Zurich : Des enseignants n’osent pas critiquer l’islam de peur d’être traités de racistes

Le terme "islamiste" est déconseillé" - Dans certaines écoles de Zurich, le fondamentalisme musulman est un sujet tabou.

A Zurich, certains enseignants n'osent pas aborder ouvertement l'islamisme et la migration. Le sujet est tabou dans les manuels scolaires et dans les universités.

En octobre dernier, dans une banlieue de Paris, l'enseignant Samuel Paty a été décapité par un islamiste pour avoir montré en classe les caricatures de Mahomet provenant du magazine satirique "Charlie Hebdo". Depuis lors, l'influence de l'islam et de l'islamisme sur les écoles publiques a été débattue dans certains pays européens.

De nombreuses personnes se demandent si des sujets tels que la liberté d'expression, le conflit au Moyen-Orient ou l'Holocauste peuvent être discutés ouvertement en classe, et dans quelle mesure une image patriarcale des femmes façonne le quotidien scolaire.

La situation à Zurich n'est pas comparable à celle de la France. Là-bas, des conflits surgissent sans cesse dans la vie quotidienne de l'école parce que les élèves musulmans rejettent le concept de laïcité. En 2018 déjà, l'institut de sondage Ifop avait constaté qu'un peu moins de 40 % des enseignants français s'étaient déjà autocensurés en classe pour éviter de tels conflits avec les élèves.

L'association des enseignants zurichois, en revanche, ne voit pas de problèmes structurels liés à la religion, selon son président Christian Hugi. Il décrit ces incidents comme des "cas individuels" qui peuvent généralement être résolus lors de discussions. L'association des organisations islamiques de Zurich (VIOZ) n'a pas non plus connaissance, à l'heure actuelle, de cas concrets de conflits dans les écoles en rapport avec l'islam.

Cependant, si l'on creuse un peu plus, on entend des enseignants zurichois dire que le sujet est assez virulent. Mais presque personne ne veut faire de commentaires publics à ce sujet.

Tabou dans la formation des enseignants

Quelle est la raison de cette réticence ? Certains éléments indiquent que le tabou des problèmes liés à l'Islam s'est transformé en une sorte d'angle mort institutionnalisé. Cette impression est donnée, entre autres, par le guide "Genre et diversité dans la communication" publié en 2018 par la Haute École intercantonale d'éducation spécialisée basée à Zurich.

Plusieurs enseignants rapportent à la NZZ que les sujets de la migration et de l'islam sont déjà tabous pendant la formation des enseignants. Le politicien et enseignant UDC zurichois Stefan Urech a perçu le traitement de cette question à la Haute école pédagogique de Zurich (PHZH) comme "hautement politisé" : "Le multiculturalisme y est présenté exclusivement sous ses aspects positifs. Je n'ai pas connu de dialogue ouvert à ce sujet." Il aimerait voir davantage d'études sur le sujet. Toutefois, selon lui, il est essentiel que les enseignants soient interrogés de manière anonyme afin qu'ils ne subissent pas de pression pour donner des réponses politiquement correctes.

(...)

Les manuels laissent de côté les questions essentielles

Les manuels publiés par Lehrmittelverlag Zürich remettent également en question la possibilité de mener un discours ouvert sur l'éducation. Il y a quelques années déjà, l'éditeur a été critiqué par les partis bourgeois du Conseil cantonal : son matériel pédagogique était coloré idéologiquement par la gauche. Les publications sur le thème de l'Islam soulèvent également des questions d'équilibre.

Le manuel "Blickpunkt 3 - Religion und Kultur" (accent 3 - religion et culture) est destiné à familiariser les élèves du secondaire avec les religions du monde. Sous le titre "Die Scharia – den richtigen Weg finden", les auteurs consacrent une double page à la jurisprudence islamique. Il explique comment "les meilleurs érudits" discutent de questions controversées sur la base du Coran et des hadiths et parviennent à un verdict. Le fait que dans certains pays arabes, ces jugements conduisent à des châtiments corporels tels que la lapidation ou la flagellation n'est pas mentionné. Il n'est pas non plus fait mention du système des fatwas, dans lequel des érudits appellent au meurtre des détracteurs de l'islam sur la base de la charia.

L'encadré d'information sur le sujet du «Jihad» reste vague: alors que le «Grand Jihad» est décrit comme «l'effort intérieur des gens pour être le plus proche possible de Dieu», le «Petit Jihad» est détaillé ainsi : «Il y a des musulmans radicaux qui interprètent le jihad de telle manière qu'ils sont censés attaquer les non-croyants afin de faire d'imposer la domination de l'islam." La grande majorité des musulmans rejette cette conception.

Le manuel fait sans cesse référence à cette "majorité de musulmans" qui s'intègre sans problème. Le fait que l'influence des minorités sur les normes applicables est également importante pour les sociétés n'est pas débattu.

Le livre d'accompagnement destiné aux enseignants est encore plus clair : il n'y a "aucune raison de croire que les musulmans ne peuvent pas s'intégrer dans les sociétés occidentales démocratiques". Il convient d'insister sur ce point, car dans l'Islam, comme dans d'autres religions, il existe aussi des "personnes ou des groupes" qui ont des opinions fondamentalistes et "reçoivent souvent beaucoup d'attention dans les médias".

Les enseignants craignent d'être accusés de racisme

On peut se demander si les enseignants peuvent oser critiquer publiquement l'influence de l'Islam sur la vie quotidienne de l'école dans une telle atmosphère. Nous avons parlé à quatre enseignants zurichois dans le cadre de cette recherche, à savoir qu'ils ne veulent pas faire de commentaires par crainte de détriments professionnels et d'accusations de racisme, à l'exception du politicien UDC Stefan Urech.

Pourtant en principe, ils ne rejettent pas l'immigration ni l'islam. Par exemple, une enseignante de l'école secondaire de Winterthur affirme que les histoires personnelles de migration des élèves pourraient enrichir les cours. Néanmoins, une image unilatérale est parfois véhiculée dans la formation des enseignants : Lorsque les étudiants arrivent ensuite dans les écoles, ils sont dépassés et surpris de constater que le multiculturalisme peut être non seulement un enrichissement mais également un fardeau.

Les problèmes se posent surtout avec les garçons issus de familles musulmanes ayant un faible niveau d'éducation. En tant que femme, vous devez clarifier le rapport de force dès le départ et les affronter pour être prise au sérieux. Les jeunes enseignantes, en particulier, trouvent souvent cela difficile. Un jour, un élève musulman a déclaré à une collègue féminine : "Je ne reçois pas d'ordres des femmes. Il s'agit d'une exception, mais cela arrive.

Dans beaucoup de ces familles, les mères n'ont pas grand-chose à dire sur l'éducation, elles sont surtout responsables du bien-être physique, dit l'enseignante. En général, seuls les pères, qui sont terriblement fiers de leurs fils, se présentent aux réunions parents-enseignants. Si les pères sont confrontés au fait que les choses ne vont pas aussi bien à l'école qu'ils le pensent, on doit faire attention à ne pas blesser leur fierté.

Au cours de sa formation d'enseignant, Stefan Urech, politicien de l'UDC, a également fait l'expérience de la façon dont les visions du monde musulman peuvent changer l'enseignement quotidien. Lors d'un stage dans une école secondaire de Winterthur, il a remarqué pour la première fois à quel point il était privilégié en tant qu'homme dans certaines situations. "Mes collègues féminines devaient faire beaucoup plus d'efforts pour obtenir le respect et l'attention des étudiants musulmans que l'on me donnait naturellement."

Les "raisons culturelles" comme excuse

Même avec des élèves plus jeunes, une interprétation stricte de l'Islam conduit souvent à des conflits, nous dit une pédagogue lors d'une conversation. Elle travaille dans une école primaire de la région de Zurich, qui accueille de nombreux élèves issus de l'immigration musulmane. Elle aussi ne veut pas que son nom soit visible dans le journal. Trop souvent, dit-elle, elle s'est heurtée au rejet de ses collègues ou a été accusée de racisme lorsqu'elle a tenté de susciter un discours critique sur l'islam. Pourtant, elle est elle-même issue de l'immigration ; ses parents, âgés d'une quarantaine d'années, sont originaires du Chili.

Il y a quelques années, elle a encadré une jeune fille musulmane originaire de Somalie qui ne participait jamais aux fêtes de classe et autres événements. Elle a noté "plus de contacts avec les pairs" comme objectif de soutien. Cependant, la mère a réagi de manière indignée à ce sujet lors de l'entretien avec les parents. L'objectif de soutien a été abandonné. Rien n'a changé pour la jeune fille, mais pour la pédagogue : le cas lui a été retiré et c'est désormais une collègue qui en est responsable.

La psychologue scolaire qui a pris cette décision a invoqué des "raisons culturelles". Peu de temps auparavant, la mère musulmane avait regretté que "la charia ne s'applique pas encore ici". . .". Pour la pédagogue, la raison pour laquelle la fille doit rester isolée est évidente : Les parents auraient voulu empêcher tout contact avec les "non-croyants" et craignaient que, lors des nuitées avec la classe, les enfants ne soient pas strictement séparés selon leur sexe.

Certains sujets sont exclus de l’enseignement

Une autre fois, la pédagogue a lu en classe un extrait d'un livre de mythes scandinaves. Un élève musulman de quatrième année s'est opposé avec véhémence à l'idée qu'il y ait plus d'un Dieu. Dans de telles situations, elle entend presque toujours les autres enseignantes dire qu'il faut l'accepter, car "c'est comme ça dans leur culture". Néanmoins, elle essaie d'échanger des idées avec ses collègues - même après l'assassinat de Paty. Mais sa suggestion de commémorer la victime du meurtre dans la salle des professeurs par une minute de silence a été rejetée.

Mais sa suggestion de commémorer la victime du meurtre dans la salle des professeurs par une minute de silence a été rejetée.

 

La pédagogue parle d'un "aveuglement" du corps enseignant. Au nom d'une supposée tolérance, certains sujets politiques ont été exclus, tandis que d'autres, comme le mouvement "Black Lives Matter" aux États-Unis, ont bénéficié de cours entiers. À cela s'ajoute la crainte d'une éventuelle agression de la part des parents musulmans. Pour cette raison, la directrice n'a pas voulu parler publiquement de ces problèmes. En privé, cependant, la directrice est d'accord avec elle sur de nombreux points. La pédagogue déclare : "Le sujet de l'islam vous isole."

 

À cela s'ajoute la crainte d'une éventuelle agression de la part des parents musulmans.

 

 

Détourner le regard est dangereux

Susanne Wiesinger, institutrice viennoise, connaît également ce sentiment d'isolement. Son cas illustre pourquoi les enseignants osent rarement critiquer publiquement l'influence de l'islam. En 2018, Susanne Wiesinger a publié le livre "Kulturkampf im Klassenzimmer : Wie der Islam die Schulen verändert" (Guerre culturelle dans la salle de classe : comment l'islam change les écoles), qui a fait grand bruit en Autriche. Après sa publication, la plupart de son entourage s'est détourné d'elle, déclare Susanne Wiesinger. Seuls quelques amis proches sont restés. Sur le plan professionnel aussi, elle a dû supporter des inconvénients : Certains collègues la considéraient comme raciste ou islamophobe. D'autres sont d'accord avec elle et sont reconnaissants que "quelqu'un dise enfin la vérité" - mais seulement lors de conversations privées entre deux personnes.

En particulier dans les milieux de gauche, les aspects problématiques de la migration sont souvent passés sous silence. Susanne Wiesinger est également issue d'un milieu de gauche et s'est donc longtemps interdit toute réflexion critique sur le multiculturalisme. Cependant, en tant qu'enseignante, elle se sent également responsable envers les enfants musulmans dont les libertés sont restreintes par une éducation islamique parfois stricte. Elle dit : "Nous ne devons pas détourner les yeux."

Cependant à Zurich, rien ne permet de penser qu'un examen plus approfondi sera effectué à l'avenir. La pédagogue de la région de Zurich mentionnée plus haut observe même une tendance inverse : parmi ses collègues, on constate une peur croissante d'être considéré comme raciste. (...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nzz.ch

L'article a été trouvé par Madame SaïdaKeller-Messahli

Zoug : Une banque Raiffeisen aurait refusé d’ouvrir un compte pour une organisation conservatrice

L’organisation explique au journal qu’elle a eu beaucoup de peine à ouvrir un compte en banque pour gérer ses affaires financières. Plusieurs établissements auraient rejeté sa demande. Postfinance lui a finalement autorisé l’ouverture d’un compte.

Une situation que l’association ne compte pas tolérer. Elle a récemment déposé une plainte pénale auprès du Ministère public zougois contre Raiffeisen Zoug. Elle l’accuse de violation de l’interdiction de discrimination, confirme au journal son vice-président Christoph Keel.

(...)

20min.ch

Nos remerciements à Schwarze Rose

Zurich : Les Verts veulent supprimer des emplois pour fluidifier le trafic

Une proposition des Verts a lancé les conseillers municipaux dans un grand débat sur l’avenir de Zurich: doit-on y supprimer des emplois? Le parti écologiste estime en effet que réduire le nombre de places de travail en ville pourrait atténuer les problèmes de circulation en fluidifiant le trafic des pendulaires.

Les Verts ont déclenché le débat en proposant de faire en sorte, à l’avenir, à ce qu’il n’y ait qu’un seul emploi pour deux résidents.

(...)

20Min.ch


Rappels :

Les Verts sont opposés à la résiliation de la libre-circulation

Paul Rechsteiner (PS) veut le passeport helvète pour les étrangers nés en Suisse et Lisa Mazzone (Verts) veut faciliter la naturalisation!

Voile intégral – Les Jeunes Verts prêts à aller jusqu’à Strasbourg

Suisse : Les Verts veulent un droit de vote fédéral pour les étrangers

Zurich : Une initiative UDC exige que la police rende publique la nationalité des délinquants. Les jeunes socialistes et les jeunes Verts s’y opposent.

Valais : des Gens du Voyage qui tentent d’escroquer en se faisant passer pour des peintres en bâtiment

Un Valaisan a cru faire appel à une entreprise du bâtiment pour repeindre son chalet. Arnaqué par deux Français issus de la communauté des gens du voyage, il les a traînés en justice.

(...)

Un des deux Français avait déjà été condamné trois fois en Suisse, notamment pour escroquerie par métier et organisation criminelle. Il s’en était sorti avec du sursis sur Vaud et Fribourg.

(...)

20Min.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini et à Alb4n

 

Bienne : L’Albanais avait presque égorgé Markus. La victime n’obtient aucun dédommagement.

Son agresseur n’était pas radicalisé, mais schizophrène: comme le prévenu est sans argent, la victime n’obtient pas les 30 000 francs demandés.

Poignardé par-derrière alors qu’il ressortait de la Migros avec deux litres de lait achetés pour une amie, Markus a été poignardé sans raison le 27 novembre 2019, à Bienne. Lacéré derrière une oreille, cet aîné jovial et robuste de 77 ans n’a pas perdu connaissance, «C’était rouge partout», confiait-il au matin.ch, six semaines après l’agression. Son agresseur albanais de 55 ans a été jugé par contumace, mais aucune indemnité ne sera versée à la victime.

(...)

Msn.com

Nos remerciements à Tao li


Rappels :

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

Suisse : un Albanais du Kosovo détourne 110’000 francs d’aide financière destinée au Covid

Zurich : Une mosquée albanaise vendait un livre appelant au meurtre de ceux qui critiquent l’islam

Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

Bâle-Ville : Deux Albanais condamnés pour avoir encouragé une mère de famille à se prostituer

Conseil fédéral : l’UDC Ueli Maurer s’en prend à la pensée unique et à Greta Thunberg

Dans une allocution inhabituelle, le ministre des Finances s’en prend aux suiveurs de Greta et à la pensée unique corona.

«Je ne fais pas partie des fanatiques ni des complotistes, même si je fais aussi des remarques critiques», prévient-il d’emblée. En discutant avec la population, il relève qu’elle lui dit de plus en plus: «On ne peut plus rien dire à haute voix.»

 

 

La France demande à nouveau l’aide de la Suisse pour accueillir des patients atteints du coronavirus.

La France sollicite l’aide de la Suisse pour accueillir des patients souffrant du coronavirus. La région Bourgogne-Franche Comté s’est adressée à plusieurs cantons romands pour leur demander d’accueillir des malades de la Covid-19, a appris mardi la RTS. Côté français, le nombre de cas est remonté en flèche et certains hôpitaux sont proches de la saturation. L'Hexagone avait déjà demandé de l'aide à la Confédération lors de la première vague de la pandémie, au printemps 2021. 49 patients avaient été soignés dans les hôpitaux helvétiques.

Swissinfo.ch


Rappels :

La France «espère» que la Suisse pourra valider l’accord-cadre

Coronavirus : La France et l’Allemagne bloquent toujours des conteneurs d’équipements à destination de la Suisse

Armureries suisses attaquées: gros coup de filet en France

Boncourt (Jura) veut fermer sa frontière avec la France en raison des cambriolages

Agression de Genève : Le Blick donne la description de l’assaillant « C’est un jeune d’origine maghrébine issu des cités françaises. »

L’Ambassadeur de France prend les Suisses pour des imbéciles. Qu’il retourne chez lui

 

Parmelin prêt à se rendre à Bruxelles pour négocier l’accord-cadre

Le président de la Confédération et ses collègues du Conseil fédéral auraient l’intention d’intervenir directement dans les négociations pour l’accord-cadre avec l’Union européenne. L’UDC n’applaudit pas.

Face au manque de progrès dans les négociations, «le Conseil fédéral doit et veut encore analyser la situation et mener des discussions avec l’UE elle-même. Si nécessaire, je me rendrai bien sûr à Bruxelles», a confirmé le président de la Confédération Guy Parmelin à la SonntagsZeitung du jour.

(...)

20min.ch

Bâle : un homme grièvement poignardé par un Kosovar

Tard dans la soirée du 1er avril, un chauffeur de la ligne 30 a découvert dans le bus un homme grièvement blessé de plusieurs coups de couteau. Samedi matin, le parquet de Bâle a annoncé qu'il avait arrêté l'auteur présumé des faits après une enquête approfondie. Le suspect est un Kosovar de 29 ans. Il sera traduit devant le tribunal des mesures obligatoires.

Le déroulement des événements et la raison de l'altercation n'ont pas encore été clarifiés. La police recherche toujours des témoins.

Selon les enquêtes menées jusqu'à présent, le crime a eu lieu devant une propriété de la Efringerstrasse. L'homme de 47 ans, grièvement blessé, a réussi à marcher jusqu'à l'arrêt de bus de la Hammerstrasse et à monter dans un bus en direction de l'hôpital.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bazonline.ch

Suisse : Des péages pour entrer en ville à l’essai

À l’avenir, des péages pourraient être installés aux entrées des villes. Mais uniquement pour les automobilistes. Les usagers des transports publics seraient exemptés.

(...)

Afin d’aller de l’avant dans cet essai, la Ville fédérale a besoin de l’aval du Parlement. En effet, il n’existe toujours pas de base légale pour une telle expérience. Mais la donne pourrait changer puisque le Conseil fédéral a, début février, mis en consultation un projet de loi allant dans ce sens.

(...)

20Min.ch


Rappels :

Suisse : Les Verts ne veulent plus de nouvelles routes en 2030 ni de voitures thermiques dès 2023

Voitures bridées au nom de l’Union Européenne

Lausanne veut bannir de son sol les voitures à essence

Union Européenne : Vers une interdiction des voitures à essence et à diesel

Le socialiste Christian Levrat est nommé à la tête de la Poste

Le sénateur fribourgeois Christian Levrat devrait être le nouveau président de La Poste. Le Conseil fédéral a approuvé mercredi sa candidature pour succéder à Urs Schwaller à la tête du conseil d’administration du géant jaune.

(...)

24Heures.ch


Nyon (Vaud) : Un militant féministe androgyne casse les normes et entre en politique

Très bien élu sur la liste des Vert.e.s au Conseil communal de Nyon, l’androgyne avoue aimer être là où on ne l’attend pas.

 

 

Les stéréotypes, Marius Diserens les dynamite avant de les disperser façon puzzle. Longs cheveux foncés et lisses, barbe soignée et ongles vernis en rose clair: ce grand jeune homme androgyne promet de détonner dans le très conventionnel monde politique. À 25 ans, le militant de la cause LGBTIQ+ entrera au Conseil communal de Nyon dès le mois de septembre.

(...)

24Heures.ch

Nos remerciements à Tao li

Suisse: Nombre d’étudiants en hausse de 5% dans les universités suisses, surtout chez les femmes et les étrangers

26 mars 2021 - (Keystone-ATS)

Alors que beaucoup d'étudiants ne peuvent plus s'offrir de logement à cause de la pénurie d'emplois à temps partiel due à la pandémie, leur nombre a augmenté de 5% dans les universités, pour atteindre 164'575.

La hausse est plus forte chez les femmes et les étrangers.

Pour les deux semestres de l'année académique 2020/2021, toutes les universités de Suisse ont enregistré une augmentation du nombre de leurs étudiants, indique vendredi l'Office fédéral de la statistique (OFS). Et ce alors qu'au cours de l'année académique 2019/2020, certaines universités avaient vu leurs bancs se vider quelque peu, comme à Bâle (UNIBAS), Fribourg (UNIFR) et Neuchâtel (UNINE).

C'est l'Université de la Suisse italienne (USI) qui a connu la plus forte hausse: 12,8%. Suivent celles de Genève (UNIGE) et Lausanne (UNIL) et l'Ecole polytechnique de Zuriche (EPFZ): entre 7,6 et 6% d'étudiants en plus. Les plus faibles augmentations - entre 2 et 2,8% - ont été enregistrées à l'UNIBAS, à l'Université de Saint-Gall (HSG) et à l'UNIFR.

Le nombre d'étudiants étrangers - près de 52'000 au total - a augmenté de 6,4%, soit plus fortement que la moyenne. C'est même 10% dans les filières de Master. Trois quarts des étudiants étrangers viennent d'Europe, dont deux tiers de l'Union européenne (UE). Plus d'un cinquième vient d'Allemagne, un peu moins de France.

Deuxième continent d'origine des étrangers suivant un cursus dans une université suisse, l'Asie (14,1%). L'Amérique (5,8%) et l'Afrique (4,9%) suivent. L'Océanie ferme la marche avec 0,3%.

Les femmes majoritaires depuis dix ans

Le nombre de femmes sur les campus a également augmenté plus fortement que la moyenne: 6% d'étudiantes en plus.

Elles sont majoritaires dans les auditoires depuis dix ans (52%). Elles sont 85'321 au total.

L'UNIGE compte la proportion d'étudiantes la plus élevée de Suisse: 62,7%.

A l'UNINE, c'est 61,1%,

contre 57,7% à l'UNIL.

Pour l'année académique 2020/21, les femmes représentaient près de 69 % des étudiants en sciences humaines et sociales, à peu près comme il y a dix. Leur proportion a augmenté dans toutes les autres facultés, de 2 à 3%.

En médecine (63%) et en droit (60%), elles sont également majoritaires. Seules les sciences exactes et naturelles (40% d'étudiantes), l'économie (36%) et les sciences techniques (31%) comptent davantage d'hommes que de femmes dans leurs salles de cours.

source: https://www.swissinfo.ch/fre/nombre-d-%C3%A9tudiants-en-hausse-de-5--dans-les-universit%C3%A9s-suisses/46482418

*****

voir aussi: Analphabétisme — 47,8 % des Québécois et un quart des diplômés universitaires peinent à comprendre un texte complexe

Analphabétisme — 47,8 % des Québécois et un quart des diplomés universitaires peinent à comprendre un texte complexe

*****

voir aussi: Cesla Amarelle veut inciter les filles à faire des maths

ATS:  08.03.2021 - Égalité

Le département vaudois de la formation veut rendre plus attrayant la discipline des mathématiques. Des ateliers pour aborder la discipline différemment auront lieu et des femmes spécialistes de cette branche seront invitées pour montrer aux jeunes élèves que les mats ne sont pas une affaire d'hommes.

L'école vaudoise veut rendre les mathématiques plus attrayantes. Pour y parvenir, la conseillère d'Etat Cesla Amarelle lance plusieurs mesures comme la création de "laboratoires" pour aborder les maths différemment ou la nomination "d'ambassadrices" pour inciter les filles à davantage se tourner vers cette matière.

Si l'enseignement des mathématiques est jugé "de bonne qualité" dans le canton, il doit néanmoins être renforcé, notamment pour répondre aux enjeux de la numérisation de la société, indique lundi l'Etat de Vaud. Se basant sur un rapport élaboré avec plusieurs partenaires, comme l'UNIL ou l'EPFL, le Département de la formation, de la jeunesse et de la culture (DFJC) a retenu plusieurs pistes.

Les laboratoires de mathématiques doivent permettre aux élèves de prendre confiance en se mettant dans la peau d'un chercheur. Cet espace leur permettra de "manipuler et créer du matériel, sans la pression de l'évaluation", explique le DFJC dans son communiqué.

Diminuer la prédominance masculine

Dans le même ordre d'idée, des cours facultatifs "découvertes mathématiques" pour les élèves de 10S et 11S seront mis sur pied. La ministre des écoles Cesla Amarelle en a fait l'expérience lundi avec une classe de Renens, dans laquelle les élèves devaient appréhender la géométrie spatiale en utilisant des structures "géantes" de plusieurs mètres. "Une autre manière d'aborder une discipline souvent cantonnée à la simple page A4 et au dessin", relève le DFJC.

Le canton de Vaud souhaite également diminuer "la prédominance masculine en mathématiques", sachant que seules 28% des filles ont choisi maths-physique dans les choix à options spécifiques en 2020/2021. Une liste d'ambassadrices, composée de femmes ayant mené leur carrière grâce aux sciences et aux maths, a été créée. Elles peuvent être invitées dans des classes pour partager leur expérience.

Pour les enseignants, de nouveaux projets de formation sont proposés ainsi qu'un diplôme additionnel, reconnu par la Conférence suisse des directeurs cantonaux de l'instruction publique (CDIP).

 

 

Alain Finkielkraut sur la "victoire" des féministes

 

Wattwil (SG): Armé d’un couteau, un Soudanais attaque un Nigérian dans un train

Pour des raisons encore inconnues, un Soudanais de 32 ans a attaqué un Nigérian de 27 ans dans un train en gare de Wattwil vendredi après-midi.

 

 

Selon la police cantonale de Saint-Gall, le Nigérian a subi des blessures non déterminées lors de l'incident. Il a été emmené à l'hôpital par secours aérien. L'auteur présumé a été arrêté.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Telezueri.ch


Note : le 20Minutes Romand a choisi de cacher les nationalités impliquées. Et après cela, les journalistes s'étonnent que le peuple veuille connaitre les nationalités des délinquants.

Rappels :

Police zurichoise obligée de préciser la nationalité des criminels mais pas l’origine

Saint-Gall : deux Somaliens et un Éthiopien coupables de viol sur une jeune Suissesse

Saint-Gall : Une jeune Suissesse tuée lors d’une dispute avec son compagnon, un Somalien

Saint-Gall : un infirmier tunisien accusé d’agression sexuelle dans une maison de retraite

Saint-Gall : Enfants privés de trois chants religieux à l’école afin de pas froisser les autres communautés religieuses

Suisse : un Albanais du Kosovo détourne 110’000 francs d’aide financière destinée au Covid

Jeton U.* (35 ans), entrepreneur en bâtiment, a utilisé de fausses informations pour obtenir un prêt de 110 000 francs destiné au Coronavirus.

L'Albanais du Kosovo a été reconnu coupable de fraude, de falsification de documents et de plusieurs chefs d'accusation de gestion déloyale d'une entreprise.

Jeton U. a été condamné à une peine de prison de 2 ans et 2 mois, dont 10 mois fermes. Les 14 mois restants sont soumis à une période probatoire de 4 ans. En outre, l'homme de 35 ans est condamné à une amende de 170 jour-amende à 100 francs. Il lui sera également interdit de travailler de manière indépendante pendant une période de 5 ans.

[...]

Le bureau du procureur général a vu les choses différemment et a porté de lourdes accusations. L'Albanais est accusé d'avoir obtenu un prêt Covid de 110 000 francs sous de faux prétextes. Il a fait semblant de subir une baisse massive de ses ventes à cause de la pandémie. En outre, il a déclaré un chiffre d'affaires de 1,1 million de francs, ce qui était très surestimé.

Bar à shisha du frère rénové

Jeton U. a également rénové le bar à shisha de son frère très endetté pour plus de 164 000 francs. En outre, il a prêté 5000 francs à un ami en Allemagne.

"J'ai demandé le prêt d'urgence parce que je craignais un arrêt de la construction", se défend Jeton U.. Il ne fait aucun commentaire sur les raisons pour lesquelles il a fait de fausses déclarations. Il veut avoir "agi dans l'intérêt de l'entreprise".

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Renens, Meyrin, Onex… Vidéos de la diversité voulue par la gauche en Suisse

Voici la Suisse multiculturelle tant vantée par Parmelin, Sommaruga, Berset  & Cie.

 

 

 

 

 


Rappels :

Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Pour l’UDC Guy Parmelin, « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »

Suisse: Les jeunes socialistes veulent abolir Noël et Pâques mais soutiennent l’islam

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

La socialiste Savary : «Le PS a des liens très forts avec les Albanophones»

 

Suisse : Le socialiste Fabian Molina veut enlever la référence chrétienne de notre Constitution

«Au nom de Dieu tout-puissant! Le peuple et les cantons suisses, conscients de leur responsabilité envers la Création, […] arrêtent la Constitution que voici»: tel est le préambule du texte fondateur de toutes les lois suisses, témoin du passé fondamentalement religieux de la culture helvétique.

Toutefois, celui-ci est révolu, estime le conseiller national Fabian Molina (PS/ZH): Dieu n’a plus sa place dans un texte légal officiel.

(...)

20min.ch


La Chine rappelle la Suisse à l’ordre !

 

Après la publication la semaine dernière du rapport du Conseil fédéral sur les relations de la Suisse avec la Chine, les autorités chinoises ont fait savoir lundi leur mécontentement. C’est l’ambassadeur de Chine en Suisse, Wang Shiting, qui a transmis les griefs du Gouvernement chinois lors d’une visio conférence de presse.

En substance, la Chine reproche les appréciations helvétiques liées à la question des droits de l’homme: «Nous espérons que la Suisse abandonnera ses préjugés idéologiques et respectera le choix du peuple chinois».

(...)

MSN


Rappels :

Chine communiste : 220 milliards de masques chirurgicaux vendus à l’étranger grâce à son coronavirus

Coronavirus : “La pandémie aurait pu être évitée si la Chine n’avait pas tenté de dissimuler le virus.”

Coronavirus. Economie : la Chine communiste se moque de nous

Chine. Coronavirus : des caméras désormais installées devant les maisons… et parfois à l’intérieur

Chine communiste : 4 ans de prison pour la journaliste citoyenne Zhang Zhan qui avait couvert la pandémie à Wuhan

 

 

 

 

 

 

 

On constate à quel point notre gouvernement est faible et sert de cible à n'importe quel pays.

Genève : Un trio volait de l’or dans leurs ateliers. Le principal prévenu a revendu l’or au Maroc.

Trois hommes ont sorti plusieurs kilos de métal d’une société de sous-traitance horlogère. Ils sont jugés depuis hier.

(...)

Le prévenu principal, le receleur, a aussi volé, en octobre 2019, 153 pièces en or (3,9 kilos) dans une autre société de sous-traitance horlogère, qui venait de le virer. Il les a juste enfournées dans son sac. Elles valaient 175’000 fr., il en a tiré 60’000 euros au Maroc.

(...)

20min.ch


Note : Aucune nationalité, aucune photo, aucune précision sur le pedigree. Il faut désormais deviner qui fait quoi dans 80% des articles de la presse romande. Mais on constate l'exact le contraire lorsqu'il s'agit d'un Occidental.

Communautarisme, islam… Lorsque la Suisse accueille des cultures intolérantes au nom de la tradition humanitaire.

Isabella est Italo-Marocaine, Granit est Kosovar. Ils se confient sur leurs difficultés à s’épanouir et à envisager leur futur alors que certains proches s’opposent à leur union

(...)

Si, très vite, son copain Granit a été accepté au sein de sa famille, la situation a été bien différente pour la jeune fille. Elle doit encore faire face à l’hostilité de ses beaux-parents. Granit est d’origine kosovare et dans sa culture, la mixité a du mal à passer.

(...)

I: Il est clair que si j’avais été une Albanaise, la situation aurait été plus simple, puisqu’une Albanaise élevée dans cette même tradition n’aurait jamais «éloigné» Granit de sa famille et n’aurait pas accepté qu’il passe moins de temps avec ses proches. Heureusement que je suis musulmane, sinon, ça ne serait vraiment pas passé.

(...)

Le Temps


Article qui date d'août 2019 mais qui montre à quel point les semaines contre le racisme instituées par la Confédération et autres "cours d'éducation" sont une manipulation à l'encontre des Suisses.

Les autres ethnies ne sont ni pointées du doigt ni accusées de racisme mais elles ont tout loisir d'imposer chez nous leur mode de vie, leur communautarisme, leur religion alors qu'elles enfreignent nos lois (discrimination, racisme etc.).

 

Rappels :

Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

En 1999, Jean-Daniel Gerber, chef de l'Office fédéral des réfugiés affirmait "La Suisse la Suisse a un devoir de solidarité envers cette population kosovare"

L'Albanais Bashkim Iseni, délégué à l'intégration de la Ville de Lausanne, organise une Master Class «Contre le racisme et les discriminations» pour les élèves de 14 à 18 ans

Suisse. Cédric Wermuth, socialiste: « L’albanais et le serbo-croate devraient devenir des langues nationales. »

La socialiste Savary : «Le PS a des liens très forts avec les Albanophones»

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Swissinfo, financé par nos impôts, met de l’huile sur le feu : « Profilage racial, discriminations: en Suisse, un racisme structurel existe aussi »

Mireille Vallette : « Pour la Commission contre le racisme, ce sont toujours les Suisses qui sont coupables »

La Commission contre le racisme pleurniche : « Les médias stigmatisent les musulmans de Suisse »

La Commission contre le racisme veut davantage de cours contre la xénophobie dans les écoles suisses

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

Zurich : Une mosquée albanaise vendait un livre appelant au meurtre de ceux qui critiquent l’islam