Reims : un Congolais, au bénéfice du statut de réfugié, écroué pour le meurtre et le viol d’un travesti

Ce Congolais, ayant le statut de réfugié, avait déjà été mis en examen pour une tentative d'homicide sur une escort-girl transsexuelle à Évry en 2019.

Un homme de 27 ans a été écroué pour meurtre et viol aggravés par l'orientation sexuelle de la victime, soupçonné d'avoir violé et égorgé chez lui un homme qui se travestissait, puis incendié son appartement, a annoncé vendredi 16 avril Matthieu Bourrette, procureur de la République de Reims.

(...)

Le Figaro

Nos remerciements à Dany Riviera

Un islamiste jugé en Allemagne pour un meurtre homophobe. Il était venu en tant que réfugié.

Le procès d’un réfugié syrien qui avait attaqué au couteau deux hommes gays en octobre 2020, tuant l’un d’eux, s’est ouvert lundi à Dresde.

(...)

Abdullah A. H. H., âgé de 21 ans et déjà condamné par le passé pour avoir tenté de recruter des soutiens pour l’organisation État islamique (EI) est accusé de «meurtre, tentative de meurtre et lésions corporelles dangereuses».

(...)

L’affaire avait fait grand bruit en Allemagne à l’époque car le suspect, qui avait déjà fait l’objet par le passé de plusieurs condamnations pour actes de violence et purgé des peines de prison, avait été remis en liberté le 29 septembre, soit quelques jours avant l’attaque mortelle.

(...)

20min.ch


Note : Pendant ce temps, voici la propagande à laquelle les Européens sont soumis par les instances supranationales (Agence des Nations Unis pour les réfugiés) sans qu'on leur demande leur avis. En effet, en 2020, la Suisse a contribué à hauteur de 41,92 millions de dollars au HCR – un montant en légère augmentation par rapport à 2019, ce qui fait de la Suisse le 12e plus grand donateur gouvernemental du HCR en 2020.

 

 

 

(Nos remerciements à Samantha Smith)

Bavière : Violée par un réfugié d’Érythrée à deux reprises, une Allemande est abandonnée par l’administration de son propre pays

Daniela R., 27 ans, kinésithérapeute en formation, a été violée en août. Jusqu'à aujourd'hui, elle est sans abri, sans argent et sans perspectives d'avenir. Jusqu'à récemment, son assurance maladie ne voulait même pas payer son test VIH.

Munich - Daniela R. rencontre le jeune homme le 10 août au pont de l'Isar à Bad Tölz* autour d'une cigarette [NDLR : dans un autre article, le journaliste précise qu'il s'agit d'un réfugié d'Erythrée]. Elle l'accompagne à son appartement. Là, le jeune homme de 22 ans l'attaque, la maltraite, l'étrangle, la viole et la menace de mort. Secrètement, face à la crainte de la mort, Daniela R. écrit à ses colocataires. Ce sont des messages WhatsApp* désespérés auxquels personne ne répond. Le jeune homme de 22 ans la viole une seconde fois, puis s'endort. À un moment donné, Daniela R. ose composer le 911. Elle est secourue par la police.

Entre-temps, l'auteur du délit a été condamné*. Sept ans d'emprisonnement pour viol aggravé. Alors dossier clos ? Pour l'agresseur, peut-être. Pour la victime, la nuit du crime a marqué le début d'une lutte pour la survie qui se poursuit encore aujourd'hui.

Daniela R., cheveux blonds, yeux bleus, 27 ans, semble organisée et ordonnée. Seuls ses yeux qui rougissent de plus en plus et les traits doux de son visage, soudainement déformés par la douleur, laissent deviner le poids du traumatisme.

Violée, puis abandonnée par tout le monde

Non seulement parce qu'elle a été violée, mais aussi parce qu'elle a d'abord été victime et ensuite abandonnée par tout le monde. Daniela ne veut pas de pitié. Elle veut que son histoire soit entendue afin qu'une telle chose n'arrive à personne d'autre. Par exemple, le choc à la pharmacie, lorsque Daniela doit payer la pilule du lendemain et qu'elle craint de ne pas avoir assez d'argent sur son compte. 35 euros. Daniela vit de l'allocation chômage II et elle est complètement fauchée. Des secondes angoissantes. Puis ça lui revient. Elle vient de gagner son recours contre l'agence pour l'emploi. Il y a assez d'argent pour la pilule du lendemain. Juste assez. C'est la première fois que Daniela R. se sent complètement impuissante et très seule depuis que la police l'a secourue.

Le viol n'est pas une raison : l'assurance maladie ne veut pas prendre en charge le test de dépistage du VIH

Daniela et son gynécologue ne savent pas encore qu'elle doit également payer les frais de laboratoire pour tous les tests de dépistage des maladies sexuellement transmissibles, y compris le test VIH. Avec les coûts des séjours hospitaliers, cela représente 500 euros. Depuis, Daniela se bat pour être remboursée.

Violée - et deux jours plus tard SDF - Daniela devient une vagabonde

Le 13 août, ses colocataires mettent Daniela R. à la porte de son appartement de Tölz parce qu'ils ne veulent pas avoir affaire à la police. Daniela ne dispose pas d'un bail régulier. Deux jours après avoir été violée, Daniela devient une sans abri.

Depuis ce jour, Daniela ne vit plus dans un appartement à elle. Elle devient une vagabonde au milieu de la Haute Bavière. Et la peur l'habite toujours. La panique de devoir aller dans un endroit où elle vit sans protection avec des hommes étrangers. "J'avais incroyablement peur. Tout le temps." A l'époque, les seules personnes de confiance étaient les fonctionnaires de la police judiciaire de Weilheim. "Il n'y a que là que je me suis sentie en sécurité." Bien sûr, ils ne peuvent pas non plus l'aider à trouver un endroit où vivre. Elle n'était pas autorisée à dormir dans les cellules.

Un refuge pour femmes ? Daniela R. n'y a pas droit

Daniela R. appelle le service d'urgence pour les femmes. Là, on lui dit qu'elle n'a pas droit à une place dans un foyer pour femmes. Les places y sont réservées aux victimes de violences domestiques. Ce n'est pas le cas de Daniela.

Dans sa détresse, Daniela est admise dans une clinique. Là-bas, on lui dit qu'elle a besoin d'un soutien psychologique pour gérer le traumatisme. Mais les places sont entièrement réservées. Daniela reste dans le service normal pour les patients psychiatriques.

Accusations dans la clinique : "Ce n'est pas un refuge pour sans-abri", déclare une infirmière.

[...]

La clinique n'est pas un refuge pour sans-abri, lui dit une infirmière. De vrais patients auraient besoin de son lit. "Je me suis sentie comme une coupable à ce moment-là." Daniela emménage avec un ami. Il n'y a qu'une seule pièce, un seul lit, aucune intimité. Pourtant, pour la première fois, Daniela se sent en sécurité - et en même temps, elle sait qu'elle doit aller de l'avant.

L'organisation der Weisse Ring [NDLR : Association à but non lucratif qui aide les personnes ayant été victimes d'un crime.] la soutient depuis le début. Elle souhaite prendre en charge les frais de laboratoire et les frais médicaux. Daniela demande à l'agence pour l'emploi si elle est autorisée à accepter l'allocation ou si les vivres lui seront alors coupés. On lui répond qu'elle devrait le justifier dans une demande. Daniela écrit plusieurs pages. La demande est rejetée.

En fait, les bénéficiaires d'allocations de chômage sont autorisés à accepter des dons. C'est simplement que les travailleurs sociaux ne le savent pas toujours. (...) "Daniela R. a eu beaucoup de chance là-bas. Vous n'imaginez pas le nombre d'affaires de viols qui sont abandonnées." déclare Andrea Hölzel, membre de l'Anneau blanc, qui s'occupe de Daniela.

Six mois après le crime, l'assurance maladie paie

Entre-temps, plus de six mois après le crime, Daniela a reçu un contrat de location pour un appartement social. La caisse d'assurance maladie a également pris contact, après que Daniela a accumulé une longue correspondance avec elle, avec l'Association bavaroise des médecins de l'assurance maladie obligatoire et même avec l'Ordre des médecins bavarois. On lui a dit que les coûts seraient finalement couverts. Il s'agissait d'une "décision au cas par cas". Daniela a remboursé le don reçu de l'Anneau Blanc.

Alors au final, tout va bien ? Dossier clos ? Daniela hésite, regarde le ciel ensoleillé de Munich. "Je ne sais pas." La jeune femme de 27 ans apprend actuellement le métier de kinésithérapeute, mais un jour, elle devra avoir un contact physique étroit et quotidien avec des inconnus, "je ne sais pas si je le pourrai". Daniela est traumatisée. Il est difficile de dire si c'est à cause du crime de la mi-août ou de ses expériences des mois suivants.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Merkur.de (1) / Merkur.de (2)


Note : Depuis de nombreuses années, il est plus facile de vivre en tant que réfugié en Europe qu'en tant qu'Européen pauvre. Si un racisme systémique existe, il est dirigé contre les autochtones et ce sont nos propres gouvernements qui l'organisent, avec notre argent. Nos dirigeants nous imposent une immigration criminelle et patriarcale que nous ne voulons pas et nous abandonnent face à leurs violences sous couvert "d'enrichissement multiculturel" alors qu'ils connaissent la vérité.

Autriche : un réfugié afghan, qui se faisait passer pour un footballeur sur Instagram, condamné pour avoir violé plusieurs jeunes filles mineures

Autriche – Ce jeune homme s’était fait passer pour un footballeur séduisant via Instagram et avait ainsi persuadé des filles de le rencontrer à Vienne – cela a conduit à des abus sexuels. Il a été condamné mercredi à trois ans et demi de prison pour viols et abus sexuels sur mineurs.

Le prévenu, originaire d’Afghanistan, est arrivé en Autriche en tant que réfugié en 2015, où il a appris l’allemand et poursuivi des études. Il avait une petite amie stable, de deux ans sa cadette, une Autrichienne, qu’il appelait sa fiancée. Malgré cela, il a contacté plus de 100 filles inconnues avec un faux profil Instagram, se faisant passer pour un footballeur et un mannequin et proposant de l’argent, des iPhones ou des AirPods en échange de relations sexuelles.

Plus de 30 filles ont répondu et ont engagé des conversations avec le prétendu footballeur. Comme l’apparence de l’accusé ne correspondait manifestement pas aux photos qu’il avait utilisées pour attirer les adolescents, il a prétendu être un ami du footballeur et a ensuite emmené chacune des victimes dans le sous-sol d’un bâtiment condamné, où les viols ont eu lieu.

(…)

Krone

Via Fdesouche

Neuchâtel : Au bénéfice du doute, un requérant d’asile libéré après avoir été accusé de viol. Il recevra 2’800 francs de dédommagement.

C’était la parole de l’un contre celle de l’autre et il n’y a pas de témoin. Un requérant d’asile camerounais poursuivi pour viol et acte sexuel avec une personne incapable de discernement a été acquitté lundi par le Tribunal du Littoral.

(...)

20min.ch

Uelzen (All.) : Une adolescente violée par deux réfugiés syriens qu’elle avait aidés. Ils sont condamnés à du sursis.

L'adolescente a aidé les deux jeunes hommes à s'intégrer, leur a même donné des cours d'allemand. Puis ils ont violé l'écolière de 15 ans.

Quatre ans après le crime, Annika R. (nom modifié, maintenant âgée de 19 ans) de Hanovre a fait face à ses bourreaux. Le tribunal de district de Uelzen a maintenant déclaré Mohamad T. (24 ans) et Schadi A. (24 ans) coupables.

En été 2016, la fille d'une aide aux réfugiés avait visité le logement des Syriens dans le district de Lüchow-Dannenberg. Au début, ils ont bu du thé dans la pièce, puis l'ambiance a basculé. Selon l'acte d'accusation, Mohamad T. a soudainement tenu les bras de la jeune fille pendant que son complice la déshabillait et la violait.

Après l'agression sexuelle, le duo a menacé : "Si tu dis quoi que ce soit, nous tuerons toute ta famille."

Ce n'est qu'un an plus tard, alors que l'un des agresseurs devait s'installer dans sa maison, qu'elle a rompu le silence.

Lors du procès devant le tribunal pour mineurs (les accusés étant adolescents au moment du crime) le duo, jusqu'alors impuni, a nié le crime. Verdict : deux ans de prison avec sursis pour Schadi A., 18 mois pour son complice, plus une amende de 500 euros chacun.

Björn Nordmann, avocat de la victime : "Il est important pour mon client que le tribunal l'ait cru. Les quatre dernières années ont été difficiles pour elle".

Les avocats de la défense des deux hommes ont fait appel du verdict.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Agression de Neuchâtel : le réfugié afghan aurait trouvé l’acide sur son lieu de travail

Cet Afghan, qui nie les faits, est l’unique suspect de cet assaut (...).

L’acide utilisé est particulièrement corrosif. En témoignent les spectaculaires éclaboussures blanches qui ont littéralement rongé le revêtement gris foncé du garage souterrain, ainsi que les marches d’escalier en béton longeant la rampe d’accès. (...)

(...)

TdG


Rappels :

Neuchâtel : Agression à l’acide par un Afghan. Il s’agit de l’ex-petit ami de la victime. Il avait déjà été condamné en tant que mineur puis en tant que majeur.

Berne offre 26 millions à l’Afghanistan, pays anti-chrétiens

Ada Marra : « La Suisse doit accueillir un nombre significatif de réfugié-e-s de Lesbos, et exiger la même chose des États membres de l’Union européenne. »

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

Le président du Kosovo Hashim Thaçi, inculpé pour crimes de guerre, démissionne. Il avait été accueilli en Suisse en tant que réfugié!

Suisse. Les communautés religieuses exigent (!) davantage de protection pour les réfugiés

Neuchâtel : Agression à l’acide par un Afghan. Il s’agit de l’ex-petit ami de la victime. Il avait déjà été condamné en tant que mineur puis en tant que majeur.

La jeune femme attaquée avec de l'acide le jeudi 11 février 2021 dans un parking souterrain à Neuchâtel, connaissait son agresseur.

L'auteur présumé de l'attaque à l'acide dont a été victime une jeune femme de 24 ans jeudi 11 février 2021 dans un parking souterrain à Neuchâtel, a été agressée par son ex petit-ami. Afin de faire taire certaines rumeurs qui ont été colportées par les réseaux sociaux, il est précisé qu'il ne s'agit pas d'une attaque terroriste. L'auteur présumé vient d'Afghanistan, comme certains médias l'ont publié. Il vit en Suisse depuis plusieurs années. Il a entretenu une relation sentimentale avec la victime pendant quelques mois.

Depuis qu'il est majeur, le prévenu a été condamné à une reprise pour une infraction qui n'a rien à voir avec les faits qui lui sont actuellement reprochés, portant sur la loi fédérale sur les étrangers et l'intégration. Il est connu de la Police neuchâteloise pour avoir été mêlé à des activités délictueuses alors qu'il était mineur. À ce stade de l'enquête, il n'admet pas les faits.

Les témoins qui se sont annoncés à la police ont permis d'apporter des nombreuses précisions utiles à l'enquête. Pour les besoins de celle-ci, il n'est pas possible d'y revenir en détail.

L'enquête vise à réunir les éléments à charge et à décharge. Elle devra également permettre de déterminer les motifs de l'infraction, sa préparation, ainsi que les détails de son exécution.

La victime a pu quitter le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) à Lausanne.

Police de Neuchâtel


Rappels :

Neuchâtel. Attaque à l’acide sur une jeune femme : un réfugié afghan arrêté

Berne offre 26 millions à l’Afghanistan, pays anti-chrétiens

Ada Marra : « La Suisse doit accueillir un nombre significatif de réfugié-e-s de Lesbos, et exiger la même chose des États membres de l’Union européenne. »

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

Le président du Kosovo Hashim Thaçi, inculpé pour crimes de guerre, démissionne. Il avait été accueilli en Suisse en tant que réfugié!

Suisse. Les communautés religieuses exigent (!) davantage de protection pour les réfugiés

Dresde (All.) : l’Afghan, jugé pour tentative de viol sur une adolescente, essaie de se rajeunir afin de ne pas être condamné

Neuchâtel. Attaque à l’acide sur une jeune femme : un réfugié afghan arrêté

Une attaque à l'acide sur une femme de 24 ans a eu lieu jeudi à Neuchâtel. Un suspect de 19 ans a été placé en détention.

Attaque insidieuse à Neuchâtel. Une femme suisse a été aspergée d'acide dans le garage souterrain de son immeuble. Elle a d'abord été transportée à l'hôpital par le service d'ambulance de Neuchâtel. Elle a ensuite été transportée à l'hôpital universitaire de Lausanne.

Comme l'écrite la police cantonale neuchâteloise dans un communiqué, le crime a eu lieu jeudi matin à 7h53 à la rue de l'Evole 53.

La victime se nomme Elise T.* (24 ans). "C'est une personne merveilleuse", déclare un voisin au journal Lematin.ch. "Une jolie fille, très jolie." Elise a également participé à un concours de beauté en Suisse romande il y a quelques années.

 

 

Le suspect est un réfugié d'Afghanistan, comme l'a expliqué Georges-André Lozouet, porte-parole de la police cantonale neuchâteloise au BLICK.

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à N Brady


Rappels :

Ada Marra : « La Suisse doit accueillir un nombre significatif de réfugié-e-s de Lesbos, et exiger la même chose des États membres de l’Union européenne. »

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

Le président du Kosovo Hashim Thaçi, inculpé pour crimes de guerre, démissionne. Il avait été accueilli en Suisse en tant que réfugié!

Suisse. Les communautés religieuses exigent (!) davantage de protection pour les réfugiés

Neu-Anspach (All.) : Un Afghan et un Syrien menacent un Allemand avec un pistolet, le frappent à coups de pieds et le poignardent

Suède : Un Afghan en détention pour viol bestial sur une personne handicapée – la victime a subi de graves blessures

Plattling (All.) : L’Afghan massacre sa petite amie à coups de couteaux par jalousie « Ce n’est qu’une femme »

Suède : Des migrants afghans arrêtés pour avoir violé “sur une longue période” des jeunes filles mineures. Ils filmaient les viols et utilisaient ces vidéos pour faire chanter leurs victimes

Allemagne : interpellé le 20 juin pour un viol d’enfant, un réfugié afghan, trafiquant de drogue de son état, est relâché, il réitère le 24 juillet en violant une adolescente de 13 ans

Berne offre 26 millions à l’Afghanistan, pays anti-chrétiens

Plattling (All.) : L’Afghan massacre sa petite amie à coups de couteaux par jalousie « Ce n’est qu’une femme »

Deggendorf (Bavière) - Tatjana S. (morte à 20 ans) était elle-même presque une enfant lorsqu'elle a rencontré l'Afghan Shaeiq S. (28 ans), plongeur dans un restaurant, en 2015. Cinq ans plus tard, il l'a poignardée à mort devant sa fille âgée de huit mois seulement au snack-bar qu'ils partageaient à Plattling (Bavière) !

Depuis lundi, le réfugié, qui vit en Allemagne depuis 2013 et qui attend toujours que sa demande d'asile soit approuvée, est jugé pour meurtre par le tribunal régional de Deggendorf.

Shaeiq S. décrit l'acte du 6 août 2020 : "J'ai demandé à Tatjana si elle m'avait trompé. Elle a dit oui, à plusieurs reprises, c'est alors que j'ai complètement perdu le contrôle".

Selon le procureur Stefan Brunner, l'accusé avait menacé sa femme, qui était mariée selon la loi islamique, la nuit précédente par SMS : "Honte à toi, salope" ou "Qu'Allah te punisse, Inshallah !

Lorsque Tatjana S. est arrivée au snack-bar avec sa fille dans la voiture vers 20 heures, Shaeiq S. a bloqué la porte. (...) Il l'a poignardée avec un couteau de cuisine.

Comme le couteau s'est plié, Tatjana S. a pu s'enfuir dans sa voiture, mais elle a été rattrapée par son mari. Avec un autre couteau Santoku (couteau universel japonais, ndlr), il a achevé son cruel forfait - au total, Tatjana S. a reçu 18 coups de couteau dans le corps.

(...)

Selon l'acte d'accusation, il a crié : "Je ne suis pas le diable, c'est elle le diable. Je m'appelle Adam. Elle c'est Eve, c'est juste une femme."

Au début du procès, l'homme qui possède un casier judiciaire ne pouvait plus expliquer l'acte de folie : "Aucune personne normale ne fait une chose pareille, mais quand je bois, je ne me connais pas moi-même".

Il aurait consommé plusieurs whisky-cola le jour du crime. Il ne sait pas comment le couteau s'est retrouvé dans sa main. (...)

Selon l'enquête, Tatjana S. voulait se séparer du père de son enfant à cause de son ivresse et de sa jalousie constante et vendre la société en commun "Shakas Imbiss".

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de/regional

Suisse : Un coût de 1,37 million pour une famille de réfugiés érythréens. Les communes redoutent une explosion des coûts liés à l’asile.

Dans le canton de Zurich, une famille de réfugiés a déjà coûté aux autorités plus d'un million de francs. Un cas isolé à cette échelle - pourtant, de nombreuses municipalités gémissent sous l'effet de la hausse des coûts.

Une famille de cinq personnes originaires d'Érythrée a coûté 1,37 million de francs suisses à une municipalité zurichoise au cours des cinq dernières années. La raison de ce montant élevé : la famille ne dépendait pas seulement de l'aide sociale, le mariage a été également rompu. En raison de la violence domestique la municipalité a dû louer plusieurs appartements. En outre, le KESB a dû intervenir, tout comme le foyer pour femmes. Cela a également provoqué un coût important.

Combien de personnes dans le secteur de l'asile et des réfugiés reçoivent-elles une assistance sociale ?

En 2018, 31'900 réfugiés ayant obtenu l’asile et 31'800 personnes admises provisoirement - c’est-à-dire des personnes dont la demande d’asile a été rejetée mais qui ne peuvent pas être rapatriées dans leur pays d’origine - bénéficiaient de l’aide sociale.

Par rapport à 2016, ce nombre a augmenté de 10 000 personnes chacun.

En revanche, le nombre de demandeurs d'asile en attente d'une décision et bénéficiant d'une aide sociale a diminué au cours des trois dernières années (voir encadré).

Une comparaison par statut de résidence montre l'image suivante :

 

Quelles nationalités sont particulièrement concernées par l'aide sociale ?

Dans le secteur des réfugiés - réfugiés avec asile, permis B et réfugiés admis provisoirement bénéficiant d'une assistance sociale (permis F) - les Érythréens et les Syriens possèdent les chiffres les plus élevés, avec un taux de 85 % ou plus. Les ressortissants érythréens représentent plus de 50 % des bénéficiaires de l'aide sociale dans le secteur de l'asile.

 

 

Quelle est le succès du processus d'intégration après 5 ans ?

Les statistiques sur l'asile pour 2018 montrent que le nombre de réfugiés qui trouvent un emploi augmente graduellement avec la durée du séjour. Pour les réfugiés reconnus avec un permis B, 7,4 % d'entre eux avaient trouvé un emploi au bout de deux à trois ans, seuls. Après quatre à cinq ans, ce chiffre atteint 26 %, et après plus de sept ans, il s'élève à plus de la moitié.

Le gouvernement fédéral perçoit des obstacles à l'intégration sur les points suivants : "L'acquisition de la langue, les qualifications professionnelles, une bonne santé et un minimum d'intégration sociale et culturelle sont souvent des conditions préalables à une libération complète de l'aide sociale.

Quel est le coût total annuel ?

En 2018, le gouvernement fédéral a versé aux cantons un peu moins d'un milliard pour l'aide sociale aux réfugiés et aux demandeurs d'asile. Cet argent est destiné au logement, à l'accompagnement et aux soins de santé [NDLR : Pendant ce temps, de nombreux Suisses ne parviennent plus à payer les caisses maladie et se privent de soins]. La Confédération verse aux cantons 1 500 francs par an et par personne, plus un montant forfaitaire d'intégration de 18 000 francs par an. "D'un point de vue national, les montants forfaitaires fédéraux couvrent les coûts des cantons", déclare le porte-parole du SEM, Lukas Rieder.

[...]

Cependant, d'autres cas engendrant des coûts très élevés sont connus : La municipalité d'Aarburg, qui a connu des difficultés financières en raison de l'augmentation des dépenses sociales, a fait la une des journaux.  En 2016, selon le «Blick», le "champion" d’Aarburg était une famille irakienne de quatre personnes qui avait reçu jusqu’alors 580 000 francs d’aide sociale.

Pendant ce temps, des problèmes similaires se posent dans les communautés de tout le pays. En effet, pour de nombreuses personnes qui se sont réfugiées en Suisse entre 2014 et 2016, ce sont les communes qui devront payer au cours des deux prochaines années. La Conférence suisse de l'aide sociale prévoit 22 000 réfugiés et personnes admises temporairement supplémentaires en 2022, ce qui entraînera des coûts additionnels élevés. "Dans ce domaine, il est donc nécessaire de mettre en place un mécanisme pour compenser cette évolution", peut-on lire dans un rapport. En d'autres termes : davantage de financement fédéral.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

20min.ch

Nos remerciements à Info


Rappels :

Les demandeurs d’asile algériens posent de graves problèmes, mais la Suisse ne peut pas les expulser

RTS – Boudry, reportage sur la délinquance des requérants d’asile vivant au Centre fédéral de Perreux

La commissaire européenne aux Affaires intérieures plaide pour un mécanisme de solidarité obligatoire dans le pacte européen sur la migration et l’asile

Suisse : Un demandeur d’asile aurait financé l’Etat islamique avec l’aide sociale

Zurich : Un requérant d’asile débouté, déjà condamné à 11 reprises, avoue le viol d’une étudiante. Sa peine est réduite.

Suisse : Un requérant d’asile libyen, voleur de voitures, force deux barrages au Tessin

Lugano : Rixe sanglante au couteau entre demandeurs d’asile (Vidéo)

Suisse: Tous les jihadistes irakiens de l’Etat islamique ont retrouvé la liberté. Ils demandent l’asile et l’aide sociale.

Suisse : l’asile sous la menace djihadiste

Berlin : un migrant syrien demande à de jeunes Allemands d’embrasser le coran aux cris d’Allah Akbar. En échange, ils reçoivent des produits électroniques

La scène : l'Alexanderplatz, très animée, à Berlin. Dans sa dernière vidéo, Kanfash donne des iPhones et des MacBooks aux jeunes.

Mais le youtubeur, qui vient de Damas et qui est arrivé en Allemagne en 2016, attend quelque chose en retour : les adolescents doivent embrasser le Coran. Trois fois. S'ils réussissent le pari, on entendra crier "Allahu Akbar" en arrière-plan.

 

 

Cette opération soulève une question : Où le bénéficiaire de Hartz IV [NDLR : système d'aide sociale et de chômage], qui prétend ne pas être islamiste, trouve-t-il l'argent pour ces produits électroniques coûteux ?

Vendredi soir déjà, la police se trouvait chez lui à Luckenwalde (Teltow-Fläming). "Nous avons fouillé l'appartement" a déclaré un porte-parole de la police au journal Bild. Le but exact de la perquisition était inconnu dans un premier temps. Le policier n'a pas voulu donner de détails. Le fait est que les agents ont saisi le téléphone portable et les relevés bancaires du youtubeur.

Le motif était lié à la vidéo qu’il avait récemment diffusée. Celle-ci montrait une course-poursuite mise en scène avec des tirs truqués et des individus habillés en policiers. La vidéo a provoqué des remous médiatiques.

Selon le rapport, Kanfash a remis le pistolet d'alarme et les munitions directement aux policiers. Le youtubeur (actuellement 1,02 million d'abonnés) veut faire son entrée dans l'industrie du cinéma avec ses vidéos douteuses.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Tag24.de / Bild.de

Un islamiste syrien qui préparait un attentat a coûté plus de 5 millions d’euros aux contribuables allemands

Bitterfeld - Pendant quatre ans, Ayman N. (19 ans), compagnon de route de l'Etat islamique, a occupé la police et la justice.

Parce qu’il est considéré comme très dangereux, l’islamiste a été surveillé 24 heures sur 24, pour un coût de plus de 5 millions d’euros. À la fin du mois d’août, l’Office des étrangers a déclaré qu’il était impossible de procéder à une expulsion.

Après son arrivée en Allemagne, le Syrien avait annoncé un attentat dans des groupes de discussion secrets, tentant d'acheter des armes et des explosifs sur Internet. En septembre 2017, il s'est présenté devant le tribunal régional de Halle. La procédure a été transmise au Conseil de la Protection de l’État du Tribunal de Berlin, puis le mandat d’arrêt a été révoqué.

Ayman N vivait à Friedersdorf, et était surveillé 24 heures sur 24 par quatre policiers.Le district compétent a déclaré que, dans son cas, une interdiction de "refoulement" était en vigueur dans la zone de guerre syrienne. A présent, les autorités fédérales ont réussi à le faire accepter par le Soudan.

Un porte-parole de la magistrature déclare : « S’il rentre en Allemagne, il doit s’attendre à une arrestation immédiate."

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Allemagne : Un réfugié syrien égorge sa jeune femme devant leurs enfants pour laver son « honneur ».

Note : Toute l'Europe est touchée : des parents qui vivent en Belgique, les cousins sur place, la femme et les enfants qui rejoignent le "réfugié". Et cerise sur le gâteau : un mariage avec une adolescente de 14 ans qui est reconnu par les autorités allemandes avec à la clé un "crime d'honneur" où une jeune femme se retrouve la gorge tranchée.

C'est ce que la gauche appelle "l'enrichissement".


Il est peu avant minuit à Paderborn-Sennelager. Action policière dans la rue Am Heilandsfrieden. Un homme est allongé sur le sol, un policier l'attache.

L'homme couché sur le sol est un meurtrier. Il a tranché la gorge de sa jeune épouse sur le siège passager de sa VW Golf ! devant leurs trois petites filles. Le crime qui a eu lieu devant la porte de la maison où vivait la famille reflète la tragédie d'une famille de réfugiés syriens.

L'assassin, qui est en détention depuis jeudi pour suspicion de meurtre, se nomme Wahid A. (29 ans). La victime, Nuha (20 ans), était sa femme.

Le couple est originaire d'Idlib, un bastion rebelle du nord de la Syrie. Ils se sont mariés fin 2014, alors que Nuha avait moins de 15 ans - et peu après, elle était enceinte.

En mai 2015, Wahid A. a quitté sa femme et s'est rendu en Allemagne en tant que réfugié. Nuha a donné naissance à des jumeaux et en octobre 2015, elle a été autorisée à rejoindre la famille en Allemagne.

En 2017, à l'âge de 17 ans, Nuha a donné naissance à une autre fille.

► Qu'est-ce qui a conduit à cette catastrophe ?

Djamal H. (nom changé), un parent de l'auteur des faits qui vit à proximité, explique au journal Bild am Sonntag le contexte. Le mariage a été rompu il y a quelques semaines. Djamal déclare : "Wahid était convaincu que sa femme avait une liaison avec son cousin. Il m'a ensuite amené ses enfants pour qu'ils n'aient pas à assister à la dispute".

Puis des parents de la jeune épouse, vivant en Belgique, sont venus à Paderborn. Ils ont essayé de servir de médiateur, de convaincre Wahid A. qu'il n'y avait pas de liaison.

"Mardi, Wahid et sa femme sont venus chercher les enfants chez moi. Il m'a dit qu'il lui avait pardonné", a déclaré Djamal H. "Puis ils sont descendus."

Ce n'est pas une fin heureuse. C'est une véritable horreur !

Djamal H. raconte : "Quelques minutes plus tard, Wahid a sonné à ma porte. Il se tenait devant moi avec les enfants et était couvert de sang. Il a dit : "Elle a menti et m'a trahi. Je l'ai tuée et j'ai lavé la honte de mon honneur."

Selon le rapport d'autopsie, Nuha s'est vidé de son sang. L'auteur lui a tranché le cou et l'a poignardée à plusieurs reprises au niveau du torse et de la tête.

A présent, Wahid A. reste silencieux.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Allemagne : le terroriste musulman voulait « massacrer » les chrétiens et leur « couper la langue »

Note : Ce Syrien était "toléré" sur le territoire allemand tout comme de nombreux autres, grâce à la décision de Merkel ordonnant d'ouvrir les portes de l'Allemagne (et de l'Europe par la même occasion) aux migrants en 2015.

La police allemande, comme la police suisse dans le cas de Morges, a été incapable de protéger la population. Est-ce ainsi que les Européens veulent vivre, en accueillant encore davantage de migrants ?


Le tueur de Dresde, qui a poignardé un touriste et gravement blessé un autre, était connu pour être une menace. Il s'est radicalisé peu après son arrivée en Allemagne, menaçant les personnes d'autres confessions de la manière la plus dégoûtante qui soit.

Abdullah Al Haj Hasan a été emprisonné, sa libération a été assortie de diverses conditions et il était sous surveillance - mais pas complètement. Comment les autorités expliquent les mesures prises à l'encontre de cet homme de 20 ans et quelles erreurs incroyables ont été commises dans cette affaire [...]

Bild (article réservé aux abonnés)

Nos remerciements à Para bellum

Allemagne : un réfugié syrien avait mis le feu à son magasin pour récolter l’argent des assurances et des dons tout en prétendant être la cible de « xénophobes »

Un détaillant en alimentation doit être placé en prison durant trois ans. Le tribunal de district de Hagen considère qu'il est prouvé que l'homme de 35 ans a mis le feu à son magasin de Wetter en 2018 afin de récolter l'argent des assurances et des dons.

L'histoire de Mohammad Moussa A. avait secoué la population de Wetter en 2018 : "Incendie criminel d'un marchand de fruits et de légumes syrien". Avant cela, il prétendait avoir reçu des lettres de menaces.

 

https://www.youtube.com/watch?v=sWOvh60VNnQ

 

Une attaque xénophobe (aucune attaque xénophobe en réalité)

C'est lui-même qui a dénoncé publiquement une attaque xénophobe. Les gens l'ont cru. Depuis avril 2018, il y a donc eu une grande vague de solidarité dans la ville de Wetter. De nombreuses écoles et clubs ont fait des dons à la famille du commerçant. Des bénévoles ont aidé à reconstruire la boutique.

La société civile avait clairement exprimé son opposition à la xénophobie par le biais de nombreux événements et les politiciens étaient également présents : les maires et l'ensemble du conseil municipal, tous partis confondus, sont venus pour exprimer leur solidarité avec l'homme.

Un marchand de fruits et légumes douteux

Le problème : le Syrien qui s'était réfugié en Allemagne en 2015 avait lui-même mis le feu. Le tribunal de district de Hagen en est convaincu et l'a condamné à trois ans de prison : Simulation de crime, fraude, lésions corporelles simples et dangereuses, selon le verdict.

Les enquêteurs ont découvert le mensonge parce qu'il prétendait se trouver dans la ville de Gelsenkirchen au moment des faits. Mais en réalité, il se trouvait sur les lieux du crime avant l'arrivée des pompiers et il transportait des bouteilles de gaz propane hors de son magasin en feu.

Détail frappant : un fusible avait été dévissé, ce qui a permis d'éteindre les lumières et la surveillance vidéo. - L'homme a fini par s'empêtrer de plus en plus dans les contradictions. Pour aggraver les choses, il a obtenu par la fraude des prestations sociales s'élevant à plusieurs dizaines de milliers d'euros, et a menacé et même frappé d'autres personnes.

La ville de Wetter est choquée

A Wetter, de nombreuses personnes ont été choquées depuis le verdict. Par exemple, Rilana Avranidis. Elle habite au premier étage, juste au-dessus de l'ancien magasin de fruits et légumes. En 2018, elle a été surprise par l'incendie nocturne. Elle et ses deux enfants ont souffert d'un empoisonnement par la fumée et ont dû être hospitalisés. Plus tard, elle a aidé le commerçant à reconstruire la boutique.

Aujourd'hui, la mère de deux enfants est claire : l'homme était manifestement indifférent à la vie de sa famille lorsqu'il a mis le feu à son magasin. Le tribunal de district de Hagen parle d'un "motif égoïste".

L'association : Nous allons continuer

Cette affaire est également une amère déception pour l'association de citoyens "Wir in Wetter".

Après la fausse attaque, l'association avait organisé de nombreuses actions en faveur du Syrien et pour davantage "d'ouverture sur le monde". Et ce faisant, elle s'est laissé piéger par un escroc qui a abusé de ses origines pour se mettre en scène comme victime d'une attaque xénophobe.

Le Syrien a non seulement encaissé plus de 30'000 euros d’assurance, mais également des dons de plusieurs milliers d’euros.

L’association "Wir in Wetter" veut poursuivre son travail pour une plus grande ouverture sur le monde.

Surtout maintenant, disent-ils. Pour que l’affaire de l’arnaqueur et du pyromane ne nuise pas à ceux qui en ont vraiment besoin.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Www1.wdr.de

 

Magdeburg (All.) : Près de 5 millions d’euros pour la surveillance d’un seul islamiste. Il était venu en tant que réfugié mineur non accompagné.

Depuis trois ans dans l'arrondissement d'Anhalt-Bitterfeld, les agents de la police d'État surveillent à chaque instant un islamiste qui représente une menace. Il n'y a pas de fin prévue.

Magdebourg. Les habitants d'un village de 2000 habitants dans l'arrondissement d'Anhalt-Bitterfeld se trouvent presque tous les jours dans une situation étrange. Lorsque le Syrien Ayman N., 19 ans, veut faire des courses dans le village, quatre policiers en civil avec deux véhicules le suivent à quelques mètres de distance. Il n'est de toute façon pas autorisé à quitter son logement plus loin que le supermarché. Il est également contrôlé par un bracelet électronique placé sur sa jambe. Cela se passe ainsi depuis 2017.

Selon des informations du site Volkstimme, 95 000 heures/homme ont déjà été consacrées à sa surveillance.

À un taux horaire de 52 euros par fonctionnaire, cela fait près de cinq millions d'euros. Les coûts des véhicules ou d'autres ressources matérielles ne sont pas inclus. Quatre hommes sont actuellement censés être déployés par équipe pour la surveillance, ce qui signifie qu'il y a douze officiers de police par jour. La plupart d'entre eux viennent de Magdebourg. Le motif : Le jeune homme est classé comme une menace islamiste et attend la poursuite de son procès devant la Cour d'appel de Berlin.

En août 2017, le tribunal régional de Halle avait ouvert le procès pour "préparation d'un acte de violence grave qui met en danger l'État". Le sympathisant de l'Etat islamique, qui était entré en Allemagne en tant que réfugié mineur non accompagné à l'automne 2015, a vécu dans le Land d'Osternienbourg jusqu'en janvier 2017. Il a contacté des personnes partageant les mêmes idées sur Internet. Selon l'acte d'accusation, il s'était fait envoyer un manuel de construction pour la fabrication d'un fusil d'assaut AK 47 (Kalachnikov). Dans un salon de discussion, il aurait demandé où se procurer des armes et comment fabriquer une ceinture d'explosifs. Le Syrien a également affirmé à un agent sous couverture qu'il prévoyait "quelque chose de plus grand". Il était question d'une attaque à Berlin.

Après la troisième journée d'audience non publique en septembre 2017, le tribunal régional s'est déclaré incompétent et a renvoyé l'affaire devant la cour d'appel de Berlin. [...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Volksstimme.de


Note : A ce jour, la Confédération évite soigneusement de divulguer les coûts engendrés par la surveillance des islamistes sur notre sol.

Pays-Bas : Un réfugié nigérian ébouillante une lesbienne dans un centre d’accueil. C’est tabou au Nigéria.

Une lesbienne du centre d’asile de Gilze a été victime de violences anti-gay. Elle a été aspergée d’eau bouillante par un résident Nigérian.

La femme a subi de multiples brûlures au premier et au deuxième degré. Un homme a également crié que l’homosexualité est un tabou au Nigeria et a menacé de briser les jambes et les bras du couple de lesbiennes. L’agence centrale pour l’accueil des demandeurs d’asile (ACI) a lancé une enquête sur l’incident. (…)

Telegraaf.nl

Via Fdesouche

 

Dortmund (All.) : Un Afghan arrêté pour le viol d’une fille de 13 ans. 1 mois auparavant, il aurait déjà violé une fille de 11 ans mais était resté en liberté.

Difficile à croire : l'homme (23 ans), qui aurait violé une jeune fille de 13 ans à Dortmund vendredi, aurait déjà frappé un mois plus tôt !

L'homme afghan aurait violé une fille de onze ans le 20 juin, également à Dortmund. "C'était un incident similaire", a confirmé le procureur Börge Klepping à la demande du site d'information BILD. Il n'a pas voulu donner de détails afin de protéger la victime, âgée à présent de douze ans.

L'homme a été arrêté peu de temps après le crime. Toutefois, il a été libéré le 3 juillet après seulement douze jours, sous réserve de l'obligation de se présenter. Le motif : aucun danger de fuite.

Le procureur général déclare : "Il avait déjà comparu dans le cadre d'une affaire de stupéfiants, mais pas en relation avec des délits sexuels. Il possède un domicile fixe et il n'y avait donc aucune raison de le détenir pour risque de fuite" [NDLR : Et le risque de récidive?].

Vendredi, l'Afghan, qui possède un permis de séjour temporaire, a attiré une jeune fille de 13 ans dans un couloir et l'a également violée. La jeune fille a donné une bonne description de l'agresseur et son bourreau a pu être appréhendé dans la nuit de samedi.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Nos remerciements à Para bellum