Allemagne : un migrant tue un Allemand, la Justice le condamne à des heures de travail d’intérêt général, la police persécute le père de la victime

Scandale policier : un Syrien tue un homme, la police persécute le père de ce dernier

En 2017, un jeune syrien a tué le fils de Karsten Hempel en Saxe-Anhalt. Après que l’auteur ait été condamné à la probation, la police a poursuivi le père de la victime pour des prétendus plans de vengeance. Selon les recherches de FOCUS-Online, les enquêteurs ont utilisé des méthodes illégales. Hempel demande des éclaircissements.

Un nouveau scandale policier se profile en Saxe-Anhalt. Selon une enquête de FOCUS Online, l’inspection de la police de Dessau-Roßlau a tenté de protéger un criminel violent condamné et a pris des mesures illégales contre le père, allemand, dont le fils avait été tué par le dit criminel, Syrien.

[…]

Contexte: le 29 septembre 2017, Sabri H., alors âgé de 17 ans, s’est disputé avec le fils de Hempel, Marcus, juste devant un centre commercial à Wittenberg. Sabri H. frappé du poing la victime, âgée de 30 ans, qui est tombée et est décédée un peu plus tard des suites de blessures à la tête. […]

Verdict contre Sabri H.: deux ans de probation

Sabri H. a été condamné pour cet acte brutal en mars 2020. Pas pour meurtre, pas pour homicide involontaire, mais pour «lésions corporelles entraînant la mort». Deux ans de probation, 120 heures de travail… La chambre pénale pour mineurs du tribunal de district de Magdebourg a estimé que cela était approprié. Donc Sabri H. est resté en liberté. Et c’est toujours le cas aujourd’hui.

Fin 2020, la police a déclaré avoir reçu des informations verbales d’informateurs selon lesquelles Karsten Hempel voulait se venger de la mort de son fils et voulait violer Sabri H. À ce jour, le père nie avec véhémence les plans présumés.

[…]

Néanmoins, deux enquêteurs de la criminelle lui ont rendu visite en décembre 2020 sur son lieu de travail et ont tenu un «discours menaçant». Hempel, qui travaille comme directeur de la construction, s’est retrouvé cantonné au rôle d’accusé. Ses collègues ont été témoins d’une situation étrange, même si le gros de l’échange a eu lieu dans une pièce séparée.

Le but de cette allocution était de “prévenir les perturbations de la sécurité et de l’ordre publics”, a déclaré la police. Hempel devrait s’abstenir «d’instruire ou d’inciter des personnes» à «nuire ou menacer la santé de Sabri H.». Lui même devrait s’abstenir d’actes de vengeance. Le père de famille fut menacé d’éventuelles «mesures de sécurité», y compris l’emprisonnement.

[…]

Karsten Hempel: Souvenirs de la sombre période de la RDA

Hempel n’en croyait pas ses oreilles et se souvenait des conditions les plus sombres de la RDA. “Je pensais que les méthodes de la Stasi avaient pris fin il y a 30 ans”, a-t-il déclaré.

[…]

Cependant, l’homme de 56 ans avait des soupçons. Il a supposé que les “dénonciations” provenaient de l’environnement du criminel, ou même du Syrien lui-même.

[…]

Une chambre civile du tribunal régional de Dessau-Roßlau a condamné Sabri H. en juillet 2020 à rembourser Hempel pour tous les dommages subis «du fait du meurtre de son fils». Plus précisément, le tribunal lui a octroyé 20 000 euros pour les “prestations au survivant” et 5 300 euros pour les frais de justice. Les sommes stipulées dans le jugement par défaut sont “exécutoires” selon le tribunal.

La tentative de Karsten Hempel de faire saisir l’argent qui lui était dû a échoué. Début décembre 2020, Sabri H. a affirmé à un huissier qu’il n’avait ni économies, ni meubles, ni autres objets de valeur.

Il a également déclaré qu’il ne vivait pas à son adresse enregistrée habituelle, mais avec la famille d’un ami. Selon l’ordonnance de probation, il aurait dû signaler ce «déménagement» au tribunal de district de Magdebourg, ce qu’il n’avait pas fait. L’avocat de Karsten Hempel a alors demandé au procureur de la République d’enquêter sur une éventuelle violation des conditions de probation.

Hempel a déposé une plainte pénale pour “dénonciation calomnieuse”

Il est évident que Sabri H. s’est senti perturbé par les recherches légitimes de Karsten Hempel. Le fait est que c’est à ce moment là que le bureau de la police criminelle de l’État de Saxe-Anhalt a reçu une information selon laquelle le père Hempel aurait souhaité se venger du Syrien.

[…]

La police admet une erreur: la mesure était “illégale”

Selon les informations de FOCUS Online, le combat du père en valait la peine: la police a dû admettre officiellement l’erreur. Par décision du 1er mars 2021, le commissariat de Dessau-Roßlau a informé Karsten Hempel que la mesure policière à son encontre était “illégale” et donc “sera retirée”.

La raison invoquée dans la lettre était qu ‘«il n’y avait aucune preuve d’une situation de risque suffisamment spécifique en l’espèce». Ainsi, «la condition préalable à l’émission d’une ordonnance d’interdiction (s’adressant à la personne à l’origine du risque) n’était pas remplie».

[…]

“Un scandale”: le père se sent traité comme un criminel

[…]

«Un scandale», dit Hempel. Bien qu’il ait été victime d’un crime violent en tant que père d’un enfant tué, il a été «traité comme un agresseur» et le véritable auteur du crime, Sabri H. «qualifié de victime».

L’article dans son intégralité sur Focus

Via Fdesouche

 


La vidéo de l'altercation à l'origine de la mort du jeune Allemand :

Un islamiste jugé en Allemagne pour un meurtre homophobe. Il était venu en tant que réfugié.

Le procès d’un réfugié syrien qui avait attaqué au couteau deux hommes gays en octobre 2020, tuant l’un d’eux, s’est ouvert lundi à Dresde.

(...)

Abdullah A. H. H., âgé de 21 ans et déjà condamné par le passé pour avoir tenté de recruter des soutiens pour l’organisation État islamique (EI) est accusé de «meurtre, tentative de meurtre et lésions corporelles dangereuses».

(...)

L’affaire avait fait grand bruit en Allemagne à l’époque car le suspect, qui avait déjà fait l’objet par le passé de plusieurs condamnations pour actes de violence et purgé des peines de prison, avait été remis en liberté le 29 septembre, soit quelques jours avant l’attaque mortelle.

(...)

20min.ch


Note : Pendant ce temps, voici la propagande à laquelle les Européens sont soumis par les instances supranationales (Agence des Nations Unis pour les réfugiés) sans qu'on leur demande leur avis. En effet, en 2020, la Suisse a contribué à hauteur de 41,92 millions de dollars au HCR – un montant en légère augmentation par rapport à 2019, ce qui fait de la Suisse le 12e plus grand donateur gouvernemental du HCR en 2020.

 

 

 

(Nos remerciements à Samantha Smith)

Mölln (All.) : Un professeur poignardé à la tête. Un Syrien appréhendé.

Dans une école de langues à Mölln, dans le district de Herzogtum Lauenburg, un ancien élève a attaqué un professeur avec un couteau et l'a gravement blessé. Le contexte de l'agression est encore flou, a déclaré vendredi Ulla Hingst, procureur général de Lübeck. Selon Ulla Hingst, l'agresseur, un Syrien de 32 ans, fait l'objet d'une enquête pour tentative d'homicide.

Il aurait approché l'enseignant de 44 ans de l'école vers midi jeudi, déclarant qu'il voulait s'inscrire à un nouveau cours de langue. Alors que le professeur écrivait quelque chose sur un formulaire, l'accusé aurait soudainement attaqué le jeune homme de 44 ans avec un couteau et l'aurait poignardé à la tête, à hauteur des oreilles.

Le professeur a été emmené à l’hôpital. La vie de l'homme de 44 ans n'est pas en danger et il a déjà pu quitter l'hôpital.

L'auteur et la victime ne se connaissaient que de vue. L'agresseur n'avait jamais suivi de cours avec la victime, a déclaré Ulla Hingst.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour LesObservateurs.ch)

Welt.de

Canton de Vaud : Le Syrien pédophile ne sera pas renvoyé dans son pays. La juge lui laisse une « ultime chance ».

Aujourd’hui âgé de 29 ans et souffrant notamment de troubles mentaux en cas de consommation de cannabis, le Syrien établi en Suisse depuis 2011 a été reconnu coupable d’exhibitionnisme et d’attouchements. Il avait sorti son sexe aux abords d’un refuge forestier où se déroulait un camp d’été pour tout-petits. Au niveau des balançoires, ainsi que dans les WC où se trouvait une fillette de 4 ans. Le pervers la touchera à une cuisse avec son pénis, ainsi qu’avec ses mains gantées vers l’aine. Aux gendarmes qui l’ont interpellé dans la foulée, il avait expliqué avoir demandé à l’enfant de «faire un bisou» sur son sexe. Immédiatement après son arrestation, l’exhibitionniste avait même fait part à sa compagne quinquagénaire au passeport suisse de ses envies de faire l’amour à une petite fille.

«Une ultime chance»

«Son aptitude à mentir, à vouloir culpabiliser sa victime, son absence d’empathie, est très inquiétante», avait relevé la juge lausannoise à l’origine de la condamnation initiale du Syrien.

(...)

Tdg.ch


Rappels :

Expulsion des criminels étrangers : Encore davantage de criminels restent en Suisse. La Confédération dissimule les vrais chiffres depuis des années!

Expulsion des criminels : Malgré la loi votée par les Suisses, seuls 58% des renvois sont prononcés

Le Tribunal fédéral suisse bloque l’expulsion d’un délinquant kosovar … parce qu’il a le QI d’un enfant

La Suisse critiquée par la Cour européenne des droits de l’homme pour l’expulsion d’un violeur kosovar

Suisse: L’initiative sur l’expulsion des criminels étrangers n’est presque jamais appliquée. On a pris le peuple pour un imbécile.

Suisse: L’imam haineux était venu en tant que requérant d’asile. Son expulsions sera difficile.

Allemagne : Un réfugié syrien brigue un poste au Bundestag. Il veut modifier l’inscription « Le peuple allemand »

Au milieu de la vingtaine, il a fui la Syrie pour l'Allemagne, où il a d'abord été logé dans un gymnase de Bochum. Aujourd'hui, cinq ans plus tard, Tareq Alaows veut donner aux gens en fuite une voix "en tant que première personne au Bundestag à avoir fui la Syrie".

 

 

Tareq Alaows, 31 ans, qui a fui la Syrie, est candidat direct aux élections fédérales pour le parti des Verts en Rhénanie-du-Nord-Westphalie. "Je veux maintenant être la première personne au Bundestag qui a fui la Syrie pour donner une voix politique aux centaines de milliers de personnes qui fuient et vivent ici avec nous", a déclaré le diplômé en droit dans une vidéo sur Twitter mardi.

Selon l'association des Verts du Land de Rhénanie du Nord-Westphalie, Tareq Alaows a été élu par les députés d'Oberhausen et de Dinslaken comme leur candidat pour la circonscription du Bundestag dans ce Land.

Son souci est de sensibiliser la population allemande au sort des réfugiés sur un large plan - et si possible aussi de faire en sorte que l'inscription "Dem deutschen Volke" soit modifiée, comme il l'a déclaré au "RedaktionsNetzwerk Deutschland" (RND). "Je veux être la voix de ceux qui vivent ici en Allemagne en tant que réfugiés", a-t-il déclaré. (...)

"Jusqu'à présent, les personnes qui ont décidé de la politique de migration et au sujet des réfugiés ne savent pas comment vous vous sentez quand vous devez fuir. Je veux apporter cette perspective au Bundestag". Il a déclaré qu'il ne fallait plus dire "Au peuple allemand" mais "Pour tous les gens qui vivent en Allemagne". Il a poursuivi en disant : "Il faut empêcher la noyade des réfugiés en Méditerranée".

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

Belgique : la jeune Ahlam voulait vivre à l’européenne. Elle a été retrouvée les mains attachées dans le dos, une balle dans la tête

Ahlam gisait sur son lit, dans son appartement de la rue de la Cathédrale, à Liège. La malheureuse avait été tuée d’une balle dans la tête et avait les mains attachées dans le dos. L’arme du crime, un pistolet se trouvait à côté du corps.

Vu les causes du décès, le parquet de Liège a été averti et a organisé une descente sur place. Il est très vite apparu qu’Ahlam Younan avait un mode de vie à l’européenne qui, toujours selon nos collègues, ne plaisait pas à son cercle familial. D’aileurs un de ses cinq frères lui en avait déjà fait le reproche.

Nombre d’auditions ont déjà eu lieu, mais personne n’a encore été interpellé. Il faut dire que les membres de la famille d’Ahlam sont répartis un peu partout en Europe et que d’autres sont restés en Syrie.

Lalibre.be

Via Fdesouche

Réveillon du Nouvel An : émeutes aux cris d’Allah Akbar à #Vienne

Une foule sur la Reumannplatz a tiré des roquettes et des pétards sur des fonctionnaires, et de nombreuses arrestations temporaires ont été effectuées, rapporte l'agence de presse autrichienne APA.

On entendait sans cesse les cris d'"Allahu Akbar". Certains des objets pyrotechniques utilisés contre les policiers avaient un énorme pouvoir explosif. Comme un informateur l'a déclaré à krone.at, les projectiles auraient pu contenir jusqu'à cent grammes de poudre noire, ce qui était "comparable à une grenade à main". Un arbre de Noël a également été arrosé d'un liquide inflammable.

Les auteurs ont pris la fuite. Aux cris de "Police, Police !" (déclare un témoin) les groupes s'étaient prévenus les uns les autres à l'arrivée des autorités. Cependant, deux suspects, un Syrien de 16 ans et un autre Syrien de 21 ans, ont été arrêtés dans une maison. Dans un appartement situé dans l'immeuble, la police a retrouvé d'autres personnes qui auraient été impliquées dans les émeutes : deux ressortissants autrichiens (14 et 15 ans), deux Irakiens (20 et 22 ans) et trois autres Syriens (23, 27 et 29 ans).

 

 

 

Au cours de ces incidents, le Syrien de 21 ans aurait commis un cambriolage dans une bijouterie à l'aide d'objets pyrotechniques et d'une poubelle transformée en bélier. Contrairement aux autres suspects, il est resté en garde à vue.

Les dommages matériels risquent d'être élevés. De nombreuses fenêtres ont été brisées, des poubelles, des porte-journaux, des bancs et des machines à chewing-gum ont été détruits. "Grâce à l'intervention constante de la police, les événements ont pris fin, d'autres crimes ont été évités et de nombreux suspects ont été arrêtés", a résumé le chef de la police de Vienne, Gerhard Pürstl, "ce type de comportement criminel n'est absolument pas compréhensible et les enquêtes sur le déroulement des événements et les recherches de criminels se poursuivront sans relâche".

[...]

Pendant ce temps, le parti FPÖ viennois [NDLR : Parti nationaliste autrichien] se déchaîne déjà contre la "foule des immigrés islamistes" et le ministre de l'intérieur par le biais d'un communiqué de presse.

Dans l'ensemble, le centre de contrôle de l'État de Vienne a reçu plus de 4 000 appels d'urgence entre le dernier et le premier jour de l'année. Cela a abouti à près de 1 600 interventions. La dernière fois qu'il y a eu de graves émeutes entre manifestants nationalistes kurdes et turcs à Favoriten, c'était en juin. Les incidents ont mis à rude épreuve les relations entre Vienne et Ankara. Le chancelier Sebastian Kurz a accusé la Turquie de «semer la discorde».

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Krone.at/


Rappels :

Vienne : Encore une fois, la Turque qui a dévasté le mémorial de l’attentat est qualifiée de « mentalement malade »

Vienne : le terroriste islamiste voulait également attaquer des églises

Attaque à Vienne : l’assaillant était originaire de Macédoine du Nord

Attentat à Vienne : 4 morts et 15 blessés, un terroriste islamiste abattu. Condamné à 22 mois de prison en avril 2019 pour des faits de terrorisme, Kujtim Fejzulai a été libéré 8 mois plus tard

Berlin : Opération anti-terroriste de grande ampleur contre un Syrien de 15 ans, qui aurait été sur le point de commettre un attentat islamiste dans les transports en commun

Allemagne – Des perquisitions ont été réalisées dans la matinée dans le quartier de Berlin-Marzahn dans le cadre d’éventuels préparatifs d’un attentat islamiste. L’opération a rassemblé 190 policiers dont la cible était un Syrien de 15 ans.

«Le projet d’attaque était apparemment dirigé contre les transports en commun», a confirmé de son côté le parquet général de Berlin.

La police a été informée le 21 décembre au soir de la possible préparation d’un attentat dans la ville. Ainsi, le suspect aurait annoncé dans un chat qu’il était prêt à commettre un attentat à motivation islamiste dans le quartier à l’aide d’explosifs, fait savoir la police dans un communiqué pour la presse.

(…)

Sputnik

Via Fdesouche

Berlin : un migrant syrien demande à de jeunes Allemands d’embrasser le coran aux cris d’Allah Akbar. En échange, ils reçoivent des produits électroniques

La scène : l'Alexanderplatz, très animée, à Berlin. Dans sa dernière vidéo, Kanfash donne des iPhones et des MacBooks aux jeunes.

Mais le youtubeur, qui vient de Damas et qui est arrivé en Allemagne en 2016, attend quelque chose en retour : les adolescents doivent embrasser le Coran. Trois fois. S'ils réussissent le pari, on entendra crier "Allahu Akbar" en arrière-plan.

 

 

Cette opération soulève une question : Où le bénéficiaire de Hartz IV [NDLR : système d'aide sociale et de chômage], qui prétend ne pas être islamiste, trouve-t-il l'argent pour ces produits électroniques coûteux ?

Vendredi soir déjà, la police se trouvait chez lui à Luckenwalde (Teltow-Fläming). "Nous avons fouillé l'appartement" a déclaré un porte-parole de la police au journal Bild. Le but exact de la perquisition était inconnu dans un premier temps. Le policier n'a pas voulu donner de détails. Le fait est que les agents ont saisi le téléphone portable et les relevés bancaires du youtubeur.

Le motif était lié à la vidéo qu’il avait récemment diffusée. Celle-ci montrait une course-poursuite mise en scène avec des tirs truqués et des individus habillés en policiers. La vidéo a provoqué des remous médiatiques.

Selon le rapport, Kanfash a remis le pistolet d'alarme et les munitions directement aux policiers. Le youtubeur (actuellement 1,02 million d'abonnés) veut faire son entrée dans l'industrie du cinéma avec ses vidéos douteuses.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Tag24.de / Bild.de

Suède : Un migrant syrien viole une fille de 12 ans. Il n’est pas expulsé et est condamné à un an et demi de prison.

Un citoyen syrien a été condamné à 1 an et 2 mois de prison et à l'expulsion après avoir emmené une fille de 12 ans dans une résidence pour migrants où il l'a ensuite violée. A présent, le tribunal « suppose » qu’il y aura des obstacles à l’application de la loi.

C'est le 6 août qu'une fillette de douze ans a accompagné une amie (un an plus âgée qu'elle),  pour rencontrer un migrant au Täby Centrum [NDLR : un centre commercial], dans le nord du Grand Stockholm. L'amie de la fille avait pris contact avec le Syrien Abed Alrazzaq Dib Darwich Alhamo, âgé de 19 ans, via la plate-forme de médias sociaux Snapchat.

Là, Abed a fait semblant de s'appeler "Adam". Après la première rencontre entre les trois personnes, il a été décidé de se voir le lendemain, mais dans la ville de Åkersberga.

Migrant criminel

Elles ont pris le train pour Åkersberga où elle ont rencontré Abed. Ce qu'elles ne savaient pas, c'est qu'après son arrivée en Suède en 2017, il avait été condamné pour vol qualifié et voies de fait à une peine avec sursis avec travaux d'intérêt général de 160 heures. Et la même année, il a également été accusé d'une autre agression, mais les preuves ont été jugées insuffisantes pour une condamnation.

Abed a emmené les filles dans le logement pour migrants où il séjourne. [...] Les filles ont eu un mauvais pressentiment lorsque les migrants ont commencé à se parler en arabe et à leur jeter des coups d'œil. Soudain, l'ami d'Abed est sorti pour fumer et a emmené l'amie de la fillette de 12 ans avec lui.

Abed en a alors profité pour verrouiller la porte et baisser les stores de la chambre dans laquelle ils logeaient. Puis il a forcé la fille à se déshabiller. Il ressort de son témoignage qu'elle s'y est opposée et a clairement indiqué qu'elle n'avait que 12 ans.

Mais alors qu'elle essayait de sortir, Abed la retenue par les poignets. Il a ensuite procédé à un viol vaginal dans la chambre. La jeune fille témoigne que le téléphone d'Abed a sonné à plusieurs reprises pendant l'agression.

L’amie de la jeune fille de 12 ans a raconté à la police que l’autre migrant qui était sorti fumer a commencé à appeler Abed alors qu’ils étaient sur le chemin du retour. Mais la porte de la chambre d’Abed était verrouillée et un instant plus tard, la jeune fille (de 12 ans) est sortie et avait l’air dévastée.

[...]

Lors d'un interrogatoire de la police avec la mère de la fillette de 12 ans, celle-ci raconte comment Abed aurait menacé sa fille afin qu'elle ne parle ni à ses parents ni à la police car elle serait alors «frappée violemment». Pour des raisons inconnues, Abed n'a pas été accusé de voies de fait devant le tribunal.

Selon la jeune fille, [...] Abed a fait comprendre à la fillette de 12 ans qu'il faisait ce qu'il voulait.

Tribunal de district réduit la peine

Abed a été arrêté par la police et a admis qu’ils avaient eu des rapports sexuels, mais il a affirmé que c’était « volontaire ». En outre, Abed a déclaré qu’il ne connaissait pas l'âge de la fille. Les deux filles contestent son affirmation.

Le tribunal a estimé que l’emprisonnement d’un an et deux mois est une peine suffisante parce que l'expulsion avait été également décidée (avec la possibilité de retourner en Suède en 2030). En raison de l'expulsion, Abed a bénéficié d’une réduction de quatre mois sur la peine d’emprisonnement.

La Cour d'appel stoppe l'expulsion

Le 12 novembre, la Cour d'appel de Svea a annoncé qu'elle souscrivait à l'appréciation du tribunal de district concernant le viol d'enfant. Cependant, la peine est modifiée et l'expulsion est annulée. La Cour d'appel estime qu'il n'est probablement pas possible de l'expulser vers la Syrie. (...)

Compte tenu de la situation personnelle de l’homme et de la situation en Syrie, selon la Cour d’appel, il n’est pas possible de se prononcer sur l’expulsion. Il est « supposé » qu’il y aura des obstacles à l'exécution de l'expulsion lorsque celle-ci deviendra pertinente.

La Cour d'appel a fixé la peine d'emprisonnement à un an et demi, qui après déduction selon la règle des deux tiers, est réduite à un an.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Samnytt.se

Suède : un « médecin » syrien qui a circoncis neuf garçons avec un pistolet à souder s’en tire avec un sursis

Suède : un Syrien qui a circoncis neuf garçons avec un pistolet à souder s'en tire avec un sursis

Des revues médicales rapportent que de jeunes victimes de cette parodie de circoncision souffraient tellement qu'elles avaient de la peine à marcher.

Un Syrien qui, entre avril et mai 2018, a circoncis neuf garçons avec un pistolet à souder dans les villes suédoises de Söderhamn et de Gävle a été condamné à une peine avec sursis, a rapporté la chaîne nationale SVT.

L'homme a la trentaine et n'est pas un médecin agréé en Suède. Il a effectué les circoncisions à la demande des tuteurs des garçons, avec un pistolet à souder non médical. Il se faisait payer environ 2000 couronnes (200 euros).

Il soutenait qu'il avait fait des études de médecine en Syrie et était donc autorisé à pratiquer la circoncision. Les médecins qui ont traité les enfants après ses opérations atroces doutent fortement qu'elles puissent être l'œuvre d'un vrai médecin. Deux des garçons souffraient tellement après cette circoncision mal faite qu'ils avaient de la peine à marcher.

L'enquête a révélé que l'homme était entré en contact avec les familles par l'intermédiaire d'un membre de la commission de l'école maternelle Bilaal, précédemment lié à des cercles extrémistes. Un des fondateurs de l'école et un ancien employé étaient sous mandat d'expulsion. Selon la police de sécurité suédoise (Säpo), un réseau extrémiste actif dans le comté de Gästrikland avait accès à des locaux appartenant à l'école maternelle Bilaal, rapporte SVT.

Le faux médecin a maintenant été condamné pour agression, lésions corporelles et violation de la loi sur la circoncision des mineurs. Il écope d'une peine avec sursis assortie de 180 heures de travaux d'intérêt général. Il doit également payer 5400 euros de dommages et intérêts.

En même temps, il a été acquitté de quatre cas de voies de fait et de cinq cas de lésions corporelles. Dans ces cas, le tribunal a estimé qu'il n'était pas prouvé que l'inflammation soit due aux opérations, ni que la douleur soit telle qu'elle constitue un mauvais traitement.

Le procureur avait demandé deux ans d'emprisonnement.

La circoncision est l'ablation chirurgicale du prépuce du pénis humain. Elle est pratiquée dans de nombreuses cultures, dont le judaïsme, l'islam et même certaines confessions chrétiennes, et est souvent considérée comme un rite de passage de l'enfance à l'âge adulte.

En Suède, la circoncision des mineurs sans raison médicale est autorisée depuis 2001.

Source: https://sputniknews.com/europe/202011121081136904-syrian-man-who-circumcised-nine-boys-with-soldering-gun-walks-away-with-suspended-sentence-in/

Traduction Cenator

***

Rappel : la commune de Gävle est fière de sa diversité :

Une ville suédoise fait scandale avec son écriteau de bienvenue arborant une femme en hijab

Elle n’est pourtant pas un modèle d'intégration :

Suède: Des migrants tabassent un handicapé tout en le traitant de raciste. « Je suis musulman, putains de Suédois! »

Suède : un Érythréen tire sur un homme, plaide qu’il ne savait pas que son arme pouvait tirer des balles… Il demande désormais un dédommagement de l’État suédois

Suède : une jeune fille de 12 ans agressée par un gang d’enfants et menacée de viol parce qu’elle aurait écrit des messages « racistes »

 

Un islamiste syrien qui préparait un attentat a coûté plus de 5 millions d’euros aux contribuables allemands

Bitterfeld - Pendant quatre ans, Ayman N. (19 ans), compagnon de route de l'Etat islamique, a occupé la police et la justice.

Parce qu’il est considéré comme très dangereux, l’islamiste a été surveillé 24 heures sur 24, pour un coût de plus de 5 millions d’euros. À la fin du mois d’août, l’Office des étrangers a déclaré qu’il était impossible de procéder à une expulsion.

Après son arrivée en Allemagne, le Syrien avait annoncé un attentat dans des groupes de discussion secrets, tentant d'acheter des armes et des explosifs sur Internet. En septembre 2017, il s'est présenté devant le tribunal régional de Halle. La procédure a été transmise au Conseil de la Protection de l’État du Tribunal de Berlin, puis le mandat d’arrêt a été révoqué.

Ayman N vivait à Friedersdorf, et était surveillé 24 heures sur 24 par quatre policiers.Le district compétent a déclaré que, dans son cas, une interdiction de "refoulement" était en vigueur dans la zone de guerre syrienne. A présent, les autorités fédérales ont réussi à le faire accepter par le Soudan.

Un porte-parole de la magistrature déclare : « S’il rentre en Allemagne, il doit s’attendre à une arrestation immédiate."

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Allemagne : le terroriste musulman voulait « massacrer » les chrétiens et leur « couper la langue »

Note : Ce Syrien était "toléré" sur le territoire allemand tout comme de nombreux autres, grâce à la décision de Merkel ordonnant d'ouvrir les portes de l'Allemagne (et de l'Europe par la même occasion) aux migrants en 2015.

La police allemande, comme la police suisse dans le cas de Morges, a été incapable de protéger la population. Est-ce ainsi que les Européens veulent vivre, en accueillant encore davantage de migrants ?


Le tueur de Dresde, qui a poignardé un touriste et gravement blessé un autre, était connu pour être une menace. Il s'est radicalisé peu après son arrivée en Allemagne, menaçant les personnes d'autres confessions de la manière la plus dégoûtante qui soit.

Abdullah Al Haj Hasan a été emprisonné, sa libération a été assortie de diverses conditions et il était sous surveillance - mais pas complètement. Comment les autorités expliquent les mesures prises à l'encontre de cet homme de 20 ans et quelles erreurs incroyables ont été commises dans cette affaire [...]

Bild (article réservé aux abonnés)

Nos remerciements à Para bellum

Dresde (All.) : un migrant syrien tue un Allemand, puis en blesse un autre. Berlin dénonce la « menace terroriste islamiste ».

Plusieurs médias allemands le décrivent comme un partisan de l’organisation djihadiste État islamique (EI). Il se serait radicalisé depuis son arrivée en Allemagne, en 2015, au plus fort de l’afflux de migrants en provenance de Syrie à l’époque.

À la suite de ses condamnations, le suspect a purgé des peines de prison. Il avait été remis en liberté le 29 septembre, soit quelques jours avant l’attaque mortelle de Dresde, et restait fiché par la police comme potentiellement « dangereux ».

Le jeune homme n’avait pas le statut officiel de réfugié en Allemagne mais restait « toléré » par les autorités. Lors de son audition par les enquêteurs, il n’a fait aucune déclaration, précise le communiqué du parquet.

Selon les médias allemands, son ADN a été retrouvé sur le couteau de cuisine qui a servi à perpétrer l’homicide, et a conduit à son arrestation.

L'Union.fr


Berlin dénonce la "menace terroriste islamiste"

Le gouvernement allemand a dénoncé mercredi la "menace permanente" de la "terreur islamiste" après le meurtre au couteau à Dresde.

"La terreur islamiste est une menace permanente, que nous devons contrer avec toute la cohérence possible", a commenté la ministre de la Justice Christine Lambrecht sur Twitter, tandis que son homologue de l’Intérieur Horst Seehofer a estimé que cet acte "démontre une fois de plus la nature dangereuse de la violence islamiste" qui "impose la plus grande vigilance".

[...]

Ledauphine.com

Cologne (All.) : un Syrien avait placé une bombe à clou. La presse cache l’origine du criminel.

On a pu l'admirer de manière exemplaire une fois de plus dans le cas de la tentative d'attentat terroriste à la gare de Cologne-Deutz samedi dernier : la police de Cologne a arrêté un suspect de 21 ans dans cette affaire. Il n'y a plus que deux possibilités pour rendre compte de ces cas : Soit l'expression populaire "Un homme" est utilisée, avec un anonymat complet de l'ethnicité et de l'origine de l'auteur. Ou - si la personne en question est un Allemand bio, alors la désignation de la nationalité est non seulement sans problème, mais aussi obligatoire pour le désamorçage préventif des préjugés "racistes".

Il est d'autant plus surprenant de voir ce que les médias régionaux de Rhénanie du Nord-Westphalie ont fait du rapport de police : Ils ont expliqué que l'auteur était un "jeune homme de Lüdenscheid" ; cette remarquable formulation a été utilisée non seulement par la WDR et divers quotidiens de Cologne, mais aussi par le journal "DerWesten".

La manchette mentionnait déjà le "Sauerlander" [NDLR : "l'habitants de la région allemande de basse montagne du Sauerland"], qui avait entre-temps avoué avoir placé l'engin explosif dans les toilettes d'un train régional. Selon le portail, "son mobile est préoccupant" et "amer" : il avait agi "par mécontentement de sa situation sociale précaire", selon la police ; par son acte, il avait "voulu attirer l'attention du public". Tout cela aurait été tout à fait inoffensif - s'il n'y avait pas eu l'ancien président de l'Office pour la protection de la Constitution, Hans-Georg Maaßen, qui a gâché la belle idylle avec quelques informations de fond.

 

 

 

"Par souci d'exhaustivité: le Sauerländer est né en Syrie en 1999 et possède un permis de séjour en tant que demandeur d'asile."

Mais bon ! Ce que l'habitant de la région allemande de basse montagne du Sauerland ne sait pas : vous avez le blues, vous êtes insatisfait de votre vie, alors vous emballez une bombe à clous avec des explosifs et vous la mettez dans les toilettes de la gare. Cela peut arriver ! C'est probablement pour cette raison que la police de Cologne a libéré le jeune homme de 21 ans après ses aveux - par la plus haute instance du ministère public de Düsseldorf. L'Allemagne est comme ça...

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Journalistenwatch.com

Nos remerciements à Victoria Valentini

Fusillade hier soir à Bruxelles entre Albanais et Syriens

Une fusillade a éclaté sur la chaussée de Mons à Anderlecht samedi soir, a indiqué la zone de police Bruxelles-Midi. Les circonstances des faits sont encore floues, cependant il n’y a aucun blessé à déplorer. Un périmètre de sécurité a été installé dans le quartier Cureghem.

“Un café a été visé. La police s’est rendue sur place un peu avant 20h. Il n’y a heureusement aucun blessé. Les auteurs sont encore recherchés”, déclare Adeline Roty, porte-parole de la zone de police Bruxelles-Midi. Selon des observateurs, il s’agirait d’un règlement de comptes entre des Albanais et des Syriens.

Sudinfo.be

Via Fdesouche

Suède : Une fille de 12 ans violée par un Syrien. Une juge écologiste s’oppose à son expulsion et demande un an de prison

Un Syrien de 19 ans a été condamné à 14 mois de prison et à une expulsion de 10 ans pour le viol très médiatisé d’une fillette de 12 ans dans un foyer d’hébergement pour réfugiés à Åkersberga le mois dernier. Mais le tribunal n’a pas été unanime et une des juges, membre du comité du Parti vert, voulait que le violeur reste en Suède.

«L’affaire doit être jugée moins sévèrement», déclare Gunilla Bergström, environnementaliste de 63 ans.

Le viol au centre d’hébergement pour réfugiés à Åkersberga

Une fillette de 12 ans a été amenée dans le centre d’hébergement et violée.

C’est le jeudi 6 août de cette année que la police d’Åkersberga reçoit l’alerte selon laquelle une jeune fille de 12 ans a été violée dans un centre d’hébergement à Åkersberga. Selon les premières informations, la jeune fille et un de ses amis ont été piégés dans le logement par deux hommes, un Syrien et un Afghan, qui vivent dans un logement du centre d’hébergement.

L’Afghan emmène l’ami de la fillette de 12 ans hors du logement, et lorsque le Syrien est laissé seul dans une pièce avec la fillette de 12 ans, il en profite pour la violer.

“Il a enlevé ses vêtements et il ne l’a pas écoutée quand elle a dit qu’elle voulait attendre parce qu’elle n’avait que 12 ans”, lit-on dans le verdict. Le texte continue : “Il a eu des relations sexuelles vaginales avec elle. Il la tenait en tenant ses mains contre ses clavicules. Ça lui faisait mal. Pendant les rapports sexuels, ça lui faisait mal aussi. Elle lui a dit d’arrêter. Ses cheveux se sont ébouriffés et son maquillage s’est défait.”

Le violeur syrien a été arrêté par la police pour le viol de la fillette de 12 ans.

La condamnation de l’homme a maintenant été prononcée par le tribunal de district d’Attunda : 1 an et 2 mois d’emprisonnement pour viol d’enfant et 10 ans d’expulsion.

Pas d’accord avec le tribunal

Mais le tribunal n’est pas unanime. La juge Gunilla Bergström, qui représente le Parti vert au tribunal de district d’Attunda, estime que l’homme de 19 ans devrait être acquitté de l’accusation de viol. Au lieu de cela, il devrait être condamné à un an de prison pour exploitation sexuelle d’enfants et éviter l’expulsion, estime-t-elle.

“L’affaire doit être jugée moins sévèrement à la lumière des circonstances de l’affaire”, écrit la femme politique écologiste. “La peine sera fixée à un an d’emprisonnement et la demande d’expulsion sera rejetée”, poursuit-elle par écrit.

Le conseiller et les deux autres juges estiment cependant que le Syrien devrait être condamné à la prison pour avoir violé un enfant puis expulsé de Suède.

“Le viol est un type de crime qui implique une violation grave de la vie privée des plaignants. Il a également été condamné pour un crime dans le passé”, disent-ils dans leur verdict, déclarant que : “Aucune raison particulière n’est requise pour l’expulsion.”

Précédemment condamné pour vol et agression

Le Syrien de 19 ans est arrivé en Suède via le Liban en 2018 avec sa mère, son père et ses cinq frères et sœurs. En Suède, la famille a obtenu une déclaration de statut de protection alternative et un permis de séjour permanent. Ils n’ont donc pas le statut de réfugié.

Le jeune Syrien a été condamné aussi récemment qu’en mai de cette année pour vol et agression. Avec deux autres Syriens à Åkersberga, le jeune homme de 19 ans a volé à plusieurs adolescents suédois à Åkersberga l’été dernier des haut-parleurs, des sacs, une montre et un téléphone portable. À ce moment-là, le tribunal s’est contenté de condamner le criminel à la probation et aux travaux d’intérêt général. Ce jugement a fait l’objet d’un appel.

L’Afghan, qui était impliqué dans le logement d’asile au moment du viol de la fillette de 12 ans, a également été condamné pour un crime. Il a été reconnu coupable il y a deux semaines de harcèlement sexuel après, entre autres, avoir tenu et piqué une fille de 13 ans sur les seins dans le centre d’Åkersberga.

Un centre d’hébergement impopulaire

Après le viol de la fillette de 12 ans dans le foyer d’asile, la surveillance du logement d’asile dans la municipalité d’Österåker, à laquelle appartient Åkersberga, a été renforcée. La raison en est qu’il existe un mécontentement populaire et une opposition largement répandus des habitants en raison de l’insécurité et de la violence que suscitent les immigrés qui y vivent dans la commune.

Dans un article publié par Nyhetsbyrån, plusieurs habitants d’Österåker parlent de leurs expériences.

– Il est assez évident pour la plupart des gens ici, dans la municipalité, que le logement des réfugiés crée beaucoup d’anxiété, dit un homme.

En février 2018, deux casernes résidentielles ont brûlé à Åkersberga qui étaient destinées à être utilisées comme centre pour demandeurs d’asile. Avant les incendies, la municipalité avait reçu des menaces avec des appels pour arrêter la construction du logement d’asile.

Friatider et Aftonbladet

Via Fdesouche

Zurich : Un requérant d’asile débouté, déjà condamné à 11 reprises, avoue le viol d’une étudiante. Sa peine est réduite.

La justice zurichoise réduit d’un an la peine infligée au violeur d’une étudiante. Le requérant d’asile écope de huit ans de prison et sera expulsé. [...]

Le Syrien âgé de 34 ans, dont la demande d’asile a été rejetée, avait, jusque-là, toujours nié les faits.

[...]

L’homme avait déjà été condamné à onze reprises en deux ans en Suisse et quatre fois en Italie entre 2011 et 2014. Il a violé la jeune femme à Zurich, alors qu’il était en période probatoire après une condamnation.

20min.ch


Note : Les tribunaux suisses ont attendu un viol pour que cette crapule soit expulsée. C'est ainsi que les juges respectent la décision du peuple?

Magdeburg (All.) : Près de 5 millions d’euros pour la surveillance d’un seul islamiste. Il était venu en tant que réfugié mineur non accompagné.

Depuis trois ans dans l'arrondissement d'Anhalt-Bitterfeld, les agents de la police d'État surveillent à chaque instant un islamiste qui représente une menace. Il n'y a pas de fin prévue.

Magdebourg. Les habitants d'un village de 2000 habitants dans l'arrondissement d'Anhalt-Bitterfeld se trouvent presque tous les jours dans une situation étrange. Lorsque le Syrien Ayman N., 19 ans, veut faire des courses dans le village, quatre policiers en civil avec deux véhicules le suivent à quelques mètres de distance. Il n'est de toute façon pas autorisé à quitter son logement plus loin que le supermarché. Il est également contrôlé par un bracelet électronique placé sur sa jambe. Cela se passe ainsi depuis 2017.

Selon des informations du site Volkstimme, 95 000 heures/homme ont déjà été consacrées à sa surveillance.

À un taux horaire de 52 euros par fonctionnaire, cela fait près de cinq millions d'euros. Les coûts des véhicules ou d'autres ressources matérielles ne sont pas inclus. Quatre hommes sont actuellement censés être déployés par équipe pour la surveillance, ce qui signifie qu'il y a douze officiers de police par jour. La plupart d'entre eux viennent de Magdebourg. Le motif : Le jeune homme est classé comme une menace islamiste et attend la poursuite de son procès devant la Cour d'appel de Berlin.

En août 2017, le tribunal régional de Halle avait ouvert le procès pour "préparation d'un acte de violence grave qui met en danger l'État". Le sympathisant de l'Etat islamique, qui était entré en Allemagne en tant que réfugié mineur non accompagné à l'automne 2015, a vécu dans le Land d'Osternienbourg jusqu'en janvier 2017. Il a contacté des personnes partageant les mêmes idées sur Internet. Selon l'acte d'accusation, il s'était fait envoyer un manuel de construction pour la fabrication d'un fusil d'assaut AK 47 (Kalachnikov). Dans un salon de discussion, il aurait demandé où se procurer des armes et comment fabriquer une ceinture d'explosifs. Le Syrien a également affirmé à un agent sous couverture qu'il prévoyait "quelque chose de plus grand". Il était question d'une attaque à Berlin.

Après la troisième journée d'audience non publique en septembre 2017, le tribunal régional s'est déclaré incompétent et a renvoyé l'affaire devant la cour d'appel de Berlin. [...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Volksstimme.de


Note : A ce jour, la Confédération évite soigneusement de divulguer les coûts engendrés par la surveillance des islamistes sur notre sol.

Dresde (All.) : Des Syriens font la course à travers la ville. Un garçon de 6 ans tué.

Samedi, 20h29 : Le chauffeur de la Mercedes, un Syrien (31 ans), se trouve dans la Budapester Straße en direction du centre ville. À côté de lui dans une BMW, un compatriote (23 ans) du Syrien met les gaz.

Les hommes font apparemment la course. "Les deux voitures roulaient à très grande vitesse", a déclaré le chef de la police Lutz Milker au BILD.

La Mercedes et la BMW se font la chasse à l'intersection avec la Schweizer Straße. Peu avant, la Mercedes puis la BMW passent devant une voiture non impliquée et plus lente. La Mercedes se rabat dans la voie de droite. Lutz Milker déclare : "La BMW a rattrapé son retard sur la voie de gauche."

C'est à la hauteur de l'arrêt de bus que cela se passe : "Selon les informations disponibles jusqu'à présent, trois enfants ont traversé la route depuis la bande verte centrale. Deux enfants y parviennent. Le garçon (âgé de 6 ans) tout derrière est rattrapé par la Mercedes (Classe C) qui s'approche.

L'enfant, également de nationalité syrienne, est projeté contre l'arrêt de bus. L'enfant heure le sol dur et reste allongé avec de graves blessures. Les secouristes se sont empressés d'amener le garçon à la clinique. Il y est mort peu de temps après.

Selon le porte-parole de la police, Lukas Reumund, le conducteur de la Mercedes fait l'objet d'une enquête "pour homicide par négligence et interférence dangereuse avec la circulation. Les deux conducteurs sont également "sous enquête pour course automobile illégale". Les permis de conduire des conducteurs ont été confisqués.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de