Deal de rue à Lausanne : le monde du cinéma et les élèves de la Haute Ecole d’art critiquent vivement Fernand Melgar

Fernand Melgar n’est plus le bienvenu à la HEAD, où les élèves paraissent faire front commun contre lui.

Jeudi, la HEAD a réagi par un communiqué. «Les prises de position de Fernand Melgar et surtout l’usage fait par le cinéaste de photographies volées de personnes présentées comme des dealers sur Facebook ont suscité un émoi et une indignation forte, notamment au sein des milieux culturels, très largement partagés au sein de l’école» (...)

Lettre ouverte

D’autant plus qu’en parallèle, une lettre ouverte, cosignée par des étudiants en cinéma de la HEAD et de l’ECAL, des alumnis et des professionnels du cinéma, en réponse à la tribune de Fernand Melgar sur le deal de rue à Lausanne, nous est parvenue dans la journée. On y retrouve, parmi 209 signataires, des personnalités connues comme Nicolas Wadimoff, Jean-Stéphane Bron, Lionel Baier, Antoine Jaccoud, Claude Barras, Francis Reusser, Frédéric Choffat, Christian Lutz ou Quentin Mouron.

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11 commentaires

  1. Posté par pepiou le

    L’arroseur arrosé et les petits cons !

  2. Posté par Marie-France le

    Mis à ban par les siens, Melgar va finir par nous êtres sympa !! Lui-même va peut-être s’apercevoir qu’il est des nôtres !!!
    Souvenons-nous :
    https://lesobservateurs.ch/2015/10/10/injures-menaces-a-sauce-melgar/

    Ou encore ceci :
    https://lesobservateurs.ch/2018/05/25/fernand-melgar-denonce-le-probleme-de-la-drogue-a-lausanne/ billet dans lequel Melgar s’exprime :
    Posté par Fernand Melgar le 27 mai 2018 à 00h29
    Ah mes amis, je crois que je vais une fois de plus vous décevoir…
    J’arrête de faire des films pour enseigner le cinéma. Hé oui, il faut penser à la relève. Mais ne soyez pas trop triste, mon dernier film subventionné sortira cet automne.(…)

    Ah!Ah! la vie parfois nous joue de ses tours !!!!

  3. Posté par Socrate@LasVegas le

    @Yolande C.H.
    « Ce que Melgar a fait, pour ses enfants, c’est d’exiger la restauration d’un ordre, et non de le contester. Voilà ce qui passe mal . »
    A mon avis ce qui passe mal c’est plutôt que cela vienne de l’auteur de « forteresse » et « vol spécial », films soutenus par la gauche…et subventionnés avec nos impôts!

    Bref, il apprend l’hygiène: on ne fait pas ses besoins là où l’on mange/a mangé comme on ne crache pas dans sa soupe…

  4. Posté par Gabrielle le

    Emoi et indignation forte au sein des milieux culturels… CULTURELS ? MDR !!!

  5. Posté par Tommy le

    Ce que les détracteurs de F. Melgar ne tolèrent pas, c’est le fait que ce dernier refuse de continuer à se voiler la face concernant des réalités que ces mêmes détracteurs considèrent comme étant de nature à perturber leurs mantras issus d’ un catéchisme qui n’a plus cours depuis des décennies.
     » We are the world » passe maintenant sur Radio-Nostalgie.

  6. Posté par bigjames le

    Encore une fois, des étudiants, futurs « artistes », biberonnés 100 % à gauche toute, des assistés notoires, persuadés de leur bien-pensance de gooooche, qui n’ont jamais rien produit de leur minable vie d’étudiants subventionnés.
    Un ramassis de glandeurs qui se la pête.

  7. Posté par Peter K le

    HEAD, haute ecole de quoi??? Tous les signataires de cette petition sont des complices de ces marchands de mort lente, ils-elles devraient ete vires de suite. Mais j’oublie, les profs et les eleves de ce genre de pseudo HES sont leurs principaux clients. Vu le niveau proche du neant de leurs productions pseudos artistics, ceci explique en partie cela..

  8. Posté par toyet le

    Coupons les subventions, pourquoi nourrir des assistés culturels, nous ne devons subventionner que l’Art.

  9. Posté par Baron d'Bobard le

    La police veille sur la pensée à défaut de veiller dans les rues.
    Lausanne est actuellement une municipalité où quelqu’un comme F. Melgar passe pour un réactionnaire. C’est dire le niveau atteint. Probablement irréversible.

  10. Posté par Christian Hofer le

    Il me semblait que la politique était interdite dans les établissements. Comment se fait-il que seule l’idéologie de gauche soit respectable à la HEAD? Comment se fait-il que la question de dealers harcelant de jeunes filles soit un sujet tabou? Cette HES prétend que la présence de M. Melgar nuirait à sa réputation. Or c’est le contraire qui se passe : cette direction fait état d’un parti pris dommageable à sa propre réputation. Elle déclare explicitement que pour travailler dans son établissement, il faut partager le même référentiel idéologique. Est-on revenu au temps de l’URSS ?

  11. Posté par Yolande C.H. le

    Ce sont dans les pays où les démocraties sont les plus citoyennes, entendez par là, où la sécurité émane essentiellement de la collectivité, que peuvent se déployer les critiques les plus violentes à l’encontre de celle-ci. Les milieux dits « culturels » (cinéma, théâtre, expression vocale style rap) en font leur thème favori, car ils ne risquent rien, cela s’enseigne même dans les formations à ces métiers, subventionnés par cette même société. Et c’est un sujet très rentable.

    Que l’un deux dont le père, venu s’installer en Suisse, n’éprouvait pas de souci en envoyant son petit garçon à l’école, exprime environ 40 ans plus tard son angoisse pour ses propres enfants, et le voilà menacé par ses congénères, lui reprochant le délit de délation, même si, d’une part, il est impossible de reconnaître les individus et, d’autre part, les habitants les croisent quotidiennement en chair et en os.
    Ce que Melgar a fait, pour ses enfants, c’est d’exiger la restauration d’un ordre, et non de le contester. Voilà ce qui passe mal .

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