Berne – nouvelle manif anti-masque

Des plaintes vont être déposées contre les participants d’une manifestation anti-masque qui s’est tenue ce samedi à Berne.

Berne a connu samedi une nouvelle manifestation d’anti-masques. Des plaintes vont être déposées contre une centaine de participants, qui ne respectaient pas les mesures requises pour lutter contre la pandémie.

La police a fait partir les anti-masques de la Place fédérale où se tenait une manifestation non autorisée. Beaucoup d’entre eux scandaient le mot «liberté, liberté» en français.

La police a procédé à des contrôles, renvoyé les manifestants chez eux et emmené cinq personnes au poste, a-t-elle indiqué dans un communiqué samedi soir. Un jeu de course-poursuite a d’abord eu lieu dans les ruelles de ville fédérale.

(ATS/NXP)

Zurich. «Black Lives Matter» : un policier noir attaqué par un manifestant à coups de bâton

Ce samedi, des manifestations "Black Lives Matter" ont eu lieu dans différentes villes suisses. À Zurich, un policier noir de la ville a été attaqué par un manifestant.

Samedi, des milliers de personnes se sont réunies pour protester contre la discrimination et la violence policière à l'égard des Noirs. Leur slogan : "Black Lives Matter", en allemand "schwarze Leben zählen".

Environ 1000 personnes se sont donné rendez-vous à Zurich. Les manifestants ont commencé leur marche de protestation dans la Bahnhofstrasse. Cette manifestation n'était pas autorisée. La manifestation s'est interrompue sur la Kasernenwiese. La manifestation de Zurich n'a pas été seulement pacifique et ordonnée. Comme on peut le voir sur une photo du site du "Tages-Anzeiger", une femme cagoulée a exhibé une pancarte sur laquelle on pouvait lire «die Spinnen», «die Bullen», «die Schweine.» [NDLR : termes insultants et provocateurs pour qualifier les policiers].

Policier attaqué avec un bâton

Il n'y a pas eu que des dérapages verbaux, mais également de la violence physique. Un reporter-lecteur de BLICK se rendait à son travail lorsqu'il a observé l'agression d'un policier. Ce policier était noir, a déclaré le témoin.

Le policier a été frappé avec un bâton. "Il est ironique qu'un policier noir soit précisément attaqué lors de la manifestation antiraciste", déclare le lecteur-reporter.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à Dany Riviera

Matteo Salvini appelle à une manifestation à Rome le 19 octobre

Le souverainiste Matteo Salvini a appelé jeudi ses soutiens à une "grande" manifestation à Rome, le 19 octobre.

Le chef de La Ligue, le souverainiste Matteo Salvini, qui a provoqué la chute prématurée du premier gouvernement populiste d'Italie et s'est retrouvé exclu du pouvoir, a appelé jeudi ses soutiens à une "grande" manifestation à Rome, le 19 octobre. "Le 19 octobre, je pense à une grande journée de la fierté italienne", a-t-il dit, dans une vidéo diffusée sur ses réseaux sociaux.

Dans la foulée du feu vert officiel donné au Premier ministre sortant, Giuseppe Conte, pour former un nouveau gouvernement né de l'entente entre le Parti démocrate (PD, centre gauche) et le Mouvement cinq étoiles (M5S, anti-système), il a lancé à ses détracteurs : "Vous ne vous libérerez pas de moi avec un petit jeu de palais, je ne lâche pas le morceau".

"Ils ne dureront pas longtemps, nous nous préparons déjà"

Le ministre de l'Intérieur encore en poste a promis un retour de son parti sur le devant de la scène, "plus déterminé que jamais", fustigeant "un gouvernement qui naît à Bruxelles" et affirmant que "l'Italie ne sera le serf de personne".
"Ils ne dureront pas longtemps, nous nous préparons déjà. Ils ne peuvent pas refuser aux Italiens le droit au vote", a déclaré Matteo Salvini, en parlant d'une "folle envie de reconstruire".

Matteo Salvini a aussi lancé un avertissement contre ceux qui seraient tentés d'abolir son "décret sécurité", son texte phare destiné à juguler l'immigration clandestine, estimant qu'ils "feront du tort aux Italiens". "Quelqu'un veut-il faire repartir le business de l'immigration clandestine ?", s'est-il interrogé. D'ici à la mi-octobre, Matteo Salvini promet l'organisation de "stands dans toute l'Italie les 21 et 22 septembre, pour réclamer la démocratie, le respect du vote et des règles". Et il espère aussi une large participation à un meeting politique de son parti, le 15 septembre à Bergame, dans sa région de Lombardie (nord).

Europe1.fr

Paris-Roissy: Des centaines de sans-papiers occupent l’aéroport pour dénoncer le rôle d’Air France dans les expulsions (vidéo)

Les collectifs des « gilets noirs » et « La Chapelle debout ! » demandent qu’Air France mette fin à « toute participation financière, matérielle, logistique ou politique » aux reconduites à la frontière

Ils ont occupé l’aéroport de Roissy pendant près de deux heures. Entre 200 et 500 sans-papiers étaient rassemblés dans le terminal 2F ce dimanche à partir de 14 heures pour dénoncer « la collaboration d’ Air France » […].

Suite : 20minutes.fr

Voir aussi : Figaro

Vidéo 8:27 :

https://www.youtube.com/watch?v=M_jCZ2Fd_V8

Berlin. Manifestation contre le racisme : Le drapeau allemand n’est pas le bienvenu. « Nous préférons le drapeau Welcome Refugees. »

La co-organisatrice de la manifestation à Berlin, Theresa Hartmann est interviewée.

Mme Hartmann, comment avez-vous vécu samedi dernier?

Samedi nous a complètement bouleversés, il y avait 242 000 personnes dans la rue, beaucoup plus que prévu. Je crois que nous avons donné un témoignage important contre le racisme et l’exclusion, ainsi que contre les réductions progressives de l'aide sociale.

Selon vous, quelle est la raison pour laquelle tant de gens sont venus? Y a-t-il un grand désir de solidarité?

De nombreux habitants de Hambourg et de Munich sont également descendus dans la rue, ce qui a été le point culminant: les gens commencent à se rendre compte qu'ils doivent faire quelque chose pour que quelque chose change, car le statu quo est insoutenable.

Qu'est-ce qui est insupportable?

Le droit à la santé, au logement, à la migration et au droit d'asile, aux soins, toutes les questions sociales sont traitées dans le prolongement de la question migratoire.

Il y a eu des critiques parce qu'aucun drapeau allemand ni européen n'était autorisé.

Il n'y a eu aucune interdiction de drapeaux lors de notre manifestation. Ceci nous l'avons dit. Mais nous avons également dit que le drapeau allemand ne devrait pas être le symbole de notre manifestation. Autant que ce soit le drapeau arc-en-ciel du Queer Block, les drapeaux syndicaux, ou "Refugees Welcome". Nous ne voulions pas du drapeau allemand.

Est-ce que ce n'est pas intolérant?

Je ne pense pas que ce soit intolérant. Cela a simplement quelque chose à voir avec le fait que ce drapeau est incroyablement connoté par la droite et que nous ne voulions pas défendre la fierté nationale, mais d'autres sujets, les problèmes sociaux. Le drapeau n'était pas interdit, mais il n'était pas non plus désiré.

(...)

 

Tagesspiegel.de / Tagesschau.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

 

 

Lausanne: Encore une manif contre le racisme et les violences policières

Réunies devant l'Hôtel de Ville, plus d'une centaine de personnes ont demandé des changements dans les pratiques des forces de l'ordre.

Pierre Conscience (Ensemble à gauche) a déposé un postulat, pour demander la création d'une instance indépendante qui aurait pour mission de répondre aux plaintes et dénonciations à l'encontre de la police.

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Italie: Des milliers de manifestants « antifascistes » à Macerata.

Mais aucune réaction lorsqu'une Italienne se fait tuer par des migrants puis découper en morceaux....

Les articles en français traitant de cette manifestation d'extrême gauche ne parlent même plus de Pamela Mastropietro: pour nos médias, cette femme n'a jamais existé.

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Des milliers de personnes ont défilé dans le calme samedi à Macerata contre le fascisme, une semaine après la fusillade à caractère raciste ayant fait six blessés dans cette petite ville du centre de l'Italie qui s'était barricadée par crainte de débordements.

D'autres rassemblements plus petits ont eu lieu à travers le pays, comme à Milan, où une manifestante a brandi une pancarte implorant: «Étrangers, ne nous laissez pas seuls avec les fascistes».

À Piacenza (nord), de brèves violences ont éclaté entre plusieurs dizaines de manifestants antifascistes et les forces de l'ordre.

À Macerata où les autorités redoutaient des débordements, les manifestants venus parfois de loin ont défilé sous un froid soleil à l'appel d'associations antifascistes, d'ONG, de syndicats, mais aussi de quelques formations politiques de gauche.

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Source

Jean-Yves Le Gallou présent au lieu de rassemblement de la manifestation interdite de Génération Identitaire, a accepté de répondre à Riposte Laïque

Riposte Laïque : Vous étiez donc, ce samedi, à La Motte Picquet Grenelle, pour participer à la manifestation de Génération Identitaire. Pourtant, vous saviez qu’elle avait été interdite, alors pourquoi être venu ?

Jean-Yves Le Gallou : Samedi  18 novembre j’avais invité les participants du Forum de la dissidence à venir manifester. La moindre des choses pour moi était donc d’être présent. Et puis la dissidence ce n’est pas forcément obéir aux décisions LIBERTICIDES d’un préfet de police, fût-il un brillant successeur de Maurice Papon. Après tout la manifestation du 11 novembre 1940, place de l’Etoile n’avait pas non plus été autorisée, ni par le préfet de police, ni par la Kommandantur.

Riposte Laïque : Avez-vous été surpris de cette interdiction ?

Jean-Yves Le Gallou : Oui et non.

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Italie. Milan: 100’000 personnes manifestent en faveur des migrants. (Vidéo)

Pendant ce temps, la police italienne se fait agresser par des migrants...

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En tête du défilé Emma Bonino et Hall Mayor, la présence importante des communautés étrangères. Le premier ministre Gentiloni: Merci Milan, sûr et accueillant.

Milan 20 mai 2017. Le cortège a débuté à partir des bastions de Porta Venezia « Ensemble sans murs », la manifestation pro-migrants organisée à Milan, qui a attiré des milliers de personnes: près de 100'000, selon les estimations de l'adjoint aux politiques sociales de la commune de Milan Pierfrancesco Majorino.

Le chiffre dépasse de loin les meilleures attentes des organisateurs qui espéraient la participation de 10'000 personnes.

Dans le cortège se trouvaient des centres communautaires, des personnalités politiques, des associations culturelles et des groupes de travail pour l'intégration des immigrants.

« Aujourd'hui , nous disons que nous ne revenons pas en arrière - a déclaré le président du Sénat Pietro Grasso . - Nous ne construirons pas avec les briques de l'intolérance de nouveaux murs, de nouvelles divisions. Un mur conduit à une fermeture, à être geôlier de sa propre prison et nous ne céderons pas au chantage de la peur. Ceux qui sont nés en Italie, étudient en Italie, sont italiens". 

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Italie : Chaos à Modène [article + vidéo]

Des milliers de migrants africains en révolte sont descendus dans la rue à Modène. Ils se sont contactés à travers internet et scandent "liberté".

Ils se nomment Modena Refugees et ont organisé une manifestation le 15 mai. Ils se sont rassemblés devant la gare et le cortège s'est rendu à la préfecture en empruntant plusieurs rues traversant la ville. "Nous avons choisi de se retrouver devant la gare pour des raisons logistiques car c'est le point de ralliement de milliers d'étrangers en attente de régularisation. Ils viennent de toute la province. Ils connaissent tous la gare" a déclaré un des organisateurs. C'est la première manifestation de ce nouveau collectif formé entièrement de migrants en attente d'un permis de séjour. [...]

Ce collectif, Modena Refugees, a été mis sur pied spontanément par des migrants africains. Il compte actuellement une vingtaine d'adhérents. Ils demandent que les institutions mettent moins de temps pour leur donner des papiers, pour renouveler les permis de séjour et pour obtenir l'assistance sanitaire.   De plus, sur le prospectus qui a été traduit en anglais et en français et distribué dans toute la ville, ils accusent le système d'accueil et les travailleurs sociaux de les exploiter en les faisant travailler gratuitement sous la menace. En plus, l'argent de poche ne leur est remis que tous les deux mois au lieu de tous les mois. Les activistes protestent également contre la réouverture à Modène d'un centre permanent de renvoi. [...]

 


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Voir une autre vidéo aussi ICI dans l'article source en italien / Trad. D. Borer

Familles, salariés, migrants, des milliers de personnes défilent sur le boulevard du Temple pour demander la « démission de Macron »

Source: France Bleu Paris

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

 

UDC Suisse: Des extrémistes de gauche empêchent une manifestation pacifique pour la démocratie directe

L'UDC prend acte avec soulagement de la décision indépendante d'annulation par les organisateurs de la manifestation de protestation du 18 mars 2017 à Berne contre la non-application de l'initiative contre l'immigration de masse.

Il s'est avéré ces dernières semaines que le gouvernement de gauche de la ville de Berne n'avait ni la capacité, ni la volonté d'imposer le droit et l'ordre face aux extrémistes et aux casseurs de gauche proche des milieux peuplant l'ancien manège (Reitschule) de la ville fédérale. Il n'aurait pas été tolérable pour les habitants et les arts et métiers de la ville fédérale ainsi que pour les agents de police engagés d'offrir à ces voyous gauchistes une nouvelle occasion de se défouler par des excès de violence.

En renonçant dans ces conditions à leur droit démocratique fondamental de mettre sur pied une manifestation pacifique, les organisateurs ont fait preuve de leur sens de la responsabilité.

Parallèlement, cette affaire est un nouveau témoignage de l'indigence des politiciens de la gauche bernoise qui non seulement tolèrent depuis des années ces agissements violents d'extrémistes de gauche, mais qui en sont même devenus entre-temps les otages. L'UDC de son côté continuera de se battre avec tous les moyens politiques à sa disposition pour faire respecter la volonté du peuple et pour que la Suisse puisse à nouveau contrôler elle-même l'immigration sur son territoire.

Source

Nos remerciements à Info

Rappel: Manifestation à Berne pour le respect des décisions populaires agendée le 18 mars. L’extrême gauche s’organise pour attaquer la manifestation sous prétexte de « racisme ».

Lausanne: 250 personnes manifestent pour régulariser les clandestins

Comme Genève, Vaud devrait proposer la régularisation de milliers de sans-papiers, ont réclamé les manifestants. Le Grand Conseil est actuellement en train de durcir la pratique vaudoise à l'égard des étrangers.

Les manifestants ont dénoncé le fait que, avec cette modification, la police pourrait arrêter les requérants d’asile déboutés lorsqu’ils se rendent dans les locaux du Service de la population et que celui-ci pourrait prononcer des détentions administratives. Un «guet-apens», «une mesure scandaleuse», ont dénoncé les manifestants réunis au centre-ville.

Source et article complet

«Merkel doit partir» : manifestation contre la chancelière allemande dans le centre de Berlin

Des dizaines de personnes se sont réunies sur la place de la gare centrale de Berlin, Hauptbahnhof, pour participer à la cinquième manifestation dénommée «Merkel doit partir».

Organisée par le groupe Wir für Berlin & Wir für Deutschland (Nous sommes pour Berlin & Nous sommes pour l’Allemagne), comme les quatre rassemblements précédents, les manifestants s’opposent à la politique de la chancelière allemande, en particulier sa politique migratoire.

Source

Migrants : Une manifestation inadmissible

Nos lecteurs nous écrivent

A l'école on nous apprend qu'en Suisse il y a une stricte séparation des pouvoirs entre le politique et le judiciaire. Si, au Grand Conseil, un député s'avise à évoquer la justice, il sera vite remis à l'ordre.

C'est donc avec indignation que j'ai lu dans 24 Heures du 23 janvier que des élus de gauche, dont des juristes et un avocat, avaient manifesté devant les locaux de la Justice de Paix de Lausanne en faveur de migrantes.

Il est vrai que les gens de gauche partent du principe que le monde n'est qu'un village et qu'il faudrait accueillir la misère du monde entier. Il est vrai aussi qu'en fonction de ce principe, la gauche a un nouveau slogan : «  Les autres avant les nôtres », c'est-à- dire les migrants d'abord !

Quel que soit le prétexte d'une manifestation, la gauche devait faire preuve d'un minimum d'éthique et s'abstenir de manifester devant un bâtiment de l'Ordre judiciaire.

François Brélaz, candidat libéral-conservateur au Grand Conseil, Cheseaux-sur- Lausanne

Lettre adressée également à 24 H