Renens, Meyrin, Onex… Vidéos de la diversité voulue par la gauche en Suisse

Voici la Suisse multiculturelle tant vantée par Parmelin, Sommaruga, Berset  & Cie.

 

 

 

 

 


Rappels :

Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Pour l’UDC Guy Parmelin, « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »

Suisse: Les jeunes socialistes veulent abolir Noël et Pâques mais soutiennent l’islam

Le Kosovo honore Micheline Calmy-Rey.

La socialiste Savary : «Le PS a des liens très forts avec les Albanophones»

 

Renens (Vaud) : « Ils étaient plusieurs à le frapper »

Une bagarre a opposé des collégiens mercredi vers midi. Selon un témoin, un ado a été pris à partie par un groupe. Bilan: quatre interpellations et un blessé léger.

(...)

20Min.ch


Rappels :

Vaud. Renens : «Un cocktail Molotov a été lancé sur l’école primaire»

Renens capitale multiculturelle

Vaud. Renens: La racaille impose sa loi. « La police a dû se retrancher dans le Coop Pronto. »

Lausanne-Renens : Un élu socialiste d’origine kurde jugé pour captation de suffrages

Renens : braquage au Coop Pronto par deux individus de type nord-africain.

Renens: La première femme voilée à faire l’armée sous enquête disciplinaire

Lorsque la RTS faisait la promotion du multiculturalisme à Renens à l'aide de politiciens socialistes en humiliant les Suisses qui y étaient opposés

Meurtre de Morges : Le Turco-Suisse parlait souvent d’Allah et de Satan

Bien entendu, aucun grief de la part de Youssuf à l'encontre de l'islam ou du fait que cet assassin kurde n'aurait jamais dû se trouver dans notre pays.

Derrière tout cela, il n'y a qu'une seule chose : l'immigration et le multiculturalisme imposés par la gauche. Le parti socialiste, loin de se soucier de ce meurtre et des conséquences de ces migrations pour la Suisse, milite aujourd'hui pour que nous en accueillons encore davantage.

On peut légitimement penser que ce Kurde musulman était à la charge de l'aide sociale suisse. Comment un tel individu a-t-il pu acquérir notre passeport alors qu'il est complètement cinglé et qu'il n'a strictement rien à voir avec notre culture?

 


Youssuf* connaît de longue date O., le tueur présumé d’un Portugais de 29 ans. «O. a sa place dans une institution psychiatrique et ça ne date pas d’aujourd’hui. Sa place n’est même pas en prison. Entre Berne et Lausanne, quelqu’un n’a pas fait son travail correctement», clame d’emblée ce quinquagénaire originaire des Balkans. [...]

Youssuf se souvient également du jeune Suisse aux origines kurdes, oisif et paumé au point de passer toutes ses journées devant une station d’essence de la région lausannoise. «Il parlait tout seul. Il répétait souvent: «Allah me demande de faire ceci et Satan me demande le contraire. Que faut-il faire?»

[...]

Ahmed*, un ancien camarade d’école de 0., évoque un «fumeur de joints, qui passait son temps à parler tout seul».

[...]

«Ma fille est au gymnase. Elle m’a dit qu’un homme bizarre les interpelle, elle et ses copines, pour leur parler d’Allah et de Satan», a révélé un Morgien d’une soixantaine d’années.

20min.ch

Morges : Un Portugais poignardé à mort dans un kebab. Aucune information sur l’agresseur qui a été arrêté à Renens.

Selon 24 heures et La Côte, qui citent des témoins, la victime se trouvait avec sa compagne lorsque l’assaillant leur a foncé dessus avec un couteau. [...]

La victime, décédée sur place, est un ressortissant portugais de 29 ans. [...]

L’auteur de l’agression a été arrêté dimanche à Renens (VD) par la police vaudoise.

La police ne donne pas d’autres informations sur cette affaire.

[...]

20min.ch

Vaud. Renens : «Un cocktail Molotov a été lancé sur l’école primaire»

Ce mardi matin, de bonne heure, la police et les pompiers sont intervenus à l'école, avant l'arrivée des premiers élèves. Selon le bruit qui court, des cocktails Molotov auraient été lancés dans le collège. Pudiquement, la police cantonale parle de «plusieurs foyers de feu», qui n'ont heureusement pas fait de blessés. Parallèlement, des vannes hydrauliques ont été ouvertes, provoquant une inondation dans le bâtiment.

[...]

20min.ch


Rappels :

Renens capitale multiculturelle

Vaud. Renens: La racaille impose sa loi. « La police a dû se retrancher dans le Coop Pronto. »

Lausanne-Renens : Un élu socialiste d’origine kurde jugé pour captation de suffrages

Renens : braquage au Coop Pronto par deux individus de type nord-africain.

Renens: La première femme voilée à faire l’armée sous enquête disciplinaire

Lorsque la RTS faisait la promotion du multiculturalisme à Renens à l'aide de politiciens socialistes en humiliant les Suisses qui y étaient opposés

Vaud. Occupation du Crédit Suisse: les militants de Lausanne Action Climat ont été acquittés

Le Tribunal de police a rendu son verdict au procès de 12 activistes de Lausanne Action Climat lundi après-midi. Ils étaient accusés de violation de domicile d'une succursale du Credit Suisse en 2018.

Neuf des douze prévenus étaient présents ce lundi, accompagnés du collectif des 13 avocats bénévoles pour cette affaire très médiatisée.

[...]

20minutes.ch

Lausanne : Un élu socialiste d’origine kurde jugé pour captation de suffrages

Les dernières élections communales de Renens (VD) se sont rejouées mardi devant le tribunal de police de Lausanne. Contre toute attente, un ancien cadre du parti socialiste (PS) et du conseil communal local avait été largement biffé des listes, lors du scrutin de 2016. D'autres de ses camarades avaient aussi subi d'étranges coups de crayon sur des listes où le nom de A.K., conseiller communal aux racines kurdes, bénéficiait pour sa part d'un courant trop favorable pour ne pas paraître suspect.

Risquant une amende de 1500 francs pour captation de suffrages, A.K. a refusé de porter le chapeau. Il a contesté avoir fait le forcing auprès des communautés étrangères, dont la sienne, pour pousser sa candidature, au détriment de quelques camarades qu'il détestait.

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20Minutes.ch

Nos remerciements à nos lecteurs

Renens : braquage au Coop Pronto par deux individus de type nord-africain.

Ce mardi matin, deux personnes ont brigandé un commerce de la gare de Renens.

Selon la Police cantonale vaudoise, le signalement des auteurs est le suivant: un homme de type nord-africain, portant un pantalon de training noir, une veste noire en cuir, des baskets blanches et noires, une écharpe sur la tête et autour du cou, ainsi que des lunettes à soleil. Il pointait un objet caché par un sachet noir, en direction de la victime.

Le second est un homme de type nord-africain portant un pantalon noir, une chemise à carreaux multicolore, un bonnet et une écharpe autour du visage et du cou.

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Vaud. Renens: un conseiller communal socialiste suspecté de captation de suffrages.

Un conseiller communal renanais vient d’être mis en accusation par le Ministère public pour captations de suffrages. De lourds soupçons pèsent sur l’élu socialiste depuis plus de deux ans déjà, empoisonnant la section renanaise du PS. Source du malaise: alors que l’affaire remonte aux élections communales de 2016, l’élu n’a jamais cessé de siéger au plénum de Renens.

Il aurait ainsi modifié quelque 120 bulletins de vote officiels du PS de Renens.

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Rappels:

Renens va devoir augmenter sa dette

Vaud. Renens: La racaille impose sa loi. « La police a dû se retrancher dans le Coop Pronto. »

La Municipalité de Renens s’offre une belle augmentation

Renens: Bagarre et dégradations dans le bâtiment mis à la disposition des migrants

De Renens à la Syrie

Suisse: La première femme voilée à faire l’armée sous enquête disciplinaire

Daniel Reist, porte-parole de l'armée, explique (...) «qu’une enquête disciplinaire a été ordonnée» à l’encontre de la soldate.

«Sur la photo, il nous a semblé que le port du filet n’était pas réglementaire, détaille Daniel Reist. Mais c’est surtout le texte qui accompagne l’image qui pose problème: les soldats ne peuvent pas faire de politique en uniforme.»

De plus, le porte-parole rappelle «qu’il est interdit dans l’ordre de service de publier des photos en uniforme sans la permission explicite du commandant responsable».

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Vaud. Renens: La racaille impose sa loi. « La police a dû se retrancher dans le Coop Pronto. »

La ville de Renens étant connue pour son multiculturalisme avec 50% de population étrangère et être aux mains de la gauche.

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Treize agents en uniforme de Pol­Ouest sur le banc des plaignants face à trois accusés qui affichent un large sourire quand ils ne répriment pas un fou rire.

«À l’époque, on était interpellé pour la moindre petite chose qu’on faisait», se plaint l’un des accusés.

Un soir d’été 2013, à la gare de Renens, cette «petite chose» consiste à pousser des cris à chaque passage de la patrouille. Puis les cris deviennent des «noms d’oiseaux», selon l’expression pudique de l’un des agents, qui soupire: «Nous vivions cela au quotidien.» Suivent des menaces. Les policiers décident d’intervenir. Le ton monte, les agents utilisent un spray au poivre pour repousser l’un des jeunes qui vient à eux. «Ils voulaient nous jeter des chaises et des poubelles, explique le policier. Nous nous sommes retranchés dans le Coop Pronto et fait fermer les portes. Nous avons demandé des renforts, car à l’époque leurs renforts à eux arrivaient plus vite que les nôtres.»

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Un collectif pro migrants balance du compost sur le Conseil communal de Renens.

Plusieurs individus masqués ont fait irruption en pleine séance avec des banderoles et des légumes

Une dizaine de personnes aux visages dissimulés sous des masques ont pénétré, ce jeudi soir, dans la salle des spectacles de Renens où se tient le Conseil communal. Ils ont déployés deux banderoles au balcon «Nous ne disparaîtrons pas» et «Nous ne nous tairons pas». Une référence à plusieurs revendications concernant les immeubles situés à la rue de l'Avenir 5 et 7 ou encore l’expulsion récente des migrants de l'ancienne halle Heineken. Après avoir éparpillé quelques tracts de revendication, ils ont jeté du compost à destination du président du Conseil et des scrutateurs.

Accusant les élus de «faire dormir des gens dehors», ils ont également jeter des légumes depuis l'extérieur du bâtiment, brisant une vitre. «Nous nous attendions à une action puisqu'un petit rassemblement avait été observé sur la place du marché», commente le président Pascal Golay.

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La Municipalité de Renens s’offre une belle augmentation

Ci-dessus, l'équipe sortante.

 

Le futur syndic de Renens touchera 170'000 francs annuels, ses collègues municipaux 101'000 francs. Il fait bon diriger une commune de gauche.

Hier soir au Conseil Communal les élus eurent à traiter le préavis "90-2015 - Fixation des indemnités du/de la Syndic/que et des membres de la Municipalité pour la législature 2016-2021", autrement dit, un préavis visant à changer le salaire et le taux d'activité des membres de l'exécutif de Renens.

Le projet, issu des rangs de la Municipalité, vise à passer le taux d'activité des municipaux de 50% à 60% et celui de Syndic de 80% à 100%. Mais ces taux sont purement techniques et ne sont utilisés que pour le calcul de diverses cotisations. La véritable information est liée au salaire. Le futur syndic de Renens touchera donc 170'000 francs annuels et ses collègues 101'000 francs. Malaise...

Pour une commune dont la plus grande partie de la population est issue des couches populaires, pareil niveau de rémunération représente un horizon inatteignable. Les indemnités de la future Municipalité atteindront l'équivalent d'un peu moins de deux points d'impôt! Alors que les temps sont difficiles, le futur promettant de l'être encore davantage, que le chômage à Renens atteint 7,5% et que la situation financière de la commune est inquiétante au plus haut point, était-ce bien le moment de s'attribuer cette augmentation rondelette?

Indigné comme tout un chacun, je me fendis donc de l'intervention suivante devant le Conseil Communal.

 


 

Qui dans cette salle peut s’octroyer une augmentation ses revenus par simple préavis ?

 

La Municipalité.

 

Certains en commission, encore plus gourmands que la Municipalité, citent Lausanne. Lausanne, Lausanne ! Lausanne, 7 municipaux à plein temps gagnant chacun entre 220 et 240'000 francs annuels ! Le Syndic le plus cher de Suisse ! Mais Lausanne, capitale cantonale, cité olympique, a 130'000 habitants, 6 six fois Renens, un budget de 2 milliards, vingt fois celui de Renens, et une dette supérieure à celle du canton… On peut se comparer à Lausanne, oui - et comprendre qu’aucun ratio issu de cette comparaison ne permet de justifier l’augmentation.

 

On s’éblouit d’ailleurs d’autant plus volontiers de Lausanne que cela permet de moins regarder les communes voisines. Bussigny, 4 municipaux à 50% et une syndique à 60%. Prilly, 4 municipaux à 50% et un syndic à 60%. Et leur salaire est à des années-lumière. Pensez-vous vraiment que les autres communes soient sous-administrées ?

 

Alors on nous dit que la fonction n’intéresse pas assez, ce qui est peut-être vrai pour les petits villages, mais certainement pas pour Renens. Voyons-voir, les élections ont lieu à la fin du mois, manquons-nous de candidats ?

 

Alors, toujours pour justifier cette hausse de salaire, on nous parle de tout ce travail abattu, l’Ouest Lausannois, le PALM… Mais, outre que ces projets sont aussi supportés par les autres communes de l'Ouest Lausannois, ils viennent avec leur propre budget, et leur propre personnel.

 

Je conçois fort bien que nos Municipaux travaillent avec acharnement. Mais cette activité n’est rien d’autre que les conséquences de leur propre volonté de transformer la ville de fonds en combles. Ils se sont bâti leur petit enfer personnel.

 

Le portrait reste malgré tout très relatif. Tout le monde a-t-il déjà oublié que cette Municipalité a travaillé en sous-effectif – pendant un an et demi – suite à la maladie de M. Jean-Pierre Rouyet ? Et même si cela n'a pas été facile, je n'ai vu nulle trace de burn-out à l’horizon.

 

Pour les Renanais qui se lèvent le matin, payent de lourds impôts et ne peuvent compter sur aucune clémence dans le secteur privé, ce préavis sonne comme une insulte. 170'000 francs annuels pour le poste de Syndic ! Et on nous parle de "ressources rares" ? Pas pour tout le monde, visiblement !

 

Les Municipaux doivent servir, et non se servir.

 

Pour toutes ces raisons, j’amène tous les membres de cette assemblée dotés d’un minimum d’éthique et de respect envers les contribuables à rejeter ce préavis.

 


 

Après cette diatribe Mme Huguenin vint plaider pour sa cause, expliquant toute la douleur des autorités pour lesquelles les salaires sont exposés en place publique. M'est avis que c'est bien la moindre des choses! Un "moment de honte est vite passé" comme on dit, et à ce tarif annuel les Municipaux renanais accepteront volontiers une petite polémique si au bout du compte l'argent est au rendez-vous! Il était d'ailleurs cocasse de lire dans le texte la Municipalité plaider pour "garder un pied dans le monde du travail" alors que sous son influence la fonction se professionnalise à grands pas...

La vidéo est disponible ici (chapitre 13).

Seule l'UDC s'opposa à ce préavis au moment du vote. Il passa donc la rampe sans coup férir.

Après la séance du Conseil, j'eus une conversation intéressante avec la Syndique Mme Huguenin ; si je lui faisais remarquer que je n'avais jamais affirmé que les Municipaux renanais ne faisaient rien, elle me répondit que cette façon d'attaquer les autorités en place "lui rappelaient le fascisme", ce à quoi je rétorquai qu'en tant que communiste elle devait s'y connaître en révolutions. La conversation fut par ailleurs plus aimable, mais cet échange me fit réfléchir sur le sens de mon action.

Sans surprise, je me distancie des propos de la politicienne d'extrême-gauche. L'UDC ne vise pas à "renverser la table" et à mettre à bas la "société bourgeoise" comme ces mouvements révolutionnaires dans l'attente du Grand Soir. Au contraire, nous respectons les institutions et visons à les préserver de ceux qui en abusent. Comme je le rappelai moi-même à la Syndique, c'est la Municipalité qui ouvrit le feu en premier en décidant de s'octroyer cette augmentation.

Le respect de la démocratie, le contrôle des institutions par la base, voilà le credo de l'UDC. Et si les élus oublient leur rôle de serviteurs de la population, font preuve d'orgueil et commencent à utiliser leur position pour leur profit personnel, c'est notre devoir de s'y opposer et de les ramener à la réalité.

Et cela devrait être celui de tout citoyen.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur Lesobservateurs.ch, le 12 février 2016

Renens: Bagarre et dégradations dans le bâtiment mis à la disposition des migrants

Le message est clair: au prochain débordement, le contrat de confiance qui unit les Transports publics lausannois (TL) au collectif Jean Dutoit sera rompu, avant son échéance.

Une mise en demeure écrite a été adressée aux migrants logés dans la halle TL de Renens en décembre dernier. La faute à des problèmes récurrents constatés par la compagnie. «Aujourd’hui, la confiance est entamée, indique sa porte-parole Valérie Maire. Nous avons constaté de nombreuses dégradations matérielles et nous avons eu connaissance que le nombre impératif maximal de personnes pouvant être hébergées, à savoir 70 personnes, comme stipulé dans le contrat, serait par moment largement dépassé.»

Pour des raisons de sécurité, les TL ne peuvent pas se permettre de laisser cette situation perdurer.

Par ailleurs, une bagarre à l'intérieur du bâtiment a nécessité l'intervention de la police, à la mi-décembre.

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Vaud: Les migrants ont décidé d’occuper un collège!

Priés de quitter le jardin du Sleep-In à Renens d'ici au 30 août, des dizaines de migrants ont décidé d'occuper un ancien collège appartenant à la municipalité de Lausanne. «Notre volonté est de rendre visible le fait que lorsqu’on les chasse, les gens ne disparaissent pas mais cherchent un autre espace et que nous refusons désormais que cette quête soit solitaire et souterraine», déclare le collectif Jean Dutoit dans un communiqué publié sur Facebook.

Et d'ajouter que l'ancien collège, situé à la route de Berne 50, a été choisi car «il s'est profilé comme l'unique bâtiment appartenant à la municipalité qui soit vide dans l'immédiat».

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Le problème des migrants sans abri éclate au grand jour

Le campement qui s’est formé dans le jardin du Sleep In de Renens révèle une réalité qui sort des écrans radars.

«J’ai fait une demande d’asile, mais elle a été refusée. Après trois mois dans un abri PCi à Lausanne, ils m’ont dit qu’ils viendraient me chercher pour m’expulser. Alors je suis parti.» Emmanuel* vient du Nigeria et fait partie des quelque 50 à 70 migrants, principalement africains, qui occupent un campement sauvage au Sleep In de Renens.

Suite

Vaud: Le problème des migrants sans abri éclate au grand jour

Le campement qui s’est formé dans le jardin du Sleep In de Renens révèle une réalité qui sort des écrans radars.

«J’ai fait une demande d’asile, mais elle a été refusée. Après trois mois dans un abri PCi à Lausanne, ils m’ont dit qu’ils viendraient me chercher pour m’expulser. Alors je suis parti.» Emmanuel* vient du Nigeria et fait partie des quelque 50 à 70 migrants, principalement africains, qui occupent un campement sauvage au Sleep In de Renens.

Arrivés par l’Espagne, l’Italie, ou d’autres voies encore, certains sont en Suisse depuis à peine quelques jours, mais, bien souvent, c’est en années qu’il faut compter. (...) Ils ont droit à une aide d’urgence accordée par les autorités cantonales en attendant qu’ils quittent le pays.

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Renens: Multirécidiviste, il bat sa femme enceinte jusqu’au sang

ND Ch. H. Renens, "paradis multiethnique" par excellence, le frère et la belle-sœur de l'agresseur, qui ont enlevé et séquestré la victime, un multirécidiste... inutile de vous dire que ce n'est pas un Suisse. Mais les médias ont décidé de ne plus partager les informations lorsque ce sont des étrangers qui sont coupables des pires crimes. Par apposition, pour l'un de nos compatriotes, vous aurez cette précision dans les premières phrases, si ce n'est dans le titre. La discrimination contre notre peuple c'est maintenant! Le meilleur, le tribunal de Lausanne donne à présent du sursis pour un enlèvement, une séquestration et une mise en danger de la vie d'autrui!!!

Il a séquestré et frappé à plusieurs reprises, parfois jusqu'au sang, sa femme enceinte. Un homme de 31 ans, domicilié à Renens, écope de 20 mois de prison ferme. Son frère et sa belle-sœur, qui ont enlevé et séquestré la victime après qu’elle avait tenté de s’enfuir, écopent de 18 et 12 mois d’emprisonnement avec sursis. 

En février 2013, à Renens (VD), il a violemment battu sa femme, alors enceinte de cinq mois.

L’homme, "coutumier des violences à l’égard de ses compagnes", n’a pas hésité à "passer à tabac" son épouse enceinte, en agissant d’une manière "particulièrement cruelle". Le mari, qui ne s’est pas présenté au jugement, a en outre fait une "très mauvaise impression aux débats", faisant preuve d’une "absence totale de repentir".

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Volé en Suisse, son voleur algérien le nargue depuis le Maghreb

Un Lausannois qui s’est fait dérober son smartphone à Renens est nargué par ceux qui l’utilisent en Algérie.

L’un de ces personnages lui a même proposé de la drogue par le biais de l’application Viber.»

Quant à ses relations professionnelles et ses proches, ils sont bombardés de messages envoyés en son nom via la messagerie gratuite WhatsApp.

Le plus difficile à supporter pour le retraité sera la récolte quotidienne sur son PC des photos laissées par Dropbox, le service Internet qui transmet toutes les images enregistrées par le smartphone volé. «J’ai vu la carcasse d’un mouton tué pour la fête de l’Aïd à la fin du ramadan et une famille réunie autour d’une grillade.» Selon Wolfgang F., le smartphone aurait changé de mains par la suite. «D’un coup, Dropbox a été envahi par des selfies émanant d’un jeune homme grassouillet, visiblement à l’abri du besoin. Il poste des portraits de Hitler, photographie sa main baguée sur le volant d’une Renault ou filme un mariage traditionnel à l’hôtel Sheraton d’Oran.»

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