Vaud : Le plan vaudois d’aide à la presse de 6,3 millions de francs est approuvé grâce à la gauche

La droite ne croit pas que les jeunes reviendront à la presse payante, comme le gouvernement l’espère. Reste que la dépense de 6,3 millions sur cinq ans est largement approuvée.

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La députée socialiste Valérie Induni a rembobiné le film devant ses collègues: son postulat en faveur d’une aide cantonale à la presse fait suite à la mort de «L’Hebdo» en février 2017. Presque quatre ans après, deux autres titres ont disparu: le quotidien «Le Matin» dans sa version papier, tout comme l’hebdomadaire gratuit «Le Régional», rappelle-t-elle.

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24Heures.ch

Vaud : 23 dessinateurs de presse réunis à Morges pour se moquer de Trump

Vingt-trois dessinateurs de presse exposent leurs dessins favoris du président américain à la Maison du dessin de presse dès mardi à Morges.

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Chappatte, qui a dessiné pendant plus de vingt ans pour le «New York Times», avoue n’avoir jamais autant représenté un personnage. Donald Trump est «un bon client». «C’est une sorte de caricature de lui-même, mais il nous prend quand même de vitesse. L’encre n’est pas encore sèche que le gag est déjà obsolète, qu’il a fait déjà plus fort. Il épuise la presse», dit-il, cité dans le communiqué.

 

 

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Le Matin

 


Rappels :

Morges : Le Kurde dit avoir agi pour « venger le Prophète » et « contre l’Etat suisse ». Il a été retrouvé avec un exemplaire du Coran et un couteau.

Cologne (All.) : Un islamiste fait chanter des jeunes filles avec des photos de nus. Il tentait de les enrôler pour un attentat.

Après l’attentat, le 20minutes romand déclare que « les Tchétchènes craignent la stigmatisation ». Aucune critique de l’islam ou de l’immigration.

Allemagne : le terroriste musulman voulait « massacrer » les chrétiens et leur « couper la langue »

Extinction Rebellion bloque des imprimeries de journaux climatosceptiques en Angleterre et en Australie

Si Greta a mis fin à ses souffrances et est retournée à l'école, ses adeptes ne se tournent pas les pouces pour autant. Au contraire, ils font tout leur possible pour rester au centre de l’attention  par diverses actions.

Dans de nombreux endroits en Grande-Bretagne, en particulier dans les petites villes, le numéro du samedi de quatre quotidiens nationaux populaires – dont des titres bien connus comme The Sun ou le Daily Mail – étaient absents des kiosques, après que plus de cent militants environnementaux du groupe Extinction Rebellion (XR) eurent bloqué deux imprimeries du milliardaire Rupert Mordoch, le magnat de la presse britannique vendredi soir.

XR a tweeté ensuite une photo de rayonnages vides avec ce double message :
Chers marchands de journaux, nous sommes désolés pour la perturbation causée à votre entreprise ce matin.

Cher M. Murdoch, nous ne sommes absolument pas désolés de continuer à perturber votre ordre du jour ce matin.
Vendredi soir des manifestants ont bloqué deux imprimeries au moyen de voitures et d’assemblages de lattes de bambou ­– l’une à Broxbourne, Hertfordshire et éau à Knowsley, près de Liverpool.

Sur les plus de cent activistes qui ont formé des chaînes humaines pour bloquer les deux imprimeries, 42 ont été arrêtés samedi à l’aube.

Sur leur page Twitter, les anarchistes d'extrême gauche qui se font appeler Extinction Rebellion ont expliqué leurs actions par le fait que les journaux visés ne traitent pas de l'urgence climatique et qu’ils déforment les informations sur la catastrophe climatique dans le sens des intérêts des propriétaires de grandes entreprises.
Autre tweet de XR : Cinq milliardaires contrôlent à eux seuls 70% des médias britanniques et ignorent systématiquement l'urgence climatique et écologique. Ils font campagne pour leurs intérêts et leurs politiciens, tout en manquant Le Sujet : que nos vies sont altérées et menacées par une consommation et une pollution sans fin.
Les manifestants ont accueilli les policiers avec un drapeau portant l’inscription « Libérez la vérité! »

[…] Selon le député pro-gouvernemental Tobias Ellewood, le gouvernement a déjà fait beaucoup pour freiner le changement climatique, mais «il pourrait clairement faire plus» et «faire passer le message de l'urgence climatique à bien plus large échelle».
Extinction Rebellion a mené des actions vendredi non seulement sur le sol britannique contre l'empire Murdoch : un gros tas de fumier a également été déposé devant le siège social de News Corp à Sydney en Australie, là aussi pour empêcher les médias de la société de diffuser plus de « fausses nouvelles » sur le changement climatique.

Source : https://www.vadhajtasok.hu/

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Des manifestants d’Extinction Rebellion arrêtés après avoir bloqué des sites d'impression de Murdoch

La distribution de plusieurs grands journaux a été perturbée samedi matin après que des militants de l'urgence climatique du groupe Extinction Rebellion eurent bloqué des imprimeries utilisées par Rupert Murdoch's News Corp, l'éditeur du Daily Mail et du Sun. Les activistes ont bloqué des routes menant à deux imprimeries, à Broxbourne, au nord-est de Londres et à Knowsley près de Liverpool. Extinction Rebellion a déclaré qu'elle avait fait cela pour dénoncer ce qu'elle appelle l'incapacité de ces journaux à rendre compte correctement de la crise climatique. Ces actions ont été condamnées par la ministre de l'Intérieur, Priti Patel, qui a accusé les manifestants d'attaquer la liberté de la presse.

 

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Boris Johnson accuse Extinction Rebellion d'avoir tenté de limiter l'accès du public à l’informations

Le Premier ministre Boris Johnson a accusé Extinction Rebellion de chercher à «limiter l'accès du public a l’information» après que le groupe eut bloqué deux imprimeries britanniques, retardant la distribution des principaux journaux nationaux.

Les militants, qui avaient mis en scène cette action pour dénoncer l'échec des médias à «rendre compte de l'urgence climatique et écologique», ont également été condamnés par le ministre de l'Intérieur, Priti Patel, pour «atteinte à la démocratie».

Plus de 100 manifestants ont utilisé des voitures et des structures en bambou pour bloquer les routes desservant les imprimeries Newsprinters à Broxbourne, dans le Hertfordshire, et à Knowsley, près de Liverpool, vendredi soir.

La police du Hertfordshire a déclaré que les camions de livraison n'avaient pas pu quitter le site de Broxbourne samedi à 6 heures du matin et que 42 arrestations avaient été effectuées.

Ces imprimeries impriment les titres de la compagnie News Corp, propriété de Murdoch, à savoir le Sun, le Times, le Sun on Sunday et le Sunday Times, ainsi que le Daily Telegraph et le Sunday Telegraph, le Daily Mail et le Sunday Mail et le London Evening Standard.

Une porte-parole de Newsprinters a déclaré que l'impression avait aussitôt été transférée à leurs «partenaires de la branche» et que le personnel faisait le nécessaire pour que les journaux soient livrés aux détaillants le plus tôt possible.

« Nous nous excusons sincèrement auprès de tous les lecteurs du Sun, du Times, du Daily Mail, du Daily Telegraph et du Financial Times qui ne pourraient pas acheter leur journal habituel ce matin en raison de livraisons tardives », a-t-elle déclaré.
«Cette attaque contre toute la presse libre a eu un impact sur de nombreux travailleurs dans l'exercice de leur métier. Les travailleurs de l'impression de nuit, les chauffeurs-livreurs, les marchands de journaux grossistes et détaillants ont été confrontés à des retards et à des partes financières. C'est une affaire qui relève de la police et du ministère de l'Intérieur. »

La Fédération des détaillants indépendants a déclaré que la manifestation avait laissé les petites entreprises avec des «clients en colère» et qu'elle affectait les services de livraison à domicile. Stuart Reddish, son président national de l’organisme, a dit : «De nombreux membres ont rapporté que leurs livreurs de journaux avaient du rester sans rien faire car leurs livraisons n’étaient pas arrivées. Cela signifie également que nous ne pourrons pas livrer de journaux à nos clients âgés et vulnérables.

«Les marchands de journaux ont joué un rôle essentiel pendant Covid-19 en mettant les journaux entre les mains des lecteurs et cette action ne nous aide pas à  un moment où chaque vente compte.»

Des sources de l’imprimerie ont déclaré au Guardian que d'autres éditeurs de journaux avaient rapidement aidé à augmenter les capacités, afin de limiter les retards de distribution.

La société mère du Daily Mirror Reach, l’éditeur D.C. Thomson à Dundee, le groupe de journaux régionauxJPIMedia et la société propriétaire du Daily Mail DMGT ont tous fourni dans leurs imprimeries les capacités permettant d’acheminer le plus grand nombre possible d’exemplaires des journaux de  Murdoch chez les détaillants.

Les marchands de journaux ont reçu une lettre d’excuses pour cette perturbation, la qualifiant d'attaque contre la presse libre. La répartition régionale a été inégale. De nombreux détaillants ont reçu des piles de suppléments du week-end pour le Times et le Daily Telegraph, qui sont imprimés à l'avance, mais pas le journal principal.

Un petit nombre d'abonnés à la livraison à domicile du Guardian ont également été touchés.

Un porte-parole de Guardian News & Media a déclaré: «Notre service de livraison à domicile est fourni par Newsprinters, une filiale de News UK, de sorte qu’une petite partie de nos abonnés qui font livrer le Guardian directement à leur domicile ont subi des retards dans la réception de leur journal ce matin, et n’auront probablement pas reçu le supplément.

Il a ajouté: «Nous soutenons pleinement le droit de manifester - mais nous ne tolérons aucune action qui restreint le droit du public d’accéder à la presse et d’acheter le journal de son choix.»

Les journaux locaux imprimés sur le site de Broxbourne ont également été touchés et les titres de la région East Anglian produits par l'éditeur Archant étant absents des rayons samedi.

Boris Johnson a écrit sur Twitter: «Une presse libre est vitale pour obliger le gouvernement et d'autres institutions puissantes à rendre des comptes sur des questions cruciales pour l'avenir de notre pays, y compris la lutte contre le changement climatique.
Il est totalement inacceptable de chercher à limiter l’accès du public aux informations de cette manière. »

La ministre de l’Intérieur, Priti Patel, a également répondu à la manifestation dans un tweet : «Ce matin, des gens de tout le pays seront empêchés de lire leur journal en raison des actions d’Extinction Rebellion.
Cette attaque contre notre presse libre, notre société et notre démocratie est totalement inacceptable.»

Sous une banderole intitulée «Libérez la vérité», XR a tweeté qu'elle utilisait cette perturbation pour dénoncer le «silence des journaux sur l'urgence climatique et écologique, et leur manipulation systématiquede la vérité en fonction de leurs propres agendas».

Le groupe a également écrit : « Nous sommes là toute la nuit ! Nous allons filtrer les mensonges et reprendre le pouvoir pour une nuit. »

Alanna Byrne, d’Extinction Rebellion, a déclaré : « Nous ne pourrons nous attaquer à l'urgence climatique et écologique qu'en sortant de l'impasse traditionnelle des politiques d'opposition et en nous unissant, malgré nos différences.
Si nous voulons sortir de cette impasse, il faut que les médias traditionnels cessent de profiter de la culture du “clickbait” qui nage dans la désinformation, qui nous fait haïr nos voisins, soupçonner les étrangers et les groupes vulnérables, et il faut rallier la nation à l'action. »

Gully Bujak, une autre militante de XR, a déclaré : « L'urgence climatique est une menace existentielle pour l'humanité. Au lieu de la publier en première page chaque jour comme elle le mérite, une grande partie de nos médias ignore la question et certains sèment activement les graines du déni climatique. »

La police du Hertfordshire a communiqué que des agents avaient été appelés  près de l'usine de Broxbourne vers 22 heures, où ils ont trouvé une centaine de manifestants qui s'étaient « attachés aux structures et les uns aux autres. »

Le chef adjoint de la police du Hertfordshire, Owen Weatherill, a déclaré : « Le droit de manifester est bien établi dans ce pays et nous restons déterminés à faciliter les manifestations pacifiques et à en assurer le respect. Cependant, pour l'instant, le groupe ne dialogue pas avec nous et la manifestation cause des perturbations majeures aux entreprises locales.*

Les manifestants de XR ont également organisé une manifestation de moindre envergure près de Motherwell dans le but de perturber la distribution du journal Scottish Sun du samedi.

Le directeur exécutif de la maison d’édition, Ian Murray, a qualifié la manifestation d’Extinction Rebellion de « stupide et anti-démocratique ».

« Les manifestants veulent faire entendre leur voix et leur message et en même temps ils tentent de faire taire les autres en empêchant la distribution des journaux – c'est une contradiction qui serait risible si ce n'était pas si grave », a-t-il déclaré.

« Il faut se demander si ceux qui organisent ou participent à ces actions stupides comprennent quelque chose à l'Histoire : la limitation ou l'arrêt de la liberté d'expression et des médias indépendants est la première action des régimes totalitaires et des dictateurs. »

Quant à News Corp, elle a défendu sa position sur le climat, en disant que le Saturday's Sun avait publié un article d'opinion de David Attenborough sur la façon de s'attaquer à la crise climatique. L'entreprise a également décidé de renoncer à tout le plastique à usage unique utilisé pour emballer ses journaux.

Près du palais de Buckingham, d'autres membres d’Extinction Rebellion sur le climat ont organisé une « Discobedience » (de ‘disco’ et ‘disobedience’, désobéissance) – un marathon de danse de deux heures pour pousser la famille royale à intervenir sur les questions climatiques, comme XR l’explique dans un autre tweet :

« Chère Famille Royale, le gouvernement ne fait pas son boulot. S'il vous plaît, soyez une Dancing Queen et aidez-nous à sauver la planète. »

Source : https://www.theguardian.com/environment/2020/sep/04/extinction-rebellion-block-roads-to-murdoch-paper-print-sites

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Voir aussi :

Valeurs Actuelles - Les gauchistes d’Extinction Rebellion bloquent des journaux en Grande-Bretagne

Suède : Une agence de “contre-propagande psychologique” pour surveiller les opinions dissidentes

Le gouvernement suédois est en train de créer une nouvelle agence destinée à surveiller et à contrer les opérations psychologiques (psyops) dirigées contre le pays - non seulement en provenance d'autres pays, mais aussi à l'intérieur de la Suède.

La nouvelle Autorité de défense psychologique sera chargée de protéger "la libre formation de l'opinion" en Suède contre les "psyops", et offrira aux gens une "image différente" du pays que celle que l'"adversaire" veut véhiculer, selon un rapport du site Samhällsnytt.

La création de l'Autorité est le résultat d'une enquête qui a été annoncée pour la première fois en 2018 par l'actuel Premier ministre suédois de gauche, Stefan Löfven, issu des sociaux-démocrates.

Anders Danielsson, l'ancien chef de l'Office suédois des migrations, a été nommé pour diriger l'analyse [de la situation]. Il a conclu qu'il est nécessaire de "soutenir, renforcer et coordonner la résilience globale de la société en termes de défense psychologique" contre les opérations psychologiques menées par des adversaires tant étrangers que nationaux. [...]

Le site Samhällsnytt a obtenu certains courriels internes envoyés par des fonctionnaires du MSB en janvier 2019, qui montrent que l'Autorité sera habilitée à restreindre la liberté de la presse et d'opinion en augmentant le pouvoir de l'État. Elle travaillera également en étroite collaboration avec les services de renseignement du pays.

L'Autorité aura pour tâche "d'identifier, d'analyser et de confronter l'influence indue des informations et autres informations trompeuses visant la Suède ou les intérêts suédois". L'une des façons dont elle accomplira cette tâche consistera à "aider les entreprises de médias à identifier, analyser et réagir à l'influence indue de l'information".

La mission de l'Autorité sera de "sauvegarder une société ouverte et démocratique, une éducation libre, ainsi que la liberté et l'indépendance de la Suède", selon M. Danielsson. " Les valeurs [de la Suède] sont soumises à une influence indue de la part de puissances étrangères afin de créer des divisions. Cela peut conduire à une perte de confiance dans la démocratie et à une baisse de la participation électorale". Il a cité les cyber-attaques et les efforts pour influencer les politiciens, les institutions, les entreprises, les journalistes et les chercheurs suédois comme étant le type de psyps que l'Autorité combattra. Cela pourrait se traduire par la diffusion de "rumeurs et autres formes d'informations trompeuses".

À cette fin, l'analyse propose que l'Autorité comprenne un centre national de défense psychologique qui s'efforcerait de contrer cette influence sur l'information en Suède. Le gouvernement espère le mettre en place d'ici 2022.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Voiceofeurope.com / Samnytt.se

Coronavirus : Simonetta Sommaruga propose un paquet d’aides à la presse de 80 millions!

Le Conseil fédéral inclura-t-il les médias dans l’aide qu’il accorde à l’économie, qui subit de plein fouet le choc dû au coronavirus? Pour l’instant, la question reste ouverte. Ce mercredi, le gouvernement n’est pas tombé d’accord sur un paquet d’aide aux médias d’environ 80 millions de francs.

A l’évidence, Simonetta Sommaruga, la cheffe du Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC), n’est pas parvenue à convaincre ses collègues.

[...]

Le Temps

Nos remerciements à Dany Riviera

@DanyRiviera
Nos récentes prises de position sur le sujet, ici et ici

 

 

 

 

Genève : La Ville débloque 80’000 fr. pour “aider la presse”

Le conseiller administratif socialiste de la Ville de Genève Sami Kanaan estime que les cantons romands devraient se coordonner afin d'aider la presse. Le modèle recherché pourrait s'approcher de la Fondation romande pour le cinéma a déclaré le magistrat dans plusieurs médias, mardi.

Pour l'instant, «dans les cantons de Genève et de Vaud, chacun avance de son côté [...]

20min.ch

Nos remerciements à notre lectrice

 

 


Rappels :

Exemple scandaleux mais totalement habituel de manipulation de l’opinion à la RTS

Allemagne : Les deux raisons pour lesquelles les journalistes sont beaucoup plus à gauche que le peuple

Pour l’association des journalistes allemands, la divulgation de l’origine des délinquants doit rester une exception « Cela ferait le jeu des discours de haine »

Christophe Passer, journaliste, sur Tariq Ramadan: « Nous étions nombreux à avoir tort par conformisme, crainte d’être taxés d’islamophobie… »

Suisse: La Commission fédérale voudrait financer le journalisme avec l’argent public.

Les journalistes bien-pensants pleurnichent: « Personne n’avait vu venir Trump, absolument tout le monde s’est trompé »

 

Plus personne ne veut acheter la presse? Vous serez malgré tout obligé de la financer !

Le Temps: Pascal Broulis sur la «santé» des médias: «La situation est critique»

Michel Guillaume, 17 novembre 2019

Le conseiller d’Etat vaudois plaide pour une aide indirecte aux médias, passant par exemple par le renforcement de l’agence Keystone-ATS dans les régions

Ce lundi, la Fondation ch pour la collaboration confédérale, un organe créé en 1967 pour valoriser la pluralité linguistique et défendre le fédéralisme, se penche sur l’avenir des médias. Quelque 150 spécialistes et professionnels des médias y rencontreront des conseillers d’Etat. Président de cette fondation, Pascal Broulis estime que les cantons doivent aussi envisager une aide aux médias.

[...]

Le Temps: Qu’attendez-vous de cette conférence nationale?

Pascal Broulis: Le but de cet événement est d’examiner les défis que pose le bouleversement du paysage médiatique suisse du point de vue du fédéralisme. La prise de conscience existe, mais il faut la fédérer. Nous voulons tous conserver une presse de qualité, diverse et plurielle. [...]

Quel constat dressez-vous de la santé des médias?

La situation est critique. Il y a 30 ans, en 1989, on comptait en Suisse 275 journaux payants pour un tirage quotidien de 3 millions d’exemplaires. Aujourd’hui, il en reste le tiers (92) pour un tirage inférieur à 2 millions d’exemplaires, alors que, dans le même temps, la population a crû de 6,7 à 8,5 millions d’habitants. Nous vivons une période complexe, beaucoup de gens ayant le sentiment que l’information est gratuite. Mais une information de qualité ne peut pas être gratuite, c’est inconcevable.

Craignez-vous une perte de diversité?

Oui! Les éditeurs n’investissent plus, mais raisonnent en fonction d’un modèle économique segmenté en des centres de coûts et de profits. Ils ont mis en place des rédactions centrales ayant débouché sur une perte marquée de diversité concernant la couverture de la politique nationale et internationale, de l’économie et de la culture. Cet appauvrissement des contenus préoccupe le fédéraliste que je suis et la Fondation ch que je préside. Car la Suisse n’est pas une nation, mais une Confédération de micro-Etats, diverse par nature. Ce fédéralisme demande des explications et un approfondissement, alors qu’on assiste à une uniformisation des idées.

La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga planche déjà sur des mesures concrètes pour soutenir les médias. Est-ce vraiment la tâche des cantons?

Tout à fait! La culture, l’éducation et la formation ne sont pas des politiques dévolues à la Confédération. Elles sont d’abord du ressort des cantons, qui sont donc légitimés à s’interroger sur leurs possibilités d’action. J’estime ainsi qu’il faut débattre de l’avenir de Keystone-ATS, cela de manière à garantir l’existence même d’une agence de presse distillant la même qualité de contenus dans les trois régions linguistiques du pays. Pour que le modèle suisse fonctionne, il faut se connaître d’un bout à l’autre du pays, être au courant des pratiques des uns et des autres pour pouvoir en débattre. Ce que permet une telle agence.

Les cantons pensent-ils vraiment à soutenir financièrement cette agence?

Pourquoi pas? Le canton de Berne est en train d’examiner cette question. Il réfléchit à un soutien financier de l’agence Keystone-ATS à condition qu’elle renforce sa couverture régionale, cela à l’intention des médias locaux, que ce soit des journaux, des radios, télévisions ou sites en ligne. Je pense que c’est justifié dans l’idée de renforcer la cohésion nationale. Cela entre d’ailleurs dans les réflexions que mène le gouvernement vaudois pour répondre à un postulat sur l’aide aux médias.

Le défi de tous les médias, c’est la transition numérique. A quelles mesures pensez-vous?

[...]

Pourriez-vous envisager de soutenir des sites d’information uniquement en ligne, comme Bon pour la tête ou heidi.news en Suisse romande?

L’aide directe me paraît délicate. Elle n’est pas saine, car elle suscite un problème d’indépendance des médias qui la toucheraient.

[...]

 

article complet:

 

Sommaruga veut massivement subventionner la presse écrite, sans demander l’avis au peuple

Les Suisses ne veulent plus payer pour ces médias orientés? Les socialistes volent l'argent des contribuables pour rémunérer des journalistes dont la seule priorité est la diffusion de l'idéologie de gauche. C'est cela la démocratie suisse aujourd'hui : des combines entre gauchistes pour nous faire passer à la caisse.

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Après la mort de «L’Hebdo» ou du «Matin» imprimé, elle veut agir vite. «La démocratie a besoin de médias forts», a-t-elle déclaré.

Si la population s’informe de plus en plus sur le web, les utilisateurs sont encore peu disposés à payer pour des contenus, souligne le Conseil fédéral. La nouvelle aide financière ne profitera donc qu’aux médias payants, ceux qui vendent des contenus numériques et «visent par ce biais une viabilité financière à long terme des prestations journalistiques». [...]

L’autre grande mesure présentée mercredi consiste en un renforcement de l’aide indirecte à la presse écrite. La Confédération soutient celle-ci par le biais d’un rabais sur la distribution postale des journaux. Le Conseil fédéral veut élargir le cercle des bénéficiaires en supprimant le plafonnement du tirage. Aujourd’hui, seuls les titres imprimés à moins de 40'000 exemplaires peuvent prétendre à cette aide. Selon Simonetta Sommaruga, treize titres supplémentaires profiteraient du nouveau subventionnement. Le montant mis à disposition augmentera aussi, passant de 30 millions de francs à 50 millions par an, financés là aussi par le porte-monnaie de la Confédération.

[...]

24heures.ch

 

Rappels :

Canton de Zurich : un Albanais tue sa femme « Il est devenu de plus en plus religieux et fanatique. » (Article traduit car non publié dans la presse romande)

Pour l’association des journalistes allemands, la divulgation de l’origine des délinquants doit rester une exception « Cela ferait le jeu des discours de haine »

Le Courrier, journal gauchiste, ex-chrétien et pro-musulman

Attaque sur une enfant de 4 ans à Brugg (Argovie) : l’Irakien vivait de l’aide sociale et avait déjà fait de la prison « Il m’aurait probablement battue à mort » (Article traduit car notre presse romande censure les éléments importants)

Manipulation de l’opinion par le « Matin » pour la votation sur les armes

Le Matin vole au secours d’Ada Marra : « Un torrent de boue sur une élue »

Grégoire Nappey, rédacteur en chef du Matin: « Il faut accepter que l’univers musulman fasse partie de notre paysage »

Manipulation: Le Temps publie 24 articles anti-Trump en 30 jours.

 

Pour l’association des journalistes allemands, la divulgation de l’origine des délinquants doit rester une exception “Cela ferait le jeu des discours de haine”

En d'autres termes, les journalistes savent pertinemment que les migrants sont surreprésentés dans le secteur de la criminalité mais leur principale préoccupation est de "combattre la haine sur Internet" au lieu de protéger le peuple. Joli aveu.

Ce processus implique directement des conséquences sur le plan politique puisqu'un peuple ignare est bien plus réceptif aux niaiseries de la gauche. Ces journalistes pratiquent donc non seulement une manipulation vis-à-vis des leurs mais encore militent pour l'idéologie de gauche sous couvert de "combat contre la haine". Les victimes allemandes n'ont aucune importance pour eux.

Ce sont ces mêmes médias qui osent parler de "fake news" et dispenser leurs leçons de morale par la suite.

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L'Association des journalistes allemands rejette la proposition du ministre de l'Intégration de Joachim Stamp (FDP), qui consiste à toujours mentionner l'origine des suspects et des délinquants dans les rapports criminels.

La mention de l'origine ethnique des suspects et des délinquants dans les médias doit rester l'exception et ne doit pas devenir la règle. Sinon, le journalisme pliera face aux propagateurs de la haine et du racisme sur les réseaux sociaux, a déclaré Frank Überall, président de l'Association allemande des journalistes (DJV) [...]

Depuis les agressions sexuelles massives perpétrées par des Nords-Africains contre des femmes la veille du Nouvel An à Cologne en 2015/16, on a l'impression que les médias ne présentent pas correctement certaines choses. A l'époque, la police et la presse étaient restées silencieuses pendant plusieurs jours sur l'ampleur réelle de la violence pour des raisons de "politiquement correct".

[...]

Le ministre de l'Intégration de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Joachim Stamp (FDP), avait déjà suggéré la mention systématique de l'origine des auteurs présumés dans les rapports de presse. Lorsqu'aucune origine n'est mentionnée, les internautes spéculent rapidement dans les commentaires qu'il s'agit d'une personne issue de l'immigration.

[..]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Faz.netCompact-online.de

 

Xenia Fedorova : « Le lancement de RT France a permis de créer une césure avec le panorama médiatique français »

Propos recueillis par Nicolas Vidal et Matteo Ghisalberti – Xenia Fedorova, la très jeune Présidente et directrice de l’information de RT France a accordé un grand entretien à Putsch. Lancée le 18 décembre 2017, la chaîne RT France a suscité beaucoup polémiques, de discrédit et de critiques au sein du paysage médiatique français. Xenia Fedorova revient sur les 10 premiers mois de la chaîne. où elle aborde la question des Fake News, du financement de RT France, ses relations avec l’Elysée et les autres médias français. Elle nous parle aussi du pluralisme des voix et du débat ainsi que de l’arrivée de Frédéric Taddéi au sein de RT France.

Xenia Fedorova, pourquoi avoir choisi une carrière de journaliste plutôt qu’une carrière de diplomate ?

J’ai toujours été intéressée par la politique et la géopolitique ainsi que par les événements diplomatiques. Mais j’ai réalisé que je n’aurais pas eu la liberté suffisante pour m’exprimer. C’est pour cela que je me suis orientée vers le journalisme. J’ai commencé comme freelance alors que je n’étais encore qu’une étudiante. Si je n’ai donc pas pu être présente dans les coulisses de certains grands événements diplomatiques, j’ai tout de même pu les couvrir comme journaliste. Au final, j’ai pu m’occuper de choses dont je rêvais quand j’étais jeune. J’ai également été inspirée par l’exemple de ma mère qui est journaliste.

Comment définiriez-vous les fake news, Xenia Fedorova ?

C’est une très bonne question. Quand je suis arrivée en France, cette expression commençait tout juste à être utilisée régulièrement. Peut-être parce que je suis arrivée pendant la campagne électorale, alors même que les hommes et femmes politiques étaient en train lutter pour la Présidence de la République. Il y avait un grand flux d’informations. En France, l’expression fake news – j’essaie de ne pas être sarcastique – est aussi utilisée dans le sens de l’expression d’un point de vue différent. Cela ne signifie pas nécessairement que l’information n’est pas vraie. Cela peut signifier aussi que l’information est différente de ce que disent les médias mainstream. Ou bien elle est différente des informations que les médias mainstream étaient habitués à diffuser. Je vous donne un exemple : la couverture des faits en Syrie. Tout ce qui allait au-delà de la compréhension et des attentes des médias traditionnels était défini – à priori – comme une fausse nouvelle. Mais ça pouvait simplement être un point de vue différent sur des événements. C’est pour ça que je pense qu’il y un énorme malentendu sur le sens de cette expression. La définition de fake news, c’est une information qui est fausse. Mais, en France, on peut être accusé de diffuser une fausse information tout simplement lors ce qu’on essaie de donner un point de vue différent. Je crois que ce terme est mal utilisé, et de façon abusive, par les médias, mais également par les hommes et les femmes politiques.

Pour lire la suite

La presse allemande en chute libre avec Angela Merkel

La presse allemande en chute libre avec Angela Merkel

 

De même que les partis qui gouvernent l’Allemagne, la CDU chrétienne-démocrate, le SPD social-démocrate et la CSU chrétienne-sociale bavaroise, la presse qui les soutient est en chute libre. Selon la dernière statistique de leurs chiffres de vente, tous ces organes de presse « politiquement corrects » perdent à nouveau de nombreux lecteurs, et ceci même si l’on ajoute à leur tirage sur papier l’audience de leurs éditions numériques, dont les chiffres sont soumis à caution, puisque de nombreux abonnés la reçoivent en plus du journal imprimé. Le record des pertes est détenu par la feuille de boulevard Bild, qui perd plus d'un lecteur sur dix et est passée de quatre millions d’exemplaires il y a quelques années à moins d’un million et demi actuellement.

https://www.journalistenwatch.com/2018/10/18/mit-merkel-abgrund/

 

Traduction (Claude Haenggli) : Les nouveaux chiffres de vente soulignent l’inéluctable déclin des principaux médias. Les organes du groupe Springer sont les plus délaissés en masse par leurs lecteurs. Bild a perdu 11% de lecteurs en comparaison de l’année passée, Die Welt 9,7% et Bild am Sonntag 10,5%. Cela fait penser aux récents résultats électoraux de la CDU/CSU et du SPD. Le recul d’importance des journaux va de pair avec celui de leur chancellière Angela Merkel.

Claude Haenggli, 19.10.2018

 

https://www.journalistenwatch.com/2018/10/18/mit-merkel-abgrund/

Cologne : Le Syrien multirécidiviste qui a brûlé gravement une adolescente est transformé en “individu à la santé mentale fragile” dans la presse romande.

Nous en parlions déjà ici.

Il a une santé mentale fragile, sous-entendu, ce n'est pas de sa faute si c'est un salaud. Ou comment inverser les rôles de victimes et de coupable de manière ignoble.

On rappelle que l’assaillant est un Syrien arrivé en 2015 qui avait déjà commis « 13 délits ». Au lieu de souligner le pédigrée effroyable de cet individu ou de rappeler dans le titre qu'il a brûlé gravement une adolescente de 14 ans, notre presse préfère le présenter comme un irresponsable. Le sort de cette adolescente n'intéresse visiblement pas nos journaleux.

Les quatre principaux journaux de Romandie inversent d'ailleurs main dans la main les valeurs. Sans doute est-ce cela la diversité de notre paysage médiatique en Suisse Romande dont certains journalistes et la gauche se vantent tant.

 

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20 Minutes.ch

 

 

La Tribune de Genève

 

 

Le Matin

 

24 Heures

 

Via le Facebook du PNS

 

Fin du MATIN… et toujours rien compris

Cenator: Le 21.7.2018, le dernier numéro du MATIN paraissait, tiré sur un papier de grande qualité.

Un tour d’horizon des acteurs du quotidien présentait le journal sous un angle original et plutôt sympathique.

Toutefois, chassez le naturel, il revient au galop.

Éric Felley, journaliste politique, y est allé de son article DE DROITE OU DE GAUCHE, «LE MATIN» ?

Que voilà une interrogation de nature à capter l’attention de chacun !

Malheureusement, le lecteur déchantera dès les premières lignes… et arrivé au bout de l’article il se dira que ce dernier est tout à fait remarquable tant il aligne les poncifs du politiquement correct, tant il s’agit d’un plat dépourvu de tout piquant, de toute originalité.

À quoi bon acheter un journal qui ne nous apprend rien, ou si peu, hormis la régurgitation des lieux communs liés au sujet en question ?

« Le Matin a-t-il contribué à augmenter le sentiment xénophobe dans la population lors de la votation sur les criminels étrangers ? »

[…] « Pourquoi « Le Matin » critique-t-il toujours l’armée ? »

[…] « Autant de questions et autant de réponses selon la subjectivité des lecteurs ».

Mais non M. Felley, les lecteurs se fichent complètement de ce genre de questions.

Au « Matin », nous avons combattu « No Billag » […]

M. Felley, là votre naïveté nous épate, la question ne se pose même pas, TOUS les bobos ont combattu « No Billag ».

« Ces dernières années ont été marquées au plan national par l’affirmation d’une ligne politique nettement plus à droite. Portée par l’UDC et le PLR […] elle prend la forme d’un libéralisme ploutocrate et autoritaire.»

Ah cette droite si dure qu’elle applique l’initiative contre l’immigration de masse avec une intransigeance telle que tout citoyen respectable n’ose plus regarder un étranger sans rougir.

M. Felley, merci beaucoup pour votre mise en garde contre le «libéralisme ploutocrate et autoritaire» du parlement fédéral, sans vous le simple pékin n’y aurait vu que du feu.
Comme nous allons regretter vos lumières ! Nous allons également regretter votre style, le coup des « ploutocrates autoritaires » n’est pas à la portée du premier bolchévik venu.

« Disons que sur certains sujets il [Le Matin] avait une ligne, la défense des assurés contre les assureurs ou des consommateurs contre les cartels. Prendre le parti du plus faible contre le plus fort est déjà un acte politique. »

M. Felley, Le Matin vient de faire faillite car son lectorat l’a déserté, les annonceurs suivant le mouvement, ce qui est bien normal, et vous osez tenir de tels propos.

Par essence, assurés et assureurs sont dans un même bateau, si l’un dépérit l’autre aussi, idem pour les consommateurs et vos cartels (quel vilain mot pour désigner le pendant obligé de toute consommation).

M. Felley, ouvrez les yeux, vos tentatives d’endoctrinement à la bienpensance, sous couvert d’information neutre, représentent probablement le pire danger auquel la Suisse et tous les pays d’Europe occidentale sont exposés. De ce point de vue, les esprits libres et conscients de cette peste mortelle se réjouissent de la disparition de L’Hebdo et du Matin.

Ces mêmes esprits rêvent d’un « No Billag bis» accepté à plus de nonante pour cent des votants.

La Ville de Lausanne arrose la presse locale avec l’argent des contribuables pour s’opposer à Blocher : 170’000 francs pour le journal «Lausanne Cités»

Et tout cela, sans que le citoyen n'ait jamais eu son mot à dire... la malhonnêteté de gauche dans toute sa splendeur.

A relever la tournure de l'article qui cherche à dédouaner l'utilisation honteuse des deniers publics prétendant que ce journal ne sera "aucunement impacté par l'idéologie socialiste". Mais oui, bien sûr...

Enfin, pour Jean-Marie Fleury, éditeur de Lausanne Cités, être financé par le biais de la gauche (mais pas avec l'argent de cette idéologie, rassurez-vous), ce n'est tout à coup plus un problème pour la "neutralité éditoriale".

Puisque ce n'est pas Blocher, le méchant populiste, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. On est rassuré.

Voici d'ailleurs un exemple d'impartialité de ce journal qui court donner la parole à Pascal Gemperli au sujet de l'affaire Tariq Ramadan, les pauvres musulmans étant "désemparés" selon Lausanne Cités.

Et les victimes?

 

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L'hebdomadaire qui avait été convoité par Christophe Blocher sera finalement soutenu par la municipalité lausannoise.

«Un montant forfaitaire de 170'000 francs sera nécessaire» et le partenariat avec «Lausanne Cités» est prévu sur 5 ans. Par ailleurs, un montant de 70'000 francs sera dédié à l'aide à la presse pour des achats d'annonces dans les médias papier couvrant l'actualité lausannoise.

(...)

La perspective de voir le leader de l'UDC arriver dans la presse romande avait suscité le tollé, en particulier à gauche.

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Nos remerciements à Daniel Brand

Genève: De l’argent public pour aider la presse en crise?

Licenciements en cascade, fusions ou disparitions de titres, pertes économiques continues: depuis des années, la situation de la presse ne fait qu'empirer. Un vrai danger pour la démocratie, estime le Parti socialiste genevois: «Une information locale, indépendante et diversifiée est nécessaire à la libre formation de l'opinion publique».

Dans un projet de loi déposé ce lundi, le PS propose donc de soutenir ce secteur en crise via la création d'une Fondation d'aide aux médias écrits.

(...)

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La presse applaudit le Pape: “Il désavoue une Europe chrétienne et défend les migrants essentiellement musulmans.”

Après l’homélie de Noël dans laquelle le pape François a exhorté dimanche les catholiques à ne pas ignorer le drame des migrants, la presse applaudit tout en craignant la surdité des croyants.

Dans Le Journal de la Haute-Marne, Patrice Chabanet va jusqu’à écrire que le pape « désavoue, entre autres, les tenants d’une Europe chrétienne face à ce que ces derniers considèrent comme une déferlante migratoire essentiellement musulmane. »

L’Argentin Jorge Bergoglio, petit-fils de migrants italiens, a fait du sort des réfugiés l’un des thèmes fondamentaux de son pontificat entamé voici près de cinq ans.

« La créativité sociale évoquée par le pape permet d?imaginer des solutions« , espère François Ernenwein de La Croix, qui souligne que « tous les peuples, toutes les nations sont invités à faire preuve d’inventivité face aux migrations.  »

Dans L’Humanité, Patrick Apel-Muller est en phase avec le souverain pontife : « L'Humanité et ses lecteurs se sentent plus proches de l’homélie du pape François que des circulaires du ministre de l?Intérieur français et de la loi antimigrants que diligente Emmanuel Macron… « , se surprend-il. […]

« Le pape François a célébré la nativité du Christ en rappelant opportunément que Jésus, Marie et Joseph étaient des migrants« , note Pierre Fréhel dans Le Républicain Lorrain, regrettant qu’il ne soit « pas certain pour autant que le devoir de charité et d’hospitalité recommandé par le Pape soit entendu par tous les catholiques ou du moins par tous ceux qui se définissent ainsi. »

news.yahoo

Le 20 Minutes après les attentats musulmans: “Europe. L’intégration des immigrés musulmans progresse”

Une étude allemande constate de «vrais progrès» dans l'intégration des immigrés musulmans en Europe.

(...)

«Cette intégration couronnée de succès est d'autant plus notable qu'aucun de ces cinq pays n'offre des moyens structurels adéquats permettant une participation (à la société) et que les musulmans sont confrontés à un rejet ouvert de la part d'environ un cinquième de la population», souligne l'institut Bertelsmann.

Source et article complet via le Facebook du PNS

Rappels:

Autriche. Sondage sur les musulmans: Un quart des sondés est favorable à la charia.

Des modérés? En Grande-Bretagne? Redites moi ça encore?

73% des musulmans de France considèrent les règles islamiques plus importantes que la loi

En Catalogne, un lieu de culte musulman sur trois serait tenu par un imam salafiste

Finlande : des centaines de musulmans radicalisés recensés à travers le pays