Fernand Melgar a quitté Lausanne. Son quartier était miné par les dealers africains

Quid des Suisses qui ne possèdent pas assez d'argent pour quitter le quartier miné par votre enrichissement chers socialistes? Les problèmes multiculturels, c'est pour les autres n'est-ce pas?

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A-t-il eu peur des menaces proférées à son encontre? Interrogé il y a une dizaine de jours, le documentariste a admis ne plus vivre dans ce quartier. «J’ai dû partir pour des raisons privées, explique-t-il sobrement. J’habite depuis quelques mois dans un chalet dans un village.»

Le cinéaste habite désormais officiellement dans le Nord vaudois.

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Nos remerciements à Wilhelm's Back

Deal de rue à Lausanne : le monde du cinéma et les élèves de la Haute Ecole d’art critiquent vivement Fernand Melgar

Fernand Melgar n’est plus le bienvenu à la HEAD, où les élèves paraissent faire front commun contre lui.

Jeudi, la HEAD a réagi par un communiqué. «Les prises de position de Fernand Melgar et surtout l’usage fait par le cinéaste de photographies volées de personnes présentées comme des dealers sur Facebook ont suscité un émoi et une indignation forte, notamment au sein des milieux culturels, très largement partagés au sein de l’école» (...)

Lettre ouverte

D’autant plus qu’en parallèle, une lettre ouverte, cosignée par des étudiants en cinéma de la HEAD et de l’ECAL, des alumnis et des professionnels du cinéma, en réponse à la tribune de Fernand Melgar sur le deal de rue à Lausanne, nous est parvenue dans la journée. On y retrouve, parmi 209 signataires, des personnalités connues comme Nicolas Wadimoff, Jean-Stéphane Bron, Lionel Baier, Antoine Jaccoud, Claude Barras, Francis Reusser, Frédéric Choffat, Christian Lutz ou Quentin Mouron.

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Melgar: injures et menaces mais il dépose plainte pénale!

Si j'en crois la presse du jour, l'auto-proclamé cinéaste Fernand Melgar porte plainte contre lesObservateurs.ch au motif que des commentaires injurieux le visent. Plus grave encore, des menaces auraient été proférées à son encontre. Et d'accuser Uli Windisch de laxisme en la matière avant de jouer au bon élève modèle qui, lui, "n'hésite pas à bannir de sa page facebook des intervenants qui insultent ou tiennent des propos haineux."

Voyons donc d'un peu plus près comment fonctionne le "modèle" Melgar sur son facebook.

Le 6 septembre dernier, Melgar mettait en ligne sur son facebook une caricature mettant en scène un politicien UDC et qualifiant les membres de l'UDC de "couillons".

Sans doute le terme "couillons" n'est-il pas une insulte aux yeux de notre artiste fortement subventionné puisqu'il a encore laissé passer en guise de commentaires ce terme à trois reprises ainsi qu'un "cretinos" dont personne ne doute non plus qu'il ne s'agisse pas d'une insulte.

Mais il y a plus fort encore. La veille, Melgar faisait encore mieux puisque, faisant les honneurs de sa page facebook à ce même politicien UDC, il laissait passer un "faudrait le mettre dans un canot pneumatique avec deux trois de ses acolytes et les balancer à la mer…par grosse tempête bien sûr" qui ne s'assimile pas non plus ni à une menace ni à un appel au meurtre aux yeux de notre cher Fernand. Tout comme d'ailleurs l'"imbécile" qui suit n'est lui non plus pas une insulte.

Il n'y a d'ailleurs pas que les politiciens UDC qui ont le droit aux bienveillants égards des admirateurs de Melgar. Christophe Darbellay en prenait également pour son grade le 30 juillet dans un long fil de commentaires d'anthologie démontrant la redoutable vigilance qu'a Fernand Melgar à supprimer tous les commentaires injurieux et menaçant:



 Ainsi donc les termes: "abruti", "con", "imbécile", "connard" et "trouduc" ne sont pas des insultes pour le regard perçant de Melgar et les "J'espère qu'il va se faire assassiner", "Je me réjouis de voir ta tête en trophée souvenir quand des lions auront dévoré ta carcasse", "On devrait te faire la même chose"et "il payera pour tous" sont en fait de gentilles recommandations prévenantes et emplies de bonté. En aucun cas, il ne peut s'agir de menaces puisque Fernand nous dit qu'il ouvre l'oeil!

Ceci dit, la cerise sur le gâteau réside vraisemblablement dans ces commentaires assimilant Christophe Darbellay à l'extrême droite et dénonçant une dérive ultra droitiste du PDC. On voit là toute l'étendue de la réflexion des gens qui suivent Melgar et dévorent ses films!

Enfin bref, étant donné que Melgar utilise massivement son facebook, on pourrait continuer longtemps comme ça, mais cela n'aurait pas grand intérêt. Tout a été dit (ou presque) sur ce clown sinistre dans ces quelques exemples...

Cain Marchenoir, les Observateurs, le 10 octobre 2015

Fernand Melgar porte plainte pour injures et menaces

NdDB : Pour rappel, il s'agit de l'article suivant : Fernand Melgar, le gauchiste naturalisé qui utilise notre pays.  Vous pourrez y lire les commentaires publiés et vous faire votre idée

 

Le cinéaste lausannois dénonce «la caution» apportée par Uli Windisch à des commentaires haineux parus sur son site Les Observateurs.ch .

Le cinéaste lausannois Fernand Melgar a porté plainte contre inconnu pour injures et menaces à cause de commentaires figurant sur le site Les Observateurs.ch d'Uli Windisch. Il dénonce «la caution» apportée ainsi à ces propos par le professeur honoraire de l'Université de Genève.

Suite

Fernand Melgar, le gauchiste naturalisé qui utilise notre pays

ND Ch. H. Voilà ce que nos autorités nous forcent à accueillir, voilà comment ces "réfugiés" nous remercient. On rappelle que c'est l'auteur de Vol Simple coproduit par la RTS, et de L'Abri. Deux films dont l'objectif est de salir le pays qui l'a hébergé tout en passant sous silence les délits des requérants.

Florilèges de l'article paru dans Le Temps:

Né Espagnol, à Tanger (Maroc), Fernand Melgar est le fils de syndicalistes anarchistes qui ont fui le franquisme.

«Mon père ne voulait pas devenir Suisse, mais il avait un sens civique développé. Il poussait les gens à voter, en allant jusqu’à leur préparer les arguments!» (ND Ch. H. En clair, son père faisait de la propagande d'extrême gauche contre son pays d'accueil, voilà ce que le fils appelle "avoir le sens civique développé")

«Quand j’ai demandé à mon père comment il réagirait si je devenais Suisse, il m’a répondu: «Je préférerais encore que tu m’annonces que tu es homosexuel

Pas question pour Fernand Melgar de se sentir habité pas un sentiment de trahison. Lui, qui court les festivals à l’étranger, se voit plutôt comme l’ambassadeur d’une Suisse dont il serait un peu la «mauvaise conscience». Fernand Melgar se dit aujourd’hui totalement double-national. «Je passe de l’un à l’autre quand ça m’arrange

Source

Fernand Melgar: « Le propre de l’homme c’est d’être un migrant »

La rédaction préfère ne pas commenter au risque d'avoir des propos...démesurés.

Alors que 150'000 migrants ont traversé la Méditerranée depuis le début de l'année, le cinéaste Fernand Melgar a rappelé à politbox que la Suisse est loin d'un afflux massif tel qu'elle en a connu à travers l'histoire.

En marge de sa sortie à Lugano sur la thématique de la migration, politbox a rencontré le cinéaste Fernand Melgar à Lausanne.

Après avoir observé les conséquences des politiques migratoires dans ses documentaires, "La Forteresse", Léopard d'Or au Festival de Locarno en 2008, et "Vol Spécial" en 2011, le réalisateur livre son sentiment sur une thématique qui préoccupe l'Europe entière alors que 150'000 migrants ont traversé la Méditerranée depuis le début de l'année 2015.

Réagissant à la proposition de fermeture de la frontière du conseiller d'Etat tessinois Norman Gobbi, Fernand Melgar évoque le fameux adage "la barque est pleine" utilisé pour refouler des Juifs allemands aux frontières suisses en 1942.

"Aujourd'hui, on agite la peur et la méfiance. Mais rappelons-nous qu'au 19e siècle un million d'Européens partaient chaque année pour les Etats-Unis, soit 50 millions en 50 ans, on est donc loin ici de ce qu'on appelle l'afflux massif de réfugiés".

La Suisse s'est vidée de près de 20% de ses habitants à cette période-là, rappelle par ailleurs le Vaudois.

Renouveler la population

Ces mouvements de population, Fernand Melgar estime que l'Europe et la Suisse en ont besoin pour renouveler une population vieillissante.

"Le monde a toujours fonctionné de cette façon, le propre de l'homme, c'est d'être un migrant. Et qu'y a-t-il de plus légitime que de tenter d'avoir une vie meilleure?", interroge-t-il.

La première grande vague migratoire en Suisse, c'est les protestants français. Ce sont eux qui nous amenés l'horlogerie, les banques et le chocolat.

Fernand Melgar, cinéaste

 

"On étouffe dans un pays fermé à double tour"

Qu'est-ce qui a changé avec l'initiative UDC sur l'immigration de masse acceptée par le peuple suisse en février 2014? "A l'époque où j'ai fait "Vol Spécial" en 2011, le centre de détention administratif de Frambois comptait 25 places. Aujourd'hui sa capacité va être portée à 250 places, dix fois plus, voilà ce qui a changé", commente amèrement Fernand Melgar, qui dénonce un discours hypocrite de la part de la Suisse qui s'est toujours présentée comme le pays des droits humains.

"Aujourd'hui on laisse tout le monde dehors, on se blinde. On parle de la forteresse Europe, on pourrait parler du donjon suisse. Le problème quand on ferme et on verrouille à double tour une maison, c'est qu'on étouffe à l'intérieur".

"Se débarrasser de personnes persécutées"

Le cinéaste estime aussi que les politiques mises en place ne visent plus aujourd'hui à protéger des personnes persécutées mais à tenter uniquement "de s'en débarrasser".

"En se focalisant sur l'accélération des procédures, on oublie que ce sont des Syriens, des Erythréens, des gens qui fuient des dictatures et des guerres abominables qui demandent asile".

Suite et interview/vidéos

Fernand Melgar, réalisateur de Vol Spécial, attaque encore la Suisse

On rappellera que Vol Spécial a été coproduit par la RTS: en clair notre média national se fait un plaisir d'humilier la Suisse tout en profitant d'une redevance devenue obligatoire à la charge des autochtones.

«L’Abri» montre une image peu reluisante de la Suisse. Si bien que Présence Suisse réserve son soutien à sa diffusion à l’étranger. Le cinéaste Fernand Melgar parle de «censure».

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Sorti en salle mercredi dernier, le film montre en effet une réalité peu reluisante de la Suisse, celle des sans-toit qui, l’hiver venu, s’agglutinent devant les portes d’un abri de la protection civile de Lausanne, en quête d’un peu de chaleur, d’un matelas et d’un repas chaud. Ils viennent d’Afrique, d’Europe de l’Est, d’Espagne ou du Portugal pour l’essentiel.

 

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