Berlin nomme des islamistes à la commission contre le racisme anti-musulman. Ils sont également membres d’un parti politique de gauche.

Mohamad Hajjaj a été nommé par le Land de Berlin à la "Commission d'experts sur le racisme anti-musulman". Son association Inssan a reçu environ 1,3 million d'euros des contribuables. Mais Hajjaj était actif dans des associations considérées comme islamistes par l'Office de protection de la Constitution.

Le 26 février, la "Commission d'experts sur le racisme anti-musulman" mise en place par le Land de Berlin a commencé ses travaux. Le comité doit élaborer des "recommandations pour la poursuite du travail de prévention du racisme anti-musulman" d'ici le printemps 2022, avait alors annoncé Dirk Behrendt (Verts), le responsable du département sénatorial de la justice, de la protection des consommateurs et de la lutte contre les discriminations.

Deux des six membres ont été envoyés par le Forum islamique chargé de l'intégration : Lydia Nofal et Mohamad Hajjaj, la présidente et le directeur général de l'association islamique Inssan.

Les investigations du WELT montrent qu'Inssan et les personnes citées ont des liens avec des organisations islamistes, dont certaines ont été - ou sont surveillées - par l'Office pour la protection de la Constitution. Néanmoins, l'Inssan a été soutenu pendant des années par d'importants fonds fédéraux et étatiques. L'association basée à Berlin a été fondée en 2002 et, selon ses propres déclarations, poursuit l'objectif de "promouvoir le développement d'un islam de langue allemande".

Nofal et Hajjaj sont actifs dans de nombreux comités et organisations. Tous deux sont membres du conseil régional du Conseil central des musulmans de Berlin, tous deux sont membres du groupe de travail SPD des sociaux-démocrates musulmans. M. Nofal a également été nommé par la chancellerie du Sénat de Berlin au conseil consultatif de l'Institut de théologie islamique de l'université Humboldt de Berlin.

(...)

Welt.de

Horreur à Berlin : Des Irakiens partaient en chasse pour violer des jeunes femmes

A Berlin, des hommes en meute partent à la chasse la nuit. Ils traînent des jeunes femmes dans un SUV. Ils se jettent sur elles l’un après l’autre. Ils les violent pendant des heures...

L'un d'entre eux a été condamné par le tribunal régional ce lundi : Wisam B. (33 ans), anciennement policier en Irak. La sentence : 13 ans, six mois de prison pour viols particulièrement graves, prise d'otages, privation de liberté, lésions corporelles.

Il n'était pas le seul accusé. Il y avait également son frère Karrar (25 ans), tous deux nés à Bagdad, citoyens irakiens. Le frère aîné vit à Charlottenburg, le plus jeune à Spandau.

Sa première victime date du 27 mars 2018. Il s'agit de l'ex-petite amie de 14 ans de son frère. La scène du crime était son appartement. Quatre autres ont suivi...

► Une jeune femme qu'il a rencontrée dans un club est rentrée avec lui - par sympathie. Pour en savoir plus sur sa vie difficile dans son pays d'origine....

► La fois suivante, l'accusé était dans la voiture avec un complice. Deux Australiens l'ont pris pour un taxi Uber. Après s'être débarrassé du petit ami de la femme, celle-ci a été violée - sur le siège arrière.

► Le 18 janvier 2020, vers 3h30 du matin, trois d'entre eux ont attrapé une diplômée du secondaire alors qu'elle sortait du club " Mensch Meier " dans la Storkower Straße (Berlin-Friedrichshain). Ils l'ont traînée dans un SUV, l'ont étranglée et violée. D'abord dans la voiture. Plus tard, dans l'appartement de l'accusé. La juge a décrit "quatre heures d'enfer", d'"agonie". Et de graves conséquences psychologiques. À 7 h 20, ils auraient jeté la jeune femme blessée dans la rue à Berlin-Charlottenburg.

► 23 février 2020. Cinq semaines plus tard, il y avait même quatre violeurs brutaux en chasse. Au club techno "Berghain", ils ont saisi une jeune femme de 21 ans, ils lui ont enfoncé 3 comprimés d'ecstasy dans la gorge et ils se sont rués sur elle à maintes reprises sans protection. Avant de jeter leur victime hors de la voiture avec de graves blessures génitales, ils ont effacé toutes les données de localisation de son téléphone portable.

La lycéenne a été capable de se souvenir d'une partie du numéro de la plaque d'immatriculation et des détails de l'appartement où a eu lieu le crime. Les agresseurs ont laissé des empreintes génétiques sous forme d'ADN. Ils sont derrière les barreaux depuis le 25 mars 2020.

La juge a déclaré : "L'accusé a détruit la vie de cinq jeunes femmes." Ses actions étaient caractérisées par un profond mépris pour les femmes... "Et l'expression d'un désir sadique de pouvoir." Elle a affirmé qu'il avait agi avec un sentiment de supériorité, sans la moindre émotion humaine.

Au tribunal, il s'est tu, il a nié, il a menti... dégradant ainsi ses victimes une fois de plus. "Nous sommes à court de mots face à la souffrance insensée qu'il a causée", a poursuivi la juge.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

 

Berlin : Un politicien du Parti des Verts salue la violence contre le « système raciste »

Un responsable du Parti Vert à Berlin-Mitte a appelé les Noirs à former des "robuster Communitys" "pour ne plus avoir à appeler la police". Les émeutes et les pillages constituent une résistance légitime contre les "institutions racistes".

 

 

Jeff Kwasi Klein, membre du conseil d'administration du Parti des Verts dans le district de Berlin-Mitte, a fait l'éloge de la violence physique comme forme de protestation appropriée. Il a également appelé à la formation de groupes "robustes" pour ne plus dépendre de la police.

Dans un discours visible sur Instagram, l'homme politique s'est adressé à son auditoire en le qualifiant de "frères et sœurs noirs".

[...]

À ceux qui, en Allemagne, affirment que les manifestations sont délégitimées par les émeutes, je dis sans équivoque : fermez-la !" (Cette affirmation est également accueillie par de vives acclamations.) "Parce qu'ils ne comprennent pas du tout (inintelligible) de quoi il s'agit en ce moment. Nos frères et sœurs se battent pour leur vie. Et il s'agit de la dignité et de la vie humaine de nos frères et sœurs. Et aucune valeur matérielle ne peut jamais l'emporter sur cela. Vous vous plaignez des émeutes et vous vous plaignez des pillages et vous ne comprenez pas qu'il s'agit d'une résistance organisée contre un système raciste qui n'écoute que lorsqu'il se sent menacé physiquement ou financièrement".

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.deMigrationsrat.de / Tichyseinblick.de

 

Berlin. Logements : Les politiciens rouges et verts priorisent les demandeurs d’asile au détriment des Allemands

Le Sénat est en train de construire 53 bâtiments préfabriqués pour demandeurs d'asile, répartis dans toute la ville. Partout, les citoyens se battent contre cela, avec des arguments valables. Mais ils ne sont pas du tout entendus, critique Gunnar Schupelius.

Le logement modulaire pour les réfugiés (MUF) se développe partout. Et partout, il y a des problèmes avec les habitants. Pour trois raisons :

► Tout d'abord, l'avis des habitants n'est pas pris en considération, alors que le SPD, les Verts et la Gauche avaient promis la meilleure participation citoyenne qui soit.

► Deuxièmement, les MUF sont construits selon une loi spéciale sur la construction qui prévaut sur la plupart des règles applicables et même sur la protection des monuments historiques.

► Et troisièmement, les bâtiments sont très chers. Les coûts s'élèvent à 4500 euros par mètre carré. Dans le même temps, les MUF sont de simples bâtiments préfabriqués qui ne coûteraient que la moitié de ce qu'ils coûteraient s'ils appartenaient à des particuliers.

Mais ce n'est pas comme cela que ça se passe. Le MUF sera construit par des associations de logement appartenant au sénat. Par la suite, il sera loué au sénat pour 13,50 euros le mètre carré.

Un total de 53 MUF doivent être construits. Le Sénat investit près d'un milliard d'euros dans ce projet gigantesque, alors que la construction de logements normaux stagne. C'est une source d'indignation.

Un lecteur nous écrit : "Ici, dans le Weißensee, dans la Falkenberger Straße, malgré les litiges en cours, des MUF à plusieurs étages pour 300 réfugiés ont été construits à une distance de seulement 18 mètres des maisons individuelles construites il y a seulement douze ans. A l'époque, ce projet de construction, contrairement à d'autres, n'avait été annoncé nulle part."

La situation est assez similaire sur la Heidelberger Platz à Wilmersdorf. Ici, un bâtiment MUF en dalle pour 200 demandeurs d'asile se trouve juste à côté de la célèbre piscine intérieure et la surplombe. L'ensemble est protégé en tant que monument historique, et le développement résidentiel n'a pas été autorisé ici.

"Les habitants n'ont pas été informés à l'avance de ce projet de manière officielle", écrit l'initiative citoyenne locale dans une pétition adressée à la Chambre des représentants. "Sans clarification préalable, tous les vieux arbres ont été impitoyablement détruits." [NDLR : C'est cette fameuse gauche qui taxe et culpabilise les Occidentaux au sujet de l'environnement mais qui s'assoit sur notre patrimoine naturel et bétonne lorsqu'il s'agit des migrants. L'hypocrisie habituelle.]

C'est également ce qui va se passer à Paracelsus-Bad à Reinickendorf. Ici, même le président SPD du district, Jörg Stroedter, se bat contre ce projet du MUF. "Les zones résidentielles à proximité ont déjà "une forte pression sociale", a-t-il déclaré.

Mais tous ces arguments n'ont aucune valeur. Les voisins de l'Osteweg à Lichterfelde en ont fait l'expérience. Ici, un MUF avec 46 appartements (logement de une à cinq pièces) a été construit sur le site d'une école. 3000 habitants s'y sont opposés durant deux ans et ils n'ont pas été entendus. La liste de ces histoires est longue, il n'y a pas assez de place ici pour toutes les raconter.

Les partis au pouvoir parlent beaucoup de l'intégration des migrants qui sont admis. Mais vous ne pouvez intégrer ces immigrants que si la population autochtone est impliquée. Les Verts, la gauche et le SPD ne sont évidemment pas du tout intéressés par cela.

(Traduction libre Schwarze Rose pour les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de


Note : des Think-tank socialistes comme Terra Nova ont particulièrement incité les partis à se baser sur les migrants plutôt que sur les autochtones, déplaçant ainsi le curseur des priorités sur l'immigration plutôt que sur le bien-être de nos propres populations.

Rappels :

Allemagne : Munich sponsorise officiellement le navire pour migrants Ocean Viking. Sa population offre 134’992 euros de dons, la ville ajoute encore 100’000 euros.

Berlin : Des milliers de personnes manifestent pour l'accueil des réfugiés "Nous avons de la place!"

Allemagne : Un réfugié syrien brigue un poste au Bundestag. Il veut modifier l’inscription « Le peuple allemand »

Allemagne : Les clans turcs pillent les retraités allemands : « Je gagne 250 000 euros par mois, je baise l’état allemand chaque jour » clame un escroc turc.

Allemagne : Elle déménage pour échapper à des migrants intolérants et aux violences répétées

Allemagne : Après avoir imposé une immigration de masse, Merkel injecte plus d’un milliard contre « le racisme et l’extrême droite »

Allemagne : « À Berlin, l’allemand n’est pas la langue d’origine pour 45% des écoliers du primaire »

La Ville de Berlin va introduire un quota de personnes d’origine étrangère dans le recrutement des fonctionnaires. Il est fixé à 35%, soit la proportion de ce groupe dans la population

Berlin : Un Jeune Socialiste glorifie la violence et justifie le meurtre – les comités d’étudiants lui manifestent leur solidarité (Màj)

Le vice-président d'une association berlinoise des Jeune Socialistes est connu depuis longtemps sur les médias sociaux pour avoir menacé de violence des opposants politiques. A présent, l'étudiant en droit et communiste autoproclamé parle de fusillades.

Bengt  Rüstemeier, né en 1999, est plus qu'un simple visage sur les réseaux sociaux. Il siège au conseil d'administration d'une association berlinoise des Jeunes Socialistes et représente ainsi l'organisation de jeunesse du SPD. Et il est connu depuis longtemps pour ses opinions et provocations radicales, en particulier sur Twitter.

Cependant, lors de ses déclarations les plus récentes, il a atteint un nouveau niveau d'escalade - il a fait allusion à l'exécution de propriétaires d'appartements et d'opposants politiques, ainsi qu'à un attentat à la bombe contre le patron d'Amazon, Jeff Bezos.

 

 

Bengt Rüstemeier a récemment partagé une vidéo dans laquelle des collaborateurs d’Amazon dans l’État de l'Alabama aux États-Unis dénoncent les conditions de travail dans l'entreprise de vente en ligne dirigée par Jeff Bezos. Il écrit : "Si Jeff Bezos devait un jour succomber de manière inattendue aux conséquences d’une blessure par explosif, je ne pourrais pas m’empêcher de ressentir une joie béante."

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

 


 

Un Jeune socialiste doit démissionner de ses fonctions politiques pour violence. Les comités d’étudiants de l’Université Humboldt de Berlin et de l’Université technique le soutiennent désormais contre "une campagne de diffamation de la droite". La CDU exige le retrait du jeune socialiste du comité de l'université.

 

 

les comités généraux des étudiants (AStA) de l'université Humboldt de Berlin (HU) ainsi que l'université technique (TU) ont exprimé leur solidarité avec Bengt Rüstemeier, membre des Jeunes socialistes. Bengt Rüstemeier a dû démissionner de ses fonctions au sein de l'organisation de jeunesse du SPD et du parti après que le journal "BZ" de Berlin et d'autres médias aient rapporté la semaine dernière les fantasmes violents de l'étudiant en droit.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

 


Note : Alors que ce jeune socialiste fait scandale dans toute la presse allemande, la presse francophone fait semblant de ne pas voir cette information.

A noter également que de nombreux membres de la gauche et de l'extrême-gauche soutiennent évidemment cette violence et ces propos. Oui, vous savez, "les gentils qui construisent un monde meilleur" selon la propagande.

Berlin : Face au froid, les bus électriques éprouvent des problèmes

D'ici 2030, Berlin veut que tous les bus des transports publics soient électriques. Les passagers et les conducteurs font déjà l'expérience de ce que cela peut signifier dans le froid d'un hiver. Un type de véhicule en particulier pose visiblement des problèmes.

Le problème réside dans les températures négatives à deux chiffres - et leurs conséquences pour les véhicules. Selon le "Morgenpost", les autobus qui ont été rechargés pendant la nuit dans les dépôts "n’ont pour la plupart" pas atteint leur autonomie et n’ont donc pas pu être utilisés, comme l’indique un communiqué interne de la BVG cité par le journal.

Petra Nelken, porte-parole de la BVG, a confirmé au journal qu'un type particulier de bus posait problème, à savoir le bus de douze mètres de long du fabricant Solaris. "Selon le contrat et le cahier des charges, ils doivent parcourir 130 kilomètres même à moins dix degrés, mais tous n'y sont pas parvenus".

(...)

Le problème est le chauffage - comme c'est souvent le cas avec les transports électriques -, dont le fonctionnement consomme trop de capacité de batterie. La société de transport aurait déjà contacté le fabricant à ce sujet. "Cela ne devrait pas être ainsi", a déclaré Petra Nelken, cité par le journal. Cependant, la porte-parole n'a pas voulu confirmer le nombre de 23 bus en panne évoqué par le "Morgenpost". Elle a parlé d'une "bonne douzaine" de véhicules touchés.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de


Rappels :

Le Conseil fédéral pose les jalons pour taxer la mobilité

Bravo les bobos! Les voitures hybrides subventionnées polluent jusqu’à huit fois plus que les chiffres déclarés. Parmi eux: Volvo, Porsche…

Lausanne veut bannir de son sol les voitures à essence

Union Européenne : Vers une interdiction des voitures à essence et à diesel

Genève: Les gros SUV dans le collimateur des impôts 

Genève : Le Canton veut passer tout le centre de Genève à 30km/h

 

Berlin : craignant une révolte populaire similaire à celle survenue au Capitole, les autorités allemandes renforcent la sécurité autour du Bundestag

Le Bundestag allemand, cible d'une tentative d'intrusion de militants anti-masques fin août, souhaite renforcer sa sécurité après les incidents du Capitole à Washington, a indiqué jeudi 7 janvier son président.

 

 

Au lendemain de l'intrusion de militants pro-Trump au Capitole, Wolfgang Schaüble «souhaite examiner, en étroite concertation avec les responsables de la sécurité des groupes parlementaires ainsi qu'avec la ville de Berlin et le ministère de l'Intérieur, les conclusions qu'il convient d'en tirer pour la protection du Bundestag», selon un communiqué de la présidence de la chambre basse du parlement allemand. «Un rapport a d'ores et déjà été demandé à cette fin à l'ambassade d'Allemagne à Washington sur la manière dont les dérapages violents à l'intérieur du Capitole ont pu se produire», ajoute la présidence du Bundestag.

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Le Figaro

Via Fdesouche

Berlin : Opération anti-terroriste de grande ampleur contre un Syrien de 15 ans, qui aurait été sur le point de commettre un attentat islamiste dans les transports en commun

Allemagne – Des perquisitions ont été réalisées dans la matinée dans le quartier de Berlin-Marzahn dans le cadre d’éventuels préparatifs d’un attentat islamiste. L’opération a rassemblé 190 policiers dont la cible était un Syrien de 15 ans.

«Le projet d’attaque était apparemment dirigé contre les transports en commun», a confirmé de son côté le parquet général de Berlin.

La police a été informée le 21 décembre au soir de la possible préparation d’un attentat dans la ville. Ainsi, le suspect aurait annoncé dans un chat qu’il était prêt à commettre un attentat à motivation islamiste dans le quartier à l’aide d’explosifs, fait savoir la police dans un communiqué pour la presse.

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Sputnik

Via Fdesouche

Berlin : un migrant syrien demande à de jeunes Allemands d’embrasser le coran aux cris d’Allah Akbar. En échange, ils reçoivent des produits électroniques

La scène : l'Alexanderplatz, très animée, à Berlin. Dans sa dernière vidéo, Kanfash donne des iPhones et des MacBooks aux jeunes.

Mais le youtubeur, qui vient de Damas et qui est arrivé en Allemagne en 2016, attend quelque chose en retour : les adolescents doivent embrasser le Coran. Trois fois. S'ils réussissent le pari, on entendra crier "Allahu Akbar" en arrière-plan.

 

 

Cette opération soulève une question : Où le bénéficiaire de Hartz IV [NDLR : système d'aide sociale et de chômage], qui prétend ne pas être islamiste, trouve-t-il l'argent pour ces produits électroniques coûteux ?

Vendredi soir déjà, la police se trouvait chez lui à Luckenwalde (Teltow-Fläming). "Nous avons fouillé l'appartement" a déclaré un porte-parole de la police au journal Bild. Le but exact de la perquisition était inconnu dans un premier temps. Le policier n'a pas voulu donner de détails. Le fait est que les agents ont saisi le téléphone portable et les relevés bancaires du youtubeur.

Le motif était lié à la vidéo qu’il avait récemment diffusée. Celle-ci montrait une course-poursuite mise en scène avec des tirs truqués et des individus habillés en policiers. La vidéo a provoqué des remous médiatiques.

Selon le rapport, Kanfash a remis le pistolet d'alarme et les munitions directement aux policiers. Le youtubeur (actuellement 1,02 million d'abonnés) veut faire son entrée dans l'industrie du cinéma avec ses vidéos douteuses.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Tag24.de / Bild.de

Berlin : Un Malien arrache des parties du nez et de la bouche d’une femme ! La victime déclare : « Je souhaite qu’il soit libéré ».

Depuis vendredi, un homme du Mali se trouve devant le tribunal régional de Berlin.

Affaire 606. L'accusé : Sankun K. (24 ans). Selon l'acte d'accusation, il a étranglé la femme le 5 juillet 2020 vers 11h15 à Kreuzberg avec ses deux mains alors qu'elle était couchée sur le sol sous lui. Puis il lui a arraché la moitié gauche du nez et le coin gauche de la bouche.

A-t-il quelque chose à dire à ce sujet ? Il ne veut rien dire. La femme qui a été mordue est à la barre des témoins. Albana R., 42 ans, diplômée de l'université.

Elle déclare : "Cette chose est arrivée. J'ai été mordue. "J'ai des points de suture. Je lui pardonne et lui souhaite une bonne vie". Le public dans la salle est stupéfait. Comment peut-elle dire cela alors que son visage est défiguré de façon permanente ?

Albana R. : "Je voudrais aussi savoir ce qui s'est passé. J'étais assis sur la rive. Nous avons entamé une conversation. Nous sommes allés dans l'eau ensemble. J'avais avalé une pilule d'ecstasy rose. Je lui ai dit dans le fleuve : "Pour moi, tu es Jean-Baptiste ! Ensuite, j'ai lavé les feuilles dans le jardin. Il m'a suivie. "Puis il m'a prise et m'a mordue."

Le juge : "A-t-il arraché des parties ?" La femme : "Oui, l'opération a été très lourde. J'ai des cicatrices". Le juge : "Sur les photos, il manque une partie de la joue, les dents sont visibles." La femme : "Je vais bien. "Je me demande ce qui n'allait pas dans mes actions. Je souhaite qu'il soit libre". Le public dans la salle est horrifié.

La femme déclare : "Je l'ai trouvé très sensible". Le juge demande comment elle en est arrivée à cette conclusion. Elle répond : "Je pense qu'il est clairvoyant. Il savait des choses". Le juge dit : "Quelles choses ?" Elle poursuit : "Ce que je chantais dans les toilettes à la maison". Le public dans la salle d'audience est irrité.

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Sankun K. a été arrêté le jour même. Son placement permanent dans un hôpital psychiatrique est envisagé. Sentence prononcée le 27 novembre.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bz-berlin

Nos remerciements à Para bellum

Dresde (All.) : un migrant syrien tue un Allemand, puis en blesse un autre. Berlin dénonce la « menace terroriste islamiste ».

Plusieurs médias allemands le décrivent comme un partisan de l’organisation djihadiste État islamique (EI). Il se serait radicalisé depuis son arrivée en Allemagne, en 2015, au plus fort de l’afflux de migrants en provenance de Syrie à l’époque.

À la suite de ses condamnations, le suspect a purgé des peines de prison. Il avait été remis en liberté le 29 septembre, soit quelques jours avant l’attaque mortelle de Dresde, et restait fiché par la police comme potentiellement « dangereux ».

Le jeune homme n’avait pas le statut officiel de réfugié en Allemagne mais restait « toléré » par les autorités. Lors de son audition par les enquêteurs, il n’a fait aucune déclaration, précise le communiqué du parquet.

Selon les médias allemands, son ADN a été retrouvé sur le couteau de cuisine qui a servi à perpétrer l’homicide, et a conduit à son arrestation.

L'Union.fr


Berlin dénonce la "menace terroriste islamiste"

Le gouvernement allemand a dénoncé mercredi la "menace permanente" de la "terreur islamiste" après le meurtre au couteau à Dresde.

"La terreur islamiste est une menace permanente, que nous devons contrer avec toute la cohérence possible", a commenté la ministre de la Justice Christine Lambrecht sur Twitter, tandis que son homologue de l’Intérieur Horst Seehofer a estimé que cet acte "démontre une fois de plus la nature dangereuse de la violence islamiste" qui "impose la plus grande vigilance".

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Ledauphine.com

Berlin : un chef noir défend le nom de son restaurant « La tête de Maure »

Dans le programme de l'ARD "Hart aber Fair", Andrew Onuegbu, qui est originaire du Nigeria, a pris position sur le débat actuel concernant le racisme.

Andrew Onuegbu possède un restaurant appelé Zum Mohrenkopf [NDLR : "A la Tête de Maure]. Il refuse de renommer son restaurant. "Je n'ai pas besoin que les Blancs me disent quand mes sentiments sont blessés", a déclaré l'homme.

Sur la page d'accueil de son restaurant, il est stipulé plus en détail : "Au Moyen Age, le Mohrenkopf identifiait les maisons qui servaient d'auberge aux princes. Il était également considéré comme un symbole particulier de l'excellente cuisine et de l'hospitalité courtoise". Andrew Onuegbu veut poursuivre cette tradition.

[...]

Le responsable du restaurant raconte également une anecdote sur un homme noir et sa femme allemande. "Pourquoi travaillez-vous pour un nazi ?" lui demanda l'homme, et sa femme ajouta : "Nous ne voulons pas vous parler, allez chercher votre patron fasciste !"

Après avoir appris qu'Andrew Onuegbu était le propriétaire du restaurant, le couple a insisté sur le fait que "le nom du restaurant devait disparaître immédiatement ! Il n'est plus permis de l'utiliser en Allemagne ! C'est raciste !" Ce à quoi Andrew Onuegbu a répondu : "Ce que vous venez de faire s'appelle du racisme pur. Parce que vous n'avez pas cru qu'un Noir pouvait être le propriétaire".

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Berliner-zeitung.de

Nos remerciements à Victoria Valentini

Berlin : Une bande de Syriens, d’Afghans, d’Egyptiens, de Tunisiens et « d’Allemands » dévalise les touristes, vend de la drogue et menace un restaurateur

Berlin. Une bande de Syriens, d'Afghans, d'Égyptiens, de Tunisiens et d'Allemands dévalise les touristes au pont de Varsovie à Friedrichshain-Kreuzberg, vend de la drogue et menace un restaurateur. Parmi les suspects figurent également trois délinquants intensifs. C'est ce qui ressort des documents internes de la police dont dispose le Berliner Morgenpost.

Ces jeunes hommes et femmes étaient auparavant actifs à Alexanderplatz, dans le quartier Mitte. Cependant, comme la présence policière y a été massivement renforcée, le gang s'est déplacé vers le pont de Varsovie. Leur "terrain de chasse" s'étend désormais jusqu'à la Frankfurter Allee.

Selon le Berliner Morgenpost, les données personnelles de 20 personnes sont connues. Les enquêteurs soupçonnent que le gang est responsable de centaines de délits. Le plus jeune suspect a 17 ans et vient de Berlin, le plus âgé a 26 ans et vient d'Égypte. La zone principale du gang est la partie sud du pont de Varsovie jusqu'au pont d'Oberbaum. Dans cette zone, les jeunes hommes vendent de la drogue et volent principalement les touristes. Le groupe est spécialisé dans le vol de sacs à main ou de téléphones portables.

La division du travail au sein du groupe est également particulière. Par exemple, les enquêteurs ont observé que les drogues sont vendues exclusivement par les hommes. Les femmes, dont certaines sont également sexuellement dépendantes des suspects, sont utilisées comme des dépôts de drogue. Elles cachent des doses de drogue à vendre dans leurs sous-vêtements. Lors des contrôles, les stupéfiants ne peuvent donc pas toujours être trouvés.

Selon les informations de la police, la drogue est remise dans un bâtiment arrière de la Warschauer Strasse. Le bâtiment abrite également un restaurant. Au cours d’une conversation avec la police, le restaurateur aurait déclaré qu’il était menacé par le groupe, ce qui permettait à ce groupe d’accéder à l’arrière-cour sécurisée.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Morgenpost.de

 

Allemagne : deux frères irakiens, jugés pour avoir kidnappé et violé plusieurs femmes pendant des heures, dont une fille de 14 ans. “Ils chassaient en meute”

Berlin (All.) – Ces hommes sortaient la nuit en meute pour des chasses. Ils traînaient des jeunes femmes dans un SUV et les violaient pendant des heures. Deux frères sont jugés.

Accusés : Wisam (33 ans) et Karrar (25 ans) B.B., nés à Bagdad, de nationalité irakienne. Le frère aîné vit à Charlottenburg, le cadet à Staaken.

Ils sont derrière les barreaux depuis le 25 mars 2020.

► Le 27 mars 2018, viol d’une jeune fille de 14 ans

► Le 6 mai 2019, viol d’une jeune femme dans son appartement

► 18 janvier 2020. Denise T.* (18 ans), lycéenne, sort d’une boîte de nuit et est traînée dans un SUV (enregistré au nom de Wisam) par les deux frères et un troisième homme, selon l’accusation. Elle est violée à plusieurs reprises sur la banquette arrière et dans un appartement.

(…)

Bz-berlin.de

Via Fdesouche

Allemagne : Manifestations en faveur des migrants de Moria « Nous avons de la place »

Des manifestants sont descendus dans la rue ce dimanche à Berlin et dans plusieurs autres villes allemandes pour demander à l’Union européenne de prendre en charge les réfugiés migrants du camp de Moria.

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dimanche à Berlin et d’autres villes allemandes pour appeler l’Union européenne à prendre en charge les demandeurs d’asile laissés sans abri après les incendies qui ont dévasté le camp de Moria sur l’île grecque de Lesbos.

 

 

 

 

Les manifestants ont été rejoints à Berlin par la tante d’Alan Kurdi, le petit garçon syrien mort noyé devenu un tragique symbole de la crise des réfugiés en 2015.

[...]

Msn.com

Berlin : Un Tribunal autorise le port du voile islamique dans les écoles. Les directeurs choqués : « Nous avons des élèves venant de régions où les infidèles sont combattus »

"Nous avons des élèves venant de régions où les infidèles sont combattus"

Le groupement des directions scolaires de Berlin a vivement critiqué la décision du Tribunal fédéral du travail.

Karina Jehniche estime que la sentence du jugement est "catastrophique". La directrice de l'école primaire Christian Morgenstern de Spandau, un établissement d'enseignement avec un pourcentage très élevé de migrants, "ne s’attendait pas à ce que le Tribunal fédéral du travail inverse le principe de neutralité dans les écoles berlinoises"

Les juges ont décidé que les enseignantes peuvent désormais également enseigner avec le voile, à condition que cela ne perturbe pas la paix scolaire.

"Je ne m'attendais pas à ce qu'on puisse considérer la neutralité comme une discrimination", déclare Karina Jehnichen. Et elle ne parle pas seulement en tant que directrice de son école lorsqu'elle qualifie le verdict de "catastrophique", elle est également directrice adjointe du groupement des directions scolaires de Berlin (IGB). Elle parle donc aussi au nom d'environ 300 enseignants de premier plan.

Pour Karina Jehniche, tout tourne autour du symbole du voile : "Nous avons des élèves qui viennent de zones de crise où l'Islam est la religion d'État et où les infidèles ont été combattus. Lorsqu'un tel enfant voit une femme portant un voile, ça peut impressionner et la tolérance envers les autres religions peut diminuer, a déclaré Madame Jehniche. Pour les enfants en particulier, un enseignant représente une personne de confiance. "Nous devons travailler pour que toutes les religions soient tolérées. Nous sommes une société multiculturelle, c'est pourquoi une école doit être neutre.

À l'école Christian Morgenstern, "des élèves de 49 nations reçoivent un enseignement", déclare Karina Jehniche, "toutes les religions du monde sont représentées ici". Il est absolument clair que l'on peut attendre d'un enseignant "un comportement neutre". Si l'on est autorisé à porter le voile, les autres religions devraient être désormais également visibles.

Quoi qu'il en soit, elle a déjà remarqué que les pères musulmans étaient agacés lors des soirées de parents ou des réunions des représentants des parents par le fait que la directrice de l'école n'est pas habillée de façon islamique - c'est-à-dire avec une longue jupe. Karina Jehniche a également constaté que les élèves musulmans faisaient pression sur les écolières musulmanes pour qu'elles portent le voile.

Tilmann Kötterheinrich-Wedekind considère également que le jugement pose problème, du moins pour son école. "En tant qu'école, nous avons grandement bénéficié de la loi sur la neutralité en matière de paix scolaire", déclare le directeur du lycée Ernst Abbe de Neukölln, taux d'immigration : de 94 à 97 pour cent. "Une enseignante avec un voile serait catastrophique ici", déclare-t-il, "car les tensions surgissent sans cesse dans notre école en raison de la compréhension culturelle mutuelle et lorsqu'il s'agit de jeunes filles. A l'école, dit-il, il y a beaucoup d'élèves issus de familles turques, arabes et bosno-musulmanes.

En d'autres termes, si en tant que musulmane, vous vous habillez avec des vêtements occidentaux, vous aurez des problèmes avec les élèves. Beaucoup de ses "parents musulmans très conservateurs considèrent une enseignante portant le voile comme un bon exemple", déclare Tilmann Kötterheinrich-Wedekind. A l'inverse, les enseignantes habillées à l'occidentale sont dévalorisés.

Tilmann Kötterheinrich-Wedekind a déjà eu des débats et des conflits sur la prière, les vêtements de sport ou sur la question suivante : Jusqu'où la religion peut-elle influencer l'école ? Pour lui, ce sont tous des sujets qui n'appartiennent pas à son établissement scolaire, qui ont détourné l'objectif véritable de l'école.

[...]

Dans une autre école de Neukölln, la directrice est "consternée" par le verdict. L'école, dit-elle, "est aussi là pour aider les élèves à se faire leur propre opinion". Elle prêche surtout la tolérance envers toutes les religions. Mais cela n'est plus reconnaissable lorsque quelqu'un n'est plus clairement neutre. "Il y a également des messages non-verbaux."

Elle a également constaté que les élèves musulmans faisaient pression sur les écolières musulmanes pour qu'elles portent le voile. Les enseignants sont alors intervenus immédiatement et ont eu des conversations avec les élèves et leurs parents. "Mais c'est un processus très difficile et très long."

Elle connaît le cas d’un enfant de neuf ans qui a déclaré à une institutrice palestinienne habillée de façon occidentale : "Je ne reçois pas d'ordres d'elles, elles ne portent pas de voile, elles ne sont pas vraiment musulmanes."

Dans un tel cas, la paix scolaire est considérablement perturbée. Comme les parents du garçon n'ont montré aucune compréhension, le garçon a dû quitter l'école. La commission scolaire a écrit dans sa déclaration : "trouble de l'ordre public à l'école".

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Tagesspiegel.de


Rappels :

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Allemagne : Un islamiste irakien fonce à la voiture-bélier sur l’autoroute. 6 blessés dont 3 graves. (Vidéo)

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Allemagne : Un islamiste irakien fonce à la voiture-bélier sur l’autoroute. 6 blessés dont 3 graves. (Vidéo)

Plusieurs accidents ont eu lieu mardi soir sur une autoroute à Berlin, faisant six blessés. Ils sont le fruit d’un acte «islamiste», selon le Parquet allemand.

Un homme a provoqué mardi soir des accidents en série avec sa voiture sur une autoroute qui traverse la ville de Berlin, blessant six personnes dont trois grièvement, dans un acte «motivé par l’islamisme» selon le parquet.

 

 

Selon plusieurs médias, l'auteur des faits est un Irakien de 30 ans qui a hurlé «Allah Akbar» («Dieu est le plus grand») en sortant de son véhicule, après avoir percuté plusieurs voitures et motos sur l'autoroute urbaine vers 18H30 locales (16H30 GMT). «Que personne ne s'approche, sinon vous allez tous mourir!», a-t-il aussi crié selon des témoins cités par le quotidien Bild, en menaçant de détenir un engin explosif. Il a été interpellé par les forces de l'ordre arrivées en nombre sur place.

[...]

20min.ch / Lefigaro.fr


Depuis 2013, le nombre d'islamistes considérés comme dangereux se trouvant en Allemagne a été multiplié par cinq pour s'établir actuellement à 680.

Celui des salafistes est lui évalué à environ 11.000, soit deux fois plus qu'en 2013.

La chancelière allemande Angela Merkel a été souvent accusée, notamment par l'extrême droite, d'avoir contribué à ces attentats en ayant ouvert généreusement les frontières de son pays à des centaines de milliers de réfugiés et migrants en 2015.

Europe1.fr


Rappels :

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Allemagne: « probable » attentat islamiste à la voiture-bélier à Berlin

Un homme a provoqué mardi soir des accidents en série avec sa voiture sur une autoroute qui traverse la ville de Berlin, blessant six personnes dont trois grièvement, dans un acte traité comme un "probable attentat islamiste" par la justice.

Toutefois, les autorités ont aussi indiqué que l'auteur des faits âgé de 30 ans, un Irakien selon les médias, pourrait souffrir de problèmes psychiques. La police a fait état dans un communiqué "d'indices" en ce sens dans le dossier.

Peu avant 19H00 heure locale mardi soir (17H00 GMT), l'homme à bord d'une voiture s'est livré sur l'autoroute urbaine de Berlin à "des attaques ciblées sur d'autres personnes" circulant sur la voie, visant notamment des deux-roues.

Un conducteur de scooter fait partie des blessés graves et a dû être réanimé par les secours sur place, selon les médias.

- 'Motivation religieuse' -

Les "déclarations du suspect après les faits laissent penser à une motivation religieuse et islamiste" mais "il existe également des indices d'une instabilité psychologique" de l'homme, a souligné le parquet.

Les enquêteurs n'ont pas non plus trouvé d'éléments à ce stade montrant qu'il faisait partie d'une quelconque organisation terroriste.

Selon plusieurs médias, l'auteur des faits a hurlé "Allah Akbar" ("Dieu est le plus grand") en sortant de son véhicule, suite à une collision qui l'a contraint à s'arrêter.

"Que personne ne s'approche, sinon vous allez tous mourir!", a-t-il aussi crié selon des témoins cités par le quotidien Bild, en menaçant de détenir un engin explosif. Il a été interpellé par les forces de l'ordre arrivées en nombre sur place.

Dans sa voiture, les policiers ont retrouvé une "vieille boîte à munitions". Mais un examen par les équipes spécialisées de la police a montré qu'elle ne contenait rien de dangereux.

article complet: https://actu.orange.fr/

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Titres:
LeTemps: Berlin: le conducteur d’une voiture provoque volontairement des accidents, blessant plusieurs personnes

Le Courrier international: Allemagne: un homme provoque des accidents sur l'autoroute dans un acte "islamiste"

Laliberté.ch: Allemagne: un homme provoque des accidents sur l'autoroute dans un acte "islamiste"

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L’ATS diffuse la nouvelle (reprise par TdG, 24heures, 20minutes.ch, LeMatin.ch etc...),

extraits:

[...] Les autorités allemandes sont sur le qui-vive concernant la menace islamiste pesant sur le pays, particulièrement depuis un attentat au camion-bélier revendiqué par le groupe Etat islamique (EI) qui avait fait 12 morts en décembre 2016 à Berlin. Cette attaque djihadiste est la plus meurtrière jamais commise sur le sol allemand.

Depuis cette date, les autorités allemandes ont déjoué une dizaine de tentatives d’attentats de ce type, dont deux en novembre 2019, selon la police. Parmi ces tentatives en particulier, la police avait déjoué en juin 2018 un attentat à la «bombe biologique», suite à l’arrestation d’un Tunisien suspecté d’être lié à l’organisation Etat islamique. L’homme de 29 ans arrivé en Allemagne en 2015 a été condamné en mars de cette année à dix ans de prison pour cet acte et sa compagne à huit ans de réclusion.

Depuis 2013, le nombre d’islamistes considérés comme dangereux se trouvant en Allemagne a été multiplié par cinq pour s’établir actuellement à 680. Celui des salafistes est lui évalué à environ 11'000, soit deux fois plus qu’en 2013.

La chancelière allemande Angela Merkel a été souvent accusée, notamment par l’extrême droite, d’avoir contribué à ces attentats en ayant ouvert généreusement les frontières de son pays à des centaines de milliers de réfugiés et migrants en 2015.

ATS/NXP

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Attaque Islamiste à Berlin: Un Irakien provoque plusieurs accidents avec une voiture-bélier (sous-titres disponibles)

 

 

 

 

Berlin : l’individu qui a foncé dans la foule et qui a fait 6 blessés est un Kosovar

Le conducteur d'une Mercedes-SUV de luxe avec plaque d'immatriculation estonienne était légèrement ivre et conduisait à une vitesse excessive. Il se trouve à présent en liberté.

Le ministère public a entre-temps annoncé qu'aucune enquête n'est menée pour tentatives d'homicide. Il s'agit plutôt de lésions corporelles graves et de perturbations dangereuses avec la circulation.

Il ne posséderait pas de permis de conduire

Le Kosovar de 24 ans, Refail A., aurait beaucoup bu durant la nuit en raison de sa rupture avec sa petite amie.

Selon le site d'information "Rbb24.de", il ne posséderait pas de permis de conduire valide. Il a traversé Berlin à bord d'un SUV de luxe immatriculé en Estonie jusqu'à ce qu'il perde le contrôle de la voiture. La police a constaté un taux d'alcoolémie élevé de 0,7 pour mille, mais aucune drogue.

Accusé de coups et blessures

En outre, le site "Rbb24.de" affirme que le conducteur est accusé d'agression violente. L'homme aurait volé les clés de la voiture dans l'appartement de son ancienne petite amie après une dispute violente, puis il serait parti dans le 4x4 sans permis de conduire et en état d'ébriété. Comme la police l'a confirmé au site "Rbb24.de", la voiture est enregistrée au nom d'une société en Estonie.

Lorsque le véhicule a dérapé, la voiture de deux tonnes a percuté un groupe de sans-abri. L'un d'eux a été traîné, coincé sous le véhicule. Un témoin oculaire a rapporté qu'un individu en fauteuil roulant a également été touché. Une des victimes est toujours en danger de mort, cinq autres sont blessées à des degrés divers.

"Je suis désolé."

L'homme a depuis été libéré. Il vit en Allemagne, il n'y a pas de danger de fuite. Il n'a pas essayé d'éviter l'arrestation en s'enfuyant. Il aurait crié "Je suis désolé" à plusieurs reprises.

 

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Wochenblick.at / Rbb24.de / bz-berlin.de