Dr. Carl Hart, professeur de psychologie à Columbia : « Les drogues sont interdites à cause du racisme »

Carl L. Hart est un psychologue et neuroscientifique américain. Il est professeur de psychologie à l'Université Columbia. Hart est connu pour ses recherches sur la toxicomanie et la toxicomanie. Hart a été le premier professeur de sciences afro-américain permanent à l'Université de Columbia.

 

https://www.youtube.com/watch?v=W5uhLGL5MMM

 

Via Fdesouche

 

Interpellation à Dubaï de Moufide Bouchibi, l’un des plus importants trafiquants de drogue français

Bouchibi, a été interpellé dimanche à Dubaï et présenté mercredi aux autorités judiciaires locales en vue de son extradition en France, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier.
L'interpellation de cet homme, recherché depuis plus de dix ans par la police française, a été annoncée par l'Obs.

Il a été présenté mercredi aux autorités judiciaires de Dubaï en vue de son extradition, a-t-on confirmé de source proche du dossier, en soulignant que celui qui est surnommé "Mouf" avait toutefois la possibilité de refuser son extradition.

Originaire de l'Essonne, Moufide Bouchibi, âgé de 41 ans, était entré dans le trafic de stupéfiants à grande échelle en s'associant au début des années 2000 avec un alsacien, Sophiane Hambli, dit "la Chimère".

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Nicematin.com

Italie : vaste coup de filet contre des mafias marocaines et albanaises, ils “contrôlaient l’axe de Reggio Emilia et Modène”

Italie : vaste coup de filet contre des mafias marocaines et albanaises

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Selon des médias locaux, près d’une centaine de policiers ont été mobilisés lors de cette opération, diligentée par la Direction anti-mafia des districts de Bologne, et qui a couvert les villes de Modène, Bologne, Cremone, Montou, Parme, Turin, Florence et Forlì. Spécialisées dans le trafic de cocaïne, les 3 gangs criminels contrôlaient l’axe de Regio Emily et Modène.

Hiérarchisée de manière pyramidale, la mafia marocaine s’est inspirée des structures managériales avec un dirigeant, un responsable marketing, des services financiers et approvisionnement et des dealers. Le groupe s’approvisionnait auprès des gangs albanais à raison de 6 à 7 kilogrammes de cocaïne par semaine, avant de les écouler à un prix inférieur au marché, 29 000 au lieu de 36 000 euros le kilo.

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L’article dans son intégralité sur Bladi

Via Fdesouche

Tessin. Trafic de cocaïne : 3 Albanais et un « Suisse » arrêtés

Les personnes sont trois hommes et une femme âgés entre 21 et 26 ans, a indiqué la police cantonale tessinoise jeudi dans un communiqué.

Trois sont albanais, dont deux résident en Albanie et un en Italie. La dernière personne est suisse et vit dans le district de Mendrisio [NDLR : Sans doute une naturalisée dont la gauche raffole].

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20Min.ch

Etudes nationales. L’émergence de la criminalité organisée albanophone : la Suisse directement impactée

C'est dans le cadre du financement des mouvements politiques des albanais de l'ancienne Yougoslavie, exilés en Allemagne et en Suisse, que sont mentionnés les premiers liens supposés avec le milieu du banditisme kosovar et le trafic de stupéfiants.

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Cette situation a changé en 1981, après les manifestations du mouvement albanais du Kosovo, qui ont donné lieu à une répression systématique et massive. Les autorités yougoslaves ont alors forcé de nombreux Albanais à émigrer vers la Suisse, l'Allemagne et les Etats-Unis. Cela a eu pour effet une augmentation du nombre d'albanophones impliqués dans le trafic de stupéfiants au sein de la diaspora.

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Cette collaboration s'est confirmée par la suite dans la diaspora albanophone d'Europe occidentale, les Albanais y travaillant pour les Kosovars, notamment en Allemagne et en Suisse de 1992 à 1996. Le surnom « Tirana boulevard » donné à l'axe Bel-Air-Chaudron à Lausanne est un exemple parlant, désignant ainsi le lieu où s'effectue la distribution locale d'héroïne. L'implication croissante de jeunes Albanais d'Albanie dans les réseaux helvétiques du trafic de drogue a permis aux groupes albanophones de conquérir exclusivement le marché local de l'héroïne et de diversifier leurs filières. Selon le rapport de l'Office fédéral de Police helvétique de 1998, les Albanais, originaires d'Albanie ou d'ex-Yougoslavie, arrivent en tête de tous les cantons pour la vente d'héroïne tandis que leur implication dans la distribution de cocaïne est en pleine augmentation.

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Bénéficiant d'une expérience plus longue que leurs homologues d'Albanie, les trafiquants albanais de l'ex-Yougoslavie participent dès le début des années 1990 à d'importantes affaires de trafic de stupéfiants, principalement en Suisse et en Allemagne. Dès octobre 1990, les autorités fédérales helvétiques lancent l'opération « Benjamin », visant à stopper un trafic d'héroïne organisé par des Albanais du Kosovo. Cette opération, impliquant huit pays d'Europe centrale et occidentale, a révèle que les mêmes réseaux convoyaient des armes à destination du Kosovo.

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Les têtes pensantes d'une partie de ce trafic semblent se trouver en Allemagne et en Suisse, confirmant le rôle moteur et structurant des groupes de la diaspora pour les organisations criminelles albanophones de l'ex-Yougoslavie. L'héroïne provient de Turquie et rejoint ensuite l'Albanie ou le Monténégro.

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Journals.openedition.org


 

Cette étude date de 2001 mais qui elle met en lumière comment nos autorités nous ont mis devant le fait accompli (en toute connaissance de cause) tout en nous traitant à la moindre occasion de "racistes".

Or nos autorités savent aussi que la diaspora albanaise fait office de pompe aspirante en direction de notre pays. Dans son rapport de 2010, la Confédération note les éléments suivants :

- La plupart des migrants kosovars choisissent leur partenaire au sein de leur propre groupe ethnique. Souvent, ils retournent au Kosovo à cette fin.

- Ils se rencontrent surtout dans des communautés à structure éminemment patriarcale et traditionaliste, de croyances diverses

- Pour la majorité des jeunes gens vivant au Kosovo, le mariage est la seule voie de migration légale. L’on notera à cet égard que les candidats vivant en Suisse sont prisés.

- les trafiquants originaires d’Albanie et du Kosovo – dont beaucoup de mineurs – ont été particulièrement actifs, pendant les années 1990, sur le marché de la drogue en Suisse.

- L’on constate néanmoins des divergences dans le type de délits commis, avec une plus grande fréquence des délits de violence chez les mineurs étrangers (Eisner et al. 2006; Steiner et al. 2005 : 39). Ce constat se vérifie pour les jeunes Kosovars. Selon les experts interrogés, les faits reprochés sont souvent l’implication dans des bagarres ou des actes d’intimidation dans les cours de récréation ou pendant les loisirs.

Bundespublikationen.admin.ch

 

Vaud : Punir le deal plus durement? Le gouvernement dit non

Le Ministère public critique l’idée de sanctionner plus durement les petits dealers car les grosses ventes ont lieu en privé.

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En résumé, estime le Ministère public, «l’initiative ne concerne que la «partie émergée de l’iceberg» que constitue le deal de rue».

La peine plancher prévue par l’initiative serait en outre contraire à l’esprit du système des sanctions suisses.

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24heures.ch

Nos remerciements à Patrick Lambert

Genève : Un deal de drogue tourne mal: une femme tuée. Un Albanais soupçonné.

Une patrouille de police a découvert le corps sans vie d'une femme, dimanche dernier vers 4h du matin, dans un immeuble du quartier de Plainpalais, au centre-ville.
Le décès de la victime, âgée de 55 ans, n'a rien de naturel: elle a été tuée. Sur mandat d'arrêt international, l'auteur présumé de l'homicide a été interpellé dans la région de Milan (I), a précisé le Ministère public, dans un communiqué publié ce mardi. L'individu fait l'objet d'une demande d’extradition.

L'auteur présumé de l'homicide serait un Albanais de 27 ans.

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20min.ch

Nos remerciements à Wilhou

Trafic international de drogue démantelé : Des Albanais lavaient l’argent sale en achetant des voitures en Suisse

Le 20 Minutes Romand a publié un article traitant un vendeur de voiture suisse de "xénophobe" car celui-ci refusait de vendre des véhicules aux "Yougoslaves". Or, les trafiquants albanais utilisent justement l'achat de voitures dans notre pays pour laver l'argent sale.

 

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Un trafic international de cocaïne et d'héroïne qui alimentait le marché de la Haute-Savoie (France) à travers l'Italie en passant par les tunnels du Mont Blanc, a été démantelé par la police au-delà des Alpes.

Mardi dernier, deux jeunes Albanais ont été arrêtés à bord d'une Mercedes à l'entrée du tunnel : ils arrivaient en Italie avec 100 000 euros en petites coupures cachées dans le moteur. Toutes les 3 semaines, les deux hommes, munis d'un visa de touriste, arrivaient en France avec de l'héroïne et de la cocaïne destinées à deux revendeurs, leurs compatriotes. Ces derniers ont ensuite lavé l'argent sale en achetant des voitures haut de gamme en Suisse, payées en espèces, et revendues une fois rentrés dans leur pays.

Dans un local utilisé comme laboratoire à Saint-Julien, près de la frontière suisse, la police a trouvé 60 000 euros en liquide, 1,5 kg d'héroïne, 1,7 kg de cocaïne et 1,7 kg de produit de "coupe". Les quatre individus ont été arrêtés. Au total, environ 500 000 euros de cocaïne ont été saisis.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Imolaoggi.it

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

2 Congolais et 5 Nigérians accusés d’avoir introduit 110 kilos de coke en Suisse

Deux Congolais et cinq Nigérians sont jugés depuis lundi pour un important trafic de stupéfiants.

La drogue venait d'Amérique du Sud et transitait par les Pays-Bas.

Entre août 2014 et juillet 2015, ils auraient transporté 110 kilos de cocaïne entre les Pays-Bas et la Suisse, dans des voitures ou alors en cachant la drogue dans des sachets qu’ils ingurgitaient.

[...]

20Min.ch

Nos remerciements à Josée-Christine Lavanchy-Trépey

 

Italie : les migrants préparent les doses de drogues directement sur le quai de la gare

Gare de Reggio d'Émilie, en Italie. Ils préparent les doses de drogues en plein jour, à la vue de tous.

 

 

https://youtu.be/lhgHe9ztsWA

 

Berlin. Trafics de drogues tenus par des Africains : la maire (Vert) déclare « Pour une femme, c’est trop dangereux de se promener dans les parcs berlinois »

Si vous voulez acheter de la drogue à Berlin, vous en trouverez rapidement au parc de Görlitz à Berlin-Kreuzberg. Des groupes d'hommes, pour la plupart d'origine africaine, se tiennent le long des chemins et proposent du cannabis, mais également des drogues dures.

Monika Herrmann (membre du parti de gauche Les Verts), maire du quartier de Friedrichshain-Kreuzberg, n'ose plus se rendre dans les parcs de Berlin la nuit. Elle estime que c'est trop dangereux pour elle.

"Je me ne promène dans aucun parc à Berlin, je ne sais pas comment vous faites, mais c'est trop dangereux pour moi en tant que femme" répond-elle au journal Welt.

Son district comprend l'un des centres de trafic de drogue les plus connus de Berlin, le parc de Görlitz, problème pour lequel elle tente de trouver une solution. Les trafiquants s'y réunissent depuis des années, s'adressant même aux enfants et aux adolescents pour leur vendre des drogues. [...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Welt.de / Focus.de

France voisine. Trafic d’héroïne : un procès hors norme visant la mafia albanaise s’est ouvert

Un important point de vente d’héroïne, qui a été tenu par des Albanais entre 2016 et 2018, est au cœur d’un procès entre le 3 et le 5 septembre 2019 à Annecy.

17 prévenus étaient appelés à la barre mardi 3 septembre 2019 devant le tribunal correctionnel d’Annecy, 16 hommes et une femme âgés de 22 à 43 ans, d’origine albanaise, kosovare ou serbe. Seuls 13 ont répondu présents, 4 autres, qui avaient été libérés sous contrôle judiciaire, ne sont pas venus à l’audience.

[...]

20min.ch / Ledauphine.com / Lemessager.fr

Nos remerciements à Wilhou

 

Lausanne : 2 kilos 1/2 de cocaïne dans un squat de migrants. Pour l’extrême-gauche, il faut les régulariser.

Ils s’étaient installés il y a un mois tout juste. La centaine de migrants africains qui forme le Collectif Jean Dutoit avait quitté Lausanne fin septembre pour s’installer dans un nouveau lieu: l’ancienne halle Switcher au Mont-sur-Lausanne. Lundi en début d’après-midi, leur squat a été visé par une vaste opération antidrogue de la police cantonale et de la police municipale lausannoise. Ordonnée par le Ministère public, la descente a mobilisé près de 180 agents de 14 h à 17h30. Elle a abouti à l’arrestation de cinq personnes. 2,5 kilos de cocaïne ont été saisis, ainsi que plusieurs milliers de francs suisses et d’euros.

(...)

Depuis son changement d’adresse, le collectif s’était plaint par voie de communiqué de fouilles systématiques aux abords du bâtiment. De fait, selon les informations données par la police, depuis le 24 septembre, 1,78 kilo de cocaïne a été saisi sur 13 personnes originaires du Nigeria, de Sierra Leone et de Gambie notamment, interpellées alors qu’elles quittaient le squat. Jean-Christophe Sauterel dément toutefois tout durcissement du dispositif autour du nouveau squat. «Il n’y a pas eu de contrôles systématiques.»

Quoi qu’en dise la police, ce n’est pas la première fois que le Collectif Jean Dutoit est visé par une grosse opération antidrogue. Fin mai dernier, il y avait déjà eu une descente dans l’immeuble occupé par les migrants à la Blécherette avant leur installation au Mont-sur-Lausanne. Elle avait impliqué près de 150 gendarmes et policiers, aboutissant à l’arrestation de quatre personnes. À cette occasion, une centaine de grammes de cocaïne et 20’000 francs suisses avaient été saisis. La police précisait alors qu’elle avait déjà arrêté 12 trafiquants en lien avec le même squat au cours des mois précédents, saisissant 6 kilos de cocaïne et 41’000 francs.

Parmi les individus arrêtés en mai dernier, deux sont aujourd’hui toujours en détention provisoire, dont un Nigérian de 52 ans. Celui-ci avait été désigné par la police comme l’organisateur du trafic de cocaïne basé au squat de la Blécherette. Plusieurs sources ont depuis confirmé que cette personne occupait une position importante dans l’organisation du Collectif Jean Dutoit, se faisant appeler «The Chairman», ou «Le Président».

(...)

Par le passé, le Collectif Jean Dutoit n’a jamais nié que certains de ses membres étaient impliqués dans la vente de drogue. Lors de la perquisition de lundi au Mont-sur-Lausanne, une poignée de jeunes gens soutenant les migrants avaient fait le déplacement, maintenus à distance par les policiers. «On a toujours dit que la solution pour mettre fin ces trafics serait de régulariser ces gens et leur donner un travail», déclare une militante. Comme les autres jeunes, son soutien aux migrants n’est pas entamé par les saisies de drogue et les arrestations. (24 heures)

Nos remerciements à Alex

Annecy – Genève : 5 Albanais arrêtés avec 230 kilos de produits destinés à couper de l’héroïne

Deux cents trente kilos de produits destinés à couper de l’héroïne. C’est ce qu’ont saisi les policiers d’Annecy le 3 octobre près d’Annemasse (F).

Cinq Albanais ont été arrêtés. De mémoire, une telle prise n’avait jamais été réalisée dans la région Rhône Alpes, indique le commandant Jean-Philippe Charvet. «On sait que ce réseau fournissait la Haute-Savoie, mais aussi le bassin genevois. Une telle prise, forcément, va manquer sur le marché.»

(...)

20Minutes.ch

France : Collomb parlant des quartiers « C’est la loi du plus fort des trafiquants et des islamistes. La situation est très dégradée. »

Lors de son discours de passation de pouvoir à Edouard Philippe, qui assure désormais l'intérim, le ministre de l'Intérieur démissionnaire Gérard Collomb a martelé qu'en France des quartiers échappaient encore à la loi de la République.

Démissionnaire à la tête du ministère de l'Intérieur, Gérard Collomb ne laisse pas derrière lui une République française sûre et apaisée – de son propre aveu. «Le terme de reconquête républicaine prend, dans ces quartiers, tout son sens. Parce que oui aujourd'hui, c'est plutôt la loi du plus fort qui s'impose, [celle] des narco-trafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République», a-t-il déclaré lors de son discours de passation de pouvoir à Edouard Philippe, le matin du 3 octobre, évoquant certains quartiers dits difficiles en France.

Le désormais ex-chef de la place Beauvau avait un «message à faire passer» : «La situation s'est très dégradée» dans certains territoires, a-t-il prévenu, listant, pêle-mêle : «Les quartiers Nord de Marseille, au Mirail à Toulouse, à la périphérie parisienne, Corbeil, Aulnay, Sevran...» «Il faut à nouveau assurer la sécurité dans ces quartiers, mais je crois qu'il faut fondamentalement les changer. Quand des quartiers se ghettoïsent, se paupérisent, il ne peut y avoir que des difficultés», a statué Gérard Collomb.

 

 

«Je crois vraiment que, dans la périphérie parisienne, on ne peut plus continuer à travailler commune par commune. Il faut une vision d'ensemble pour recréer de la mixité sociale», a-t-il encore conseillé.

Enchaînant aussitôt sur la thématique de l'accueil des migrants, toujours prégnante dans l'actualité politique française, le ministre de l'Intérieur sur le départ a estimé que si ces derniers étaient logés dans les quartiers à problèmes, la situation deviendrait d'autant plus «ingérable».

Contraint d'accepter la démission de Gérard Collomb de son poste de ministre de l'Intérieur, Emmanuel Macron a chargé dans l'urgence le Premier ministre Edouard Philippe d'assurer l'intérim, en attendant de nommer son successeur à la tête de ce ministère clé. Le 2 octobre, dans les colonnes du Figaro, Gérard Collomb avait décidé de maintenir sa proposition de démission – refusée un premier temps par le chef de l'Etat –, entérinant les dissensions entre le ministre de l'Intérieur et le président de la République. Gérard Collomb avait expliqué vouloir se consacrer pleinement à l'élection municipale de Lyon, prévue initialement pour 2020. A droite comme à gauche, de nombreux élus de l'opposition ont ironisé sur une situation qui semble échapper au président de la République.

RT / Cnews.fr

Italie. Turin : 30 trafiquants de drogues africains agressent deux policiers

En quelques minutes, les policiers ont été encerclés par des dizaines de trafiquants. Depuis les fenêtres d'un immeuble, un citoyen excitait les Africains contre les policiers en traitant les agents de "nazis" et de "fascistes".

"Tout ce qui est arrivé à Turin aux jardins Alimonda est le miroir d'une société dans laquelle le criminel est convaincu de toujours s'en tirer"

C'est ainsi que Stefano Paoloni, secrétaire général du Syndicat de la police autonome (SAP), a dénoncé l'agression brutale qui a malheureusement vu deux policiers du commissariat de Barriera à Milan, attaqués par une trentaine de trafiquants de drogue non-européens.

Les deux agents s'étaient rendus dans un appartement mis aux enchères pour le livrer à l'huissier. Ils ont trouvé deux trafiquants de drogues africains. A la vue de la police, les deux hommes se sont enfuis vers les jardins d'Alimonda. Là, les deux individus ont demandé aux autres trafiquants présents du soutien: en peu de temps, les policiers ont été encerclés par 30 Africains et ont été attaqués violemment.

Depuis les balcons, un citoyen italien excitait les trafiquants en insultant les policiers : "Fascistes, foutez le camp. Nazis ". Scène de révolte.

Malgré le chaos total, grâce à l’intervention de quelques patrouilles de renfort, l’un des deux trafiquants a pu être arrêté alors que le second a réussi à s'enfuir. Le citoyen italien qui a insulté les policiers a également été arrêté.

(...)

Ofcs.report /  Forzearmatenews.it / Sap-nazionale.orgTorino.diariodelweb.it

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Bâle : Le PLR veut légaliser les drogues dures

Le PLR bâlois brise un tabou en proposant de libéraliser les drogues dures. Le PLR suisse y est toutefois opposé.

Pour le parti bourgeois en perte de vitesse sur les bords du Rhin, il faut laisser à chaque individu la responsabilité de consommer ce qu'il veut. Les stupéfiants «ne doivent pas être interdits, mais légalisés, contrôlés et taxés». L'objectif est d'assécher le marché noir et d'empêcher ainsi les revendeurs de réaliser des profits.

(...)

20 Minutes.ch

Genève : 17 kilos de coke stockés dans un box de parking. 4 Albanais arrêtés.

Plus de 17 kilos de cocaïne, dont une partie atteignait près de 90% de pureté. C’est la quantité de drogue retrouvée dans le cadre de l’affaire jugée depuis lundi au Tribunal correctionnel de Genève.

Au rang des accusés: un couple d’Albanais d’une vingtaine d’années, soupçonné d’avoir transporté en voiture plus de 7 kilos de coke des Pays-Bas à Genève, ainsi qu’un trentenaire et un quadra, originaires d’Albanie et habitant à Genève, accusés d’avoir participé au trafic

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Info