Lausanne : 2 kilos 1/2 de cocaïne dans un squat de migrants. Pour l’extrême-gauche, il faut les régulariser.

Ils s’étaient installés il y a un mois tout juste. La centaine de migrants africains qui forme le Collectif Jean Dutoit avait quitté Lausanne fin septembre pour s’installer dans un nouveau lieu: l’ancienne halle Switcher au Mont-sur-Lausanne. Lundi en début d’après-midi, leur squat a été visé par une vaste opération antidrogue de la police cantonale et de la police municipale lausannoise. Ordonnée par le Ministère public, la descente a mobilisé près de 180 agents de 14 h à 17h30. Elle a abouti à l’arrestation de cinq personnes. 2,5 kilos de cocaïne ont été saisis, ainsi que plusieurs milliers de francs suisses et d’euros.

(...)

Depuis son changement d’adresse, le collectif s’était plaint par voie de communiqué de fouilles systématiques aux abords du bâtiment. De fait, selon les informations données par la police, depuis le 24 septembre, 1,78 kilo de cocaïne a été saisi sur 13 personnes originaires du Nigeria, de Sierra Leone et de Gambie notamment, interpellées alors qu’elles quittaient le squat. Jean-Christophe Sauterel dément toutefois tout durcissement du dispositif autour du nouveau squat. «Il n’y a pas eu de contrôles systématiques.»

Quoi qu’en dise la police, ce n’est pas la première fois que le Collectif Jean Dutoit est visé par une grosse opération antidrogue. Fin mai dernier, il y avait déjà eu une descente dans l’immeuble occupé par les migrants à la Blécherette avant leur installation au Mont-sur-Lausanne. Elle avait impliqué près de 150 gendarmes et policiers, aboutissant à l’arrestation de quatre personnes. À cette occasion, une centaine de grammes de cocaïne et 20’000 francs suisses avaient été saisis. La police précisait alors qu’elle avait déjà arrêté 12 trafiquants en lien avec le même squat au cours des mois précédents, saisissant 6 kilos de cocaïne et 41’000 francs.

Parmi les individus arrêtés en mai dernier, deux sont aujourd’hui toujours en détention provisoire, dont un Nigérian de 52 ans. Celui-ci avait été désigné par la police comme l’organisateur du trafic de cocaïne basé au squat de la Blécherette. Plusieurs sources ont depuis confirmé que cette personne occupait une position importante dans l’organisation du Collectif Jean Dutoit, se faisant appeler «The Chairman», ou «Le Président».

(...)

Par le passé, le Collectif Jean Dutoit n’a jamais nié que certains de ses membres étaient impliqués dans la vente de drogue. Lors de la perquisition de lundi au Mont-sur-Lausanne, une poignée de jeunes gens soutenant les migrants avaient fait le déplacement, maintenus à distance par les policiers. «On a toujours dit que la solution pour mettre fin ces trafics serait de régulariser ces gens et leur donner un travail», déclare une militante. Comme les autres jeunes, son soutien aux migrants n’est pas entamé par les saisies de drogue et les arrestations. (24 heures)

Nos remerciements à Alex

Naturalisation. A Lausanne, le passeport suisse est très bon marché !

Devenir citoyen suisse a un prix, et ce dernier diffère massivement selon le canton de résidence, allant de 500 à 3000 francs.

A Fribourg, qui a les émoluments les plus élevés en Suisse romande, il faut compter entre 1800 et 3000 francs pour obtenir la nationalité suisse, alors qu'à Lausanne, qui se trouve à l'opposé, la procédure coûte entre 550 et 850 francs.

Fribourg justifie le montant élevé par un nombre de candidats au passeport suisse plus faible. La capitale vaudoise applique, quant à elle, un forfait fixe pour chaque candidat.

(...)

20 Minutes.ch

Lausanne: Recours contre le refus de naturalisation

Le couple, dont la naturalisation a été refusée car il ne voulait pas serrer la main d'une femme, n'a pas dit son dernier mot.

Pour mémoire, à la mi-août, la municipalité de Lausanne a refusé d'octroyer la bourgeoisie communale et de facto la naturalisation à un couple qui avait refusé de serrer la main de ses interlocuteurs de sexe opposé. L'exécutif a jugé que cette attitude ne respectait pas l'égalité homme-femme.

Extrait de: Source et auteur

 

Mosquée de Lausanne: la réponse des autorités vaudoises

Le blog de Mireille Vallette - Boulevard de l'islamisme  - 21/08/2018

Les autorités n'interviendront pas. Pour le délégué aux affaire religieuses, les responsables peuvent se prévaloir de la liberté de religion.

Une mosquée peut-elle diffuser pour la galerie des propos sucrés et dans son site des appels à la haine et à la discrimination? Interdire à ses adeptes de participer aux fêtes des chrétiens, car «ennemis de Dieu», interdire aux musulmanes d’épouser un non-musulman, enseigner que les poignées de mains entre sexes opposés font courir le risque de «fornication»? Pour le délégué aux affaires religieuses du Département de l'intérieur et des institutions, la réponse est oui.

Chacun a encore à l’esprit la polémique déclenchée par le refus d’un couple de musulmans de serrer la main des membres de la Commission de naturalisation de Lausanne, comportement qui a conduit la commune à introduire dans ses procédures une poignée de main systématique avec les candidats… Sans qu’un refus ne soit bien sûr une raison suffisante de rejet, comme l’assure le chef adjoint du Service de la population. Cette polémique a remis en lumière le refus de l’imam El-Rifai et du porte-parole Bassam Degerab de serrer la main des femmes dans leur mosquée. Ils forment ainsi, par le texte et par l'exemple, des centaines d'enfants à ce genre de comportements archaïques.

Degerab, par ailleurs conseiller communal Vert de Montreux, est interrogé sur ce refus des poignées de mains qu’a notamment vécu une journaliste dans sa mosquée. «Il s’agissait de respecter la jurisprudence de l’islam à l’intérieur de ce lieu de culte, jurisprudence qui «interdit les contacts physiques entre hommes et femmes». Il n'ose pas s'opposer à la décision des élus lausannois, mais prévient: le principe devra s’appliquer à tous, par exemple «... aux Japonais, dont ce n’est pas la tradition».

Les Verts, qui ne reculent devant aucune démission, l’ont désigné comme membre de la Commissions de naturalisation de sa commune. Oserait-il refuser le passeport suisse à des candidats qui partagent ses convictions obscurantistes?

Pour en revenir à la mosquée et au contenu révoltant de son site, j’ai interpelé le Département des institutions et de la sécurité vaudois présidé par Béatrice Métraux après la parution de mon article le 16 juillet dernier. J’ai joint à l’article quelques captures d’écran du site.

J’ai posé les questions suivantes :

-La liberté de religion permet-elle ce type d’enseignement ?

-Est-il naturel que le porte-parole de cette mosquée soit conseiller communal ? (celle-ci aurait plutôt dû être posée aux Verts)

-Ces textes vous posent-ils quelques problèmes ?

-Comptez-vous engager une action ?

Réponse du département

Ci-dessous la réponse écrite intégrale d’Eric Golaz, chargé de mission et délégué aux affaires religieuses du département (j’ai écrit en gras certains passages).

«Madame,

Vous vous interrogez quant à la portée du principe de la liberté de religion, en lien avec la teneur du site internet de la Mosquée de Lausanne.

A cet égard, il convient de rappeler les éléments suivants:

- La liberté religieuse, garantie par les articles 15 de la Constitution fédérale (Cst.) et 16 de la Constitution cantonale (Cst-VD), protège notamment les personnes morales de droit privé qui poursuivent, d'après leurs statuts, un but religieux ou ecclésiastique;

- Sur cette base, il est clair que la Mosquée de Lausanne est en droit de se prévaloir de ce principe fondamental;

- Une telle liberté publique a bien évidemment ses limites. En l'occurrence, celles-ci se trouveront notamment dans les règles inscrites au sein du droit pénal suisse;

- On pense ici aux dispositions de l'art. 261bis CP, qui répriment notamment celui qui, publiquement, aura incité à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse;

A notre connaissance, aucun exemple de jurisprudence à ce jour ne permet d'envisager l'engagement d'une procédure pénale sur la base des éléments que vous décrivez;

- Pour le reste, vous mettez en avant dans votre texte joint en annexe que la Mosquée de Lausanne s'apprêterait à déposer une demande de reconnaissance;

mosquée de lausanne. el-rifai,begerab- A ce titre, j'attire votre attention sur le fait que la communauté religieuse en question devrait alors remplir des conditions inscrites dans la Loi sur la reconnaissance des communautés religieuses et sur les relations entre l'Etat et les communautés religieuses reconnues d'intérêt public (RSV 180.51). Celles-ci sont particulièrement nombreuses et sévères. On pense notamment à l'exigence pour la communauté requérante de s'engager vers le dialogue interreligieux. D'autres conditions légales à la reconnaissance sont notamment : la reconnaissance du caractère contraignant de l'ordre juridique suisse, y compris - et de manière explicite - l'interdiction de toute forme de discrimination, en particulier entre les femmes et les hommes dans la société; l'interdiction du prosélytisme contraire à l'ordre juridique; le respect des principes démocratiques; la transparence financière; l'engagement en faveur de la paix sociale et religieuse, etc.

- On le voit, le choix d'une communauté d'entrer dans un processus de reconnaissance étatique implique qu'elle se soumette aux conditions de cette reconnaissance et à des contrôles subséquents. La communauté ne pourra ainsi invoquer la liberté religieuse pour contester le fait que la reconnaissance par l’État soit soumise à des conditions. La liberté religieuse d'une communauté qui décide de son plein gré de s'engager dans un processus de reconnaissance étatique est ainsi limitée. Ainsi, l’État examinera si la Mosquée de Lausanne répond à tous ces critères au moment où celle-ci déposera formellement sa demande de reconnaissance. Si les conditions ne sont pas remplies au regard des critères cités, la demande de reconnaissance sera refusée.

- Pour le reste, pour répondre à votre question, il est clair qu'à titre individuel, dans la mesure où il répond aux conditions formelles posées par la législation en matière de droits politiques, le porte-parole d'une communauté religieuse, quelle qu'elle soit, est en droit d'être candidat à l'élection à l'organe délibérant d'une commune, voire d'y siéger en cas d'élection par le peuple.

J'espère avoir ainsi répondu à vos interrogations.»

 

L'article 261 bis du Code Pénal Suisse

«Celui qui, publiquement, aura incité à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse ;

- celui qui, publiquement, aura propagé une idéologie visant à rabaisser ou à dénigrer de façon systématique les membres d'une race, d'une ethnie ou d'une religion ; (…)

- celui qui aura publiquement (…) abaissé ou discriminé d'une façon qui porte atteinte à la dignité humaine une personne ou un groupe de personnes en raison de leur race, de leur appartenance ethnique ou de leur religion (…)

sera puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire.»

Le texte semble parfaitement clair, il suffit de dénoncer «celui qui aura publiquement, par (…) l'écriture (…) abaissé ou discriminé d'une façon qui porte atteinte à la dignité humaine une personne ou un groupe de personnes en raison de leur (…) religion...) Traiter à tout propos les athées et les membres d’autres religions de «mécréants» et les chrétiens d’«ennemis de Dieu», n’est-ce pas les abaisser de manière qui porte atteinte à leur dignité? On le verra, entre ce principe et celui de la liberté religieuse, c’est ce dernier qui l’emporte.

Le délégué s’étend complaisamment sur une question qui ne lui est pas posée. Il tente de rassurer: les autorités vaudoises pourraient refuser la reconnaissance de cette mosquée (un processus qui va durer des années!). Que se passerait-il alors? La mosquée serait privée de quelques avantages, mais pourrait continuer à diffuser à des centaines, voire des milliers d’adeptes de ce lieu de culte ses textes haineux et discriminatoires.

Les autorités se contrefichent de cette daube fondamentaliste et laissent cette mosquée former des enfants et des adultes à la haine de l’autre, à la discrimination religieuse et à celle des femmes. Parallèlement bien sûr, elles subventionnent des organismes de prévention de la radicalisation. Et s’apprêtent à financer des aumôniers musulmans dans les prisons entre autres dans le même but.

En 2015, la police a fait appel à la mosquée pour déradicaliser une jeune fille. Les tartuffes reçoivent aussi moult classes d’écoles afin d’initier les jeunes mécréants à leur admirable religion. Les conversions d’ennemis de Dieu sont fréquentes. Et leur site précise: «La Mosquée participe au dialogue inter-religieux avec différentes communautés.»

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Un joli chœur illumine la Mosquée de Lausanne

Notons que si j’appelle la population à éviter les musulmans (tous les musulmans de même que «les mécréants» comprennent tous les non-musulmans), «ennemis de notre démocratie», «bigots dangereux et puritains vénéneux», à «boycotter leurs fêtes», à déconseiller vivement «d’épouser un de ces semeurs de haine», je pourrais bien me retrouver devant un juge.

La volontaire ignorance des autorités sur le caractère dangereux de cette mosquée ne date pas d’hier. Le Mouvement suisse contre l’islamisation (MOSCI, désormais en veille) avait en 2008 déjà mis en garde contre le double discours et les orientations extrémistes de la Mosquée.

Et en 2011, le MOSCI a déposé une dénonciation pénale contre l’imam Mouwafak El-Rifai. Son motif? Le site de sa mosquée renvoyait à un texte en arabe qui faisait la promotion du djihad et de tous les châtiments de la charia. Et dans des propos en arabe, enregistrés, il traitait les chrétiens et les juifs de «diables».

Sébastien Fetter du Ministère public a rendu une ordonnance de classement qui a conduit à l’acquittement d’El-Rifai. Il peut depuis lors poursuivre son œuvre de fossoyeur de nos valeurs.

Le MOSCI avait souligné les faiblesses du Code pénal. Et vainement appelé à introduire un «principe de précaution» visant les dangers de passage à l’acte de ces discours religieux extrémistes.

Pour les nouveaux propos venimeux du site, selon un avocat, une nouvelle dénonciation «aboutirait à une ordonnance de non-entrée en matière».

Le Conseiller d’État Pierre-Yves Maillard, une des rares personnalités socialistes à affirmer qu’il pourrait voter pour l’initiative interdisant le niqab, avait cité quatre priorités en mai 2017 pour son dernier mandat. L’une d’elles portait sur «la prévention du communautarisme par l’affirmation de valeurs démocratiques». La Mosquée de Lausanne ne fait apparemment pas partie de cette prévention. Ou alors, Pierre-Yves Maillard a oublié sa priorité.

source: http://boulevarddelislamisme.blog.tdg.ch/archive/2018/08/12/mosquee-de-lausanne-lareponses-des-autorites-293623.html

Poignée de mains refusée: Lausanne n’accorde pas la naturalisation.

Un couple avait refusé de serrer la main et de répondre à des élus du sexe opposé lors de son audition. La Municipalité juge le respect de l’égalité «non négociable».

Au cours de l’entretien, les élus ont aussi constaté que les candidats répondaient avec réticence aux questions si elles n’étaient pas posées par une personne du même sexe. L’homme et la femme ne regardaient pas non plus leur interlocuteur dans les yeux s’il était du sexe opposé.

(...)

24 Heures

Fanatisme de gauche : Les impôts sont encore plus élevés à Lausanne qu’à Genève

Notre comparatif montre notamment que les retraités seuls à bas revenu sont privilégiés à Genève et rudoyés à Lausanne.

Le résultat est édifiant. L’imposition fiscale cantonale et communale à Lausanne continue, année après année, à se révéler très lourde pour la classe moyenne. Genève, elle, frappe les millionnaires mais aide les bas revenus et les familles.

Lausanne pénalise la classe moyenne et les retraités

Dans la tranche de 100 000 francs à 200 000 francs, toutes catégories confondues, Lausanne est la ville la plus chère. Elle pénalise clairement la classe moyenne, famille comprise. Dans notre tableau, Lausanne n’a pas un seul chiffre en vert et détient le record des chiffres rouges qui indiquent la plus forte perception dans les cinq villes.

(...)

Tribune de Genève

 

Rappels :

Lausanne investit 350’000 francs pour rénover les WC publics qui servent de shootoir aux toxicomanes

Lausanne : candidats au passeport, ils refusent de serrer la main aux membres de la commission de naturalisation

Suisse multiculturelle : Abu Wael al-Swissri, d’origine bosnienne, s’est radicalisé à la mosquée de Lausanne

La Ville de Lausanne arrose la presse locale avec l’argent des contribuables pour s’opposer à Blocher : 170’000 francs pour le journal «Lausanne Cités»

Lausanne : Le Conseil communal s’inquiète pour Le Matin

 

Lausanne : candidats au passeport, ils refusent de serrer la main aux membres de la commission de naturalisation

Christian Hofer :

Nous en parlions déjà ici. Voici les détails de cette affaire scandaleuse et plus spécifiquement la réaction du politicien Hildbrand, responsable de la sécurité dans cette ville de gauche.

Tout le monde se souvient comment cet individu avait traité Résistance Helvétique. Personne ne sera surpris que pour lui, le seul problème est la divulgation de cette affaire et non la présence de pareils énergumènes dans notre pays.

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À leur entrée dans la salle, les élus tendent leurs mains en guise d’accueil. «Et là, nous avons été très surpris, raconte Sandra Pernet (PDC). L’homme a refusé de serrer ma main et la femme celle de Monsieur le municipal Hildbrand.» L’élue ne se souvient pas de quel sexe était le second élu communal présent. Pierre-Antoine Hildbrand ne fera lui aucun commentaire sur cette affaire. Sinon qu’il «regrette que des éléments qui relèvent d’une séance non publique soient divulgués».

Passé l’étonnement, l’épreuve du questionnaire pour la naturalisation commence rapidement. (...)

«La femme ne répondait pas vraiment aux questions de l’homme et vice versa. Ou s’ils se décidaient à répondre, ils ne regardaient jamais la personne qui avait posé la question, si elle était du sexe opposé. Il y a clairement eu un malaise

(…)

Tribune de Genève

 

Rappels :

Bâle: La famille des deux garçons ayant refusé de serrer la main avait… déposé une demande de naturalisation

Suisse: Les deux filles musulmanes qui refusent d’aller à la piscine veulent aussi se faire naturaliser

Poignée de main interdite dans l’islam: Comment les médias romands nient le problème

Bâle: Le Conseil islamique suisse soutient l’élève musulman qui refuse la poignée de main

Islam: Bâle-Campagne renonce à rendre obligatoire la poignée de mains à l’école « Seule l’UDC soutenait l’obligation de la poignée de main entre les élèves et leurs enseignants »

Lausanne, ville “olympique” gérée par la gauche : Les toilettes déversent drogue et sexe dans la ruelle

La scène peut heurter. Plusieurs personnes rapportent avoir vu, le week-end dernier, une femme enchaînant les fellations devant des toilettes publiques du centre-ville de Lausanne. Nous sommes à quelques hectomètres de la place de la Riponne, dans la petite montée qui relie les rues Neuve et Pré-du-Marché.

Les WC en question semblent être, depuis quelques semaines, le théâtre de scènes particulièrement crues. Il est question de consommation de drogues et, donc, de pratiques sexuelles. Ceux qui ont emprunté cet itinéraire récemment y ont peut-être été confrontés, les protagonistes agissant parfois dans le simple renfoncement qui borde la ruelle.

(...)

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Suisse multiculturelle : Abu Wael al-Swissri, d’origine bosnienne, s’est radicalisé à la mosquée de Lausanne

Cet article concerne le mari de Selina dont vous pouvez lire l'article ici et l'analyse de Cenator dans cette publication.

C'est donc ce dogme islamique qui devrait être reconnu en tant que "religion" par le canton de Vaud selon Gemperli et le parti socialiste.

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Le Suisse aux racines bosniennes explique s'être converti à l'islam en 2013. Il dit s'être radicalisé après avoir rencontré des extrémistes bosniens à Lausanne, plus précisément dans la mosquée de Prélaz. Comme de nombreux autres membres de l'Etat islamique désormais prisonniers, il assure être une victime, une personne naïve.

En 2015, il a épousé sa femme Selina*, une Suissesse aux racines bosniennes elle aussi. Tout comme lui, elle vivait à Lausanne.

Des documents saisis en janvier 2017 par l'armée irakienne à Mossoul confirment du moins en partie la version livrée par A. Selon ces documents, le Lausannois aurait justifié son refus de combattre en avançant des problèmes à un genou. Or les papiers indiquent aussi qu'A. est capable de manier des lance-roquettes et des mitrailleuses. Lui avait pourtant assuré à nos confères qu'il savait uniquement se servir d'une kalashnikov. Interrogé à ce sujet, Abu Wael al-Swissri répond: «J'ai de gros trous de mémoire depuis que j'ai rejoint l'EI. Mais je suis certain que je n'ai jamais tué personne.»

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Rappels :

Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Le Suisse arrêté pour terrorisme fait partie d’un réseau balkanique salafiste romand

Suisse. Lutte contre le terrorisme islamiste: le PS critique l’assignation à domicile

Suisse: L’islamiste bosniaque et son épouse ont bénéficié entre 150’000.– et 200’000.– d’aide sociale. A cela s’ajoutent les primes de caisse maladie également payées.

Suisse: Un islamiste préparait un attentat. Condamné trop sévèrement selon le Tribunal, il se trouve en liberté.

En Suisse, il restera autorisé d’être «sympathisant» de l’Etat islamique. Pour le gouvernement « il ne faut pas réprimer les convictions islamistes ».

Radicalisée à Renens, la djihadiste “lausannoise” d’origine bosniaque témoigne : “La Suisse rejette les musulmans.” (Vidéo)

Christian Hofer : Il faut lire tout l'article pour découvrir qu'en réalité Selina et son mari sont d'origine bosniaque et surtout… naturalisés. Et c’est sur cette base qu’ils exigent à présent revenir dans « leur pays, en Suisse ». Plus encore, on ne parle pas de radicalisation par Internet mais bien via une ville vaudoise : Renens. Cette municipalité est bien entendu à forte majorité de gauche.

La Suisse leur a offert la chance de pouvoir bâtir leur vie, contrairement à la Bosnie : Elle en tant qu’étudiante à l'université de Lausanne bien loin du fantasme de la fille islamisée sans éducation que la gauche nous vend – et son mari engagé comme apprenti à la Coop puis vivant à la charge du social en Suisse. Tuer des chrétiens alors que notre pays aux racines chrétiennes les a accueillis en tant que réfugiés ne les gêne aucunement en retour.

Pour elle, la Suisse rejette les musulmans alors qu’elle a été naturalisée tout en étant musulmane. Cela signifie qu’un attentat en Suisse serait considéré comme mérité et qu’ils n’éprouvent ni remord ni sentiment de reconnaissance à notre égard.

Enfin, son mari fantasme sur le fait "d’être soldat": on peut se demander combien d’islamistes se cachent ainsi aujourd’hui dans notre armée qui n’a plus de ‘suisse’ que le nom.

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Selina S. dit qu’elle a rejoint le groupe État islamique par ennui et dans l’espoir d’une vie meilleure. Aujourd’hui, elle regrette son erreur, mais pas beaucoup plus.

Selina a choisi une autre voie et a interrompu ses études de droit à l’Université de Lausanne pour rejoindre l’une des pires organisations terroristes qui n’ait jamais existé.

La jeune femme en profite aussi pour faire passer un message: elle dit qu’elle n’est pas dangereuse et qu’elle veut retourner en Suisse pour mener de nouveau une «vie normale». (...) Le pire est de ne pas savoir si je vais pouvoir retourner dans mon pays. L’attente est terrible.» En plus, sa petite Asma (leur fille) tomberait souvent malade (Nd Christian Hofer : en clair, elle se servirait des kouffars suisses pour soigner sa fille musulmane après avoir participé à une organisation qui vise l'anéantissement des chrétiens). (...)

Adnan et Selina se sont rencontrés durant l’été 2014 via Facebook. Elle dit qu’il s’est radicalisé d’abord à Renens, puis au contact de recruteurs venus de France. Lui aussi vient de Lausanne et, comme Selina, il a des racines bosniaques. Adnan recevait l’aide sociale. Il avait abandonné son apprentissage à la Coop, soi-disant à cause de ses douleurs après une opération du dos.

 

Selina tient un discours qui pourrait directement sortir d’une vidéo de propagande de l’organisation terroriste. La Suisse a interdit les minarets, les musulmans n’y seraient pas les bienvenus. Pas un mot sur le fait que de nombreux membres de la diaspora bosniaque ont été acceptés comme réfugiés en Suisse et que personne n’a été rejeté à cause de l’islam. Selina et Adnan ont tous deux été naturalisés suisses; leur foi n’avait pas d’importance.

 

 

 

Compréhension pour les attentats en Europe

Mais la vie dans le califat est une déception du début à la fin si on croit la description que Selina nous en fait aujourd’hui. Non pas à cause des atrocités de Daech, ni des innombrables personnes qui ont été brutalement assassinées. Toutes ces victimes, Selina ne les mentionne pas dans son récit. (…)

Tout au plus, Selina critique brièvement l’esclavage dans le califat ou la manière dont les églises ont été enlevées aux chrétiens.

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Source 3

 

Rappel :

Suisse: Alain Berset met en garde contre les amalgames entre islam et terrorisme

La Ville de Lausanne arrose la presse locale avec l’argent des contribuables pour s’opposer à Blocher : 170’000 francs pour le journal «Lausanne Cités»

Et tout cela, sans que le citoyen n'ait jamais eu son mot à dire... la malhonnêteté de gauche dans toute sa splendeur.

A relever la tournure de l'article qui cherche à dédouaner l'utilisation honteuse des deniers publics prétendant que ce journal ne sera "aucunement impacté par l'idéologie socialiste". Mais oui, bien sûr...

Enfin, pour Jean-Marie Fleury, éditeur de Lausanne Cités, être financé par le biais de la gauche (mais pas avec l'argent de cette idéologie, rassurez-vous), ce n'est tout à coup plus un problème pour la "neutralité éditoriale".

Puisque ce n'est pas Blocher, le méchant populiste, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. On est rassuré.

Voici d'ailleurs un exemple d'impartialité de ce journal qui court donner la parole à Pascal Gemperli au sujet de l'affaire Tariq Ramadan, les pauvres musulmans étant "désemparés" selon Lausanne Cités.

Et les victimes?

 

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L'hebdomadaire qui avait été convoité par Christophe Blocher sera finalement soutenu par la municipalité lausannoise.

«Un montant forfaitaire de 170'000 francs sera nécessaire» et le partenariat avec «Lausanne Cités» est prévu sur 5 ans. Par ailleurs, un montant de 70'000 francs sera dédié à l'aide à la presse pour des achats d'annonces dans les médias papier couvrant l'actualité lausannoise.

(...)

La perspective de voir le leader de l'UDC arriver dans la presse romande avait suscité le tollé, en particulier à gauche.

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Nos remerciements à Daniel Brand

Lausanne : Des élèves défendent l’image de leur école en rappant

Avec leur rappeur de prof, les ados de la 10VG3 à Grand-Vennes ont tourné un clip à message.

«C’est pas tous les jours qu’on a un prof ouvert d’esprit.» À 15 ans, les élèves de 10e voie générale du collège lausannois de Grand-Vennes (Établissement Isabelle-de-Montolieu) sont reconnaissants envers leur maître de classe. Alireza Fijani, rappeur depuis sa propre adolescence, les a embarqués dans le tournage d’un clip revendicateur. L’enseignant avait une envie: valoriser ses élèves «trop souvent stigmatisés comme les enfants terribles de Lausanne».

(...)

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Fernand Melgar a quitté Lausanne. Son quartier était miné par les dealers africains

Quid des Suisses qui ne possèdent pas assez d'argent pour quitter le quartier miné par votre enrichissement chers socialistes? Les problèmes multiculturels, c'est pour les autres n'est-ce pas?

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A-t-il eu peur des menaces proférées à son encontre? Interrogé il y a une dizaine de jours, le documentariste a admis ne plus vivre dans ce quartier. «J’ai dû partir pour des raisons privées, explique-t-il sobrement. J’habite depuis quelques mois dans un chalet dans un village.»

Le cinéaste habite désormais officiellement dans le Nord vaudois.

(...)

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Nos remerciements à Wilhelm's Back

Lausanne : Elle pensait travailler pour une Ong du Bénin, elle se fait escroquer par des Africains

Soucieuse d’aider financièrement sa mère, la jeune femme de 20 ans avait cru avoir trouvé un job auprès d’une ONG basée au Bénin.

L’offre avait paru sur un site de petites annonces. Elle avait été en contact avec un certain Jan Doci, qu’elle n’avait jamais vu et à qui elle n’avait jamais parlé: tout s’était fait par écrit, sur internet. Doci lui avait proposé de servir de relais pour des fonds destinés à cette prétendue ONG. Sonia a donc fourni ses coordonnées bancaires et une copie de sa pièce d’identité. Ces informations ont fini par être transmises aux clients arnaqués, qui se sont retournés contre la jeune femme.

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Lausanne : Le Conseil communal s’inquiète pour Le Matin

Christian Hofer : On comprend bien que pour la gauche la perte de ce torchon qui n'a jamais caché sa haine anti-Trump, anti-UDC, son soutien aux migrants, c'est une catastrophe. Heureusement, pour un individu de gauche il existe toujours la solution magique : faire payer le contribuable pour une propagande dont il ne veut plus.

Quant aux revendeurs de drogues qui ont détruit cette ville durant des années, on perçoit tout de suite que ce n'est guère une priorité pour ces élus de gauche et qu'il n'y a pas le même alarmisme.

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Le Vert Xavier Company a fait valoir ce soir l'importance de la presse, «chien de garde de la démocratie» et demande à la Municipalité ce qu'elle peut faire. Un débat s'en est suivi.

"C'est la perte progressive de la diversité de la presse romande" (Christian Hofer : interdiction de rire).

Xavien Company propose, avec le PLR Jacques Pernet, une résolution demandant que la Municipalité «mette tout en oeuvre, ensemble avec le Canton,» afin de convaincre Tamedia de conserver ses employés et les versions papier de ses journaux.

(...)

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Rappels:

Etude : Les journalistes sont clairement de gauche. Leur idéologie est nettement surreprésentée en comparaison à la population.

Grégoire Nappey, rédacteur en chef du Matin: « Il faut accepter que l’univers musulman fasse partie de notre paysage »

Le Matin vole au secours d’Ada Marra : « Un torrent de boue sur une élue »

Le gag du jour vous est offert par le Matin Dimanche: « Sommaruga entend décourager les candidats à l’exil. »

Le Matin: « Des petits Suisses de l’EI prennent du galon »

Le Matin : manipulation des lecteurs, de la théorie à la pratique

Lorsque le Matin publie un commentaire qui fait l’apologie du meurtre de Donald Trump

Fusillade de Zurich: Le Matin continue sa propagande d’extrême gauche en titrant que le tireur est un « Suisse » alors qu’il est d’origine ghanéenne

 

 

Lausanne. Des Africains se plaignent de la réaction des Suisses après l’affaire Melgar : «On subit un climat raciste.»

«Depuis que je suis en Suisse, j’avais déjà subi des contrôles au faciès et des brutalités policières. Mais, maintenant, je suis victime d’une nouvelle forme de racisme: le harcèlement des citoyens», explique Mike, Suisse d’origine congolaise.

Son coup de gueule fait suite à un triste événement survenu la semaine dernière. Alors qu’il se dirigeait vers la gare de Lausanne, il a été photographié par des passants, qui l’ont pris pour un dealer car il s’était arrêté pour discuter avec un ami.

Mais le BLI rappelle qu'à Lausanne plus de 42% de la population est d'origine étrangère.

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Rappels:

Lausanne : Les dealers accostent directement les élèves d’un collège et harcèlent les jeunes filles. « Ils demandent les numéros de téléphone aux jeunes filles. »

Fernand Melgar: «J’ai peur pour ma sécurité. L’extrême gauche et les dealers me poursuivent. »

Nicolas Feuz, procureur de Neuchâtel : « 80% des demandeurs d’asile provenant d’Afrique de l’Ouest sont poursuivis pour trafic de drogues. C’est faux de dire que c’est une minorité. » (Vidéo)

Lausanne: Le collectif d’extrême gauche Jean Dutoit reçoit une lettre de soutien de Simonetta Sommaruga

Lausanne: Le directeur de la police s’oppose aux rondes de Résistance Helvétique. « C’est un trouble incontestable. »

 

 

Lausanne : le commerçant a dû fuir face aux dealers

«J'ai préféré fuir ce quartier de Chaudron face aux pressions. J’ai vendu mon commerce et j’ai quitté le centre-ville de Lausanne pour une commune voisine, plus tranquille.» Stelian* ne regrette pas son choix. Patron du kiosque et bureau de tabac à l’angle de la rue du Maupas-chemin des Cèdres durant 16 années, il a vu l’arrivée des trafiquants de marijuana et de cocaïne dans ce quartier d’ordinaire paisible.

Et, tout comme le cinéaste Fernand Melgar ces temps-ci, il s’est révolté contre l’omniprésence de ces dealers et de leurs clients, jour et nuit, face aux commerces, aux habitations et aux écoles. «C’était devenu invivable, d’ailleurs habitants et commerçants avions fait signer une pétition à l’époque qui demandait aux autorités politiques lausannoises d’enfin réagir face à cette situation qui s’était enracinée au détriment de notre qualité de vie.» En vain, hormis une entrevue avec le responsable de la sécurité publique communale de l’époque, Grégoire Junod (du parti socialiste bien entendu), et désormais syndic de la capitale vaudoise.

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Via le Facebook du PNS

Lausanne investit 350’000 francs pour rénover les WC publics qui servent de shootoir aux toxicomanes

Insalubres, voire dangereuses en raison des seringues qui en tapissent le sol, toilettes publiques de la place de la Riponne sont devenues le shootoir des toxicomanes de la capitale vaudoise et provoquent régulièrement la colère et la honte des riverains.

Sans parler du «propre en ordre» helvétique qui en prend un sérieux coup à chaque fois qu’un touriste ose s’y aventurer. Tolérée par les autorités, la situation va pourtant changer: la Ville a entamé la rénovation totale des lieux. Avec de nouvelles règles.

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Fernand Melgar: «J’ai peur pour ma sécurité. L’extrême gauche et les dealers me poursuivent. »

Le cinéaste de 56 ans se dit menacé et intimidé par des dealers et des personnes proches de l'extrême gauche depuis son ras-le-bol contre le trafic de drogue.

Le cinéaste dit avoir détalé devant cinq à six dealers en furie. «Un d’entre eux a crié: «Les gars, c’est le mec dans le journal, venez!» Ils se sont dirigés vers moi. J’ai couru. Je vais porter plainte», affirme Fernand Melgar. L'autre soir à Lausanne, cinq hommes d'un collectif d'extrême gauche m'ont suivi.

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Deal de rue à Lausanne : le monde du cinéma et les élèves de la Haute Ecole d’art critiquent vivement Fernand Melgar

Fernand Melgar n’est plus le bienvenu à la HEAD, où les élèves paraissent faire front commun contre lui.

Jeudi, la HEAD a réagi par un communiqué. «Les prises de position de Fernand Melgar et surtout l’usage fait par le cinéaste de photographies volées de personnes présentées comme des dealers sur Facebook ont suscité un émoi et une indignation forte, notamment au sein des milieux culturels, très largement partagés au sein de l’école» (...)

Lettre ouverte

D’autant plus qu’en parallèle, une lettre ouverte, cosignée par des étudiants en cinéma de la HEAD et de l’ECAL, des alumnis et des professionnels du cinéma, en réponse à la tribune de Fernand Melgar sur le deal de rue à Lausanne, nous est parvenue dans la journée. On y retrouve, parmi 209 signataires, des personnalités connues comme Nicolas Wadimoff, Jean-Stéphane Bron, Lionel Baier, Antoine Jaccoud, Claude Barras, Francis Reusser, Frédéric Choffat, Christian Lutz ou Quentin Mouron.

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