Genève: Le nombre de frontaliers a triplé en vingt ans

Fin 2020, 92’000 titulaires d’un permis G travaillaient dans le canton du bout du lac, contre 30’154 en 2000.

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Avec ses 92’000 travailleurs frontaliers recensés fin 2020, Genève accueille un quart des employés œuvrant en Suisse avec un permis G. Ce nombre a triplé en 20 ans, relève la «Tribune de Genève», [...] En 2000, ils n’étaient que 30’154 à traverser la frontière pour exercer un emploi au bout du lac.

[...] Et plus d’un sur deux ont fait des études supérieures. [...] Actuellement, Genève offre 390’000 postes de travail, alors que le canton ne compte que 240’000 actifs, chômeurs compris.

(jef)

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/le-nombre-de-frontaliers-a-triple-en-vingt-ans-116007215078

Un péage sera introduit entre Saint-Julien et Annemasse (F), annonce la Haute-Savoie

Jérôme Faas - 20min.ch
La gratuité du contournement sud de Genève, c’est bientôt fini. La remise en péage du tronçon autoroutier Annemasse (F) - Saint-Julien (F), emprunté chaque jour par 50’000 automobilistes, en majorité des travailleurs frontaliers, se précise. [...]
Directeur du TCS Genève, Yves Gerber craint, lui, «qu’une partie des usagers engorgent le réseau secondaire, les deux critères de choix étant le coût et le temps de trajet». [...]
article complet:
extraits des 257 commentaires:

Pierre-Alain  - 24.06.2021

Puisque nous l'avons déjà financé à hauteur du tiers pourquoi ne pas se porter acquéreur de celle-ci ? Avec péage dans les 2 sens et gratuit si vignette Suisse.

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Hips - 24.06.2021

Les départements de l'Ain et de la Haute Savoie votent-ils une subvention de 100 millions d'euros pour la traversée de la rade...??? Où participent-ils financièrement à la réfection du pont du Mont-Blanc ?

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Alfie - 24.06.2021

A chaque fois que ça les arranges ils parlent du « grand-Genève » pour que le canton passe à la caisse, ils seraient pas un peu gonflés !?

Quand Genève finance l’autoroute française qu’elle combat

L’appui public à l’axe routier prévu entre Thonon et Machilly, redouté en Suisse, émane des fonds frontaliers que le Canton reverse à la France voisine.

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La provenance de l’argent peut désarçonner alors que les critiques suisses ont suscité en France de virulentes accusations d’ingérence.

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Tdg.ch


Note : La gauche joue les effarouchées alors que c'est elle qui plébiscite le Grand Genève et que son rêve vise l'abrogation des frontières. L'hypocrisie habituelle.

France : L’expansion de la population du bassin genevois continue.

Le dynamisme économique du bassin genevois continue de profiter aux départements français frontaliers [NDLR Traduction : La pompe aspirante de la libre circulation fonctionne à plein régime].

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Plus de 80’000 frontaliers travaillent actuellement à Genève, et il semblerait que la proximité géographique compte. [...]

TdG

Suisse : L’Arc jurassien plie sous les flux de frontaliers

L’Arc jurassien connaît une hausse ininterrompue de frontaliers depuis dix ans. La relative amélioration des infrastructures routières leur permet de résider de plus en plus loin de la frontière suisse.

Le nombre de frontaliers français de l’Arc jurassien a augmenté de près de 70% en dix ans, malgré des distances et des temps de trajet qui s’allongent. La quasi-totalité d’entre eux, soit 97%, utilise leur véhicule pour se rendre sur leur lieu de travail.

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20min.ch

Nos remerciements à Panterina

Genève verse 315 millions à la France pour les frontaliers

Genève a versé son dû aux collectivités de France voisine. Pour l’année 2020, la compensation financière relative aux frontaliers s’élève à 315 millions de francs, contre 310 en 2019.

Cette somme est destinée à compenser les charges publiques que font peser les salariés taxés à Genève, sur leurs communes de résidence en France.

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20min.ch

Le régime sévère aux frontières doit être maintenu pour protéger la santé et les salariés suisses

En assouplissant le confinement des commerces et de la gastronomie, le Conseil fédéral a dans une large mesure répondu aux exigences de l’UDC. En revanche, sa décision d’ouvrir déjà les frontières pour faire entrer de la main-d’œuvre étrangère alors qu’il y a des dizaines de milliers de chômeurs en Suisse est proprement irresponsable.

La décision du Conseil fédéral d’accélérer le traitement des demandes de permis de travail en provenance de l’UE et de l’AELE est tout aussi indéfendable. Elle intervient dans une crise économique où plus d’un tiers des salariés suisses sont au chômage partiel et où des experts prédisent un chômage allant jusqu’à 7%! Dans cette situation, le bon sens commande d’engager en priorité les chômeurs suisses, mais certainement pas de faire venir encore plus de main-d’œuvre bon marché de l’UE.

Non aux contributions à fonds perdu à des firmes étrangères

Et permettant l’ouverture des commerces et de la gastronomie à partir du 11 mai à condition qu’ils respectent les règles d’hygiène et de distance, le Conseil fédéral a satisfait dans une large mesure les exigences de l’UDC. Ce choix doit être salué, car il est urgent de relancer les activités économiques pour éviter des dommages supplémentaires.

L’UDC approuve aussi la décision d’accorder aux compagnies aériennes Swiss, Edelweiss, Swissport et SR Technics des crédits ponts remboursables et portant intérêt, et non pas des contributions à fonds perdu. Le gouvernement a raison de ne pas lier cette aide à des exigences climatiques. La crise du coronavirus n’est certainement pas le bon moment pour satisfaire les revendications climatiques surfaites de la gauche écologiste.

Le contrôle de l’immigration est plus urgent que jamais

Enfin, l’UDC constate avec satisfaction que le Conseil fédéral a décidé de fixer la votation sur l’initiative de limitation au 27 septembre 2020. Face à la récession mondiale déclenchée par la pandémie du coronavirus, la Suisse a plus que jamais besoin d’un contrôle et d’une modération de l’immigration. Même en période de bonne conjoncture économique, la Suisse a subi durant les 13 années écoulées une immigration nette d’un million de personnes, la majorité en provenance de l’UE, qui ont pris un emploi ou se sont installées dans le système social suisse. Or, le chômage augmente massivement dans tous les pays voisins de la Suisse, de sorte qu’un nombre encore plus grand d’immigrants se pressera dans notre petit pays – et que personne ne peut arrêter à cause de l’accord de libre circulation des personnes. Pendant ce temps, des dizaines de milliers de salariés suisses perdent leur emploi, la pauvreté progresse et les coûts sociaux vont exploser.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-regime-severe-aux-frontieres-doit-etre-maintenu-pour-proteger-la-sante-et-les-salaries-suisses/

L’attrait de la Suisse provoque une pénurie de main-d’œuvre en France

Par RTS, Tristan Dessert - 24. février 2020

Dans certaines zones de France voisine, près d’un travailleur sur deux est employé en Suisse. Cette situation entraîne un manque de main-d’œuvre problématique pour les entreprises françaises proches de la frontière.

Du cadre à l’ouvrier en passant par le serveur ou l’infirmière, la Suisse compte environ 177'000 travailleurs frontaliers venant de France. Cela représente plus de la moitié des 314'000 frontaliers que compte le pays.
C’est dans le canton de Genève que ces frontaliers sont les plus nombreux: 85'000. Vaud en compte près de 32'000, Neuchâtel près de 13'000, le Jura 8500 et le Valais 1600.

44% des actifs du Genevois travaillent en Suisse

D’après une récente étude française de l’Institut national de la statistique et des études démographiques (INSEE), plus de 44% de la population active du Genevois français travaille en Suisse. Autour de Saint-Louis, près de Bâle, c’est près de 42% (une partie de ces frontaliers travaillent en Allemagne). Le taux est presque identique autour de Morteau et se monte à plus de 32% autour de Pontarlier.

Dans les entreprises françaises, cette fuite de la main-d’œuvre pose de sérieux problèmes de recrutement. C'est le cas de cette société de plomberie et chauffage de Saint-Julien-en-Genevois montrée en exemple dimanche dans le 19h30. Au téléphone, le même refrain revient régulièrement: «Je suis désolé, aujourd’hui on prend en contrat de maintenance uniquement les équipements qu’on a installés.»

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vidéo et article complet:

Genève attire des frontaliers de plus en plus éloignés

Côté pile, le salaire triple. Côté face, le logement est hors de prix

Les personnes attirées vers le Grand Genève proviennent de régions de plus en plus éloignées. En 2019, sur les 15'728 nouveaux titulaires d'un permis frontalier (permis G), 17% venaient de départements français autres que l’Ain ou la Haute-Savoie, selon l’Office cantonal de la statistique. Cet effectif est historiquement élevé, même s'il est inférieur de 12% à celui de 2018. Quant au nombre de frontaliers actifs, il s’est établi à un peu plus de 85'000 en septembre dernier.

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Ce classement devrait encore varier avec la mise en service du Léman Express (LEX), qui facilite notamment la liaison entre Genève et Thonon, deuxième ville du Département de Haute-Savoie. 

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Tdg.ch

Vaud : Notre compagnie de navigation sur le lac Léman toujours davantage au service des frontaliers français

Durant des années, les contribuables suisses ont financé cette "compagnie de navigation" qui est utilisée par de nombreux frontaliers. On a même pu voir une association de frontaliers exiger des horaires à sa convenance alors que cette Compagnie est avant tout au service du tourisme. Oui, ils s'en contrefichent.

A présent, la Suisse perd la gouverne de sa propre compagnie de navigation puisque la France aura son mot à dire par le biais de cette "contribution financière" (comme si la France avait financé l'entretien de ces bateaux depuis toutes ces années!). En clair, les socialistes vaudois activent la pompe aspirante au service des Français et les contribuables suisses sont encore une fois pris pour des imbéciles.

Il n'y a plus guère de Suisse ni de frontières. Par le biais de "traités", nos autorités contournent notre souveraineté, tout comme le "Grand Genève" est synonyme de pompe aspirante pour le chômage français et d'émiettement de notre territoire national. C'est le but de ces politiciens apatrides, atomiser la Suisse par le biais de tractions supranationales dont le peuple ne comprend rien et contre lesquelles il ne peut s'opposer.

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Deux nouveaux bateaux permettront de développer la desserte lacustre entre la France et la Suisse. Un essor qui s’accompagne d’une nouvelle clé de répartition financière.

Les projets de développement de la mobilité se multiplient dans le bassin lémanique. [...]

Près de 1,25 million de pendulaires la traversent chaque année. Les prévisions annoncent une hausse de 4% de passagers transfrontaliers ces prochaines années. Ces voies de communication lacustre nécessitent également d’être développées. Jeudi, les autorités vaudoises et leurs homologues de France voisine ont signé une «convention de coopération» qui lance l’achat de deux nouveaux bateaux de grande capacité pour la Compagnie générale de navigation (CGN). «Une signature qui renforce encore davantage les liens entre les deux rives», a lancé Josiane Lei, la maire d’Évian, qui recevait dans sa ville les voisins d’en face pour la partie officielle.

[...]

«Ce ne fut pas un long fleuve tranquille», se rappelle Nuria Gorrite [NDLR : Evidemment socialiste], présidente du Conseil d’État vaudois et cheffe du Département des infrastructures. Les négociations ont été longues pour aboutir à une «vision nouvelle de ce territoire partagé» [NDLR : Le terme "Suisse" est désormais absent de leurs discours, tout est dans la manipulation sémantique.].

24heures.ch

 

A lire également :

Clap de fin pour la démocratie suisse.

Ceva : Genève et la France enfin liés par le rail!

La nouvelle liaison ferroviaire franco-suisse a franchi une nouvelle étape vendredi avec la jonction des lignes des deux pays.

Baptisée CEVA (Cornavin-Eaux-Vives-Annemasse), du nom des gares qu'elle reliera, cette double voie ferrée de 16 kilomètres - dont 14 en Suisse - a été créée pour faciliter les déplacements quotidiens des frontaliers entre le canton de Genève et la France.

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20 Minutes.ch

Rappels :

Genève. « Préférence indigène » : Les frontaliers auront également accès aux offres d’emploi

Genève : Le nombre de frontaliers étrangers actifs continue à augmenter.

La Suisses devrait payer le chômage aux frontaliers : une facture qui se monte à plusieurs centaines de millions.

Genève accueille massivement des jeunes frontaliers de France dans ses écoles et ploie sous le nombre

Genève. « Préférence indigène » : Les frontaliers auront également accès aux offres d’emploi

En clair, la volonté des Suisses est non seulement bafouée mais encore ridiculisée.

 

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Comme un chômeur suisse, un demandeur d'emploi frontalier peut avoir accès en primeur aux offres de travail annoncées auprès des Offices régionaux de placement (ORP).

Cette mesure, découlant de l'entrée en vigueur le 1er juillet de la préférence indigène dite light, a été confirmée fin juillet au Groupement transfrontalier européen par le Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO).

(,,,)

20Minutes.ch

Genève : Le nombre de frontaliers étrangers actifs continue à augmenter.

Record battu.

Au deuxième trimestre 2018, indique l’Office cantonal des statistiques (Ocstat), le nombre de frontaliers étrangers actifs dans le canton a augmenté de 1,7% par rapport au trimestre correspondant de l’an passé. Le chiffre s’établit à 85 351 personnes, en hausse régulière depuis des années.

(...)

Tribune de Genève

Suisse : Le nombre de frontaliers continue à augmenter

Après un léger recul au premier trimestre, le nombre de frontaliers a augmenté de 4208 personnes à 322'028 entre avril et juin, soit une augmentation de 1,3%.

La croissance est encore plus importante en comparaison annuelle. Le nombre de travailleurs pendulaires de l'étranger a augmenté de 3,5%, ce qui correspond à 10'787 personnes, selon les chiffres de l'Office fédéral de la statistique (OFS), publiés jeudi.

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Le Conseil d’Etat tessinois menacé de destitution par la Lega et l’UDC

Le président du Conseil d'Etat tessinois ne se montre pas inquiet face aux menaces de destitution du gouvernement lancées par la Lega et l'UDC après l'abandon de l'exigence d'un extrait de casier judiciaire pour les étrangers.

Le Conseil d'Etat tessinois est menacé de révocation par la Lega et l'UDC depuis dimanche suite à la décision du gouvernement le mercredi 7 juin de ne pas exiger de casier judiciaire pour les Italiens qui souhaitent obtenir un permis de séjour (B) ou de travail (G).

Cette exigence avait été approuvée par le Grand Conseil à l'unanimité. Et si l'Exécutif, qui compte deux ministres de la Lega sur cinq élus, a finalement renoncé, c'est pour favoriser les négociations fiscales entre la Suisse et l'Italie.

La Lega dénonce la majorité d'un "governicchio", soit un petit gouvernement médiocre à la solde de la Berne fédérale. Mais pour aboutir, la menace des deux partis cantonaux doit récolter 15’000 paraphes à la veille de la pause estivale, ce qui est loin d'être acquis.

Président du gouvernement "pas inquiet"

Interrogé dans le Journal du matin mardi, le président du gouvernement tessinois Manuele Bertoli (PS) ne se montre "pas tellement inquiet". "Cette histoire de la révocation est une vieille histoire, déjà évoquée par Giuliano Bignasca (ndlr: le fondateur de la Lega) de son vivant, mais qui n'a jamais eu lieu".

L'accord fiscal avec l'Italie était bloqué sur deux questions, dont l'obligation de présenter son casier judiciaire. Manuele Bertoli défend cette "petite marche arrière" en raison des effets positifs attendus par l'accord fiscal avec l'Italie.

Cet accord "enlève le privilège qu'ont les frontaliers par rapport aux résidents en Italie et qui travaillent en Italie". "Je ne pense pas que ça va les dissuader de venir" en Suisse, mais ça va pousser les quelque 60'000 frontaliers "à ne pas accepter des salaires trop bas", ajoute le directeur du Département cantonal de l'éducation et de la culture.

Une fiscalité revue pour les frontaliers italiens

La pomme de discorde fiscale italo-suisse autour de l'imposition des frontaliers a fait l'objet d'un arrangement en décembre.La charge fiscale des frontaliers sera progressivement augmentée, rendant ce statut moins attractif d'un point de vue fiscal et contribuera à la lutte contre la sous-enchère salariale, espère le Conseil d'Etat tessinois.L'Etat où l'employé travaille impose le revenu du travail jusqu'à concurrence d'une part de 70% de l'impôt ordinaire sur le revenu. L'Etat de domicile applique quant à lui ses propres impôts sur le revenu et élimine les doubles impositions.Les frontailiers étaient jusqu'ici imposés exclusivement sur le lieu de travail, avec une restitution de 38,8% aux communes lombardes.

Source RTS

Le chômage des frontaliers français pourrait coûter cher à la Suisse.

Après le dumping salarial, notre pays qui ne possède aucun avantage dans la libre circulation devrait passer à la caisse, pour le plus grand bonheur de la France socialiste qui décharge ainsi ses chômeurs sur notre dos. Le Conseil fédéral, responsable de cette arnaque, se contente de son silence habituel.

Bien entendu, la France se moque éperdument de nos routes surchargées, de la délinquance française qui fait tant de mal à nos compatriotes. Ce pays est aussi à l'origine de la destruction de notre secret bancaire et autres pressions, telle celle exercée sur l'aéroport de Bâle-Mulhouse où la Suisse a perdu des recettes fiscales.

Et la liste est encore longue.

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De nouvelles règles d’indemnisation des frontaliers perdant leur emploi pourraient être décidées avant l’été par l’UE. Elles pourraient coûter cher à la Suisse

La France et l’Allemagne seraient les principales bénéficiaires de cette réforme, contrairement à la Suisse qui, avec ses 314 000 travailleurs frontaliers, se verrait à l’inverse dans l’obligation de payer des millions de francs supplémentaires.

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Le fait que l’accord institutionnel ne soit pas encore fixé facilite la tâche: la Suisse n’est pas encore obligée de reprendre quasi automatiquement le droit européen.

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Genève: Le canton perd des emplois et naturalise en masse. Les frontaliers toujours plus nombreux.

Le canton a perdu des emplois et attire moins. Les naturalisations sont nombreuses.

Le nombre d’emplois à Genève a diminué de 2,2% en un an. Sans que cela n’ait d’ailleurs empêché le nombre de frontaliers actifs de continuer de croître (+6,1% l’an dernier).

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Quelques tuyaux pour venir travailler en Suisse

Un lecteur nous prie de vous informer :

Alors que de plus en plus de Suisses peinent à trouver du travail même s'ils sont diplômés avec de l'expérience, sur cette page Facebook nommée Réussite Emploi on donne des tuyaux pour venir travailler en Suisse.

Il y a une rubrique "En savoir plus" qui permet de recevoir gratuitement par email la liste des entreprises qui recrutent le plus de frontaliers !

Bizarrement, si on clique sur le lien proposé pour en savoir plus ( http://www.preparation-entretien.com/  ) on est bloqué.... Serait-ce parce qu'on a une adresse IP en Suisse ?

Nos Suisses et résidents apprécieront

L’UDC veut favoriser les travailleurs neuchâtelois

L’initiative de l’UDC neuchâteloise baptisée « les nôtres avant les autres » exige, qu’à compétence égale, un indigène soit préféré à un frontalier. Yvan Perrin, président cantonal du parti agrarien, rappelle qu’il s’agit d’un texte constitutionnel et que les autorités auraient ensuite une grande marge de manoeuvre pour sa mise en application. Le POP, très présent dans les Montagnes, où le chômage bat des records, souhaite aussi diminuer la masse de travailleurs domiciliés à l’étranger. L’ancien député Alain Bringolf proposait déjà des solutions en 1988. Mais il ne soutiendra pas l’UDC.

Interview d'Yvan Perrin à écouter sur Canal Alpha

Pour télécharger les feuilles de signatures c'est ICI

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