Coronavirus : Merkel évoque des représailles pour ceux qui refusent la vaccination

Il y a quelques minutes, Angela Merkel a parlé de l'obligation de se faire vacciner contre le Coronavirus lors de l'émission "Farbe bekennen" de la télévision allemande ARD, en disant ceci: "Si nous avons fait une offre de vaccination à de très nombreuses personnes et que certaines disent : "Je ne veux pas me faire vacciner, alors peut-être que vous devez déjà faire de telles distinctions et dire : "D'accord, ceux qui ne le souhaitent pas ne peuvent peut-être pas faire certaines choses.".

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=8SroQRXyDq4

 

Cette femme doit être jugée ! C'est juste une incroyable folie maintenant ! Elle fait passer la vaccination avant nos droits fondamentaux.

Politikstube.com

Angela Merkel : cette alliance avec l’AfD est « impardonnable, cette élection doit être annulée »

La chancelière allemande a réagi ce jeudi à l'élection du dirigeant de la Thuringe avec les voix combinées de l'extrême droite et de son propre parti conservateur.

 

«Il faut dire que c'est un acte impardonnable et que par conséquent le résultat (de cette élection) doit être annulé», a estimé sur un ton d'une grande fermeté Angela Merkel, en déplacement à Pretoria en Afrique du Sud.

[...]

Lematin.ch

Nos remerciements à Wilhou


Rappels :

Hessen (All.) : La CDU (parti de Merkel) fait de la publicité pour la « nouvelle famille allemande »

Energie, économie, social, immigration : L’Allemagne de Merkel est en feu et vit dans le mensonge.

Europe : Merkel et Macron envisageraient d’exclure de l’espace Schengen  les pays qui refuseront des migrants et le regroupement familial

Vidéo inédite des magouilles entre Merkel et Guiseppe Conte (politicien italien) pour piéger Salvini

Allemagne : 17 % des migrants participant aux cours d’intégration sont analphabètes.

Allemagne : un ancien général accuse Merkel de pratiquer une politique anti-allemande et rejoint l’AfD

"J'ai été horrifié que la politique allemande d'ouverture des frontières se poursuive si brutalement."

L'ancien général allemand Joachim Wundrak, trois étoiles, veut devenir maire de Hanovre pour l'AfD. Il accuse la chancelière allemande d'une politique "anti-allemande" visant à "dénationaliser" l'Allemagne.

Monsieur Wundrak, vous avez été membre de la CDU pendant six ans. Vous avez démissionné en 2014, pourquoi ?

J'ai déjà vu alors que la politique migratoire du gouvernement fédéral était complètement hors de contrôle et que la police fédérale était même empêchée de rétablir l'ordre.

Qu'avez-vous pensé quand la crise des réfugiés a éclaté un an plus tard ?

J'ai été horrifié que la politique allemande d'ouverture des frontières se poursuive aussi brutalement. Mais je n'ai pas rejoint l'AfD à l'époque. J'espérais que la dissolution des frontières n'était pas un calcul politique.

Vous sous-entendez donc une perte délibérée de contrôle de la part du gouvernement ?

Je n'irais pas aussi loin : Bien sûr qu'elle ne voulait pas perdre le contrôle. Mais elle l'a accepté avec sa politique. En 2017, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré qu'elle ne voyait pas ce qu'elle aurait dû faire différemment. En d'autres termes, rétrospectivement, elle n'a rien compris. Quand j'ai entendu cela, j'ai décidé de rejoindre l'AfD. Mais j'y ai bien réfléchi. Parce que je savais qu'il y avait des risques. [...]

L'AfD n'est pas particulièrement populaire auprès du personnel de commandement de la Bundeswehr.

L'AfD suscite certainement des réactions négatives chez certains officiers. Mais la politique partisane n'est pas discutée pour des raisons de camaraderie, et je pense que c'est correct. Pendant longtemps, j'ai également été d'avis que les officiers ne devraient pas s'engager dans la politique partisane. Le fait que j'ai quand même rejoint la CDU en 2008 est dû au glissement à gauche en Allemagne et finalement à l'affaire Ypsilanti. J'avais le sentiment que je devais envoyer un signal clair.

Friedrich Merz, politicien de la CDU, a récemment déclaré dans une interview au journal "Bild" que son parti risque de perdre le soutien de la police et de l'armée. A-t-il raison ?

C'est certainement un problème pour la CDU/CSU. L'AfD est le seul parti qui soutient pleinement la Bundeswehr [NDLR : l'armée allemande]. Cependant, l'appui de l'AfD dans les milieux policiers est susceptible d'être encore plus important que parmi les soldats.

Pour quelle raison?

Parce que les camarades de la police constatent tous les jours dans la rue les dérives de la politique allemande. Ils se trouvent aux premiers rangs, au front.

"Lorsqu'on écoute les discours de l'AfD au Bundestag, je dois le dire : C'est du pur bon sens."

Hier, votre parti vous a désigné comme candidat aux élections municipales de Hanovre avec 98 % d'approbation. Dans votre discours, vous avez décrit la liberté, la raison et la responsabilité comme des termes clés de votre vie. L'AfD est-elle un parti raisonnable?

Oui. Mais savez-vous une certaine chose? Personne ne lit notre programme. Si vous le lisez, vous aurez une impression différente de ce parti. Le programme AfD d'aujourd'hui s'inscrit dans le droit fil du programme CDU de 2003 et j'ai même juxtaposé les deux programmes une fois. En écoutant les discours de l'AfD au Bundestag, je dois dire que c'est du pur bon sens.

[...]

Lors de votre première apparition, vous avez déclaré que "beaucoup de choses ont dû mal fonctionner quand une grande partie du spectre de la gauche, y compris la chancelière d'un parti autrefois plutôt conservateur, se positionne comme anti-allemand ". Qu'entendez-vous par "anti-allemand" ?

Je veux parler de la tendance de l'Allemagne à s'éloigner de plus en plus de l'État-nation. Madame Merkel a prêté serment sur l'Allemagne, mais elle a déjà du mal à parler d'un peuple allemand. Elle préfère parler de "population". Beaucoup de politiciens allemands ont du mal à s'engager pour leur propre nation. Même la protection de leurs propres frontières n'est plus un objectif prioritaire. L'Allemagne cède de plus en plus de souveraineté à l'UE, à la Banque centrale européenne et aux organisations supranationales. Je ne pense pas que ce soit juste. L'État-nation est la première forme d'organisation de l'Allemagne. Là où les structures deviennent trop grandes, un esprit antidémocratique émerge rapidement.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nzz.ch

 

Nos remerciements à Info

 

La presse allemande en chute libre avec Angela Merkel

La presse allemande en chute libre avec Angela Merkel

 

De même que les partis qui gouvernent l’Allemagne, la CDU chrétienne-démocrate, le SPD social-démocrate et la CSU chrétienne-sociale bavaroise, la presse qui les soutient est en chute libre. Selon la dernière statistique de leurs chiffres de vente, tous ces organes de presse « politiquement corrects » perdent à nouveau de nombreux lecteurs, et ceci même si l’on ajoute à leur tirage sur papier l’audience de leurs éditions numériques, dont les chiffres sont soumis à caution, puisque de nombreux abonnés la reçoivent en plus du journal imprimé. Le record des pertes est détenu par la feuille de boulevard Bild, qui perd plus d'un lecteur sur dix et est passée de quatre millions d’exemplaires il y a quelques années à moins d’un million et demi actuellement.

https://www.journalistenwatch.com/2018/10/18/mit-merkel-abgrund/

 

Traduction (Claude Haenggli) : Les nouveaux chiffres de vente soulignent l’inéluctable déclin des principaux médias. Les organes du groupe Springer sont les plus délaissés en masse par leurs lecteurs. Bild a perdu 11% de lecteurs en comparaison de l’année passée, Die Welt 9,7% et Bild am Sonntag 10,5%. Cela fait penser aux récents résultats électoraux de la CDU/CSU et du SPD. Le recul d’importance des journaux va de pair avec celui de leur chancellière Angela Merkel.

Claude Haenggli, 19.10.2018

 

https://www.journalistenwatch.com/2018/10/18/mit-merkel-abgrund/

Allemagne – Angela Merkel poussée vers la porte de sortie ?

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Michel Garroté -- La dispute opposant Angela Merkel (qui pourrait bientôt perdre son sourire) à ses alliés sur la politique migratoire allemande s'est aggravée jeudi 14 juin 2018, après l'échec de négociations internes (cf. sources en bas de page). La chambre basse du Parlement allemand, le Bundestag, a suspendu sa séance à la mi-journée, pour permettre des réunions de crise de la CDU de Mme Merkel d'un côté, et, de la CSU bavaroise du ministre de l'Intérieur Horst Seehofer de l'autre. En cause, la décision dimanche de la chancelière de bloquer un vaste projet de refonte de la politique d'asile présenté par son ministre de l'Intérieur. Ce dernier veut refouler les migrants arrivés en Allemagne mais précédemment enregistrés dans un autre pays de l'Union européenne.
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Mme Merkel refuse cette mesure au nom du "droit et des principes de solidarité européens". Elle a demandé à son camp de lui laisser le temps de négocier des solutions lors du sommet de l'UE prévu à la fin juin. Ses alliés bavarois - au sein de sa coalition gouvernementale avec les sociaux-démocrates (SPD) - lui ont opposé une fin de non-recevoir. "Nous devons mettre en oeuvre rapidement la réglementation pour le refoulement aux frontières. Nous devons nous soucier de la population autochtone, pas seulement et en permanence de toute l'Europe", a déclaré jeudi matin le chef de l'exécutif de la Bavière, Markus Söder.
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Le Bild, journal le plus lu d'Allemagne, posait ouvertement jeudi la question de l'avenir politique de la chancelière qui a entamé son quatrième mandat en mars après six mois de pourparlers pour former sa coalition. "Si un compromis ne peut être trouvé, alors Angela Merkel doit poser la question de confiance (au Parlement) et chaque élu devra trancher : la même chose, la bonne vieille voie d'Angela Merkel. Ou alors l'aventure avec des nouvelles élections", écrit le journal.
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Un député de la CDU s'est déclaré en faveur d'un tel vote. "Depuis 2015 on débat sur ce thème, il va bien falloir trancher, et, s'il le faut, avec la question de confiance", a jugé l'élu Axel Fischer dans Bild. Le chef des députés CSU, Alexander Dobrindt, a, lui, parlé d'une "situation historique". M. Seehofer a aussi isolé un peu plus sa cheffe mercredi sur la scène européenne, affichant sa sympathie avec le chancelier autrichien Sebastian Kurz, qui annonçait la création d'un axe à trois, avec l'Allemagne, le ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini et l'Autriche, pour combattre l'immigration mahométane clandestine.
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Mme Merkel a critiqué l'initiative, estimant qu'il en allait de l' "avenir et de la cohésion de l'UE". "Je pense qu'il est important de ne pas attendre la catastrophe, comme en 2015", a jugé, de son côté, M. Kurz, décochant une flèche en direction de la chancelière qui a ouvert son pays à plus d'un million de réfugiés cette année-là.
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Lueur d'espoir pour Mme Merkel, la direction de la CDU, le parti qu'elle préside depuis 2000, lui a formellement apporté son soutien jeudi matin, indiquant que la dirigeante allemande allait essayer de négocier au sommet de l'UE des accords bilatéraux de refoulement avec les pays membres concernés. Et les sociaux-démocrates, dont les voix sont importantes pour la stabilité du gouvernement, se sont opposés au projet du ministre de l'Intérieur.
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CDU et CSU ne forment qu'un seul groupe parlementaire au Bundestag, mais, selon le journal Augsburger Allgemeine, un responsable de la CSU au Parlement n'a pas exclu que son parti y fasse désormais cavalier seul. La politique migratoire divise donc profondément les deux formations, la CSU s'étant opposée - en 2015 déjà - à la décision de la chancelière de laisser entrer plus d'un million de migrants musulmans sur le territoire allemand.
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En fait, concrètement, il s'agit de proposer un texte de compromis, prévoyant notamment que tout demandeur d'asile débouté une première fois en Allemagne soit automatiquement renvoyé à la frontière s'il revient faire une nouvelle demande. "Il est tout à fait justifié de repousser des gens qui veulent entrer une deuxième fois en Allemagne", a déclaré le député CDU Mike Mohring, proche des positions des chrétiens-sociaux bavarois (CSU).
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Selon l'agence de presse allemande DPA, Horst Seehofer s'est dit prêt à défier Angela Merkel sur cette question. De son côté, le Parti social-démocrate (SPD) - autre composante de la grande coalition gouvernementale - a appelé le bloc conservateur à mettre fin à ses querelles intestines. Sa dirigeante, Andrea Nahles, a accusé la CDU et la CSU de mettre en scène toute cette affaire "à des fins purement électoralistes". D'où la question : Angela Merkel poussée vers la porte de sortie ? (cf. sources en bas de page).
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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Sources :
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https://fr.news.yahoo.com/immigration-merkel-menac%C3%A9e-lescalade-dun-conflit-au-gouvernement-112314372.html
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https://fr.news.yahoo.com/r%C3%A9unions-s%C3%A9par%C3%A9es-des-%C3%A9lus-cdu-et-csu-sur-095822538.html
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Angela Merkel découvre le lien entre migrants et antisémitisme

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Michel Garroté  --  Angela Merkel a récemment accordé un entretien à la télévision privée israélienne Channel 10 : "Nous sommes face à un nouveau phénomène, avec ces nombreux réfugiés parmi lesquels se trouvent, par exemple, des personnes d’origine arabe qui apportent une autre forme d’antisémitisme dans notre pays.
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Le gouvernement fédéral allemand a dû nommer un haut-fonctionnaire pour traiter et combattre cette vague d’antisémitisme. "Le fait qu’aucune maternelle, aucune école, aucune synagogue ne puisse être laissée sans protection policière nous consterne".
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La menace a atteint un tel niveau que le gouvernement fédéral d’Allemagne prépare une loi permettant l’expulsion de migrants affichant des positions ouvertement antisémites.
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Une autre proposition pour combattre l’antisémitisme, émise par la secrétaire d’Etat sociale-démocrate et musulmane du Sénat de Berlin, vise à exiger que les migrants et demandeurs d’asile soient astreints à une visite des anciens camps d'extermination.
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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Source :
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http://reinformation.tv/angela-merkel-antisemitisme-immigration-musulmane-allemagne-lenoir-83584-2/
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L’AFD au Bundestag. La chronique d’Yvan Perrin

Il n'y a pas qu'en Suisse que la gauche a passé un mauvais dimanche. En Allemagne, les sociaux-démocrates enregistrent leur plus mauvais score historique avec un recul à 20,5%. Martin Schulz, ancien président du parlement européen a conduit sa formation dans le mur. Manifestement, les Allemands veulent autre chose que ce qui leur est servi depuis si longtemps sous l'égide de la Chancelière Merkel. L'intéressée reste au pouvoir mais un pouvoir chancelant, à reconstruire sur la base d'une nouvelle coalition dont les fondations seront instables voire branlantes au vu du caractère disparate des formations qui le composeront. Le recul des partis traditionnels profite bien évidemment à l'équipe d'en face, à savoir l'AFD, Alternative für Deutschland, dont la percée consterne nos voisins toujours inquiets par un retour aux années 30.

En fait, le phénomène n'est pas nouveau. Le pouvoir en place veille consciencieusement à faire taire les oubliés du miracle économique pour mettre en vitrine les succès qui font honneur au pays et donc à ceux qui le dirigent. Désireuse de laver la tache nazie, Angela Merkel a imposé une déferlante de requérants d'asile que la population n'était pas aussi désireuse qu'elle d'accueillir. Wir schaffen das, proclame-t-elle avec fierté, en exemple pour le monde. Elle se croit tellement supérieure aux autres qu'elle souhaite imposer sa politique aveugle au reste de l'Europe et à la Suisse bien entendu. Il est vrai qu'elle aurait tort de se gêner, Simonetta Sommaruga étant toujours là pour accéder à ses requêtes, heureuse de pouvoir se pavaner aux côtés de la femme la plus puissante du monde selon certains.

Hier, brutalement, ces gens oubliés voire niés se sont levés et ils ont voté. Ils ont propulsé l'AFD à 13%, lui offrant des sièges au Bundestag. Il sera dès lors difficile de ne voir dans cette formation que quelques nostalgiques du nazisme sans audience ni électeurs. Désormais, grâce à Angela Merkel, les sans-voix en ont une et entendent bien se faire entendre. Dans la mesure où la Chancelière ne risque pas d'infléchir sa politique puisque c'est la bonne, le résultat de hier en annonce de meilleurs. L'AFD dispose maintenant d'une tribune nationale pour proposer ses thèses et désormais, les Allemands qui n'avaient pas osé franchir le pas se rendent compte que d'autres partagent leurs idées, ce qui ne manquera pas de les désinhiber.

Par sa politique irresponsable, Angela Merkel aura provoqué l'exact inverse de ce qu'elle souhaitait. Elle a réveillé les vieux démons; ils ont faim.

Yvan Perrin, le 25 septembre 2017

Elections allemandes – Quelle coalition pour Angela Merkel ?

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Michel Garroté  --  Le parti de la chancelière allemande, l'Union chrétienne démocrate (CDU), alliée à l'Union chrétienne sociale en Bavière (CSU), s'est tassée, dans les sondages à 36% (extraits adaptés et remaniés ; voir lien vers source en bas de page) : pour obtenir la majorité au Bundestag, Angela Merkel doit s'allier à d'autres partis [actuellement le gouvernement allemand est une coalition CDU-CSU-SPD]. Mais la création des alliances va moins de soi que lors des précédentes élections. D'autant qu'il faut prendre en compte un paramètre non négligeable : l'AfD (droite patriotique) qui a su remonter dans les intentions de vote en fin de campagne.
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Dans la dernière ligne droite avant l'élection, l'Alternative pour l'Allemagne (AfD), créditée de 11% des intentions de vote (les Verts de 7% et la FDP 9%.), a en effet intensifié sa campagne et s'érige contre l'immigration et les musulmans. Dans un long réquisitoire contre l'islam, Alexander Gauland, l'une des deux têtes de l'AfD, a ainsi dénoncé, lundi 18 septembre 2017, "le terrorisme qui a ses racines dans le Coran".
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"La propagation de l'islam en Europe, et l'islamisation croissante de l'Allemagne sont devenues un défi pour l'Etat, l'ordre social, l'identité culturelle et la paix dans notre pays", a-t-il ajouté, attaquant la décision de la chancelière allemande d'ouvrir les frontières à 1,3 million de musulmans en 2015. Sa co-tête de liste, Alice Weidel, a ensuite jugé qu'à force d'immigration et de laxisme judiciaire, "l'espace public est devenu un espace à risque. L'Allemagne est devenue un refuge pour les criminels et les terroristes du monde entier", a-t-elle ajouté.
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L'AfD surfe sur la crise migratoire et l'aspect sécuritaire. Les Allemands sont désorientés, incertains et insatisfaits. Pour eux, le thème majeur qu'est la crise des réfugiés, a été escamoté par la politique. En outre, un sentiment diffus de malaise croît dans le pays. Malgré sa réussite économique, l'Allemagne est vue comme un pays à l'abandon, avec des écoles et des autoroutes défoncées, des zones de non droit et des injustices sociales.
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L'AfD, qui devrait occuper la troisième place au Bundestag, rassemble un électorat divers et des abstentionnistes. Le parti a su fédérer un melting pot d'anti-islam, d'opposants à l'immigration, d'eurosceptiques, et, plus largement, de déçus des grands partis et de la politique de coalition d'Angela Merkel. Si Angela Merkel est assurée d'être reconduite pour un quatrième mandat, celle-ci ne pourra cependant pas gouverner seule et devra s'allier à d'autres partis. Mais la chancelière refuse mordicus une coalition avec l'AfD ainsi qu'avec l'extrême-gauche radicale Die Linke.
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Il reste à la chancelière deux ou trois possibilités. S'associer aux Verts (Die Grünen), aux libéraux du FDP (Parti libéral-démocrate) ou aux deux, ce qui lui permettrait de neutraliser l'AfD. Une autre option s'offre aussi à Angela Merkel pour obtenir la majorité au Bundestag : une coalition avec le SPD (sociaux-démocrates) dirigé par [le gauchisant] Martin Schulz, et, actuelle coalition au pouvoir. Mais le SPD hésite à servir une nouvelle fois de supplétif à Merkel.
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Certes le SPD met son point d'honneur à appliquer la formule "le pays avant le parti", mais sa stagnation dans les sondages pourrait l'inciter à s'offrir une cure d'opposition. En outre, le SPD, qui enregistre 22% des intentions de vote, peine à séduire les électeurs. D'autre part, cette alliance droite-gauche, à la tête de l'Allemagne depuis huit années, reste de moins en moins plébiscitée par l'opinion allemande (fin des extraits adaptés et remaniés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 22.9.2017
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Source :
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http://www.huffingtonpost.fr/2017/09/22/elections-en-allemagne-pour-angela-merkel-le-casse-tete-de-la-bonne-coalition-face-a-la-montee-de-lextreme-droite_a_23214503/?utm_hp_ref=fr-homepage
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Tsunami allemand – Papa Schulz tiendrait-il la main aux ultra-gauchistes ?

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Michel Garroté - Le parti allemand ultra-gauchiste et radical Die Linke est l'héritier du SED, l'ancien parti communiste de la RDA (la DDR, Allemagne de l'Est). Die Linke est aussi un "refuge politique" pour les anciens agents de la Stasi, police politique de sinistre mémoire, équivalent est-allemand du KGB. Bref, Die Linke, c'est l'addition des islamo-gauchiste, du SED et de la Stasi, un cocktail explosif dont les Allemands n'ont vraiment pas besoin, et, l'on peut espérer, qu'il ne se tourneront jamais -- en grand nombre -- vers cette "ultra-linke Linke" (ultra-gauche La Gauche) ou vers une alliance Martin Schulz - Die Linke.
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Or, il semblerait (allez savoir...) que Martin Schulz (Papa Schulz pour les Kameraden), du parti social-démocrate SPD, tend la main à ces gauchistes radicaux, en vue des élections législatives du 24 septembre prochain, d'où sortira le nouveau Chancelier allemand et son gouvernement (ou la Chancelière allemande Angela Merkel - Mutti Merkel - et son gouvernement démocrate-chrétien CDU-CSU).
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Martin Schulz est le candidat du parti social-démocrate SPD, mais lui même n'est pas social-démocrate. Martin Schulz est socialiste, ou, si l'on préfère, il est membre de l'aile gauche du SPD. Plus précisément, Martin Schulz est très à gauche. On peut le comparer à Benoît Hamon, ou tout au moins, moi je le compare à Benoît Hamon, n'en déplaise à certains.
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Un gouvernement Papa Schulz - Die Linke serait un désastre en matière économique avec du socialo-communisme à cent pour cent et en matière de politique étrangère, qui deviendrait islamo-gauchiste, islamophile à cent pour cent (donc encore plus islamophile que Mutti Merkel), palestinophile à cent pour cent, américanophobe à cent pour cent et israélophobe (pour ne pas dire judéophobe) à cent pour cent, bref, un désastre pour la politique allemande au Proche et au Moyen Orient, et, un désastre pour la politique allemande vis à vis de Donald Trump et donc vis à vis des USA.
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Pascale Hugues, correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point' raconte (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Sarah Wagenknecht, la tête de file de Die Linke, le parti à la gauche de la gauche allemande, promet de ne pas mettre de bâtons dans les roues du candidat social-démocrate Martin Schulz, à condition que celui-ci s'engage à donner un grand coup de volant à gauche. Die Linke abat ses cartes : « Si le SPD s'engage sérieusement à mener une politique plus sociale, ce n'est pas à cause de nous que ce projet échouera ». C'est ce qu'a fait savoir Sarah Wagenknecht, ouvrant ainsi la voie à une éventuelle coalition SPD-Die Linke-Verts au pouvoir à Berlin à l'issue des élections du 24 septembre prochain.
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L'annonce du candidat social-démocrate de corriger l'Agenda 2010, les vastes réformes de l'État-providence mises en place par l'ancien chancelier SPD Gerhard Schröder, est interprétée par Sarah Wagenknecht comme une main tendue. En effet, Die Linke n'a eu de cesse au cours des dernières années de dénoncer les réformes Schröder qui, selon le parti, creusent les inégalités entre riches et pauvres et accroît la précarité en Allemagne. Soucieux de rallier l'aile gauche du SPD qui avait massivement quitté le navire à cause de l'Agenda 2010, Martin Schulz vient d'annoncer qu'il souhaitait en particulier revenir sur la fameuse disposition Hartz IV, qui limite drastiquement l'allocation des chômeurs en fin de droits [ndmg - Pascale Hugues, correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point', serait-elle une "fan" de Die Linke ?].
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« Si nous étions en mesure de réinstaurer l'État social et de mener une politique étrangère pacifiste, nous ferions volontiers partie du prochain gouvernement. Dans ces conditions, une coalition de centre gauche est possible », affirme Sarah Wagenknecht. Pour celle qui a longtemps appartenu à l'aile radicale de Die Linke opposée à tout compromis, cette prise de position équivaut à une profession de foi de réalisme [ndmg - aile radicale de Die Linke qui elle-même est ultra-radicale, je crois que Pascale Hugues rêve les yeux ouverts]. « On peut faire bouger les choses quand on est dans l'opposition », dit-elle, tout en reconnaissant : « Bien sûr, on a les coudées plus franches pour agir quand on est au gouvernement ». Pour cela, Sarah Wagenknecht demande à Martin Schulz des preuves de son engagement : il doit concrétiser son projet encore trop vague sur de nombreux points et surtout annoncer la couleur : est-il prêt, lui aussi, à envisager une coalition avec Die Linke ?
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Avant l'arrivée providentielle [ndmg - Providentielle ? C'est un Messie temporel, Papa Schulz ?] de Martin Schulz sur la scène politique allemande, le SPD plafonnait autour de 20% des suffrages aux élections et était peut-être en passe de devenir la troisième force politique du pays après la CDU et l'AfD, le nouveau parti populiste. Si des alliances et des coalitions SPD-Die Linke fonctionnent déjà au niveau municipal et régional, jamais Die Linke n'a fait l'appoint des voix pour former une coalition au gouvernement fédéral à Berlin. La palette de couleur rouge-rouge-vert serait une expérience nouvelle. Cependant, même si ces trois partis s'accordent à unir leurs forces, il n'est pas sûr qu'ils parviennent à réunir suffisamment de voix pour décrocher une majorité. À sept mois des élections, les sondages divergent sur ce point.
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Martin Schulz, en revanche, poursuit sa montée en flèche. Pour la première fois depuis plus de dix ans, le SPD double la CDU d'Angela Merkel au 'Deutschland Trend', le baromètre de la première chaîne de télévision AFD jugé particulièrement fiable [ndmg - Pas AFD, mais ARD, chère Pascale Hugues ; première chaîne de télévision ARD qui est tellement à gauche que son 'Deutschland Trend' n'est vraiment pas crédible]. Le SPD gagne 4 points et arrive à 32 % des intentions de vote. La CDU, par contre, perd 3 point et passe à 31%. Les saillies de Martin Schulz contre l'Agenda 2010 semblent avoir joué à son avantage. 65% des personnes interrogées souhaitent, comme le promet Schulz, que la durée de l'allocation chômage soit allongée [ndmg - 65% selon la chaîne de télévision gauchisante ARD et son 'Deutschland Trend' bidon]. Seulement 29% ne sont pas d'accord, ajoute la brave Pascale (Hugues), correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point' qui avec cet article pascalinien vire à gauche, très à gauche (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.lepoint.fr/europe/allemagne-la-main-tendue-de-martin-schulz-a-die-linke-25-02-2017-2107527_2626.php
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Angela Merkel – Un discours « contre » les migrants ?

   
Michel Garroté - Aurait-elle changé, pris conscience des réalités, ou, rétropédalé sur le Chimsee ? Angela Merkel, qui a annoncé sa candidature à un nouveau mandat, a lancé, mardi 6 décembre 2016, la bataille pour les législatives  --  d'où sortira le prochain Chancelier ou la prochaine Chancelière, équivalent de Chef de Gouvernement  --  avec un discours ferme sur l'immigration de masse : sincérité politique ou démagogie électorale ?
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Pour quoi faire ? Pour faire barrage à la droite patriotique-populaire et pour répondre aux critiques dans les rangs de son propre parti, la CDU, tournant ainsi la page de sa politique d'accueil massif de migrants (en supposant que sur ce point Angela soit sincère, alors nous sommes réconciliés, même si je suis "CSU-bavaroise-Oktoberfest", ou, même, AfD (oups...), plutôt que CDU).
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La chancelière allemande, un brin "dame de fer" et un brin "mère bienveillante", s'est vu adresser un avertissement par le millier de délégués de l'Union Chrétienne-Démocrate (CDU) réunis en congrès. Elle a été reconduite à la tête du parti avec 89,5% des voix. Pour rassurer la base et satisfaire l'aile droite de son parti, Angela Merkel a donc tenu un discours ferme sur l'immigration massive.
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"Une situation comme celle de l'été 2015 ne peut et ne doit pas se répéter", a-t-elle déclaré, plus d'un an après sa décision catastrophique d'ouvrir les portes de son pays à plus d'un million de "migrants" afghans, africains, etc. Cet afflux inédit a profondément bouleversé la société, partagée entre générosité irresponsable et inquiétudes légitimes, à l'égard de l'afflux migratoire massif.
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La chancelière avait vu sa cote de popularité dégringoler et les critiques dans son propre camp se multiplier. Elle a toutefois depuis regagné son soutien populaire (reconduite à la tête du parti avec 89,5% des voix !). Durant son discours, elle s'est montrée ferme sur la défense des valeurs de l'Allemagne, affirmant vouloir interdire le voile intégral. Elle a aussi insisté sur le fait que "le droit allemand prévaut sur la charia".
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La CDU devrait également se prononcer sur un durcissement en matière d'expulsions des demandeurs d'asile déboutés. Elle a mis en garde contre "les solutions simples" proposées par la droite patriotique-populaire (je n'aime pas dire "nationaliste" et/ou "populiste" comme le font les gens politiquement corrects et éthiquement abjects...).
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"Le monde n'est pas noir et blanc", a souligné la chancelière, sans évoquer directement l'ascension du parti Alternative pour Allemagne (AfD). "Nous devons rester sceptiques à l'égard des réponses simples" car elles ont "rarement fait avancer notre pays", a-t-elle dit.
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L'AfD prospère sur les inquiétudes d'une partie de la population qui se sent, avec raison, déclassée socialement et qui rejette, encore avec raison, les élites. Des militants CDU conservateurs ont par ailleurs critiqué, à juste titre, la politique trop centriste d'Angela Merkel. La CDU a permis "à l'AfD de se constituer à sa droite. Nous ne regagnerons pas ce terrain", a lancé la déléguée CDU Christine Arlt-Palmer.
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De plus, la CDU a décidé de revenir sur l'octroi automatique de la "double nationalité" (nationalité allemande et nationalité étrangère) aux enfants nés de parents étrangers (la plupart sont des turcs musulmans). L'Allemagne compte plus de 10 millions d'immigrés, turcs notamment (10% des Turcs d'Allemagne, soit un million, approuvent le "calife-dictateur-halluciné-nazislamiste" Erdogan).
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Angela Merkel serait candidate à un 4e mandat

Angela Merkel se présentera pour un quatrième mandat lors des législatives de septembre 2017, selon un de ses proches.

«Elle est absolument déterminée, disposée et prête à contribuer à renforcer l'ordre international libéral», a déclaré le chrétien-démocrate (CDU) Norbert Röttgen, président de la commission des affaires étrangères du Parlement fédéral allemand, le Bundestag, sur la chaîne de télévision américaine CNN.

 

Source et article complet

Ne sois pas si têtue Angela !

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Après une semaine sanglante, Angela Merkel a jugé - pour la première fois - que l'Allemagne était en guerre contre l'Etat islamique (voir source en bas de page) : "Je crois que nous sommes dans une lutte, ou, 'si vous voulez', dans une guerre contre l'EI", a déclaré Angela Merkel. Si 'nous voulons' ? Oui, nous 'voulons'.
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"C'est incontestable", a-t-elle ajouté. Cependant, Angela Merkel a ajouté : "Nous ne nous trouvons pas dans une guerre ou une lutte contre l'islam". Ah ? Si ce n'est pas contre l'islam, alors c'est contre qui, contre quoi ?
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Jusqu'à présent, Angela Merkel évitait d'employer le terme de "guerre". Angela Merkel a également  jugé que les réfugiés qui commettent des attaques (des attentats terroristes islamiques) "se moquent du pays qui les a accueillis". Tiens ? Elle ose - enfin - dire la vérité, au moins sur ce point.
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Accusée, à juste titre, par certains opposants - et par certains de ses alliés de la courageuse CSU bavaroise  - d'être coresponsable de cette série noire, après avoir laissé venir l'an dernier plus d'un million de "réfugiés" dans le pays, Angela Merkel a répondu qu'elle avait conscience de la difficulté et que la décision "avait été collective" (on aimerait bien savoir qui sont les auteurs de cette décision collective hallucinée).
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"Je n'ai pas dit, il y a onze mois, que ce serait une chose facile, que nous réussirions comme si de rien n'était", a-t-elle précisé, sans doute pour tenter de se justifier (voir source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://www.atlantico.fr/pepites/angela-merkel-declare-que-allemagne-est-en-guerre-contre-etat-islamique-2778649.html
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Journal 24H: «Les votations sont une victoire pour la politique migratoire d’Angela Merkel»

Gero Neugebauer, politologue à l’Université libre de Berlin (FU), analyse les résultats des trois élections régionales de dimanche dans le Bade-Wurtemberg, le Rhénanie-Palatinat et la Saxe-Anhalt. Cette interview a été réalisée ce lundi dans le cadre d’une rencontre avec l’Association de la presse étrangère (VAP).

Les candidats de la CDU ont-ils été punis pour avoir critiqué Merkel?

Oui. Au lieu de convaincre les électeurs de ne pas voter extrême droite en expliquant la position de la chancelière, ils les ont finalement poussés à le faire en brouillant les pistes. Merkel peut dire: «S’ils ne s’étaient pas opposés à moi, ils auraient gagné.» Je pense que les prochains candidats conservateurs éviteront ce genre de stratégie suicidaire.

Ceci est une victoire pour le politologue servilement relayé par le 24H.

Ceci est une victoire pour le politologue servilement relayé par le 24H.

La défaite du camp conservateur est donc une victoire de Merkel?

C’est une victoire de la politique migratoire de Merkel. Les résultats de l’extrême droite la laissent complètement indifférente.

Une candidature pour un quatrième mandat en 2017 est-elle remise en cause?

Je ne vois personne pour l’instant qui s’aventurerait à lancer ce débat.

Source

Crise des migrants : « Le temps de toutes les factures est venu pour Angela Merkel », décrypte Éric Zemmour

"C’était il y a un mois, c’était il y a un an, c’était il y a un siècle", lance Éric Zemmour en introduction. "Les 'on va y arriver", les leçons de morale de fille de pasteur luthérien, la bonne conscience, Les unes du monde entier à sa gloire, La promesse d’un prix Nobel de la paix : pour Angela Merkel aussi, c’était mieux avant", poursuit le journaliste. Selon lui, le temps de toutes les factures est venu" pour la chancelière allemande. "Elle n’a pas fini de payer, pour ses illusions, ses chimères, son arrogance", décrypte-t-il.

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Crise des migrants : "Le temps de toutes les... par rtl-fr

Qui veut la peau d’Angela Merkel ?

Le propre d’une psy-op, c’est que tout se fait de manière invisible, et la cible ne voit rien venir jusqu’à ce qu’elle succombe. Une autre de ses caractéristiques, c’est d’utiliser les sentiments latents, les diverses peurs et phobies, qui ne demandent qu’à se réveiller au premier signal, entrainant des automatismes de pensée et d’action prévisibles, donc gérables. L’opération des réfugiés est une guerre psychologique de grande envergure dirigée contre l’Europe. Malheureusement, les Européens préfèrent se focaliser sur les réfugiés, qui ne sont que des moyens utilisés par ceux qui mènent cette guerre.

Suite

 

Merci à Pierre H.

Nous sommes tous des Juifs Allemands



Les Juifs Allemands se réveillent-ils ? Après avoir, dans un premier temps, soutenu l’accueil de tous les « migrants » convergeant vers l’Allemagne, les Juifs Allemands semblent avoir compris qu’il y a parmi ces « migrants » des éléments fanatiquement antisémites et judéophobes.

Ainsi, le président du Conseil central des juifs d'Allemagne, Josef Schuster, s'est prononcé, lundi 23 novembre 2015, en faveur d'une limitation de l'afflux de réfugiés dans le pays, arguant, à juste titre, que beaucoup d'entre eux viennent de pays où la haine des Juifs est largement répandue.

« Je crois qu'il faudrait que l'accès à l'Allemagne soit contrôlé. Tôt ou tard, on ne pourra pas éviter des plafonds » pour contrôler et filtrer le nombre de réfugiés, a-t-il confié au quotidien allemand Die Welt. L'Allemagne, qui s'attend à accueillir un million de migrants en 2015, débat actuellement de la nécessité de fixer ou non des plafonds pour l’accueil de demandeurs d'asile.

Angela Merkel est opposée à cette hypothèse, prônant à la place des quotas européens annuels négociés avec la Turquie, à charge ensuite pour les pays de l'UE de se les répartir. Angela Merkel semble avoir perdu la tête. Le régime islamiste turc soutient l’Etat islamique. Il n’est donc plus notre partenaire. Et encore moins un interlocuteur valable pour négocier sur la question des « migrants ».

« Le flux de réfugiés a deux facettes. Il faut considérer les deux », a précisé Josef Schuster. « Beaucoup de réfugiés fuient la terreur de l’Etat islamique et veulent vivre en paix, librement », a-t-il ajouté. Mais « en même temps, ils viennent de cultures où la haine des Juifs et l'intolérance sont solidement installées », a-t-il mis en garde.

Michel Garroté, 23 novembre 2015