Avec leur rappeur de prof, les ados de la 10VG3 à Grand-Vennes ont tourné un clip à message.
«C’est pas tous les jours qu’on a un prof ouvert d’esprit.» À 15 ans, les élèves de 10e voie générale du collège lausannois de Grand-Vennes (Établissement Isabelle-de-Montolieu) sont reconnaissants envers leur maître de classe. Alireza Fijani, rappeur depuis sa propre adolescence, les a embarqués dans le tournage d’un clip revendicateur. L’enseignant avait une envie: valoriser ses élèves «trop souvent stigmatisés comme les enfants terribles de Lausanne».
(...)
Les futurs Montaigne troquent la plume d’ oie et l’ encrier contre le dictionnaire à cinq pages du rappeur….
Ce prof musulman (= c’est plus facile d’être ainsi accepté par la » diversité « ) ferait mieux de consacrer ses efforts à ce que ses protégés soient en mesure d’ acquérir les bases en calcul, lecture et écriture, au lieu de bêtifier à leurs côtés comme un adolescent attardé au QI de brousse.
»respectent la loi », »Nous avons une charte explicite et ça fonctionne »
C’est une constatation qui va dans le bon sens, de l’intégration et du vivre ensemble !
»Alireza Fijani a écrit ce texte et les élèves l’ont appris par cœur » qu’on apprenne des paroles de rapp ou une poésie par cœur, le fait important est de faire fonctionner les neurones !
L’avenir nous dira si ces élèves doués pour le rapp vont performer dans la vie professionnelle !
« L’intérêt d’Albert pour la science est éveillé dans son enfance par une boussole, à l’âge de cinq ans : l’existence d’une action à distance lui parut « miraculeuse » et l’étonna très vivement. À douze ans, un petit livre sur la géométrie euclidienne du plan5, qu’il nommera plus tard le « livre sacré de la géométrie », le marqua fortement (« la clarté et la certitude des démonstrations eurent sur moi un effet indescriptible »). Son oncle Jakob, ingénieur associé dans l’entreprise de matériel électrique de son père6, lui posait des problèmes mathématiques. Max Talmud, un étudiant en médecine qui dînait souvent chez les Einstein, lui offrira des livres de sciences et plus tard des œuvres de Kant, et ils avaient souvent de longues discussions.
De douze à seize ans il apprendra en autodidacte le calcul différentiel et intégral7. »
Apparemment, il ne scandait pas des ritournelles en se déhanchant devant une caméra.
En 300 ans, on est passé de Bach et Mozart au rap (culture de ghetto noir US) : la musique, qui reflète le niveau culturel d’un peuple, suffit à démontrer que l’on a basculé d’une très haute civilisation à la barbarie. C’est d’une gravité extrême. D’autant plus que la majorité des moutons ne s’en rendent même pas compte tant leur cerveau est réduit en bouillie par les merdias. Mais la barbarie va leur éclater à la gueule tôt ou tard, et là, cela sera une autre « musique »…