Trafic de drogues à Vevey : La présence policière ne vise pas à arrêter les dealers.

Le deal de drogue sévit depuis des mois «en toute impunité» [...]

Nicolas Bonjour, par ailleurs président de son parti, n’hésite pas à parler de lieux «gangrenés par ce fléau» où «ces trafiquants n’hésitent pas à interpeller toute personne (enfants, jeunes, moins jeunes) qui aurait encore le courage de s’aventurer dans ces rues».

[...]

Yvan Luccarini, municipal de la Sécurité (Décroissance-Alternatives), [...] a touetefois ajouté: «Le commandant m’a assuré que la présence policière était journalière aux endroits sensibles et qu’elle était en voie de s’accroître aux heures de pointe. Non pas pour arrêter des gens, mais pour assurer une présence qui améliore le sentiment de sécurité.»

L’élu, citant encore le commandant, a également ajouté que la police se doit de «proportionner» ses interventions à la nature du délit. «On voit aux Etats-Unis ce que provoquent des interventions disproportionnées

[...]

24Heures.ch


Note : Se trouve-t-on encore dans un état de droit lorsque le travail de la police ne consiste plus à arrêter les dealers? Si un simple citoyen voyage sans billet dans un train, il est sanctionné sans état d'âme, mais on évite désormais d'interpeller un migrant qui vend de la drogue? C'est cela la gauche?

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Lausanne. Des Africains se plaignent de la réaction des Suisses après l’affaire Melgar : «On subit un climat raciste.»

«Depuis que je suis en Suisse, j’avais déjà subi des contrôles au faciès et des brutalités policières. Mais, maintenant, je suis victime d’une nouvelle forme de racisme: le harcèlement des citoyens», explique Mike, Suisse d’origine congolaise.

Son coup de gueule fait suite à un triste événement survenu la semaine dernière. Alors qu’il se dirigeait vers la gare de Lausanne, il a été photographié par des passants, qui l’ont pris pour un dealer car il s’était arrêté pour discuter avec un ami.

Mais le BLI rappelle qu'à Lausanne plus de 42% de la population est d'origine étrangère.

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Lausanne : le commerçant a dû fuir face aux dealers

«J'ai préféré fuir ce quartier de Chaudron face aux pressions. J’ai vendu mon commerce et j’ai quitté le centre-ville de Lausanne pour une commune voisine, plus tranquille.» Stelian* ne regrette pas son choix. Patron du kiosque et bureau de tabac à l’angle de la rue du Maupas-chemin des Cèdres durant 16 années, il a vu l’arrivée des trafiquants de marijuana et de cocaïne dans ce quartier d’ordinaire paisible.

Et, tout comme le cinéaste Fernand Melgar ces temps-ci, il s’est révolté contre l’omniprésence de ces dealers et de leurs clients, jour et nuit, face aux commerces, aux habitations et aux écoles. «C’était devenu invivable, d’ailleurs habitants et commerçants avions fait signer une pétition à l’époque qui demandait aux autorités politiques lausannoises d’enfin réagir face à cette situation qui s’était enracinée au détriment de notre qualité de vie.» En vain, hormis une entrevue avec le responsable de la sécurité publique communale de l’époque, Grégoire Junod (du parti socialiste bien entendu), et désormais syndic de la capitale vaudoise.

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Via le Facebook du PNS

Melgar renonce à son mandat d’enseignement à la HEAD : En raison de ses propos sur les dealers, les étudiants sont devenus hostiles à sa venue.

La fronde contre Fernand Melgar suite à sa prise de position contre les dealers grandit dans les milieux artistiques romands. Le cinéaste renonce à son mandat d'enseignement à la HEAD de Genève face aux réactions hostiles des étudiants.

Fernand Melgar fait une croix sur son mandat à la Haute école d'art et de design (HEAD) de Genève, a appris la RTS jeudi. Le cinéaste lausannois devait animer dès février un atelier d'un semestre en section cinéma. Mais la manière dont il a appelé à agir contre les dealers à Lausanne a suscité de vifs débats au sein de l'institution.

Une forte proportion des étudiants en cinéma se sont déclarés hostiles à sa venue ces derniers jours, menaçant de boycotter son atelier. Certains ont directement interpellé Fernand Melgar sur les réseaux sociaux, parfois avec virulence.

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Nos remerciements à PP et à Bobophobe

 

Rappel:

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Lausanne : Les dealers accostent directement les élèves d’un collège et harcèlent les jeunes filles. « Ils demandent les numéros de téléphone aux jeunes filles. »

Et pendant ce temps, la gauche ânonne "sans consommateurs, il n'y aurait pas de dealers..."

A noter que l'article fait la part belle à l'opportuniste Melgar qui milite contre la situation depuis... 10 jours. Défense de rire.

Il vaut mieux être de gauche si vous désirez obtenir l'attention des médias et une réaction politique. Il se trouve même des commentateurs pour remercier l'hurluberlu. Pauvre Suisse...

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«Oui, je vous le confirme, les dealers de rue abordent nos élèves, explique une autre enseignante. (...) Les dealers s’adressent aux plus âgés – les élèves de Saint-Roch ont entre 10 et 16 ans. Ils demandent le numéro de téléphone aux jeunes filles. Ils proposent de la drogue aux garçons: cocaïne, marijuana et autres substances. (Nd Christian Hofer: Et que proposent-ils aux jeunes filles?)

Les trafiquants encerclent le collège. Il y en a plus d’une vingtaine, parfois davantage.

Mais il y a pire, selon cette maman: «Le harcèlement de rue.» Les dealers, qui sont majoritairement de jeunes migrants d’Afrique noire, sont devenus lourdingues. Depuis un an, ils interpellent les femmes. Ce qu’ils ne faisaient pas avant. «L’automne dernier, j’étais avec ma fille de 13 ans. L’un d’entre eux a appelé ma fille «baby». Il lui a fait des allusions à caractère sexuel. Il m’a insultée.» Depuis, la mère et sa fille baissent les yeux face aux vendeurs. Elles évitent désormais les zones de deal et prennent un autre chemin pour rentrer à la maison.

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Rappels:

Lausanne: «Les dealers de drogue demandent même à nos enfants d’être remboursés en nature!»

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Après avoir milité pour le multiculturalisme, Lausanne veut bannir le harcèlement de rue en utilisant… l’humour (Vidéo)

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Lausanne: Le directeur de la police s’oppose aux rondes de Résistance Helvétique. « C’est un trouble incontestable. »

 

Lausanne: Une mère de famille harcelée par des dealers en plein après-midi: « Allez dégage ! Pute ! »

Voilà la copie du mail que je viens d'envoyer à la rédaction du 24h au courrier des lecteurs. 

Tout est dit. Rien à ajouter.

Jeudi 05 avril, 16h15. Je me rends à la gare de Chauderon prendre le LEB.

Bien obligée de passer par le sous-voie, il est à nouveau envahi de personnes de couleur qui vendent des gourmandises. Ils sont tellement accueillants qu’ils font une haie d’honneur. Et là, oh grand bonheur, un sympathique jeune homme me saisit le bras et me dit ‘hé blonde, viens !’ Stupéfaite et un brin agacée je lui enlève sa main et lui dit ‘Pardon’ et là, oh bonheur ce charmant Monsieur me répond ‘Allez dégage ! Pute !’

J’ai préféré passer mon chemin que me faire lyncher dans ce sous-voie. Pourtant Dieu sait si je peux avoir du répondant ! Je suis une femme, j’ai 36 ans, j’ai 3 enfants et j’ai eu peur. A Lausanne à 16h15. Est-ce normal ?

Qu’attendent les dirigeants de la ville de Lausanne pour laisser la police faire son travail ? Est-ce normal de subir ces insultes l’après-midi ?

J’imagine que je ne suis pas la première à vivre cela. On nous reproche d’être racistes et méchants avec ces braves gens. Ce monsieur m’a clairement dit ‘blonde’ référence à ma couleur et ‘pute’. Est-normal ?

Je suis profondément choquée.

Allez la municipalité, il va falloir ouvrir les yeux et reconnaitre que Lausanne est déplorable et honteuse.

Source: Facebook de la victime avec son aimable autorisation (nom connu de la Rédaction)

 

Rappels:

Lausanne: Le directeur de la police s’oppose aux rondes de Résistance Helvétique. « C’est un trouble incontestable. »

Lausanne: L’UDC Jean-Luc Chollet traite Résistance Helvétique de « nazillon » (Vidéo)

Lausanne: Encore une manif contre le racisme et les violences policières

Black Lives Matter à Lausanne

Lausanne: Le collectif d’extrême gauche Jean Dutoit reçoit une lettre de soutien de Simonetta Sommaruga

Lausanne : Pierre Conscience défend les dealers

Lausanne: Encore une manif contre le racisme et les violences policières

Réunies devant l'Hôtel de Ville, plus d'une centaine de personnes ont demandé des changements dans les pratiques des forces de l'ordre.

Pierre Conscience (Ensemble à gauche) a déposé un postulat, pour demander la création d'une instance indépendante qui aurait pour mission de répondre aux plaintes et dénonciations à l'encontre de la police.

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Italie. Milan: Les dealers africains font la loi sur la place de la gare centrale, de jour comme de nuit (Vidéo)

Janvier 2018.

En plein après-midi, Vittorio Brumotti a été attaqué avec des pierres et des bouteilles par des migrants.

Il s'était rendu à la gare centrale de Milan afin de constater par lui-même si on y vendait effectivement de la drogue à toute heure.

 

 

 

Après avoir constaté en caméra cachée que les Africains vendaient effectivement de la cocaïne en toute quiétude, l'animateur de télévision déclare qu'il veut "libérer" pour quelques minutes la gare de Milan en dénonçant les dealers à haute voix.

- "Est-ce que tu as encore de la cocaïne? Aller, on t'avait filmé auparavant."

C'est à ce moment que l'équipe de tournage se fait agresser, caillasser.

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

 

 

France multiculturelle. Grigny: les dealers séquestraient une femme de 85 ans malade d’Alzheimer pour entreposer leur drogue.

A la Grande-Borne, une femme de 85 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer était séquestrée chez elle. Les dealers profitaient de son isolement pour entreposer dans son appartement la drogue et de l’argent, tout en la laissant dans l’insalubrité la plus totale.

Triste fin de vie pour une femme de 85 ans, atteinte de la maladie d’Alzheimer et vivant séquestrée chez elle par les dealers de la Grande Borne, à Grigny. Ils se servaient d’elle comme d’une « nourrice », pour entreposer dans son appartement leur marchandise destinée à la revente dans les halls d’immeuble alentour.

 

Les populations qui habitent la Grande Borne de Grigny pour ceux qui ont encore des doutes sur l'identité des coupables dans cette affaire:

grigny

 

C’est par hasard qu’elle a été libérée de son calvaire. Dimanche 4 mars, les pompiers sont appelés au 4, place de la Treille, point central de cette cité sensible de Grigny, pour un dégât des eaux dans le bâtiment. Sur place, ils découvrent que la fuite provient du logement d’une femme qui ne répond pas à leurs appels. Ils passent par la fenêtre et pénètrent dans l’appartement insalubre, remplis de sacs et de détritus, sentant l’urine et les excréments… mais aussi le cannabis.

Face à cette situation incongrue, les secours contactent les policiers. Ces derniers dénichent, dans une pièce à l’écart, un véritable trésor de guerre : 10 kilos d’herbe et de résine de cannabis, 22 000 € en petites coupures, deux pistolets, ainsi que tout le matériel de découpe et de conditionnement des produits stupéfiants. « La locataire n’avait pas conscience de ce qu’il se passait chez elle, souffle une source proche du dossier. Elle ne pouvait même plus sortir et se faisait enfermer par les trafiquants. »

Cette retraitée, qui n’a plus toute sa tête, était passée au travers des radars des services sociaux jusque-là. « Elle était sous la tutelle de son fils quadragénaire, mais il n’a pas vraiment exercé son pouvoir, il la voyait très peu », indique une personne travaillant en lien avec les personnes vulnérables. « Nous avons trouvé une personne sénile, mais ce n’est pas à nous de poser un diagnostic », indique une source proche du dossier. Le centre médico-psychologique est installé dans le bâtiment voisin, à Grigny, mais ne suivait pas cette retraitée.

« Les dealeurs ont profité de cette aubaine pour s’emparer des clés, s’installer chez cette vieille dame, sans même s’occuper d’elle, juste pour y entreposer leur marchandise, indique une source proche du dossier. Ils faisaient sans doute même de la découpe à cet endroit. La nature humaine m’étonnera toujours… »

Informée de la présence de cette personne en situation précaire, la municipalité de Grigny a immédiatement pris le relais. « Nous nous sommes chargés d’elle et nous l’avons placée dans une maison de retraite de la commune », indique-t-on au cabinet du maire (PC). Elle a pu y subir les premiers soins et être lavée. « Aujourd’hui, elle a rejoint un Ehpad (NDLR : établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) trouvé par sa famille et le bailleur Les Résidences », poursuit la municipalité. Son fils lui rend visite désormais presque tous les jours.

L’enquête a été confiée au commissariat local. « Des analyses techniques ont été effectuées dans l’appartement et sur les produits stupéfiants. Les premiers résultats devraient arriver dans deux semaines », avance le parquet d’Evry.

Source

 

Lausanne: Le directeur de la police s’oppose aux rondes de Résistance Helvétique. « C’est un trouble incontestable. »

Avant que le débat ne soit porté devant le Conseil, le municipal Pierre-Antoine Hildbrand (PLR) se veut clair. «L’État et la Ville détiennent le monopole de la force publique et sont chargés de la sécurité des personnes et des biens.

Il s’agit d’une tâche régalienne et je ne permettrai pas qu’elle soit usurpée», avertit le directeur de la Police. Pour lui, patrouiller avec des uniformes ou des brassards provoque un trouble «incontestable et dommageable». Une intervention de police sera donc, le cas échéant, nécessaire.

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Rappel:

Lausanne est l'une des villes les plus criminelles

Voici donc la priorité pour les politiques de Lausanne: interdire promptement à des Helvètes de sécuriser une bourgade appartenant à leur propre pays. Heureusement, cette charmante cité multiculturelle, où il fait si bon vivre, ne sera pas troublée par les méchants patriotes de Résistance Helvétique armés de leurs terribles brassards.

La police vient d'ailleurs d'être épinglée pour racisme par des ressortissants africains et autres associations d'extrême gauche. On perçoit très bien que ce sont les rondes des patriotes le problème...

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

A noter que ce même maire gauchiste possède une société à Singapour.

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« Dès que j’ai eu des problèmes, j’ai alerté les élus. On m’a parlé de “temporalité”, de “solution dans la durée”, de “médiateur”, de “cinéma de plein air” pour les jeunes. Moi, ça fait deux ans que je n’ai pas vu mon appartement et que je vis dans mon restaurant. Et vous voulez calmer des gens comme ça avec un cinéma de plein air ? » raconte William Taylor au DL (30/12/17).

« Il  dit ne pas avoir pu franchir le seuil du secrétariat téléphonique des élus municipaux « précise le journaliste Benoit Bouy. ça tombe mal pour la campagne de « proximité » engagée avec les voeux d’Eric Piolle !

 

Grenoble vitre cassées

 

« AVANT MOI LA GÉRANTE A ÉTÉ CONTRAINTE de PARTIR à CAUSE des MÊMES PROBLÈMES » 

Restaurateur place André Malraux, William Taylor appartient à la longue liste de ceux qui se sont fait blouser parce que « le propriétaire des murs ne m’a jamais dit que la gérante du restaurant qui était installée ici avant moi avait été contrainte de partir à cause des mêmes problèmes. Elle y a perdu plusieurs centaines de milliers d’euros ! ».

RAOUL BLANCHARD, JOUHAUX, Place des GÉANTS, PARTOUT C’EST LA VALISE ou la TÊTE COURBÉE 

Pas très loin, rue Raoul Blanchard l’acquéreur d’un appartement a subi la même aventure qu’elle a raconté à maintes reprises. Le locataire HLM qui viole toutes les lois de la vie commune dispose d’un autre  appartement HLM  pour une autre compagne… Comme William Taylor elle n’a jamais eu accès à un élu !  Comme la trentaine de locataires de HLM de Jouhaux qui subissaient la loi des délinquants et ont demandé leur mutation en urgence. Devant l’immobilisme municipal, laissés seuls face à la violence ils sont rentrés dans le rang. Place des Géants c’est un propriétaire qui ne peut pas vendre son logement à un prix décent pour pouvoir fuir les « communautés » qui imposent leur loi.  Partout dans Grenoble c’est la valise ou le silence avec la tête courbée. Seuls ceux qui en ont les moyens peuvent s’échapper.

 

Grenoble2

 

IL MONTE LA GARDE DANS SON RESTAURANT LA NUIT 

William Taylor lui, n’a pas le choix. Il est courageux. La nuit il doit monter la garde dans son restaurant pour prévenir les destructions. Il a été victime de quatre coups de couteau au bras. Sur l’autoroute la voiture de son père a perdu une roue qui était dévissée. Vitrine cassée, menaces, poubelles en feu, clients qui subissent les bouteilles vides jetées à leurs pieds…

« HALLS D’IMMEUBLES SQUATTÉS, PORTES FRACTURÉES, DÉGRADATIONS CHAQUE MATIN… »

Comme le raconte le DL, après que « Grenoble, le Changement » ait décrit plusieurs fois la situation, « William Taylor s’était jusque-là tu face à ces halls d’immeuble squattés, ces portes fracturées, ces barrettes de shit ou ses cocottes de cocaïne échangées contre quelques billets et ces dégradations chaque nouveau matin recensées ». 

E.PIOLLE EST PRÉSIDENT de L’OPHLM QUI ATTRIBUE LES LOGEMENTS ! 

La vie quotidienne à Grenoble au temps de M.Piolle. Lequel est président de l’OPHLM (Actis) responsable des attributions de logements. La plupart des délinquants sont logés par lui et peut être paient ils leur loyer en espèces majoré de 10 %? Jamais aucune famille n’a été convoquée par le Maire,  jamais aucun avertissement n’a été émis à fortiori aucune amende ou menace d’expulsion.

 

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SANS IMPLICATION FORTE de la MUNICIPALITÉ POUR DÉLOGER les DÉLINQUANTS…

On peut être logé en HLM, financé par l’impôt et contrevenir à toutes les lois de la République ? Sans une implication forte de la municipalité pour déloger les délinquants tout le monde sait bien que les autres actions seront vouées à l’échec. Seul un étau peut réduire cette délinquance endémique qui pourrit et gangrène la ville comme l’avait dénoncé Jean-Yves Coquillat le Procureur  de la République.

AVEC les MUNICIPALITÉS CARIGNON, le QUARTIER LE PLUS DEMANDÉ 

Ces solutions sont portées par les collectifs de citoyens avec Alain Carignon : Hoche est d’ailleurs le bon exemple du passé qui rejoint l’avenir ; sous les municipalités Carignon il était le quartier le plus demandé car l’équilibre des attributions était sauvegardé. La dérive a commencé sous Destot dont l’actuelle Présidente de Grenoble Habitat, Maryvonne Boileau (Verts/Ades) était Présidente de l’OPHLM jusqu’en 2008.

 

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UN CRITÉRE de TRANQUILLITÉ PUBLIQUE DANS l’ATTRIBUTION des LOGEMENTS 

Aujourd’hui il faut sanctionner et comme le propose Alain Carignon établir un critère de tranquillité publique dans les attributions, habiliter les cadres  des HLM et des institutions publiques,  les gardiens d’immeubles à dresser procès verbal, bref reprendre en mains à la base une situation trop dégradée. William Taylor, à visage découvert, incarne la multitude de ceux qui sont le dos au mur dans une ville où la municipalité est en connivence à minima de fait avec la délinquance.

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A Genève, les dealers font monter la tension

Le marché à ciel ouvert de la drogue s’étend et s’étoffe à Genève. Entre dealers et habitants, la cohabitation est difficile. L’action policière a ses limites.

Les petits vendeurs ont gagné en quelques années la promenade de Saint-Jean, le quai du Seujet, font une incursion dans le quartier des banques, et leur concentration est flagrante dans les zones de deal, où ils assurent un service du matin au soir désormais.

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Lausanne: Des trafiquants de drogue chouchoutés dans la rue. Les Maraudes leur offrent nourriture et boisson!

Les vendredis et samedis, ils sont près d’une trentaine à converger dans ce quartier connu pour abriter une forte activité de trafic de drogue. Il s’agit principalement d’Africains de l’Ouest.

Chaudement habillés, ils boivent et mangent les victuailles apportées gratuitement par des membres de la Maraude. Et ce alors qu’une soupe populaire est offerte par la Fondation Mère Sofia et Caritas chaque soir non loin de là.

«Je suis bien consciente de l’ambiguïté d’apporter de l’aide à ces individus qui ne sont pas trop précarisés et qui, pour certains, s’adonnent au deal de rue, admet l’une des «maraudeuses» présentes lundi peu avant minuit. Mais nous aidons sans distinction

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Lausanne: Les femmes sont harcelées « par des groupes d’hommes jeunes ou des dealers »

Un autre succès du multiculturalisme si cher aux gauchistes, eux qui se prétendent défenseurs des femmes ont su imposer de force dans nos rues des ethnies rétrogrades et irrespectueuses.

Bien évidemment, la diversité ethnique et l'immigration étant bien plus importantes que la sécurité de nos femmes, jamais la gauche ne remettra en question sa propagande criminelle.

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Le harcèlement de rue est bien une réalité à Lausanne. Selon une enquête exploratoire, 72% des femmes de 16 à 25 ans interrogées y ont été confrontées au moins une fois cette année. L'exécutif entend agir de manière ciblée contre le phénomène.

63% des victimes ont dit avoir été insultées ou avoir reçu des avances sexuelles et 32% avoir subi des attouchements, tels que frottements ou mains aux fesses, a poursuivi Mme Gerber.

Commis le plus souvent par des groupes d'hommes jeunes ou des dealers, les épisodes se produisent généralement de nuit. Les lieux de harcèlement les plus fréquemment cités par les victimes sont les parcs ou la rue, suivis des bars, restaurants et discothèques, ainsi que la gare CFF.

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Lettre ouverte d’un Français qui n’en peut plus: Les travailleurs sont harcelés par l’Etat, les dealers immigrés agressent et bénéficient de l’impunité

Lettre ouverte

Monsieur Le Préfet,

Je vous écris en tant que citoyen mais aussi père, pour dénoncer des faits qui se produisent en toute impunité dans le centre ville de Grenoble, et plus précisément dans le quartier ******.

Pour mémoire et bien que tous ces faits soient relatés dans de nombreuses plaintes auprès des services de police, je reprends pour plus de clarté dans l’ordre chronologique.

Mon fils, W., est arrivé en novembre 2015 sur Grenoble pour reprendre un restaurant situé au sis au ****** .

Le restaurant avait été auparavant squatté par ce que le langage politiquement correct appelle des « jeunes », ce qu’on aurait qualifiés de « voyous » en un temps où l’on parlait un français sensé.

Mon fils a donc entrepris des travaux fort couteux de rénovation pendant des mois, alors même que ces « jeunes » issus du quartier mais aussi venant d’autres zones de non-droit réputées de Grenoble organisaient devant le restaurant une activité de deal de drogues, accompagnée des indispensables démonstrations de force, d’intimidations liées à l’activité nocturne de ce genre de business garant de la paix sociale selon vos services.

Comme ce renouveau d’activité commerciale semblait déplaire à cette population besogneuse issue de la mixité sociale, ces derniers s’en sont pris à mon fils à de nombreuses reprises, le menaçant de casser les vitrines, de mettre le feu au restaurant, ce qui fait que mon fils a du s’installer 24 heures sur 24 dans son établissement pour surveiller et prévenir en cas de mise en œuvre de ces menaces sous condition.

Certaines nuits, ces éléments de la diversité qui nous fait du bien vivre ensemble, sont allés taper dans la porte à plusieurs reprises alors même qu’ils se livraient à leurs activités favorites de trafic de drogue et de consommation de cannabis sur la voie publique, cela en parfaite impunité bien sûr, bénéficiant en cela de la quasi immunité accordée par les pouvoirs publics si on en juge les faits.

Depuis son ouverture au mois d’avril, mon fils ainsi que moi-même avons à de multiples reprises reçu des menaces de mort sous condition, des dégradations de véhicule, de vitrines, des menaces avec voies de fait par des individus armés dont au moins deux fois de possibles armes à feu.

Occasionnant non seulement des nombreux frais suites aux dégradations, non prises en compte par les assurances pour la plupart en raison des franchises et donc restant à notre charge.

Mais en plus des fermetures du restaurant alors en plein lancement, car il n’est pas possible d’être à la fois en train de porter plainte des dizaines de fois avec tout ce que ça sous-entend de délais d’attente quand on sait qu’en moyenne il faut à chaque fois trois heures pour porter plainte, plus le temps nécessaire perdu pour réparer les dégradations faites au véhicule ou au restaurant.

Si cela ne suffisait pas, mon fils a été victime de menaces de mort sous conditions, faits réprimés et normalement jugés auprès du Tribunal Correctionnel, de la part du même individu trafiquant notoire et dûment fiché par les services de police, identifié formellement et pourtant que l’on voit tous les jours se promener en toute impunité devant nos yeux dans le quartier.

Suite aux nombreuses plaintes de la part des habitants du quartier *****, se plaignant notamment des incivilités permanentes  mais aussi du bruit, une réunion s’est tenue à la mairie début juillet où une quarantaine d’habitants étaient présents ainsi qu’un responsable de la Police Nationale, un responsable du secteur Nord de la Police Municipale, une adjointe au maire, un conseiller municipal du secteur et le responsable de la sécurité de la mairie, quoique je ne sois pas sur de la dénomination exacte du poste de ce dernier vu que du point de vue de la mairie l’insécurité à Grenoble n’existe pas.

Et que nous vivons dans une métropole apaisée selon le maire Eric PIOLLE, nonobstant quelques meurtres mensuels avec des armes à feu ou des armes blanches, qu’il convient dès lors de classer dans la catégorie « arts et spectacles » sans doute… à moins que comme l’absence du port du casque à scooter cela soit une coutume locale.

Comme je viens de revenir depuis peu sur Grenoble vous voudrez bien excuser cette imprécision de ma part et la mettre sur le compte de mon ignorance des traditions dauphinoises.

Néanmoins, le bon sens me commande d’établir quelques comparaisons entre la situation que je qualifierais de « normale », celle de mon fils par exemple jeune chef d’entreprise à l’âge de 23 ans, et celle d’individus du même âge ou guère plus jeunes qui visiblement ne bénéficient pas des mêmes largesses de l’état en terme de d’imposition, de normes, et de bienveillance d’une administration pourtant si prolixe de formulaires et de paperasse.

Mon fils a investi non seulement des heures de travail, mais aussi des dizaines de milliers d’euros venant soit de sa précédente activité mais aussi il faut le reconnaître de l’entraide familiale, et il lui faudra certainement encore de nombreux mois pour avoir une activité pérenne, le temps qu’il se fasse une clientèle et si toutefois cette dernière n’est pas découragée par l’activité des dealeurs qui ont fait du quartier **** le GQG du dispatch de drogue pour le centre-ville de Grenoble.

Il faut dire que le stationnement certes légal mais bruyant d’une dizaine voir plus de « pépites de la nation » qui hurlent, braillent et cassent des bouteilles de verre juste devant le restaurant a découragé plusieurs fois des habitués de franchir ce tir de barrage pour y accéder.

Paradoxalement, comment justifier que dans le même temps où mon fils entreprend courageusement une première entreprise, que des dizaines de « jeunes » devant lui gagnent avec le trafic de drogue des milliers d’euros, sans payer ni impôts, ni charges sociales, ni CSG, ni RDS, ni CRDS, ni CFE, ni TVA, sans crainte d’une visite URSSAF, d’un rappel du RSI ni respect d’aucune norme légale ou d’hygiène.

Mais en plus font tout pour l’empêcher de travailler sereinement !

La réponse de l’état en la matière est tout simplement désespérante : de l’aveu même des policiers aussi bien nationaux que municipaux, non seulement disent qu’ils ne peuvent rien faire, mais en plus qu’ils ont reçu des consignes pour ne pas déranger ou provoquer les « jeunes » mis en cause.

Et d’aucuns dirent qu’ils n’oseraient jamais porter la main sur un voyou de peur d’être mis à pied et perdre les moyens de subsistance de leurs propres familles.

Mais aussi se plaindre du total manque d’appui de la part de leur hiérarchie ainsi que de décisions de justice totalement inadéquates qui consistent à relâcher les auteurs de troubles ou d’agressions avant même que les victimes n’aient fini de porter plainte.

Ainsi que du manque de moyen, mais sans volonté politique claire et forte soutenant sans ambages les forces de l’ordre il est évident que le problème se situe bien en amont et ne se limite pas à une question d’effectifs mais avant tout à une restauration du rapport de force et l’inversion de la peur : quand un policier a peur d’agir, il est évident que les voyous en profitent car ils sont très bien informés quand à l’impunité dont ils bénéficient.

En fait d’équité devant la loi, tout se passe comme s’il y avait une justice à double vitesse : d’un coté les gens qui respectent la loi, la paix civile, les biens privés et publics.

De l’autre ceux qui ne sont assujettis à aucune de ces obligations, et se sentent dégagés de toute forme de respect ou de devoir envers notre société.

Le message que vous (les institutions) envoyez est terrible : d’un coté une majorité de la population qui n’a que des devoirs et subit de plein fouet les conséquences de la tolérance zéro.

Le moindre kilomètre/heure dépassé sanctionné sans appel, le moindre retard de cotisations sanctionné par des amendes et pénalités, la moindre faute permettant de remplir le carnet à souches d’autant plus que les agents de l’état savent pertinemment que cette population respectueuse des lois et de l’état a peu de chances de se rebeller ou même de se montrer désagréable.

De l’autre, une population qui dégrade par plaisir ou par désœuvrement les biens publics et privés pour lesquels il semble qu’elle n’éprouve nul respect, et qui subvient de manière totalement illicite à ses besoins sans subir aucune des obligations légales et en toute impunité.

Le plus terrible est que cela semble être rentré dans les mœurs, quand on entend un responsable de la sécurité de la mairie de Grenoble déclarer devant quarante personnes, je cite textuellement, « le trafic de drogue tout le monde s’en fout ! »

Que faut-il comprendre ?

Que l’activité nuisible de certains emporte plus de droit que l’existence de ceux qui respectent les règles de notre société ?

Que faut-il croire ?

Que les politiques et l’état ont abandonné totalement ceux qui constituent le tissu économique local et qui supportent le principal de l’effort contributif ?

Que faut-il conclure ?

Que nous, les citoyens respectueux de l’état de droit n’avons plus notre place dans cette société qui nous abandonne au profit des éternelles populations à problème, pour qui depuis quatre générations on n’en finit pas de trouver d’excuses ?

15 000 entrepreneurs s’expatrient de France tous les ans parce qu’ils ne trouvent plus dans ce pays les conditions de vie nécessaires à leur épanouissement, faut-il que nous les suivions pour vous satisfaire ?

Que faut-il que je dise à mon fils ?

Que la France l’a abandonné ?

Que ce pays ne veut plus de lui ?

Que cet état le laissera toujours seul en face de problèmes de plus en plus nombreux, de voyous de plus en plus déterminés car convaincus de leur puissance par l’absence totale de réaction de l’état et de protection réelle des personnes et des biens ?

Au moins et à défaut d’avoir le courage d’appliquer les pouvoirs régaliens de l’état, ayez au moins celui de la franchise : si nous, entrepreneurs, sommes de trop dans votre pays, nous trouverons bien un autre pour nous accueillir.

Veuillez recevoir, Monsieur Le Préfet, l’expression de mes salutations respectueuses.

Noms connus de la Rédaction

Yverdon: Coups de couteaux entre dealers somaliens

Deux amis et dealers somaliens sont poursuivis pour des coups de couteau. Les deux prévenus s’étaient mutuellement blessés.

Dans son réquisitoire, le procureur Christian Buffat a demandé à la justice de se montrer «intransigeante» avec les deux prévenus somaliens, tous deux déjà connus de la police, notamment pour trafic de stups. Il a requis 5 ans de prison contre le requérant domicilié à Vevey pour tentative de meurtre. Et le double de cette peine pour le demandeur d'asile basé à Yverdon.

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Lausanne: Des commerçants manifestent « Nous devons nous soumettre à la police du commerce mais les dealers ne sont pas inquiétés »

Les banderoles ont fleuri à Lausanne, le long de la rue du Tunnel. A deux pas de la place du même nom et de celle de la Riponne, le bal des dealers et de leur clientèle finit par lasser, autant les commerçants que les habitants. Ils se sont réunis pour manifester leur ras-le-bol.

Patronne de Chez Mamma Elisa, Lella Toth assure que cette scène de la drogue provoque son lot de violences dans le quartier. Des habitants se seraient fait agresser.

«Nous devons nous soumettre aux règles de la police du commerce, mais les dealers passent quinze heures par jour dans la rue sans être inquiétés», déclare Stéphane Jonin. A cela s’ajoute un sentiment (sic!) d’insécurité.

Certains commerçants ont refusé les banderoles par peur de représailles.

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Lausanne: Laxisme à l’égard des dealers étrangers pendant que les commerçants sont harcelés par la police

Les commerçants du Bourg et de Saint-François tirent la sonnette d’alarme. Ils sont exécédés par les dealers qui leur pourrissent la vie et se disent victimes de tracasseries policières. Municipal en charge de la police, Grégoire Junod, avoue que certains problèmes subsistent, mais réfutent les formules à «l’emporte-pièce».

Marc (*) est excédé. Plus même, en colère. A l’instar du reste de nombreux de ses collègues commerçants du quartier de Saint-François. L’objet de celle-ci: la situation qui prévaut dans le quartier dès la fin de journée et, surtout, dès la nuit tombée. «C’est le bal incessant des dealers. Que ce soit sur les hauts de la rue de Bourg ou, plus bas, à l’angle de la rue Pépinet et de la Place Saint-Francois, c’est devenu intenable», explique-t-il. «Tu sors pour fumer une cigarette et tu en as cinq qui surgissent de nulle part pour te vendre du hasch ou de la coke.»

Tout aussi remonté, Roger (*), qui a également pignon sur rue dans le quartier, confirme. «Nos clients ont peur. Ils n’hésitent pas à les aborder pour leur proposer des doses. Sans vergogne et aux yeux de tous. La police intervient de temps en temps, mais les types connaissent la musique. Ils s’enfuient à toutes jambes et sont de retour 10 minutes après. C’est juste infernal!»

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L’enfer au quotidien

Tous dénoncent une forme de laxisme et fustigent dans le même temps la politique sécuritaire mise en place par la Municipalité. «C’est du pipeau», n’hésitent-ils pas à dire, «des efforts ont peut-être été faits dans d’autres quartiers, mais pas ici où on vit l’enfer au quotidien.» Ceci d’autant plus qu’ils dénoncent dans un même temps ce qu’ils appellent le «deux poids, deux mesures» de la police qui serait beaucoup plus prompte à intervenir quand un établissement a encore 2 ou 3 clients qui tardent à sortir quelques petites minutes après minuit ou un bout de terrasse qui dépasse de 3 centimètres du trottoir, plutôt que de «s’occuper des vrais problèmes». «A croire qu’ils n’attendent que ça pour faire du fric», tonne Marc. Avant d’ajouter: «Ici, on fait vraiment tout pour décourager les commerçants.»

Trop complaisants?

Président de l’Association des commerçants de la rue de Bourg et de Saint-François, Claude Jutzi ne dément pas ces propos. «Dans le quartier, le problème est récurrent. Tout particulièrement dès la nuit tombée», note-t-il. «Même si le phénomène du deal est complexe à régler, on peut dire qu’ici la Ville a une attitude laxiste. Quelques opérations coup de poing pour la façade, mais le reste ne suit pas.» La faute à qui? «A des politiques trop complaisants et trop naïfs qui veulent accueillir la terre entière. Ils voient le dessus de la plaie, mais pas les causes de la gangrène.» Avant de tempérer son propos: «C’est vrai qu’ils se heurtent aussi à des normes pénales insuffisantes.»

Quand on évoque les commerçants qui se plaignent d’être pris dans le filet d’une police tâtillonne, Claude Jutzi sourit: «C’est le sport national. Chercher le détail qui tue le commerçant, c’est bien propre à Lausanne. Mais attention! Il ne faut pas confondre les polices: celle qui chasse les dealers n’est pas celle qui est à l’affût au quotidien d’un manquement au règlement! Reste que cet aspect des choses ajouté à une confrontation quotidienne au monde du deal de la drogue n’aide pas beaucoup à la sérénité. Il faut le vivre, pour le comprendre.»

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Valais: Baston entre scouts et dealers

Le festival de la fondation Terre des hommes, le week-end dernier à Massongex, a été entaché par une bagarre, vendredi soir.

Selon nos sources, une dispute a éclaté lorsque trois individus, peut-être mineurs, ont tenté de vendre de la marijuana à de jeunes scouts, présents à la manifestation en tant que bénévoles. Des chefs des éclaireurs sont intervenus.

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