L’État britannique veut demander aux enfants d’espionner leurs parents et de les dénoncer en cas d’islamophobie, homophobie ou transphobie

Le Premier ministre britannique Boris Johnson voudrait faire passer une loi permettant de recruter des enfants pour espionner leurs parents – ce que le rédacteur en chef de Spiked Online, Brendan O'Neill, qualifie de "tout à fait orwellien".

Le projet de loi sur les agents secrets (Covert Human Intelligence Source bill) est actuellement en débat au Parlement britannique. Il repassera devant la Chambre des Communes après que la Chambre des Lords ait ajouté un amendement visant à réduire l'utilisation d'enfants comme espions.

Boris Johnson a soulevé un tollé dans son propre parti avec ce projet de loi.

Brendan O'Neill, rédacteur en chef de Spiked Online,  trouve le projet "assez choquant" et "vraiment, vraiment délicat".

"Tout le monde accepte la nécessité d'agents secrets, nous avons besoin d'espions pour démanteler les groupes terroristes. Mais recruter des enfants pour surveiller et espionner leur famille, il y a là quelque chose de tout à fait orwellien."

"Ce que nous avons maintenant, c’est que la droite et la gauche, chacune à sa manière, veulent toutes deux que les enfants espionnent leur propre famille."

Vidéo en anglais 7:38 (traduction automatique disponible) :

Rappel : Un ado dénonce son père pour avoir participé à l’intrusion au Capitole et il est récompensé pour cette trahison

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Cenator : « Ce que nous avons maintenant, c’est que la droite et la gauche, chacune à sa manière, veulent toutes deux que les enfants espionnent leur propre famille. »

Cette dérive « orwellienne » est tout à fait inquiétante.
On voit que tout s’accélère lorsque les temps sont venus –
c’est-à-dire lorsque ce qui était en train de germer s’épanouit aux premiers rayons du soleil printanier.

Le politiquement correct avait déjà gagné les esprits du grand nombre, les médias ne diffusaient presque plus que « la bonne parole », l’éducation largement aux mains de la gauche depuis plus d’une génération avait préparé des armées de braves petits soldats bien-pensants présents dans toute la société… et le soleil printanier est arrivé.

Dans le cas présent, ce fut l’élection de Biden. Et dès lors, vogue la galère pour le péril qui était en gestation.
Fait inimaginable il y a encore peu de temps, une démocratie occidentale, l’Angleterre, a vu son parlement débattre du fait que les enfants devraient être incités à espionner, et à dénoncer aux autorités, leurs parents si ces derniers se montraient coupables d'islamophobie, d'homophobie, de transphobie, ou encore hostiles au sauvetage du climat !

Jugement révoltant dans le droit d’asile

Communiqué de presse d'UDC

L’UDC est révoltée par la décision du Tribunal administratif fédéral d’interdire le renvoi en Italie de familles demandant l’asile. Par ce jugement, la justice suisse rompt avec l’accord de Dublin et, de surcroît, contribue à la hausse constante des coûts de l’aide sociale en Suisse.

La majorité des personnes du domaine de l’asile vivent au frais de l’aide sociale, le plus souvent pendant des années, voire des décennies. Cette réalité n’empêche nullement le Conseil fédéral d’interpréter de manière excessivement généreuse la notion de réfugié et d’accorder chaque année à des milliers de nouveaux requérants d’asile un droit de séjour durable en Suisse. Chez les Érythréens, le plus important groupe de requérants d’asile, la quote-part de l’aide sociale dépasse même 90%. Les coûts directs et indirects de cette mauvaise politique d’asile représentent des milliards de francs à charge des contribuables suisses.

Il est d’autant plus choquant que la justice suisse se permette à son tour de miner l’accord de Dublin: le Tribunal administratif fédéral vient en effet de décider que les familles de requérants d’asile ne peuvent plus être renvoyées en Italie bien que, conformément à cet accord, ce pays soit responsable du traitement de ces demandes. Les juges prétendent qu’ils doutent de la capacité de l’Italie d’offrir à ces familles un abri convenable.

Une grande famille nigériane peut rester en Suisse
Le résultat immédiat de ce jugement est que deux familles nigérianes – dont une compte neuf membres – peuvent rester en Suisse. D’autres suivront forcément, provoquant du même coup des coûts exorbitants non seulement pour l’aide sociale, mais aussi pour l’instruction publique, la santé publique, voire éventuellement pour les services de protection des enfants et des adultes.

L’UDC exige une application rigoureuse de la législation sur l’asile et de l’accord de Dublin. S’il s’avère que l’Italie ne répond effectivement pas à ses obligations en termes d’accueil des requérants d’asile, le Conseil fédéral devra agir dans le cadre de l’organisation de l’accord de Dublin ou directement auprès du gouvernement italien. Il n’est pas acceptable que la Suisse joue les élèves modèles en respectant à la lettre cet accord et qu’elle doive en plus en subir les frais.

source:

Au gentil bobo de ma famille

Lors d'un Week-end en famille, je fus fort contrarié par un propos qui m'a touché et je dirais même blessé. Je ne suis sûrement pas le seul "islamophobe" à avoir vécu une remontrance, un rejet, une vindicte de la part d'un membre de sa famille.

Il est vrai que dans un vide grenier, une petite brocante ayant eut lieu dans un village, au fin fond du Loir et Cher, j'aurais pu éviter de montrer mon étonnement devant deux ou trois voilées qui circulaient avec leurs mômes, sans compter celui qui était en attente d'une sortie prochaine !

J'aurai pu atténuer mon agacement devant ces voilées qui chipotaient le prix de quelques vêtements,  comme si elles étaient aux souks. Oui, c'est vrai, j'aurai pu me taire, lorsqu'un peu plus tard, je vis une autre femme voilée, qui vendait des bibelots. Pas très malin, en famille, que d'affirmer que jamais je n'achèterai quoi que ce soit chez elle !

Et puis vint le clash, quand vint ma réflexion spontanée sur le fait que je ne supportais pas de voir des voilées afficher leur religion et encore moins dans un village de campagne.

Il n'y a rien de pire qu'un membre de la famille qui vous dit que votre obsession l'agace, que votre islamophobie l'ennuie, que votre discours est limite raciste, d'extrême droite, et que finalement "cela ne m'étonne pas que tu ai voté Front National".

On est toujours prêt à se battre, lorsque l'adversité vient d'ailleurs. On peut toujours répondre, argumenter, et se défendre lorsque l'interlocuteur n'est pas de chez vous, issu de vos tripes, de votre sang !

Tout ce que vous êtes capable d'énumérer sur le fait que l'islamophobie n'est pas du racisme, que le voile est un signe religieux servant à marquer la femme, la mettant en situation d'être inférieure, que le Coran est intrinsèquement mortifère,etc. Tout s'efface...

Vint les classiques arguments des gentils bobos, le discours "humanistes", les appels à la compréhension, à l'acceptation des différences, et le choc soudain et brutal, que votre combat n'a jamais été intégré, imprégné, compris par ce/ces membres proches de votre famille, pas plus que vos engagements politiques et votre combat patriote.

Ainsi donc, vous avez protégé votre progéniture, satisfait ses demandes, obéit aux désirs familiaux, mit dans de bonnes écoles, écarté les dangers des fréquentations douteuses, engagé dans des chemins scolaires et universitaires.

Vous avez été soulagé de voir que votre progéniture avait trouvé sa voie, et qu'elle se réalise sur de bonnes bases. Celles que vous pensiez être, au minimum, un peu les vôtres !

Vous réalisez que votre discours, et toutes les bonnes raisons pour lesquelles vous avez mis en place cette protection, se retournent contre vous. Vous n'êtes plus qu'un "extrémiste de droite", un islamophobe, limite raciste, et que ce serait bien qu'enfin, vous compreniez que le passé, c'est le passé, que l'Histoire c'est l'histoire, que l'avenir, c'est l'acceptation de l'autre, du différent, y compris de la femme voilée, etc.

Exit Victor Hugo: Il n’y a pas d’arbres ni de plantes sans racines ! Il n’y a pas d’avenir sans passé.

Bienvenue Guillaume Faye: Pour réussir socialement, il faut avoir une position qui aille dans le sens de la soft idéologie antiraciste, immigrationiste et égalitaire comme au temps de l'URSS, où il fallait être prosoviétique !

On découvre que les parents éduquent, protègent, aiment, et ont eu souvent peur pour leurs enfants ! Qu'ils ont maladroitement parfois, tenté d'enseigner leurs vécus, leurs expériences. En fait, ceux qui formatent, c'est l'entourage, les amis, l'école et les cours formatés, l'enseignement universitaire, et font de votre progéniture, des sortes d'étrangers au second degré qui vous regardent, et vous jugent avec des "critères droits de l'hommistes" et des pseudos "valeurs républicaines", contre lesquelles pourtant, vous aviez voulu les mettre en garde hier, en leur donnant un esprit critique !

Vient le jour ou parents, vous réalisez comme cette mère Iranienne, que sa fille la surveille à la demande de son école, pour savoir si elle se maquille ! La petite fille ne voit pas le mal ! Elle pense qu'elle rend service à sa mère !

Alors, étant incapable de faire monter la chaudière et aller à l'explosion familiale, j'ai acheté un drapeau Français. Un tellement grand, que je ne sais toujours pas où le mettre chez moi ! Je l'ai acheté à un Africain ! Un drapeau de la France me disait-il ! Même pas honte...

Au cas où ce membre de ma famille devait me lire, je voudrai lui dire cette phrase de John Donne : n'envoie jamais demander pour qui sonne le glas : il sonne pour toi.

Qu'il écoute bien cette vidéo, et qu'il sache bien pourquoi je me suis lancé dans ce combat contre une idéologie mortifère. Pourquoi j'exècre au plus haut point l'islam et tout ce qu'il représente, voile islamique compris, outil premier de sa propagande ! Qu'il comprenne enfin que je suis bien plus humaniste que lui, bien plus amoureux de la liberté que lui, bien plus fier de mon pays et de son Histoire, et que je crois toujours comme il y a 40 ans, comme l'affirmait Aragon que : la femme est l'avenir de l'homme !

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Gérard Brazon

Vidéo choc: Une famille allemande horrifiée examine son immeuble après des bagarres au couteau entre réfugiés. Les fillettes de l’immeuble avaient déjà été agressées sexuellement.

Une vidéo choquante provenant d'Allemagne montre une famille allemande horrifiée qui enquête à la suite de coups de couteau entre "réfugiés" dans son immeuble.

Dans la nuit du 2 octobre à environ 6h15 les membres d'une famille allemande de Frisia ont été réveillés par les bruits d'une bagarre de masse entre réfugiés syriens qui étaient cantonnés dans leur appartement. La lutte a dégénéré en coups de couteau, la suite ressemble à quelque chose que vous pouvez voir dans les films d'horreur. Deux étages de la cage d'escaliers étaient couverts de sang avec des éclaboussures de sang sur les murs et des flaques de sang sur le sol.

On a donné des coups de pied à la porte de l'appartement familial, les enfants étaient terrifiés et se sont cachés jusqu'à ce qu'ils soient partis. Heureusement, la famille n'a pas été blessée, les coups de couteau étaient entre les réfugiés eux-mêmes. Ces derniers ont été décrits comme étant ivres par la famille. La mère a enregistré l'incident avec son téléphone, le père de famille l'a publié sur Facebook. Les réfugiés avaient déjà reçu deux avertissements pour avoir harcelé sexuellement leur fille de 12 ans, ainsi que les filles de leurs voisins (âgées de 6 et 9 ans). Dans un cas, les réfugiés les ont plaquées contre le mur et leur ont tripoté les seins et les fesses.

L'histoire de la famille (Facebook):

Habituellement, je reste éloigné de la plupart des discussions qui concernent les réfugiés, mais nous sommes vraiment à court de patience ici.

Mais voilà le début: je vis dans une petite ville au coeur de la Frise orientale. C'était toujours relativement calme ici, la proportion de migrants était relativement faible et ceux qui étaient là étaient calmes et chaleureux.

Il y a quelques mois, les réfugiés syriens ont emménagé dans l'immeuble dans lequel je vis aussi avec ma famille. Ils ont été généreusement reçus et personne dans la maison n'avait un quelconque préjugé.

Puis, il y a environ 6 semaines, le premier événement négatif. Notre fille (âgée de 12 ans), ainsi que les deux petites filles de nos voisins (6 ans et 9 ans) ont été victimes de harcèlement sexuel de la part des réfugiés, poussées contre le mur de l'escalier et embrassées de force, ainsi que touchées de façon inappropriée sur les seins et les fesses.

Bien entendu, nous avons alerté la police et porté plainte. Après que la police les ait interrogés, le calme est revenu... une première fois!

Peu de temps après, ma fille est rentrée complètement affolée alors qu'elle jouait à l'extérieur. Elle m'a raconté que les réfugiés devant la maison lui ont fait des gestes obscènes explicites. Tout en ricanant, ils ont passé la langue sur les lèvres (Nd Schwarze Rose: ils insinuent qu'ils ont envie de la fillette de 12 ans.)

Nous avons également signalé cet incident à la police. Après cela, les réfugiés ont reçu leur deuxième avertissement, c'était à nouveau calme.

Mais depuis 3 semaines, la tranquillité est à nouveau brisée. Chaque week-end, chez les réfugiés il y a des bagarres, de la drogue, de l'alcool. Et à des heures avancées, il y a régulièrement des bagarres et des rixes au couteau. La nuit dernière, la porte de mon appartement a été défoncée, la cage d'escalier était pleine de sang (regardez la vidéo)... Ainsi ma compréhension pour ces gens prend bientôt fin.

Et notre chère police n'a malheureusement presque aucune emprise contre cela. Les enfants de l'immeuble ont toujours peur, ils n'osent pas sortir de leurs propres appartements. Il est scandaleux que rien ne soit fait contre cela.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

La famille, protection indispensable contre la précarité sociale

Par Kevin Grangier – Secrétaire général de l’UDC Vaud

Face à l’augmentation inexorable et inquiétante des bénéficiaires de l’aide sociale, il apparaît que la famille protège efficacement contre la précarisation et la marginalisation. Renforcer la famille en luttant contre l’isolement permet de diminuer le risque de tomber durablement à la charge de la collectivité.

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Pays Bas : Une nouvelle famille LGBT

Trois hommes, deux femmes et un couffin

Depuis déjà quelques décennies, le concept de « famille nucléaire » avec les deux parents hétéros, la maison en banlieue et les trois enfants en prend pour son grade.

Ceux de « belle-mère », « demi-frère » et même de famille homoparentale ne nous choquent plus. Mais, récemment, une forme de structure familiale moins connue a fait son apparition : la multiparentalité, soit le fait d'élever des enfants qui auraient plus de deux parents. C'est ce que se préparent à vivre un couple lesbien et un couple gay des Pays-Bas.

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Polémique autour de livres sur des familles homoparentales

"Perché hai due papà" (photo ci-dessus d'un livre sur l'homoparentalité)

Le nouveau maire de Venise, Luigi Brugnaro (centre-droit) a interdit 49 livres pour enfants dans les écoles de la cité lacustre, dont des ouvrages sur les familles homoparentales, provoquant de vives réactions. Aussi, les petits Vénitiens n'auront plus accès à des livres comme «Jean a deux mamans» ou «Le grand livre des familles».

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Yann Moix n’aime pas sa famille, il faut donc détruire toutes les familles

Par Caroline Alamachère

Yann Moix, comme bien d’autres à gauche, part du principe que ce qu’il désire pour lui-même doit forcément s’appliquer à l’ensemble du monde, comme s’il conférait à sa petite personne, ridicule pet de mouche au milieu de quelque sept milliards d’individus, une importance si pharaonique qu’elle devrait servir d’étalon et de référence.

Il disait d’ailleurs en 2013, suite à la sortie de son livre, que « je cherche seulement une parole qui n’existerait pas en dehors de moi. Il se trouve que, pour le meilleur ou pour le pire, je n’ai encore rencontré aucun équivalent à ce livre ». Ou l’art du « moi je », du « moix je » même, poussé à son paroxysme.

Yann-Moix-Regle-du-Jeu

C’est avec ce même ego gigantesque que Pierre Bergé avait fantasmé sur la mort violente par attentat d’un million de personnes qui n’avaient pour seul tort que celui d’avoir une opinion différente de la sienne, forcément plus haute et plus noble. Pensez, ces gens qui défilaient dans la rue réclamaient le droit à la famille traditionnelle, celle dont la présence seule dans une même pièce suggère carrément l’inceste à Yann Moix…

Celui à qui l’on doit la découverte et l’adoubement par l’entarté Bernard-Henri Levy, décidément toujours là quand il faut, vient de déclarer : « Je suis inadapté à la famille. Je déteste en voir, en croiser. La notion de famille m’agresse. Quand il y a plusieurs personnes d’une même famille dans une pièce, tout cet ADN regroupé me donne la nausée. Pour moi, être à table avec ses parents, c’est déjà de l’inceste. Quand mes amis ont des enfants, je ne les vois plus jusqu’à ce qu’ils en soient libérés ».

Que tout le monde veuille bien avorter, s’il vous plaît, pour le mieux-être visuel de cet hypertrophié de l’ego, de ce collectionneur de Coréennes manifestement incapable d’en conserver une seule.

Sous prétexte que Yann Moix a été mal aimé dans son enfance par ses parents, les autres enfants n’auraient pas le droit d’avoir des parents biologiques mais seulement des adoptants, comme si ce caractère non sanguin devait forcément suffire à être une garantie de normalité éducative et affective.

Celui qui prend son petit cas personnel pour une généralité applicable à tous avait pourtant déploré dans une vidéo de soutien à Taubira la cassure éducative dans la transmission entre les parents et l’enfant qui avait insulté la ministre, lui qui avait écrit un livre Renaudotisé de plus de mille pages traitant de la naissance, qui s’était permis de traiter la Suisse de « pays pornographique » et de « pute », et ses habitants de « mous salauds » lors de l’affaire pédophile Polanski qu’il avait en son temps eu à cœur de défendre, lui encore qui en 2010 avait affirmé à propos de Zemmour et de l’émission qui va dorénavant le nourrir : « Dans le cas de Zemmour, ça donne un juif honteux qui croit que sa citoyenneté française passe avant la judéité, ce qui selon moi est une aberration ! (…) On n’est pas couché est une machine à transformer les invités en beaufs. Le mieux serait ne de pas y aller ».

Il y a manifestement un lourd problème psychiatrique chez Moix qui, dès lors qu’il remplacera le paltoquet Caron, deviendra la caution « intello-culturelle » d’On N’est Pas Couché, en même temps que la bête de foire dûment sélectionnée du concours agricole de Ruquier. Cela donne une idée de l’indigeste sauce à laquelle seront mangés les téléspectateurs.

On pensait Aymeric Caron le plus détestable et le plus tête à claques du PAF, on en viendrait presque déjà à regretter ses horripilantes mimiques pincées. Quand on songe, tout de même, que les précédents se nommaient Zemmour et Naulleau, on ne peut que déplorer l’abaissement du niveau.

« Naître biologiquement, c’est à la portée du premier chiot venu, des grenouilles, des mulots, des huîtres. Naître spirituellement, naître à soi-même, se déspermatozoïder, c’est à la portée de ceux-là seuls qui préfèrent les orphelins aux fils de famille, les adoptés aux programmés, les fugueurs aux successeurs, les déviances aux descendances », disait-il en 2013. Nos organes reproducteurs devraient donc s’atrophier pour satisfaire celui qui est lui-même né sans prépuce afin qu’il se sente moins seul dans son étrangeté. Tout est dans le symbole castrateur au fond. Moix entend imposer finalement à des enfants qui ne sont pas les siens un modèle de société généré par son propre cerveau tourmenté et malade. Et dire que c’est ce condensé de névroses qui fera l’audience du prime time de la chaîne publique financée par la redevance des familles françaises…

Le maltraité devient à son tour maltraitant.

Moix ne précise cependant pas si ses répugnances aux liens du sang ne lui viennent qu’en présence de familles de culture chrétienne ou bien si la vue d’une tripotée de petits Ghanéens tournant autour de leur mère lui provoque un similaire dégoût. Car tout de même, il avait signé en 2013 une pétition afin de réclamer le métissage de Marianne, or pour qu’il y ait métissage il faut bien qu’il y ait enfantement, famille, filiation. Sans doute que seule la vision de la famille dite « chrétienne » indispose l’estomac fragile du bobo cinéaste. Certains auraient le devoir de ne pas enfanter, d’autres le pourraient mais à condition seulement que ce soit avec « l’Autre ».

Selon lui, la filiation par le sang serait à l’origine du racisme auquel on pourrait remédier en échangeant les bébés à la maternité ! « C’est des liens du sang que sont venus le racisme, la monarchie absolue. La vraie révolution, la vraie égalité totale, ce serait de mélanger les bébés à la naissance comme dans La vie est un long fleuve tranquille. On devrait interdire aux parents d’élever leurs enfants biologiques. Cette manière de placer son ego dans sa chair me donne le vertige ».

Allez donc expliquer à votre chatte qu’en léchant son petit elle place bien mal son ego, à votre vache limousine que son petit veau doit être confié à la vache charolaise du voisin, ou mieux encore, à son ânesse du Poitou, histoire de bien métisser tout ça. Et si votre chatte cherche partout son petit en pleurant, faites-lui comprendre à quel point son racisme est inacceptable et indigne et qu’elle devrait avoir honte. Et puis jetez-là dehors à coups de pied au postérieur aussi pour lui apprendre le bien-vivre ensemble, non mais !

Caroline Alamachère

Article paru en premier sur RL

Famille harcelée à Roubaix : La police déclare qu’elle ne peut rien faire.

A écouter attentivement: les déclarations de la police dans la vidéo. 9 plaintes toutes classées sans suite. La police a même confié son impuissance. "Des jeunes qui s'approprient les rues et effectivement c'est courant. Et ils sont là forcément pour plusieurs trafics, produits stupéfiants ou d'autres produits. On n'a pas vraiment de solutions à apporter par rapport à ça." La police de Roubaix explique cette situation par la perte d'un tiers de ses effectifs en 10 ans. Et puis parce que ces délinquants sont mineurs. Ils sont soit très vite relâchés à l'issue de leur garde à vue soit rappelés à l'ordre par le juge.

Tous deux, 17 et 18 ans, le reconnaissent volontiers : ils jouent au foot dans la rue et certains d’entre eux ont des « grandes gamelles » : Et puis, il y en a qui fument des joints et sont « un peu durs » : « On est une quinzaine. Beaucoup ont grandi là mais n’y habitent plus : ils sont de la Potennerie, des Trois-Ponts… Moi je reviens parce que je ne connais personne dans mon nouveau quartier. On se retrouve vers 18h, là au début de la rue, devant la maison de la famille dont tout le monde parle. »

Pour eux, c’est clairement Philippe Godefroy, le père de la famille harcelée, qui a commencé : « Un jour, il a pété les plombs parce qu’on faisait du bruit, il est sorti avec un flingue qui avait tout l’air de ne pas être en plastique (1). Je suis arrivé, j’ai vu mon pote les bras en l’air. »

« C’est normal »

Ce que confirment d’autres jeunes du voisinage : « Je suis allé le voir, je lui ai demandé de se calmer, il tremblait. » L’événement amène le duo à une étonnante conclusion : « Il a voulu faire sa loi, c’est normal qu’il y ait des représailles. » Plus tard, la réflexion devient encore plus sidérante : « Il se fait passer pour une victime mais une victime c’est quelqu’un qu’on frappe. On l’a pas touché ni lui ni ses enfants. Et puis, il a jamais essayé de nous parler comme d’autres le font, il n’y a jamais eu de dialogue. » Les cambriolages ? « Nous deux on vole pas, si on le faisait on irait plutôt au parc Barbieux. Ici, les gens n’ont rien, ils n’ont pas d’argent. » Et puis, expliquent-ils avec un remarquable sérieux, ils ne comprennent pas pourquoi « cette famille fait tout ce cirque » : « Il y a d’autres familles dans la rue avec lesquelles ça se passe très bien. Et avant, il y a deux ans, on faisait bien pire. »

Tout commence, expliquent-ils avec la maison voisine de celle des Godefroy. « Il y a une femme là-dedans qui nous a laissé rentrer chez elle après que son mari est parti. Elle connaissait un jeune de notre bande. Sa maison, c’est devenu une boîte de nuit. On buvait, on cassait tout, on faisait du bruit jusqu’à 4h du matin. Mais bon c’est de sa faute, elle avait qu’à pas nous inviter au départ. Depuis, on s’est quand même calmé. » Parce qu’ils ont commencé à avoir des « petits problèmes » : « On s’est battu, les gens nous engueulaient et puis on commençait à être repéré à l’extérieur du quartier, on nous associait à des Chabert (des cas sociaux) c’était mauvais pour notre réputation. » Bref, ce n’est plus ce que c’était. Reste les coups dans la porte, les insultes, le bruit le soir, les suspicions de trafic.

Les flics, on les caillasse

Pour la drogue, ils nient en bloc. « Oui, avant un peu mais aujourd’hui il n’y a pas un euro qui circule : on est entre deux gros terrains de deal, on va pas aller prendre des clients aux grands. Et puis moi j’ai 18ans, j’ai pas envie d’aller en prison, j’ai envie de faire quelque chose de ma vie. » Ils parlent de contrat d’apprentissage pour l’un et de néant pour l’autre : « J’ai envoyé je ne sais pas combien de CV, on me répond jamais. Je vis avec ma mère qui gagne 400 euros par mois. » Son copain, lui, c’est 500. Il veut travailler. « J’ai pas essayé en dehors de Roubaix parce que c’est ma ville. » En attendant mieux, ils squattent la rue Desaix, entre deux poursuites avec la police. Justement, une voiture stationne au début de la rue.

« Les flics, on les caillasse avec des briques et ils nous envoient des lacrymos. On dirait qu’on est en guerre. » D’ailleurs, racontent-ils, il faut faire de plus en plus attention : « On a un copain qui a sorti une arme de guerre près d’Eurotéléport, une demi-heure après les militaires étaient chez lui. Ici, il y a des armes partout, c’est facile d’en avoir. Il suffit de 300 euros. Mais il ne vaut mieux pas tremper là-dedans. » Enfin, quoi qu’il se passe avec la police ou les voisins, concluent-ils, ils ne bougeront pas : « Attends, on va pas partir, on est chez nous ici, qu’est-ce qu’ils croient ? »

La Voix du Nord via Fdesouche.com

Le Conseil fédéral affaiblit le mariage et la famille

L'UDC ne peut admettre le rapport que le Conseil fédéral a publié aujourd'hui sur la modernisation du droit de la famille. Elle rejette avec détermination cet égalitarisme et cette étatisation de la cohabitation.

L'UDC ne peut admettre le rapport que le Conseil fédéral a publié aujourd'hui sur la modernisation du droit de la famille. Par ses propositions, le gouvernement continue d'affaiblir l'institution du mariage et cherche finalement à faire disparaître la famille traditionnelle. Le mariage serait ainsi opposé à une alternative supplémentaire sous la forme d'un "partenariat règlementé par la loi" du type PACS (Pacte civil de solidarité). Cette démarche égalitariste aurait des conséquences massives pour l'organisation de la société et le droit social. Les conséquences en seraient notamment de nouvelles revendications à l'égard de l'Etat, des problèmes juridiques de délimitation et l'abandon d'une conception libérale et responsable de la vie commune. L'UDC rejette avec détermination cet égalitarisme et cette étatisation de la cohabitation.

Le mariage et la famille sont des fondements essentiels de notre société. Ils garantissent le fonctionnement d'une société basée sur la liberté individuelle, la responsabilité individuelle et la subsidiarité. Le Conseil fédéral, emmené par la ministre socialiste de la justice, Simonetta Sommaruga, a manifestement d'autres objectifs: il veut une société uniforme, contrôlée et règlementée par l'Etat. La grande diversité des formes de cohabitation existant actuellement est en opposition avec le nivellement de la société et le contrôle des comportements voulus par le Conseil fédéral. La famille traditionnelle est de toute évidence un obstacle sur la voie vers une société de type socialiste totalement contrôlée par l'Etat.

Rien ne justifie une intervention politique dans ce domaine. Les problèmes que rencontrait le droit de la famille ont été réglés ces dernières années par diverses réformes (notamment par le biais du partenariat enregistré). Ce nouvel activisme législatif a pour principal effet de provoquer de nouveaux problèmes, par exemple pour les assurances sociales, dans le droit des étrangers et le droit successoral. Il entraînera aussi une extension massive des revendications à l'égard de l'Etat avec des conséquences incalculables. Mais ce n'est pas tout. Le Conseil fédéral veut aussi permettre l'adoption des "enfants du partenaire" par des couples homosexuels qui ont vécu au moins trois ans dans le même ménage.

L'UDC invite avec insistance le Conseil fédéral à renoncer aux idées saugrenues qu'il a présentées aujourd'hui.

Source

Padoue : la communauté gay proteste contre le congrès « Défendre la famille ». C’est homophobe !

Ci-dessus : Manifestation le 17 mars 2015 devant la mairie de Padoue pour protester contre le congrès "Défendre la famille"

Padoue est la première ville à accueillir le congrès sur "Défendre la famille pour défendre la communauté". C'est un projet mis sur pied par diverses associations pour la vie qui soutiennent la famille naturelle; en font partie "La manif pour tous Italia" et les cercles "Je veux maman". D'ici la fin de l'année, elles espèrent qu'une centaine de communes accueilleront l'évènement. [...]

Soutenu par la commune d'Euganeo sous l'impulsion de la Lega, ces rencontres de promotion de la famille avaient déjà attiré les foudres d'Alessandro Zan, député du Partito Democratico (PD), partisan des "Pacs à la mode de Padoue". Il les avait qualifiées de "congrès homophobes".

Hier soir, vers 19 heures, la communauté LGBT et des associations d'étudiants se sont réunis sur la petite place de Garzeria, devant le bâtiment Moroni, pour une manifestation de protestation. Les forces de l'ordre s'étaient déployées devant l'édifice pour le protéger.

Arguments des manifestants : les organisateurs de ce sit-in pointent du doigt un "congrès intégriste qui non seulement alimente les discriminations, les préjugés et les vexations,[...] mais qui, en plus, fait reculer le progrès. Nous croyons, ajoutent-ils, que Padoue est différent, nous croyons que son histoire depuis des dizaines d'années, avec ses associations, ses groupes et ses citoyens qui s'expriment sur leurs droits est une richesse précieuse et qu'on doit manifester notre opposition chaque fois que quelqu'un essaie de mettre en danger notre dignité et nos droits. Nous pensons qu'il est normal que, au coeur de cette ville [...]  on refuse cette initiative et que l'on retire le soutien [à ce congrès] qui embarrasse la ville et offense une partie importante des ses citoyens et de ses citoyennes"

padovaoggi.it

Via (trad. D. Borer)

« Le jihad en Syrie est familial »

Une vidéo postée sur les réseaux sociaux la semaine dernière montre deux enfants, âgés d'une dizaine d'années chacun, se disant français et expliquant pourquoi il ferait bon vivre à Raqqa, en Syrie, plutôt qu'en France, ce pays de « kouffar ». Comprendre : de « mécréants ». Tous deux armés, ils friment, jouent les caïds face à l'objectif d'un adulte qui compte utiliser la vidéo pour faire la promo de l'organisation terroriste l'Etat islamique sur Facebook. Le journaliste David Thomson, reporter à RFI et auteur du livre Les Français jihadistes *, répond à nos questions sur ce conflit qui attire des familles entières et dont les enfants sont utilisés pour en faire venir d'autres. 

Marianne: Combien de familles françaises sont actuellement en Syrie ?  
David Thomson : Il y a une soixantaine de familles, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. 
  
Est-ce un chiffre qui a beaucoup augmenté ces derniers mois ? 
Non. C'est constant depuis 2012. Des familles entières partent faire le jihad en Syrie, à la fois des familles françaises et des familles venues d’autres pays. Le jihad en Syrie est un jihad familial : on part avec femme et enfants. C’est une particularité. 
  
Y a-t-il une raison à cela ? 
Dans les conflits précédents, si les gens avaient pu partir en famille, ils l’auraient fait. Mais en Afghanistan, au Mali, sur toutes les autres terres de djihad précédentes, c’était quasiment impossible techniquement de le faire. Partir en famille dans les montagnes de Tora Bora ou dans le Sahel, c’était pratiquement inenvisageable. Se rendre sur place, seul, était déjà bien compliqué. Alors en famille, on n’y pense même pas... Et puis sur place, il n’y avait pas de structures d’accueil. Tandis que pour la Syrie, quand une famille arrive, dans presque tous les cas, un appartement l’attend. Il y a même, maintenant, des écoles qui sont mises en place. Tout est prêt pour accueillir les familles et d’ailleurs, l’Etat islamique fait tout pour inciter les gens à émigrer en famille. Donc ça, c’est quand même la grande nouveauté par rapport aux lieux de jihad précédents. 
  
Est-ce donc pour inciter d’autres familles que les parents, sur place, mettent leurs enfants en scènes dans des photos ou des vidéos ? 
Oui, c’est une façon de montrer qu’ils élèvent leurs enfants dans l’amour du jihad, de montrer que leurs enfants sont déterminés, comme eux, qu’ils sont prêts à combattre, qu’ils feront de futurs moudjahidines… C’est une façon aussi de montrer aux aspirants émigrants qu’ils peuvent venir en famille. Et d’ailleurs, il y a souvent, dans les vidéos officielles de l’Etat islamique, des scènes où l’on voit des enfants jouer dans les rivières, s’amuser dans des parcs d’attraction, aller à l’école, manger des bonbons… Tout est fait pour montrer qu’il y a tout ce qu’il faut sur place pour accueillir des enfants. 
  
Les émigrants savent ce qui les attend vraiment une fois sur place  ? 
Sur les conditions de vie, en général, ils sont bien informés. Après, ça n’empêche pas qu’il y ait, bien sûr, des déceptions à l’arrivée. Sur les conditions d’accueil notamment, j’en connais qui étaient déçus par l’appartement qui les attendait à l’arrivée. Mais en général, les gens qui partent sont parfaitement informés sur la réalité qui est celle de la ville de Raqqa ou du territoire de l’Etat islamique. 
  
Concrètement, quels rôles jouent les Français au sein de cette organisation terroriste ? 
Les Français font la même chose que les autres. Ils ne sont pas cantonnés à des activités particulières parce qu’ils sont français. Il y a donc tout un tas d’activités auxquelles ils prennent part. Cela peut-être des activités administratives, puisqu’il faut bien administrer le territoire ou encore aller au combat, participer à la police islamique, faire des tours de garde et même distribuer de la nourriture aux nécessiteux… 
  
Ceux qui viennent pour faire le jihad en Syrie et qui se retrouvent finalement déçus par la vie sur place peuvent-ils s’en aller facilement ? 
Je ne peux pas donner de réponse fiable à cette question. Ce que je sais, c’est qu’il y a aujourd’hui à peu près 200 retours de Français. Il y a des gens qui rentrent, et d’autres qui ont pu rentrer. Après, certains disent que leur passeport a été confisqué ou alors que tout a été fait pour les empêcher de partir. Certains disent aussi être accusés d’espionnage… Je pense que le retour est compliqué, mais qu’il n’est pas impossible. 
  
Comment cela se passe-t-il lorsque des parents sont tués en menant le jihad ? Que deviennent les enfants ? 
C’est vrai qu’il y a ce cas de figure qui se pose parce que, parfois, le père meurt. Je connais plusieurs exemples. Donc dans ce cas-là, la femme et les enfants sont pris en charge par les compagnons du jeune qui est mort. Je connais au moins deux pères français qui sont morts : un qui avait deux enfants, un autre qui en avait trois. Les enfants sont restés là-bas et ce sont leurs copains qui sont chargés de s’occuper d’eux. La femme, dans ce cas, a le choix entre se remarier ou rester veuve. 
  
Les femmes, elles, ne sont jamais amenées à combattre ? 
Non. Ça ne veut pas dire qu’elles ne combattront jamais, mais pour l’instant, elles n’en ont pas le droit. Certaines ont demandé à combattre, mais elles n’ont pas eu l‘autorisation. Contrairement aux femmes kurdes. Mais elles portent quand même des armes, pour se défendre, en cas d’ultime recours… Certaines femmes font partie de la police islamique, aussi. Mais elles ne sont pas combattantes. Les hommes considèrent que le moment où les femmes combattront, cela voudra dire que la situation, militairement parlant, sera désespérée pour eux.   

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