ALERTE INFO : attaque au couteau contre des élèves d’une école catholique en Allemagne ! [vidéo]

Un homme de 21 ans a poignardé deux enfants de 9 et 10 ans près d'une école catholique à Duisbourg en Allemagne. Grièvement blessés, ils ont atteint l'école pour recevoir des soins médicaux.

L'homme arrêté est un germano-bulgare. Le parquet de Duisbourg a déclaré qu'il ne ferait aucun commentaire sur l'affaire avant jeudi.

 

Lille : les juges ordonnent à la Région de verser 500 000 euros au lycée intégriste musulman Averroès

Tout démarre par la publication du livre des deux journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot Qatar Papers ( Michel Lafon) qui révéle que Qatar Charity, une ONG proche de Doha, a versé 4,2 millions d’euros au lycée et au centre islamique de Villeneuve-d’Ascq. Alors, le président de région Xavier Bertrand décide de couper les vivres au lycée. La suite, on la connaît…

Lille : La région des Hauts-de-France condamnée à verser près de …

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/lille-la-region-des-hauts-de..

Les juges d’Éric Dupond-Moretti s’en mêlent. Le tribunal administratif de Lille a condamné la région des Hauts-de-France à verser au lycée musulman lillois Averroès près de 500 000 euros. La somme correspond aux deux subventions des années scolaires 2020 et 2021, bloquées suite aux financements accordés par le Qatar. La Région a annoncé se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État.

La bataille juridique dure depuis mars 2020. Elle oppose la région des Hauts-de- France et le lycée musulman lillois Averroès. En cause, des subventions gelées par Xavier Bertrand qui reproche à l’établissement un financement d’un montant de 4,2 millions d’euros provenant d’une organisation caritative du Qatar. Pour le cabinet du président qui répond au Parisien« tant que nous n’aurons pas d’explications de l’État sur le respect de la convention avec le lycée, la région ne versera pas les fonds ». Mais mercredi, le tribunal administratif de Lille a condamné la région à verser 500.000 euros de subventions au lycée. Cette dernière annonce se pourvoir en cassation. Un bis repetita pour les Hauts-de- France déjà condamnés par le tribunal de Lille pour la même raison en 2021. La région avait porté l’affaire devant le Conseil d’État, mais elle avait été déboutée en juin dernier. Ce mercredi, elle annonce donc se pourvoir à nouveau en cassation devant le Conseil d’État.

Il faut savoir que Le lycée Averroès est un établissement d’ enseignement privé musulman situé à Lille, en France. Comptant environ 800 élèves en 2016, il est l’un des seuls lycées privés musulmans sous contrat en France métropolitaine. Malgré son contrat d’association avec l’État, l’établissement est régulièrement pointé du doigt pour ses liens avec le fondamentalisme islamiste. Ses détracteurs dénoncent son « double langage » et le contenu de certains enseignements. Ils soulignent également la proximité de la direction avec l’ UOIF, organe d’influence des Frères musulmans en France, et les liens financiers avec l’ Arabie saoudite et le Qatar. L’établissement est nommé en référence à Averroès, philosophe, théologien, juriste et médecin musulman andalou du xiie siècle.

Plusieurs médias estiment que la direction du lycée est proche des Frères musulmans. D’après un rapport commandé et financé par le Gouvernement, « les Frères musulmans en Europe, représentés par l’UOIF, sont à l’origine d’au moins la moitié des projets d’établissements dans l’Hexagone, mus par une volonté de préserver l’identité musulmane des communautés immigrées et de « réislamiser » les jeunes générations, pour créer une « citoyenneté musulmane », à la fois intégrée dans la société et gardant sa spécificité religieuse ».

Toujours d’après ce rapport : « Les responsables des différents projets ont « sécurisé » leur équipe autour d’un noyau dur composé exclusivement de membres de l’UOIF. L’idée était d’avoir un groupe d’individus censés partager les mêmes représentations idéologiques et de faciliter les choix stratégiques et les prises de décision. […] Après la rupture avec Mme Boutaleb, l’ensemble des membres de l’équipe dirigeante sont donc membres de l’UOIF ». Carol Ferrara, doctorante en anthropologie de l’université de Boston, a passé cinq années à étudier les écoles musulmanes en France et notamment le lycée Averroès. Elle estime que le discours sur l’islam au lycée s’approche du discours de l’UOIF et de son président, Amar Lasfar. L’UOIF a depuis changé de nom pour Musulmans de France.

« L’UOIF considère que les Français non musulmans doivent s’adapter à l’existence de l’islam comme deuxième religion de France ».

 

Une salle de classe au lycée Averroès, établissement d’ enseignement privé musulman situé à Lille, où le voile est de rigueur pour les filles.

Direction et personnalités connues

La direction de ce lycée affiche un islam dur et n’est pas ouverte sur l’extérieur comme le révèlent nos confrères du site Wikipedia. On y retrouve une belle brochette de musulmans très engagés dans des association extrémistes, en France ou à l’étranger.

Voici la liste des principaux responsables de cette structure financée par la Qatar :

  • El Hassan Oufker : directeur
  • Makhlouf Mamèche : directeur adjoint, vice-président de l’ Union des organisations islamiques de France.
  • Amar Lasfar : le président de l’association Averroès qui gère le lycée. Il est président de l’ Union des organisations islamiques de France, président de la Ligue islamique du Nord et recteur de la mosquée de Lille-Sud.
  • Éric Dufour : directeur adjoint, professeur de français, converti à l’islam, arrive en 2008 au lycée après avoir passé 16 ans au lycée privé catholique de Bondues.
  • Hassan Iquioussen : ancien professeur d’éthique musulmane du lycée, prédicateur de la mosquée de Quiévrechain, dirigeant de l’UOIF, est une personnalité très controversée. Il a par exemple déclaré « Les textes aujourd’hui le prouvent. Les sionistes ont été de connivence avec Hitler. Il fallait pousser les juifs d’Allemagne, de France… à quitter l’Europe pour la Palestine. Pour les obliger, il fallait leur faire du mal ». Sofiane Meziani, professeur d’éthique actuel et Amar Lasfar reconnaissent être proches de lui. Il continue d’accompagner les élèves en voyages scolaires.
  • Michel Soussan : conseiller pédagogique du lycée, consultant en formation, ancien inspecteur d’académie et membre UMP de l’opposition municipale. Il déclare : « je n’ai jamais vu la radicalité de l’islam ici ; au contraire, j’y vois un islam du juste milieu ». Il est de confession juive et ajoute : « je suis le garant des valeurs républicaines de cet établissement ». Voulant favoriser le dialogue inter-religieux, il a fait venir pour un débat au lycée son neveu, le rabbin Yona Ghertman.
  • Mohamed Karrat : professeur de mathématiques au lycée, proche d’ Amar Lasfar, responsable de la mosquée de Villeneuve-d’Ascq.

Des dérives intégristes prouvées

On l’a compris avec l’organigramme publié plus haut : le président de l’association qui gère le lycée n’est autre qu’Amar Lasfar, président de l’Union des organisations islamiques de France (devenue Musulmans de France), président de la Ligue islamique du Nord et recteur de la mosquée de Lille-Sud. Or, comme l’a souligné sur France 24 François Burgat, politologue spécialiste du monde arabe et directeur de recherche au CNRS, « l’UOIF est indissociable de l’idéologie des Frères musulmans ». Si le lycée réaffirme, sur sa page Facebook, son « respect des valeurs républicaines », il est par ailleurs accusé de tenir un double discours. En témoigne cette intervention du Frère musulman Omar Abdelkafi très modérée sur sa vision des femmes. Devant les caméras, il explique aux élèves (séparés en deux rangées garçons-filles non mélangés) que « la femme peut apporter beaucoup de choses à la civilisation », alors qu’il déclarait, un an plus tôt, que « la femme qui sort les cheveux découverts mérite le châtiment de la tombe ».

Un établissement controversé et d’endoctrinement idéologique

Le bourrage de crâne et l’idéologie véhiculée au sein du lycée sont désormais dénoncés par un de ses professeurs. En 2015, Soufiane Zitouni, qui y enseignait la philosophie, publie une tribune dans Libération (5/2/2015) pour révéler ce « double jeu avec notre République laïque : d’un côté montrer patte blanche dans les médias pour bénéficier d’une bonne image dans l’opinion publique et ainsi continuer à profiter des gros avantages de son contrat avec l’État, et d’un autre côté, diffuser de manière sournoise et pernicieuse une conception de l’islam qui n’est autre que l’islamisme, c’est-à-dire un mélange malsain et dangereux de religion et de politique ». Soufiane Zitouni lance cette mise en garde : « En 2014, un des responsables du lycée avait énoncé, en présence de deux mécènes qataris : « Un jour, il y aura aussi des filles voilées dans les écoles publiques françaises ! »… » Poursuivi pour diffamation par le lycée, le professeur Soufiane Zitouni a finalement été relaxé par la justice française. Dans Marianne, Soufiane Zitouni alerte aussi que « les prêches des imams sont signés UOIF, les cours d’éthique religieuse sont signés UOIF, faute d’avoir des livres d’Averroès dans le lycée Averroès, on y trouve des brochures de l’UOIF et des livres de Tariq Ramadan ». Les frères Ramadan y ont donné de nombreuses conférences, et les élèves ont pu bénéficier de cours d’éthique de la part d’un certain professeur nommé Hassan Iquioussen…

Une vue extérieure du lycée Averroès.

L’argent des contribuables va donc servir à financer des formations islamistes intégristes, au lieu d’aider les Français qui se trouvent dans la misère. Pauvre France qui se suicide jour après jour….

Francis GRUZELLE

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

Allemagne. Immigration de masse dans les écoles : Le nivellement par le bas est visible et des parents allemands fuient certaines écoles.

La proportion d'enfants issus de l'immigration dans les écoles augmente. Beaucoup d'entre eux parlent mal l'allemand - un défi pour les enseignants et les camarades de classe. Comment un bon enseignement pourrait-il réussir?

Philipp Möller se souvient encore de la rentrée de sa fille: «On a vu exactement comment Klara, qui était d'abord allée à l'école avec une grande joie, revenait chaque jour un peu plus frustrée», raconte le Berlinois. La raison: "Le niveau de langue et donc le niveau d'apprentissage étaient si brutalement bas que l'enseignant avait du mal à y enseigner. Il n'y avait que quatre ou cinq autres enfants sans origine migratoire dans la classe", explique Philipp Möller. De nombreux camarades de classe auraient parlé un allemand très limité. "Parfois, Klara ne savait même pas de quoi ils parlaient".

Grâce à ses deux années de travail en tant qu'enseignant suppléant, il sait lui-même ce que c'est que lorsque les élèves et les enseignants ne parlent pas la même langue, et il a publié ses expériences dans le livre «Isch geh Schulhof» (2012).

L'enseignante Tanja R. (nom modifié) connaît également le problème. Dans son école, la proportion d'élèves dont la langue d'origine n'est pas l'allemand, comme on l'appelle en langage administratif, est de 80%. "Au début de chaque année scolaire, il est clair que le programme ne peut pas être réalisé", dit-elle.

Et le problème va au-delà de l'école primaire: "Les déficits linguistiques ne sont pas compensés lors des quatre premières années", explique la chercheuse en éducation Nele McElvany, directrice générale de l'Institut de recherche sur le développement scolaire de l'Université TU de Dortmund. Son institut dirige l'étude IGLU sur les compétences en lecture chez les enfants du primaire en Allemagne. Les études ont montré que même après quatre ans, il y avait des différences substantielles dans les compétences en lecture entre les enfants avec et sans origine migratoire.

(...)

Selon Mikrozensus [NDLR : système de recensement de la population], la proportion d'élèves issus de l'immigration dans les écoles générales et professionnelles à l'échelle nationale est d'environ 37 % en moyenne. "Nous nous attendons à ce qu'il augmente à l'avenir", a déclaré Madame Nele McElvany. La répartition des étudiants est très variable, déclare-t-elle. "Nonante pour cent vivent à Berlin ou dans les États de l'Allemagne de l'Ouest". Cependant, tous les enfants issus de l'immigration ne présentent pas de déficit linguistique.

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

“Je défendais la viande sans porc à la cantine. Je me demande aujourd’hui de quoi j’ai été l’instrument.” : une institutrice évoque la difficile intégration des élèves musulmans

Florence (*) est professeure des écoles depuis une vingtaine d’années en réseau d’éducation prioritaire, à Nîmes. À la suite de la mort de Samuel Paty, elle vient d’envoyer une lettre ouverte à ses collègues enseignants qui a fait réagir.

« Notre relation à nos élèves et à leurs familles pour que Samuel Paty ne soit pas mort pour rien ? J’y pense depuis des jours et une foule de souvenirs de détails, de situations me reviennent à l’esprit : (…) ces journées de classe verte (…) où sur une classe de trente enfants, vingt steaks hachés du midi sont jetés à la poubelle, parce que la viande n’est pas hallal. Ou encore cet atelier vitraux qui inclut une visite dans une église et la mauvaise humeur d’un élève de CE1 qui jette son travail à la poubelle. » (…)

Florence raconte s’être de tout temps battue pour le multiculturalisme et l’intégration : « Je défendais il y a vingt ans les menus sans porc à la cantine, je comparais ce dégoût à la proposition que l’on me ferait à moi, de manger du chat. Je me demande aujourd’hui de quoi j’ai été l’instrument. » (…)

« L’islam est une grille de lecture tellement forte que l’humanisme, la République et ses lois n’ont pas de poids dans les pratiques quotidiennes. Je ne veux condamner personne, mais je me dis que la bienveillance n’est pas l’acceptation de tout. La peur de passer pour des fachos nous pousse à arrondir les angles ».

(*) prénom modifié

Midi Libre (merci à @pierre1er)

Via Fdesouche

Les écoles allemandes après le meurtre de Samuel Paty : « De plus en plus d’étudiants se sentent liés à l’Islam radical dès l’enfance et l’adolescence ».

En Allemagne, de nombreux auteurs de crimes islamistes sont des jeunes. Birgit Ebel, enseignante de Herford lutte depuis six ans contre la radicalisation dans les écoles allemandes.

Entretien sur les enseignants effrayés, les "enfants du Haram" et leur "lutte contre le prophète en classe".

Focus : Après la décapitation du professeur d'histoire français Samuel Paty, le président de l'association des enseignants allemands, Hans-Peter-Meidinger, a parlé d'un climat d'intimidation, en particulier dans les écoles en milieu difficile. Certains enseignants n'aborderaient plus les sujets difficiles afin d'éviter l'hostilité. Avez-vous parlé de l'affaire à vos élèves ?

Birgit Ebel : Bien sûr. Et cela dans toutes mes classes. Je discute souvent avec mes étudiants. En tant que professeur d'allemand et d'histoire, je pense qu'il est extrêmement important que les cours ne suivent pas seulement le programme d'une manière purement technique, mais qu'ils sensibilisent également les élèves et promeuvent la démocratie.

C'est particulièrement important pour mes étudiants musulmans. Beaucoup d'entre eux grandissent chez eux dans une culture de la peur, ils ne sont pas autorisés à y poser des questions critiques. Avec moi, ils ont alors une expérience contrastée. Quand on parle d'islam, d'islamisme ou d'antisémitisme en classe, c'est souvent la première fois qu'ils abordent ces sujets avec un adulte.

Avec le cas de Samuel Paty : "Nous, les enseignants, sommes laissés seuls quand les élèves disent : 'Il a offensé le prophète, qu'il brûle en enfer pour cela'". Comment vos étudiants ont-ils réagi lorsque vous avez évoqué la tentative d'assassinat ?

Ebel : Beaucoup ne l'avaient même pas remarqué. Ils n'étaient pas au courant. Ce qui m'a frappé lorsque nous avons discuté de l'affaire, c'est que beaucoup de mes étudiants - pas seulement musulmans - n'ont pas condamné la décapitation de Paty pour ce qu'elle était : un acte de violence barbare. Certains ont même cherché à la justifier, par exemple en accusant le professeur d'être raciste. Un cas classique d'inversion coupable-victime.

Pour être honnête, certaines des réactions m'ont profondément choqué. En outre, nous, les enseignants, nous sommes effectivement abandonnés lorsque des enfants et des jeunes dans ces cas se ferment et peut-être même déclarent : "Il a insulté notre prophète, qu'il brûle en enfer pour cela !

Les écoles sont-elles dépassées par le problème de l'islamisme ?

Ebel : Elles ne sont pas seulement dépassées. Elles sont en train d'échouer. Elles préfèrent éviter le sujet et même le couvrir parce qu'elles ne veulent pas apparaître comme des écoles à problèmes. Mais le poisson pue de la tête : même les ministères de l'enseignement ont simplement dormi pendant 20 ans sur ce problème. Ils n'ont pas réussi à élaborer du matériel pédagogique pour l'éducation, un manuel et des cours de formation correspondants sur le thème de la prévention de l'islamisme. Dans les écoles, il n'y a pas du tout d'expertise sur le sujet.

L'islamisme dans les écoles allemandes : "Ce qui s'est passé à Vienne peut également se produire ici".

La conséquence est que beaucoup d'enseignants se sentent dépassés et ont effectivement peur. Ils ne savent pas comment traiter avec de tels étudiants, vers qui se tourner, qui croire et qui écouter. Par conséquent, beaucoup de mes collègues entrent dans une sorte d'exil intérieur, ils ferment les yeux sur le sujet. Ainsi, les structures islamistes peuvent se développer sans entrave. Il y a un grand besoin d'action sur cette question. Ce qui s'est passé à Vienne peut aussi se produire ici.

Avez-vous vous-même parfois peur lorsque vous parlez de sujets comme l'islamisme en classe?

Ebel : Pas de la peur. Mais je suis consciente que mon engagement dans le travail de prévention me met dans une position exposée. Beaucoup de gens n'aiment pas ce que je fais. Mais dans un cas, j'ai vraiment accusé le coup.

Que s'est-il passé ?

Ebel : Un jour de janvier 2014, un jeune Kurde s'est soudainement assis dans ma classe, prétendant être mon nouvel élève. Il n'arrêtait pas de faire l'idiot et de déranger la classe au point que j'ai fait des recherches sur lui sur Facebook. J'ai découvert que le garçon avait en fait fréquenté une école complètement différente de celle dont il avait été expulsé. C'était son passe-temps de se déchaîner dans d'autres écoles.

Mais il y a autre chose qui m'a fait encore plus peur : j'ai trouvé des photos sur son profil Facebook où il posait avec des kalachnikovs. À ce moment-là, vous vous dites : j'ai eu des conflits avec lui durant mes cours - et s'il avait apporté des armes à l'école ?

Quand j'ai informé la police, il s'est avéré que les armes étaient factices. Mais on a découvert que le jeune musulman de 15 ans entretenait des contacts avec la scène islamiste de Herford. Cette affaire a été mon expérience clé, pour ainsi dire. Depuis lors, le sujet m'occupe, d'autant plus que Herford abrite manifestement une importante scène islamiste et qu'un camarade tchétchène y vit même.

Le Coran dans la classe : "Ils regardent qui jeûne, les filles en jupes courtes sont considérées comme haram". Comment ressentez-vous qu'il est nécessaire d'agir ?

Ebel : Ce qui m'inquiète, c'est que selon mon expérience, il y a de plus en plus d'étudiants qui se sentent liés à l'Islam radical dès l'enfance et l'adolescence. La plupart du temps, cela commence en septième année. J'ai également entendu dire dans d'autres écoles que certains élèves veulent quitter la classe au milieu de la classe pour prier. Ils commencent à jeûner radicalement et, pendant le ramadan, certains surveillent également les autres étudiants pour voir s'ils mangent ou boivent en secret.

J'ai aussi des enfants dans mes classes qui sont en faveur de la peine de mort, qui traitent les autres enfants de "haram" (péché, ndlr) ou les filles de "salopes" si elles portent une jupe ou un jean serré. L'autre jour, une élève de sixième m'a également réprimandée en me disant : "Ta robe n'est pas un peu trop courte ? Il faut se l'imaginer : Nous parlons ici de jeunes de 12 ou 13 ans!

C'est inquiétant, mais cela ne transforme pas encore les enfants et les jeunes en islamistes.

Ebel : C'est vrai. Cependant, j'ai observé comment les valeurs de la pensée islamiste sont transférées de façon rampante à de plus en plus d'enfants et de jeunes qui ne sont même pas musulmans. L'appartenance religieuse est un sujet permanent chez mes étudiants. Pour beaucoup, cela devient une question d'identité, une conséquence de l'endoctrinement dans les mosquées. Ils en parlent constamment et veulent imposer leur culture aux autres.

Cette façon de penser rend les enfants et les adolescents prédestinés aux marionnettistes radicaux sur le terrain - et sur Internet. J'ai découvert à maintes reprises des étudiants qui suivent les prédicateurs salafistes comme Pierre Vogel ou Ibrahim Abou-Nagie sur Facebook. Le potentiel de radicalisation est particulièrement important à l'adolescence. Ce n'est pas pour rien que la moitié des islamistes en Allemagne sont mineurs. Il est donc d'autant plus important que les écoles deviennent actives ici. Qui, sinon nous, enseignants, devrait rendre les enfants et les jeunes forts contre les idéologies extrémistes ?

Comment éviter que vos élèves ne tombent dans l'islamisme ?

Ebel : Nous parlons, nous lisons des textes et des romans instructifs pour les jeunes, nous faisons des jeux de rôle, nous jouons de petites pièces de théâtre etnous écrivons des chansons de rap contre l'extrémisme et la violence. Je veux simplement leur faire comprendre que les chrétiens, les juifs ou même les athées sont des gens normaux et que les Yazidis, par exemple, ne sont pas des adorateurs du diable. Que la liberté, le flirt, une approche détendue de la vie et de la religion ne sont pas de mauvaises choses. En bref : je veux leur rendre la démocratie acceptable - et cela fonctionne.

De nombreux mineurs migrants et surtout musulmans ont un besoin insensé d'informations. Lorsqu'ils en viennent à l'"extremdagegen", beaucoup d'entre eux n'ont jamais discuté de l'islam, et encore moins de l'islamisme avec qui que ce soit. Ils sont curieux - et ils obtiennent de moi des éclaircissements plutôt qu'une idéologie.

Quel est votre conseil aux responsables de la politique de l'éducation ?

Ebel : La prévention de l'extrémisme ne peut et ne doit pas être le passe-temps volontaire de chaque enseignant. Elle doit être intégrée dans le courant dominant et dans les programmes des différentes matières. Outre l'antisémitisme et le racisme, chaque jeune devrait être régulièrement confronté au thème de l'islamisme. Mais pour cela, notre système éducatif doit s'ouvrir et, par exemple, proposer systématiquement des formations complémentaires aux enseignants.

Et nous devons cesser de mettre dans un coin tous ceux qui s'expriment ouvertement et dénoncent de tels abus. Toute personne qui s'engage contre l'extrémisme - quelle que soit sa couleur - ne devrait pas avoir à se justifier. Mon credo est le suivant : la Constitution s'applique ici ; sans exception. Il ne devrait y avoir aucun traitement de faveur pour qui que ce soit à cet égard.

Je suis sûr que tous les musulmans progressistes et laïques sont derrière moi sur ce point, car ils sont la majorité. Et cela m'incite à continuer.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Focus.de

A Genève, les profs aussi craignent certains sujets : « Les problèmes avec certains élèves musulmans datent du milieu des années 90 »

Olivier May, ex-enseignant d’histoire-géo et ex-doyen au Collège de la Florence, aujourd’hui à la retraite, relève que les problèmes avec certains élèves musulmans datent du milieu des années 90 avec l’arrivée du concept d’islamophobie: «Avant, on pouvait rire de tout en classe et on se moquait même sans souci du Pape.»

Selon lui, «tout a changé avec les attentats du 11 septembre 2001 à New York, puis de Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015. À l’époque, j’avais pris connaissance d’une dizaine de versets lus par les terroristes avant de prendre le contrôle des avions qui ont notamment réduit en poussière les Twin Towers. Ces textes d’une violence inouïe appelaient à tuer les infidèles. Or, certains de mes élèves niaient leur validité, ripostant qu’ils ne figuraient pas dans le Coran. Un père m’avait même dit qu’il ne fallait pas se fier aux traductions françaises du Coran. C’était la première fois que je constatais une tentative de reprise en main de la religion!»

[...]

Tdg.ch


Rappels :

Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Pour l’UDC Guy Parmelin, « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »

Lorsque le chef de l'ODR, Jean-Daniel Gerber ordonnait aux Suisses d'accepter l'immigration du Kosovo : «La Suisse a un devoir de solidarité envers les réfugiés du Kosovo»

 

 

Berlin : Un Tribunal autorise le port du voile islamique dans les écoles. Les directeurs choqués : « Nous avons des élèves venant de régions où les infidèles sont combattus »

"Nous avons des élèves venant de régions où les infidèles sont combattus"

Le groupement des directions scolaires de Berlin a vivement critiqué la décision du Tribunal fédéral du travail.

Karina Jehniche estime que la sentence du jugement est "catastrophique". La directrice de l'école primaire Christian Morgenstern de Spandau, un établissement d'enseignement avec un pourcentage très élevé de migrants, "ne s’attendait pas à ce que le Tribunal fédéral du travail inverse le principe de neutralité dans les écoles berlinoises"

Les juges ont décidé que les enseignantes peuvent désormais également enseigner avec le voile, à condition que cela ne perturbe pas la paix scolaire.

"Je ne m'attendais pas à ce qu'on puisse considérer la neutralité comme une discrimination", déclare Karina Jehnichen. Et elle ne parle pas seulement en tant que directrice de son école lorsqu'elle qualifie le verdict de "catastrophique", elle est également directrice adjointe du groupement des directions scolaires de Berlin (IGB). Elle parle donc aussi au nom d'environ 300 enseignants de premier plan.

Pour Karina Jehniche, tout tourne autour du symbole du voile : "Nous avons des élèves qui viennent de zones de crise où l'Islam est la religion d'État et où les infidèles ont été combattus. Lorsqu'un tel enfant voit une femme portant un voile, ça peut impressionner et la tolérance envers les autres religions peut diminuer, a déclaré Madame Jehniche. Pour les enfants en particulier, un enseignant représente une personne de confiance. "Nous devons travailler pour que toutes les religions soient tolérées. Nous sommes une société multiculturelle, c'est pourquoi une école doit être neutre.

À l'école Christian Morgenstern, "des élèves de 49 nations reçoivent un enseignement", déclare Karina Jehniche, "toutes les religions du monde sont représentées ici". Il est absolument clair que l'on peut attendre d'un enseignant "un comportement neutre". Si l'on est autorisé à porter le voile, les autres religions devraient être désormais également visibles.

Quoi qu'il en soit, elle a déjà remarqué que les pères musulmans étaient agacés lors des soirées de parents ou des réunions des représentants des parents par le fait que la directrice de l'école n'est pas habillée de façon islamique - c'est-à-dire avec une longue jupe. Karina Jehniche a également constaté que les élèves musulmans faisaient pression sur les écolières musulmanes pour qu'elles portent le voile.

Tilmann Kötterheinrich-Wedekind considère également que le jugement pose problème, du moins pour son école. "En tant qu'école, nous avons grandement bénéficié de la loi sur la neutralité en matière de paix scolaire", déclare le directeur du lycée Ernst Abbe de Neukölln, taux d'immigration : de 94 à 97 pour cent. "Une enseignante avec un voile serait catastrophique ici", déclare-t-il, "car les tensions surgissent sans cesse dans notre école en raison de la compréhension culturelle mutuelle et lorsqu'il s'agit de jeunes filles. A l'école, dit-il, il y a beaucoup d'élèves issus de familles turques, arabes et bosno-musulmanes.

En d'autres termes, si en tant que musulmane, vous vous habillez avec des vêtements occidentaux, vous aurez des problèmes avec les élèves. Beaucoup de ses "parents musulmans très conservateurs considèrent une enseignante portant le voile comme un bon exemple", déclare Tilmann Kötterheinrich-Wedekind. A l'inverse, les enseignantes habillées à l'occidentale sont dévalorisés.

Tilmann Kötterheinrich-Wedekind a déjà eu des débats et des conflits sur la prière, les vêtements de sport ou sur la question suivante : Jusqu'où la religion peut-elle influencer l'école ? Pour lui, ce sont tous des sujets qui n'appartiennent pas à son établissement scolaire, qui ont détourné l'objectif véritable de l'école.

[...]

Dans une autre école de Neukölln, la directrice est "consternée" par le verdict. L'école, dit-elle, "est aussi là pour aider les élèves à se faire leur propre opinion". Elle prêche surtout la tolérance envers toutes les religions. Mais cela n'est plus reconnaissable lorsque quelqu'un n'est plus clairement neutre. "Il y a également des messages non-verbaux."

Elle a également constaté que les élèves musulmans faisaient pression sur les écolières musulmanes pour qu'elles portent le voile. Les enseignants sont alors intervenus immédiatement et ont eu des conversations avec les élèves et leurs parents. "Mais c'est un processus très difficile et très long."

Elle connaît le cas d’un enfant de neuf ans qui a déclaré à une institutrice palestinienne habillée de façon occidentale : "Je ne reçois pas d'ordres d'elles, elles ne portent pas de voile, elles ne sont pas vraiment musulmanes."

Dans un tel cas, la paix scolaire est considérablement perturbée. Comme les parents du garçon n'ont montré aucune compréhension, le garçon a dû quitter l'école. La commission scolaire a écrit dans sa déclaration : "trouble de l'ordre public à l'école".

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Tagesspiegel.de


Rappels :

« Wir schaffen das » : cinq ans après, Angela Merkel ne regrette rien… et la RTS l’approuve

Un islamiste emprisonné en Iran a été aidé par le consulat allemand. De retour en Allemagne, il se trouve en liberté et est considéré comme une menace.

Allemagne : Les associations catholiques font de la publicité pour une « société colorée » et contre l’élection de l’AfD

Allemagne : Un islamiste irakien fonce à la voiture-bélier sur l’autoroute. 6 blessés dont 3 graves. (Vidéo)

350 membres de l’Etat islamiques de retour en Allemagne

Nasir Ahmad : « L’islamisation est positive. Plus les musulmans sont présents en Allemagne, plus ils prennent de l’espace aux nazis »

Berlin. Pressions de l’Islam dans les écoles: « Même les bonbons sont devenus un problème car ils contiennent de la gélatine non hallal. »

Allemagne : « Vous pouvez lui donner un voile », conseille le directeur aux parents d’une fillette harcelée à l’école par des musulmanes

Berlin: Une élève de 2ème année menacée de mort car elle ne croit pas en Allah. « Plus de 70% des étudiants ne sont pas allemands. »

Allemagne: Des écoliers non musulmans subissent les sévices des musulmans. « Les attaques deviennent monnaie courante dans certaines écoles. »

 

Turin : des premières classes d’école primaire sans aucun élève italien

À Turin, il existe deux classes de premier cycle de l’enseignement général dans lesquelles il n’ya même pas un enfant italien. Ils font partie du complexe D’Acquisto, déclaré inutilisable et donc situés dans le collège de Croce, dans l’un des quartiers les plus multiethniques de Turin. « Dans toutes les classes – dit la directrice Aurelia Provenza, arrivée de Palerme le 22 août – le pourcentage d’étrangers est de 60%. Les plus nombreux sont les Roumains, les Chinois, les Marocains et les Moldaves. Notre école est une école d’accueil. .

Cette journée était belle: les enfants sont venus avec leurs parents qui ont passé une heure et demie à faire des activités avec eux « . Dans les cours sans Italiens, la directrice explique que » les enfants sont des étrangers de deuxième génération, ils ont fréquenté la maternelle et ils ont déjà une première alphabétisation. Les professeurs sont des professeurs permanents depuis de nombreuses années, ils sont très compétents « . Et elle a promis: » Nous ferons de ces enfants des citoyens italiens à tous égards « .

ANSA.it

Via Fdesouche

Marseille : Attaque au couteau dans une école élémentaire. L’agresseur aurait crié « Allah Akbar »

Deux femmes ont été agressées ce vendredi matin tôt dans une école publique de Marseille (Bouches-du-Rhône). Il était environ 6h40 quand un jeune homme, torse nu et très excité, s'est jeté sur une employée municipale qui aide à la cantine les enfants des classes de maternelle du groupe scolaire La Pauline, boulevard Romain-Rolland (IXe arrondissement). Il lui a asséné plusieurs coups, avec un couteau ou une paire de ciseaux, dans le thorax, puis a frappé d'un coup de poing une autre employée qui tentait de s'interposer. Prenant la fuite, il a aussi asséné un coup de poing à un homme dans la rue.

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Le jeune homme interpellé, âgé de 17 ans, est connu de la brigade des stupéfiants. La police judiciaire de Marseille a été saisie de l'enquête.

Venu sur place, le procureur de la République de Marseille Xavier Tarabeux a précisé que « l'agresseur aurait proféré Allah Akbar, dans le cadre de propos qui restent confus, mais cela reste à confirmer ». « Je suis en contact avec le parquet antiterroriste, mais celui-ci n'est pas saisi à ce stade », a ajouté le magistrat.

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Leparisien.fr

Argovie : Un Syrien de 14 ans brise la mâchoire de son enseignante « Il aurait demandé aux filles de mieux s’habiller au nom d’Allah »

Le jeune de Möriken-Wildegg parlait beaucoup du Coran et demandait aux filles de s'habiller plus décemment dans la cour de récréation.

L'élève qui a frappé son institutrice à Möriken-Wildegg est un Syrien de 14 ans. D'après les recherches de la "Weltwoche", l'adolescent avait déjà attiré l'attention par le passé.

L'affaire a choqué : La semaine dernière, l'Aargauer Zeitung a publié qu'un élève de l'école Chestenberg de Möriken-Wildegg (Argovie) avait cassé la mâchoire de son enseignante avec un coup de poing. Elle avait voulu vérifier si l'élève syrien avait un couteau avec lui - comme il l'avait eu par le passé.

Aujourd'hui, Alex Baur, journaliste à la "Weltwoche", s'est également occupé de l'affaire. Selon ses recherches, "M." a 14 ans. Il provient d'une famille syrienne avec de nombreux enfants, qui est arrivée en Suisse il y a environ cinq ans et qui vit de l'aide sociale. Il parle bien l'allemand et est décrit comme "assez intelligent, sûr de lui et vif d'esprit".

Mais "M." parle souvent du Coran depuis quelque temps déjà. Il aurait demandé aux filles de l'école de s'habiller et de se comporter plus décemment "au nom d'Allah". Dans ce contexte, il aurait agité un couteau dans la cour de récréation de l'école. Ce qui l'a conduit, selon la "Weltwoche", a devoir vider ses poches à chaque fois avant d'être autorisé à entrer dans la classe.

https://www.youtube.com/watch?v=iZcz-cSo-Mc

 

Deux jours de détention

Au cours de l'un de ces inspectione, l'enseignante aurait été agressée. Elle n'a pas touché l'élève, mais elle lui a seulement demandé de lui montrer le contenu de ses sacs. L'adolescent l'a ensuite attaquée et, selon des témoins oculaires cités par l'auteur de la "Weltwoche", a frappé l'enseignante de 62 ans cinq ou six fois avec son poing et le tranchant de la main. Quand elle s'est enfuie, il l'aurait encore frappée. La mère de deux fils (adultes) était sur le point de prendre sa retraite. Comme la Weltwoche l'a appris de son entourage, elle est encore sous le choc.

Le Syrien a pu être arrêté peu après son agression. Après avoir passé deux jours en détention, le jeune se trouve en liberté. Le bureau du procureur de la jeunesse enquête. Il ne retournera pas à l'école du district de Chestenberg.

Selon la "Weltwoche", un de ses amis, également syrien, a été "expulsé de l'école il y a un an pour des raisons disciplinaires et envoyé dans un lieu spécial à l'extérieur du district scolaire de Chestenberg".

Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Aargauerzeitung.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Au Conseil national, une initiative parlementaire contre le voile des élèves

L’initiative est déposée, les député(e)s s’apprêtent sans doute à la refuser. Mais dans cette lutte contre l'islamisation et le fondamentalisme, Jean-Luc Addor s'obstine. 

Par Mireille Vallette

Il l’avait annoncé, il l’a fait: le conseiller national UDC Jean-Luc Addor a déposé une initiative parlementaire lors de la dernière session. Elle demande la création d'une base constitutionnelle permettant d'imposer aux élèves d’être tête nue dans les écoles publiques du pays. Le Valaisan et son parti mènent ce combat depuis plusieurs années. Rappelez-vous:

- En décembre 2017, le Grand Conseil valaisan déclare irrecevable une initiative populaire cantonale qui a abouti. Elle exige une loi qui oblige les élèves à être tête nue dans les écoles publiques du canton.

- En août 2018, le Tribunal fédéral confirme l'irrecevabilité. Il considère qu'une disposition ayant pour but d'empêcher le port du voile aux élèves porterait une atteinte disproportionnée à la liberté religieuse garantie par la Constitution fédérale.

- A la rentrée scolaire 2018, cette démission permet une offensive des prosélytes de l’archaïsme musulman dans un village valaisan. Elle témoigne aussi que la facture des contribuables due à ces provocations est salée.

Il s’agit d’une fille syrienne, jusqu’ici tête nue, qui arrive en foulard en classe à la rentrée 2018. Probablement a-t-elle eu ses règles, puisque l’islam prescrit que c’est à leur survenue que les filles doivent  se couvrir la tête et le corps dès qu’elles mettent les pieds dehors et pour le reste de leur vie.

La nouveauté est mal reçue par de nombreux élèves et la presque totalité des parents. Les autorités mobilisent une demi-douzaine de professionnels pour tenter d’éteindre les braises, dont le directeur de l’école, la Déléguée à l'intégration du canton et une traductrice. De plus, l’intervenante en «éthique et cultures religieuses» et un médiateur conduisent «une activité en classe en présentant les différentes facettes des religions monothéistes et tirant des parallèles entre les différents voiles portés dans ces religions.» Et le clou du délire: la jeune fille peut faire la démonstration en classe, sur son tapis, de la manière dont elle prie Allah.

Jean-Luc Addor proteste auprès du Conseiller d’Etat Christophe Darbellay, mais celui-ci défend fermement son attachement au radicalisme musulman. Cette illustration exemplaire de ce qu’entendait éviter l’initiative convainc le politicien de poursuivre le combat au Conseil national: «Je ne me fais d’illusion ni sur la décision que prendra la commission qui doit examiner cette initiative, ni sur le vote en plenum du Conseil national. Mais il est nécessaire de maintenir la pression.»

La Suisse est en effet constamment en proie aux nouvelles avancées de la stratégie islamiste, celle que conduisent avec habileté les Frères musulmans et leurs benêts alliés. Ces alliés qui préfèrent toujours choisir le pire plutôt que le meilleur… si celui-ci vient de l’UDC. Mais d’eux hélas, sur ce genre de sujets, on ne voit jamais rien venir.

La majorité soutiendra donc ce symbole d’inégalité dont sont victimes les filles. Quant aux élèves masculins qui ne partagent pas la croyance de leur petite camarade, ils comprendront peu à peu qu’ils sont considérés comme ses prédateurs potentiels et que cette partie de l’humanité leur est interdite.

Les députés ne voudront toujours pas savoir que depuis 1400 ans, ces dévots croient avoir trouvé le moyen de résister à leur désir, et ils ne seront toujours pas gênés qu’aujourd’hui, ce soient les femmes elles-mêmes qui exigent de se couvrir la tête en invoquant leur «pudeur» au lieu d’invoquer la vraie guerre qu’elles nous mènent, le djihad culturel.

Ces musulmanes tête couverte qui s’infiltrent partout pensent, malgré ce signe d'une immense régression et d'un communautarisme en pleine fermentation, représenter l’avenir de l’humanité. Et en plus du voile, les fondamentalistes ouvrent sans trêve de nouveaux fronts et créent sans cesse de nouveau conflits. Ils nous imposent le niqab, le burkini, la lutte contre la mixité, le halal, leurs prières dans l’entreprise, la finance islamique, l’arabe, la suppression du porc et de l’alcool…

Ils sont aussi sans cesse plus nombreux dans toutes les sphères de nos sociétés. Par exemple l'armée: durant cette dernière session, Jean-Luc Addor a aussi défendu sa motion "Une sanction pénale contre le port à l'armée d'insignes communautarismes ou d’États étrangers".  En fait la sanction existe, mais comme de juste, les autorités militaires choisissent toujours la mesure disciplinaire, malgré un communautarisme qui s'étend là aussi.

Qu’a voté la grande majorité des conseillers nationaux? Comme d’habitude!

 

Source : Boulevard de l’islamisme

Vienne – L’islam à l’école : « Souvent, je me dis que nous avons perdu. »

Dans son livre Kulturkampf im Klassenzimmer. Wie der Islam die Schulen verändert ("La guerre culturelle dans les salles de classe. Comment l’islam transforme les écoles"), Susanne Wiesinger témoigne en tant qu'enseignante dans le dixième arrondissement de Vienne, Favoriten.
"Le plan d’études pour les écoles primaires et secondaires a été de facto supprimé par les obligations et interdictions islamiques s’ajoutant à des connaissances en allemand très insuffisantes." Susanne Wiesinger est professeur depuis 25 ans dans ce quartier où il n’y a plus selon elle que des écoles à problèmes. Là-bas, la majorité des élèves sont musulmans, de tendance conservatrice voire fondamentaliste.


Susanne Wiesinger a choisi de témoigner malgré l’interdiction de l’autorité scolaire viennoise. Elle est férocement critiquée par la gauche dont elle est pourtant issue. "Mes élèves musulmans n’acceptent pas que je lise des contenus qu’ils considèrent comme ‘haram’, par exemple lorsque, dans le livre, une jeune fille de 17 ans a un petit ami". "Les jeunes institutrices disent toutes qu’elle sont mariées, pour éviter les insultes."

Un jour, une jeune fille tchétchène habillée en jupe et T-shirt a été menacée devant l’école par des jeunes gens. Les autorités ont été alertées, les jeunes ne sont plus revenus devant l’école, mais la jeune fille n’a plus jamais osé se montrer en jupe et t-shirt.

Susanne Wiesinger est pour l’interdiction du voile à l’école. Elle a remarqué que dès qu’une fillette le porte, elle devient introvertie et timide. Certains professeurs utilisent le foulard pour assurer la discipline : pour calmer un garçon musulman agressif, ils le font asseoir à côté d’une élève portant le voile.


Des élèves turques et albanaises lui ont dit trouver normal que la jeune Bakhti* ait été tuée "pour l'honneur" : "Si je me marie avec un chrétien, ma famille doit me tuer, évidemment."


Au sujet d’une jeune fille envoyée faire le trottoir par un proxénète tchétchène, un collègue lui a dit que ça ne les regardait pas puisque ça ne se passait pas à l’école.


Lorsque Susanne Wiesinger raconte un peu sa vie à ses élèves, elle est frappée par leur intérêt mais aussi par leur tristesse. Ils mesurent le contraste avec leur propre vie. L’un des points forts de sa carrière est une discussion avec sa classe, lorsqu’elle a parlé de ses peurs de petite fille en entendant des histoires de l’Ancien Testament. Beaucoup lui ont alors confié être effrayés par Dieu et par l’enfer.


Malgré quelques étincelles comme celle-ci, le tableau est terriblement sombre. "Nous sommes impuissants, et souvent je me dis qu’ils ont gagné et que nous avons perdu. Mais en réalité, ce sont les enfants qui ont perdu."

* Le 18 septembre 2017, Bakhti, Afghane de 14 ans, pourtant placée dans un foyer pour échapper à son père violent, a été assassinée par son propre frère dans le quartier viennois de Favoriten. Elle entretenait une relation - probablement platonique - avec un jeune Afghan. (journal Krone du 7.4.18).

Source

Suisse : Le Tribunal fédéral balaye l’initiative anti-foulard à l’école

Le Tribunal fédéral a confirmé l'invalidation de l'initiative «Pour des élèves têtes nues dans les écoles publiques valaisannes» prononcée par le Grand Conseil en décembre 2017.

(...)

La cour fédérale rappelle sa jurisprudence concernant la portée de la liberté de conscience et de croyance et les restrictions imposées dans le cadre de l'école publique. Le port du voile est l'expression d'une conviction religieuse protégée par la Constitution. Une restriction imposée à une élève constituerait une atteinte grave à ce principe.

20Minutes.ch

Genève : Professeur convoqué car ses messages Facebook sont trop à droite.

Un professeur officiant au cycle d'orientation et au collège a été convoqué par le Département de l'instruction publique (DIP) pour un entretien de service le 11 septembre, rapporte «Le Courrier».

L'homme, président de l'association refaire l'école (Arle) et membre de l'UDC, revendique lui-même son appartenance à la droite dure et souverainiste. Il lui est reproché une série de posts Facebook, jugés discriminatoires voire racistes par certains observateurs, dont l'ancienne conseillère d'Etat Martine Brunschwig Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme.

(...)

20Minutes.ch

Nos remerciements à Wilhelm

 

Rappels :

L’Université de Lausanne reste un foyer pour les marxistes: « Certains enseignants se réclament du marxisme révolutionnaire. »

Affaire Ramadan: Martine Brunschwig Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme, était au courant

Martine Brunschwig Graf: «J’ai lu le Coran avec des commentaires. Je n’ai pas vu le rejet des autres religions»

 

Autriche : des enfants catholiques forcés d’apprendre des chants islamiques à l’école primaire

Dans une école primaire de Linz-Auwiesen (école connue de la rédaction), les enfants doivent mémoriser et réciter des chants musulmans dans le cadre de la fête musulmane du Ramadan. Il n'y a pas de moyen d'y échapper: Si vous refusez, vous êtes envoyé chez la directrice !

Le site "Wochenblick" s'est entretenu avec une mère inquiète. Son fils Fabian (nom changé par la rédaction) est catholique et fréquente l'établissement.

Néanmoins, le garçon doit mémoriser les chansons musulmanes par coeur, bien qu'il ne le veuille pas - et cela depuis plus de deux mois! "Nous étions sur le chemin du retour quand il a soudain commencé à chanter" Allah, Allah ", déclare la mère choquée.

Comme le souligne la mère, elle n'a aucun problème avec les autres étudiants qui vivent leurs religions. «J'ai été choquée que tous les enfants aient dû participer», relève-t-elle avec émotion. Elle n'a aucun grief à l'encontre de la fête musulmane. Seulement chaque élève devrait avoir la possibilité de choisir.

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Source Source2

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

France. Islam : Le rappeur Médine est étudié dans les manuels scolaires pour les élèves de terminale

Un extrait d’une chanson de Médine apparaît dans un manuel scolaire d’Histoire destiné aux élèves de terminale.

Apparaître dans un manuel scolaire et être étudié par des élèves. N’est-ce pas la plus belle consécration pour un artiste et encore plus pour un rappeur ? Médine l’auteur du sublime album Prose Acérée, a reposté un tweet d’une élève qui a photographié la page de son manuel d’Histoire, en y ajoutant la légende : “Est-ce que c’est ça rentrer dans l’Histoire ?” On confirme, c’est bien cela.

 

 

Médine rentre dans l’Histoire

Une page entière (dans la partie Guerre d’Algérie) est consacrée à l’apprentissage du texte de son morceau “17 octobre”, un texte fort et engagé qui traite du massacre du 17 octobre 1961, issu de son album Table d’écoute paru en 2006.

Le 17 octobre 1961 à Paris, sous les ordres des hautes autorités, a eu lieu une répression sanglante qui a causé de nombreuses interpellations, ainsi que des morts de manifestants, principalement algériens. Cet épisode douloureux, Médine a choisi de le raconter à sa manière. Avec la force, le storytelling et l’engagement qu’on lui connaît. Réécoutez ou découvrez le morceau ci-dessous, avec les paroles de nos confrères de Genius, c’est mieux !

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Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

France. Islam: « Dans certaines écoles, des petits garçons refusent de donner la main aux petites filles, jugées « impures ». »

Christian Hofer: Exemple flagrant d'hypocrisie ! Parler de machisme quand il s'agit de culture religieuse émanant de certaines communautés bien précises.

Mais subitement, il faut prendre des pincettes. C'est ainsi qu'en Suisse, on va désarmer la population et la surveiller, "en raison du terrorisme". Et surtout pas de l'islam n'est-ce pas?

Quant aux féministes, elles ont soutenu l'islam, le multiculturalisme et l'immigration. Il ne faut surtout pas rappeler aux lecteurs que ces féministes s'opposent en priorité à l'homme blanc, au chrétien et qu'elles portent une lourde responsabilité dans la situation actuelle.

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"Des référents égalité à l'école"

Les pistes de la secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité femmes-hommes pour lutter contre le sexisme à l'école.

N'abandonnons pas les filles ! L'Express consacre cette semaine un dossier aux insultes et violences sexistes qui se multiplient dans les établissements scolaires. Entretien avec la secrétaire d'État chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa.

Dans certaines écoles, la montée de l'intégrisme religieux inquiète les enseignants. Là encore, quelles solutions préconisez-vous ? 

C'est un sujet préoccupant. J'en ai parlé dans le livre que j'ai coécrit, Laïcité, point !, sorti en décembre. J'ai pu l'observer comme maire-adjointe au Mans : dans certaines écoles dont j'avais la responsabilité, les directrices étaient totalement démunies parce qu'il y avait des petites filles déscolarisées et des petits garçons qui refusaient de donner la main aux petites filles, jugées "impures". La réponse est de rappeler les valeurs de la République, parmi lesquelles l'égalité femmes-hommes, y compris aux parents, sans transiger. Je crois vraiment à la vertu de la mixité à tout prix : les garçons et les filles doivent apprendre à partager un même espace de jeu, de vie, à l'école, dans les transports, dès le plus jeune âge. C'est pour cela aussi que le ministre de l'Education a souhaité la mise en place d'une commission laïcité avec un conseil des sages chargé de donner des directives claires pour que les chefs d'établissement ne soient plus démunis. Trop souvent, les équipes éducatives ne savent pas comment réagir et sont un peu isolées face à des parents qui peuvent avoir parfois une attitude un peu frontale à l'égard de la République et de ses institutions, dont l'école.

Les mouvements #MeToo et #BalanceTonPorc, semblent avoir touché presque tous les milieux... mais pas l'école. Pourquoi les féministes ne se sont-elles pas vraiment emparées de cette question, pourtant primordiale ? 

On ne peut pas blâmer le féminisme, qui n'est pas un mouvement monolithique. Et je ne vois pas pourquoi ce serait de la responsabilité des féministes de lutter contre les agressions sexuelles, c'est aussi la responsabilité du droit, de l'éducation, etc. A l'école, ce sont souvent les associations féministes qui interviennent, bénévolement. Or c'est à l'Etat de reprendre la main. Et c'est ce que nous faisons en formant notamment les professionnels d'éducation au recueil de la parole.

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Source et article complet

Nos remerciements à Victoria Valentini

Classes infernales en Romandie: les profs vivent un cauchemar

«Les élèves ne se respectaient pas entre eux et discutaient systématiquement les directives des enseignants, raconte le directeur de Pinchat, Alain Basset. Ils demandaient: «Pourquoi je devrais travailler? Pourquoi je devrais arrêter de discuter?» Malgré l’intervention d’un coach extérieur, «on a constaté que ça n’allait plus du tout», résume-t-il.

«Dans certains établissements secondaires urbains, comme à Genève ou à Lausanne, c’est parfois plus extrême et il devient difficile d’enseigner. Certains élèves très peu scolaires, ou qui ont eu un parcours compliqué, posent des problèmes difficiles à résoudre.»

A Pinchat, beaucoup d’élèves de R1/CT sont d’origine étrangère: Portugal, Espagne, Amérique du Sud, Kosovo, Balkans, voire pays arabes… Leurs parents parlent parfois mal français et ne peuvent pas aider pour les devoirs – une proportion de dix devoirs non faits sur douze n’est pas exceptionnelle.

Source et  article complet

Nos remerciements à Patrick Stocco

Allemagne: Des écoliers non musulmans subissent les sévices des musulmans. « Les attaques deviennent monnaie courante dans certaines écoles. »

"Elle a été battue et agressée verbalement sur le chemin de l'école", a déclaré la mère, expliquant que les sévices étaient dus au fait que sa fille avait les cheveux blonds, ne portait pas de foulard, portait un prénom hébreu et était chrétienne.

Quand le directeur a été informé de la situation, il a déclaré à la mère que sa fille devait se couvrir avec un hijab.

"Votre fille n'a pas à dire qu'elle est allemande. D'ailleurs, vous pouvez lui donner un foulard! ".

L'école a refusé de commenter l'information.

Pendant ce temps, dans une autre école à Ennepetal, les enfants ont été intimidés pour avoir mangé des oursons en gomme parce que les bonbons «impurs» contiennent de la gélatine de porc et ne sont donc pas halal.

Le rapport mentionne également le cas de deux élèves de quatrième année de Bavière, qui sont revenus à la maison en pleurant avant de confier à leur père: «Cet étudiant a dit qu'il nous coupera la tête parce que nous sommes chrétiens.

La mère d'une élève de troisième année à Bonn s'est également plainte auprès d'une école après qu'un étudiant musulman ait dit à sa fille: «Vos parents brûleront en enfer s'ils ne croient pas en Allah».

L'histoire donne un exemple supplémentaire de l'intimidation religieuse et de la prise de contrôle islamiste des écoles dans les zones peuplées de migrants en Allemagne.

"Les enseignants musulmans discriminent les étudiants catholiques"

Une mère de Rhénanie du Nord-Westphalie déclare: «En tant que catholique pratiquant, mon fils se trouve dans une école secondaire, fréquentée principalement par des enfants et des adolescents de confession musulmane. Il subit souvent des attaques verbales de ses camarades de classe ainsi que des inégalités de la part des enseignants qui sont également musulmans. "

Comme nous l'avons signalé hier, le président de l'Association allemande des enseignants a averti que les écoles ayant plus de 70% d'étudiants migrants sont en train de dégénérer, les attaques contre les enseignantes et les étudiants juifs devenant monnaie courante.

Heinz-Peter Meidinger a expliqué au journal BILD que l'histoire concernant des étudiants migrants musulmans à Berlin faisant circuler des vidéos de décapitation de l'Etat islamique n'était pas un cas isolé et qu'une telle propagande «se répandait comme une traînée de poudre».

Meidinger a déclaré que la présence de gardes de sécurité dans les écoles (une chose rare dans les pays européens) était «synonyme de capitulation» et que la situation s'était aggravée depuis l'afflux d'environ 2 millions de nouveaux migrants à partir de 2015.

Source Source2 Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

Rappels:

Berlin: Une élève de 2ème année menacée de mort car elle ne croit pas en Allah. « Plus de 70% des étudiants ne sont pas allemands. »

Une enseignante à Vienne: sur 25 élèves, il y en a 21 à intégrer. « Le plus important pour eux c’est d’être un bon musulman. »

Autriche. Bad Hofgastein: Un jeune Syrien de 10 ans menace de mort ses camarades. Les parents ont peur.