qui peuvent y prendre place. La salle polyvalente avec scène fait 506 mètres carrés. Il y a également une galerie de 220 mètres carrés.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Nau.ch


Rappels :

Une Argovienne choquée après avoir été agressée sexuellement par un demandeur d’asile afghan : « J’espère qu’il ne sortira jamais de prison! »

Argovie : Ils urinent dans l’eau bénite de l’église du village

Argovie : un requérant d’asile algérien s’introduit en douce chez une femme pour la violer

Attaque sur une enfant de 4 ans à Brugg (Argovie) : l’Irakien vivait de l’aide sociale et avait déjà fait de la prison « Il m’aurait probablement battue à mort »

Argovie : Un Syrien de 14 ans brise la mâchoire de son enseignante « Il aurait demandé aux filles de mieux s’habiller au nom d’Allah »

 

Argovie : Un gang de filles sème la terreur à Reinach (Vidéo)

Une vidéo montre une écolière argovienne se faire attaquer par plusieurs camarades. L’ado à la tête du gang se trouve sous le coup d’une procédure pénale. On la frappe, on lui donne des coups de pied dans le dos et on lui tire les cheveux. Une vidéo montre plusieurs filles s’en prendre à une ado du même âge à Reinach (AG).

 

 

Des recherches du média alémanique montrent que le gang de filles sème la terreur dans la localité argovienne depuis plusieurs mois déjà. Elles auraient cassé le nez à une de leurs victimes et menacé plusieurs personnes avec un couteau. Contacté, le Ministère public argovien confirme qu’une procédure pénale pour voies de fait vise la cheffe présumée de ce gang. Elle risque au maximum 10 jours de travaux d’intérêt général, selon le droit pénal des mineurs.

[...]

20min.ch / Telem1.ch / Nau.ch

Suisse : un Erythréen condamné à 15 ans pour avoir voulu tuer sa femme enceinte

Le Tribunal fédéral confirme la peine de 15 ans de réclusion infligée à un Erythréen par la Cour suprême du canton d’Argovie. Lors d’une crise de jalousie, l’homme avait tenté de tuer sa femme enceinte. Il a été condamné pour tentative de meurtre et tentative d’interruption de grossesse.

Le condamné avait poignardé sa femme à plusieurs reprises, il l’avait frappée à la tête avec une bouteille de whisky et avait tenté de l’étouffer avec un coussin. Il soupçonnait, à tort, la malheureuse d’avoir couché avec un autre homme et que son enfant n’était pas de lui.

[...]

20min.ch


Note : Tous ces Érythréens ne se trouveraient pas en Suisse si notre administration, la gauche et Burkhalter avaient protégé le peuple suisse. Visiblement, leur devoir envers notre peuple et pour lequel ils sont payés ne vaut plus rien à leurs yeux.

 

Rappels :

Près de 90% des Erythréens ayant obtenu l’asile en Suisse touchent l’aide sociale

Suisse. Argovie. Une Commune totalement dépassée par la violence d’un jeune réfugié Érythréen.

« Réfugiés persécutés » d’Erythrée: Ils retournent en vacances chez eux. Comment la Suisse se fait gruger.

Suisse: Ada Marra et ses petits copains de gauche s’opposent à l’expulsion des requérants Erythréens

Sommaruga exclut de renvoyer les Érythréens

Lorsque Burkhalter prend la défense des Erythréens sur le dos du peuple suisse

Réfugiés mineurs de Somalie et d’Erythrée en Suisse, les éducateurs n’en peuvent plus : les migrants réclament même du Dolce & Gabbana

Suisse : les cantons et les communes devront faire des économies pour couvrir les dépenses de l’asile « Les Érythréens n’ont pas l’habitude de travailler huit heures par jour »

Bâle-Ville : 2 Érythréens attaquent les passants.

Vaud : un Érythréen traquait des ados sur le web et les menaçait

Les Suisses paient 1,56 milliard par an rien que pour les Érythréens

Youtube bloque une vidéo de l’UDC dénonçant les crimes des Érythréens en Suisse

Égorgeur en série érythréen de Birmingham : «Aucun élément ne laissait suspecter un crime ‘terroriste’ ou haineux»

 

Suisse : des jeunes des banlieues lyonnaises menaient des raids pour voler des voitures de sport

Ce sont de véritables raids nocturnes en Suisse qu’ont menés des grappes de jeunes des banlieues lyonnaises en automne 2016, puis à nouveau au printemps 2019, s’emparant de luxueuses voitures de sport et d’accessoires de mode estampillés de grandes marques automobiles.

Un trentenaire était renvoyé mardi devant le Tribunal du Nord vaudois pour avoir pris part à ce tour de Suisse des garages, visitant les cantons de Vaud, de Saint-Gall, de Berne, du Valais, de Bâle-Campagne et d’Argovie.

[...]

24Heures.ch


Rappels :

Reportage en Suisse : « Tout va mieux à la piscine, sans les fauteurs de troubles français », déclare un agent de sécurité

Nouveau braquage de fourgon déjoué en Suisse : Mourad, Mounir et Abderrazak interpellés

Suisse : cinq jeunes femmes frappées « avec sauvagerie » par d’une demi-douzaine d’individus, « des Maghrébins de cité venant de France » (MàJ)

France : 8 braqueurs issus de la communauté des gens du voyage étaient sur le point de sévir en Suisse

Criminalité en Suisse : en baisse, mais plus violente, surtout dans les zones frontalières. « Pas de quoi s’alarmer » pour le Conseil fédéral

Une Argovienne choquée après avoir été agressée sexuellement par un demandeur d’asile afghan : « J’espère qu’il ne sortira jamais de prison! »

Rita M. (25 ans) de Wettingen n'oubliera jamais cette nuit-là : En rentrant chez elle, elle a soudain été suivie par un homme - jusque dans sa propre maison! Là, le demandeur d'asile afghan Jamal T. (22 ans) l'aurait menacée avec un objet dangereux et l'aurait agressée sexuellement. La police cantonale argovienne l'a arrêté le matin même.

"Je ne veux rien dire au sujet du crime", déclare Rita M. au journal Blick, visiblement inquiète au téléphone. Elle raconte seulement que l'homme se trouvait dans le même bus. Elle ne raconte pas comment l'homme est entré dans son appartement ni avec quoi il l'a menacée. "J'espère qu'il ne sortira jamais de prison."

Il s'agirait de Jamal T. 

Les sévices dans l'appartement de la victime ont dû être violentes. Le ministère public a ouvert une procédure à son encontre pour soupçons de tentative de viol, d'agression sexuelle, de menace et de lésions corporelles simples multiples.

Selon les investigations du Blick, l'arrestation a eu lieu à Würenlos (Argovie). Dans un ancien bâtiment où sont hébergés les demandeurs d'asile. L'Afghan Jamal T.* (22 ans) serait en Suisse depuis quelques années déjà et aurait vécu auparavant dans un hébergement de la commune de Frick (Argovie).

Ses voisins de Würenlos connaissent bien Jamal T. - et le critiquent vertement. "Il aurait déjà touché des jeunes femmes du village", explique Roman Schlumpf (21 ans), qui a assisté à l'arrestation. "Pendant la journée, il saluait amicalement. Mais le soir, quand il se promenait ivre, il causait des problèmes", poursuit Roman Schlumpf. Jamal T. a également arraché des branches de thuya et les a jetées devant la porte d'entrée. "C'était après avoir essayé de voler de l'alcool dans un kiosque à journaux voisin et s'être enfui chez nous."

L'exploitant du kiosque confirme. "Je l'avais attrapé et je lui avais arraché l'alcool des mains", raconte Thamilnesan Ganesh (50 ans). Jamal T. s'était enfui. "Comme il s'était excusé le lendemain, j'avais décidé de ne pas porter plainte." Thamilnesan Ganesh confirme également toutes les autres déclarations de Roman Schlumpf - et ajoute : "S'il a vraiment fait cela à Wettingen, il doit être sévèrement puni et le cas échéant, il doit être expulsé". Dans le quartier, on ne veut plus jamais voir Jamal T.

De toute façon, il n'y sera plus pour un certain temps : Le tribunal a approuvé la demande du ministère public et a placé Jamal T. en détention provisoire pour une durée de trois mois.

* Nom modifié

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à Daniel Brand

Argovie : «Une demi-heure de file pour acheter 50 ‘têtes de maure’»

Après l’annonce de la Migros de vouloir virer de son assortiment des têtes de choco controversées, de nombreuses personnes se sont rendues directement chez le producteur pour s’en procurer.

«Une personne est repartie avec sept boîtes de 50 têtes de choco chacune», raconte vendredi un lecteur alémanique. Le jeune homme de 24 ans explique que de nombreuses personnes se sont rendues à la fabrique Dubler, située à Waltenschwil (AG), pour acheter les confiseries baptisées «Mohrenköpfe» (têtes de maure), que la Migros a décidé de virer de ses rayons. Une décision prise à cause du caractère controversé du nom de cette pâtisserie.

[...]

20min.ch


Rappel :

Hystérie : Migros retire de la vente des têtes de choco au nom de « l’antiracisme »

Argovie : les anciens bénéficiaires de l’aide sociale devront attendre 10 ans pour demander la naturalisation

Les Argoviens ont approuvé dimanche un durcissement des conditions d'octroi de la nationalité suisse. La loi approuvée par le parlement cantonal a été très clairement acceptée par 64,8% des votants. La participation s'est élevée à 38%.

La nouvelle législation prévoit notamment que les anciens bénéficiaires de l'aide sociale doivent attendre dix ans après le dernier soutien financier de l'Etat pour déposer une demande de naturalisation. Des exceptions sont prévues pour les cas de rigueur.

La Confédération et de nombreux cantons ont fixé ce délai à trois ans. Un délai de dix ans est déjà en vigueur dans le canton de Berne. A Bâle-Campagne et en Thurgovie, le délai est de cinq ans.

RTS

Nos remerciements à Info et à Patrick Payerpacher

Suisse : le Syrien qui avait brisé la mâchoire de sa professeure bénéficie de cours de boxe. Près de 8’000 francs par mois à la charge des contribuables. [MàJ]

Nous parlions déjà de cette agression ici.


Mise à jour 27 janvier 2020

Le Blick a modifié son article en conséquence. Visiblement, le décompte du journal était inexact. Le montant est désormais de 8'000 francs suisses par mois.

 

Ancienne version :

 

Nouvelle version :

Aperçu de l’image

 

Blick.ch

 


En juin dernier, le jeune Syrien (âgé 14 ans) avait brisé la mâchoire de son institutrice. A présent, il bénéficie d'un encadrement spécial avec entrainement à la boxe afin de réduire son agressivité. Montant des coûts : près de 8'000 francs par mois. A cela s'ajoutent les frais scolaires d’un montant similaire.

En juin dernier, un Syrien, alors âgé de 14 ans, a agressé son institutrice à Möriken-Wildegg (Argovie) en lui assénant un coup de poing. Le coup était si violent qu'il lui a cassé la mâchoire.

Au départ, l'élève agressif n'a pas pu trouver de place dans une classe. Après une courte période de détention provisoire, un encadrement spécial a été mis en place pour l'élève à problèmes - pour environ 8 000 francs par mois, comme le rapporte le journal "Schweiz am Wochenende".

L'adolescent agressif a été intégré dans la structure de jour pour jeunes Türöffner "Work and Box" à Möriken-Wildegg. En plus des cours, il y bénéfice d'un entrainement à la boxe, ce qui suscite aujourd'hui de vives critiques.

L'experte en post-éducation Sefika Garibovic affirme dans le journal "Schweiz am Wochenende" qu'avec la boxe, les jeunes prédisposés à la violence sont uniquement formés pour commettre de futurs passages à tabac.

[...]

Coûts mensuels : un peu moins de 16 000 francs

La famille vit en Suisse depuis cinq ans et ne parle apparemment pas encore allemand. Doris Iten (58 ans) membre de l'UDC et du Grand Conseil d'Argovie a voulu savoir si les parents participaient à un programme d'intégration et comment ils seraient tenus responsables. Selon le rapport, les parents ont suivi des cours d'allemand obligatoires. Le conseil d'Etat reste muet concernant leurs compétences en langue allemande.

L'encadrement spécial de l'atelier pour jeunes Türöffner coûte 7'918 francs par mois. En outre, selon le journal "Schweiz am Wochenende", 200 francs par jour sont nécessaires pour la structure quotidienne ainsi que pour la nourriture (15 francs par jour), les cours scolaires (750 francs par semaine) et un entraînement mental pour le contrôle de l'agressivité (142 francs par semaine). Au total, cela représente près de 16'000 francs par mois.

À cela s’ajoutent des coûts estimés à 15'000 francs concernant une expertise psychiatrique médico-légale à Zurich. Ce rapport doit servir de base aux décisions prises dans le cadre des procédures pénales pour mineurs concernant le lieu où le mineur ira à l'école à l'avenir.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à Patrick Payerpacher et à Daniel Brand

 

Argovie : Ils urinent dans l’eau bénite de l’église du village

A l'entrée de chaque église catholique, le bénitier accueille les fidèles qui s'y purifient symboliquement. Mais dans l'église catholique Guthirt à Aarburg (AG), aucune goutte du liquide sacré n'est disponible pour le moment.

Et pour cause, des inconnus ont uriné dans l'eau bénite de l'église en décembre, comme le rapporte «Tele M1». Le diacre et responsable de la communauté de la paroisse de Guthirt, Markus Stohldreier, l'a confirmé à «20 Minuten»: «En 36 ans de théologie, je n'ai jamais rien vécu de comparable.»

[...]

20min.ch

 

Argovie : un requérant d’asile algérien s’introduit en douce chez une femme pour la violer

Un homme est entré dans l'appartement d'une femme seule dans la nuit de dimanche à lundi. Il a essayé de l'agresser sexuellement.

[...]

Plusieurs officiers se sont rendus sur les lieux, où ils ont débusqué l'assaillant présumé, caché dans un buisson. Il s'agit d'un requérant d'asile algérien [...].

20Minutes.ch

Attaque sur une enfant de 4 ans à Brugg (Argovie) : l’Irakien vivait de l’aide sociale et avait déjà fait de la prison « Il m’aurait probablement battue à mort »

Nous parlions de cet individu déjà ici :

Brugg (Argovie) : un Irakien blesse grièvement sa fille de 4 ans en la jetant plusieurs fois à terre « La fillette a vomi du sang »

Le 20 Minutes romand a tôt fait de rétrograder l'article sur ce sujet (l'article ne se trouve même plus sur la page principale), en évitant d'ailleurs de stipuler que l'Irakien est bénéficiaire de notre aide sociale, qu'il ne veut pas travailler et qu'il avait déjà été condamné. A la place, un article anti-Brexit trône en Une.

C'est cela que les médias romands appellent "informer".

**********

Un père irakien (50 ans) a gravement blessé sa fille de quatre ans à la gare de Brugg samedi après-midi. Un témoin oculaire a déclaré au 20 minutes : "La femme et l'homme se disputaient déjà quand ils traversaient le passage souterrain. Puis il a jeté l'enfant par terre."

Claudia B.* (38 ans) de Brugg est la mère de la fille. Elle est toujours sous le choc au lendemain de l'incident : "Tout est allé si vite." La Suissesse voulait prendre le bus en compagnie de sa mère et de sa fille. Après un arrêt, son ancien ami H. K.* l'a rejointe. "Je ne sais pas comment il  a pu savoir qu'on prenait ce bus."

Par la suite, son ex-compagnon s'est assis avec eux. "Il voulait que notre fille aille vers lui. Mais elle ne voulait pas", déclare la mère. Mais au lieu d'en rester là, le père a essayé à plusieurs reprises de convaincre la fillette. "Il m'a même accusé de l'avoir influencée. [...] D'autres insultes ont suivi.

Le père a ensuite remis à B. un sac avec une boîte, mais comme elle ne savait pas ce qu'elle contenait, elle a posé le sac sur le sol. Pendant ce temps, son ex-compagnon a attrapé sa fille et l'a jetée plusieurs fois sur le sol. "Je n'ai pas réalisé la situation jusqu'à ce que ma mère crie: 'Lueg mol, lueg mol !' [NDLR : "Regarde voir, regarde voir"]

[...]

Les deux femmes se trouvaient en état de choc. "Heureusement, le personnel de la pharmacie a pris ma fille et l'a cachée", déclare B.

"Je suis également très reconnaissante envers les deux hommes pour leur intervention, sinon il m'aurait probablement battue à mort."

 

Son ex-compagnon a encore essayé de s'échapper, mais il a été retenu par deux hommes jusqu'à l'arrivée de la police. En raison des blessures, sa fille était inconsciente et vomissait du sang.

Dimanche, la mère a déclaré que sa fille allait un peu mieux : "Entre autres choses, elle a subi une triple fracture du crâne." Bernhard Graser, porte-parole de la police cantonale argovienne, confirme que la jeune fille n'est pas en danger de mort. Pour la mère, une chose est certaine : "Je ne lui pardonnerai jamais ce qu'il a fait à notre fille. J'espère qu'il ira en prison et que nous n'aurons plus jamais à le revoir."

Selon B., ce n'est pas la première fois que l'Irakien est violent. "Il y a environ trois semaines, il a frappé ma mère devant notre fille. Il la déteste énormément. Puis il est venu vers moi pour me gifler." Par conséquent, B. a rompu tout contact avec lui et ne l'a pas laissé voir leur fille. La mère pense que cet incident pourrait aussi être la raison pour laquelle la fillette ne veut plus voir son père.

Selon B., l'Irakien vit en Suisse depuis 2000. Il est titulaire d'un permis de séjour B et vit de l'aide sociale. Elle l'a rencontré il y a environ cinq ans et demi - mais la relation a pris fin il y a deux ans. Depuis lors, la mère a la garde exclusive. Selon B., il aurait déjà commis au moins un délit avant leur relation.

"Pour autant que je sache, il a déjà fait de la prison. De plus, il n'a jamais essayé de trouver un emploi pendant notre relation. Je l'ai partiellement soutenu financièrement".

 

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

20Min.ch (en allemand)

Nos remerciements à Mariek

Brugg (Argovie) : un Irakien blesse grièvement sa fille de 4 ans en la jetant plusieurs fois à terre « La fillette a vomi du sang »

Un Irakien âgé de 50 ans a grièvement blessé sa fille de quatre ans samedi après-midi. L’enfant a été héliportée à l’hôpital. Une enquête a été ouverte.

Samedi après-midi, une grande opération a eu lieu à la gare de Brugg AG. Selon la police cantonale d'Argovie, un Irakien de 50 ans a rencontré la mère suisse de l'enfant peu avant 15 heures dans le centre commercial Neumarkt. Il a gravement blessé sa fille de quatre ans.

Le crime a eu lieu dans le passage inférieur de la gare de Neumarkt. Un adolescent de 14 ans, qui était sur les lieux, déclare : "La femme et l'homme se disputaient déjà quand ils ont traversé le passage souterrain. Puis l'homme a jeté l'enfant par terre."

"La fillette a vomi du sang et était apparemment inconsciente."

Une employée de la succursale Denner de l'autre côté de la rue a été l'une des premières à intervenir sur les lieux de l'accident. Elle déclare à 20 Minutes : "Nous continuons à travailler. Mais je n'arrive pas à me sortir ces images horribles de ma tête." L'homme a jeté sa fille par terre au moins deux fois. C'était particulièrement brutal : Elle pense que la fillette de 4 ans a heurté sa tête contre le bord d’un petit socle devant un banc. "Le personnel de la droguerie de l'autre côté de la rue a pris l'enfant et l'a cachée." La petite fille a été grièvement blessée. "Elle a vomi du sang et était apparemment inconsciente."

Quand l'homme a perdu la tête, un autre père a frappé l'agresseur. L'employée qui connaissait les deux hommes, s'est interposée entre eux. Les deux hommes se seraient disputés en turc. [...]

Selon le témoin oculaire, la mère était en état de choc. Elle était paralysée et ne pouvait pas réagir, d'autant plus qu'elle était elle-même gravement malade. La grand-mère, qui était également présente, s'est effondrée en larmes.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Lenouvelliste.ch20min.ch (en allemand)

Argovie : Un Syrien de 14 ans brise la mâchoire de son enseignante « Il aurait demandé aux filles de mieux s’habiller au nom d’Allah »

Le jeune de Möriken-Wildegg parlait beaucoup du Coran et demandait aux filles de s'habiller plus décemment dans la cour de récréation.

L'élève qui a frappé son institutrice à Möriken-Wildegg est un Syrien de 14 ans. D'après les recherches de la "Weltwoche", l'adolescent avait déjà attiré l'attention par le passé.

L'affaire a choqué : La semaine dernière, l'Aargauer Zeitung a publié qu'un élève de l'école Chestenberg de Möriken-Wildegg (Argovie) avait cassé la mâchoire de son enseignante avec un coup de poing. Elle avait voulu vérifier si l'élève syrien avait un couteau avec lui - comme il l'avait eu par le passé.

Aujourd'hui, Alex Baur, journaliste à la "Weltwoche", s'est également occupé de l'affaire. Selon ses recherches, "M." a 14 ans. Il provient d'une famille syrienne avec de nombreux enfants, qui est arrivée en Suisse il y a environ cinq ans et qui vit de l'aide sociale. Il parle bien l'allemand et est décrit comme "assez intelligent, sûr de lui et vif d'esprit".

Mais "M." parle souvent du Coran depuis quelque temps déjà. Il aurait demandé aux filles de l'école de s'habiller et de se comporter plus décemment "au nom d'Allah". Dans ce contexte, il aurait agité un couteau dans la cour de récréation de l'école. Ce qui l'a conduit, selon la "Weltwoche", a devoir vider ses poches à chaque fois avant d'être autorisé à entrer dans la classe.

 

Deux jours de détention

Au cours de l'un de ces inspectione, l'enseignante aurait été agressée. Elle n'a pas touché l'élève, mais elle lui a seulement demandé de lui montrer le contenu de ses sacs. L'adolescent l'a ensuite attaquée et, selon des témoins oculaires cités par l'auteur de la "Weltwoche", a frappé l'enseignante de 62 ans cinq ou six fois avec son poing et le tranchant de la main. Quand elle s'est enfuie, il l'aurait encore frappée. La mère de deux fils (adultes) était sur le point de prendre sa retraite. Comme la Weltwoche l'a appris de son entourage, elle est encore sous le choc.

Le Syrien a pu être arrêté peu après son agression. Après avoir passé deux jours en détention, le jeune se trouve en liberté. Le bureau du procureur de la jeunesse enquête. Il ne retournera pas à l'école du district de Chestenberg.

Selon la "Weltwoche", un de ses amis, également syrien, a été "expulsé de l'école il y a un an pour des raisons disciplinaires et envoyé dans un lieu spécial à l'extérieur du district scolaire de Chestenberg".

Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Aargauerzeitung.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Argovie : Un Suisse porte secours à une femme. La racaille l’envoie à l’hôpital.

Le 20 Minutes en français et le Matin refusent de publier le pédigrée des agresseurs portant des sweats à capuche foncés et des bas de training et passent sous silence les coups portés à la tête alors que la victime est à terre.

Et on comprend bien pourquoi : Tant le style vestimentaire que l'agression sont caractéristiques de la racaille ethnique.

 

**********

 

Passage à tabac à Baden AG : Dans la nuit de samedi à environ 0h45 sur la Schlossbergplatz à Baden, un Suisse de 28 ans rentrait à pied. Son attention a été attirée par un groupe de jeunes.

Le jeune homme de 28 ans a vu un homme de ce groupe battre une jeune femme. Il a voulu l'aider et lui a demandé si tout allait bien. Mais son courage civil n'a pas plu aux voyous. Il a ensuite été insulté par des membres du groupe.

Les hommes lui ont donné un coup de pied à la tête.

Puis des coups de poing ont suivi, après quoi les jeunes ont maltraité le jeune homme de 28 ans à coups de poing et à coups de pied. Même lorsqu'il était à terre, les hommes ont continué à lui donner des coups de pied au niveau de la tête.

Lorsque les patrouilles de la police de Baden sont arrivées un peu plus tard, les voyous avaient disparu. Le jeune homme de 28 ans a été blessé à la tête. Une ambulance l'a emmené à l'hôpital.

Les voyous étaient cinq hommes âgés de 16 à 20 ans, portant des sweats à capuche foncés et des pantalons de training.

Blick.ch

Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Argovie : un Turc, auteur de la fusillade qui a fait trois blessés dans un club privé, a été arrêté

On rappelle que les Turcs sont interdits de possession d'armes dans notre pays. Voilà ce que la Suisse importe : de la violence ethnique et des gens qui se moquent de nos lois!

Bien évidemment, le règlement de l'UE restreignant la possession d'armes ne touchera pas ce genre de crapules mais seulement les citoyens honnêtes.

 

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Un homme a été arrêté après la fusillade qui a fait trois blessés samedi dans un club privé à Oberentfelden (AG). Il s'agit d'un Turc de 32 ans habitant en Argovie.

Les trois personnes blessées par balles sont des Turcs âgés de 23 à 36 ans. Ils sont hors de danger.

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Arcinfo.ch / Aargauerzeitung.ch

Nos remerciements à Alex

Argovie. Buchs : Des Kosovars frappent deux policiers et les envoient à l’hôpital.

Dans la ville de Buchs, une dispute concernant une voiture mal garée a complètement dégénéré: deux policiers de la ville ont été blessés. Deux Kosovars, père et fils, ont été temporairement arrêtés.

Vendredi soir, le différend entre plusieurs parties a éclaté, comme l'a indiqué lundi la police cantonale d'Argovie. Un Kosovar de 31 ans s'en est mêlé et a attaqué un autre homme.

La police est intervenue. C'est alors que l'agresseur a utilisé la violence. Par la suite, même le père de 66 ans est intervenu dans le conflit. La police a repoussé les deux hommes en recourant à du gaz poivré. Par la suite, la patrouille de police de la ville d'Aarau a reçu des renforts. Les deux Kosovars ont été temporairement arrêtés.

Durant le conflit, un policier de la ville âgé de 40 ans a été blessé à la main. Il se trouve actuellement en incapacité de travail. Son collègue de patrouille âgé de 36 ans a subi une blessure aux yeux. Les deux hommes ont dû être hospitalisés. Le test d'haleine effectué auprès de l'accusé âgé de 31 ans a révélé une valeur de 0,4 milligramme d'alcool par litre d'haleine (soit 0,8 pour mille).

Blick.ch

Traduction libre Christian Hofer pour les Observateurs.ch

 

Nos remerciements à Daniel Brand

 

 

Suisse : Un Marocain, demandeur d’asile débouté et délinquant récidiviste, fracasse plus de 50 véhicules pour voler.

Le Marocain a successivement brisé des vitres de voitures  avec une pierre et volé des objets de valeur.

Un demandeur d'asile débouté du Maroc a procédé ainsi plus de 50 fois, avec succès avant qu'il ne soit arrêté l'année dernière.

Hier, le jeune homme de 30 ans s'est tenu devant le tribunal de district de Lenzburg. L'homme était indifférent et peu impressionné, a rapporté Luisa Duppenthaler de Tele1. "L'accusé était assis sur sa chaise totalement détendu." Ce n'était pas la première fois qu'il était jugé.

 

 

C'est l'une des raisons pour lesquelles les nombreuses excuses de l'accusé ont été peu utiles. Il avait déjà réaffirmé qu'il était désolé la dernière fois, note le président de la cour. Le tribunal a condamné le Marocain à trois ans d'emprisonnement et à une expulsion ultérieure durant dix ans.

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Après trois ans de prison, le Marocain devrait quitter l'espace Schengen - mais le verdict n'est pas encore définitif.

 

Aargauerzeitung.ch

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Nos remerciements à Info

 

Rappels :

Renvois des criminels étrangers: Comment les pays du Maghreb se moquent de la Suisse

Italie : arrestation d’un clandestin maghrébin soupçonné d’avoir violé et tenté de tuer une étudiante allemande en la jetant d’une falaise

Argovie: Deux requérants d’asile, un Algérien et un Marocain, attaquent une bijouterie à la voiture-bélier.

Suisse : Libéré, son violeur maghrébin s’installe près de sa victime et la harcèle.

Lausanne: Le violeur marocain condamné à 8 ans. « Dès son entrée en Suisse, il a commis des délits sans s’arrêter. »

Le Marocain avait poignardé le jeune espoir suisse de hockey

Les Suisses paieront 1, 4 million pour l’accident provoqué par le chauffeur marocain engagé à l’ambassade suisse

Argovie: Une famille érythréenne saccage l’appartement pour 13’000.- et ne s’intègre pas. Pour le PS, c’est la faute au manque de moyens.

A noter que le couple est socialiste et demande à ce que la commune passe à la caisse à présent.

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Ville de Windisch en Argovie.

Le loyer du logement était de 1485 francs, charges comprises.

Quatre ans plus tard, la famille a déménagé à nouveau - les chambres ont été laissées dans un état pitoyable. Les coûts de rénovation s'élevaient à 13 000 francs. L'assurance a pris plus de 6000 francs en charge.

Le couple de propriétaires a subi une double frustration. D'une part, la commune n'a pas participé aux 7000 francs restants. D'autre part, les autorités ne se sont pas occupées de la mère, qui après 10 ans en Suisse ne parle toujours pas allemand.

Par conséquent, Catarina und Ueli Rüegg avertissent tous les propriétaires avant une telle expérience: "Si une prise en charge complète et un soutien ne sont pas effectués dès le début, un réfugié reste un cas social."

Martina Birchler, UDC: Les gens sont bien intentionnés

La conseillère municipale Martina Bircher, qui connaît bien le sujet en tant que responsable des services sociaux d'Aarburg, n'est pas étonnée par l'histoire. "Je connais de tels cas", dit-elle. "Les gens pensent d'abord bien faire. Ensuite, ils sont déçus." D'une part, parce que les locataires de l'appartement n'y portent aucun soin ou que leur comportement provoque des réclamations de la part du voisinage en raison du bruit.

D'autre part, parce que les locataires ne voulaient pas s'intégrer, ne s'intéressaient pas aux cours d'allemand ou à la recherche d'un emploi. Par conséquent, la commune d'Aarburg a déjà rejeté des frais de remise en état ou de location. Le propriétaire supporte les risques.

Lorsqu'on questionne Martina Bircher sur le fait que les municipalités devraient mieux s'occuper des bénéficiaires de l'aide sociale, elle réplique: "C'est exactement la mauvaise façon de penser. Comment les communes devraient-elles faire cela? Nous n'avons absolument aucun pouvoir pour les forcer à s'intégrer. Ils n'ont aucune conséquence à craindre. Ils sont pratiquement protégés par le statut de réfugié.»

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Dieter Egli, chef du Parti socialiste au Grand Conseil, est lui-même originaire de Windisch. Il ne connaît pas ce cas précis. Il déclare: "Les réfugiés ont besoin de soutien, pas seulement financièrement."

Un manque de soutien ou un soutien insuffisant pourrait être à l'origine du problème. Davantage d'encadrement pour les réfugiés, comme réclamé par le couple Rüegg - tout deux membres du PS - serait bien sûr souhaitable. Dieter Egli fait remarquer que "le problème c'est que les moyens pour cela sont généralement limités. »

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Source Source2 Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info