Allemagne : Les deux raisons pour lesquelles les journalistes sont beaucoup plus à gauche que le peuple

Les journalistes aiment se considérer comme des combattants courageux contre le courant dominant. Malheureusement, les chiffres suggèrent que l'esprit de contradiction n'est pas si loin. La plupart des professionnels des médias travaillent dans un environnement où presque tout le monde pense comme eux.

Une journée typique au Deutschlandfunk se déroule ainsi : une blogueuse de mode explique à l'occasion de la Semaine de la mode de Berlin pourquoi elle est opposée à la mode - parce que la mode favorise le changement climatique.

Une jeune linguiste présente les dernières initiatives visant à améliorer les relations entre les sexes à l'aide d'un langage adapté. [...]

S'ensuit un article sur les "éléments racistes" dans l'œuvre du célèbre peintre "Brücke" Otto Müller. Le tableau "Deux femmes gitanes avec un chat" présente ces femmes comme des "séductrices exotiques" et véhicule ainsi des clichés sur les Sinti et les Roms. Par conséquent, le musée a décidé de n'exposer le tableau qu'en l'accompagnant d'un film documentaire.

De la "radio rouge" à la "radio verte

Vous pensez que j'exagère ? Alors vous n'avez pas écouté la Deutschlandfunk depuis longtemps.

Alors que d'autres auditeurs ont également relevé qu'une grande partie de l'émission sonne comme si Annalena Baerbock [NDLR : Femme politique allemande, co-présidente de l'Alliance 90 / Les Verts]  et Robert Habeck [NDLR : Ecrivain et homme politique allemand, membre de l'Alliance 90 / Les Verts] étaient chargés de la supervision, un correspondant de la "Neue Zürcher Zeitung" a récemment fait une expérience personnelle. Sa conclusion : Par le passé, les conservateurs auraient traité les radiodiffuseurs publics de "radio rouge". Aujourd'hui nous devrions parler de "radio verte".

À cet égard, j'ai été surpris de trouver sur le site de la chaîne un long texte expliquant pourquoi il était faux de considérer que le cœur du journaliste allemand était de gauche. [...]

Les journalistes de gauche en particulier n'aiment pas qu'on leur dise qu'ils sont de gauche, j'ai eu cette expérience à plusieurs reprises. Je pense que c'est une question d'image de soi. Les journalistes aiment se considérer comme des combattants courageux contre le courant dominant. Dire qu'ils travaillent dans un environnement où la plupart des gens pensent comme eux, cela diminue un peu l'héroïsme. Qui aime être considéré comme un suiveur ?

Malheureusement, les chiffres suggèrent qu’il n’y a pas tant d’opposition.

Il n'existe pas beaucoup d'études sur les préférences politiques concernant les individus travaillant dans les médias. L’une des plus importantes date de 2005 et provient de l’Institut de journalisme de Hambourg. La préférence politique s'y répartie ainsi :

Les Verts 35,5 % (gauche)

le SPD 26 % (gauche)

la CDU 8,7 % (centre-droit)

le FDP 6,3 % (droite)

Autres 4 %

les sans-parti 19,5 %

Les études les plus récentes font état d’un constat similaire, le nombre de ceux qui ne veulent pas se classer politiquement étant plus élevé. Parfois les sociaux-démocrates sont mieux lotis, parfois c'est l'inverse. Mais la tendance reste inchangée : si les journalistes allemands pouvaient nommer le chancelier allemand, il ne proviendrait pas du camp bourgeois.

Même dans les rédactions où on ne devrait pas s’y attendre, il y a une majorité claire en faveur de la politique rouge et verte. Au "Welt", le fleuron conservateur du groupe Springer, on le sait depuis que la rédaction a mené une élection-test entre collègues à l'occasion d'une élection fédérale il y a quelques années. Le résultat a ensuite été suspendu pendant deux semaines sur le panneau d'affichage du Springer Building à Berlin, jusqu’à ce que le conseil d’administration l’ait retiré car on ne voulait pas faire croire aux visiteurs que le rêve secret d'un rédacteur du "Welt" était une place au "Süddeutsche" [NDLR : journal de gauche].

Les critiques de gauche aiment souligner que les rédacteurs en chef sont souvent beaucoup plus conservateurs que l'équipe. C'est peut-être vrai, mais cela a moins d'impact sur le travail quotidien de la rédaction que l'on pourrait le penser. Il existe de nombreuses façons de saper les instructions venant d'en haut - je parle par expérience. Les propositions thématiques sont ignorées ou le rédacteur en chef est informé qu’aucune preuve n’a été trouvée pour étayer sa thèse.

Pourquoi tant de journalistes sont-ils à gauche ? L'une des raisons provient d'un élément que la sociologie appelle "le biais de sélection". Le journaliste typique a étudié l'allemand, l’histoire ou la politique. Les études de droit ou d’ingénierie, c’est-à-dire les filières dans lesquelles l’on se tient à l’écart des idées de gauche, sont plutôt rares. Pourquoi les sciences humaines penchent-elles si fortement à gauche ? Les personnes concernées diraient probablement parce qu’elles tiennent particulièrement à la justice. Je répondrais qu'il s'agit d'une sorte d'action compensatoire.

"Bill Gates a 50 milliards, et vous ?"

Mon ami Roger Köppel, aujourd'hui rédacteur en chef de la "Weltwoche", l'a un jour expliqué ainsi : "Imaginez que vous soyez allé à l'école avec Bill Gates. Vous êtes maintenant assis devant la télévision alors qu'elle diffuse un documentaire sur votre ancien camarade de classe. La tête de votre femme se met en marche, vous pouvez déjà sentir l'accusation tacite : "Bill Gates possède 50 milliards, tu n'es parvenu qu'à la rédaction d'un journal de taille moyenne, qu'est-ce qui a mal tourné ? Il n'y a qu'une seule façon de s'en sortir. Vous dites : "C'est vrai, Bill Gates est beaucoup plus riche que moi. "Mais je ne me suis pas laissé corrompre. Je ne suis pas devenu un porc capitaliste".

Est-ce mauvais que la majorité des journalistes soient favorables aux idées de gauche ? Les conservateurs se plaignent souvent de la partialité des médias. Ils ont sans doute raison sur l'inégalité de traitement des camps politiques. En tant que Vert, vous pouvez faire ce que vous voulez sans avoir à craindre une mauvaise presse. Même les plus grandes absurdités sont acquittée par une forme de clémence.

Lorsque la grande écologiste bavaroise Katharina Schulze s'extasie devant "Markus Lanz", elle déclare : "D'accord, la performance n'était pas optimale, mais c'est une personne si gentille, on n'a pas besoin de la descendre en flamme.

[...]

D'ailleurs, cela ne s'améliorera pas en termes de partialité politique, on peut déjà le dire. Quand j'étais à l'école de journalisme, il y avait au moins quelques personnes qui n'avaient pas étudié l'allemand. Aujourd'hui, elles ont toutes disparu, dans des cabinets d'avocats ou dans le monde des affaires.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Focus.de

 

Histoire : Les communistes iraniens pensaient utiliser les islamistes pour arriver à leurs fins

« On ne pensait pas que la révolution allait se transformer en cauchemar islamiste »

Les militants du Tudeh, le parti communiste iranien, étaient aux côtés des islamistes il y a 40 ans. Aujourd’hui, le nom du parti est tabou en Iran.

 

 

 

 

[...]

Ce soir de janvier, assis dans un coin tranquille d’un café du centre de Téhéran, Mo parle à voix basse. « J’ai appris à être discret, c’est ce qui m’a toujours évité d’être arrêté », sourit-il. Les clients n’imaginent pas que ce retraité de 63 ans, à la mine débonnaire et aux yeux plissés derrière d’épaisses lunettes, fut naguère un étudiant révolutionnaire, un anonyme noyé dans une foule qui fit tomber le régime impérial perse. « Début février 1979, j’étais avec un groupe de copains », se souvient-il, nostalgique. « On a capturé sans armes une garnison militaire dans le centre de Téhéran, avant d’envahir le siège de la Savak (la police politique du chah, NDLR). » Mo ne parle que rarement de ses faits d’armes révolutionnaires. Car comme beaucoup d’étudiants de l’université de Téhéran à l’époque, il était membre du Tudeh, le parti communiste iranien. Un parti dont le nom est aujourd’hui tabou en Iran, et dont aucune mention n’est faite lors des cérémonies de commémoration de la révolution islamique.

Créé en 1941, le Tudeh fut l’un des plus importants partis communistes du Moyen-Orient. Doté d’une grande influence dans les milieux intellectuels et ouvriers, allié de circonstance avec les islamistes au moment de la révolution, il fut à l’origine des premières manifestations qui firent tomber le chah, avant d’être progressivement évincé par la nouvelle théocratie et complètement anéanti en 1983. Quarante ans après, Mo ne comprend toujours pas comment la révolution a pu lui échapper. « On ne prenait pas au sérieux ces groupes d’islamistes. Ils avaient un très faible niveau de compréhension socio-économique. Pour nous, le soulèvement de 1979 devait être une transition vers le socialisme. Manifestement, on s’est complètement planté… » ironise-t-il aujourd’hui.

En 1979, la force de frappe du Tudeh et son influence le rendent indispensable aux islamistes pour faire tomber le chah. De leur côté, les communistes s’identifient au discours révolutionnaire et tiers-mondiste du charismatique Khomeyni. Le Tudeh, inféodé aux ordres de Moscou, est alors une pièce maîtresse du jeu soviétique en Iran, qui voit en Khomeyni un potentiel allié, et dans son avènement l’occasion inespérée de damer le pion aux Américains au Moyen-Orient. En dépit de toute considération idéologique, l’URSS espère manipuler le clergé chiite afin d’attirer l’Iran dans son giron. Lorsque l’ayatollah atterrit à Téhéran le 1er février 1979, acclamé par la foule, le Tudeh le reconnaît officiellement comme guide de la révolution. Dans la fièvre insurrectionnelle qui agite les avenues de Téhéran, les révolutionnaires aux brassards rouges se mêlent aux clercs chiites enturbannés.

« On aurait pu faire la même chose que Lénine »

Saeed Paivandi était lui aussi un militant actif du Tudeh. Arrivé clandestinement en France en 1984, il a bénéficié de l’asile politique accordé par François Mitterrand aux activistes de gauche iraniens. Il est aujourd’hui professeur de sociologie à l’université de Nancy. Sur son téléphone, dans un bistrot parisien, il fait défiler une conversation sur l’application Telegram, sur laquelle d’anciens camarades du parti, qui vivent clandestinement en Iran ou en exil en Europe, s’échangent des poèmes nostalgiques. « C’est un énorme gâchis… On ne pensait pas que la révolution allait se transformer en cauchemar islamiste, reconnaît-il aujourd’hui. On vivait dans l’illusion, on pensait qu’au final les islamistes n’auraient jamais la possibilité de s’approprier la révolution. »

[...]

Lorientlejour.com

Attaques antisémites à New-York : un youtubeur poste sur twitter une compilation vidéo choc des agressions et s’en prend à la gauche

"La menace REELLE pour les juifs provient de la gauche."

 

Via Fdesouche

Les Antifas protestent à Londres à la suite de la victoire écrasante des Conservateurs

"Tory scum off our streets, Nazi scum off our streets !" [Les ordures nazis hors de nos rues] criaient les manifestants de gauche dans le centre de Londres.

Environ un millier de manifestants, dont beaucoup étaient masqués et portaient des symboles antifa, ont défilé dans les rues de la capitale britannique pour protester contre les résultats des élections britanniques. La veille, les conservateurs avaient remporté une victoire écrasante lors des élections, garantissant probablement le retrait de la Grande-Bretagne de l'UE à la fin du mois prochain.

 

 

 

 

Toutefois, des foules de manifestants se sont rassemblées vendredi soir pour contester la victoire de Johnson.

Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés devant la résidence de Johnson à Downing Street, avant de marcher jusqu'à Trafalgar Square et au-delà, en brandissant des pancartes "Defy Tory Rule" et "Stop Islamophobia".

La capitale britannique est tombée dans le chaos alors que la police métropolitaine luttait pour contenir les manifestants liés aux groupes antifa, socialistes et communistes. Ils ont exigé une "révolution" et l'éviction des conservateurs.

Les manifestants ont désobéi aux ordres de la police et ont poussé les policiers qui tentaient de les bloquer sur certaines routes. À un moment donné, les agents ont brandi des matraques devant la foule pour l'amener à se conformer aux ordres.

[...]

Les manifestants tenaient des pancartes anti-Boris Johnson distribuées par le Parti socialiste ouvrier. D'autres, masqués, brandissaient des drapeaux antifa.

La manifestation chaotique en cours fait écho aux manifestations de gauche qui se sont transformées en émeutes aux États-Unis après la victoire électorale de Donald Trump en novembre 2016.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Thepostmillennial.com / Rt.com

 

Genève : La gauche veut des hausses d’impôts pour combler le déficit

Déficit budgétaire : Ensemble à gauche veut mettre les plus riches à contribution. Si le Grand Conseil ne suit pas, des initiatives seront lancées.

Le déficit annoncé de l’État sera de près de 600 millions de francs en 2020. C’est en tous les cas l’excédent de charges du budget sur lequel le Grand Conseil genevois se prononcera en fin de semaine. Alors que la droite et le MCG s’apprêtent à refuser les 412 nouveaux postes demandés par le Conseil d’État, Ensemble à gauche (EàG) met sur la table son remède: cinq projets de loi qui sont autant de hausses d’impôts ciblant les plus fortunés et les hauts salaires.

[...]

Tdg.ch

La gauche plume les contribuables comme des dindes de Noël

Le glissement à gauche, qui a eu lieu lors des élections fédérales du 20 octobre dernier, produit ses premiers effets: l’Union syndicale suisse (USS) entend distribuer de l’argent tous azimuts. Elle présente une liste de revendications en prétendant soutenir le pouvoir d’achat de la classe moyenne. La réalité est juste inverse: une fois de plus, les contribuables, donc la classe moyenne qui trime pour payer ses impôts, devront passer à la caisse.

La victoire de la gauche aux dernières élections va coûter cher à la classe moyenne suisse qui travaille durement pour payer ses impôts. Elle devra non seulement financer la rente pont pour les chômeurs âgés et un congé de paternité, mais, s’il en va selon l’Union syndicale suisse (USS), elle continuera d’être plumée comme le sont les dindes à Noël: l’USS réclame une extension de l’offre de prise en charge, une hausse des allocations familiales et une réduction supplémentaire des primes, pour ne citer que ces points d’une longue liste de revendications.

Compte tenu de la situation économique actuelle, les revendications de l’USS sont proprement irresponsables. Swissmem, le secteur suisse de l’industrie des machines, des appareils électriques et de la métallurgie, a annoncé aujourd’hui que le ralentissement économique est plus rapide et plus massif que prévu. Durant les neuf premiers mois de 2019, les entrées de commandes ont reculé de 13,2% par rapport à la même période de l’année précédente. Voilà donc le 5e trimestre d’affilée que cette branche enregistre une baisse des commandes.

La Suisse importe du chômage via la libre circulation des personnes
Mais ce n’est pas tout. L’Office fédéral de la statistique tire lui aussi la sonnette d’alarme face au développement du chômage. En calculant le chômage suisse selon la même méthode que dans l’UE, on constate que le taux de chômage a passé entre le 3e trimestre 2018 et le 3e trimestre 2019 de 4,4 à 4,6% selon la définition du Bureau international du travail (BIT). Alors que la proportion de chômeurs est restée stable parmi les ressortissants suisses, elle a surtout augmenté chez les étrangères et étrangers originaires des pays UE/AELE et des Etats tiers. C’est une évidence: la Suisse importe du chômage de l’UE via la libre circulation des personnes.

L’UDC exige donc que la Suisse gère enfin de manière autonome et selon ses besoins l’immigration sur son territoire. C’est exactement ce que prévoit l’initiative de limitation qui sera probablement soumise au peuple suisse en mai 2020. De plus, la classe moyenne qui travaille durement doit enfin être soulagée de l’accablant fardeau d’impôts, de taxes et de redevances au lieu d’être ponctionnée par de nouvelles revendications populistes d’une gauche irresponsable.

siurce: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/la-gauche-plume-les-contribuables-comme-des-dindes-de-noel/

Berlin : L’expulsion des demandeurs d’asile rendue politiquement impossible par la gauche

En théorie, les demandeurs d'asile déboutés doivent quitter l'Allemagne. S'ils ne partent pas volontairement, l'État doit les expulser. Dans ce cadre, la police est envoyée pour faire appliquer l'expulsion. En premier lieu, elle se rend dans les foyers de ces requérants déboutés.

En mai de cette année, la sénatrice Elke Breitenbach (Die Linke - La Gauche) a mis fin à cette pratique de son propre chef. Elle a ordonné que les agents de police ne soient plus autorisés à entrer dans les locaux d'hébergement des demandeurs d'asile à moins que les résidents ne l'autorisent expressément. Et qui permettrait à un policier d'accéder à son logement s'il était expulsé ?

Mme Breitenbach a affirmé que la police n'était autorisée à entrer dans les logements qu'avec une ordonnance du tribunal.

Le 10 septembre, un jeune Guinéen a refusé d'ouvrir. La police a défoncé la porte et l'a amené à l'aéroport de Tegel. A ce moment, il a refusé de monter à bord de l'avion pour l'Italie.

L'expulsion a finalement été interrompue. Le jeune Guinéen est retourné à Köpenick (un quartier de Berlin). Les avocats lui ont conseillé d'intenter des poursuites parce que la police était entrée dans son foyer sans autorisation. L'affaire sera tranchée par le tribunal et pourra aller jusqu'à la Cour constitutionnelle.

[...]

Tout cela ressemble à un scénario: d’abord, la sénatrice de gauche a refusé l'accès aux logements d'asile à la police. Puis, la faction de gauche au Bundestag a émis un avis juridique. Enfin, un demandeur d’asile débouté intente une action en justice.

Que va-t-il se passer ensuite? Si systématiquement la police doit d'abord appeler un juge, l'expulsion sera retardée ou contrecarrée. La police devrait intercepter les demandeurs d'asile déboutés dans la rue et les emmener dans une prison dédiée à l'expulsion. Une telle prison n'existe plus à Berlin.

Quelle que soit l'issue de ce cinéma, une chose est certaine : le droit d'asile allemand sera sapé et l'État paralysé.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de

 

 

 

 

 

 

Allemagne : Au parlement, la gauche soutient officiellement les extrémistes Antifas. “Merci aux Antifas”

La députée du parti de gauche Die Linke, Martina Renner, a été rappelée à l'ordre au Bundestag en raison d'un badge antifasciste sur son revers.

La politicienne a porté ce symbole serti du drapeau noir et rouge lors de son discours de jeudi, en réponse à une requête de l'AfD demandant l'interdiction du groupe extrémiste Antifa.

Le vice-président Wolfgang Kubicki (FDP), qui a présidé la réunion, l'a rappelée à l'ordre et a annoncé qu'il se réservait le droit de "prendre d'autres mesures de procédure".

Alors que la faction de gauche protestait, la coprésidente du parti Die Linke, Katja Kipping, a également reçu un rappel à l'ordre pour son "intervention".

 

https://youtu.be/pNoMODdlMOI

 

Sur Facebook, vendredi, Wolfgang Kubicki a expliqué sa décision plus en détail : "Tous les antifascistes ne sont pas des démocrates et certainement pas des défenseurs de la Constitution". Il considère "le port du badge de ce mouvement, qui légitime les attaques contre les policiers et les institutions de l'Etat et les pratique en partie activement, comme incompatible avec la dignité du parlement". Ceux qui remettent en question le monopole de l'État sur l'usage de la force et se considèrent comme légitimes pour employer eux-mêmes la force ne méritent aucun respect.

[...]

 

 

 

https://youtu.be/Pu6hYItZAXo

 

Sur Twitter, la vice-président du parti Die Linke, Martina Renner, a posté la vidéo de son discours, accompagné du commentaire "Merci Antifa".

Sous son tweet, on peut y lire des témoignages de soutien de ses amis de parti [ND Christian Hofer : Ainsi que des remerciements de la part d'Antifas].

Des politiciens d'autres partis ont également soutenu Martina Renner et ont critiqué Wolfgang Kubicki. Erik Marquardt, député européen des Verts, a d'abord tweeté : "L'antifascisme est le seul moyen de s'opposer fermement au fascisme".

 

 

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

 

 

 

Bret Easton Ellis : « je ne pensais jamais vivre dans un monde où émerge un tel totalitarisme de la gauche »

Sulfureux, pessimiste, radical… Bret Easton Ellis, auteur de « Moins que Zéro » ou encore d' »American Psycho », livre dans son dernier ouvrage « White » paru au printemps sa vision décapante du monde actuel. Il est l’invité des Matins de France Culture.

 

 

« Une fois que le livre est terminé, pour moi, c’est fini je passe au suivant, il sort au monde et les réactions se produisent : qu’est-ce que j’y peux, ça ne fait pas partie du processus créatif du livre. Mon boulot ça n’est pas de vous dire comment lire le livre, mais de l’écrire. » 

« Je pensais qu’ »American Psycho » était un roman expérimental qui intéresserait seulement une dizaine de personnes, cette violence scandaleuse ne devait pas devenir un best-seller, mais je devais écrire ça car c’est ce que je ressentais à ce moment-là. Ça montre à quel point l’écrivain sait peu sur la manière dont son livre va être reçu. »

« La littérature c’est du fantasme, pas du documentaire. Dépeindre la misogynie, ça n’est pas être misogyne : « American Psycho » est une description d‘un mode de vie que j’ai vu dans les années 80. » 

« Trump était quelqu’un qu’on admirait à l’époque, dans les années 80, moi je ne comprenais pas. Je trouvais amusant de l’introduire dans « American Psycho » comme une figure paternelle. » 

« Trump est apparu comme l’outsider, celui qu'il fallait aider. Je suis l’anti anti Trump, l’horreur qu’il inspire aux gens est disproportionnée. » 

« Les Etats-Unis est un pays qui a perdu sa boussole. Ce qui est choquant pour moi c’est de voir comment la gauche est devenu un parti autoritaire, totalitaire, qui a une liste de règles sur la façon dont les gens, en particulier les artistes, doivent s’exprimer, je ne pensais jamais vivre dans un monde où émerge un tel totalitarisme de la gauche. C’est un puritanisme qui pousse à infantiliser les gens. Je ne suis pas du tout Républicain, je ne suis pas conservateur, je ne vais pas voter Trump, mais je suis critique des réactions démocrates à Trump. »

Via Fdesouche

 

Suisse : Les Verts veulent augmenter le prix de l’essence de 50 centimes

Selon les Verts, conduire des véhicules à essence ou au diesel ne devrait pas être attractif. A présent, ils parlent d'une taxe d'au moins 40 à 50 centimes par litre.

Jusqu'à présent, les Verts parlaient d'une augmentation de 20 centimes par litre d'essence et de diesel. Aujourd'hui, Balthasar Glättli, chef de groupe des Verts au Parlement, a plus que doublé l'exigence des Verts : 40 à 50 centimes par litre d'essence seraient nécessaires.

En vertu de la loi, les nouvelles voitures immatriculées devront émettre beaucoup moins de CO2 qu'elles ne le font aujourd'hui. Cela réduira la consommation de carburant et les coûts en carburant. Le Conseiller national Vert prévient : A moins que des contre-mesures ne soient prises, conduire une voiture deviendra finalement moins cher. "Cela ne devrait pas être le cas. Sinon, les gens seront incités à conduire encore davantage".

Avec ce nouveau prélèvement, le prix de l'essence serait supérieur à 2 francs.

[...]

Une proposition beaucoup moins chère que celle des Verts est évoquée. Une taxe climatique d'au plus dix centimes par litre, qui augmentera à douze centimes par litre par la suite, est prévue. La majorité des importateurs de combustibles utiliseront cet argent pour financer des projets climatiques à l'étranger [ND Christian Hofer: En clair, nous serons taxés pour aider les autres pays et non le nôtre alors que nous avons besoin d'argent pour développer nos énergies renouvelables et atteindre nos propres objectifs!].

Ruedi Noser, membre du PLR zurichois au parlement cantonal, fait campagne pour cette solution "moins onéreuse" dans l'émission politique "Rundschau". Il déclare : "C'est la bonne voie pour la Suisse. Ces dix à douze centimes peuvent compenser presque complètement les émissions de CO2 dus au transport". Et il aide les pays étrangers à atteindre leurs objectifs climatiques.

Les Verts veulent doubler les taxes sur les billets d'avion

Les Verts veulent contrôler le comportement des gens par le biais de leur portefeuille - même dans les airs. Balthasar Glättli estime que la proposition du Conseil des Etats concernant la taxe minimum de 30 francs sur les billets d'avion est trop faible.

La taxe devrait dissuader le voyageur des vols qui peuvent être évités. Selon Balthasar Glättli, le montant minimum de la taxe sur les billets d'avion devrait être de 60 francs au lieu de 30 francs.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Srf.ch

Suisse : les cantons et les communes devront faire des économies pour couvrir les dépenses de l’asile “Les Érythréens n’ont pas l’habitude de travailler huit heures par jour”

Article qui dévoile les manœuvres de la gauche et de Burkhalter à l'encontre du peuple suisse sous couvert "d'humanitaire".

On rappelle que Sommaruga a été l'instigatrice de la venue de migrants qui attendaient en Libye et que Burkhalter a défendu bec et ongles les Erythréens. Ceux-ci provoquent pourtant de graves problèmes financiers aux communes suisses ainsi que des problèmes de sécurité récurrents, outre le fait que nombre d'entre eux sont venus profiter de notre pays sans aucun scrupule.

D'autre part, subitement, la "pression est contre-productive" pour faire travailler ces "réfugiés" selon certains de nos politiciens. Mais le système helvète peut compresser les Suisses et exiger d'eux une flexibilité à toute épreuve lorsqu'il s'agit de recherches d'emplois. C'est ainsi que notre Confédération traite sa propre population : en la discriminant.

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Le gouvernement fédéral cessera bientôt de verser de l'argent pour de nombreux réfugiés. Les coûts supplémentaires sont à la charge des communes et des cantons. Au lieu de rénover l'école, de soutenir les clubs ou de construire la cour de récréation, il faudra faire des économies pour couvrir les dépenses croissantes des réfugiés.

Il y a moins de réfugiés qui arrivent en Suisse qu'auparavant. Mais ce n'est que maintenant que les conséquences de la vague de réfugiés de 2015 ont réellement un impact sur les cantons et les communes, comme le rapporte le "SonntagsZeitung". A partir de l'année prochaine, ils devront supporter les frais de ceux qui sont venus en Suisse à cette époque. Les coûts supplémentaires se montent à un milliard de francs.

Cette énorme redistribution des dépenses s'explique par le fait que le gouvernement fédéral se retire du financement des réfugiés reconnus et des personnes admises provisoirement après cinq et sept ans respectivement. Cela signifie que les 50 francs versés par la Confédération (par jour et pour chaque réfugié), qui couvraient les coûts de l'aide sociale et les soins, ne seront plus effectifs.

[...]

Il faut plus de temps pour l'intégration

Pour certaines municipalités, cependant, les dépenses supplémentaires liées à l'aide sociale en matière d'asile constituent déjà un problème. Par exemple, au lieu de rénover les bâtiments scolaires ou d'apporter un soutien financier aux associations, les coûts croissants de l'asile doivent être résorbés. Les hausses d'impôts menacent. Entre-temps, même la ville de Berne, qui se situe à gauche sur le plan politique, tire la sonnette d'alarme.

Une solution consisterait à ce que le gouvernement fédéral prenne en charge ces coûts plus longtemps. Toutefois, jusqu'à présent, le Conseil fédéral n’a pas voulu entrer en matière à ce sujet.

[...]

Le taux d'aide sociale pour les réfugiés admis temporairement, qui résident en Suisse depuis 7 ans au maximum, est de 87%.

Renate Gautschy (PLR), présidente du conseil communal de Gontenswil AG, [...] est sceptique : Un délai de cinq à sept ans ne suffirait pas pour les intégrer. Les Érythréens n'ont pas l'habitude de travailler huit heures par jour.

"L'intégration demande de la patience. La pression est contre-productive", a déclaré Madame Gautschy au SonntagsZeitung.

 

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Rappels :

Réfugiés mineurs de Somalie et d’Erythrée en Suisse, les éducateurs n’en peuvent plus : les migrants réclament même du Dolce & Gabbana

Simonetta Sommaruga veut que la Suisse mette sur pied une opération de secours pour les « réfugiés » des centres de détention libyens.

Suisse : La socialiste Ada Marra vole au secours de l’Érythréenne qui refuse de faire un apprentissage. « C’est inacceptable de stigmatiser cette population. »

Sommaruga exclut de renvoyer les Érythréens

Suisse: Des Erythréens trichent avec le regroupement familial pour mieux piller la Suisse. La situation est cachée au grand public.

Argovie: Une famille érythréenne saccage l’appartement pour 13’000.- et ne s’intègre pas. Pour le PS, c’est la faute au manque de moyens.

« Réfugiés persécutés » d’Erythrée: Ils retournent en vacances chez eux. Comment la Suisse se fait gruger.

Burkhalter refuse de renvoyer les Érythréens: "la Suisse est le pays des droits de l'homme et des Conventions de Genève".

Lorsque Burkhalter prend la défense des Erythréens sur le dos du peuple suisse

 

Vénissieux (France) : Harcelés par des dealers, des cathos de gauche veulent déménager “Nous sommes les derniers Gaulois”

Christian Hofer : En bons hypocrites de gauche, à qui donnent-ils la faute? A la police (que les extrémistes de gauche caillassent à la moindre occasion), au bailleur, au gouvernement. Aucune remise en question de leur idéologie n'est à l'ordre du jour, alors qu'ils sont eux-mêmes les vecteurs de leur propre malheur (et du malheur de nombreux Français, ce dont ils se fichent éperdument) en militant exclusivement pour une idéologie multiculturelle durant toute leur vie.

Il est d'ailleurs amusant que ces individus relèvent "qu'ils sont pratiquement les derniers des Gaulois" alors que leur propre idéologie leur ordonne de ne pas faire de différence.

 

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Après cinquante ans passés aux Minguettes, ils jettent l’éponge.

Menacés et harcelés par des dealers, Robert et Danielle Gilbert ont décidé de quitter les Minguettes. Ces « cathos de gauche » s’étaient installés dans le quartier il y a cinquante ans et y avaient élevé leurs deux enfants.

Après tout juste cinquante années passées aux Minguettes, Robert et Danielle Gilbert ont décidé de jeter l’éponge. Pris pour cible par des jeunes trafiquants de drogue qui les accusent de les avoir dénoncés à la police, le couple n’en peut plus.

« Cela fait trois ans qu’il y avait du trafic au sein même de l’immeuble, raconte Robert Gilbert. En juin, ma femme les a surpris en train de « graboter » dans un des celliers de l’immeuble, et le surlendemain, il y a eu une descente de police. Ils ont été emmenés en garde à vue et 5000 euros de drogue ont été confisqués. »

 

 

Lente déliquescence du quartier

« Avant, ils n’étaient pas agressifs, mais depuis, ils pensent qu’on les a dénoncés et c’est l’enfer, poursuit-il. Menaces, vitres de voiture brisées, boite à lettres défoncées, c’est devenu invivable. »

Outre leur cas particulier, c’est la lente déliquescence de leur quartier que les Gilbert pointent du doigt. « Quand on est arrivés, en 1969, tout se construisait, c’était sympa, il y avait un milieu associatif prospère et beaucoup de solidarité entre les habitants », se souviennent-ils.

Lui enseignant en lycée professionnel, elle secrétaire à la CFDT, les Gilbert ont élevé leurs deux enfants « dans la ZUP », les ont scolarisés dans les établissements publics du quartier. C’étaient les années 1970 et 1980. Depuis la situation s’est peu à peu dégradée, constatent les Gilbert qui, jusqu’à cet été, ne pensaient pas devoir quitter les Minguettes. « Beaucoup de responsables associatifs sont partis dans les années 1980, les vieux militants n’ont pas été remplacés, les derniers ont notre âge ou sont morts et il n’y a pas eu de relève, regrettent-ils. Avant, il y avait un mélange, mais on a fait de ce quartier un ghetto, maintenant nous sommes pratiquement les derniers Gaulois… »

Les derniers des Mohicans

Passés par l’Action catholique ouvrière, le PSU (Parti socialiste unifié), la CFDT, ces « militants chrétiens de gauche » ont l’impression d’être les derniers des Mohicans. […]

« Il y a dix ans, j’avais donné un balai à des jeunes qui avaient Sali le pallier pour qu’ils nettoient, se rappelle Danielle Gilbert, ils n’étaient pas méchants, juste un peu mal élevés, mais aujourd’hui on ne peut plus discuter. »

« Plus personne réagit, les gens ont peur ou sont résignés, ajoute son mari. Et puis, la mairie se dit impuissante, le bailleur se borne à encaisser les loyers, la police n’est pas assez présente… »

Sans dédouaner leurs agresseurs, les Gilbert tentent, malgré leur situation, de mettre les choses en perspective. « Ces jeunes sont aussi victimes d’une société qui n’a pas été foutue de les intégrer, estime Robert Gilbert. Mais maintenant, ils *emmerdent* le monde et ce sont nous les victimes. J’en veux plus à ceux qui nous gouvernent qu’à ces jeunes. […]

 

 

Le 20 Minutes publie le discours d’Obama contre le “suprémacisme blanc” mais censure le pedigree gauchiste du tireur de l’Ohio 

Obama, qui visiblement ne pense qu'à sa propre ethnie, récupère les tueries pour en faire une revendication contre les Blancs : "Il faut condamner le suprémacisme blanc". Cela démontre la dangerosité que ce manipulateur représente pour l'Occident alors qu'il sait pertinemment que l'un des tireurs endosse son idéologie politique.

 

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Intervention d'Obama

«Notre nation doit condamner d'une seule voix le racisme, le sectarisme et le suprémacisme blanc», avait-il ajouté, alors que neuf autres personnes avaient été abattues dans la nuit de samedi à dimanche dans l'Ohio.

Depuis l'enchaînement des deux drames, de nombreux élus de l'opposition démocrate ont renouvelé leurs critiques à l'égard de la violente rhétorique anti-immigrants du milliardaire républicain, accusé de contribuer à la montée de l'intolérance dans le pays.

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20min.ch

 

Que cela soit le Sun ou le Washington Times, les médias anglophones sont explicites :

 

Article Thesun.co.uk :

Dayton gunman Connor Betts described himself on social media as a pro-Satan ‘leftist’ who despised Donald Trump

"Le tireur de Dayton Connor Betts s'est décrit lui-même sur les médias sociaux comme un " gauchiste " pro-sataniste qui méprisait Donald Trump."

Connor Bettsa exprimé un besoin de contrôle des armes à feu sur son compte Twitter. Dans un message qu'il a posté sur Twitter sous le nom de "iamthespookster", Betts a écrit : "Je veux le socialisme, et je n'attendrai pas que les idiots se mettent enfin à comprendre".

Le compte, qui a maintenant été supprimé, montre l'image d'un anarchiste de gauche mécontent, selon Heavy.com. [...] Dans un autre message, il a écrit à ses followers : "Tuez tous les fascistes".

 

Article du Washington Times :

Ohio gunman described himself as pro-Satan 'leftist' who supported Elizabeth Warren

"Le tireur de l'Ohio s'est décrit lui-même comme un "gauchiste" pro-sataniste qui soutenait Elizabeth Warren."

NDLR : Elizabeth Warren est une démocrate, une personne de gauche appartenant au même parti qu'Obama. Nos médias passent évidemment sous silence ces informations.

 

Article de CNN :

Dayton shooter appeared to have leftist Twitter feed

 

Article de Lasvegassun :

Apparent Twitter feed shows Ohio shooter was anti-Trump leftist

 

 

 

 

Ecologie : La maire socialiste de Paris critiquée pour un aller-retour en avion

Le 26 juillet dernier, Anne Hidalgo a été invitée par la société organisatrice du Tour de France, Amaury Sport (ASO), pour assister à la 19e étape entre Saint-Jean-de-Maurienne et Tignes. Celle-ci ayant été annulée à cause de la grêle, la maire de Paris est repartie le même jour. Cet aller-retour de 600 kilomètres entre Le Bourget et Chambéry a été effectué en avion Falcon, a révélé mercredi Le Canard enchaîné. «Son Vélib’ avait sûrement un pneu crevé», raille l’hebdomadaire satyrique, en référence aux convictions écologistes de l’édile. [...]

Réfutant toute polémique, le cabinet d’Anne Hidalgo s’est dans un premier temps farouchement défendu: «Un avion est affrété par le Tour de France, dans lequel il y a des fioles pour le dépistage antidopage. Pour éviter que l’avion ne vole à vide, le Tour de France en profite pour inviter les personnalités à son bord. De toute façon, cet avion va décoller et faire un aller-retour quotidiennement».

«Les échantillons sont acheminés chaque jour en voiture»

Or, selon Damien Ressiot, fraîchement nommé directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), ce Falcon ne transportait aucune fiole de ce type. «Les échantillons sont acheminés chaque jour en voiture, depuis le contrôle jusqu’au laboratoire de Châtenay-Malabry, où ils sont analysés», a-t-il assuré à Checknews.

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Le Figaro

Suisse: Extrémisme de gauche plus vivace chez les jeunes

Une étude de deux hautes écoles montre que les jeunes Suisses sont plus sensibles aux idéologies qu'aux violences politiques.

L'extrémisme de gauche est un peu plus répandu chez les jeunes Suisses que l'extrémisme de droite. Les objectifs idéologiques recueillent plus d'adhésion chez les jeunes que les violences politiques. C'est le résultat d'une étude de deux HES fribourgeoise et zurichoise.

Au total, 8317 jeunes âgés de 17 à 18 ans et venant de dix cantons ont participé à cette enquête réalisée par la Haute école de travail social de Fribourg (HETS-FR) en collaboration avec la Haute école spécialisée de Zurich (ZHAW). Les résultats ont été publiés mardi.

Selon l'étude, 7% des jeunes sans parcours migratoire ayant participé à l'enquête peuvent être considérés comme des extrémistes de gauche et 5,9% comme des extrémistes de droite. Chez les jeunes musulmans, 2,7% peuvent être considérés comme des extrémistes islamistes.

Anticapitalistes

Parmi les extrémistes de gauche, 47,1% sont anticapitalistes et 21,7% sont hostiles envers la police et l'Etat. Seuls 5,6% des jeunes interrogés soutiennent le communisme, 8,1% prônent la violence contre les policiers et 4,4% ont commis des actes de violence au cours des douze derniers mois.

Parmi les extrémistes de droite sans parcours migratoire, 25,1% des jeunes interrogés adhèrent à la xénophobie et 21,1% au nationalisme, 4,8% prônent la violence contre les étrangers et 5,4% sont favorables à une dictature. 2,6% ont commis des violences physiques ou des dommages matériels contre des étrangers ou des extrémistes de gauche.

Perception négative

Selon l'enquête, 2,7% des jeunes musulmans peuvent être considérés comme des extrémistes islamistes, 43% ont une perception négative des sociétés occidentales et 28,8% sont hostiles aux musulmans non traditionnels. Seuls 3,7% des jeunes musulmans interrogés font preuve d'hostilité à l'encontre des Suisses et 5,1% ont une propension à la violence envers les musulmans non traditionnels.

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(ats/nxp)

source:

Allemagne : Une politicienne de gauche déclare que les «vieux hommes blancs sont une menace pour l’avenir» (Vidéo)

Le parti des Verts mené par Katharina Schulze vient d'atteindre 17,5% en Bavière. Visiblement la haine du vieil homme blanc, ça paie.

La même femme parvient même à prétendre combattre "la haine et le rejet" dans l'article du Monde tout en discriminant les hommes blancs. L'hypocrisie de gauche habituelle.

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Katharina Schulze, une politicienne de gauche et dirigeante des Verts allemands, a lancé un discours sur Facebook contre les «vieux hommes blancs».

 

 

 

Schulze, qui est également candidate aux élections dans l’état de Bavière, pense que le vieil homme blanc «menace l'avenir» et met l'Europe en danger:

"J'en ai assez que de vieux hommes blancs n'arrivent pas à faire face à la diversité et compromettent notre avenir qui est en jeu. Et j'en ai assez que de petits esprits nationaux détruisent notre Europe.

Je considère qu'il faut à présent un soulèvement des personnes décentes et sincères. Nous devons montrer que nous sommes la majorité et que nous en avons marre de la politique de la CDU (Union chrétienne-démocrate) de la CSU (Union chrétienne-sociale) et du SPD (Parti social-démocrate). Notre pays peut plus et a besoin de plus. C'est pourquoi j'espère que vous participerez le 22 juin à Munich où nous aurons une grand manifestation pour la liberté, pour la démocratie et pour notre Europe et un bon avenir pour nous tous!"

(...)

Bayernistfrei.com / Voiceofeurope.com

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Un professeur de New York: “Le totalitarisme de gauche est en train de se déchaîner, nous sommes sur le point de perdre complètement notre culture”

Dans un message d'avertissement clair sur Facebook, Michael Rectenwald, professeur à l'Université de New York, déclare que la civilisation occidentale est assiégée par les totalitaires maoïstes, ajoutant que nous sommes sur le point de «perdre complètement notre culture».

Michael Rectenwald résume la menace qui pèse sur l'Occident dans son message: "Nous subissons une Révolution culturelle de type maoïste - avec le pouvoir des médias, des médias sociaux, de l'académie, de la plupart des entreprises américaines, de "l'État profond" (Nd Schwarze Rose : la classe dominante et/ou des représentants d'intérêt au sein de l'état bureaucratique), du gouvernement fantôme (des individus qui ne sont pas élus démocratiquement, un état dans l'état) et de la plupart des appareils juridiques derrière tout cela ». Le professeur ajoute que "l'anti-Ouest, l'anti-chrétien, l'anti-liberté ravagent nos héritages culturels ainsi que nos arts et lettres contemporains.

 

 

 

 

 

 

Il met en garde: "Toute notre culture est assiégée et subit un démantèlement total et implacable de la justice sociale". Il poursuit "Le totalitarisme gauchiste est hors de contrôle". Nous sommes sur le point de perdre complètement notre culture, les avantages de la civilisation occidentale et tout l'héritage de l'histoire civilisationnelle occidentale."

A la fin de son message, il ajoute encore "Une renaissance majeure et une contre-attaque sont nécessaires et rapidement".

Michael Rectenwald a subi des conséquences en raison de ses opinions par le passé. Il rejoint de nombreux libéraux classiques devenus marginalisés par la gauche (...).

 

 

En réponse aux attaques qui ont suivi son commentaire, il a également écrit : "Comment la gauche ose-t-elle avoir des prétentions de supériorité morale? Les gauchistes au pouvoir ont massacré et emprisonné plus de gens que tout autre contingent dans l'histoire politique. Ne venez pas ici en jouant votre morale supérieure avec moi ou avec autrui, espèce de monstres."

 

 

Voice of Europe / Facebook du Professeur Rectenwald

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

La Ville de Lausanne arrose la presse locale avec l’argent des contribuables pour s’opposer à Blocher : 170’000 francs pour le journal «Lausanne Cités»

Et tout cela, sans que le citoyen n'ait jamais eu son mot à dire... la malhonnêteté de gauche dans toute sa splendeur.

A relever la tournure de l'article qui cherche à dédouaner l'utilisation honteuse des deniers publics prétendant que ce journal ne sera "aucunement impacté par l'idéologie socialiste". Mais oui, bien sûr...

Enfin, pour Jean-Marie Fleury, éditeur de Lausanne Cités, être financé par le biais de la gauche (mais pas avec l'argent de cette idéologie, rassurez-vous), ce n'est tout à coup plus un problème pour la "neutralité éditoriale".

Puisque ce n'est pas Blocher, le méchant populiste, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. On est rassuré.

Voici d'ailleurs un exemple d'impartialité de ce journal qui court donner la parole à Pascal Gemperli au sujet de l'affaire Tariq Ramadan, les pauvres musulmans étant "désemparés" selon Lausanne Cités.

Et les victimes?

 

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L'hebdomadaire qui avait été convoité par Christophe Blocher sera finalement soutenu par la municipalité lausannoise.

«Un montant forfaitaire de 170'000 francs sera nécessaire» et le partenariat avec «Lausanne Cités» est prévu sur 5 ans. Par ailleurs, un montant de 70'000 francs sera dédié à l'aide à la presse pour des achats d'annonces dans les médias papier couvrant l'actualité lausannoise.

(...)

La perspective de voir le leader de l'UDC arriver dans la presse romande avait suscité le tollé, en particulier à gauche.

Source et article complet

Nos remerciements à Daniel Brand

Attaqué sur l’immigration par le magazine Rolling Stone, Matteo Salvini répond “Que les millionnaires de gauche prennent les migrants dans leurs villas.” (Vidéo)

Le terme "radical chic" désigne les personnes s'identifiant comme socialistes ou radicaux de gauche tout en menant des styles de vie supérieurs.

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Après l'attaque du magazine Rolling Stone, le ministre de l'Intérieur a fait taire les signataires VIP :

"Ces attaques ad personam sont étranges. J'aime certains de ces chanteurs et je continuerai à les écouter, j'aime certains de ces réalisateurs et je continuerai à voir leurs films, j'aime certains de ces auteurs et je continuerai à lire leurs livres.

Je suis simplement en train d'appliquer ce que l'immense majorité des citoyens italiens me demandent de faire: Donner des règles à ce pays, mettre de l'ordre, du respect, maitriser l'immigration hors de contrôle.

 

 

 

 

Si l'un de ces multimillionnaires - car ces appels ne viennent pas des travailleurs, des étudiants, ou des retraités qui vivent dans les logements sociaux - et comme les signataires de ces appels radicaux chics possèdent des millions d'euros sur leur compte courant, et je le dis sans envie, qu'ils ouvrent les portes de leurs méga villas et qu'il accueillent à leurs dépens ceux qu'ils jugent d'accueillir.

(...)

Source Source2 Source3

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Etude : Les journalistes sont clairement de gauche. Leur idéologie est nettement surreprésentée en comparaison à la population.

Une étude danoise, qui a examiné les préférences politiques des professionnels des médias de 17 pays développés, montre que la plupart des journalistes ont clairement une orientation de gauche, rapporte le quotidien suisse Basler Zeitung.

Les données, qui ont été publiées la semaine dernière, sont intéressantes car elles confirment un préjugé largement répandu parmi les professionnels des médias et les journalistes.

L'étude montre que la plupart d'entre eux préfèrent l'idéologie des Verts (nouvelle gauche), suivie du féminisme. Dans les bureaux des rédactions, il y a une surreprésentation moyenne de trois fois plus de militants des Verts et des féministes que dans la population normale.

Ainsi, lorsque 10% de la population d'un pays soutient le féminisme, 30% des journalistes font de même, ce qui constitue une forte surreprésentation.

A la troisième place se trouvent des journalistes d'orientation sociale-libérale, suivis du communisme et d'une attitude «pro-européenne». Ces trois attitudes sont deux fois plus répandues dans les médias que dans la population.

En revanche, les journalistes conservateurs sont fortement sous-représentés parmi les professionnels des médias. Selon l'étude, une orientation conservatrice est six fois plus fréquente dans la population que chez les journalistes.

Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

Rappels:

Médias. « Éditorial haineux et sans fondements de Sandra Jean sur D. Trump dans Le Nouvelliste »

Médiateurs des médias? Daniel Cornu ou le bashing anti-Trump justifié par un « médiateur »

Manipulation: Le Temps publie 24 articles anti-Trump en 30 jours.

Autriche : explosion du nombre d’attaques au couteau. Les médias traditionnels refusent d’évoquer l’aspect ethnique de ces crimes.

Après des années de pertes financières, le Matin devient exclusivement numérique.

Médias bien-pensants. La fin de l’Hebdo. Les vraies causes. Le lamento général, la culpabilisation, les accusations gratuites, l’appel à l’Etat et les délires idéologiques : ça suffit.