Suisse : un Albanais du Kosovo détourne 110’000 francs d’aide financière destinée au Covid

Jeton U.* (35 ans), entrepreneur en bâtiment, a utilisé de fausses informations pour obtenir un prêt de 110 000 francs destiné au Coronavirus.

L'Albanais du Kosovo a été reconnu coupable de fraude, de falsification de documents et de plusieurs chefs d'accusation de gestion déloyale d'une entreprise.

Jeton U. a été condamné à une peine de prison de 2 ans et 2 mois, dont 10 mois fermes. Les 14 mois restants sont soumis à une période probatoire de 4 ans. En outre, l'homme de 35 ans est condamné à une amende de 170 jour-amende à 100 francs. Il lui sera également interdit de travailler de manière indépendante pendant une période de 5 ans.

[...]

Le bureau du procureur général a vu les choses différemment et a porté de lourdes accusations. L'Albanais est accusé d'avoir obtenu un prêt Covid de 110 000 francs sous de faux prétextes. Il a fait semblant de subir une baisse massive de ses ventes à cause de la pandémie. En outre, il a déclaré un chiffre d'affaires de 1,1 million de francs, ce qui était très surestimé.

Bar à shisha du frère rénové

Jeton U. a également rénové le bar à shisha de son frère très endetté pour plus de 164 000 francs. En outre, il a prêté 5000 francs à un ami en Allemagne.

"J'ai demandé le prêt d'urgence parce que je craignais un arrêt de la construction", se défend Jeton U.. Il ne fait aucun commentaire sur les raisons pour lesquelles il a fait de fausses déclarations. Il veut avoir "agi dans l'intérêt de l'entreprise".

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Italie. Fraude massive : 150 Albanais accusés d’avoir fraudé le service de santé afin de se faire soigner gratuitement

Fraude massive de plus d'un million d'euros au système de santé national, grâce à un mécanisme qui a permis à 150 personnes, toutes albanaises et souffrant pour la plupart d'une tumeur, de se faire soigner. (...)

Selon les carabiniers du commandement provincial de Turin, trois personnes avaient mis en place ce mécanisme : deux femmes, citoyennes albanaises, médiatrices culturelles dans les centres Isi (Information sanitaire immigrés) de Turin et de la Province ainsi que le fils de l'une d'entre elles, employé de l'Agence du revenu. Ce matin les mesures ont été prises par le gip [NDLR : juge des enquêtes préliminaires] à l'encontre des trois individus (...).

Ils sont soupçonnés d'avoir mis en place un système pour frauder le système de santé national et permettre à leurs compatriotes de se faire soigner. En pratique, selon les enquêteurs, ils ont exploité la règle de l'article 35 de la loi sur l'immigration, qui permet au citoyen qui n'est pas en règle d'accéder aux soins en cas d'indigence. Si le critère est reconnu, on lui attribue un code d'identification ("Stp" pour "étranger temporairement présent") et il a accès aux soins dans les établissements publics.

(...)

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Torino.repubblica.it

Nos remerciements à Victoria Valentini

Géorgie (États-Unis) : une vidéo présentée pour la première fois à une audition sénatoriale montre des milliers de votes sortis d’une table et comptabilisés dans la nuit par quelques personnes

[Traduction d’un article de Lead Stories qui s’est notamment fait connaître en faisant des fact-checkings pour Facebook]

La vidéo d’une caméra de sécurité montre-t-elle un superviseur électoral du comté de Fulton, en Géorgie, qui tire de façon suspecte des mallettes remplies de bulletins de vote sous une table après avoir dit aux travailleurs électoraux de quitter la salle ? Et ce fonctionnaire électoral a-t-il continué à compter illégalement des bulletins de vote sans les observateurs requis d’une manière qui remet en question la victoire étroite de Joe Biden sur Donald Trump en Géorgie ? Non, ces affirmations sont fausses : deux fonctionnaires de haut rang du bureau du secrétaire d’État de Géorgie et un observateur du conseil électoral de l’État ont chacun déclaré à Lead Stories que leurs enquêtes n’avaient rien révélé de suspect dans la vidéo.

 

https://www.youtube.com/watch?v=keANzinHWUA&feature=emb_logo

 

 

 

 Les fonctionnaires ont déclaré que les bulletins de vote vus dans la vidéo étaient dans des conteneurs de vote ordinaires et non des mallettes, et qu’ils avaient été retirés de leurs enveloppes et traités en présence des médias et des observateurs électoraux du Parti républicain et de la campagne de Trump. Les médias et les observateurs du parti n’ont jamais été priés de partir parce que le décompte était terminé pour la nuit, mais ils ont apparemment suivi des travailleurs partis une fois leur travail d’ouverture des enveloppes terminé, a déclaré l’enquêteur en chef du secrétaire d’État à Lead Stories. Les observateurs étaient libres de revenir à tout moment, a-t-elle dit. La loi géorgienne autorise les observateurs, mais ne les oblige pas à être là pour le dépouillement des bulletins de vote, a-t-elle dit. […]

Lead Stories

Via Fdesouche

Médias. Fraudes électorales US : Quand la Démocratie s’effondre

LES DECLARATIONS DE FRAUDES AFFLUENT EN NOMBRE

A lire la presse et les déclarations officielles en Europe, à peine deux jours après le vote, il ne faisait aucun doute que Biden serait le 46e président des Etats-Unis. Oui. Sauf qu’au moment d’écrire ces lignes le résultat n’est toujours pas définitif, même après la certification de scrutin par le Michigan ou celles qui devraient suivre dans les autres Etats.

Le scrutin définitif national ne sera connu que lorsque les résultats auront été certifiés dans chacun des 50 Etats mais surtout, oui surtout, lorsque tous les recours en justice auront été épuisés. Et on en est loin, sans doute même très loin, cela dépendra des forces et des ressources à disposition du président Trump.

L’exemple de la certification du vote donnée dans le Michigan est un exemple intéressant et a montré comment la presse surinterprète (déforme) les faits pour leur faire dire ce qu’elle voudrait qu’on croie. Le comité de surveillance électorale du Michigan composé de 2 Démocrates et de 2 Républicains a certifié le 23 novembre les votes dans le Michigan. Oui, et alors ? Cela n’a pas une très grande portée. Si des bulletins sont frauduleux on peut bien les recompter une seconde fois, cela ne change strictement rien, le nombre final restera le même. Ce qu’il faut comprendre c’est que la certification et l’éventuel recomptage ne confirment que l’exactitude de ce qui a été compté, ils ne disent rien sur la validité d’éventuels bulletins frauduleux qui ne pourraient être trouvés que par un audit, et la certification n’est pas un audit.

On a donc déjà ici une première idée du problème. Les équipes de Trump demandent des audits, c’est-à-dire des examens complets et approfondis de la validité des bulletins et on leur répond, le scrutin est intègre nous avons recompté tous les bulletins, le compte est exact. On se moque ici des gens.

Le problème auquel Trump doit faire face n’est théoriquement pas insurmontable, on peut revérifier la validité de chaque bulletin, mais c’est tout simplement une tâche titanesque. Nous sommes typiquement ici face à un problème de ruissellement (les petits ruisseaux font les grandes rivières). Si Trump ne trouve pas une grande fraude massive et suffisante en un seul évènement il va devoir prouver ce ruissellement, il devra prouver que c’est l’accumulation de petites fraudes qui a modifié le résultat final, et ça c’est encore plus difficile. Les politologues Démocrates l’ont bien compris et jouent précisément sur cette difficulté, en annonçant déjà que les fraudes découvertes (sans même en connaître à ce jour le nombre) sont trop petites pour inverser le résultat. Et ça aussi ce n’est pas tout à fait la réalité.

Biden a gagné le Michigan par 154'188 voix sur 5'535'676 votes exprimés, soit une avance d’à peine 2.78 % des suffrages. Et suivant comment l’on regarde c’est trois fois rien. Il y a dans le Michigan 4810 circonscriptions électorales (precincts) qui peuvent chacune contenir un ou plusieurs bureaux de vote, il suffirait donc de 33 votes invalides par circonscription électorale pour changer le résultat, c’est infinitésimal. Le seul comté de Wayne, le plus grand de l’Etat du Michigan avec la ville de Detroit et qui a fait pencher la balance en faveur de Biden compte à lui seul 999 circonscriptions électorales, il suffirait donc de 155 bulletins invalides dans chaque circonscription de l’agglomération de Detroit pour changer le résultat. Mais en faire la somme totale, vérifier la validité de tous les bulletins pour éventuellement retrouver ceux qui sont frauduleux est un travail de bénédictin, d’autant qu’il faut le faire dans un certain délai et vraisemblablement en avancer les frais, sans compter qu’il faut le faire avec un personnel de confiance. On a donc ici la mesure de la difficulté qui attend Trump avec face à lui un gouvernement d’Etat et bon nombre de juges du Michigan qui sont des Démocrates et donc ses adversaires politiques.

Un exemple de ce type de difficulté a déjà été donné avec le refus de la juge Cynthia Stephen, Démocrate précisément, de la Cour du Michigan, lorsqu’elle a refusé la demande du président Trump d’arrêter le comptage des voix suite à sa plainte selon laquelle les inspecteurs du parti Républicain (challengers) n’avaient pas accès partout à l’observation du processus de comptage des bulletins et aux vidéos obligatoires.

(N.B. la question de l’observation du scrutin par des inspecteurs républicains étaient déjà en soi problématique puisque certains de ces républicains sont eux-mêmes des opposants à Trump.)

Trump a demandé que le comptage des voix soit stoppé jusqu’à ce que l’accès des Républicains soit pleinement garanti partout et qu’il puisse revoir les bulletins déjà décomptés, ce qui était parfaitement légitime, n'importe quel juriste aurait demandé pareil. Mais la juge Démocrate du Michigan l’a débouté au motif que les juristes de Trump n’amenaient qu’une déclaration par témoins indirects (donc une preuve insuffisante) et qu’au surplus la Secrétaire d’Etat du Michigan avait déjà donné instruction de donner plein accès aux inspecteurs Républicains.

Cet épisode est extrêmement important et crucial, et doit être relevé. Il montre ce genre de « zones grises » juridiques dans lesquelles tout peut devenir possible. Les Républicains n’ont pas accès à certains dépouillement de bulletins, ils se plaignent, la juge les déboute, la secrétaire d’Etat rétablit l’accès, mais entre-temps du temps a passé… Et chacun sait ce qui arrive si quelqu’un fraude et qu’on ne peut le prendre sur le fait, certains éléments de fraude peuvent ne plus apparaître ni être documentés et aucune preuve ne devient plus possible. C’est une zone grise où tout devient définitivement opaque et inconsistant parce que des raisons procédurales ont habilement été utilisées pour écarter les faits et la recherche de la vérité.

Une telle situation est extrêmement problématique du point de vue de l’intégrité d’un scrutin. De tels événements, de telles zones grises (ou de non-vérification par le droit) devraient tout simplement ne pas exister, on a l’impression qu’ici des plages entières de l’espace-temps peuvent être soustraites à tout contrôle immédiat et à tout contrôle de la vérité.

Il se passe, et il s’est passé, tellement de choses dans cette période post-électorale américaine qu’il devient difficile de tout relater et de tout suivre en temps réel. Mais les faits concrets qui sont déjà connus et visibles suffisent largement – contrairement à ce que raconte la presse – à établir que Donald Trump était, et est toujours, légitimé à soulever la question de l’intégrité du scrutin.

Les médias grands publics ont présenté les fraudes comme des anecdotes sans grandes portées mais ce n’est pas ce qu’on pouvait lire par exemple dans la demande d’audit déposée dans le Michigan par la Sénatrice républicaine Theis et le Sénateur Barrett. Leurs motivations ne relevaient ni de la plaisanterie ni de l’anecdote. Entre les bulletins comptés frauduleusement ou de manière multiple, et les erreurs informatiques ou manuelles, la liste des fraudes y semble sans fin. Mais c’est surtout le nombre de témoignages présentés par les deux Sénateurs qui interpelle, car contrairement aux deux ou trois cas de fraude avancés par la presse grand public, cas que cette même presse s’est empressée de chercher à discréditer ou à contredire, c’est plus d’une centaine de témoignages qu’ont recueilli la Sénatrice et le Sénateur d’Etat du Michigan.

« Nous avons cité quatre raisons principales expliquant la nécessité de vérifier l'élection, notamment le prétendu problème de logiciel avec les tabulatrices (NdT machine à compter les bulletins) de Dominion Voting Systems dans le comté d'Antrim; de multiples récits de fonctionnaires électoraux ayant mal géré les bulletins de vote de diverses manières flagrantes; la prétendue livraison mystérieuse pendant la nuit de 40 000 bulletins de vote non garantis au TCF Center de Detroit; et les rapports d'intimidation et d'ingérence des candidats au scrutin. »

(N.B. On voit ici dans les allégations de ces deux Sénateurs exactement le problème décrit, on pose la question du compte des bulletins (qui est apparemment aujourd’hui résolue) mais aussi celui de la validité des bulletins comptés (ces 40'000 bulletins) et qui reste donc une question ouverte.)

« Ces allégations sont « étayées par des déclarations sous serment (affidavits) de plus de 100 citoyens du Michigan, de vraies personnes, disposées à faire face à des conséquences juridiques sur leur vie et leurs fortunes pour maintenir leurs affirmations » indique la lettre. « Ces allégations méritent toute notre attention et une enquête diligente pour garantir l'équité et la transparence de notre processus électoral. » [1]

On est donc loin ici des dissimulations ou des Fake News colportées par la presse grand public, dont même le soi-disant très sérieux Washington Post (voir ci-après) qui tentent de nous faire croire qu’il n’y auraient eu que de petites affaires non prouvées et démenties. La situation est exactement le contraire.

Aux États-Unis un affidavit ou déclaration sous serment est fait devant un notaire après vérification d’identité et doit être daté et signé. Il s’agit donc d’un acte authentique destiné à être produit en justice et qui peut entrainer pour son auteur jusqu’à 5 ans de prison pour faux témoignage.

En voici deux exemples, l’un en Pennsylvanie et l’autre dans le Michigan.

DECLARATION DE RICHARD HOPKINS

Moi, Richard Hopkins, déclare ce qui suit :

1. Je suis âgé de plus de dix-huit ans et suis légalement compétent pour faire cette déclaration. J'ai une connaissance personnelle des faits contenus ici. Si on me le demandait, je pourrais et je témoignerais avec compétence sous serment quant aux faits énoncés dans la présente.

2. Je suis un employé du service postal des États-Unis. Je travaille comme transporteur dans le bureau de poste d'Erie, en Pennsylvanie.

3. A teneur de ce que je comprends de la loi de Pennsylvanie, les bulletins de vote devaient être oblitérés avant 20 h 00 le jour du scrutin le 3 novembre 2020 en Pennsylvanie, mais le maître de poste Rob Weisenbach a ordonné à mes collègues et moi-même de ramasser les bulletins de vote après le jour du scrutin et de les lui fournir. Comme indiqué plus en détail ci-dessous, j'ai entendu Weisenbach dire à un superviseur de mon bureau que Weisenbach antidatait les cachets de la poste sur les bulletins de vote pour donner l'impression que les bulletins de vote avaient été collectés le 3 novembre 2020, alors qu'ils avaient en fait été collectés le 4 novembre et éventuellement plus tard.

4. Le 5 novembre 2020, alors que je préparais mon courrier pour la livraison, j'ai vu Weisenbach discuter avec Darrell Locke, l'un des superviseurs du bureau de poste d'Erie en Pennsylvanie. Weisenbach et Locke ont discuté de la façon dont le 4 novembre 2020, ils avaient antidaté le cachet de la poste sur tous les bulletins de vote, sauf un, pour donner l'impression que les bulletins de vote avaient plutôt été collectés le 3 novembre 2020. J’ai entendu Weisenbach dire à Locke qu'ils avaient «foiré hier» - le 4 novembre 2020 - en antidatant accidentellement un bulletin de vote comme ayant été collecté le 4 novembre 2020 (alors qu'il avait effectivement été collecté ce jour-là).

5. Il est important de noter que Weisenbach et son assistant avaient ordonné à mes collègues et moi-même de continuer à ramasser les bulletins de vote après le 3 novembre malgré l'exigence que les bulletins de vote soient envoyés par la poste dès ce moment. Weisenbach a ordonné que les bulletins de vote soient ramassés jusqu'au vendredi 6 novembre 2020. De plus, Weisenbach a ordonné que tous les bulletins de vote ramassés jusqu'au 6 novembre 2020 lui soient remis, vraisemblablement pour qu'ils puissent être antidatés par lui et / ou Locke.

6. Ma compréhension de la loi de Pennsylvanie est que les bulletins de vote ne peuvent être comptés que s'ils ont été postés avant 20 h 00 le 3 novembre 2020. Les commentaires de Weisenbach m'ont profondément préoccupé et m'ont semblé être une tentative de Weisenbach et / ou de Locke d'antidater incorrectement les bulletins de vote reçus après la date limite légale afin que ces bulletins tardifs puissent être comptés - ce que je comprends être illégal et contre la loi de Pennsylvanie. En conséquence, j'ai porté les informations sur Weisenbach au public par le biais du projet Veritas.

7. Le lendemain, le 6 novembre, j'ai été interrogé par un inspecteur postal de l'USPS qui, sachant que j'étais le lanceur d'alerte qui avait mis en lumière les directives de Weisenbach, a indiqué qu'il enquêtait sur l'affaire. J'ai également été approché par un représentant du syndicat des postiers qui a commencé à me poser des questions sur d'anciennes allégations contre moi qui sont depuis longtemps résolues. Je refuse d'être réduit au silence, alors j'ai décidé de révéler mon identité et je me suis engagé à témoigner sur ce que j'ai entendu et ce qu'on m'avait ordonné de faire.

Moi, Richard Hopkins, déclare par la présente que les faits énoncés ci-dessus sont vrais et corrects (ou sont vrais et exacts au meilleur de ma connaissance, de mes informations et de mes convictions). Je comprends que les déclarations ci-dessus sont soumises aux sanctions de 18Pa.C.S. § 4904 (relatif à la falsification non assermentée aux autorités). Je déclare en outre sous peine de parjure en vertu des lois des États-Unis d'Amérique que ce qui précède est vrai et correct. Fait en ce 6e jour de novembre 2020 à Erie, Pennsylvanie.

Richard Hopkins (suit la signature)

[2]

Suite à cette déclaration, Richard Hopkins, jeune homme ayant servi dans les marines en tant que navigateur auxiliaire, a subi de multiples pressions. L’interrogatoire avec l’enquêteur de l’USPS (services postaux américains) un ancien de l’intelligence service et auquel Hopkins s’est soumis volontairement a essayé durant deux heures d’obtenir de lui une rétractation. L’interrogatoire peut être écouté ici, il vaut son pesant d’or tant il décrit les méthodes utilisées pour essayer de faire changer quelqu’un d’avis [3]. Une avocate indépendante a confirmé qu’il s’agissait selon elle d’une tentative claire de pression et d’intimidation interdite par le droit américain. [4]

Suite à cet interrogatoire le Washington Post a diffusé un article repris par tous les médias grand public selon lequel Hopkins était revenu sur ses déclarations et avait reconnu qu’il les avait fabriquées [5]. Ce qui est parfaitement faux. Hopkins a démenti les affirmations du journal et persisté dans sa déclaration. Il y a eu manifestement ici une tentative par la presse de manipuler l’opinion publique et de discréditer le jeune lanceur d’alerte.

Entre temps le jeune John Hopkins a été mis à pied et privé de tout salaire pour diffamation contre le service postal, et avant même le résultat de l’enquête judiciaire. Dire la vérité n’est donc pas dépourvu de risques. On le voit, la pression sur ceux qui oseraient dénoncer les irrégularités est énorme. Et l’on se demande bien pourquoi. Mais la grande presse soi-disant si prompte à dénoncer les injustices du monde n’en a pas dit un mot. On peut priver arbitrairement un jeune homme de son salaire sans que la grande presse soi-disant gardienne des droits humains ne s‘en émeuve un seul instant.

Une autre déclaration d’une jeune femme du Michigan va encore plus loin.

DECLARATION DE MELISSA A. CARONE

La déposante, Mellissa A. Carone, étant la première dûment assermentée, déclare et atteste ce qui suit:

1. Je m'appelle Mellissa A. Carone, j'ai été engagée par Dominion Voting Services pour faire du travail informatique au TCF Center pour l'élection du 3 novembre 2020, je suis résidente du comté de Wayne. (Michigan).

2. Je suis arrivée au Centre TCF vers approximativement 6 h 15 du matin le 3 novembre 2020 et j'ai travaillé jusqu'à 4 h 00 du matin le 4 novembre 2020. Je suis rentrée chez moi pour dormir, puis je suis revenue au TCF Center à 10 h 00 du matin et dans lequel je suis restée jusqu'à 1 h 45 de l’après-midi. Durant ce temps, je n'ai été témoin que d’actions frauduleuses.

3. Les personnes chargées du décompte (qui étaient très peu ou pas du tout formées) recevaient un "lot" (pile de 50) de bulletins de vote par correspondance qu’ils passaient par la tabulatrice (NdT machine à compter les bulletins). Les tabulateurs se coinçaient 4 à 5 fois par heure, quand ils se coinçaient l'ordinateur signalait l’erreur au travailleur par le numéro du bulletin de vote bloqué et donnait la possibilité soit de rejeter le lot soit de continuer la numérisation à partir duquel la personne chargée du décompte devait rejeter le lot ; en plaçant le bulletin de vote problématique au-dessus du lot et rescannant le lot entier. J'ai vu d'innombrables travailleurs rescanner les lots sans les rejeter en premier, ce qui a eu pour résultat que les bulletins de vote étaient comptés 4 à 5 fois.

4. Vers approximativement minuit, j'ai été appelée pour aider l'un des travailleurs avec un bourrage de papier et j’ai remarqué que son ordinateur avait numérisé plus de 400 bulletins de vote - ce qui signifie qu'un lot avait été compté plus de 8 fois. Cela s'est produit un nombre incalculable de fois pendant que j'étais au centre TCF. J'ai confronté mon manager, Nick Ikonornakis, en lui disant à quel point c'était un gros problème, Nick m'a dit qu'il ne voulait pas entendre que nous avions un gros problème. Il m'a dit que nous étions là pour aider avec le travail informatique, pas pour gérer leur élection.

5. Le processus d’adjudication (Ndt contrôle de la validité des bulletins), d'après ce que je comprends, suppose qu’il y ait un républicain et un démocrate qui examinent ces bulletins. J'ai entendu de nombreux travailleurs parler pendant les changements d'équipes selon lesquels sur plus de 20 machines il y avait deux démocrates jugeant les bulletins de vote dans un processus inéquitable.

6. Ensuite, je veux décrire ce qui s'est passé durant le changement d'équipe, ça a été un désastre chaotique. Ça a pris plus de deux heures pour que les employés arrivent à leurs «zones assignées», plus de 30 employés ont été emmenés à l'étage et ont dit qu'ils n'avaient pas de travail à faire. Ces personnes ont été choisies pour compter les bulletins, parmi lesquels 6 m'ont avoué n'avoir reçu absolument aucune formation.

7. Les travailleurs de l'équipe de nuit étaient libres d'aller et venir à leur guise, ils pouvaient sortir de la salle de comptage et aller fumer. C'est illégal, car il y avait des urnes et des piles de bulletins de vote partout, n'importe qui aurait pu en retirer ou en apporter, et personne ne les regardait.

8. Il y a eu deux fourgonnettes qui se sont arrêtées dans le garage de la salle de comptage, une lors du changement de jour et une lors du changement de nuit. Ces fourgons apportaient apparemment de la nourriture dans le bâtiment parce qu'ils n'avaient même pas assez de nourriture pour 1/3 des travailleurs. Je n'ai jamais vu aucune nourriture sortir de ces fourgons, par hasard, il a été annoncé aux nouvelles que le Michigan avait découvert 100'000 bulletins de vote de plus - même pas deux heures après le départ de la dernière camionnette.

9. Lorsqu'un travailleur avait un bulletin de vote qu'il ne pouvait pas lire ou qu'il y avait quelque chose par exemple de renversé dessus, ils devaient aller à une table sur laquelle il y avait des bulletins blancs dessus et en remplir un autre. Ils étaient censés les remplir exactement comme celui qu’ils avaient reçu mais ce n’était pas du tout le cas. Les travailleurs signaient aussi le nom de la personne à laquelle appartenait le bulletin de vote - ce qui est clairement illégal.

10. Samuel Challandes et un autre jeune homme dans la vingtaine étaient chargés d’introduire les résultats dans l'ordinateur principal. Ils n'avaient absolument aucun superviseur, mon manager Nick devaient les assister pour toutes questions, mais Nick était au rez-de-chaussée la plupart du temps dans l’assistance avec les IT (Ndt les informaticiens).

11. A un moment j'ai entendu Samuel parler à Nick à propos de la perte de tonnes de données, ils ont tous pris leurs téléphones et se sont mis d’un côté de l’étage. J'ai demandé à Nick ce qui se passait et il m'a dit que tout était pris en charge et de ne pas m'en soucier. Je crois vraiment que c'était quelque chose de très crucial qu'ils venaient juste de dissimuler.

12. J'étais la seule républicaine à travailler pour Dominion Voting, et sur l’étage il y avait beaucoup de commentaires terribles faits par les employés de la ville et ceux de Dominion à propos des Républicains. Je n'ai pas montré que j'étais républicaine, j'ai une famille à la maison et je savais que j’allais devoir marcher jusqu'à ma voiture à la fin de mon quart de travail. Si quelqu'un avait un drapeau américain sur sa chemise ou sur son masque, il était automatiquement considéré comme un partisan de Trump.

13. J'ai appelé le FBI et leur ai rapporté ce que j’avais vu, il m'a été dit que je recevrai un rappel en retour de leur part.

14. Je fais de mon mieux pour m'assurer que quelque chose soit fait à ce sujet, j'y étais et j'ai vu tout ça se dérouler.

En ce 8 novembre 2020, est venue devant moi personnellement Mellissa A. Carone, qui en ma présence a exécuté l'affidavit qui précède et qui, ayant dûment juré, dépose et atteste qu’elle a lu l'affidavit ci-dessus souscrit par elle et en connaît le contenu, et qu'il en est de même de ses propres connaissances et croyances, sauf en ce qui concerne les questions qu'elle déclare être à titre informatif, mais qu’elle croit être vraies.

Suivent les signatures de Melissa A. Carone et d’autres témoins.

[6]

Melissa Carone a donc affirmé dans sa déclaration avoir vu un fourgon arriver au milieu de la nuit, censé amener une nourriture qu’elle n’a jamais vue, et suspecte donc que c’étaient des bulletins de vote. Et les enregistrements publiés plus tard montrent qu’effectivement à 06 h31 du matin un lot de 149'772 bulletins a bien été enregistré et dont 96 % (!) étaient en faveur de Joe Biden. A ce stade les déclarations de la jeune Melissa Carone sont donc plutôt confirmées.

Dans le graphique ci-dessus on voit qu’à 6:31 AM un lot de 149’772 bulletins a bien été enregistré, dont 96% en faveur de Biden. Ce lot a inversé l’avance de Trump sur Biden (graphique du bas). (N.B. ce graphique comme celui qui suit ont été faits par des analystes de données républicains mais ils ne sont contestés par personnes)

Bien sûr on pourrait se dire que c’est un pur hasard, un hasard que le plus gros lot arrive juste en fin de nuit, qu’il est à 96 % en faveur de Biden (ce qui est énorme) et que cela arrive précisément dans un Etat pivot dont le résultat est crucial.

Sauf que l’on peut douter aussi de ce hasard lorsque ce même scénario se répète lui aussi dans un autre Etat pivot comme le Wisconsin, qui voit lui aussi arriver le plus gros lot le lendemain au milieu de la nuit, que ces bulletins sont tous en faveur de Biden et qu’ils inversent donc eux aussi l’avance de Trump sur Biden.

(N.B. Selon la très réputée avocate Sidney Powell, ancienne procureure fédérale, qui a déposé des actions en justice en Géorgie et en Pennsylvanie le 25 novembre, avec derrière elle des experts en mathématiques et statistiques, elle possèderait des preuves irréfutables d’impossibilités statistiques. L’argument repose sur le calcul des probabilités. Lorsque vous lancez 86'000 fois de suite une pièce il est impossible qu’elle retombe 86'000 fois de suite sur le même côté. Ce qui semblerait être arrivé avec certains lots de bulletins en faveur de Biden et qui montreraient donc des séries en faveur de Biden bien trop longues et bien trop lisses pour être crédibles dans un phénomène d’aléatoire. Si de telles suites assez longues de bulletins sont prouvées et peuvent être recoupées à des témoignages de fraudes alors nul doute que des enquêtes judiciaires auront lieu avec à la clé de possibles annulations de scrutins et de possibles scandales avec destinations prisons garanties.)

[7]

En tout état de cause on comprend ici en tout cas deux choses. La première est que si Trump n’obtient pas des audits complets et agréés par lui, la vérification de la validité de tous les bulletins, et pas de simples recomptages de voix, alors nous serons face à une parodie de justice, son droit d’être entendu et de faire valoir son droit seront violés. Il y aura sur le fond un déni de justice.

On comprend aussi que tout se jouera au niveau des preuves, en rappelant qu’une chose peut bien être arrivée mais ne jamais être reconnue par la justice. La vérité de la vie réelle est parfois ignorée par la vérité judiciaire lorsque cette dernière trouve que les éléments présentés ne sont pas assez probants, ce qui est souvent une affaire d’interprétation dans laquelle la subjectivité (politique) peut parfois aussi jouer de sales tours.

Ce que l’on voit dans les graphiques présentés ci-dessus ne sont à ce stade que des anomalies statistiques. Si l’on prend individuellement ces anomalies elles ne prouvent rien, tant qu’on ne trouve pas d’autres éléments liés ou qu’on n’a pas de confirmation d’actes malveillants. Il a été dit que ce ces lots de bulletins de vote sortis du milieu de la nuit s’expliquaient parce que c’étaient des votes par correspondance qui ont surtout la faveur des Démocrates. Ce qui reste aussi à prouver et en relation avec les affirmations de la jeune Melissa Carone ou avec les arguments de l’avocate Sidney Powell. Mais ce qui gêne surtout ici, c’est – précisément – et déjà, l’accumulation de toutes ces anomalies, de toutes ces affirmations de fraudes et d’autres erreurs de toutes sortes qui, à ma connaissance, vont toujours et tout le temps dans le même sens, c’est-à-dire exclusivement en faveur de Joe Biden et des Démocrates.

Des anomalies et des erreurs inexpliquées il y en a. Lorsque accumulées elles vont toutes et toujours dans le même sens en faveur d’un seul candidat, que s’y ajoute des plaintes étayées, alors la suspicion est plus que fondée.

Comment expliquer par exemple ces autres erreurs de « transferts de voix » qui ont comme par hasard enlevé des voix à Trump pour les attribuer à Biden ? Deux cas au moins sont à ce jour documentés. L’un dans le comté d’Antrim (toujours le Michigan) qui a soustrait 3'000 voix à Trump pour les attribuer à Biden, donnant à ce dernier 6'000 voix d’avance sur Trump. Les autorités ont reconnu l’erreur, redonné l’avance à Trump, sans toutefois s’étendre ni livrer aucun rapport, attribuant ce transfert de voix à une simple erreur d’un clerc (greffier) qui aurait oublié de mettre à jour le logiciel servant à agréger les résultats. Dans le Michigan, donc, on peut arriver à envoyer des hommes sur la lune mais avoir des logiciels incapables d’additionner des boules rouges et des boules bleues sans les confondre entre elles et les mélanger. Ce n’est tout simplement ni sérieux ni crédible.

Le deuxième cas certifié (à ma connaissance et à ce jour) est arrivé en Pennsylvanie, où tout le monde a pu voir en direct sur CNN le total des voix de Biden augmenter de 19'958 voix alors qu’il diminuait instantanément du même montant pour Trump (ne pas confondre avec l’erreur du Kentucky en 2018). L’erreur a ici aussi été reconnue, et selon les fournisseurs du système informatisé de compte électoral ce serait cette fois une erreur de totaux provenant du comté d’Armstrong qui auraient été entrés manuellement et « par erreur » à l’envers par un opérateur !

Deux erreurs ici certifiées et corrigées, une fois parce que le logiciel n’a pas su faire l’addition l’autre fois parce que c’est l’opérateur qui n’a pas su la faire manuellement. Et à chaque fois une erreur en faveur de Biden. Toujours en faveur de Biden. Qui peut seulement croire ça ?

Et ici ce ne sont que des exemples parmi d’autres qui ne cessent de s’accumuler au milieu d’actes très graves, comme ceux décrits par exemple dans cette autre plainte déposée par Cheryl A. Costantino et qui s’ils sont prouvés devraient à mon sens à eux seuls faire annuler tout le scrutin du Michigan.

Extrait :

« En résumé, cette plainte soulève de nombreux cas de fraude, y compris, mais non limité à:

a. Les accusés traitaient et comptaient systématiquement les bulletins d’électeurs dont le nom ne figurait pas dans le fichier des électeurs qualifiés (QVF) ou dans le fichier supplémentaire. Lorsque le nom d’un électeur ne pouvait pas être trouvé, l’employé électoral attribuait le vote à un nom aléatoire déjà dans le QVF d’une personne qui n'avait pas voté.

b. Les accusés demandaient aux agents électoraux de ne pas vérifier les signatures sur les bulletins de vote par correspondance, d’antidater les bulletins de vote par correspondance et d’enregistrer ces bulletins indépendamment de leur validité. (… suit jusqu’à lettre j.) »

[8]

Ce que l’on voit ici, déjà, au travers des quelques éléments présentés, ce ne sont ni des anecdotes ni des broutilles. Ce que l’on voit ne ressemble pas à des faits isolés mais bien à une volonté étendue, globale, plurielle et quasi systématique qui va toujours dans le même sens. Les faire passer pour des élucubrations du président Trump ou des faits insignifiants revient tout simplement à travestir la réalité, et à faire croire aux citoyens autre chose que la réalité.

QUAND LA DÉMOCRATIE S’EFFONDRE

Bien évidemment toutes ces erreurs, anomalies et plaintes, ne sont à ce stade que des dossiers pré-judiciaires. Mais ils montrent cependant, déjà, une véritable catastrophe pour nos démocraties, littéralement un effondrement de la Démocratie et de nos valeurs, et non pas pour la raison que l’on pourrait croire, et sans préjudice de ce que dira la justice.

Lorsque celui qui est censé être le gardien de la vérité (la presse) devient celui-là même qui sabote la vérité alors l’on comprend où l’on veut en venir.

Au vu des plaintes, des anomalies statistiques et des témoignages, Trump était (et sera toujours) parfaitement légitimé à demander des enquêtes et des comptes en justice, toutes les enquêtes, tous les audits et tous les recomptages qu’il pourra juger nécessaires. Comme n’importe quel citoyen le serait dans n’importe quel Etat de Droit. Mais au a lieu de demander le respect de son droit, de le reconnaître, c’est une curée médiatique visant à détruire qui s’est déchaînée contre lui, avec une stupidité parfois sans bornes. Et c’est ici exactement ça le problème.

Entre un président de la commission des affaires étrangères du Bundestag allemand, qui à peine deux jours après le vote, s’est précipité sur CNN tel un lèche-bottes (c’est le nom qui convient) pour dire (enfin) tout le mal qu’il pensait de Trump (quel courage) et alors que le sort définitif de l’élection n’était pas encore connu (quelle stupidité) [9] ; entre un rapport de l’OSCE du très européen observateur digne de confiance de l’élection qui a produit son rapport complet lui aussi à peine deux jours après le vote et alors que l’élection n’était pas encore certifiée ni purgée de ses contentieux juridiques (quelle intelligence, si le résultat change entre temps) rapport officiel qui n’a trouvé dans l’élection comme seul vrai problème qu’une attitude négative de Trump durant la campagne (quel crédit, qui les croira encore ?) [10]  ; entre des médias parfaitement pitoyables qui ont eux-mêmes (s’érigeant en juges) élu Biden en manipulant l’information et qui, jusqu’à la RTS, sont arrivés à nous expliquer, un jour que Trump commençait à reconnaître sa défaite, puis à nous dire (puisque ce n’était pas vrai) qu’il était dans le délire, on comprend que le problème ce n’est pas seulement que cette élection puisse voir son intégrité remise en cause.

Le problème c’est cette presse qui ment et manipule, qui décide, contrairement aux faits, ce que doivent croire ou non les citoyens à propos du résultat d’une élection. Le problème c’est cette chaîne de désinformation allant des politiques aux journalistes qui peut faire croire aux gens l’exact inverse de la réalité. Car non, Trump n’agit pas en dictateur qui refuse illégitimement le transfert du pouvoir, c’est un candidat qui au vu des faits et des témoignages est parfaitement légitimé à demander des enquêtes et des comptes judiciaires avant tout transfert du pouvoir présidentiel.

Au vu des faits et des témoignages, Trump ne viole pas les institutions (le pourrait-il seulement) c’est au contraire un candidat qui en demande le respect et l’intégrité.

La vérité est un des piliers de la démocratie. Si les faits ne sont pas traduits correctement alors plus aucune décision ne peut plus être prise librement, la démocratie n’est plus qu’un simulacre vide de sens.

Ce que l’on a ici sous nos yeux c’est un effondrement de la Démocratie.

Non pas parce que nous assistons à un degré inédit de corruption électorale dont la justice devra dire ce qu’il en est, mais parce que nous avons sous les yeux une presse mondiale qui est en train de mentir sur les faits, de tenter de manipuler l’opinion publique en travestissant la réalité au point de heurter sans aucune sanction nos valeurs de vérité et de démocratie.

Ce qui se passe juste là sous nos yeux c’est une péjoration profonde et délétère de l’état de notre Démocratie. C’est celui d’un monde où c’est la presse qui désormais fait la loi. Une presse profondément corrompue.

Face à un tel événement, face à une telle démonstration de corruption et de travestissement de la réalité, on comprend que l’après ne sera plus jamais comme l’avant, que des réactions vont forcément être engendrées. Essayer de manipuler le sort d’un scrutin électoral c’est amener la corruption jusqu’au cœur même de la Démocratie, seul un fou oserait croire qu’une telle tentative de manipulation de cette ampleur puisse rester sans conséquences.

La presse, stupide parce qu’arrogante, a ici franchi le Rubicon, une ligne rouge dont il ne sera pas possible de revenir en arrière. Quelqu’un forcément en payera le prix. La presse parce que le peuple l’aura prise odieuse la main dans le sac, le peuple parce que sans opposition les journalistes sans scrupules iront toujours plus loin dans la manipulation.

Les citoyens qui ont un peu de conscience devraient se lever frontalement contre cette presse qui tente actuellement de manipuler l’opinion publique. Nul ne peut prétendre vivre en liberté et en démocratie lorsque la presse peut relater de manière exactement inverse à la réalité ce qui se passe dans la première puissance économique et démocratique du monde. Et au-delà des théories et des opinions, ce sont les faits, et ils sont là, juste sous vos yeux.

Si vous ne le croyez pas relisez juste les affidavits que la presse tente de faire passer pour de simples anecdotes ou des élucubrations. Et demandez-vous si vous risqueriez vous-même 5 ans de prison pour les soutenir devant un juge. Sans doute alors auriez-vous à nouveau un peu plus accès au véritable sens de la réalité.

Michel Piccand

P.S.

Cet article n’est qu’un instantané de la situation. Celle-ci amenant chaque jour son lot de faits nouveaux. Tout ce qui pourrait encore se passer ne change rien à ce qui est dit sur l’effondrement de la Démocratie et la corruption de la presse. Le crime, comme l’on dit, est déjà consommé.

Ce qu’il importe de voir c’est que sans internet, sans les médias alternatifs, sans les réseaux sociaux, les citoyens suisses et plus généralement européens n’auraient strictement rien su de la réalité présentée ici. Ceux qui suivent la RTS, Le Temps, Tamedia, Ringier, l’ATS, Le Monde, l’AFP, etc. n’en auraient strictement rien su. Et ça c’est une leçon capitale. A retenir.

Alors que nous écrivions ces lignes, que la bataille juridique devient de plus en plus énorme et que son existence et sa légitimité ne font aucun doute, que l’avocate Sidney Powell vient juste de déposer ses plaintes en Géorgie et Pennsylvanie, qu’elle va encore amener de nombreuses preuves, que le nombre de témoignages de fraudes ne cesse de se multiplier, la RTS publiait le titre ci-dessous. Si ça ce n’est pas de la désinformation alors on ne sait pas ce que c’est.

https://www.rts.ch/info/monde/11782282-donald-trump-fait-un-pas-de-plus-vers-lacceptation-de-sa-defaite.html

NOTES

[1]

https://www.senatorlanatheis.com/theis-barrett-letter-urges-benson-to-take-action-on-alleged-voter-fraud-irregularities/

[2]

AFFIDAVIT OF RICHARD HOPKINS

https://fr.scribd.com/document/483333233/AFFIDAVIT-OF-RICHARD-HOPKINS

[3]

USPS Whistleblower Richard Hopkins FULL COERCIVE INTERROGATION By Federal Agents.

https://www.youtube.com/watch?v=QkNkQ2nDQfc&feature=youtu.be

[4]

https://twitter.com/McAdooGordon/status/1326759794913456129

Tweets du 11-12 nov.

[5]

https://www.washingtonpost.com/investigations/postal-worker-fabricated-ballot-pennsylvania/2020/11/10/99269a7c-2364-11eb-8599-406466ad1b8e_story.html

[6]

AFFIDAVIT OF MELISSA A. CARON

https://www.greatlakesjc.org/wp-content/uploads/Supplemental-Brief-Motion-for-TRO-Costantino.pdf

[7]

Sidney Powell

https://www.youtube.com/watch?v=TSZagObThPY

https://www.defendingtherepublic.org/

[8]

PLAINTE COSTANTINO p. 3

https://www.greatlakesjc.org/wp-content/uploads/Complaint-Costantino-FINAL-With-Exhibits.pdf

[9]

INTERVIEW DE NORBERT RÖTTGEN (CDU) président de la commission des affaires étrangères du Bundestag allemand, sur CNN. 4 novembre 2020.

German lawmaker: Trump's behavior 'awful' Amanpour

https://edition.cnn.com/videos/tv/2020/11/04/amanpour-norbert-roettgen-trump.cnn

[10]

RAPPORT OSCE

Des élections très compétitives aux États-Unis ternies par l'incertitude juridique et des tentatives sans précédent de saper la confiance du public, disent les observateurs internationaux.

(Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe)

« Les allégations sans fondements de carences systématiques, notamment de la part du président sortant, y compris lors de la nuit de l’ élection, nuisent à la confiance du public dans les institutions démocratiques ».

Rapport des constats et conclusions préliminaires de la Mission internationale d’observation de l’élection, publié le 4 novembre 2020. P. 23.

Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme de l'OSCE (ODIHR) et de l'Assemblée parlementaire de l'OSCE (AP OSCE).

https://www.osce.org/files/f/documents/9/6/469437.pdf

Un postier du Michigan témoigne : “on nous a ordonné de mettre les bulletins de vote par correspondance de côté pour qu’ils soient tamponnés manuellement avec la date du jour précédent”

“Dites-nous où vous travaillez.“

“Je travaille à la poste de Traverse City. Plus spécifiquement la branche de Barlow.”

“Votre patron vous a dit à vous et à vos collègues quelque chose qui vous a choqué ce matin. Qu’était-ce ?“

“Nous avons reçu une directive ce matin nous ordonnant de collecter tous les votes par correspondance que nous trouverions dans des boîtes à lettre, des boîtes de collecte, tout ce qui sert à récolter du courrier en général, et d’ensuite les séparer afin qu’ils puissent les tamponner manuellement avec la date du jour précédent. Afin que ce soit clair aujourd’hui nous sommes le 4 novembre.”

 

 

[…]

[…] l’inspecteur général nous informe qu’il est maintenant au courant de cette affaire, que ça tombe dans sa juridiction, ils évaluent si ils vont enquêter […]

Via Fdesouche

États-Unis : nouvelle fraude électorale révélée en caméra cachée, cette fois pour faire élire Joe Biden et certains juges

Project Veritas a publié son dernier reportage sur la manipulation des électeurs au Texas, qui fait suite à la vidéo diffusée hier.

S’adressant à Raquel Rodriguez, qui est consultante pour le candidat républicain Mauro Garza, la journaliste infiltrée de Project Veritas a demandé : “alors ces républicains aussi veulent aider Biden ?

Raquel Rodriguez détaille combien d’argent elle reçoit par vote, et qui la paie pour ses services. Elle poursuit en déclarant qu’elle gagnera 71 000 dollars en liquide pour ses efforts. Ceux qui ne peuvent pas payer, comme un juge local, lui devront plutôt des faveurs.

 

 

 

 

“Oui, c’est ce que je fais”, a déclaré Mme Rodriguez, “c’est exactement ce pour quoi je suis payée. Mes gens sont sous couverture, parce que certains d’entre eux sont républicains, d’autres démocrates. Certains de mes républicains sont des présidents de circonscription, cela ne peut pas être connu, parce qu’ils pourraient se faire virer, mais ils veulent aider Biden”. […]

Hier Project Veritas avait montré Rodriguez, et son effort pour aider une personne âgée à changer leur vote du candidat républicain au candidat démocrate via ses instructions. […]

The Post Millenial

Turquie : Erdogan condamne une perquisition « islamophobe » et « raciste » dans une mosquée allemande après des soupçons de fraude aux subventions Covid-19

“Je condamne vigoureusement l’opération de police qui fait fi complètement de la liberté de religion et qui relève de l’islamophobie et du racisme qui renvoient l’Europe aux ténèbres du Moyen Age”, a déclaré le chef de l’Etat turc sur Twitter. La police allemande avait perquisitionné mercredi plusieurs entreprises et la mosquée Mevlana, situées à Kreuzberg, quartier de Berlin majoritairement peuplé des habitants issus de l’immigration turque.

L’opération était due aux soupçons de fraude aux subventions publiques accordées aux entreprises pour les soutenir pendant la pandémie du Covid-19. […]

L’Orient-Le Jour

[…]

« Je condamne fermement l’opération de la police qui se nourrit du racisme et de l’islamophobie et ignore entièrement la liberté de croyance » a déclaré Erdogan dans un message publié sur Twitter.

Selon le président turc, aucun motif ne peut constituer de base à la profanation d’un lieu sacré.

Erdogan a déploré que l’Europe, berceau de la démocratie, des droits de l’Homme et des libertés durant des années, soit devenue une structure qui combat les diversités.

La police avait mené une perquisition à la mosquée de Mevlana ainsi qu’à 4 commerces accusés d’avoir bénéficié à tort de l’aide financière consacrée aux petits commerces affectés par le coronavirus.

Lors de la perquisition réalisée mercredi matin avec la participation de 150 policiers, plusieurs d’entre eux ont marché sur les tapis de la mosquée avec leurs bottes.

TRT (Radio-Télévision d’État de la Turquie)

Via Fdesouche

 

États-Unis : la député musulmane démocrate Ilhan Omar au centre de ce qui pourrait être le plus important système de fraude électorale du pays

Un “courtier en bulletins” se vante de conserver des centaines de bulletins de vote par correspondance dans le coffre de sa voiture. Il se vante qu’ils soient remplis par d’autres personnes que les électeurs. Souvent, de l’argent change de main. Des témoins relient la fraude généralisée au président de campagne d’un membre éminent de l’ “escouade” radicale de la Chambre des États-Unis. Des lois électorales peu contraignantes permettent aux gens de venir de l’extérieur de l’État, de voter, puis de repartir.

Cette activité se déroule réellement en Amérique en 2020, et elle a été mise sur vidéo par le journaliste guérillero James O’Keefe. Certaines de ces activités pourraient se dérouler dans des états-clés près de chez vous si on ne fait rien.

Un effort concerté est en cours pour se servir du coronavirus comme prétexte pour transformer la façon dont nous votons aux élections, en passant à des bulletins de vote par correspondance. On nous dit que la démocratie sera améliorée si nous permettons que les bulletins de vote soient traités en dehors du contrôle des fonctionnaires électoraux – et qu’il n’y a presque pas de fraude électorale, alors pourquoi s’inquiéter ?

Le bon sens et les observateurs électoraux s’opposent à tout changement soudain. “Les bulletins de vote par correspondance restent la plus grande source de fraude électorale potentielle”, a conclu la Commission bipartite sur la réforme électorale fédérale, coprésidée par l’ancien président Jimmy Carter [NdeFDS : Démocrate]. Autoriser de tels bulletins “augmente les risques de fraude et de contestation des élections”.

En 2012, un grand jury dans le comté de Miami-Dade avait mis en garde contre les risques de vote par correspondance : “Une fois que ce bulletin de vote n’est plus entre les mains de l’électeur, nous n’avons aucune idée de ce qu’il advient de lui. Les possibilités sont nombreuses et effrayantes”.

Omar Escobar, le procureur démocrate du comté de Starr, au Texas, affirme que dans sa région, la maltraitance des citoyens âgés pour leurs bulletins de vote par correspondance est telle que “le moment est venu d’envisager une alternative au vote par correspondance… quelque chose qui ne peut pas être détourné”.

Le guérillero-journaliste James O’Keefe est célèbre pour avoir coincé plusieurs institutions allant du frauduleux groupe d’enregistrement des électeurs ACORN [NdeFDS:fédération de syndicats de quartier] à la Radio Publique Nationale (NPR) en passant par Google. Son équipe de Project Veritas a également rassemblé un nombre impressionnant de vidéos documentant la fraude électorale et la facilité avec laquelle elle peut être commise.

Les reporters de Veritas ont constaté qu’il était facile de voter en utilisant le nom d’une personne décédée dans le New Hampshire. Ils ont filmé un militant de Greenpeace dans le Colorado se vantant d’avoir trouvé des bulletins de vote dans des poubelles qui pouvaient être envoyés frauduleusement par la poste. En Caroline du Nord, des agents politiques ont encouragé les représentants de Veritas à voter même s’ils n’étaient pas citoyens. En 2016, les caméras de Veritas ont filmé Alan Schulkin, le commissaire électoral démocrate de Manhattan, en train de dire : “C’est absurde. Il y a beaucoup de fraude. Pas seulement la fraude électorale, mais toutes sortes de fraudes”. Il a expliqué : “Ils mettent [les gens] dans un bus et vont de site de vote en site de vote.” La franchise de Schulkin avait rapidement déclenché son renvoi par le maire de New York, Bill de Blasio [NdeFDS: démocrate].

Aujourd’hui, O’Keefe a conduit ses caméras à la “récolte des bulletins de vote”, qui consiste pour des tiers à collecter des bulletins de vote par correspondance et à les remettre aux responsables des élections. Bien qu’illégale dans certains États, cette pratique est légale en Californie et dans d’autres États. La personne qui recueille les bulletins peut même être un travailleur de campagne rémunéré pour quelqu’un qui figure sur le bulletin de vote. Les soi-disant courtiers en bulletins de vote ciblent certaines communautés, complexes d’appartements ou maisons de retraite pour collecter des votes pour leur parti politique.

O’Keefe a mis au jour ce qui semble être une fraude électorale massive et continue à Minneapolis. Elle est liée à l’appareil politique d’Ilhan Omar, la députée du cinquième district du Minnesota (Minneapolis) et proche alliée d’Alexandria Ocasio-Cortez à la Chambre des représentants.

Ilhan Omar a été élue pour la première fois en 2018 et est rapidement devenue une figure controversée, blâmée pour ses propos antisémites et accusée de dépenses de campagne douteuses et d’avoir commis une fraude à l’immigration en épousant son frère. En 2020, elle a été contestée par Anyone Melton-Meaux, un avocat qui avait promis de moins se focalisé sur la politique progressiste nationale et qui a fait campagne sur le slogan “Concentré sur le 5ème”. Il avait été soutenu par le comité de rédaction du Minneapolis Star Tribune et par l’ancienne présidente de la NAACP de Minneapolis, Nekima Levy-Armstrong.

Melton-Meaux avait fini par perdre lors des primaires démocrates du mois d’août, 57% contre 39%.

Beaucoup de gens pensent que la domination totale d’Omar sur la politique du district est due à la capacité de son appareil à tromper, séduire ou soudoyer les membres de sa communauté somalienne pour qu’ils commettent des fraudes électorales.

La loi du Minnesota interdit à quiconque de collecter plus de trois bulletins de vote lors d’une élection. Alors pourquoi Liban Mohamed, un “courtier en bulletins”, se targue-t-il d’avoir dans sa voiture 300 bulletins de vote des primaires du mois d’août, dont beaucoup sont vierges et certains ouverts ? “L’argent, c’est tout”, dit-il en riant sur la vidéo. Les militants décrivent comment les gens reçoivent de l’argent liquide lorsqu’ils remettent leur bulletin de vote par correspondance pour qu’il soit rempli.

A. J. Awed, un Somalien qui avait été candidat perdant au conseil municipal dans le quartier 6 de Minneapolis, est choqué par la “corruption” qu’il voit. Il appelle l’appareil d’Ilhan Omar “une alliance entre [son] clan et la gauche progressiste”. Un militant politique somalien affirme que le Parti démocratique de l’État est au courant de ces combines. Elle décrit comment des Somaliens qui ont depuis longtemps quitté l’État, enregistrent temporairement leur résidence et votent le jour des élections, avec des locaux travaillant sur la campagne qui se portent “garants” pour eux. Ils disparaissent ensuite et retournent à leur vrai domicile et à leur vie normale. Aujourd’hui, avec l’assouplissement des lois sur le vote par correspondance, il est encore plus facile de tricher.

 

 

Omar Jamal est le guide et le facilitateur de O’Keefe pour la réalisation de ces vidéos d’infiltration. Somalo-Américain, Jamal travaille pour le bureau du shérif du comté de Ramsey et dirige également le groupe de vigilance somalien, qui lutte contre la corruption de certains dirigeants de la communauté.

Selon les sources d’O’Keefe, les pratiques qu’il décrit sont organisées par Ali (Isse) Gainey, le directeur adjoint du district d’Ilhan Omar. Isse a joué un rôle essentiel dans les deux campagnes réussies d’Omar au Congrès, en tant qu’organisateur de terrain pour sa course à la Maison du Minnesota et que directeur de la sensibilisation pour sa première campagne au Congrès. Jamal affirme qu’Ilhan Omar “brime sa propre communauté et sabote l’intégrité des élections”.

La corruption n’est pas nouvelle non plus. Phyllis Kahn, représentante démocrate de l’État à Minneapolis pendant 44 ans jusqu’à ce qu’elles soit battue par Ilhan Omar en 2016, se plaint depuis longtemps de la fraude électorale liée à l’appareil d’Omar ; elle pense que la fraude a contribué à sa défaite soudaine.

Mais Phyllis Kahn n’est pas la seul démocrate à s’inquiéter de l’existence d’une fraude électorale qui compromette sérieusement nos élections. La député Tulsi Gabbard, la démocrate hawaïenne qui a fait un peu parler d’elle en tant que candidate à la présidence cette année, est devenue l’un des principaux co-parrains d’un projet de loi visant à retirer l’aide aux élections fédérales aux États qui autorisent la récolte des bulletins de vote. Son homologue républicain sur la loi sur la prévention de la fraude électorale est le républicain de l’Illinois Rodney Davis.

“L’interdiction de la collecte de bulletins de vote n’est pas une question partisane… et elle est propice à la fraude”, dit-elle dans une vidéo. “Cela constitue une menace sérieuse pour l’intégrité de nos élections.”

Omar Jamal est encore plus direct. “Si les Américains ne font pas attention à ce qui se passe, le pays va bientôt s’effondrer”, prévient-il. “Il y a des règles et des réglementations, si vous les ignorez et que vous laissez la corruption et la fraude devenir une affaire quotidienne, alors tant pis. Le pays tel que vous le connaissiez n’existera plus”.

National Review

Via Fdesouche

Vaud. Fraude aux «crédits Covid» : des millions détournés par des individus d’origine turque, naturalisés suisses

Entreprises perquisitionnées, un homme placé en détention: les autorités ont ouvert l’enquête sur une arnaque qui se monte en millions et dont une partie a été transférée en Turquie.

[...]

Les locaux de plusieurs entreprises ont été perquisitionnés. De nombreux comptes ont été bloqués. Les auteurs présumés sont des ressortissants suisses, originaires de Turquie. Ils sont suspectés d'avoir obtenu des aides totales de plusieurs millions de francs auprès de diverses banques sur la base de déclarations mensongères.

[...]

20min.ch

Nos remerciements à Dany Riviera

Fraude à la Sécurité Sociale : 84 millions de numéros pour 67 millions de résidents sur le territoire…

Les politiques feront sans doute semblant de découvrir que la fraude provient massivement des étrangers et que ça coûte aux contribuables des milliards d’euros chaque année… Aucun lien ne sera fait avec le déséquilibre financier de notre système social.

 

 

Via Contre-info.com

Pays-Bas : des centaines de Turcs possèdent des richesses dans leur pays d’origine alors qu’ils reçoivent l’aide sociale.

Si vous demandez une prestation d'assistance sociale ou, par exemple, un supplément à l'AOW, vous êtes tenu de déclarer tout capital. Si vous ne le faites pas et si, par exemple, une résidence secondaire est trouvée à l'étranger, la prestation sera interrompue et l'argent versé à tort devra être remboursé.

Le site Nieuwsuur a demandé aux municipalités (responsables des prestations d'assistance sociale) et à la SVB (responsables des prestations dites AIO) combien de fois ces dernières années, des recherches avaient été menées sur des avoirs dissimulés à l'étranger. En 2016 et 2017, 625 recherches ont été effectuées en Turquie, 154 fois au Maroc et 130 fois au Suriname.

En Turquie, 17 millions de biens cachés ont donc été découverts. Pour le Maroc et le Suriname, aucun montant n’est connu.

Mustafa Yeneroglu, un parlementaire turc de premier plan, accepte la fraude, mais souhaite interdire aux Pays-Bas d’enquêter sur la fraude à la prestation en Turquie. "L'enquête sur des avoirs dissimulés en Turquie est illégale"

 

Les enquêtes pour les municipalités sont souvent effectuées par le Bureau international d'informations sur la fraude (IBF), qui relève de l'UWV. La SVB a souvent recours à l'attaché social de l'ambassade des Pays-Bas dans le pays concerné.

Les municipalités et la SVB peuvent, en cas de découverte d’actifs cachés, arrêter le paiement et récupérer l’argent qui a été indûment payé. Par exemple, en 2014, la municipalité d'Almelo a mené une enquête sur 35 personnes ayant droit à des prestations avec possession supposément dissimulée en Turquie. Dans 21 cas, la prestation a été interrompue. 1,7 million de prestations indûment versées ont été recouvrées.

 

 

Selon Arjen Maathuis, conseiller municipal des affaires sociales à Almelo, il est très difficile de recouvrer réellement l'argent réclamé. "C'est parce que les personnes concernées vivent souvent au niveau de l'aide sociale, et vous demandez ce qui est possible en vertu de la loi. En outre, monétiser la résidence secondaire en Turquie est très compliqué et prend beaucoup de temps."

En 2016, la municipalité de La Haye a enquêté sur 21 cas de possession cachée présumée dans plusieurs pays. 194 000 euros de prestations d'aide sociale indûment versées ont été réclamés, dont seulement 298 euros ont finalement été remboursés. Bert van Alphen, conseiller municipal pour les affaires sociales à La Haye, plaide en faveur de la conclusion de traités qui facilitent l'échange d'informations entre les Pays-Bas et d'autres pays.

 

Nos.nl / Voice of Europe

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappels :

Pays-Bas : Des garçons musulmans déclarent à un bénévole: « Si nous dominons ici, vous serez tous décapités ».

Pays-Bas : un « gros attentat terroriste » a été déjoué par la police, 7 arrestations dans les milieux djihadistes

Pays-Bas : un tribunal condamne légèrement un demandeur d’asile afghan coupable de viol afin qu’il ne soit pas expulsé.

Pays-Bas. Maurice Crul professeur en sciences sociales : « Les Hollandais doivent s’habituer à devenir une minorité. »

Pays-Bas : victime présumée d’un viol collectif par des musulmans, une élue du PVV se suicide

Allemagne : Elle perd son travail après avoir dénoncé plus de 500 migrants fraudeurs

Nous sommes à l’été 2015. Les employés de l’Agence d’accueil de l’état Niedersachsen à Braunschweig (LAB) ont du pain sur la planche. Ils doivent enregistrer les demandeurs d’asile, délivrer des certificats de performance et leur verser de l’argent de poche. L’une d’elles est Nadia Nischk, aujourd’hui âgée de 49 ans. Avec un collègue, elle découvre que certains demandeurs d’asile semblent acquérir de fausses identités pour obtenir plusieurs enregistrements.

Les deux femmes trient les affaires, créent des listes et organisent des photos numériques. Au début, ils en récoltent les louanges. Mais quand Nadia Nischk va plus loin et essaie de ramener des cas anciens, déjà traités, et veut enfin signaler à la police des centaines de cas présumés de fraude, l’humeur du LAB change. Elle devrait apporter les dossiers à la cave, elle a été appelée par les supérieurs, se souvient-elle plus tard. Elle ne s’y tient pas, et se rend à la police après une nuit blanche. Il va commencer l’enquête en 2016. Contre des centaines de prétendus fraudeurs sociaux, mais aussi contre l’autorité d’accueil de l’Etat elle-même, Nadia Nischk, qui a tout fait rouler, perd son travail. Les incidents seront connus début 2017.

Les enquêtes continuent

Depuis février, le parquet de Braunschweig enquête maintenant sur la Landesaufnahmebörde pour suspicion de déloyauté. Un résultat final est toujours en attente. La police enquête sur la fraude sociale de plus de 500 migrants. Dans 7 cas, les auteurs ont déjà été condamnés et des accusations ont été portées dans 15 affaires.

Nadia Nischk toujours au chômage

Et Nadia Nischk ? Les lecteurs de la “Braunschweiger Zeitung” l’ont élue “Braunschweiger de l’année” en novembre. Elle n’arrive pas à y croire. Elle n’a rien fait de spécial, dit-elle humblement après la cérémonie. Elle n’avait sauvé aucune vie ni risqué la sienne. Elle a seulement dit la vérité. Bien que cette vérité lui ait coûté son travail et qu’elle soit toujours au chômage, elle ne regrette rien. “Je le ferais encore et encore.”

Source

Via Suavelos.eu

Genève – Une unité spéciale fondée pour traquer les fraudeurs

Des enquêteurs opèrent depuis le 1er mars à Genève pour détecter les abus à l'aide sociale, la fraude fiscale et les domiciliations abusives

A Genève, une unité d'enquêteurs a été créée par l'Etat pour lutter contre la fraude aux prestations sociales, la fraude fiscale et la domiciliation fictive. L'équipe est opérationnelle depuis le 1er mars, a indiqué lundi Pierre Maudet.

Les fraudes aux prestations sociales sont pénalement répréhensibles depuis le 1er octobre dernier, a rappelé le conseiller d'Etat. Une amnistie avait été décrétée par le canton de Genève peu avant cette échéance pour permettre aux gens à l'aide sociale d'annoncer leurs biens non déclarés et de régulariser sans risque leur situation.

Le temps de la tolérance est désormais révolu. «Après la carotte, c'est le bâton», a souligné le magistrat responsable du département de la sécurité et de l'économie. Outre la fraude aux prestations sociales, le canton a décidé d'étendre les compétences de ses enquêteurs à la fraude fiscale et à la domiciliation fictive.

Cette dernière concerne la personne qui élit domicile à l'étranger, à Monaco ou à Dubaï par exemple, tout en continuant d'avoir ses intérêts principaux à Genève et à passer beaucoup de temps sur les bords du Léman. Mais elle comprend aussi celui qui déclare habiter dans un autre canton, mais qui gagne l'essentiel de son argent à Genève.

Le canton n'a pas de chiffres précis à donner sur le nombre de cas. «Nous avons simplement des indices», a noté M. Maudet. Ces fraudes qui sont désormais pourchassées par l'unité d'enquêteurs représenteraient entre 3 et 7% des dépenses sociales, soit une somme pouvant totaliser jusqu'à 85 millions de francs. [...]

ATS

Les commentaires les plus populaires sur 20minutes.ch

- Pierre
Millions à gagner
C'est le moment de traquer tous ces profiteurs à notre charge ! Les autres cantons devraient faire la même chose au plus vite ...

- les dix gaga
Ah ben
si jamais, je ne voudrais pas faire de délation mais je connais plusieurs personnes hauts gradés à la poste qui ont magouillé des dizaines de millions

- Michael Bond
Aussi nécessaire ailleurs
A quand la même chose dans le canton de Vaud ???

Source : 20minutes.ch

France: Quand Marlène Schiappa, secrétaire d’État, expliquait comment frauder la sécurité sociale

Marlène Schiappa est l’une des figures de la société civile choisie par Emmanuel Macron. Bon, en réalité, elle est élue socialiste au Mans… mais faisons comme si. Les amateurs de moralisation de la vie politique apprécieront cet extrait de son ouvrage Maman travaille, où elle explique comment obtenir des congés pathologiques après une maternité. […]

 

On lira donc cet extrait édifiant:

IRBA2

IRBA2 (1)

 

Entreprise News

Valais: Malgré les fraudes avérées, le gouvernement a été validé

Le Grand Conseil valaisan a validé lundi matin l'élection du gouvernement cantonal. Il a rejeté par 105 voix contre 23 un recours de l' UDC contre le scrutin en raison d'irrégularités.

Une heure de débat nourri a occupé les parlementaires. A l'exception de l'UDC, tous les groupes ont estimé que l'importance des fraudes dénoncées ne changerait pas le résultat. Ils ont tous soutenu la nécessité de valider le scrutin.

Source et article complet

Un scandale français – Faux, blanchiment, fraude et abus

France-menottée-2

   
Michel Garroté - "Argent liquide, Kadhafi et James Bond, voici les choses qu'il faut savoir sur Boris Boillon", écrit, en substance, Jules Pecnard, sur lexpress.fr (lien en bas de page) : Arrêté à la gare du Nord, en juillet 2013, avec 350'000 euros et 40'000 dollars dans ses bagages, l'ancien diplomate du Quai d'Orsay, Boris Boillon, est actuellement jugé pour faux et usage de faux, blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux. En cause, son arrestation en juillet 2013 à la gare du Nord en possession de 350'000 euros et 40'000 dollars en argent liquide.
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Âgé aujourd'hui de 47 ans, Boris Boillon a été conseiller de Nicolas Sarkozy lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, puis président de la République. Place Beauvau, il était la petite main de David Martinon, conseiller diplomatique de l'ex-chef de l'Etat. Après l'élection présidentielle de 2007, le "Sarko Boy" devient conseiller Moyen-Orient à l'Elysée. Parlant arabe, il s'illustre dans l'affaire des infirmières bulgares, servant de traducteur entre Cécilia Sarkozy, chargée du dossier par son époux, et le colonel Mouammar Kadhafi. Dès lors, le jeune conseiller est séduit par le dirigeant libyen, allant jusqu'à se vanter que celui-ci l'appelle "mon fils".
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Arabophone et spécialiste du Moyen-Orient, le diplomate est ensuite propulsé ambassadeur de France en Irak en 2009, puis en Tunisie en 2011. Surnommé "mon petit arabe" par Nicolas Sarkozy, Boris Boillon ambitionne de dépoussiérer la diplomatie française en ayant recours à un style plus franc. Ses déclarations du type, "la reconstruction de l'Irak, c'est le marché du siècle !", faisaient tousser dans les couloirs feutrés du Quai d'Orsay, comme le rapportait Paris Match.
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À son profil atypique s'ajoute sa gestion de son image, quelque peu "bling-bling" conforme à son profil sarkozyste. Dans un reportage de 66 minutes diffusé sur M6 en 2009, Boris Boillon est filmé en train de faire son footing autour de l'ambassade de Bagdad. Dans le reportage, le diplomate déclare faire chaque matin "des entraînements commando". Il y fait visiter l'ambassade, son loft, sans oublier son dressing et sa salle de bains.
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En 2011, nommé ambassadeur à Tunis dans la foulée de la chute de Ben Ali, Boris Boillon crée la polémique en se montrant agressif avec les journalistes. Dès sa première rencontre avec la presse tunisienne, il qualifie les questions de "débiles". Une scène qui a déclenché un tollé, certains Tunisiens lui lançant "Dégagez, petit Sarko !" ou encore "Boris dégage !".
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À la suite de quoi il s'est excusé, puis a accordé un entretien au magazine people Tunivisions, en s'y comparant à James Bond. Il y énumère également ses qualités, "le courage et la franchise". Son seul défaut ? "L'impétuosité". Les réseaux sociaux font aussi leur miel, à l'époque, de sa photo de profil sur le site Copains d'avant, sur laquelle il apparaît torse nu, en boxer.
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En août 2012, le président socialiste fraîchement élu n'est visiblement pas épaté par les états de service de Boris Boillon. Il le démet de ses fonctions d'ambassadeur à Tunis. Dans la foulée, l'ex-diplomate entame une carrière dans le privé en créant sa société de conseil, Spartago, spécialisée dans le "conseil pour les affaires et autres conseils de gestion". Comme l'a révélé le site du Point, Spartago a été dirigée par Malika Benlarbi, proche d'Henri Guaino.
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Une franc-maçonne qui se vante de ses excellentes relations avec l'ambassade du Qatar à Paris. En plus de ses activités de directrice générale de la société de conseil, Malika Benlarbi a été directrice des relations institutionnelles de L'Oréal pour le Maghreb et le Moyen-Orient. En plus de Spartago, Boris Boillon a également dirigé French Properties UR, société de "conseil et d'intermédiation dans les domaines liés notamment à la construction, au développement d'infrastructures et à l'énergie".
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Le 31 juillet 2013, l'ancien ambassadeur est arrêté par les douaniers à la gare du Nord, alors qu'il est sur le point de prendre un train pour Bruxelles. En jeans et polo, sans pièce d'identité ni téléphone mobile, Boris Boillon transporte dans ses bagages 350'000 euros et 40'000 dollars en argent liquide.
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Pour s'expliquer, il déclare que cet argent lui a été versés par des clients irakiens afin de lui permettre de créer une filiale de sa société de conseil. Pour sa défense, comme l'a rapporté Mediapart, l'ancien ambassadeur a fourni des documents qui se sont révélés être des faux, d'où le motif retenu de "faux et usage de faux".
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Malgré cet épisode, Boris Boillon s'est vu réintégrer dans le corps diplomatique à l'été 2016. "Il a été renvoyé en renfort jusqu'à la fin de l'année auprès de notre délégation aux Nations unies à New York", avait confirmé au Figaro une source au ministère des Affaires étrangères. Un retour de courte durée, puisque la justice l'a renvoyé en correctionnelle en novembre dernier pour avoir transporté plus de 10'000 euros en argent liquide sur sa personne.
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"Compte tenu des derniers développements de la procédure judiciaire, le ministère des Affaires étrangères a décidé d'interrompre immédiatement sa mission à New York et de procéder à son rappel en vue d'une mesure de suspension", avait annoncé un communiqué du Quai d'Orsay, qui déclarait n'avoir aucune connaissance des "suites" que donnerait la justice à l'enquête préliminaire ouverte en 2013, précise Jules Pecnard, sur lexpress.fr (lien en bas de page).
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.lexpress.fr/actualite/politique/argent-liquide-kadhafi-et-james-bond-cinq-choses-a-savoir-sur-boris-boillon_1891376.html
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Bâle-Campagne: Le Bosnien fraude l’AI pour 250’000.– « Il s’amusait à Europa-Park et passait du bon temps en Egypte et en Bosnie. »

Interrogé en juillet 2015 par les juges du Tribunal pénal de Muttenz (BL), l'accusé avait assuré à la Cour qu'il souffrait toujours de la guerre en Bosnie, qu'il traversait une longue période de dépression et qu'il souffrait de troubles somatoformes douloureux – des troubles psychiques qui entraînent des troubles physiques.

Les juges l'avaient malgré tout condamné à 3 ans et demi de prison pour escroquerie par métier, notamment en raison de photos le montrant tout sourire à Europa-Park ou en train de jouer au basket avec ses enfants. Le quadragénaire avait également été observé en train de passer du bon temps en Egypte et en Bosnie. Dans sa décision, la Cour avait également condamné l'homme à rembourser les 242'000 francs empochés illégalement. Après le tribunal cantonal, le Tribunal fédéral a confirmé cette peine la semaine dernière.

 

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Quand Christophe Barbier explique comment frauder à la Primaire de la Droite … (BFM TV)

Quand Christophe Barbier explique sur BFM TV comment frauder à la Primaire de la Droite…
- 20/11/2016, 13h42 via Fdesouche.com

Christophe Barbier est un journaliste français. Il est le directeur de rédaction de l'hebdomadaire L'Express entre et .

 

https://youtu.be/REt5xR_QV-Y