Longue Vie aux Princes du Viol

En Europe de l'Ouest et aux États-Unis, les autorités rivalisent d'appétit pour l'accueil de réfugiés afghans. Pendant le pont aérien de Kaboul, Joe Biden se félicita depuis la Maison Blanche d'avoir évacué "plus de 120'000 personnes" depuis la mi-août - c'est-à-dire essentiellement des Afghans ; les Américains dans le pays, entre 10'000 et 15'000, ne furent qu'un ingrédient mineur de cette foule. 20'000 Afghans furent directement amenés aux États-Unis, et 43'000 autres dispersés sur plusieurs bases américaines à l'étranger en attente d'un prochain rapatriement aux États-Unis, selon des officiels du Pentagone. Du reste on ne sait rien, hormis qu'il y a déjà des problèmes.

Le 28 août, le Royaume-Uni put se féliciter quant à lui d'avoir "évacué 15'000 Afghans et citoyens britanniques sur les deux dernières semaines" par le biais de son ambassadeur à Kaboul, Laurie Bristow. Personne ne lui demanda de préciser la proportion des uns et des autres. De leur côté, les Français envoyèrent au moins 2'600 Afghans vers leur pays, qui vinrent avec le sourire. Ils s'ajouteront aux 41'000 déjà présents dans l'Hexagone, dont 31'000 réfugiés. Mais la plus grosse communauté afghane d'Europe est en Allemagne, avec 148'000 réfugiés afghans sur son sol (en 2020). La plupart des Afghans arrivant en Europe choisissent en priorité l'Allemagne, le Royaume-Uni ou les pays nordiques pour s'installer.

En Suisse, 219 personnes sont venues de Kaboul durant ce seul mois d'août. Si l'UDC met en garde contre les terroristes potentiels, le PS - par l'inénarrable Carlo Sommaruga - trépigne pour en avoir davantage: "la Suisse devrait accueillir 10'000 personnes vulnérables, en particulier des femmes et filles, en provenance d’Afghanistan", clame le politicien. Hélas! Les hommes jeunes, en pleine santé et en état de se battre forment l'écrasante majorité de ces populations importées. Cela ne doit rien au hasard.

Afghans au départ de l'aéroport de Kaboul, fin août 2021

Les talibans revenus au pouvoir en Afghanistan, on prépare le grand public à une nouvelle déferlante migratoire. Mais qu'elle ait lieu ou non, les Afghans sont déjà nombreux en Europe occidentale. Une population particulière que le Dr Cheryl Bernard de l'Institut Rand connaît bien - et qu'elle décrit dans un article de 2017 que chacun devrait lire. Il explique bien des choses sur ces populations de réfugiés afghans que nous accueillons déjà. Voici une traduction de l'essentiel de son propos. La mise en gras est de moi.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs,ch, le 10 septembre 2021

 


 

J'ai travaillé avec des réfugiés pendant des décennies. La vague de criminalité afghane en Europe est ahurissante.

Les Afghans se distinguent parmi les réfugiés qui commettent des crimes en Autriche et ailleurs. Pourquoi?

En 2014, lorsque des vagues de réfugiés ont commencé à affluer en Europe occidentale, les citoyens et les responsables ont réagi avec générosité et ouverture. Des réfugiés épuisés sont sortis des trains et des bus pour être accueillis par des foules offrant en cadeaux vêtements et nourriture et brandissant des pancartes indiquant "Refugees Welcome".

Cette lune de miel ne pouvait pas durer (...) [Survint] un développement inattendu, et intolérable: l'incidence importante et croissante des agressions sexuelles commises par les réfugiés contre les femmes autochtones. Il ne s'agissait pas de rendez-vous-galant-dégénérant-à-cause-de-quiproquos-culturels, mais d'attaques violentes et sans préméditation contre des filles et des femmes au hasard, souvent commises par des gangs ou de jeunes hommes en meute. Au début, les incidents furent minimisés ou étouffés - personne ne voulant donner des munitions à la droite nationaliste pour lui permettre de s'agiter. L'espoir résidait dans l'idée qu'il s'agisse de cas isolés causés par un petit groupe problématique. Au fur et à mesure les incidents se multiplièrent, et parce que nombre d'entre eux eurent eu lieu en public (...) il ne devint plus possible de balayer l'affaire sous le tapis du politiquement correct. Et avec la reconnaissance officielle et les rapports publics, une note de bas de page étrange et déroutante émergea. La plupart des agressions étaient commises par des réfugiés d'une nationalité particulière: des Afghans. (...)

Ce n'est pas un article que j'ai eu plaisir à écrire. J'ai travaillé sur des questions liées aux réfugiés pendant une grande partie de ma vie professionnelle, des camps pakistanais pendant l'occupation soviétique de l'Afghanistan au Yémen, au Soudan, en Thaïlande, en Éthiopie, à Djibouti, au Liban, en Bosnie, au Nicaragua et en Irak, et j'éprouve une profonde compassion face aux épreuves traversées. Mais nulle part je n'avais rencontré un phénomène comme celui-ci. J'ai vu des réfugiés pris au piège dans des circonstances qui les rendaient vulnérables au viol, par des gardiens de camp ou des soldats. Mais que des réfugiés deviennent auteurs de ces crimes dans le lieu qui leur avait donné asile? C'était quelque chose de nouveau. De plus, ma vie personnelle et professionnelle m'a offert de nombreux amis afghans et afghano-américains, et ils n'ont collectivement rien de psychopathes. (...) Il est impossible d'imaginer l'un d'entre eux se livrer aux agressions sexuelles extravagantes, bizarres et primitives pour lesquelles leurs jeunes compatriotes deviennent tristement célèbres. Pourtant, nous en sommes là.

Il y a quelques semaines, la ville autrichienne de Tulln a déclaré l'arrêt complet de toute nouvelle admission de réfugiés. Comme le maire l'a précisé, cette décision visait les Afghans, mais pour des raisons juridiques et administratives, elle ne pouvait être promulguée que de manière globale. Telle n'était pas l'intention initiale de la ville - au contraire, elle venait d'achever la construction d'un tout nouvel établissement coûteux pour les demandeurs d'asile, qui serait désormais, déclara le maire, consacré à un autre objectif. Ses mots exacts furent: "Nous en avons eu assez." Après une série d'incidents troublants tous causés par des Afghans, le viol collectif brutal d'une jeune fille de quinze ans fut le point de bascule. Agressée en pleine rue alors qu'elle rentrait chez elle, elle finit enlevée puis violée en série par des réfugiés afghans. (...)

Un peu plus tôt, à Vienne, une jeune étudiante turque en programme d'échange avait été poursuivie jusque dans des toilettes publiques par trois réfugiés afghans. Ils bloquèrent la porte et se mirent à l'attaquer sauvagement. L'attrapant par le cou, ils lui frappèrent la tête à plusieurs reprises contre une cuvette de toilettes en porcelaine pour l'assommer. Comme cela ne réussit pas à briser sa résistance désespérée, ils se relayèrent pour la maintenir et la violer. La jeune femme dut être hospitalisée, après quoi, trop affectée pour reprendre ses études, elle s'enfuit chez elle en Turquie, traumatisée et misérable, incapable de comprendre ce qui s'était passé et incapable, dans une société musulmane conservatrice, de confier son expérience à qui que ce soit... (...)

Il fallut un certain temps pour que ce type d'agression soit identifié car, jusqu'à récemment, les médias d'Europe occidentale s'abstenaient délibérément de préciser le statut de réfugié ou d'asile d'un agresseur, ainsi que son pays d'origine. Ce n'est que lorsque la corrélation est devenue dramatique au point d'en devenir digne d'intérêt que cette politique changea [NdT: en Autriche...]. À ce moment-là, il devint évident que les autorités étaient au courant. Pour des raisons politiques, elles avaient délibérément dissimulé des cas d'agression sexuelle à grande échelle commis par des migrants. Par exemple, un gang d'une cinquantaine d'Afghans qui terrorisaient les femmes dans le quartier de la gare de Linz fut défaussé par un fonctionnaire du gouvernement qui conclut qu'il s'agissait d'une conséquence malheureuse liée au mauvais temps, et qu'une fois l'été venu, les jeunes hommes se disperseraient dans les parcs publics et ne formeraient plus cette vaste meute menaçante. Le public n'en fut guère amusé.

Je pourrais écrire les mêmes choses sur la Suède, l'Allemagne ou tout autre terre d'asile en Europe, mais je me concentre sur des exemples autrichiens parce que c'est le pays européen dont je viens et que je connais le mieux. Jetons donc un œil à la presse autrichienne (...) [On y lit qu'un] Afghan (de dix-huit ans) attaque une jeune femme au festival du Danube. "Encore une fois, il y a eu une tentative de viol par un Afghan. Une touriste slovaque de 21 ans a été assaillie et a subi des attouchements par un groupe d'hommes. Elle a réussi à s'enfuir, mais a été poursuivie par l'un d'entre eux, un demandeur d'asile afghan qui l'a rattrapée et entraînée dans les buissons. Des policiers en civil à proximité ont remarqué la lutte et sont intervenus pour empêcher le viol au dernier moment." Page 10: "Un Afghan de 25 ans a tenté de violer une jeune femme assise au soleil dans le parc. Quatre passants courageux ont traîné l'homme hors de la victime et l'ont retenu jusqu'à l'arrivée de la police." Page 12: "Deux Afghans ont été condamnés pour avoir tenté de violer une femme dans un train à Graz. Les hommes, qui vivent dans une résidence pour demandeurs d'asile, ont d'abord insulté la jeune femme avec des propos obscènes avant de l'agresser. Lorsqu'elle a crié à l'aide, des passagers d'autres parties du train se sont précipités à son secours."

Laissons de côté l'aspect pénal de cette conduite et concentrons-nous sur sa logique, ou plutôt son absence de logique. Ces hommes s'attendent-ils à ce que leurs tentatives soient couronnées de succès? Pensent-ils réellement qu'ils pourront violer une femme dans l'artère principale d'une ville au milieu de la journée? Dans un train rempli d'autres passagers? En début d'après-midi dans un parc public fréquenté? Sont-ils incapables de pensées rationnelles, ou les ignorent-ils délibérément? Veulent-ils simplement provoquer une hystérie féminine momentanée et toucher certains endroits interdits du corps d'une étrangère? Est-ce gratifiant au point de valoir la peine de compromettre leur avenir et d'être jeté en prison par des Européens méprisants et dégoûtés? Qu'est-ce qui se passe ici? Et pourquoi, pourquoi, pourquoi les Afghans? Selon les statistiques de la police autrichienne, les réfugiés syriens sont à l'origine de moins de 10 % des cas d'agressions sexuelles. Les Afghans, dont les effectifs sont comparables, sont responsables de la moitié de tous les cas. (...)

Encore une fois: que se passe-t-il? Pourquoi cela arrive-t-il? Et pourquoi les Afghans? Quelques théories concurrentes circulent.

La première: "ils se saoulent." L'un de mes interlocuteurs, un Afghan de la diaspora qui vit à Vienne depuis des décennies et travaille comme traducteur et conseiller judiciaire agréé, et connaît donc intimement ces affaires et les personnes impliquées, rejette d'emblée cette explication. Au contraire, explique-t-il, ils ont entendu dire que prétendre avoir été atteint d'une incapacité mentale lors de la perpétration d'un crime, dont l'alcool ou la drogue, compte comme une circonstance atténuante. Souvent, raconte-t-il, les prévenus auront été insuffisamment briefés et invoqueront cette excuse de manière maladroite. Par exemple, ils diront qu'ils ont bu deux bières et qu'à partir de celles-ci, ils se sont évanouis, et ne se souviennent plus de rien de leurs actions ultérieures. Cette théorie n'explique pas non plus pourquoi les Afghans devraient être plus sujets aux agressions sexuelles induites par l'alcool que les autres jeunes hommes réfugiés issus de milieux comparables.

Une deuxième explication émet l'hypothèse d'une confusion liée à des valeurs culturelles conflictuelles. Ces jeunes hommes, selon la théorie, viennent d'un pays où les femmes ne sont que des silhouettes sombres complètement cachées sous des burqas plissées. Confrontés à des filles en débardeurs et shorts courts, ils perdent la tête et leurs hormones dictent leur conduite. Cette théorie, en plus d'être à la limite de faire endosser la responsabilité de leurs viols aux victimes, ne tient pas la route. Encore une fois, la même réaction devrait également être manifestée par d'autres jeunes hommes issus de sociétés islamiques strictes où la ségrégation entre les sexes est la norme. Pourquoi seuls les Afghans réagiraient de cette façon? Et comment cela explique-t-il des cas comme celui d'une retraitée de soixante-douze ans promenant son chien lorsqu'elle a été attaquée, battue et violée par un jeune Afghan? Ou en Suède, d'un écolier kidnappé et violé en réunion par un groupe d'Afghans?

En effet, si nous passons en revue le schéma des attaques, nous pouvons écarter cette théorie. En règle générale, les cibles privilégiées ne sont pas ce que les stéréotypes pourraient laisser penser - de jeunes femmes habillées de manière si provocante qu'un musulman confus issu d'un arrière-pays ultraconservateur interprèterait à tort comme une invitation à la promiscuité. Non ; souvent, les victimes sont des mères de jeunes enfants. Je suppose que pour un prédateur, elles semblent être des cibles plus faciles, car on suppose qu'elles seront entravées dans leur capacité à se défendre, mais il pourrait aussi y avoir une dimension plus freudienne qui m'échappe.

Dans un cas récent qui a soulevé un tollé général, une femme se promenait dans un parc sur une colline surplombant le Danube. Avec elle venaient ses deux enfants, un tout-petit et un bébé dans une poussette. À l'improviste, un réfugié afghan lui sauta dessus, la jeta à terre, la mordit, l'étrangla et tenta de la violer. Dans la lutte, le landau partit en roue libre dans la pente et le bébé faillit plonger dans le fleuve en contrebas. Sous les yeux de son fils aîné consterné, la femme combattit vaillamment son agresseur, arrachant la capuche de sa veste, ce qui permit plus tard à un chien policier autrichien de le retrouver.

Lors d'une autre attaque, deux jeunes femmes se promenaient à midi dans la zone piétonne d'une petite ville autrichienne, poussant devant elles leurs bébés dans des poussettes, et furent brutalement attaquées par plusieurs réfugiés afghans. Ils se jetèrent sur elles et arrachèrent leurs vêtements, mais furent appréhendés avant qu'ils ne puissent causer d'autres dommages. Il est clair que de tels événements contrarient le grand public. Il est également clair que nous pouvons rejeter les théories du "ils étaient ivres et ne savaient pas ce qu'ils faisaient", ainsi que celle du "ils pensaient que c'était ce que les femmes voulaient".

Cela nous amène à une troisième théorie, plus convaincante et assez troublante, celle que mon ami afghan, le traducteur judiciaire, avance. Sur la base de ses centaines d'interactions avec ces jeunes hommes à titre professionnel au cours des dernières années, il est arrivé à la conclusion qu'ils sont motivés par un mépris profond et durable pour la civilisation occidentale. Pour eux, les Européens sont l'ennemi, et leurs femmes sont un butin légitime, comme toutes les autres choses qu'on peut leur prendre: logement, argent, passeports. Peu importe leurs lois, leur culture est inintéressante et, finalement, leur civilisation va de toute façon s'effondrer face à une horde dont ils sont le fer de lance. Pas besoin de s'assimiler, de travailler dur, ou d'essayer de se construire une vie décente ici. Les Européens sont trop mous pour vous punir sérieusement pour une transgression, et leurs jours sont comptés.

Et cela ne concerne pas que les crimes sexuels, note mon interlocuteur. Ce sont peut-être ceux qui agitent le plus l'opinion publique, mais l'abus délibéré et insidieux du système de protection sociale est tout aussi conséquent. Les réfugiés afghans, dit-il, ont une propension particulière à se jouer du système: mentir sur leur âge, mentir sur leur situation, prétendre être plus jeunes, être handicapés, appartenir à une minorité ethnique alors que même l'œil fatigué d'un juge autrichien parvient à distinguer les traits délicats d'un Hazara de ceux d'un Pachtoune.

Je vois de quoi il parle. Au cours de mes recherches, j'ai rencontré des trentenaires en famille en Autriche qui se faisaient passer pour des "mineurs non accompagnés". J'ai rencontré des gens qui faisaient passer un ancien accident de la route comme la preuve qu'ils avaient été torturés. J'ai entendu parler d'une famille afghane qui avait émigré en Hongrie il y a vingt ans. Les enfants y sont nés et fréquentèrent les écoles hongroises. Lorsque la crise des réfugiés [entamée en 2014] éclata, attirée par la perspective de tous les avantages associés, cette famille décida de prendre une nouvelle identité et de se rendre en Suède. Ils prétextèrent être des réfugiés de fraîche date. Affirmant avoir perdu leurs papiers lors de leur "fuite", ils s’inscrivirent sous de nouveaux noms d'emprunt et réduisirent l'âge de leurs enfants ; la mère se déclara veuve. Désormais installés à titre gracieux dans un logement confortable avec leur père vigoureux, corpulent et très vivant - qu'ils firent passer pour un oncle - et disposant d'un chèque d'aide sociale mensuel, ils sont des parasites infiltrés qui se nourrissent littéralement de la crédulité des contribuables suédois.

Les systèmes juridiques occidentaux sont méticuleux et procéduraux, fonctionnant sur la base de règles, de droits, de formulaires et de documents. Ils vous considèrent comme innocent jusqu'à ce que votre culpabilité soit prouvée. Il n'a pas fallu longtemps aux réfugiés pour comprendre comment en tirer parti à leur avantage. "Ils restent là, chauves, tempes grises, et insistent sur leur âge de dix-huit ans", me confie un procureur autrichien exaspéré. Ayant "perdu" leurs documents, le seul moyen de réfuter même la plus manifestement absurde de telles affirmations est de passer par de coûteux tests en laboratoire. Si vous n'avez aucun papier d'identité et aucune scrupule, vous pouvez affirmer à peu près n'importe quoi, puis vous adosser confortablement en attendant que le système essaie de prouver le contraire. Si vous êtes rejeté, pas de problème: vous pouvez lancer plusieurs recours. Une fois que vous aurez mis les pieds en Europe, il sera presque impossible de se débarrasser de vous ; même si vous avez littéralement commis un meurtre. Si un tribunal vous déclare coupable de viol, vous n'avez qu'à faire valoir que si vous êtes renvoyé chez vous, votre société conservatrice vous tuera pour cet acte déshonorant - et donc vous ne pouvez être renvoyé, les lois de l'Union Européenne interdisant l'extradition si la vie de l'individu est en danger. Les meurtriers ne peuvent pas être renvoyés dans des pays où la peine de mort existe, ou dont le système judiciaire est simplement réputé sévère.

Mais un mystère subsiste. La fraude à l'aide sociale est une chose: elle a un certain sens, si vous n'avez aucun respect pour la primauté du droit ou l'équité et que vous êtes paresseux. Mais pourquoi cette cohorte actuelle d'Afghans s'impose-t-elle en tant que prédateurs sexuels? Et aussi ineptes que stupides, de surcroît? En quête d'une réponse, peut-être devrions-nous observer les victimes de plus près. Nous avons éliminé les tenues inappropriées et les manières involontairement séduisantes, mais pourraient-elles avoir d'autres traits en commun pour faire la lumière sur les raisons pour lesquelles ces femmes sont devenus la cible d'une telle folie? En les passant en revue, un mot me vient à l'esprit: l'épanouissement. Une étudiante turque en échange universitaire, heureuse de poursuivre ses études en design industriel dans une bonne université de Vienne. Une fille dans un parc, profitant du soleil. Deux amies, promenant leurs bébés. Une mère, profitant d'une balade estivale avec ses deux enfants. Une vieille dame satisfaite, promenant son animal de compagnie. Des gens attrayants, accomplis, heureux, normaux... un spectacle insupportable, peut-être, pour – et je suis ici d'accord avec le président Trump - des losers. Il a proposé que nous qualifions les terroristes ainsi, et il a raison. Ces jeunes hommes, même sans gilet explosif, sont des perdants, ce qui les a amenés à devenir des terroristes sociaux.

Les jeunes agresseurs afghans disent que oui, ils n'ont aucun contrôle sur leurs impulsions, que leurs hormones font rage et qu'ils se détestent eux-mêmes et le monde entier, mais surtout, qu'ils ne toléreront pas les femmes heureuses, confiantes et se sentant en sécurité l'espace public. Ils nous disent qu'ils n'ont aucune intention de respecter la loi, les coutumes, l'opinion publique, les valeurs locales ni les bonnes mœurs, qu'ils détestent tellement tout cela qu'ils sont prêts à mettre leur propre vie, leur avenir et leur liberté en jeu pour la satisfaction d'infliger des traumatismes.

Les Afghans de la diaspora de la classe moyenne établie sont naturellement contrariés et gênés de voir leur nationalité ainsi déshonorée par ces nouveaux arrivants primitifs. Et pourtant, ils font partie du problème. Bon nombre de leurs actions et réactions, qu'elles soient naturelles ou involontaires, relèvent de la complicité. Ils dissimulent, trouvent des excuses, conseillent sur les meilleurs moyens de se soustraire aux conséquences et encouragent même directement les tromperies, les actes illégaux et les manières honteuses d'amis, de parents et d'Afghans parfaitement inconnus.

Les raisons en sont multiples. Il y a l'obligation perçue d'être loyal envers les amis, les parents et les compatriotes. Je pense qu'il y a aussi un certain manque de sincérité envers les notions occidentales de réalité administrative et biographique ; beaucoup, sinon la plupart, des Afghans qui vivent actuellement en Occident charrient un lot de mensonges issu de leur passé. Celui d'entre eux qui arrivait en premier (un père, un frère aîné) devait généralement inventer un nom de famille et une date de naissance à la volée, car à la maison, jusqu'à il y a une génération, la plupart des gens n'avaient pas de nom de famille et les dates de naissance n'étaient pas enregistrées. Je connais d'honorables familles afghanes respectueuses de la loi où les anniversaires de tout le monde suivent une séquence invraisemblable — le 1er juin, le 2 juin, le 3 juin et ainsi de suite, parce que celui d'entre eux qui a rempli les documents d'immigration a dû inventer des dates de naissance et a pensé que ce serait plus facile de se souvenir d'elles de cette façon. (...)

[La pertinence avec la politique d'accueil des réfugiés] est tristement évidente. Il faudra en effet un contrôle rigoureux pour écarter ces jeunes mâles dégénérés et profondément perturbés dont la volonté de tromper est si prononcée et dont les motivations sont si irrationnelles.

Ce qui m'amène à une dernière théorie exprimée en Autriche: que ces jeunes hommes destructeurs et fous sont intentionnellement infiltrés en Europe occidentale pour faire des ravages: pour enlever la liberté et la sécurité des femmes ; changer les modèles de comportement ; approfondir les divisions entre les libéraux [NdT: au sens américain, gauchistes], qui continuent de les défendre et de leur trouver des excuses, et une droite qui appelle à des mesures impitoyables et à des réponses brutales ; d'infliger des coûts élevés aux tribunaux et un engorgement du système judiciaire et, de manière générale, de gâcher les choses.

Pour mémoire, je ne suis pas convaincue qu'il y ait un plan délibéré derrière cela, mais je suis d'accord pour dire que les jeunes hommes en colère et instables sont susceptibles d'emprunter des voies destructrices. Ces voies peuvent conduire à l'extrémisme idéologique et au terrorisme, ou à la formation de gangs et de meutes qui attaquent, nuisent et détruisent. Comme nous l'avons vu, actuellement beaucoup de leurs attaques sont ineptes et facilement bloquées par des passants survenant au hasard [NdT: donc tout va "bien"!..]. Mais ils deviendront plus habiles avec le temps, et l'Europe ferait mieux de développer une défense contre eux. (...)

Chaque réfugié et demandeur d'asile arrivant devrait être soumis à une vérification rigoureuse du récit de son histoire, y compris la validation de son âge, par des tests en laboratoire en cas de doute. Oui, c'est compliqué et coûteux, mais pas aussi compliqué et coûteux que de laisser entrer les mauvaises personnes, et moins cher que de laisser des centaines de milliers d'étrangers profiter de manière permanente ou semi-permanente d'avantages sociaux indus. Les pays européens doivent partager les données entre eux ; et les identités devraient être liées aux empreintes digitales, pas à des documents à l'authenticité douteuse, voire pas de document du tout. (...)

Enfin, la gauche doit se remettre en question. C'est chouette d'être accueillant, bienveillant et bien disposé envers l'arrivée d'étrangers sur nos rivages, mais gardons quelques pensées bienveillantes pour nos propres valeurs, nos libertés et notre mode de vie. Les filles et les femmes devraient continuer à se sentir en sécurité dans les espaces publics, pouvoir assister à des festivals, porter des vêtements adaptés à la météo et à leurs goûts, voyager en train, aller au parc, promener leurs chiens et vivre leur vie. Il s'agit d'un magnifique succès de l'Occident, qui mérite d'être défendu.

Cochem : un Somalien, demandeur d’asile, viole dès son arrivée en Allemagne

Un violeur expulsé - la Somalie ne voulait pas qu'il revienne

Cochem - Il est arrivé illégalement en Allemagne en tant que demandeur d'asile le 22 février 2014. Quelques jours plus tard seulement, il était derrière les barreaux pour viol.

Pendant longtemps, les autorités allemandes ont tenté en vain d'expulser Abdi Mohamed M. (23 ans) vers son pays d'origine, la Somalie. A présent, ça a enfin marché !

En réponse à une enquête du BILD, le district de Cochem-Zell a annoncé : "A présent, l'occasion se présente d'expulser ce demandeur d'asile vers son pays d'origine. Cela n'a été possible que dans le cadre d'un vol spécial avec un petit avion charter. L'avion a atterri ce matin en Somalie et l'individu en question y est également entré".

L'expulsion a été effectuée par la police fédérale. [...]

Le cas d'Abdi Mohamed M. avait suscité l'indignation. Extraits de son casier judiciaire :

Le Somalien (alors âgé de 17 ans) a violé une jeune fille de 16 ans le 3 mars 2014, quelques jours seulement après être entré illégalement dans le pays. Le même jour, il a agressé une autre femme (21 ans). Il a été condamné à six ans de prison pour le viol.

D'autres condamnations ont suivi, car il a continué à récidiver en prison : Actes exhibitionnistes, agressions sexuelles.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de


Rappels :

Propagande de l'ONU :

 

France : L’ONU condamne les actes antimusulmans mais pas les très nombreux attentats islamistes. « Nous souhaitons un bon Ramadan »

L’ONU juge l’initiative « anti-burqa » discriminatoire envers les musulmanes. Le Conseil fédéral se tait.

Imran Khan, Premier ministre pakistanais, critique l’islamophobie et Charlie Hebdo devant l’Assemblée générale de l’ONU

L’ONU défend “la liberté d’expression” des… casseurs antifas

L’ONU profite de ses stagiaires sans les rémunérer mais exige des milliards pour « l’aide humanitaire »

Bavière : Violée par un réfugié d’Érythrée à deux reprises, une Allemande est abandonnée par l’administration de son propre pays

Daniela R., 27 ans, kinésithérapeute en formation, a été violée en août. Jusqu'à aujourd'hui, elle est sans abri, sans argent et sans perspectives d'avenir. Jusqu'à récemment, son assurance maladie ne voulait même pas payer son test VIH.

Munich - Daniela R. rencontre le jeune homme le 10 août au pont de l'Isar à Bad Tölz* autour d'une cigarette [NDLR : dans un autre article, le journaliste précise qu'il s'agit d'un réfugié d'Erythrée]. Elle l'accompagne à son appartement. Là, le jeune homme de 22 ans l'attaque, la maltraite, l'étrangle, la viole et la menace de mort. Secrètement, face à la crainte de la mort, Daniela R. écrit à ses colocataires. Ce sont des messages WhatsApp* désespérés auxquels personne ne répond. Le jeune homme de 22 ans la viole une seconde fois, puis s'endort. À un moment donné, Daniela R. ose composer le 911. Elle est secourue par la police.

Entre-temps, l'auteur du délit a été condamné*. Sept ans d'emprisonnement pour viol aggravé. Alors dossier clos ? Pour l'agresseur, peut-être. Pour la victime, la nuit du crime a marqué le début d'une lutte pour la survie qui se poursuit encore aujourd'hui.

Daniela R., cheveux blonds, yeux bleus, 27 ans, semble organisée et ordonnée. Seuls ses yeux qui rougissent de plus en plus et les traits doux de son visage, soudainement déformés par la douleur, laissent deviner le poids du traumatisme.

Violée, puis abandonnée par tout le monde

Non seulement parce qu'elle a été violée, mais aussi parce qu'elle a d'abord été victime et ensuite abandonnée par tout le monde. Daniela ne veut pas de pitié. Elle veut que son histoire soit entendue afin qu'une telle chose n'arrive à personne d'autre. Par exemple, le choc à la pharmacie, lorsque Daniela doit payer la pilule du lendemain et qu'elle craint de ne pas avoir assez d'argent sur son compte. 35 euros. Daniela vit de l'allocation chômage II et elle est complètement fauchée. Des secondes angoissantes. Puis ça lui revient. Elle vient de gagner son recours contre l'agence pour l'emploi. Il y a assez d'argent pour la pilule du lendemain. Juste assez. C'est la première fois que Daniela R. se sent complètement impuissante et très seule depuis que la police l'a secourue.

Le viol n'est pas une raison : l'assurance maladie ne veut pas prendre en charge le test de dépistage du VIH

Daniela et son gynécologue ne savent pas encore qu'elle doit également payer les frais de laboratoire pour tous les tests de dépistage des maladies sexuellement transmissibles, y compris le test VIH. Avec les coûts des séjours hospitaliers, cela représente 500 euros. Depuis, Daniela se bat pour être remboursée.

Violée - et deux jours plus tard SDF - Daniela devient une vagabonde

Le 13 août, ses colocataires mettent Daniela R. à la porte de son appartement de Tölz parce qu'ils ne veulent pas avoir affaire à la police. Daniela ne dispose pas d'un bail régulier. Deux jours après avoir été violée, Daniela devient une sans abri.

Depuis ce jour, Daniela ne vit plus dans un appartement à elle. Elle devient une vagabonde au milieu de la Haute Bavière. Et la peur l'habite toujours. La panique de devoir aller dans un endroit où elle vit sans protection avec des hommes étrangers. "J'avais incroyablement peur. Tout le temps." A l'époque, les seules personnes de confiance étaient les fonctionnaires de la police judiciaire de Weilheim. "Il n'y a que là que je me suis sentie en sécurité." Bien sûr, ils ne peuvent pas non plus l'aider à trouver un endroit où vivre. Elle n'était pas autorisée à dormir dans les cellules.

Un refuge pour femmes ? Daniela R. n'y a pas droit

Daniela R. appelle le service d'urgence pour les femmes. Là, on lui dit qu'elle n'a pas droit à une place dans un foyer pour femmes. Les places y sont réservées aux victimes de violences domestiques. Ce n'est pas le cas de Daniela.

Dans sa détresse, Daniela est admise dans une clinique. Là-bas, on lui dit qu'elle a besoin d'un soutien psychologique pour gérer le traumatisme. Mais les places sont entièrement réservées. Daniela reste dans le service normal pour les patients psychiatriques.

Accusations dans la clinique : "Ce n'est pas un refuge pour sans-abri", déclare une infirmière.

[...]

La clinique n'est pas un refuge pour sans-abri, lui dit une infirmière. De vrais patients auraient besoin de son lit. "Je me suis sentie comme une coupable à ce moment-là." Daniela emménage avec un ami. Il n'y a qu'une seule pièce, un seul lit, aucune intimité. Pourtant, pour la première fois, Daniela se sent en sécurité - et en même temps, elle sait qu'elle doit aller de l'avant.

L'organisation der Weisse Ring [NDLR : Association à but non lucratif qui aide les personnes ayant été victimes d'un crime.] la soutient depuis le début. Elle souhaite prendre en charge les frais de laboratoire et les frais médicaux. Daniela demande à l'agence pour l'emploi si elle est autorisée à accepter l'allocation ou si les vivres lui seront alors coupés. On lui répond qu'elle devrait le justifier dans une demande. Daniela écrit plusieurs pages. La demande est rejetée.

En fait, les bénéficiaires d'allocations de chômage sont autorisés à accepter des dons. C'est simplement que les travailleurs sociaux ne le savent pas toujours. (...) "Daniela R. a eu beaucoup de chance là-bas. Vous n'imaginez pas le nombre d'affaires de viols qui sont abandonnées." déclare Andrea Hölzel, membre de l'Anneau blanc, qui s'occupe de Daniela.

Six mois après le crime, l'assurance maladie paie

Entre-temps, plus de six mois après le crime, Daniela a reçu un contrat de location pour un appartement social. La caisse d'assurance maladie a également pris contact, après que Daniela a accumulé une longue correspondance avec elle, avec l'Association bavaroise des médecins de l'assurance maladie obligatoire et même avec l'Ordre des médecins bavarois. On lui a dit que les coûts seraient finalement couverts. Il s'agissait d'une "décision au cas par cas". Daniela a remboursé le don reçu de l'Anneau Blanc.

Alors au final, tout va bien ? Dossier clos ? Daniela hésite, regarde le ciel ensoleillé de Munich. "Je ne sais pas." La jeune femme de 27 ans apprend actuellement le métier de kinésithérapeute, mais un jour, elle devra avoir un contact physique étroit et quotidien avec des inconnus, "je ne sais pas si je le pourrai". Daniela est traumatisée. Il est difficile de dire si c'est à cause du crime de la mi-août ou de ses expériences des mois suivants.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Merkur.de (1) / Merkur.de (2)


Note : Depuis de nombreuses années, il est plus facile de vivre en tant que réfugié en Europe qu'en tant qu'Européen pauvre. Si un racisme systémique existe, il est dirigé contre les autochtones et ce sont nos propres gouvernements qui l'organisent, avec notre argent. Nos dirigeants nous imposent une immigration criminelle et patriarcale que nous ne voulons pas et nous abandonnent face à leurs violences sous couvert "d'enrichissement multiculturel" alors qu'ils connaissent la vérité.

Pakistan: deux hommes condamnés à mort pour le viol d’une Franco-Pakistanaise

- La victime avait été violée en septembre dernier devant ses enfants, alors que sa voiture était tombée en panne d'essence en bord de route près de Lahore, dans l'est du Pakistan.

Un tribunal pakistanais a condamné à mort samedi deux hommes pour le viol en réunion d'une Franco-pakistanaise, une affaire qui avait engendré des manifestations dans plusieurs villes de ce pays conservateur et poussé le gouvernement à durcir la législation. «Ils ont tous deux été condamnés à mort», a déclaré à l'AFP Chaudhry Qasim Arain, l'un des avocats des deux hommes. Ils ont fait appel.

La victime avait été violée en septembre dernier devant ses enfants, alors que sa voiture était tombée en panne d'essence en bord de route près de Lahore, dans l'est du Pakistan. Des manifestations avaient eu lieu pour demander une meilleure protection des femmes et pour dénoncer les propos d'un policier qui semblait rendre la victime responsable de son sort. Le gouvernement pakistanais avait répondu avec une nouvelle loi qui prévoit notamment la castration chimique des violeurs, une mesure à laquelle le Premier ministre Imran Khan s'est déclaré favorable.

Une grande partie du Pakistan, pays musulman conservateur, vit sous un code patriarcal d'«honneur» qui systématise l'oppression des femmes en les empêchant, par exemple, de choisir leur mari ou de travailler hors de leur maison.

Et les propos tenus par un haut gradé de la police après le viol en réunion de la femme franco-pakistanaise en septembre avaient provoqué un tollé. Il avait semblé rendre la victime responsable de son calvaire pour avoir conduit de nuit sans la présence d'un homme. Personne au Pakistan «ne permettrait à ses filles et soeurs de voyager seule si tard», avait déclaré à la presse Umar Sheikh, le chef de la police de Lahore. «Sa famille est de France, son mari vit en France. Elle a fait cela parce qu'elle se base sur la France. Elle a cru que notre société était aussi sûre qu'en France», avait-il ajouté.

[...]

Article complet: https://www.lefigaro.fr/flash-actu/pakistan-deux-hommes-condamnes-a-mort-pour-le-viol-d-une-franco-pakistanaise-20210320

Saint-Gall : deux Somaliens et un Éthiopien coupables de viol sur une jeune Suissesse

Le tribunal de district de Saint-Gall a déclaré jeudi deux Somaliens et un Éthiopien coupables de viol. Les accusés ont été condamnés à des peines de prison de sept à neuf ans. Les hommes sont accusés d'avoir eu des rapports sexuels non protégés avec une jeune femme sans défense.

Les trois suspects séjournaient dans un appartement à Saint-Gall dans la nuit du 25 au 26 juin 2018. Une Suissesse de 20 ans, qui avait rencontré l'un des hommes dans l'après-midi, était également présente. De la cocaïne et de l'alcool ont été consommés à plusieurs reprises dans l'appartement de l'homme de 31 ans. Après un certain temps, la jeune femme s'est sentie ivre. Elle s'est allongée habillée sur le matelas de la pièce voisine.

Selon l'acte d'accusation, les trois hommes ont commis des actes sexuels l'un après l'autre à l'encontre de la "femme complètement apathique". Ils ont eu des rapports sexuels non protégés, alors qu'ils savaient que la victime était incapable de résister aux actes sexuels en raison de son état.

Le Somalien de 31 ans a été condamné à une peine de prison de sept ans et à une amende de 600 francs pour viol sur une personne incapable de se défendre [NDLR : l'article utilise le terme "Schändung", au lieu de "Vergewaltigung"] et infraction à la loi sur les stupéfiants. Le tribunal a également imposé une interdiction de séjour de cinq ans dans le pays.

L'Éthiopien de 24 ans a été condamné à sept ans d'emprisonnement et à dix ans d'expulsion pour viol sur une personne incapable de se défendre.

Le Somalien de 25 ans a été reconnu coupable de viol sur une personne incapable de se défendre, d'actes sexuels avec un enfant, de viol et de violation de la loi sur les stupéfiants. Il devra purger neuf ans de prison et payer une amende de 600 francs. Son expulsion du pays a été fixée à dix ans.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à Magmagmag

Suède : une ado avait été violée par des immigrés en 2014. Violée aussi avec une arme à feu, son abdomen avait éclaté. La police retrouve Mehdi, 22 ans, qui est condamné à 200h de travaux d’intérêt général en appel

Mehdi, 22 ans, a peut-être participé au viol collectif le plus brutal de Suède des temps modernes. Entre autres choses, la fille a été violée avec une arme à feu, son abdomen a éclaté et a finalement été jeté – après une nuit entière – apathiquement dans une mare de son propre sang. Mehdi est maintenant condamné à 200 heures de travaux d’intérêt général.

C’est le 19 juin 2014 qu’un gang d’immigrants a amené une adolescente suédoise dans un chalet de la colonie de Järvafältet, une zone verte entourée de Husby, Rinkeby et Tensta.

Là, ils ont retenu la fille et l’ont aidée à la violer par voie vaginale et orale. Le nombre exact de personnes qui l’ont violée n’est pas clair, mais selon la fille, il y avait peut-être cinq à huit personnes.

Lorsque la fille a crié, l’un des hommes, encouragé par les autres, a poussé un pistolet ou un objet semblable à un pistolet dans sa bouche.

«Si vous ne restez pas silencieux, je vous tuerai», dit-il.

Après avoir terminé les viols répétés, l’un des immigrés a poussé le pistolet dans l’abdomen de la jeune fille de sorte qu’elle a subi des saignements abondants.

[…]

Puis l’un des violeurs, avec une autre personne non identifiée, a traîné la jeune fille dans une voiture et l’a conduite dans une pièce au sous-sol de Ljungplan à Rinkeby, où les sévices graves se sont poursuivis.

Sous la menace de la violence, un homme a violé la fille ensanglantée oralement tandis que l’autre la violait par voie vaginale.

[…]

Au printemps 2020, la police a réussi à identifier un autre auteur, qui a aujourd’hui 22 ans et vit à Järfälla mais réside dans le monde arabe. Il avait alors escroqué plusieurs personnes âgées […]

Du sperme de Mehdi avait été retrouvé sur les lèvres de la jeune fille, entre autres, mais ce n’était qu’à ce moment qu’il avait pu être identifié.

Mehdi a été condamné au printemps par le tribunal de district à un an de prison pour viol aggravé. Cependant, le verdict a fait l’objet d’un appel devant la Cour d’appel, qui a renvoyé l’affaire devant le tribunal de district.

Maintenant, le nouveau verdict est tombé au tribunal de district de Solna et cette fois, la peine sera encore plus faible. L’homme de 22 ans est condamné pour viol aggravé à 200 heures de travaux d’intérêt général.

[…] Mehdi a obtenu la nationalité suédoise et ne peut donc pas être expulsé en vertu de la législation en vigueur. […]

Friatider

Via Fdesouche

Horreur à Berlin : Des Irakiens partaient en chasse pour violer des jeunes femmes

A Berlin, des hommes en meute partent à la chasse la nuit. Ils traînent des jeunes femmes dans un SUV. Ils se jettent sur elles l’un après l’autre. Ils les violent pendant des heures...

L'un d'entre eux a été condamné par le tribunal régional ce lundi : Wisam B. (33 ans), anciennement policier en Irak. La sentence : 13 ans, six mois de prison pour viols particulièrement graves, prise d'otages, privation de liberté, lésions corporelles.

Il n'était pas le seul accusé. Il y avait également son frère Karrar (25 ans), tous deux nés à Bagdad, citoyens irakiens. Le frère aîné vit à Charlottenburg, le plus jeune à Spandau.

Sa première victime date du 27 mars 2018. Il s'agit de l'ex-petite amie de 14 ans de son frère. La scène du crime était son appartement. Quatre autres ont suivi...

► Une jeune femme qu'il a rencontrée dans un club est rentrée avec lui - par sympathie. Pour en savoir plus sur sa vie difficile dans son pays d'origine....

► La fois suivante, l'accusé était dans la voiture avec un complice. Deux Australiens l'ont pris pour un taxi Uber. Après s'être débarrassé du petit ami de la femme, celle-ci a été violée - sur le siège arrière.

► Le 18 janvier 2020, vers 3h30 du matin, trois d'entre eux ont attrapé une diplômée du secondaire alors qu'elle sortait du club " Mensch Meier " dans la Storkower Straße (Berlin-Friedrichshain). Ils l'ont traînée dans un SUV, l'ont étranglée et violée. D'abord dans la voiture. Plus tard, dans l'appartement de l'accusé. La juge a décrit "quatre heures d'enfer", d'"agonie". Et de graves conséquences psychologiques. À 7 h 20, ils auraient jeté la jeune femme blessée dans la rue à Berlin-Charlottenburg.

► 23 février 2020. Cinq semaines plus tard, il y avait même quatre violeurs brutaux en chasse. Au club techno "Berghain", ils ont saisi une jeune femme de 21 ans, ils lui ont enfoncé 3 comprimés d'ecstasy dans la gorge et ils se sont rués sur elle à maintes reprises sans protection. Avant de jeter leur victime hors de la voiture avec de graves blessures génitales, ils ont effacé toutes les données de localisation de son téléphone portable.

La lycéenne a été capable de se souvenir d'une partie du numéro de la plaque d'immatriculation et des détails de l'appartement où a eu lieu le crime. Les agresseurs ont laissé des empreintes génétiques sous forme d'ADN. Ils sont derrière les barreaux depuis le 25 mars 2020.

La juge a déclaré : "L'accusé a détruit la vie de cinq jeunes femmes." Ses actions étaient caractérisées par un profond mépris pour les femmes... "Et l'expression d'un désir sadique de pouvoir." Elle a affirmé qu'il avait agi avec un sentiment de supériorité, sans la moindre émotion humaine.

Au tribunal, il s'est tu, il a nié, il a menti... dégradant ainsi ses victimes une fois de plus. "Nous sommes à court de mots face à la souffrance insensée qu'il a causée", a poursuivi la juge.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

 

Pau : 4 victimes, un migrant bénéficiaire d’un titre de séjour pour “étranger malade” jugé pour viol, agression sexuelle et tentatives d’agressions sexuelles

Cour d’assises des Pyrénées-Atlantiques : un accusé de viol et agression sexuelle, quatre victimes

[…]

L’homme, arrivé libre, est entré de lui-même dans le box des accusés. Depuis 9 heures, ce lundi 1er mars, Djibril Si, âgé de 44 ans comparaît devant la cour d’assises des Pyrénées-Atlantiques, à Pau, pour des faits de viol, agression sexuelle et tentatives d’agressions sexuelles.

Pendant trois jours, cet homme, originaire de Guinée-Bissau, va devoir répondre d’actes commis entre 2014 et 2015, à Saint-Jean-de-Luz, où il vit depuis son arrivée en France, via l’Espagne, en 2009.

[…]

Il rejoint la France en 2009, où il bénéficie d’un titre de séjour pour étranger malade, notamment au regard d’une blessure à la jambe causée par l’explosion d’une mine antipersonnelle en Guinée en 1999 et de son infection par l’hépatite C. Il y rencontre sa seconde compagne, avec laquelle il a un enfant en 2013. La séparation survient un an plus tard.

Toujours installé à Saint-Jean-de-Luz, au quartier Ichaca, Djibril Si était sous contrôle judiciaire depuis 2015.

[…]

L’article dans son intégralité sur Sud Ouest

Via Fdesouche


Rappels :

Allemagne. Immigration de masse dans les écoles : Le nivellement par le bas est visible et des parents allemands fuient certaines écoles.

Pau : le chef de service d’un centre d’accueil pour migrants poignardé à mort par un Soudanais, qui venait d’apprendre que sa demande d’asile lui était refusée

Royaume-Uni : Une centaine de migrants incendient le bâtiment qui les abrite, après avoir menacé et séquestré le personnel

Allemagne : Munich sponsorise officiellement le navire pour migrants Ocean Viking. Sa population offre 134’992 euros de dons, la ville ajoute encore 100’000 euros.

Le pape François : « La migration n’est pas une menace pour le christianisme. Rejeter un migrant c’est déformer le christianisme. »

 

France : l’étrange portrait de Mohamed Aboulmahassine, accusé d’avoir séquestré et violé une écolière de 11 ans, qui rentrait chez elle

Qui est vraiment l’accusé du viol et de la séquestration d’une écolière âgée de 11 ans à Soissons, le 16 mai 2018 ? Rarement un homme a suscité autant d’avis contradictoires. Certains voisins persistent à le considérer, certes différent, mais sympathique, pris dans un engrenage qui le dépasse et sûrement pas coupable. D’autres pointent sa consommation régulière d’alcool, son étrange habitude d’inviter de jeunes visiteurs à voir ses chats et puis sa curieuse collection de poupées.

Est-elle destinée à attirer les enfants d’une façon malsaine ? Mohamed Aboulmahassine, 41 ans, est une figure d’un quartier populaire de Soissons. Il ne travaille pas depuis des années, vit seul du RSA, passe son temps à jouer avec des adolescents. Certains d’entre eux se moquent de lui, jettent des cailloux sur ses volets. L’homme continue toutefois à en fréquenter certains, avec obstination.

(…) L’Union

(…)

De retour de l’école

La scène se déroule le 16 mai 2018 à Soissons. La fillette vient de quitter son établissement scolaire peu après midi.

Intimidée par le cadre solennel de la cour d’assises, une grande salle décorée d’une immense tapisserie ancienne d’apparence sévère, elle dit d’abord. « J’ai peur. » Puis elle se lance : «  Je le connaissais juste de vue. Je suis passée par les bois et il a commencé à s’approcher de moi. Il m’a demandé mon adresse et je n’ai pas répondu. J’ai essayé peu à peu de partir mais c’est compliqué quand quelqu’un vous parle. Il m’a attrapée par le poignet et commencé à m’emmener près de chez lui. »

« Quelle est votre réaction ? », demande la présidente de la cour d’assises.

« J’ai essayé de m’échapper, de lui enlever la main. J’ai essayé de crier mais je n’ai pas réussi. Cela a duré cinq minutes. Je suis partie en courant mais il m’a rattrapée et emmenée », répond la collégienne.(…)

Puis elle décrit le viol, raconte qu’elle était maintenue avec une main sur son épaule, estime « que cela a duré longtemps ».

(…) L’Union

Merci à René Via Fdesouche

Australie : 2 filles de 15 ans droguées, menacées et violées par une dizaine d’hommes “d’apparence africaine” ; des preuves “extrêmement solides” contre un réfugié arrêté

Deux adolescentes auraient été violées par dix hommes dans un parc de banlieue après avoir été droguées et menacées avec du verre et des bouteilles brisés.

Quatre hommes âgés de 19 à 22 ans ont été accusés de 40 délits chacun, suite à la bouleversante attaque présumée dans le sud de Brisbane le 28 décembre.

La police affirme que deux jeunes filles de 15 ans ont rencontré deux des hommes à la gare de Woodridge pour boire de l’alcool et fumer du cannabis.

Les filles auraient été conduites à la carrière de Karawatha où deux voitures remplies de huit autres hommes d’apparence principalement africaine les attendaient.

Mais lorsqu’elles ont demandé à rentrer chez elles, elles auraient été emmenées au parc du district de Calamvale et auraient subi un viol collectif.

La police a également affirmé que les victimes auraient reçu des “drogues hallucinogènes” pendant l’agression.

[…]

La police a fait une descente au domicile du jeune homme de 20 ans et a identifié des vêtements correspondant aux images de la caméra de surveillance prises la nuit de l’incident.

Mme Cardiff a déclaré que l’homme était plus facilement identifiable que les autres délinquants présumés qui étaient tous d’apparence africaine.

[…]

Les enquêteurs effectuent également des tests ADN sur un préservatif qui serait lié à la jeune fille de 20 ans.

Le magistrat Brian Kilmartin a déclaré que les preuves à l’encontre du jeune de 20 ans, un réfugié, étaient “extrêmement solides”. […]

Daily Mail

Via Fdesouche

Suède : Des migrants afghans arrêtés pour avoir violé “sur une longue période” des jeunes filles mineures. Ils filmaient les viols et utilisaient ces vidéos pour faire chanter leurs victimes

uède – Des migrants afghans d’une vingtaine d’années ont été arrêtés pour avoir violé des jeunes filles. Ils filmaient les actes sexuels contraints et ont utilisé ces vidéos pour faire chanter leurs victimes.

Le premier migrant a été arrêté en septembre pour viol d’enfant après que la police a reçu des informations selon lesquelles des photos et des vidéos de filles mineures circulaient sur les réseaux sociaux. Les crimes ont commencé en août 2019. L’Afghan, qui a déjà été condamné, aurait commis au moins trois viols sur des filles mineures.

Le procureur Andreas Lennartsson a déclaré que les crimes se sont déroulés sur une longue période et ont eu lieu à la fois dans les écoles et dans les foyers.

Un deuxième migrant afghan a été arrêté en décembre, soupçonné d’avoir violé un enfant en avril.

Ils ont pris des photos et des vidéos de ces viols. “Cela a depuis été utilisé pour amener les jeunes filles à accomplir davantage d’actes contraints. C’est devenu un moyen de pression sur les plaignantes pour qu’elles en fassent plus, mais aussi pour s’assurer que les jeunes filles ne parlent à personne de ce qu’elles ont vécu. Ils ont menacé de publier les photos et les films”, a déclaré M. Lennartsson.

Lennartsson a ajouté qu’il y avait d’autres suspects dans l’affaire, mais n’a pas donné de détails sur les enquêtes en cours.

Nyheter Idag

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Belgique : jugé pour meurtre, le migrant irakien est aussi suspecté d’un viol sur mineur, d’une prise d’otage, d’extorsions, de vol à main armée, de vol avec violences et autres

Procès à Liège: à 16 ans, a-t-il tué Galaad en le poussant du toit d’un immeuble de 27 étages?

H.D., un Liégeois âgé de 20 ans est accusé d’avoir commis un meurtre pour faciliter le vol lorsqu’il était âgé de 16 ans. Le jeune homme est considéré comme psychopathe avec des tendance paranoïaque.

[…]

H.D. est également accusé d’avoir commis en avril 2017 le viol d’une jeune fille âgée de 16 ans.

[…]

L’accusé répond de nombreux autres faits commis entre mai et décembre 2017. Il s’agit de faits de prise d’otage, d’extorsions, de vol à main armée, de vol avec violences, de tentative de cambriolage ou encore de faits de destruction commis dans un centre psychiatrique. Enfin, il est accusé de rébellion contre un assistant de sécurité lors d’un transfert dans une institution publique de protection de la jeunesse (IPPJ).

Né en Irak, H.D. est décrit comme réfractaire, violent et bagarreur. Au premier jour de sa majorité, il avait été transféré dans une prison pour adultes en raison de son comportement violent. Il présente une personnalité psychopathique, avec des risques d’escalade dans la criminalité et de récidive très élevés

Il présenterait aussi une maladie mentale et une importante dangerosité.

[…]

L’article dans son intégralité sur RTL Info Belgique

Via Fdesouche

Inde : 3 musulmans violent une adolescente pakistanaise, et revendiquent l’avoir fait “car elle est chrétienne”

3 hommes violent une adolescente « parce qu’elle est chrétienne »

Une jeune chrétienne de 16 ans est violée par plusieurs hommes alors qu’elle circulait avec sa famille dans le district de Sheikhupura, au Pendjab.

Le drame s’est déroulé le 28 décembre dernier, au Pendjab. Une chrétienne pakistanaise âgée de 16 ans se déplaçait dans un pousse-pousse avec son père, sa sœur et d’autres membres de sa famille, quand des voleurs les ont attaqués.

Les hommes ont alors agressé sexuellement l’adolescente, qui les a suppliés, « ne fais rien à ma sœur, quoi que tu fasses, fais-le moi ».

La plus jeune sœur, âgée de 14 ans, n’a pas été touchée.

Les agresseurs ont ensuite été arrêtés par la police. Un contact de Barnabas Fund précise qu’ils ont alors dit, « nous l’avons violée car elle est chrétienne ».

[…]

L’article dans son intégralité sur Info Chrétienne

Via Fdesouche

Grèce : un migrant pakistanais avoue avoir menacé de mort et violé un garçon de huit ans

Un migrant pakistanais, âgé de 20 ans, a été accusé d’avoir violé un garçon de 8 ans dans un champ proche du centre d’accueil des migrants sur l’île grecque de Kos, située dans le sud-est de la mer Égée.

Le suspect est accusé d’avoir attiré le jeune garçon dans un champ vide près du centre d’accueil des migrants de l’île et d’avoir menacé de le tuer avant de maîtriser physiquement l’enfant et de le violer […] […] un autre migrant pakistanais accusé d’avoir tenté de violer deux femmes à Kos en octobre 2019, comparaîtra également devant le tribunal à jury mixte de Rhodes le 12 janvier.

[…]

ReMix

Via Fdesouche

Görlitz (All.) : Une jeune infirmière meurt lors d’un viol. Un Érythréen arrêté.

Görlitz - Monstrueux soupçon à l'encontre d'un homme de 20 ans en Saxe : il aurait violé une jeune femme (24 ans) si brutalement qu'elle en est morte !

Comme l'ont annoncé la police et le ministère public, un mandat d'arrêt a été émis contre l'Érythréen lundi. "Il est fortement soupçonné de viol ayant entraîné la mort", explique le procureur Christopher Gerhardi.

La victime est une femme érythréenne qui a suivi un apprentissage d'infirmière à Görlitz.

[...]

Bild.de

Clermont-Ferrand : “Si tu te débats, je te tue”. L’Algérien Badreddine Chaïb jugé pour avoir violé une étudiante de 22 ans en pleine rue

Le procès a mal commencé, ce mardi matin, devant la cour d’assises du Puy-de-Dôme, à Riom. Un trentenaire est accusé d’un viol et de deux agressions sexuelles commis en septembre 2018 à Clermont-Ferrand.

Le procès a mal commencé, hier matin, devant la cour d’assises du Puy-de-Dôme, à Riom… « Ramenez la coupe à la maison, allez les Bleus, allez… » Si Badreddine Chaïb refuse de se lever dans le box et de décliner son identité, faisant mine de ne pas comprendre, il connaît en revanche par cœur les paroles du « tube » du rappeur Vegedream, rendu célèbre lors de la Coupe du monde de football de 2018.

Le regard dans le vide, le trentenaire chantonne en langue arabe et en français. Usurpateur ? Ou conséquence d’un traitement médicamenteux ? Toujours est-il que la cour n’obtient pas de réponse. Et ce malgré la présence d’une interprète, même si cet Algérien semble maîtriser correctement la langue de Molière. (…)

« Je veux juste le sexe, sinon je tue. Si tu te débats, je te tue », aurait-il menacé, en tenant fermement une étudiante de 22 ans, tout en l’entraînant de force entre deux voitures, place Salford, à deux pas de la place Delille, dans le centre-ville de Clermont-ferrand. Avant de la frapper, puis de la violer (des traces de son sperme ont été retrouvées sur la jeune femme). (…)

« Avec la force de son corps, il m’a mise par terre, avec les genoux sur moi. Vu que je n’arrêtais pas de crier, il m’a mis des coups de poing. Je suffoquais, l’objectif était de survivre. » 

La victime

(…)

La Montagne

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Athènes : un trafiquant de drogue pakistanais arrêté par la police, il séquestrait dans un appartement deux mineures grecques âgées de 16 et 17 ans qu’il droguait et violait

Cauchemar pour deux mineurs entre les mains d’un trafiquant de drogue pakistanais – Comment OPKE (Équipes de prévention et de répression du crime, ndlr) a libéré les deux jeunes filles – protothema.gr révèle des photos de l’enfer de la maison.

Choc au centre d’Athènes. Un trafiquant de drogue pakistanais a gardé deux mineures emprisonnées dans son appartement, les a «arrosées» de drogue et les a violées. Les deux filles sont des femmes grecques âgées de 16 et 17 ans qui ont réussi à s’échapper de «l’appartement de l’enfer» et à sortir dans la rue pour demander de l’aide.

L’homme de nationalité étrangère courait à moitié nu après les deux femmes pour les rattraper, mais est tombé sur un bloc de la police OPKE qui s’est précipité sur lui, l’a arrêté et l’a menotté. […]

protothema.gr

Via Fdesouche

Neuchâtel : Exorcismes, brûlures et viols d’une jeune musulmane par « Ali », un clandestin musulman rencontré à la mosquée

Fraîchement devenue musulmane, Laure (prénom d’emprunt) a rencontré Ali (prénom d’emprunt) à la mosquée. À ses yeux, il était «un sage», elle lui a donc fait totalement confiance et a accepté des «roqyas».

Quatre ans de peine privative de liberté dont à déduire quatre jours de détention préventive, une expulsion de Suisseoù il se trouve illégalement – pendant huit ans et une inscription dans le système Schengen, ce qui lui en ferme les portes…

[...]

ArcInfo

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Suède : une jeune fille de 13 ans violée par un migrant tunisien alors qu’elle rentrait du collège, il avait déjà été interpellé pour une tentative de viol et remis en liberté

Suède – Après une agression sexuelle sur une femme dans un parc, un suspect de 24 ans a été interpellé. Mais il a été vite relâché. Il a ensuite agressé et violé une jeune fille de 13 ans alors qu’elle rentrait de l’école. Cet individu vient d’être condamné à 5 ans de prison. Il sera expulsé à la fin de sa peine.

Une femme de 22 ans rentrait chez elle après une fête fin mai à Stockholm. Soudain, elle a remarqué qu’elle était suivie. Un homme l’a attrapée et a tenté de la violer.

Elle a réussi à se libérer. Le suspect a été interpellé, mais a été aussitôt libéré, parce que le procureur a estimé qu’il n’y avait pas assez de preuves pour prolonger sa garde à vue.

(…)

Début septembre, une jeune fille de 13 ans rentrait de l’école dans le sud de Stockholm. Un homme l’a attaquée et l’a forcée, sous la menace d’un couteau, à le suivre dans le sous-sol d’un immeuble. Puis il l’a violée. Elle a également été mordue, selon les policiers.

(…)

Le jeune homme de 24 ans est un ressortissant tunisien et avait obtenu un permis de séjour. Il a de jeunes enfants et un emploi.

Expressen.se

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Belgique : une adolescente de 16 ans aurait été victime d’un viol collectif, diffusé sur les réseaux sociaux

La vidéo d’un présumé viol collectif diffusée sur les réseaux sociaux

La Recherche locale de la police de Bruxelles Capitale / Ixelles a ouvert ce jeudi une enquête pour des faits de mœurs suite à la diffusion sur les réseaux sociaux de la vidéo d’un présumé viol collectif.

[…]

L’article dans son intégralité sur SudInfo


Les auteurs présumés ont été affichés sur les réseaux sociaux.

Via Fdesouche