Un ressortissant libyen, soupçonné d’avoir tué un homme aux Pays-Bas en juillet 2020, a été interpellé début août à Genève.
Il y fréquentait les centres sociaux sous une fausse identité.
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Un ressortissant libyen, soupçonné d’avoir tué un homme aux Pays-Bas en juillet 2020, a été interpellé début août à Genève.
Il y fréquentait les centres sociaux sous une fausse identité.
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Le jeune homme de 27 ans, brièvement détenu à Frambois en 2016, est admis provisoirement en Suisse. Les autorités ont estimé qu’un renvoi en Russie, illicite, l’exposerait à de «sérieux préjudices».
C’est un heureux dénouement pour Dagun, «une surprise totale et une grande joie», nous confie-t-il. Cet étudiant tchétchène attendait l’issue de sa deuxième demande d’asile, après un bref passage au centre de détention de Frambois fin 2016. À l’époque, l’Université de Genève et le Conseil d’État s’étaient mobilisés contre son renvoi immédiat en Russie.
Le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) a décidé fin juillet de rejeter sa demande mais de reconnaître la qualité de réfugié au jeune homme de 27 ans, qui est admis à titre provisoire en Suisse.
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Note : Ce Tchétchène va donc être à notre charge complète pendant que de nombreuses familles suisses n'arrivent plus à joindre les 2 bouts et ne peuvent envoyer leurs enfants à l'Université. Dans notre pays, ce sont les autres avant les nôtres.
Rappels :
Dijon : le conflit entre Tchétchènes et Maghrébins se serait réglé… à la mosquée
Deux voleurs ont saisi un senior pour lui dérober son argent, avant de le pousser au sol.
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Nés en 1969 et en 1971, l’homme et la femme originaires de Roumanie ont été appréhendés pour brigandage, notamment.
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Nos remerciements à Dany Riviera
Rappels :
Calmy-Rey : Schengen-Dublin nous apportera plus de sécurité etc.. Souvenez-vous
Genève : Des ados armés de battes et de bâtons s’en prennent à des rappeurs venus de Paris
Par Joëlle Bertossa, Sylvain Thévoz, coprésident·e PS, Ville de Genève
L’obligation du port du masque dans les lieux publics est une évidence qui ne devrait pas faire débat. Pourtant, un certain nombre de citoyen·ne·s la remettent en question. Les débats sont devenus tendus et même acrimonieux à ce sujet depuis l’annonce du Conseil d’État d’obliger le port du masque dans les commerces à dater du mardi 28 juillet.
Ostensiblement, une ligne de fracture se marque entre les pro et anti-masques. Cela est regrettable. Notre société n’a pas besoin d’une telle fracture, au moment où l’unité et l’engagement de toutes et tous contre la maladie et ses terribles répercussions sociales et économiques doivent se renforcer.
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Alain Berset le 3 avril 2020 :
Cela dépend surtout des stocks de masques, inexistants à l'époque, et du fait qu'il faut cacher au peuple suisse l'incompétence de la Confédération puisque celle-ci n'a rien prévu pour sa propre population alors que les fonctionnaires sont payés pour "prévoir"!
Par contre, lorsqu'il s'agit d'envoyer des milliards aux pays en voie de développement et de soutenir les musulmans, aucun problème pour Berset!
Rappels :
Des jeunes ont protesté contre l’interpellation d’un de leurs camarades de quartier, qui transportait sur son scooter un passager sans casque.
Ils ont lancé des projectiles sur la police.
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Le tournage d’un clip de rap au Grand-Saconnex (GE), ce week-end dans la nuit de samedi à dimanche, a bien failli dégénérer. Les auteurs de la vidéo étaient venus de France avec trois véhicules immatriculés dans la région parisienne. Ils ont été pris à partie par une vingtaine de jeunes du cru [sic!], armés de battes et de bâtons. La police cantonale a dû engager plusieurs patrouilles pour éviter que le combat de coqs ne se transforme en véritable affrontement. Les agents ont été accueillis par des jets de canettes remplies.
«Nous sommes parvenus à prendre l’identité de certains jeunes, d’autres sont partis en courant», explique Alexandre Brahier, le porte-parole des forces de l’ordre. Il s’agissait d’adolescents âgés de 16 à 20 ans, «une génération qui veut montrer son appartenance à son quartier».
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L’intervention à la rue Gardiol, dans le quartier du Pommier, en suivait immédiatement une autre, dans le quartier de la Servette. Des jeunes gens postés près de l’ancien McDonald’s de la rue Hoffmann avaient tiré des fusées en direction de véhicules de pompiers quittant la caserne des Asters.
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Nos remerciements à Dany Riviera
Rappels :
Le Grand-Saconnex, commune multiculturelle selon le PS
Le Maire de la commune du Grand-Saconnex est originaire du Bénin
Dénonciation en justice des organisations musulmanes pour incitation à la haine
Le comité directeur du PLR genevois veut en savoir plus sur les drôles de messages que se sont envoyés Pierre Maudet et Simon Brandt en septembre 2018. Une époque où l'on apprenait que le conseiller d'Etat avait menti sur le financement de son voyage à Abu Dhabi, mais où l’on ne parlait pas encore du volet financier de la procédure pénale touchant le magistrat pour acceptation d'avantages.
Le montant en jeu tourne autour de 3000 à 4000 francs, selon la conversation. Il semble problématique aux yeux des deux élus, puisqu'ils évoquent la possibilité de modifier un procès-verbal. Ils parlent aussi de mettre dans la confidence des membres réputés "sûrs" du comité du PLR Ville de Genève. Enfin, ils se mettent d'accord sur la façon de régler cette somme.
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Pierre Maudet ne commente pas, mais il aurait déjà assuré Bertrand Reich de sa présence lundi prochain. Simon Brandt, lui, ne nous a pas répondu.
Nos remerciements à Victoria Valentini
Rappels :
Le secteur, en particulier le parc des Cropettes, est depuis plusieurs mois le théâtre de violences perpétrées par des groupes de jeunes en errance, majoritairement issus d’Afrique du nord, certains semblant être des mineurs non accompagnés (MNA).
Ainsi que le rapportent «Le Courrier» et la «Tribune de Genève», lassées et effrayées par la récurrence des bagarres et des épisodes de vol, de deal et de racket, trois associations (les parents d’élèves des Cropettes et de Beaulieu, les habitants de l’Ilôt 13 et les riverains de la place des Grottes) ont adressé en début de semaine une lettre ouverte au Conseil d’Etat et au Conseil administratif de la Ville.
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Rappels :
Amnesty International demande encore que la Suisse prenne en charge des migrants
Genève a versé son dû aux collectivités de France voisine. Pour l’année 2020, la compensation financière relative aux frontaliers s’élève à 315 millions de francs, contre 310 en 2019.
Cette somme est destinée à compenser les charges publiques que font peser les salariés taxés à Genève, sur leurs communes de résidence en France.
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Maudet a pu procéder à cette "opération" avec le soutien de Sommaruga. Celle-ci n'aura évidemment jamais de compte à rendre au peuple suisse.
Elle n'est d'ailleurs même pas citée dans l'article. Or voici ce que claironnait la presse en février 2017:
"A ce propos, Pierre Maudet a souligné que l’opération Papyrus n’aurait pu être menée sans l’appui de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, responsable du Département fédéral de justice et police. Il a salué «son courage dans le climat actuel»."
Ce que racontent les fonctionnaires de l’Office cantonal de la population et des migrations de Genève (OCPM) est bien loin du bilan positif tiré par les autorités, en février dernier. Selon eux, Papyrus a été montée trop rapidement et sans moyens suffisants à disposition. Si l'opération a si bien marché, avec moins de 50 refus de candidatures pour 2390 régularisations, ce n'est pas parce que les dossiers étaient bien ficelés, mais parce que les services manquaient de personnel pour opérer un contrôle systématique des documents et que les directives étaient floues, voire inexistantes.
Ces employés décrivent une situation de sous-effectif constante jusqu'au printemps 2019. Ils n'étaient que quatre étudiants à 25% et un examinateur pour faire face à l'afflux considérable de dossiers que Papyrus a généré dès son lancement en février 2017. Une personne a bien été engagée en renfort près d'un an après, mais elle n'était pas formée. Aucun chef ne dirigeait la cellule et il n'existait pas de directives écrites quant aux contrôles à effectuer. Conséquence: le personnel a souffert d'une grande démotivation. Mais surtout, il n'arrivait pas à vérifier la véracité des documents qui lui étaient soumis avant de les envoyer à Berne pour confirmation. A mesure que le temps passait, expliquent ces employés de l'OCPM, le retard s'amplifiait et les dossiers litigieux s'accumulaient.
De manière générale, les employés étaient invités à valider les dossiers tant que les critères étaient remplis, peu importe qu'il y ait des suspicions de fraudes. En résumé, les avis positifs étaient la règle et les refus l’exception. Certains fonctionnaires sont clairs: des dossiers ont été approuvés alors qu'ils n'auraient pas dû l'être, créant ainsi un appel d'air, notamment dans la communauté balkanique. Des requérants d’asile déboutés sont également revenus en Suisse sous un faux nom pour profiter de l’opération, racontent-ils.
Avec un changement de direction dans la structure qui chapeautait Papyrus, fin 2017, les choses ont évolué, mais il n'existait toujours aucune marche à suivre pour le personnel en cas de refus. Les procédures litigieuses étaient dès lors mises de côté. Fausse entreprise, faux documents, fausses signatures, mariage blanc, tests de français frauduleux: les cas étaient nombreux. Mais aucune dénonciation pénale n'était faite alors que cela aurait dû l'être. Il a fallu attendre la nomination d'un responsable de Papyrus, il y a moins d'un an, pour que la justice soit saisie, engendrant l'ouverture de la procédure pénale actuelle et l'interpellation, à la connaissance de la RTS, d'une dizaine de personnes.
Les employés de l'OCPM évoquent enfin une certaine ingérence dans leur travail, qui concerne les décisions de refus, enjeu clé pour le succès politique de Papyrus. Au départ, il n'y a quasiment pas eu de refus. Mais dès les premiers retours négatifs, des organisations partenaires de l'opération se sont plaintes auprès du conseiller d'Etat genevois Pierre Maudet, initiateur du projet. Dès lors, le magistrat a instauré des séances techniques pour les dossiers problématiques entre l'OCPM, les partenaires du projet et le département de tutelle. Des séances qui n'ont fait l'objet d'aucun procès-verbal. Si elles confirmaient le refus, le dossier était alors soumis personnellement à Pierre Maudet pour décision finale, au moyen d'une note explicative.
Toujours selon les employés de l'OCPM, Pierre Maudet demandait aussi à ses services de revoir des décisions négatives.
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Nos remerciements à Wilhou.ch
Rappels :
La réveil a été tardif, la gestation lente au vu de l’urgence, mais le résultat est inédit. Le Conseil d’Etat genevois propose une indemnité financière unique à hauteur de 80% de la perte de revenus de tous les travailleurs du canton, quelle que soit leur situation légale et leur activité professionnelle.
Valable entre le 17 mars et le 16 mai, cette compensation s’applique à toute personne résidant à Genève depuis une année et ayant exercé une activité lucrative lors des trois mois précédant le semi-confinement décrété par le Conseil fédéral. Entre 1500 et 3500 personnes pourraient en bénéficier.
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Via le FB du PNS
«Nous avons tous été choqués et émus par les longues files de personnes attendant pour un colis de nourriture», a témoigné lundi lors du point presse du gouvernement le conseiller d’Etat Thierry Apothéloz, chargé de la Cohésion sociale. Face à la détresse de ces personnes, le Conseil d’Etat genevois a annoncé le dépôt d’un projet de loi afin de créer une indemnisation pour perte de revenus. «Il s’agit d’une mesure d’urgence sous la forme d’une indemnité financière unique couvrant la période de mi-mars à mi-mai», a précisé l’élu.
Cette aide est destinée aux travailleurs qui n’ont pu bénéficier du soutien mis en oeuvre par la Confédération. Il peut s’agir de personnes qui n’ont pas assez cotisé à l’assurance-chômage, d’intermittents ou d’employés de l’économie domestique. Selon les calculs du Canton, quelque 3000 personnes pourraient être concernées. Il s’agira de leur octroyer une indemnité sur deux mois qui compensera 80% du salaire perdu. Le département estime que la somme médiane avoisinera les 2800 fr. et a fixé un plafond à 5880 fr. par mois. Un crédit de 15 millions de francs sera demandé au Parlement.
Pour bénéficier de ces mesures, les postulants devront faire une demande d’ici fin juin qui sera étudiée. Il leur faudra également habiter à Genève depuis minimum une année, avoir une activité lucrative depuis au moins trois mois et subir une perte de salaire. L’aide sera octroyée quel que soit le statut légal, le statut professionnel ou le type d’activité lucrative. «Nous sommes bien conscients que selon les situations, il sera difficile de produire toutes les pièces demandées. Il faudra démontrer de manière plausible le montant de la demande», a souligné Thierry Apothéloz. Les requérants pourront se faire conseiller par les associations et syndicats partenaires afin de monter un dossier.
Ce projet de loi sera présenté au Grand Conseil pour discussion immédiate. Pour parer au plus pressé, le Conseil d’Etat sollicitera la commission des finances pour un crédit supplémentaire. Mais Thierry Apothéloz ne compte pas en rester là, puisqu’il a mandaté le professeur Jean-Michel Bonvin afin d’analyser plus en profondeur la situation des personnes démunies.
source: https://www.20min.ch/fr/story/quinze-millions-pour-les-oublies-du-filet-social-871793623087
Même si tous ces jeunes (titulaires d’un brevet d’apprentissage, sauf un, sans diplôme) de la région de Thonon, dont trois déjà condamnés pour violences, admettent leur présence sur les lieux, «aucun ne reconnaît avoir porté des coups», résume la présidente. Ils louvoient, donc. L’un dit ne se souvenir de rien à cause de l’alcool, mais jure: ce ne peut être lui, car il ne frappe pas les femmes. Un autre se dépeint anesthésié par le cannabis: «J’ai rien vu, j’ai pas fait attention, j’étais ailleurs.» Un seul sort du lot. Lui non plus n’a rien fait, martèle-t-il, mais il balance les autres: «Je leur ai dit qu’il fallait assumer» ce que des témoins ont décrit comme «une scène de guerre» et «une scène de torture».
Les multiples témoignages, relatés par la présidente, constituent la limite de ces stratégies d’évitement. Un grand nombre de badauds décrivent une scène aux contours et aux protagonistes identiques. La confusion de la scène est certes génératrice de menues variations, rendant difficile d’affirmer avec certitude qui a fait quoi exactement. Mais le fond demeure. «Pour moi c’était une tentative de meurtre. Ils voulaient tuer les filles», a décrit un témoin. «Je n’avais jamais rien vu d’aussi violent de ma vie», a évalué une autre.
Deux récidivistes risquent 20 ans
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Article symbolique de la presse en Romandie : aucun nom, aucun prénom, aucune origine alors que l'on sait qu'il s'agit d'individus non européens. Les coups de pied de type «penalty» assénés dans la tête est caractéristique à certaines migrations, tout comme les vols "à la Zizou" le sont également.
Quel sort réserverait cette même presse aux accusés s'il s'agissait de Suisses?
Rappel :
TDG, 24 heures, Le Matin Dimanche :
L’agression de cinq femmes à la sortie d’une boîte de nuit en été 2018 avait choqué. Un procès s’ouvre cette semaine en France. La défense plaide l’acquittement, au grand dam des victimes.
Julien Culet - extrait: « La violence et la gratuité de l’agression commise en vieille ville de Genève en août 2018 avaient choqué la Suisse. Le procès doit apporter un épilogue à cet épisode de brutalité misogyne et lâche, les faits ayant débuté parce que l’une des femmes avait refusé les avances d’un des auteurs. Les débats auront lieu mardi et mercredi à Thonon-les-Bains. L’audience se déroulera en France car les accusés sont Français et ont été arrêtés dans leur pays. [...] »
Résumé : Le journaliste Julien Culet parle de violence « machiste ». La réalité ne peut pas être dite à cause des origines de ces criminels, ce qui rend cette affaire criminelle gravissime, doublement indicible.
Nous nous rappelons que quatre hommes domiciliés en France voisine, entre 22 et 26 ans, ont tabassé gratuitement quatre femmes avec une violence inouïe et sans autre raison évoquée que le fait qu’une des femmes aurait refusé les avances d’un de ces criminels. Il lui a alors boxé le visage avec une telle violence qu’elle s’est retrouvée à terre évanouie. Puis trois femmes qui avaient été témoins de la scène sont accourues pour aider la victime.
Cela a déclenché un déchaînement de violence extrême de la part des quatre richesses : coups de pied donnés dans la tête avec élan, coups de béquille et de matraque sur la tête et le visage de ces femmes. L’une d’elles a été emmenée à l’hôpital entre la vie et la mort, elle a dû subir une intervention au cerveau, a été plongée dans un coma artificiel et restera handicapée à vie à cause de séquelles irréversibles.
Maître Assaël dit que les coups de pieds dans la tête ont été donnés comme on tire un penalty.
L’avocat du principal accusé, Me Fadila Tabani-Surmont, nie que son client ait participé au lynchage.
Les quatre accusés ont déjà tous eu à faire avec la justice ; le plus jeune, 22 ans, cumule douze condamnations (bien entendu, l’article ne donne pas plus de détails sur les crimes précédents).
Ils plaident tous l’acquittement, ce qui était tout à fait prévisible, même pour celui qui a laissé son ADN derrière les ongles d’une de ses victimes.
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Voir aussi :
https://lesobservateurs.ch/2018/09/23/apres-le-drame-des-femmes-tabassees-place-a-la-recuperation/
https://lesobservateurs.ch/2018/08/31/geneve-pour-un-verre-refuse-il-frappe-plusieurs-femmes/
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Cenator : Le féminisme, tel qu’il est diffusé actuellement par la bien-pensance, a redéfini le sens des genres, le patriarcat, et bien sûr également le terme « macho ».
Jadis le macho rêvé était l’homme viril, qui ose faire la cour à une femme, qui lui donne le sentiment d’être capable de la défendre, de lui faire des enfants, de remplir un rôle de chef de famille, ou plus simplement un homme « classe », courtois, celui qui aide une femme à mettre son manteau et lui tient la porte.
Autrefois ouvertement salué, le macho était l’amoureux entreprenant, auquel les femmes avaient de la peine à résister, au même titre que les hommes avaient de la peine à résister aux femmes fatales. C’était le temps où les hommes pouvaient encore représenter la force, la capacité de décision, l’amour courtois et la puissance sexuelle.
Bien sûr, il y avait également l’image du macho imparfait, le latin lover parfois lourdaud, qui essayait de séduire, puis souvent ratait son coup, mais il restait toujours bon perdant, toujours gentleman, fier malgré tout d’être un homme qui ose mettre au défi son charme.
Puis les féministes postmodernes sont arrivées. Avec leurs revendications pour la non-différentiation sexuelle, la féminisation de la société, le cortège des études de genre, une volonté d’imposer une vision anti-patriarcale et anti-capitaliste du féminisme, puis la mode hollywoodienne #me too, le macho est devenu le misogyne à abattre, le phallocrate sexiste, coupable des injustices et des inégalités sociales, ou pour les plus subtiles, un détraqué qui refoule sa féminité.
La masculinité à combattre est le corollaire du culte des minorités LGBT, dans une guerre totale livrée par tous les moyens contre l’homme blanc pour le rendre stérile.
Tous ces déversements idéologiques ne sont jamais critiqués par nos médias, ni par nos milieux académiques, bien au contraire.
Le couronnement est arrivé en 2019, avec des méthodes de manipulation mentale extraordinaires, pour déployer une manifestation qui a atteint des proportions jamais connues en Suisse, la Grève des femmes. Des slogans appelaient à l’instauration du matriarcat, à la castration, la vulgarité anti-masculine était sans retenue.
Le défilé avait duré toute la journée en Suisse romande, avec une couverture médiatique incroyable. Les médias et leurs spin doctors ont reformaté l’esprit de la population : désormais, il est admis qu’il y a un grave problème avec les hommes en Suisse.
Le macho est devenu celui qui diffuse une masculinité toxique, recourant à la violence physique sur les femmes pour les dominer, le violeur domestique, le harceleur sexuel, quelqu’un qui abuse de son pouvoir octroyé par une société patriarcale et capitaliste.
Ici, avec l’article de Julien Culet, nous franchissons un nouveau palier dans la définition du macho. Le macho devient celui qui tabasse à mort des femmes, qui leur boxe le visage et leur donne des coups de pieds lorsqu’elles sont déjà en sang, à terre et inconscientes, juste parce qu’il a essuyé un refus à ses avances.
Dès les premiers articles parus sur cette agression, comme cela se passe dans nos médias avec la plupart des faits divers de ce genre, la réalité a été réinterprétée avec la vision idéologique de la Gauche. Tout a été fait pour éviter de parler de l’origine de ces criminels, qui a été longtemps cachée à la population.
Et si les journalistes cherchent à nier la réalité au lieu d’informer le public, n’est-ce pas une incitation de leur part à ce que ces criminels nient également avoir commis ces actes abjects et se trouvent des excuses ?
A Genève, la distribution d'aide alimentaire à la patinoire des Vernets attire de plus en plus de monde. Samedi, 2600 sacs ont été remis aux personnes poussées dans la précarité par la crise sanitaire, contre 1683 il y a une semaine.
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Malgré l'affluence record de samedi, tout le monde a pu être servi, indique la Ville de Genève, qui coordonne la distribution. La magistrate en charge de la cohésion sociale, Esther Alder, craint que la situation ne se péjore. L'élue Verte appelle notamment au renouvellement de l'opération de régularisation Papyrus.
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Nos remerciements à Dany Riviera
Rappels :
Plusieurs jeunes se sont battus devant le centre commercial du quartier verniolan jeudi soir. Aucun blessé n’est à déplorer.
Renseignements pris, les forces de l’ordre sont intervenues pour une grosse bagarre mettant aux prises de vingt à trente jeunes devant le centre commercial du Lignon.
[...]
Nos remerciement à Stefen
Rappels :
C'est au Lignon qu'un jeune se félicitait de l'incendie de l'Eglise, la qualifiant "d'église de merde".
Nous avions été les premiers à publier cette vidéo, qui a été censurée par Youtube à de nombreuses reprises. Par la suite, on a eu droit à un contre-feu des médias bien-pensants qui sont allés interviewés des acteurs sociaux prétendant que "tout allait bien au Lignon". On sait ce qu'il en est de ces manipulations à l'heure actuelle.
Genève : Une vingtaine de véhicules incendiés au Lignon
Genève : Au Lignon, un extincteur finit sur la police
Genève. Le Lignon: Des mineurs caillassent la police à plusieurs reprises
L’église du Lignon incendiée : les socialistes suisses aiment ça aussi !
Le Lignon, portrait d'une cité colorée et multiculturelle de la banlieue genevoise
Condamné en décembre 2017 par la justice genevoise pour tentative d'assassinat, ce Kosovar avait écopé de 11 ans et 6 mois de détention.
Alors que la procédure pénale était encore en cours, il avait déposé en 2016 une demande de regroupement familial en faveur de son fils né en 1998 et habitant le Kosovo.
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Nos remerciements à Dany Riviera
Les employés domestiques et les sans-papiers, qui étaient nombreux à s'être rendus samedi à la patinoire des Vernets pour recevoir un colis contenant un paquet de pâtes, du riz et quelques boîtes de conserve, doivent être la priorité des réflexions. «J'ai créé un groupe de travail dédié à cette question», a noté Thierry Apothéloz (NDLR : Socialiste).
«Nous envisageons plusieurs pistes pour assurer un revenu à cette population pendant la crise», a poursuivi le conseiller d'Etat responsable de la politique sociale du canton. Selon «Le Courrier», un fonds cantonal d'indemnisation pourrait être créé. L'idée serait aussi de permettre à ces gens d'accéder à l'aide sociale.
20min.ch / Lecourrier.ch
Nos remerciements à Wilhou.ch
Rappels :
Elections à Genève : pour le socialiste Thierry Apothéloz la priorité est le vote des étrangers
Thierry Apothéloz, favorable au port du voile islamique, invite ses supporters qui mangent halal
Les quarante-cinq avocats et juristes reviennent sur les demandes faites à l’Exécutif après une rencontre avec la délégation aux migrations le 24 février dernier.
Dans leur missive, les défenseurs de ces jeunes demandent «l’établissement d’une carte d’identité cantonale», et que cessent des contrôles de police et des saisies d’argent et de téléphones portables qu’ils jugent abusives. S’agissant de la problématique du logement, la permanence souhaite que le Service de protection des mineurs procure à tous les mineurs une habitation de nuit comme de jour.
Elle demande à ce que les jeunes ayant atteint la majorité ne soient pas jetés à la rue. Les questions de nourriture, de soins médicaux et psychiques et de produits de première nécessité sont également de mise, indique la permanence demandant que ces besoins soient comblés.
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