Bravo les bobos! Les voitures hybrides subventionnées polluent jusqu’à huit fois plus que les chiffres déclarés. Parmi eux: Volvo, Porche…

L’écart entre les valeurs de CO2 mesurées en laboratoire et sur route nuit au climat

L’ATE demande la fin des subventions pour les hybrides rechargeables

9 février 2021 | Martin Winder
Berne

Souvent, les émissions réelles de CO2 des hybrides rechargeables sont des multiples des chiffres déclarés. Ces véhicules peuvent rejeter autant de CO2 que des voitures avec moteur à combustion. Malgré cela, la majorité des cantons et certaines communes encouragent l’achat d’hybrides rechargeables par des rabais fiscaux ou des primes. L’ATE demande la fin de ces subventions.

Des études menées par Transport & Environment (T&E), l’ICCT et l’institut Fraunhofer révèlent que les véhicules hybrides rechargeables (VEHR) émettent jusqu’à huit fois plus de CO2 sur la route que les valeurs officielles déclarées. L’écart s’explique par le fait que leur technologie hybride a été conçue avant tout pour donner de bons résultats sur les bancs d’essai en laboratoire. Or, sur la route, c’est le moteur thermique qui fonctionne la plupart du temps.

Avec la forte progression du marché des motorisations hybrides rechargeables, l’écart entre les émissions mesurées en laboratoire et sur la route en conditions réelles devient un problème croissant: le soutien à ce type de véhicules par des allègements fiscaux ou des primes à l’achat va à l’encontre de la protection du climat et de la transition énergétique.

Subventions de fait à l’énergie fossile

Comme les VEHR ne sont pas conçus pour rouler autant que possible à l’électricité, leur consommation de carburant n’est généralement pas inférieure à celle des voitures thermiques. Dès lors, subventionner les VEHR équivaut à subventionner les combustibles fossiles. L’ATE Association transports et environnement demande donc aux cantons de renoncer à accorder des primes à l’achat ou des rabais fiscaux aux hybrides rechargeables.

Rabais de l’impôt sur les automobiles

Dans de nombreux cantons, les VEHR bénéficient de généreux allègements de l’impôt sur les véhicules automobiles: quatre cantons octroient une réduction aux hybrides rechargeables sur la base de leur technologie de propulsion, alors que dans neuf autres, les émissions de CO2 déterminent le montant de l’impôt. Ces avantages offerts aux VEHR sont injustifiés, puisque leurs valeurs officielles de CO2 ne correspondent pas à leurs émissions réelles.

Sept cantons accordent un rabais aux voitures de la catégorie d’efficacité A, dans laquelle entrent la plupart des VEHR, puisque leurs valeurs de consommation sont sous-estimées dans la procédure de mesure officielle.

Subventions à des voitures de luxe

Dans le canton de Genève, les voitures dont les émissions de CO2 sont inférieures à 121 g/km, selon l’ancien cycle de mesure NEDC, sont exemptées de la moitié de l’impôt sur les véhicules automobiles pendant deux ans.

Par exemple, une Porsche Cayenne Turbo S E-Hybrid (prix catalogue: 228’200 francs) bénéficie d’un rabais de 1’464 francs pendant deux ans. Cela correspond à une subvention de 2’928 francs pour un modèle de luxe qui, avec 122 g de CO2/km (WLTP), rate d’ailleurs tout à fait officiellement la valeur cible de CO2 pour les voitures neuves (95 g selon NEDC ou 118 g selon WLTP).

La Volvo XC60, testée par Transport & Environment, profite d’un rabais fiscal de 558 francs sur trois ans dans le canton de Zurich, sur la base de sa catégorisation en classe d’efficacité A et de ses émissions de CO2 théoriquement basses, avec 64 g/km (WLTP). Les contribuables zurichois·es subventionnent donc à hauteur de 1’674 francs l’achat de cette voiture pour laquelle T&E a mesuré des émissions supérieures à 100 g de CO2/km, malgré une batterie pleine.

Primes à l’achat en Valais

Le canton du Valais n’accorde pas de rabais fiscal, mais en soutenant les hybrides rechargeables avec une subvention de 2’500 francs, il se montre particulièrement vis-à-vis de ces voitures pseudo-électriques. La commune de Hochdorf, dans le canton de Lucerne, et la compagnie d’électricité de Romanshorn offrent aussi des primes à l’achat pour les hybrides rechargeables.

Aperçu des rabais de l’impôt sur les véhicules automobiles pour hybrides rechargeables

Cantons avec rabais pour hybrides rechargeables: JU, NW, OW, TI

Cantons avec rabais / barème d’impôt basé sur les émissions de CO2: BL, BS, GE, GR, NE, SG, VD, TI, ZH

Cantons avec rabais pour les véhicules de la catégorie d’efficacité A: BE, FR, GL, NW, SG, TG, ZH

Liens:

Aperçu des rabais cantonaux de l’impôt sur les véhicules automobiles (Office fédéral de l’énergie): www.bfe.admin.ch/bfe/fr/home/mesures-d-encouragement/efficacite-energetique/mobilite.html

Communiqué de presse de l’ATE sur l’étude de T&E: www.ate.ch/medias/detail/article/en-tests-en-conditions-reelles-sur-route-les-hybrides-plug-in-emettent-bien-plus-de-co2-que-sur-le/

Volvo XC60 (en anglais): www.transportenvironment.org/sites/te/files/publications/2020_11_Plug-in_hybrids_report_final.pdf

Etude de l’ICCT (en anglais): https://theicct.org/sites/default/files/publications/PHEV-white%20paper-sept2020-0.pdf

Pour toute information supplémentaire:
Martin Winder, chargé de projets Politique des transports, tél. 031 328 58 63

Twitter

source: https://www.ate.ch/politique/detail/article/late-demande-la-fin-des-subventions-pour-les-hybrides-rechargeables/

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voir aussi:

Stéphane Montabert : La nouvelle mobilité face à la loi

La nouvelle mobilité face à la loi

https://lesobservateurs.ch/2020/09/24/lausanne-deficitaire-et-quatre-milliards-de-dettes-la-ville-va-egalement-subventionner-les-velos-conventionnels/

https://lesobservateurs.ch/2020/07/12/suisse-feu-vert-pour-faire-payer-le-parking-aux-motos-aux-scooters-et-aux-velos-electriques-rapides/

Suisse : Une initiative parlementaire permettrait à la Confédération de subventionner directement les médias, tout support confondu

Lancée par l’ancien conseiller aux Etats Filippo Lombardi (PDC/TI), reprise par son collègue de parti valaisan Beat Rieder, l’initative parlementaire 18.473 entend clarifier et étendre les compétences de la Confédération dans le domaine des médias et singulièrement de l’aide aux médias. Le nouvel article constitutionnel proposé donnerait à l’Etat fédéral le pouvoir de légiférer sur l’ensemble des médias, quel que soit leur support technologique ou de diffusion.

Il permettrait à la Confédération de fournir une aide directe aussi bien à la presse imprimée – ce qui est impossible actuellement – qu’aux médias en ligne et audiovisuels. RSF Suisse soutient cet objectif et reconnaît que les bases constitutionnelles actuelles, dont l’origine remonte à une époque antérieure à l’arrivée du web, ne correspondent plus à la réalité du 21e siècle.

Toutefois, pour nécessaire qu’elle soit, l’aide aux médias ne doit pas servir de prétexte pour restreindre la liberté de la presse. Or, le texte qui doit être débattu par le Conseil des Etats y porte une atteinte inacceptable. Il propose en effet de soumettre la presse, sans la moindre justification, au même mandat de prestation que celui qui incombe aujourd’hui à la radio et à la télévision, spécialement aux programmes de service public. Cela signifie que les journalistes de la presse écrite pourraient se voir imposer des contraintes analogues : mandat culturel, représentation de la diversité des opinions, présentation fidèle des faits, etc. Avec, à la clé, les mêmes contrôles juridiques possibles sur les contenus publiés.

[...]

Rsf-ch

Nos remerciements à Samantha Smith

7,2 milliards d’euros: en moins de dix ans, les subventions de l’État aux associations ont été multipliées par cinq

Jamais autant d’argent n’avait été distribué par l’État français aux structures associatives. Leur nombre a sensiblement augmenté depuis plusieurs années, contribuant à faire exploser la note pour le contribuable. Gabegie ou réelle utilité publique? Analyse.

Qu’ont en commun l’Association des journalistes lesbiennes, gays, bi·e·s, trans et intersexes (AJL), la Société des Habous et des lieux saints de l’Islam (gestionnaire de l’Institut musulman de la Grande mosquée de Paris), l’Association pour la promotion des migrants de l’agglomération rouennaise, et Pilou pétanque à Canet-en-Roussillon? Elles ont toutes touché de l’argent public au titre de subventions.

[...]

Une somme qui prend tout son sens au regard de son évolution depuis 2010: selon les informations compilées sur le site politologue.com, le montant global d’argent public alloué aux associations a explosé ces dernières années. En 2011, ces subventions s’élevaient à 1,3 milliard d’euros, en baisse par rapport à 2010. Sept ans plus tard, leur montant a été multiplié par plus de cinq. Comment expliquer une telle évolution exponentielle? [...]

Le nombre d’associations subventionnées explose

[...]

Paris, Eldorado des associations subventionnées

[...]

article complet: https://fr.sputniknews.com/analyse

Sous la baguette de Sommaruga, le Conseil des Etats veut une aide à la presse. Seule l’UDC s’y oppose.

Les médias devraient obtenir une aide de plusieurs millions de francs. Le Conseil des Etats est entré en matière jeudi par 37 voix contre 5 sur le paquet proposé par le gouvernement pour soutenir une branche mise à mal par la diminution de ses recettes publicitaires.

Des médias libres et variés sont essentiels à la démocratie, a souligné Stefan Engler (PDC/GR) au nom de la commission. La population doit avoir accès à des informations pour se forger une opinion politique diversifiée, a abondé la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga. Et ce peu importe le support utilisé par les lecteurs, les spectateurs ou les auditeurs.

Malgré leur importance, les médias subissent un développement critique. Plusieurs titres ont disparu en Suisse romande, a rappelé Lisa Mazzone (Verts/GE) [NDLR : ces fameux "titres" sont des journaux orientés à gauche comme l'Hebdo, ce qu'elle omet bien entendu de préciser.]. Le projet gouvernemental veut y répondre pour l'ensemble des médias.

Le paquet offre des réponses à de réels besoins de la branche, a avancé Marianne Maret (PDC/VS). Seule l'UDC s'est opposée au projet

[...]

Lfm.ch


Voici des exemples de ces médias "libres et variés" selon Stefan Engler :

- Nos médias titrent « qu’un Suisse est suspecté de terrorisme » alors qu’il s’agit d’un naturalisé Bosniaque! Merci Sommaruga pour le multiculti!

- Davos : discours de Donald Trump, de Simonetta Sommaruga et les commentaires de Ruth Dreifuss au 12h30

- La haine de la Radio Télévision Socialiste pour la Hongrie de Viktor Orban

- Médias. RTS. Mehmet Gultas et sa camarade au secours de Greta Thunberg

- Médias. Le Temps, l’ambassadeur et ses pompes bien cirées. A vomir

- Manipulation: Le Temps publie 24 articles anti-Trump en 30 jours.

Massacre au couteau de Lübeck. Les médias romands refusent de publier l’origine iranienne de l’agresseur.

- Bâle : 3 Kosovars tabassent un homme de 59 ans car il photographiait leur véhicule mal parqué. Les médias romands refusent de publier l’origine des agresseurs.

- Femmes frappées à Genève : aucune mention des noms et prénoms des coupables issus des banlieues françaises dans la presse romande

- Le Matin vole au secours d’Ada Marra : « Un torrent de boue sur une élue »

etc. etc.

Des reprises d'articles à n'en plus finir, avec comme toile de fond un politiquement correct qui assure une presse orientée souvent très à gauche en Romandie.

Plus personne ne veut acheter la presse? Vous serez malgré tout obligé de la financer !

Le Temps: Pascal Broulis sur la «santé» des médias: «La situation est critique»

Michel Guillaume, 17 novembre 2019

Le conseiller d’Etat vaudois plaide pour une aide indirecte aux médias, passant par exemple par le renforcement de l’agence Keystone-ATS dans les régions

Ce lundi, la Fondation ch pour la collaboration confédérale, un organe créé en 1967 pour valoriser la pluralité linguistique et défendre le fédéralisme, se penche sur l’avenir des médias. Quelque 150 spécialistes et professionnels des médias y rencontreront des conseillers d’Etat. Président de cette fondation, Pascal Broulis estime que les cantons doivent aussi envisager une aide aux médias.

[...]

Le Temps: Qu’attendez-vous de cette conférence nationale?

Pascal Broulis: Le but de cet événement est d’examiner les défis que pose le bouleversement du paysage médiatique suisse du point de vue du fédéralisme. La prise de conscience existe, mais il faut la fédérer. Nous voulons tous conserver une presse de qualité, diverse et plurielle. [...]

Quel constat dressez-vous de la santé des médias?

La situation est critique. Il y a 30 ans, en 1989, on comptait en Suisse 275 journaux payants pour un tirage quotidien de 3 millions d’exemplaires. Aujourd’hui, il en reste le tiers (92) pour un tirage inférieur à 2 millions d’exemplaires, alors que, dans le même temps, la population a crû de 6,7 à 8,5 millions d’habitants. Nous vivons une période complexe, beaucoup de gens ayant le sentiment que l’information est gratuite. Mais une information de qualité ne peut pas être gratuite, c’est inconcevable.

Craignez-vous une perte de diversité?

Oui! Les éditeurs n’investissent plus, mais raisonnent en fonction d’un modèle économique segmenté en des centres de coûts et de profits. Ils ont mis en place des rédactions centrales ayant débouché sur une perte marquée de diversité concernant la couverture de la politique nationale et internationale, de l’économie et de la culture. Cet appauvrissement des contenus préoccupe le fédéraliste que je suis et la Fondation ch que je préside. Car la Suisse n’est pas une nation, mais une Confédération de micro-Etats, diverse par nature. Ce fédéralisme demande des explications et un approfondissement, alors qu’on assiste à une uniformisation des idées.

La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga planche déjà sur des mesures concrètes pour soutenir les médias. Est-ce vraiment la tâche des cantons?

Tout à fait! La culture, l’éducation et la formation ne sont pas des politiques dévolues à la Confédération. Elles sont d’abord du ressort des cantons, qui sont donc légitimés à s’interroger sur leurs possibilités d’action. J’estime ainsi qu’il faut débattre de l’avenir de Keystone-ATS, cela de manière à garantir l’existence même d’une agence de presse distillant la même qualité de contenus dans les trois régions linguistiques du pays. Pour que le modèle suisse fonctionne, il faut se connaître d’un bout à l’autre du pays, être au courant des pratiques des uns et des autres pour pouvoir en débattre. Ce que permet une telle agence.

Les cantons pensent-ils vraiment à soutenir financièrement cette agence?

Pourquoi pas? Le canton de Berne est en train d’examiner cette question. Il réfléchit à un soutien financier de l’agence Keystone-ATS à condition qu’elle renforce sa couverture régionale, cela à l’intention des médias locaux, que ce soit des journaux, des radios, télévisions ou sites en ligne. Je pense que c’est justifié dans l’idée de renforcer la cohésion nationale. Cela entre d’ailleurs dans les réflexions que mène le gouvernement vaudois pour répondre à un postulat sur l’aide aux médias.

Le défi de tous les médias, c’est la transition numérique. A quelles mesures pensez-vous?

[...]

Pourriez-vous envisager de soutenir des sites d’information uniquement en ligne, comme Bon pour la tête ou heidi.news en Suisse romande?

L’aide directe me paraît délicate. Elle n’est pas saine, car elle suscite un problème d’indépendance des médias qui la toucheraient.

[...]

 

article complet:

 

France: L’ex-responsable d’une cellule de déradicalisation jugée pour détournement de fonds. Cazeneuve avait loué son travail.

Sonia Imloul est notamment soupçonnée d’avoir utilisé un RIB falsifié pour faire virer 25 000 € puis 35 000 € de subventions destinées à la structure et d’avoir effectué des virements au profit d’un ex-conjoint et de sa mère.

C’est l’heure des comptes pour l’ancienne dirigeante de la cellule dite de déradicalisation, basée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Sonia Imloul, 43 ans, doit être jugée ce lundi au tribunal correctionnel de Paris pour détournement de fonds, blanchiment et travail dissimulé. Elle est notamment soupçonnée d’avoir utilisé un RIB falsifié pour faire virer 25 000 € puis 35 000 € de subventions destinées à la structure et d’avoir effectué des virements au profit d’un ex-conjoint et de sa mère.

Cazeneuve avait loué son travail 

L’aventure séduit, puisque le 24 décembre, Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’Intérieur aurait dit : « On développe, on duplique », comme le raconte Julien Revial, un ancien de la structure, dans un livre paru septembre 2016.

Source

La famille de Théo au coeur d’une enquête financière : 678 000 euros de subventions

C’est une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. La famille de Théo, et Théo lui-même, se retrouvent au coeur d’une affaire financière. Une enquête ouverte par le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie » en juin dernier, soit bien avant le viol présumé de Théo lors d’une interpellation brutale, le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois.

(…)
Tout commence courant 2015 par un contrôle de l’Inspection du travail d’Ile de France concernant l’association Aulnay Events dont le président est Michaël Luhaka, l’un des frères de Théo. L’association est censée avoir embauché 30 salariés, formés pour être animateurs de rue. Le but d’Aulnay Events ? Lutter contre la violence dans le département… L’association aurait reçu, entre janvier 2014 et juin 2016, 678 000 euros de subvention d’Etat par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit Contrat aidés.

S’agit-il d’employés fantômes ? Lors du contrôle de l’Inspection du Travail aucun élément matériel probant n’a pu être produit par les dirigeants de l’association pour étayer la réalité des emplois. Par ailleurs, plus de 350 000 euros de cotisation sociales, notamment URSAFF, n’ont pas été réglées. Entre temps, l’association a mis la clef sous la porte. D’où un signalement en avril 2016 de l’Inspection du Travail auprès du procureur de la République de Bobigny.

Selon nos informations, les investigations des policiers du SPPJ 93 auraient montré que huit membres de la famille Luhaka, tous habitant à Aulnay-sous-Bois, ont perçu de l’association plus de 170 000 euros par virement, dont 52 000 euros sur le seul compte de Théo. Contacté par « Le Parisien », Michael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes, précisant avoir recruté en CDI plus d’une trentaine de salarié en CDI, dont les membres de sa famille.

(…) Le Parisien Via Fdesouche.com

Nos remerciements à Monsieur Scheller

France – La presse écrite se meurt

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Michel Garroté - La socialiste Audrey Azoulay, Ministre française de la Culture et de la Communication, a annoncé une « mesure nouvelle » à l’Agence France Presse (AFP) devant  l’Assemblée Nationale. En 2017, le soutien de l'Etat à l’AFP passe de 127,5 millions d'euros en 2016 à 132,5 millions d’euros en 2017, donc, 5 millions d’euros supplémentaires.
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Si on y ajoute les abonnements que l’Etat prend pour son propre compte (dans les ministères etc.), on passe ainsi, effectivement, au soutien de 132,5 millions d’euros susmentionné à l'officine gauchiste AFP, avec l'argent des contribuables qui apprécieront. Pendant ce temps, la presse écrite française  --  bien que subventionnée par l'Etat (et donc par les Français)  --  se meurt.
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(Extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : En effet, à de rares exceptions près, la presse écrite a de nouveau vu ses ventes baisser au premier semestre, selon les derniers chiffres de l'ACPM. La presse quotidienne nationale a vu ses ventes diminuer de -2,3% sur les 7 premiers mois de l'année, davantage que la baisse de 1,4% sur l'ensemble de 2015. Concurrencés par l'info gratuite sur internet, pénalisés par les fermetures de kiosques, la plupart des titres ont subi une baisse de leurs ventes papier, que la hausse des ventes numériques n'a pas suffit à compenser.
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Le quotidien le plus touché est de loin "Libération" (groupe SFR Média) dont les ventes ont chuté de 21,5%, à 73.506 exemplaires en moyenne par jour, mais à comparer à un début 2015 marqué par les attentats de janvier où ses ventes avaient fortement augmenté. Libération a vu ses ventes en kiosques et ses abonnements s'éroder depuis le début de l'année et ses ventes numériques stagner.
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Sont également en baisse Le Parisien/Aujourd'hui en France, à -4,9% (341.000 exemplaires quotidiens en cumulé dont 209.000 pour Le Parisien), Le Figaro (-2,8%, 307.000 ex.), Le Monde (-1,8%, 267.000 ex.) et La Croix (-0,4%, 93.000 ex). Seuls titres en hausse, Les Echos (+1,2% à 127.000) et L'Equipe (+5% à 228.000). Dans la presse magazine, au premier semestre (comparé au 1er semestre 2015) c'est L'Express (groupe SFR Média) qui souffre le plus (-21%), avec des ventes en kiosque et des abonnements qui ont dégringolé malgré une nouvelle formule alors que les ventes numériques restent très faibles.
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Les news magazines sont également en difficulté, à l'instar de Marianne (-12%) mais aussi du Point (-8%) et, sur le même créneau, du Journal du Dimanche qui est en recul de 9% (L'Obs n'a pas encore transmis ses chiffres). Seuls quelques titres sont en hausse : Valeurs Actuelles (+5%) et Challenges (+3%). Dans la presse people, Public chute de 14% et Closer recule de 7%, tandis que Voici, VSD et Gala limitent la casse avec des reculs de 3 à 5%.
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Dans la presse quotidienne régionale, les 67 titres recensés sont tous en recul, entre -0,5% et -9% sur un an (entre juillet 2015 et juin 2016). Le leader, Ouest France, a vu ses ventes baisser de 2,3% sur un an, à 688.000 exemplaires, Sud Ouest de -3,6%, La Voix du Nord de 4,6% et Le Parisien de -6% (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://lexpansion.lexpress.fr/actualites/1/actualite-economique/la-presse-papier-continue-de-s-etioler_1833297.html
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Les cantons suisses subventionnent des étrangers illégaux et condamnés

Les caisses des cantons suisses ne sont pas autant vides qu’on le répète aux fonctionnaires: des illégaux condamnés par la justice peuvent le confirmer.

Ils sont des centaines en Suisse à profiter de soutiens officiels, du logement, des repas, des assurances, jusqu’au paiement de leur abonnement aux transports publics et au versement de dix francs quotidiens. Leurs frais de justice sont aussi dévolus aux cantons.

Suite

Les cantons suisses subventionnent des étrangers illégaux et condamnés

Les caisses des cantons suisses ne sont pas autant vides qu’on le répète aux fonctionnaires: des illégaux condamnés par la justice peuvent le confirmer.

Ils sont des centaines en Suisse à profiter de soutiens officiels, du logement, des repas, des assurances, jusqu’au paiement de leur abonnement aux transports publics et au versement de dix francs quotidiens. Leurs frais de justice sont aussi dévolus aux cantons.

Suite

Lausanne – 40% d’étrangers: Subventions au service des droits politiques des étrangers

Rappel: Les impôts à Lausanne sont parmi les plus élevés du canton.

La commune va couper sa subvention à la faîtière censée représenter 40% de la population. La Ville veut un interlocuteur plus crédible que cette entité en crise.

Sur les quelque 140 000 habitants de Lausanne, 40% sont des étrangers. Ceux-ci ont une association qui les représente et qui bénéficie d’une subvention annuelle de la Ville, à hauteur de 150000 fr. Sa principale mission était de servir de relais entre les communautés étrangères et les autorités.

Le Forum avait activement milité en faveur des droits politiques des étrangers.

Mais, miné par des querelles intestines, le Forum des étrangères et étrangers de Lausanne (FEEL) s’est scindé: Deux présidents et deux comités s’entre-déchirent. Une équipe crie à la mauvaise gestion alors que l’autre nie toute faute comptable. «Il y a une mainmise des Africains et des Latino-Américains», fustige Diego, un Espagnol de Lausanne.

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