Une bombe financière à retardement qui vient d’Afrique !

Les migrants économiques qui demandent l’asile à nos frontières obtiennent un libre accès à notre système social et notre système de soins, ce qui coûte très cher à la société. 78% de tous les bénéficiaires de l’aide sociale sont étrangers et près de la moitié d’entre eux viennent d’un pays africain. En raison de la non-intégration de ces gens sur le marché du travail (ou seulement après plusieurs génération), la politique d’asile de la Confédération coûte très chers aux contribuables.

J’étais parmi les premières personnes à mettre en garde, en 2014 déjà, contre les effets à retardement de cette « bombe financière » pour les communes. En ma qualité de responsable des affaires sociales à la commune d’Aarburg (AG), j’ai remarqué que de plus en plus de demandeurs d’asile en provenance d’Afrique (et plus particulièrement d’Erythrée) viennent en Suisse et restent durablement à l’aide sociale.

La Confédération, pourtant responsable de la politique d’asile et de l’accueil de ces personnes, ne les prend en charge que pendant 5 ou 7 ans ; passé ce délai, c’est la commune de résidence qui passe à la caisse. Pour ma commune, Aarburg, cette politique d’asile, ce sont 78% de bénéficiaires étrangers à l’aide sociale dont près de la moitié originaire d’Afrique !

L’asile s’est petit à petit transformé en une sorte de libre-circulation globale des personnes. Les migrants économiques arrivant en Suisse par ce biais n’ont même pas besoin de présenter un contrat de travail ; il leur suffit de dire « asile » à la frontière pour obtenir un accès illimité à nos assurances sociales et notre système de soin.

Aarburg n’est pas une exception, puisque les chiffres explosent aussi à l’échelle nationale, avec une augmentation de 130% des bénéficiaires africains en l’espace de 10 ans. Un quart des étrangers à l’aide sociale est d’origine africaine, alors que seulement 5% de la population résidante étrangère l’est.

Concrètement, cela signifie que le taux d’aide sociale chez les personnes originaires d’Afrique s’élève, selon le pays d’origine, à 80% ou plus.

 

Les contribuables suisses paient pour les familles nombreuses africaines

Cette charge financière pour les communes croît de façon constante. Chaque année, de nouveaux migrants viennent grossir la liste, ce alors que la Confédération s’en décharge financièrement.

88% des nouvelles demandes d’asile de personnes érythréennes ne proviennent plus de nouveaux migrants mais d’enfants nés en Suisse ou dans le cadre du regroupement familial.
Le taux de natalité des Érythréennes est 4x plus élevé que celui des Suissesses, entrainant non seulement des coûts plus élevés à charge de l’aide sociale mais aussi davantage de problèmes dans les écoles (un fait également constaté dans ma commune).
Tout cela bien entendu aux frais de la commune de résidence.

Le filet de sécurité social, initialement créé pour les Suisses dans le besoin, sert surtout aujourd’hui à repêcher des étrangers entre-temps installés. Conditionnés par une culture différente de la nôtre, nombre de ces étrangers fondent des familles nombreuses, aux frais des contribuables suisses.

Des générations à l’aide sociale

La Confédération a certes réagi, mais de loin pas comme l’UDC l’espérait. Tous les autres partis misent sur l’intégration en lieu et place d’une politique d’asile efficace et sélective. Des millions de francs d’argent public ont été consacré pour les questions supposées d’intégration, avec des objectifs très ambitieux.
Toutefois, les experts estiment que les Erythréens n’arriveront pas à s’intégrer sur le marché du travail suisse, même sur deux à trois générations. En clair, les jeunes Erythréens et leurs descendants coûteront encore très cher à l’aide sociale suisse, jusqu’à la retraite et même au-delà.

Face à ce constat, il est impératif de refondre complètement notre politique d’asile jusqu’ici généreuse et que nous cessions immédiatement d’accueillir des migrants économiques.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/editoriaux/une-bombe-financiere-a-retardement-qui-vient-dafrique/

Martina Bircher
UDC conseillère nationale (AG)

Les associations pro-asile se battent pour que les requérants d’asile déboutés puissent rester en Suisse

Les jeunes déboutés de l’asile végètent dans un no man’s land - par Maria Pineiro - 20minutes.ch - La situation ubuesque des jeunes déboutés de l'asile

Plusieurs associations dénoncent la situation dans laquelle se retrouvent les moins de 25 ans une fois à l’aide d’urgence.

«J’ai fait un préapprentissage durant un an. Après, j’ai dû faire recours pour mon permis, témoigne Mebrahtu, Erythréen de 22 ans, dans une vidéo tournée par deux associations actives dans le droit d’asile.
«On s’est battus et je suis le premier à avoir pu faire un apprentissage avec un papier blanc.» [...] Cette pièce officielle permet d’accéder à un logement et à des soins, et de recevoir 10 fr. par jour pour subvenir à ses besoins. En revanche, contrairement au statut de requérant qui permet d’occuper un emploi, les porteurs de papier blanc ne peuvent travailler. [...]

[...] Tout est bloqué», poursuit Luwam, Erythréenne de 23 ans. A Genève, une soixantaine de jeunes de moins de 25 ans se sont vu refuser le statut de réfugié. Leurs perspectives professionnelles ou scolaires se retrouvent entre parenthèses, parfois pour de longues années. «Ce sont pour la plupart des adolescents arrivés entre 2015 et 2016 [...]

[...] pour cas de rigueur, la demande est préavisée favorablement et transmise à Berne pour approbation fédérale». [...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/les-jeunes-deboutes-de-lasile-vegetent-dans-un-no-mans-land-788486341698

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Voir aussi:

Suisse : Un coût de 1,37 million pour une famille de réfugiés érythréens. Les communes redoutent une explosion des coûts liés à l’asile.

Les Suisses paient 1,56 milliard par an rien que pour les Érythréens

Suisse : les cantons et les communes devront faire des économies pour couvrir les dépenses de l’asile « Les Érythréens n’ont pas l’habitude de travailler huit heures par jour »

Les restrictions autour du droit à l’asile des Erythréens en Suisse font réagir

Réfugiés mineurs de Somalie et d’Erythrée en Suisse, les éducateurs n’en peuvent plus : les migrants réclament même du Dolce & Gabbana

Simonetta Sommaruga veut que la Suisse mette sur pied une opération de secours pour les « réfugiés » des centres de détention libyens.

Les juges fédéraux s’opposent au renvoi de jeunes Erythréens. « Il y a systématiquement des recours contre les expulsions. »

Suisse : La socialiste Ada Marra vole au secours de l’Érythréenne qui refuse de faire un apprentissage. « C’est inacceptable de stigmatiser cette population. »

Sommaruga exclut de renvoyer les Érythréens

Suisse: Des Erythréens trichent avec le regroupement familial pour mieux piller la Suisse. La situation est cachée au grand public.

Argovie: Une famille érythréenne saccage l’appartement pour 13’000.- et ne s’intègre pas. Pour le PS, c’est la faute au manque de moyens.

« Réfugiés persécutés » d’Erythrée: Ils retournent en vacances chez eux. Comment la Suisse se fait gruger.

https://lesobservateurs.ch/2017/07/04/scandale-des-faux-refugies-erythreens-la-commission-de-gestion-du-conseil-national-ne-fait-pas-son-travail/

https://lesobservateurs.ch/2017/02/04/refugies-persecutes-deryhtree-ils-retournent-en-vacances-chez-eux-pour-aller-en-discotheque-comment-la-suisse-se-fait-gruger/

https://lesobservateurs.ch/2016/10/21/suisse-selon-la-loi-de-nombreux-erythreens-nauraient-pas-du-beneficier-de-lasile/

https://lesobservateurs.ch/2018/01/25/refugies-mineurs-de-somalie-et-derythree-en-suisse-les-educateurs-nen-peuvent-plus-les-migrants-reclament-meme-du-dolce-gabbana/

https://www.dreuz.info/2017/03/15/un-demandeur-dasile-somalien-je-suis-la-pour-rester-toujours-mais-pas-pour-travailler/

https://www.swissinfo.ch/fre/réfugiés-en-suisse_des-somaliens-en-quête-d-intégration/37012602

https://www.tdg.ch/suisse/Berne-veut-ameliorer-l-integration-en-Suisse/story/31699317

Asile des Erythréens: l’ONU critique la Suisse

Suisse: Selon la loi, de nombreux Érythréens n’auraient pas dû bénéficier de l’asile!

Argovie: Suisses très violemment attaqués par 12 à 15 Érythréens en pleine gare

Selon le gouvernement d’Érythrée, les Érythréens réfugiés en Suisse mentent pour profiter

Argovie: Deux agressions en peu de temps par des réfugiés érythréens

Zurich. Bagarres entre Érythréens: 4 blessés et 14 interpellations

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Rediff: notre a

 

24 heures du 11 novembre 2016 consacre aux MNA sa manchette :

« Requérants mineurs: situation intenable dans les foyers d’accueil », son éditorial (p. 2) : Etre bon élève n’est pas suffisant et un grand article (p. 25-26) : Sept tentatives de suicide parmi les requérants mineurs

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Requérants d’asile mineurs non accompagnés (MNA)

Le vendredi 11 novembre, alors que toute l’attention des médias est accaparée par les élections US, nous apprenons que le budget MNA du canton de Vaud passera de 4,9 millions à 8 millions.

Hier soir (15.11.16), au TJ de 19h30, nous apprenons que le budget de l’EVAM (Etablissement vaudois d’accueil des migrants) va doubler en 2017.

En 2015, la Suisse a accepté 2740 MNA, six fois plus qu’en 2014, alors qu’en 2016, leur nombre serait de 1707 jusqu’au novembre, autrement dit un requérant d’asile sur quatorze serait un mineur.

Certains cantons n’ont aucune structure dédiée aux MNA. La journaliste Stéphanie Arboit, sur deux pages , développe son raisonnement et expose notre prétendue lourde responsabilité envers ces enfants que nous devrions traiter aussi bien que les « nôtres ».

Alors que les normes du Service de protection de la jeunesse sont de 1 éducateur pour 3 enfants, l’EVAM dispose d’un éducateur pour 6 enfants… « alors qu’ils ont traversé l’enfer ».

Dans le canton de Vaud, il y a actuellement 270 mineurs non accompagnés (MNA), dont 207 hébergés dans des foyers ad hoc. En 2015, il y avait 45 MNA hébergés en foyer.

L’EVAM dispose cette année de 384 plein-temps, dont 33 sont affectés aux MNA, soit 8%-9% des collaborateurs alors que cette population représente un pourcentage bien moindre.

De plus, deux foyers viennent de s’ouvrir depuis avril, portant à cinq le nombre de ces structures pour MNA. Mais le nombre des centres d’accueil semble insuffisant. Le budget cité plus haut ne comprend pas les frais liés à l’enseignement, aux soins médicaux pour ces chérubins exotiques, les frais (élevés) de justice, de police et d’incarcération… ni bien sûr les divers frais en aide sociale pour ces futurs assistés à vie.

La journaliste nous sert un long fleuve de sanglots :

« …Leur famille leur manque. Ils ont été envoyés avec une sorte de mission: dans le meilleur des cas, s’en sortir en se construisant un avenir meilleur. Dans le plus lourd des cas, renvoyer de l’argent. »

Nous apprenons qu’il y a des bagarres au couteau et que la police est appelée dans ces cas pour « désamorcer » les conflits, que « beaucoup de ces mineurs sont révoltés du décalage entre leurs espoirs de ce qu’on leur avait promis et la réalité. »

« Ils ont 13 ans et demi. Des gosses. Mais qui ont vu pendant leur périple pour rejoindre la Suisse plus de misère que d’aucuns, nés sous nos latitudes, n’en verront jamais en toute une vie. »

« …sept d’entre eux ont fait une tentative de suicide. Geste de révolte, de désespoir, mais aussi appel au secours. »

En 1995, le service des réfugiés, FAREAS, l’ancêtre de l’EVAM, a mis en place un service MNA avec 2 plein-temps pour une soixantaine de mineurs, dont un tiers habitaient en réalité avec leur parenté. Actuellement il y a plus de 270 MNA et l’EVAM emploie 33 plein-temps.

L’arrivée de ces mineurs n’a strictement aucun rapport avec les conflits dans le monde. L’offre suisse est maintenant connue en Erythrée, en Somalie, et dans chaque pays africain… et des parents de ces pays envoient leurs enfants « faire carrière » chez les Suisses qui sont riches et accueillants, tout comme une famille britannique envoie son rejeton à Eton College !

Souvent, il s'agit de personnes ayant un passé de délinquant, avec des problèmes de trouble de la personnalité.

Les MNA font des tentatives de suicide, ils seraient malheureux en Suisse… Mais le problème, c’est que leur adaptation à notre société a échoué ! Nous avons eu 25 ans de recul pour constater cela ! Leur encadrement est ruineux… et leur nombre explose !

Comment répondent nos élites « de gauche » à cette réalité ?

Donner plus d’argent de poche à ces jeunes clandestins, créer plus de structures, offrir toujours plus pour agrandir la machine a aspirer les clandestins « migrants ». Aucune limite n’est  posée puisqu’il s’agit du respect du droit de l’enfant, de l’homme…

Le problème est que le réservoir de ces mineurs (et des faux mineurs) est infini, mais l’argent des contribuables ne l’est pas.

La seule manière de mettre fin à ces abus, à cette mascarade du droit d’asile, c’est de le supprimer largement.

A l’origine, le droit à l’asile politique était destiné aux personnes ayant mis leur vie en danger à cause de leurs opinions politiques. La gauche s’est emparée de la cause des « réfugiés » pour des raisons électoralistes, parce qu’être de gauche, c’est vivre sur le sentiment de la culpabilité des citoyens (et, en passant, de leur argent).

De la même manière, les gauchos grappillent partout où ils peuvent l’argent public car le but, la moralité, les principes d’un gaucho se résument à l’ambition d’être élu à un poste bien rémunéré, puis de s’y maintenir le plus longtemps possible, pour des raisons dites humanitaires. Ils s’adaptent à n’importe quelle réalité, mutent s’il le faut.

Un exemple de cette mutation: l’ancienne appellation FAREAS comportait encore un « R » pour « requérant d’asile ». Mais comme l’invasion actuelle n’a plus grand-chose à voir avec les lois de l’asile pour les réfugiés, ils se contentent de renommer l’institution, qui devient EVAM, où le « M » pour « migrant » remplace le « R »

La majorité de ces MNA seront des assistés, des fournisseurs d'emplois aux psychiatres et, au mieux, ils navigueront, toute leur vie, entre petits boulots et chômage-assistance sociale et seront à la charge des contribuables ou encore ils basculeront dans la criminalité, laissant plus de victimes sur leur passage que tous les Suisses réunis  de leur génération.

Nous apprenons au TJ de ce soir (15.11.16) que 60%-80% des MNA présentent des troubles psychologiques.

Mais le TJ ne nous indique pas… le pourcentage des analphabètes, des irrécupérables !

Mais le TJ ne nous indique pas… le pourcentage des jeunes déjà délinquants chez eux !

Mais le TJ ne nous indique pas… le pourcentage des jeunes djihadistes formés par l’EI !

Comme tous ces MNA sont appelés à rester en Suisse (le TJ dit « devenir suisse »… ce qui restera quand même bien relatif), il faudrait faire d’eux une priorité pour y mettre les moyens.

La priorité serait plutôt de cesser d’augmenter les moyens pour les accueillir, et de les renvoyer chez eux manu militari… car un pays mettant ses priorités au soutien de n’importe quel profiteur débarqué, prétérite gravement sa population actuelle et à venir, qui devra assumer les conséquences d’une pareille irresponsabilité !

Cenator, 16 novembre 2016

Suisse : Un coût de 1,37 million pour une famille de réfugiés érythréens. Les communes redoutent une explosion des coûts liés à l’asile.

Dans le canton de Zurich, une famille de réfugiés a déjà coûté aux autorités plus d'un million de francs. Un cas isolé à cette échelle - pourtant, de nombreuses municipalités gémissent sous l'effet de la hausse des coûts.

Une famille de cinq personnes originaires d'Érythrée a coûté 1,37 million de francs suisses à une municipalité zurichoise au cours des cinq dernières années. La raison de ce montant élevé : la famille ne dépendait pas seulement de l'aide sociale, le mariage a été également rompu. En raison de la violence domestique la municipalité a dû louer plusieurs appartements. En outre, le KESB a dû intervenir, tout comme le foyer pour femmes. Cela a également provoqué un coût important.

Combien de personnes dans le secteur de l'asile et des réfugiés reçoivent-elles une assistance sociale ?

En 2018, 31'900 réfugiés ayant obtenu l’asile et 31'800 personnes admises provisoirement - c’est-à-dire des personnes dont la demande d’asile a été rejetée mais qui ne peuvent pas être rapatriées dans leur pays d’origine - bénéficiaient de l’aide sociale.

Par rapport à 2016, ce nombre a augmenté de 10 000 personnes chacun.

En revanche, le nombre de demandeurs d'asile en attente d'une décision et bénéficiant d'une aide sociale a diminué au cours des trois dernières années (voir encadré).

Une comparaison par statut de résidence montre l'image suivante :

 

Quelles nationalités sont particulièrement concernées par l'aide sociale ?

Dans le secteur des réfugiés - réfugiés avec asile, permis B et réfugiés admis provisoirement bénéficiant d'une assistance sociale (permis F) - les Érythréens et les Syriens possèdent les chiffres les plus élevés, avec un taux de 85 % ou plus. Les ressortissants érythréens représentent plus de 50 % des bénéficiaires de l'aide sociale dans le secteur de l'asile.

 

 

Quelle est le succès du processus d'intégration après 5 ans ?

Les statistiques sur l'asile pour 2018 montrent que le nombre de réfugiés qui trouvent un emploi augmente graduellement avec la durée du séjour. Pour les réfugiés reconnus avec un permis B, 7,4 % d'entre eux avaient trouvé un emploi au bout de deux à trois ans, seuls. Après quatre à cinq ans, ce chiffre atteint 26 %, et après plus de sept ans, il s'élève à plus de la moitié.

Le gouvernement fédéral perçoit des obstacles à l'intégration sur les points suivants : "L'acquisition de la langue, les qualifications professionnelles, une bonne santé et un minimum d'intégration sociale et culturelle sont souvent des conditions préalables à une libération complète de l'aide sociale.

Quel est le coût total annuel ?

En 2018, le gouvernement fédéral a versé aux cantons un peu moins d'un milliard pour l'aide sociale aux réfugiés et aux demandeurs d'asile. Cet argent est destiné au logement, à l'accompagnement et aux soins de santé [NDLR : Pendant ce temps, de nombreux Suisses ne parviennent plus à payer les caisses maladie et se privent de soins]. La Confédération verse aux cantons 1 500 francs par an et par personne, plus un montant forfaitaire d'intégration de 18 000 francs par an. "D'un point de vue national, les montants forfaitaires fédéraux couvrent les coûts des cantons", déclare le porte-parole du SEM, Lukas Rieder.

[...]

Cependant, d'autres cas engendrant des coûts très élevés sont connus : La municipalité d'Aarburg, qui a connu des difficultés financières en raison de l'augmentation des dépenses sociales, a fait la une des journaux.  En 2016, selon le «Blick», le "champion" d’Aarburg était une famille irakienne de quatre personnes qui avait reçu jusqu’alors 580 000 francs d’aide sociale.

Pendant ce temps, des problèmes similaires se posent dans les communautés de tout le pays. En effet, pour de nombreuses personnes qui se sont réfugiées en Suisse entre 2014 et 2016, ce sont les communes qui devront payer au cours des deux prochaines années. La Conférence suisse de l'aide sociale prévoit 22 000 réfugiés et personnes admises temporairement supplémentaires en 2022, ce qui entraînera des coûts additionnels élevés. "Dans ce domaine, il est donc nécessaire de mettre en place un mécanisme pour compenser cette évolution", peut-on lire dans un rapport. En d'autres termes : davantage de financement fédéral.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

20min.ch

Nos remerciements à Info


Rappels :

Les demandeurs d’asile algériens posent de graves problèmes, mais la Suisse ne peut pas les expulser

RTS – Boudry, reportage sur la délinquance des requérants d’asile vivant au Centre fédéral de Perreux

La commissaire européenne aux Affaires intérieures plaide pour un mécanisme de solidarité obligatoire dans le pacte européen sur la migration et l’asile

Suisse : Un demandeur d’asile aurait financé l’Etat islamique avec l’aide sociale

Zurich : Un requérant d’asile débouté, déjà condamné à 11 reprises, avoue le viol d’une étudiante. Sa peine est réduite.

Suisse : Un requérant d’asile libyen, voleur de voitures, force deux barrages au Tessin

Lugano : Rixe sanglante au couteau entre demandeurs d’asile (Vidéo)

Suisse: Tous les jihadistes irakiens de l’Etat islamique ont retrouvé la liberté. Ils demandent l’asile et l’aide sociale.

Suisse : l’asile sous la menace djihadiste

Bâle-Ville : 2 Érythréens attaquent les passants.

Le 9 juin, un homme de 39 ans et un autre de 42 ans ont été blessés lors d'une attaque dans la Klybeckstrasse, près de la Matthäusstrasse.

Les enquêtes du ministère public ont révélé que le jeune homme de 39 ans se promenait dans la Klybeckstrasse en compagnie d'une femme lorsqu'il a soudain été attaqué par deux inconnus. Ils l'ont frappé à terre et lui ont asséné des coups de pied.

Par la suite, l'homme de 42 ans a voulu lui venir en aide. Il a également été attaqué et blessé.

Les deux victimes ont dû être admises aux urgences par le service d'ambulance de Bâle-Ville.

Les auteurs ont fui en direction de la Müllheimerstrasse. La police a pu les arrêter peu de temps après. Il s'agit d'un Erythréen de 24 ans et d'un Erythréen de 25 ans.

Le déroulement exact des événements et la raison de l'attaque n'ont pas encore été clarifiés et font l'objet d'une enquête du service d'enquête criminelle. Les personnes qui peuvent fournir des informations pertinentes sont priées de contacter le service d'enquêtes criminelles du ministère public, tél. 061 267 71 11, ou le poste de police le plus proche.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nau.ch

 

Rostock (All.) : Cinq demandeurs d’asile érythréens terrorisent les passants

Dans la matinée, cinq migrants africains (âgés entre 19 et 22 ans) ont traversé la ville en terrorisant les passants.

Sur la place Doberan, ils ont braillé et ont harcelé les femmes. Puis ils sont montés dans un bus, ont crié à une femme d'aller leur chercher des billets au distributeur.

Les ivrognes qui viennent d'Érythrée crachaient partout, ils ont menacé le chauffeur de bus. Puis ils sont descendus à la gare centrale et se sont dirigés vers l'employé de l'entreprise de transport avec les poings levés en lui crachant dessus.

Celui-ci s'est réfugié dans le bus et a fermé les portes à clé. La police a finalement appréhendé les demandeurs d'asile. L'un d'entre eux a résisté, un autre a insulté les fonctionnaires.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Jugement révoltant dans le droit d’asile

Communiqué de presse d'UDC

L’UDC est révoltée par la décision du Tribunal administratif fédéral d’interdire le renvoi en Italie de familles demandant l’asile. Par ce jugement, la justice suisse rompt avec l’accord de Dublin et, de surcroît, contribue à la hausse constante des coûts de l’aide sociale en Suisse.

La majorité des personnes du domaine de l’asile vivent au frais de l’aide sociale, le plus souvent pendant des années, voire des décennies. Cette réalité n’empêche nullement le Conseil fédéral d’interpréter de manière excessivement généreuse la notion de réfugié et d’accorder chaque année à des milliers de nouveaux requérants d’asile un droit de séjour durable en Suisse. Chez les Érythréens, le plus important groupe de requérants d’asile, la quote-part de l’aide sociale dépasse même 90%. Les coûts directs et indirects de cette mauvaise politique d’asile représentent des milliards de francs à charge des contribuables suisses.

Il est d’autant plus choquant que la justice suisse se permette à son tour de miner l’accord de Dublin: le Tribunal administratif fédéral vient en effet de décider que les familles de requérants d’asile ne peuvent plus être renvoyées en Italie bien que, conformément à cet accord, ce pays soit responsable du traitement de ces demandes. Les juges prétendent qu’ils doutent de la capacité de l’Italie d’offrir à ces familles un abri convenable.

Une grande famille nigériane peut rester en Suisse
Le résultat immédiat de ce jugement est que deux familles nigérianes – dont une compte neuf membres – peuvent rester en Suisse. D’autres suivront forcément, provoquant du même coup des coûts exorbitants non seulement pour l’aide sociale, mais aussi pour l’instruction publique, la santé publique, voire éventuellement pour les services de protection des enfants et des adultes.

L’UDC exige une application rigoureuse de la législation sur l’asile et de l’accord de Dublin. S’il s’avère que l’Italie ne répond effectivement pas à ses obligations en termes d’accueil des requérants d’asile, le Conseil fédéral devra agir dans le cadre de l’organisation de l’accord de Dublin ou directement auprès du gouvernement italien. Il n’est pas acceptable que la Suisse joue les élèves modèles en respectant à la lettre cet accord et qu’elle doive en plus en subir les frais.

source:

Suède : 4 Érythréens accusés d’avoir frappé et violé une fille de 13 ans dans des toilettes

Photo d'illustration issue de Youtube

Selon l'acte d'accusation, le 6 juin, les quatre Africains ont attaqué la jeune fille de Hallsberg et l'ont violée.

"Les rapports ont été précédés de violences. Au moins deux des accusés ont agrippé la nuque et l'épaule de la plaignante, lui ont cogné la tête contre un mur et l'ont poussée dans des toilettes. La victime a été poussée vers le bas et maintenue contre le sol pendant que les accusés avaient des rapports vaginaux avec elle", indique l'acte d'accusation.

Selon le procureur, la fille de 13 ans était en état d'ébriété, les Africains auraient exploité la situation. Elle a souffert de douleurs abdominales à cause du viol, de «contusions à l'épaule, aux bras, aux mains et aux genoux [...] ».

L'un des hommes est également accusé d'avoir filmé pendant qu'il violait la jeune fille et d'avoir commis des infractions de pornographie enfantine.

Le procureur demande à ce que les quatre personnes soient expulsées en Afrique si elles sont reconnues coupables du crime, avec interdiction de retourner en Suède pour une période 15 ans.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Twnews.seSvt.se / Nyatider.nu

Suisse. asile : Un requérant érythréen sur cinq est « né » un 1er janvier

C'est une situation surréaliste qui prévaut chez les requérants d'asile d’Érythrée. Pour ceux dont on doute de l'âge, l'administration fédérale fixe la naissance au début d'une année. En dix ans, cela en fait beaucoup.

18,5%

L'élue zurichoise voulait savoir combien de requérants érythréens étaient nés un 1er janvier et cela depuis dix ans. «Entre le 1er janvier 2010 et le 31 août 2019, a expliqué la ministre, un total de 42 378 Érythréens ont demandé l'asile. Parmi eux, 7837 ou 18,5% sont enregistrés avec la date de naissance le 1er janvier.» Ce qui fait environ un ratio de près de 1 sur 5. Evidemment, le fait qu'ils soient «enregistrés» ainsi ne signifient pas qu'ils soient nés ce jour-là... C'est la fausseté de cette information que l'élue de l'UDC semble vouloir mettre en évidence.

[...]

Le Matin

Nos remerciements à Wilhou.ch

Suisse : les cantons et les communes devront faire des économies pour couvrir les dépenses de l’asile « Les Érythréens n’ont pas l’habitude de travailler huit heures par jour »

Article qui dévoile les manœuvres de la gauche et de Burkhalter à l'encontre du peuple suisse sous couvert "d'humanitaire".

On rappelle que Sommaruga a été l'instigatrice de la venue de migrants qui attendaient en Libye et que Burkhalter a défendu bec et ongles les Erythréens. Ceux-ci provoquent pourtant de graves problèmes financiers aux communes suisses ainsi que des problèmes de sécurité récurrents, outre le fait que nombre d'entre eux sont venus profiter de notre pays sans aucun scrupule.

D'autre part, subitement, la "pression est contre-productive" pour faire travailler ces "réfugiés" selon certains de nos politiciens. Mais le système helvète peut compresser les Suisses et exiger d'eux une flexibilité à toute épreuve lorsqu'il s'agit de recherches d'emplois. C'est ainsi que notre Confédération traite sa propre population : en la discriminant.

**********

 

Le gouvernement fédéral cessera bientôt de verser de l'argent pour de nombreux réfugiés. Les coûts supplémentaires sont à la charge des communes et des cantons. Au lieu de rénover l'école, de soutenir les clubs ou de construire la cour de récréation, il faudra faire des économies pour couvrir les dépenses croissantes des réfugiés.

Il y a moins de réfugiés qui arrivent en Suisse qu'auparavant. Mais ce n'est que maintenant que les conséquences de la vague de réfugiés de 2015 ont réellement un impact sur les cantons et les communes, comme le rapporte le "SonntagsZeitung". A partir de l'année prochaine, ils devront supporter les frais de ceux qui sont venus en Suisse à cette époque. Les coûts supplémentaires se montent à un milliard de francs.

Cette énorme redistribution des dépenses s'explique par le fait que le gouvernement fédéral se retire du financement des réfugiés reconnus et des personnes admises provisoirement après cinq et sept ans respectivement. Cela signifie que les 50 francs versés par la Confédération (par jour et pour chaque réfugié), qui couvraient les coûts de l'aide sociale et les soins, ne seront plus effectifs.

[...]

Il faut plus de temps pour l'intégration

Pour certaines municipalités, cependant, les dépenses supplémentaires liées à l'aide sociale en matière d'asile constituent déjà un problème. Par exemple, au lieu de rénover les bâtiments scolaires ou d'apporter un soutien financier aux associations, les coûts croissants de l'asile doivent être résorbés. Les hausses d'impôts menacent. Entre-temps, même la ville de Berne, qui se situe à gauche sur le plan politique, tire la sonnette d'alarme.

Une solution consisterait à ce que le gouvernement fédéral prenne en charge ces coûts plus longtemps. Toutefois, jusqu'à présent, le Conseil fédéral n’a pas voulu entrer en matière à ce sujet.

[...]

Le taux d'aide sociale pour les réfugiés admis temporairement, qui résident en Suisse depuis 7 ans au maximum, est de 87%.

Renate Gautschy (PLR), présidente du conseil communal de Gontenswil AG, [...] est sceptique : Un délai de cinq à sept ans ne suffirait pas pour les intégrer. Les Érythréens n'ont pas l'habitude de travailler huit heures par jour.

"L'intégration demande de la patience. La pression est contre-productive", a déclaré Madame Gautschy au SonntagsZeitung.

 

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Rappels :

Réfugiés mineurs de Somalie et d’Erythrée en Suisse, les éducateurs n’en peuvent plus : les migrants réclament même du Dolce & Gabbana

Simonetta Sommaruga veut que la Suisse mette sur pied une opération de secours pour les « réfugiés » des centres de détention libyens.

Suisse : La socialiste Ada Marra vole au secours de l’Érythréenne qui refuse de faire un apprentissage. « C’est inacceptable de stigmatiser cette population. »

Sommaruga exclut de renvoyer les Érythréens

Suisse: Des Erythréens trichent avec le regroupement familial pour mieux piller la Suisse. La situation est cachée au grand public.

Argovie: Une famille érythréenne saccage l’appartement pour 13’000.- et ne s’intègre pas. Pour le PS, c’est la faute au manque de moyens.

« Réfugiés persécutés » d’Erythrée: Ils retournent en vacances chez eux. Comment la Suisse se fait gruger.

Burkhalter refuse de renvoyer les Érythréens: "la Suisse est le pays des droits de l'homme et des Conventions de Genève".

Lorsque Burkhalter prend la défense des Erythréens sur le dos du peuple suisse

 

Suède. Bromma : 4 migrants africains violent une femme handicapée par voie vaginale et anale

Le viol a eu lieu les 5 et 6 mai 2018. Selon les chefs d’accusation, les quatre Africains ont violemment forcé la femme handicapée à avoir des relations sexuelles anales et vaginales.

Les hommes ont tenu la femme par ses bras et ses jambes pendant la violence, provoquant de grandes contusions sur son corps. Le viol très douloureux a également causé “une fissure dans la région de l’abdomen de la femme”, écrit le procureur.

Il ajoute que la femme s’est retrouvée dans une situation particulièrement vulnérable “en partie à cause de son trouble du développement, en partie parce qu’elle était seule avec quatre individus dans un environnement inconnu”.

En tant que telle, l’infraction est caractérisée comme particulièrement impitoyable et cruelle. Le procureur déclare que tous les quatre seront expulsés s’ils sont reconnus coupables.

Fria Tider a demandé une réponse au procureur de chambre Helena Wigilius, mais selon le bureau du procureur, elle n’est pas disponible pour commenter l’affaire avant vendredi prochain.

Voice of Europe /Friatider.se

Via Madame Suavelos.eu

Suisse : Une commune refuse qu’une Érythréenne fréquente l’école secondaire car sa famille est au social. La famille obtient gain de cause et les Suisses vont devoir passer à la caisse.

Christian Hofer : Combien de familles suisses, dépourvues d'aides sociales, ont-elles dû obliger leurs enfants à faire un apprentissage en raison d'impératifs économiques sans que cela ne gêne nos politiciens? Et cela alors que cette Érythréenne dont la famille n'a jamais cotisé un sou a droit à tous les égards. Évidemment, l'avocat de la famille a été payé par nos impôts.

Dans les faits, cette fille va rester encore très longtemps à la charge du social puisqu'on sait que les Érythréens sont incapables de s'intégrer et ne possèdent pas de qualifications professionnelles. Les cons de Suisses vont donc devoir financer les études et se taire pour que Mademoiselle puisse accéder à ce qui lui fait plaisir, un apprentissage n'étant pas assez bien. Mais pour les Suisses démunis oui!

Derrière cette situation scandaleuse se cachent évidemment Sommaruga et Burkhalter qui ont milité de tout leur poids pour l'accueil de ces migrants érythréens tout en sachant qu'ils provoqueraient une pression considérable sur nos finances.

Pendant ce temps, voici ce qui se passe pour les Suisses :

 

**********

 

Une jeune fille de 16 ans s'est vu interdire l'école de culture générale par la commune de Kerns, dans le canton d'Obwald. Motif: ses parents, d'origine érythréenne, sont à l'aide sociale.

Les autorités ont signifié leur décision à la famille dans une lettre écrite dans laquelle elles précisent qu'un enfant dont la famille est au social doit pouvoir subvenir à ses besoins le plus vite possible grâce à l'éducation. La commune a du coup conseillé à la jeune fille de se lancer dans un apprentissage dans le domaine de la santé. Et si elle persiste dans son idée de suivre l'école souhaitée, l'allocation mensuelle de ses parents sera réduite de 400 francs.

Il aura fallu l'intervention d'un avocat et des mois de querelles juridiques pour que les autorités de Kerns reviennent en arrière sur leur décision et permettent à la jeune fille de suivre la formation de son choix. Elle fréquente aujourd'hui l'école cantonale à Sarnen et ses bonnes notes lui permettront d'intégrer ensuite le gymnase.

20Minutes.ch

Nos remerciements à Wilhelm

 

Rappels:

Sommaruga exclut de renvoyer les Érythréens

Réfugiés mineurs de Somalie et d’Erythrée en Suisse, les éducateurs n’en peuvent plus : les migrants réclament même du Dolce & Gabbana

Suisse: Des Erythréens trichent avec le regroupement familial pour mieux piller la Suisse. La situation est cachée au grand public.

Argovie: Une famille érythréenne saccage l’appartement pour 13’000.- et ne s’intègre pas. Pour le PS, c’est la faute au manque de moyens.

Suisse: Selon le consul honoraire suisse, 99% des réfugiés Érythréens sont des migrants économiques. Il propose 15’000.- pour l’aide au retour!

Berne. Les Érythréens manifestent « La Suisse doit annuler le durcissement de sa politique d’asile. »

La Confédération doit annuler le durcissement de sa politique d'asile envers les Erythréens.

Environ 1500 Erythréens ont manifesté vendredi sur la Place fédérale et remis une pétition avec plus de 12'000 signatures à l'attention de Simonetta Sommaruga.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Hans Peter

 

Rappels:

Suisse: Des Erythréens trichent avec le regroupement familial pour mieux piller la Suisse. La situation est cachée au grand public.

La confédération aurait dépensé 289 millions pour les Erythréens en 2015

Suisse: Ada Marra et ses petits copains de gauche s’opposent à l’expulsion des requérants Erythréens

Suisse: Selon la loi, de nombreux Érythréens n’auraient pas dû bénéficier de l’asile!

Rediff : Près de 90% des Erythréens ayant obtenu l’asile en Suisse touchent l’aide sociale

 

 

 

Suisse: Des Erythréens trichent avec le regroupement familial pour mieux piller la Suisse. La situation est cachée au grand public.

A la lecture de cet article de la Bazonline.ch, on comprend mieux qu'un tel journal dérangeait énormément les censeurs qui foisonnent plein de haine dans la presse romande, la publication de la vérité leur posant un énorme problème.

**********

Les Erythréens ont triché en matière de regroupement familial. Les peines sont anodines.

L'année dernière, 4208 personnes sont arrivées en Suisse dans le cadre du regroupement familial dans le domaine d'asile - un tiers de plus qu'en 2016 et plus que jamais au cours des dix dernières années. Plus de 80% d'entre eux étaient constitués d'enfants. Quant aux autres, il s'agissait principalement des conjoints.

Le regroupement familial intervient dans le cadre de "l'unité familiale", à laquelle les réfugiés reconnus en particulier ont droit.

Plus de la moitié des proches sont arrivés d'Érythrée. Depuis un certain temps cependant, les indices se multiplient mettant en lumière que de nombreux membres de la famille ne sont en vérité pas des parents proches des réfugiés vivant ici.

On dit que dans ce domaine, on ment effrontément. Des cas concrets sont connus du grand public, mais seulement quelques-uns. La protection des données principalement empêche que les informations pertinentes deviennent publiques.

La Basler Zeitung a pu avoir accès à une ordonnance pénale et donc comprendre le contexte d'un cas où les demandeurs d'asile ont délibérément trompé les autorités et qui ont obtenu le regroupement de personnes qui n'étaient pas membres de la famille.

L'Érythréen D. * est arrivé en Suisse fin 2008 et a demandé l'asile. Il prétendait ne pas avoir de papiers, son identité n'a donc pas pu être vérifiée. Néanmoins, le gouvernement fédéral a approuvé sa demande en 2010, ce qui signifie que D. a obtenu un permis de séjour en tant que réfugié reconnu. Dès le premier interrogatoire effectué par le gouvernement fédéral, D. avait déclaré avoir une compagne en Érythrée et une fille, alors âgée de deux ans. En 2011, la femme et l'enfant ont pu le rejoindre en Suisse par avion.

La femme avait précédemment obtenu un visa d'entrée à l'ambassade de Suisse en Ethiopie. Comme on l'a su plus tard, elle avait donné un faux nom et une fausse date de naissance. Elle s'était vieillie de dix ans.

La compagne de D. et la fille qu'ils avaient prétendument eue ensemble ont également obtenu le statut de réfugié en Suisse. Auparavant, le couple a déclaré dans un interrogatoire qu'ils avaient eu un autre enfant ensemble en Érythrée - un fils nommé B., qui avait 13 ans à l'époque. En 2013, le fils présumé s'est rendu seul en Suisse. Comme on l'a appris plus plus tard, il a effectué le voyage sous un faux nom - sur recommandation de sa mère présumée, qui se trouvait déjà en Suisse.

Le migrant n'aurait pas été reconnu comme réfugié par le gouvernement fédéral. Mais parce qu'il était censé être le fils d'une famille qui vit déjà ici, il a également été «reconnu sans hésiter» comme réfugié, comme le stipule l'ordonnance pénale. La famille constituée de 4 personnes vivait dans la communauté d'Aarburg et vivait de l'aide sociale.

Le fils était en réalité le frère du demandeur d'asile

Plus tard, il s'est avéré que tout cela n'était que des mensonges. La fille était effectivement l'enfant biologique du père D., mais pas de sa partenaire de vie. Et B. n'était pas le fils du couple, mais le frère du prétendu père D. Son nom était en réalité S. La prétendue mère avait menti sur son âge car la petite différence d'âge avec S. aurait démontré qu'il ne pouvait pas être son fils.

Le faux fils a coûté beaucoup d'argent aux contribuables d'Aarburg. D'une part après son arrivée, la famille était composée de 4 personnes et avait donc droit au remboursement intégral du loyer de son appartement (1'210 francs par mois). De plus, la famille a perçu davantage d'aide sociale.

Selon l'ordonnance pénale, la perte financière pour Aarburg jusqu'à l'âge de la majorité du «fils» en 2016 a été d'au moins 14'000.francs.

Prison avec sursis

Par la suite, en tant que bénéficiaire de l'aide sociale adulte, il a coûté à la communauté environ 1'800 francs par mois, soit un total d'environ 21'600 francs. Ce n'est que récemment qu'Aarburg a fait les gros titres, les dépenses de l'aide sociale continuant à augmenter, menaçant l'existence de la communauté.

Avec 5,7 millions de francs par an, les coûts sociaux représentent désormais un tiers des recettes fiscales d'Aarburg.

En février dernier, le ministère public d'Aargau a condamné l'Érythréen D. par ordonnance pénale pour fraude et tromperie des autorités. La sanction: six mois de prison avec sursis ainsi qu'une amende de 1500 francs, qui avec les frais pénaux et les autres frais, s'élève à un total de 6'750 francs.

On ne sait pas si le frère de D., qui a obtenu l'asile ici en tant que fils présumé, a eu affaire aux autorités judiciaires et s'il a pu continuer à rester en Suisse.

Les documents consultés par la Basler Zeitung ne révèlent pas non plus si la partenaire de D. aurait pu voyager en Suisse en sachant qu'elle n'était pas la mère de la fille.

On peut supposer que la punition pour les fausses informations visant le regroupement familial n'impressionne guère l'Érythréen D.. Les peines d'emprisonnement avec sursis ont souvent peu d'effet sur les personnes provenant de cultures où le traitement est beaucoup plus dur. En outre, puisqu'il ne possède pas d'argent et qu'il vit de l'aide sociale, il pourrait ne pas rembourser les 6'750 francs qu'il doit payer.

 

Source et article complet Traduction libre Schwarze Rose et Christian Hofer pour Les Observateurs.ch 

Nos remerciements à Info

 

Rappel:

« Réfugiés persécutés » d’Erythrée: Ils retournent en vacances chez eux. Comment la Suisse se fait gruger.

Sommaruga exclut de renvoyer les Érythréens

Suisse: Ada Marra et ses petits copains de gauche s’opposent à l’expulsion des requérants Erythréens

La confédération aurait dépensé 289 millions pour les Erythréens en 2015

Scandale des faux réfugiés Erythréens. La Commission de gestion du Conseil national ne fait pas son travail.

Les juges fédéraux s’opposent au renvoi de jeunes Erythréens. « Il y a systématiquement des recours contre les expulsions. »

 

Berne examine le sort de 3200 Erythréens

La Confédération recontrôle les dossiers de 3200 des 9400 réfugiés érythréens admis à titre provisoire. Certains pourraient être renvoyés.

Actuellement, la Suisse ne peut imposer le renvoi d'aucun Erythréen dans son pays d'origine. Le gouvernement érythréen ne montre pas de volonté à accueillir ses ressortissants qui ont fui. Et il n'existe pas d'accord de réadmission.

Source et article complet

Nos remerciements à Christelle B.

 

Rappels:

La Suisse reprend sa collaboration avec l’Erythrée. Le Consul suisse est un ami personnel du dictateur.

La Suisse soutient des projets de coopération en Erythrée

 

 

Suisse: Ada Marra et ses petits copains de gauche s’opposent à l’expulsion des requérants Erythréens

Depuis deux ans, Berne a durci sa pratique. Près de 15% des demandes d’asile sont désormais refusées.

Les pétitionnaires, dont plusieurs personnalités politiques comme le conseiller aux Etats Robert Cramer (Les Verts/GE), les conseillères nationales Ada Marra (PS/VD), Adèle Thorens (Les Verts/VD) ou l’ancien conseiller national Claude Ruey (PLR/VD), demandent que la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga intervienne auprès du Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) pour qu’il assouplisse sa pratique, et accorde une protection aux requérants érythréens. Bref, le retour à la situation qui prévalait jusqu’en 2015, et cela avec effet immédiat et rétroactif.

(...)

Environ 25 % des demandeurs d’asile en Suisse viennent d’Erythrée.

Action citoyenne pour une politique d’asile digne de la Suisse :

Groupe d’Appui aux Réfugiés (GAR), Bex ; Groupe d’accueil des Migrants d’Epalinges (GAMEP) ; Groupe Accueil Migrants de la Vallée de Joux (GAMVJ ) ; Coordination Asile et Migration Nord Vaudois (CAMINV) ; Association Ste-Agnès, Leysin ; Versoix accueille ; Stopexclusion, Genève ; elisa-asile, Genève ; Solidaritätsnetz Bern ; Give a Hand, Bern.

Comité de soutien:

· Veronica Almedom, membre de la Commission fédérale des migrations, co-directrice d’IFE (Information Forum for Eritrea)

· Associazione DaRe-Diritto a Restare, Ticino

· Centre social protestant (CSP) Vaud

· Collectif R, Vaud

· Communauté S. Egidio, Lausanne

· Coordination asile.ge

· Robert Cramer, conseiller aux États, GE, Les Verts

· Jean-Michel Dolivo, député au Grand Conseil, VD, Solidarités

· Droit de rester, Vaud

· Eglise évangélique réformée du canton de Vaud (EERV)

· Balthasar Glättli, conseiller national, ZH, Les Verts

· Ada Marra, conseillère nationale, VD, PS

· Lisa Mazzone, conseillère nationale, GE, Les Verts

· Maurice Mischler, syndic, Epalinges, député au Grand Conseil, VD, Les Verts

· Luc Recordon, ancien conseiller aux États, municipal, Jouxtens-Mézery (VD), Les Verts

· Claude Ruey, ancien conseiller d’État et ancien conseiller national, VD, PLR

· Secrétariat romand de l’Entraide Protestante Suisse (EPER)

· SOS Asile Vaud

· Adèle Thorens, conseillère nationale, VD, Les Verts

Source et article complet Source2 Source3

Rappels:

La Confédération aurait dépensé 289 millions pour les Erythréens en 2015

Scandale des faux réfugiés Erythréens. La Commission de gestion du Conseil national ne fait pas son travail.

Tessin: une Érythréenne chute du sixième étage. Son compatriote est soupçonné de l’avoir tuée. Il avait déjà tenté de la tuer.

Suisse. Argovie. Une Commune totalement dépassée par la violence d’un jeune réfugié Érythréen.

Argovie: Un Erythréen blesse grièvement sa femme à coups de couteau

Argovie: Les demandeurs d’asile érythréens attaquent le service de sécurité du centre pour requérants

Lausanne: L’Érythréen, déjà coupable d’autres délits, avait violé une adolescente de 15 ans lors d’une fête de Noël

Suisse: Selon la loi, de nombreux Érythréens n’auraient pas dû bénéficier de l’asile!

Près de 90% des Erythréens ayant obtenu l’asile en Suisse touchent l’aide sociale

La confédération aurait dépensé 289 millions pour les Erythréens en 2015

La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga doit prendre la position au sujet du coût de l'asile.

Les demandeurs d'asile érythréens sont un constant et brûlant sujet au parlement fédéral. En effet, la conseillère nationale UDC zürichoise Barbara Steinemann a demandé que S. Sommaruga dévoile ce qu'ont coûté en aides sociales les Erythréens en 2015. Selon les comptes de Barbara Steinmann, la facture se monterait à 596 millions de francs pour 33'130  érythréens.

Suite en allemand

Argovie. Brugg: Des demandeurs d’asile arrêtés après des agressions contre des passants.

Hier soir à la gare de Brugg, un groupe de jeunes prenait à partie les passants et les agressait.

Deux passants ont été légèrement blessés par des coups et des bouteilles en verre. La police a arrêté trois demandeurs d'asile érythréens soupçonnés d'être les auteurs.

Le samedi 12 août, peu après 23 heures, le centre d'urgence cantonal a reçu un message concernant une rixe à la gare de Brugg. Immédiatement plusieurs patrouilles de police se sont déplacées. Sur place, elles ont rencontré un Suisse âgé de 41 ans et un homme âgé de 34 ans originaire du Sri Lanka. Les deux individus ont subi des saignements. Une ambulance a amené les deux victimes à l'hôpital de Baden pour un examen approfondi.

Quatre jeunes hommes ont été désignés comme suspects. La police a trouvé trois d'entre eux à la gare et les ont arrêtés. Ce sont des demandeurs d'asile érythréens âgés entre 19 et 25 ans. Deux d'entre eux étaient manifestement saouls. Le quatrième complice, encore inconnu, a pu disparaître avant l'arrivée de la police. Il est recherché.

D'après les premières constatations, les quatre hommes ont accosté des gens au hasard à la gare de Brugg, y compris les deux futures victimes. Après avoir blessé l'homme de 34 ans avec une bouteille de bière au niveau de la tête, ils ont frappé l'individu de 41 ans et lui ont jeté une bouteille de whisky.

La police cantonale argovienne a débuté ses enquêtes afin d'élucider les circonstances exactes.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

Scandale des faux réfugiés Erythréens. La Commission de gestion du Conseil national ne fait pas son travail.

Scandale des faux réfugiés Erythréens. La Commission de gestion du Conseil national ne fait pas son travail.

On vient d'apprendre que la Commision de gestion du Conseil national a refusé d'entendre un informateur dans l'affaire des faux réfugiés érythréens qui rentrent dans leur pays pour y faire des vacances alors qu'ils prétendent qu'ils y sont gravement menacés. Dans de nombreux cas, ils ont prétendu ne pas posséder de papiers d'identité lorsqu'ils sont venus illégalement en Suisse, mais disposent maintenant des documents nécessaires pour un aller-retour. Cette décision prise sur une base idéologique (les immigrationnistes au sein de la commission l'ayant emporté par 4 voix contre 3), est un cas flagrant de refus de faire son travail et d'incroyable imbécillité, selon la Basler Zeitung.

http://bazonline.ch/schweiz/standard/Blinde-Ideologie-frisst-Vernunft/story/11851626

Traduction (Claude Haenggli) : La naïveté avec laquelle certains politiciens à Berne traitent le problème des réfugiés érythréens ne peut s'expliquer que par une perte du sens de le réalité et la volonté avérée de nier les faits. Le Secrétariat d'Etat à l'immigration n'est manifestement pas disposé ou pas capable de faire toute la lumière sur cette affaire controversée et d'informer correctement l'opinion publique. Le manque de transparence encourage pourtant la propagation de rumeurs, attise la colère populaire et empoisonne le climat politique.

Claude Haenggli, 4.7.2017