Les ONG qui génèrent et font marcher le commerce des migrants voudraient nous rendre responsables des morts lors de la traversée

(AFP) Mer Méditerranée: Une ONG trouve dix cadavres de migrants sur un rafiot bondé - 17 novembre 2021

Médecins sans frontières a récupéré, mercredi, des embarcations de fortune entre la Libye et l’Italie. Dans l’une d’elles, dix migrants morts parmi 99 survivants…

 

[...] «Dix morts évitables, dix personnes qui sont mortes étouffées, au bout de 13 heures de dérive en mer. L’itinéraire le plus meurtrier en Méditerranée. Comment pouvons-nous accepter cela en 2021?»

[...] probablement mortes étouffées par les gaz d’échappement du moteur. [...]

 

«Manque de volonté de l’Europe»

Des dizaines de milliers de personnes tentent d’arriver en Europe en traversant la Méditerranée, à partir de la Libye ou de la Tunisie, pour arriver généralement en Italie. [...]

[...] Ils sont originaires de Guinée, du Nigeria, de Côte d’Ivoire, de Somalie et de Syrie. «Beaucoup d’entre eux sont traumatisés par leur épreuve horrible», a précisé l’ONG, qui a demandé un port sûr pour pouvoir les débarquer. [...]

[...] nous sommes encore une fois témoins du manque de volonté de l’Europe de garantir un système de recherche et de secours dont nous avons désespérément besoin dans le centre de la Méditerranée», a dénoncé la cheffe de mission de MSF à bord du «Geo Barents», Caroline Willemen.

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/une-ong-trouve-dix-cadavres-de-migrants-sur-un-bateau-bonde-au-large-de-la-libye-147012437365

Les camarades réclament solidarité, assistance et logements subventionnés pour les « travailleurs non déclarés »

Débat RTS/Forum entre Bastienne Joerchel, directrice du Centre social protestant vaudois,

Christina Kitsos, conseillère administrative en ville de Genève,

Stéphane Rossini, directeur de l'Office fédéral des assurances sociales,

et Giuliano Bonoli, professeur de politiques sociales à l’Université de Lausanne.

*

Débat entre quatre gauchistes au pouvoir pour savoir si notre filet social est à la hauteur de leurs idéaux.
Bien entendu, les quatre arrivent à la conclusion que la crise du Covid a montré d’énormes trous dans ce filet, qui est trop complexe et ne tient pas compte des « travailleuses et des travailleurs » qui se trouvent depuis longtemps sur notre territoire sans avoir accès aux prestations sociales, comme l’aide sociale et le logement subventionné, alors que ces gens cotisent aux assurances sociales. Ces défaillances et lacunes de notre filet social seraient une bombe à retardement.

En effet, dans bien des cantons de Suisse romande, un clandestin peut se procurer un numéro AVS et y verser des cotisations (partielles), ce que l’usine du social leur recommande afin de pouvoir faire du forcing pour l’obtention du permis d’établissement. 

Les quatre intervenants déplorent que la Confédération transfère ces charges sur les cantons, les communes et des ONG. C’est le fonctionnement du système qui serait à repenser pour que plus personne ne passe entre les mailles du filet.

Les lacunes à corriger seraient d’offrir un meilleur accès à l’information, de rendre le système de l’assistance moins complexe, moins spécialisé, de diminuer les critères qui définissent les ayants droit. Il faut mettre en place un système qui s'adresse à tout le monde.

Christina Kitsos : Il faut rappeler que l’aide sociale est un droit. C’est un droit constitutionnel et ce n’est pas une assurance sociale.

Il faut distribuer plus d’argent et poser moins de critères. Durant le premier confinement, 70% des personnes qui faisaient la queue pour les aides alimentaires n’avaient pas d’aide sociale. Il faut travailler sur le non-recours aux prestations sociales. La loi sur les étrangers, avec permis « B » et « C », rend les gens réticents à demander de l’aide par peur de ne pas pouvoir renouveler leur permis.

Et les personnes en situation de demande d’asile disparaissent quand elles savent que leur demande d’asile sera refusée, néanmoins ces personnes restent dans nos villes. Il n’y a pas de filet social qui recouvre les besoins de ces personnes.

Les cantons reçoivent bien des aides fédérales, pour le logement et les primes d'assurance maladie, mais pas d’aides pour le reste.

Le  système social est en tension, on ne pourra pas continuer ainsi s’il y a une troisième vague. Ce système est un système à étiquettes, il faut être malade ou chômeur, etc. Être dans le besoin devrait suffire pour obtenir de l’aide.

Il y a un autre problème. Selon une étude, les  travailleurs au noir ne bénéficient pas d’une grande bienveillance dans la population. Les gens veulent une solidarité conditionnelle, ils ont le réflexe de se protéger contre les profiteurs. Cela doit changer. On parle souvent des profiteurs, mais on ne parle pas de ceux qui ne connaissent pas leurs droits à demander de l’aide.

La Chaîne du Bonheur a récolté des millions de francs, ce qui montre que l’esprit de solidarité est là. Mais la population doit comprendre que dans la durée, l’aide sociale, c’est un droit. L’article de la Constitution devrait être mieux connu pour que la population comprenne l’obtention de l’aide publique. Si on conditionne cette aide, si elle reste au bon vouloir de la population, cela va poser un problème éthique.

Non, il n’y a aucun risque que la solidarité s’émousse en Suisse.

Plus de 50% des personnes qui ont fait la queue aux Vernets pour l’aide alimentaire étaient des sans-papiers et malgré cela, la population genevoise a témoigné d’un vrai élan de solidarité. Il est également vrai que les gens ont été sensibilisés par l’opération Papyrus, cela a habitué les Genevois à la solidarité.

Il y a aussi les employés qui n'ont pas de contrat de travail écrit. Leurs employeurs ne respectent pas les lois, il y a des abus. Il y a aussi les gens qui sous-louent des logements pour se faire de l’argent sur le dos des plus précaires.

Le Covid nous permet une évaluation directe de notre système social. L’accompagnement du processus politique va être extrêmement intense ces prochaines années. Les lacunes donnent de bons arguments sur tous les thèmes évoqués et offriront un levier pour les faire aboutir. – fin du résumé

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-debat-notre-filet-social-est-il-a-la-hauteur?id=11773822

*

Cenator : En somme, c’est de grand reset que les quatre camarades nous parlent.
Bien entendu, à les croire, il y aurait seulement des abuseurs qui se feraient de l’argent sur le dos des clandestins, tandis que personne ne se fait de l’argent sur le dos des contribuables.

Selon ces quatre intellectuels, le monde entier pourrait venir s’installer en Suisse pour s’y faire entretenir car la Suisse est riche.

Et pour ces gens, si le système s’effondre, c’est qu’il était mauvais. C’est tant mieux : la gauche ne rêve que de cela depuis la révolution de 1917, même si chaque essai a donné des résultats horrifiants. Notre establishment marxiste est certain qu’il saura construire un système plus juste, sans nations, sans identité, sans capitalisme, plus égalitaire, un système où, par exemple, les quatre intervenants auront une place de choix pour bâtir ce monde nouveau.

*****

La carrière politique de Stéphane Rossini résume totalement ce qu'est la prise du pouvoir du marxisme culturel sur notre pays.

Rossini est la figure emblématique du PS en Suisse romande, avec sa contribution à la diffusion de la pensée unique dans le monde académique, dans la recherche. Il est également emblématique du putsch marxiste actuel, mené au pouvoir par les manipulations et méthodes de persuasion de nos médias.

Son portrait, c’est du copié-collé avec les autres politiciens pastèques que nous avons en Suisse. Ce sont ce genre de personnes qui ont mis en place la tyrannie idéologique qui domine notre vie de A à Z.

Rossini était également « Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques », c’est-à-dire qu’il livrait à l’État des rapports et donnait son avis contre rémunération. Ces éléments étaient financés par nos impôts, établis à travers une vision orientée au possible, mais néanmoins considérés comme INDÉPENDANTS.
Les universités de Suisse romande recrachent chaque année depuis cinquante ans ce genre d’intellectuels.

Ci-après, un résumé de la carrière de Stéphane Rossini.

Né en 1963 à Sion, membre du Parti socialiste, Rossini était directeur de l'Office fédéral des assurances sociales jusqu'à fin novembre 2020.

Rossini préside actuellement le conseil de Swissmedic, ainsi que la Commission fédérale de l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité. [...]

Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques, en particulier des politiques sociales et de la santé, Stéphane Rossini est également chargé d'enseignement aux universités de Genève, Neuchâtel et Lausanne dans les domaines de l'administration publique, des sciences sociales et de la gestion de la santé.

Âgé de 55 ans, le Valaisan est licencié en sciences politiques et docteur en sciences sociales de l'Université de Lausanne.

Conseiller national de 1999 à 2015, Stéphane Rossini a notamment siégé à la Commission de gestion et à la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique. Il a également présidé le Conseil national en 2015.

[...]

https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-75704.html

Carrière professionnelle

De mai 1989 à mai 1990, il est assistant à l'université de Lausanne et à l'Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP) de la même ville, situé à Chavannes-près-Renens, auprès du professeur Pierre Gilliand. Entre mai 1990 et juin 1994, il est chargé de recherche dans le cadre du Programme national de recherche 29, puis, entre juin 1994 et juin 1995, chef de projet de recherche à l'IDHEAP. Il est également directeur du diplôme de formation continue en travail social à l'université de Neuchâtel; il devient directeur-professeur du diplôme de formation continue en juin 1995.

Consultant indépendant au Conseil et recherche en politique sociale (CONSOC) à Haute-Nendaz entre 1995 et 2005, il devient chargé de cours  en 2001 à l'université de Genève puis, dès octobre 2006, enseigne à la Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Lausanne et de Neuchâtel en tant que professeur-directeur du Master of Advanced Studies en action et politiques.

Carrière politique

En 1993, il est élu au Grand Conseil du canton du Valais, où il siège jusqu'en 1999, date à laquelle il est élu au Conseil national.

Réélu au Conseil National lors du scrutin du 23 octobre 2011, il est nommé président du Conseil national le 24 novembre 2014 […]

Le 3 octobre 2011, il annonce sa CANDIDATURE AU CONSEIL FÉDÉRAL pour succéder à Micheline Calmy-Rey […]

Source et extraits de : https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Rossini

Genève : la gauche veut permettre aux clandestins d’accéder à notre aide sociale

Les employés domestiques et les sans-papiers, qui étaient nombreux à s'être rendus samedi à la patinoire des Vernets pour recevoir un colis contenant un paquet de pâtes, du riz et quelques boîtes de conserve, doivent être la priorité des réflexions. «J'ai créé un groupe de travail dédié à cette question», a noté Thierry Apothéloz (NDLR : Socialiste).

«Nous envisageons plusieurs pistes pour assurer un revenu à cette population pendant la crise», a poursuivi le conseiller d'Etat responsable de la politique sociale du canton. Selon «Le Courrier», un fonds cantonal d'indemnisation pourrait être créé. L'idée serait aussi de permettre à ces gens d'accéder à l'aide sociale.

20min.ch / Lecourrier.ch

Nos remerciements à Wilhou.ch

 


Rappels :

Conseil d’état genevois : Pierre Maudet champion des frais professionnels, suivi par le socialiste Apothéloz

Elections à Genève : pour le socialiste Thierry Apothéloz la priorité est le vote des étrangers

Thierry Apothéloz, favorable au port du voile islamique, invite ses supporters qui mangent halal

Genève : un clandestin interdit d’entrée en Suisse menace des passants et la police avec un tesson de bouteille

Un homme a été arrêté par les forces de l'ordre à Genève alors qu'il menaçait les passants avec un tesson de bouteille, tout en criant et en courant dans tous les sens.

A la vue des policiers, l'individu a pris la fuite afin de se soustraire au contrôle, avant de se diriger vers l'un d'entre eux d'un air déterminé. L'agent a du faire usage d'un spray OC pour l'interpeller et l'acheminer au commissariat. Le prévenu, qui séjourne illégalement en Suisse et qui est interdit d'entrée dans le pays, ne possède ni de domicile fixe ni de documents d'identité.

20Min.ch / TDG

Milan. Un clandestin vole puis frappe des agents venus l’arrêter. Le procureur le libère l’après-midi : « Arrestation disproportionnée »

Milan. Un citoyen irakien, en situation irrégulière sur le territoire italien, est entré vers 21 heures dans un magasin Carrefour pour y faire ses courses sans payer.

Les agents de sécurité l'ont arrêté et lui ont demandé de montrer ce qu'il cache sous sa veste. A ce moment-là, le criminel "a commencé à paniquer", explique la source, "il a pris un poteau du supermarché et l'a utilisé pour frapper la tête de l'agent. Ce dernier parvient à récupérer une bouteille durant l'agression. L'Irakien réussit à s'enfuir et les Carabiniers, avertis par les agents de sécurité, s'élancent à sa poursuite.

Après quelques instants, les Carabiniers le découvrent, et au lieu de se rendre, il les attaquent. Ce n'est qu'à la fin que la patrouille parvient à l'embarquer dans la voiture et à l'emmener, non sans difficulté.

Et maintenant la partie amusante : L'immigré, K.A., "en provenance d'Allemagne", a été dénoncé pour vol qualifié et résistance aux agents de la force publique. Son curriculum démontre qu'il s'agit d'un migrant illégal : sa demande d'asile en Italie a été rejetée. En théorie, il devrait se trouver ailleurs, mais au lieu de cela, il se prélasse dans la ville de Milan.

Vous nous direz : "ils l'ont arrêté". Mais en réalité, ce n'est pas le cas. Comme le déclarent des sources militaires [ND Christian Hofer : Les Carabiniers sont des militaires.] au site d'information Giornale.it, le magistrat de garde a décidé de ne pas le mettre en prison car "selon le ministère public, l'arrestation de l'individu pour deux bouteilles de vin est exagérée".

Le magistrat a considéré la marchandise "comme étant le critère d’évaluation et non le geste".

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Ilgiornale.it / Milanopost.info

Italie : Un clandestin, déjà expulsé et multirécidiviste, arrêté pour avoir violé et tenté d’extorquer un handicapé

Un sans-abri handicapé a été violé dans la nuit de mercredi dans une ferme abandonnée à Vintimille.

La police a arrêté un citoyen maghrébin de 23 ans. Il est accusé non seulement de violences sexuelles mais également de tentative d'extorsion. Il aurait demandé 400 euros à sa victime pour ne pas publier une vidéo montrant les sévices subis.

[...]

Après le dépôt de plainte, la personne handicapée a été transportée à l'hôpital où les médecins ont pu constater des blessures compatibles avec des violences sexuelles. Le Maghrébin, qui a été emprisonné à San Remo, se trouve en situation irrégulière sur le territoire national. Plusieurs fois condamné pour des crimes contre la personne et les biens et déjà expulsé, il était soumis à un ordre de quitter le territoire italien, notifié il y a seulement cinq jours.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Farodiroma.it / Imolaoggi.it

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Italie : un Marocain en situation irrégulière recherché pour avoir poignardé à mort une femme

REGGIO EMILIA – Le meurtrier présumé de Hui Zhou, une barmaid âgée de 25 ans qui a été poignardée à mort hier dans son bar, le Moulin Rouge, situé à Reggio Emilia, porte un nom et un visage. Voici Boukssid Hicham, un Nord-Africain de 34 ans, en situation irrégulière et sans abri, qui est toujours en fuite. La police a émis un ordre de capture dans toute l’Italie et transmis les rapports aux frontières, puis dans la soirée une photo a également été publiée. Outre l’homme d’origine marocaine, l’arme du crime est également recherchée.

La dernière observation du fugitif, grâce aux images de vidéosurveillance a eu lieu près du lycée de Moro, à proximité du lieu du crime. Le motif n’a pas encore été clarifié, même si le motif de l’extorsion ou du vol est exclu. 

[…]

Il ne semble pas avoir d’antécédent, mais a deux ordonnances d’expulsion dirigées contre lui. Il a été identifié deux heures après le meurtre grâce au travail de l’équipe anti-drogue. 

Bologna Repubblica

via Fdesouche

Hausse de la délinquance à Paris : « La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement »

Une deuxième partie de l’année qui ne doit pas ressembler à la première. Les instructions de la nouvelle directrice de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) sont claires. La courbe haussière de la "délinquance d’acquisition" (cambriolages, vols à la tire…) sur les six premiers mois de l’année doit s’infléchir. Et vite.

Dans une note diffusée le 17 juin aux chefs de la police parisienne et que nous nous sommes procurée, Valérie Martineau, nommée à ce poste il y a moins de deux mois,  détaille son plan d’action. "Les six premiers mois de 2019 révèlent une évolution défavorable de la petite et moyenne délinquance", constate-t-elle, dans ce document de quatre pages, qui fait office de feuille de route pour ses troupes. "Notre action doit être guidée par un principe simple : obtenir des résultats significatifs."

[...]

Pour la maire de Paris, cette hausse de la délinquance peut s’expliquer par le mouvement des "Gilets jaunes, qui a évidemment mobilisé les forces de l’ordre pour le maintien d’ordre", a-t-elle indiqué lors d’un colloque organisé à l’Hôtel de Ville fin juin. "On comprend qu’un événement comme celui-là ait retiré des effectifs, mais la dégradation dans un certain nombre de quartiers, nous la voyons", a-t-elle ajouté.

Un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur nuance toutefois les propos de la maire de la capitale, estimant que les Gilets jaunes sont loin d’être la seule raison de ces mauvais chiffres : "La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone." Des propos qui interviennent dans un contexte houleux entre la mairie de Paris et l'Etat sur la question de l’accueil des migrants dans la capitale.

[...]

Lci.fr

France : Le délit d’aide aux clandestins censuré par le Conseil constitutionnel au nom du « principe de fraternité »

POLITIQUE - Le Conseil constitutionnel a censuré le principe du "délit de solidarité" en décrétant ce vendredi 6 juillet qu'une aide désintéressée au "séjour irrégulier" ne saurait être passible de poursuites au nom du "principe de fraternité". En conséquence, les Sages ont abrogé des dispositions du Code de l'entrée et du séjour des étrangers, donnant raison aux associations qui dénonçaient une législation migratoire confondant aide humanitaire et passeurs.

Cette décision, qui promet de résonner comme un coup de tonnerre dans un contexte politique européen tendu, répond à une demande de Cédric Herrou, un agriculteur devenu le symbole de l'aide aux migrants à la frontière franco-italienne et qui réclamait l'abolition du "délit de solidarité".

Pour la première fois, le Conseil constitutionnel consacre le "principe de fraternité", rappelant que "la devise de la République est 'Liberté, Egalité, Fraternité'" et que la loi fondamentale se réfère à cet "idéal commun". "Il découle du principe de fraternité la liberté d'aider autrui, dans un but humanitaire, sans considération de la régularité de son séjour sur le territoire national", selon le texte de la décision.

La loi va devoir être revue d'ici décembre

"En réprimant toute aide apportée à la circulation de l'étranger en situation irrégulière", le Conseil constitutionnel estime que le législateur n'a pas respecté l'équilibre entre "principe de fraternité" et "sauvegarde de l'ordre public". Il censure donc partiellement l'article L 622-4, sortant du champ des poursuites toute aide humanitaire au "séjour" comme à la "circulation" des migrants. En revanche, "l'aide à l'entrée irrégulière" reste sanctionnée.

Concernant les conditions d'immunité listées dans ce même article, le Conseil constitutionnel émet une "réserve d'interprétation", c'est-à-dire qu'il précise le sens que l'on doit donner au texte: ainsi, l'immunité devrait s'appliquer aux situations énumérées (conseils juridiques, soins médicaux...) mais aussi "à tout autre acte d'aide apporté dans un but humanitaire".

Pour permettre au législateur de remédier à l'inconstitutionnalité constatée, le Conseil reporte au 1er décembre 2018 la date d'abrogation des dispositions contestées. Récemment, lors de l'examen de la loi Asile et immigration à l'Assemblée, les députés de la majorité avaient acté un assouplissement du "délit de solidarité" pour certaines personnes venant en aide aux migrants, jugé insuffisant par les associations.

Ne plus assimiler passeurs et aide humanitaire

Devant le Conseil constitutionnel, Cédric Herrou et un autre militant de la vallée de la Roya, tous deux condamnés pour aide au séjour irrégulier, avaient attaqué deux articles du Code de l'entrée et du séjour des étrangers.

Ils visaient l'article 622-1, qui punit l'aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irrégulier de cinq ans d'emprisonnement et 30.000 euros d'amende, et l'article 622-4, qui précise que cette aide ne peut donner lieu à des poursuites lorsqu'elle est le fait de la famille ou "de toute personne physique ou morale, lorsque l'acte reproché n'a donné lieu à aucune contrepartie directe ou indirecte".

Le texte précise ensuite que cette aide autorisée consiste notamment "à fournir des conseils juridiques ou des prestations de restauration, d'hébergement ou de soins médicaux (...) ou bien toute autre aide visant à préserver la dignité ou l'intégrité physique". Un texte "trop vague" pour les défenseurs des militants, qui permettait de sanctionner l'aide humanitaire de la même façon que la criminalité organisée des filières de passeurs.

Source Via Contre-info

 

 

Liége (Belgique) : Une handicapée mentale violée et séquestrée par un migrant pour obtenir des papiers. Il voulait lui faire un enfant de force.

Il empêchait la jeune fille de prendre son contraceptif et lui a fait passer un test de grossesse.

Karim, 30 ans, a écopé de quatre ans de prison ferme par défaut pour avoir violé une handicapée mentale pendant trois jours. Il avait déjà été expulsé du territoire et était interdit de séjour pendant six ans. Cela ne l’a pas empêché de se retrouver à Liège et de croiser la route d’une jeune handicapée de 19 ans, mais dont l’âge mental est estimé par les experts à 7 ou 8 ans.

En novembre 2014, la jeune fille a disparu pendant trois jours. Elle était avec une connaissance lorsqu’elle a rencontré Karim. Ce dernier l’a emmenée dans un squat. Selon la mère de la jeune fille, l’homme a violé celle-ci dans le but de la faire tomber enceinte pour régulariser son séjour. Karim a empêché la victime de prendre sa pilule et s’est rendu avec elle dans un planning familial pour lui faire passer un test de grossesse !

La jeune fille a expliqué qu’il l’avait violentée et forcée à entretenir des relations sexuelles. Il lui avait fait mal au point de la faire saigner. Il lui a également administré des somnifères.

Le suspect a admis qu’il s’était directement rendu compte que la jeune fille présentait un retard. Il a accusé leur connaissance commune d’être l’auteur des viols. Il a prétendu qu’on l’avait accusé car "on voulait à tout prix le mettre en prison".

Quant à la victime, son audition ne laisse planer aucun doute. "Je n’avais pas le choix parce qu’il allait me taper. Il m’a tirée par les cheveux." Cette jeune fille avait déjà été violée par un autre individu.

Source

Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble revendique publiquement la violation de la loi française pour accueillir les clandestins et provoque le procureur « Condamnez-moi. »

Nous parlions déjà de cet individu dans ces articles:

France. Grenoble: Les politiques de gauche détruisent la ville « Plus de 52 ans pour rembourser la dette. »

 

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés et protégés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

 

France: Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble « Aucun mur ne sera assez haut pour arrêter un Homme qui veut vivre en Europe »

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M. le Procureur de la République, je vous écris ce jour puisque la solidarité envers les éxilé.e.s reste un délit. Forte de sa politique d'accueil et d'aide, la Ville de Grenoble enfreint l'article L 622-1 du CESEDA. Condamnez-moi.

 

 

Source

France. Rixe conjugale, à Caen : le clandestin la gifle, elle lui donne des coups de couteau

Un homme de 24 ans et une femme de 27 ans ont été condamnés tous deux à sept mois de prison avec sursis, lundi 14 mai 2018, à Caen (Calvados), pour des violences réciproques.

La relation de Fatou* et Brice* a toujours été chaotique. Ensemble depuis 2010, la jeune femme de 27 ans et le jeune homme de 24 ans ont connu plusieurs séparations temporaires. Ils ont vécu sous le même toit à partir de 2017, dans le quartier de la Guérinière, à Caen (Calvados), et ont eu un fils cette année-là.

« Quasiment une scène de crime »

Mais la vie commune est ponctuée de nombreuses disputes, sur fond de jalousie réciproque. Les voisins s’en plaignaient régulièrement. En juillet 2017, soupçonnant une infidélité de son compagnon, Fatou le met à la porte une première fois. En janvier 2018, nouvelle crise de jalousie. Fatou aurait frappé Brice avec une casserole; celui-ci aurait rétorqué avec des claques. La jeune femme porte plainte.

Le 22 mars 2018, Brice se présente chez son ex-compagne, pour voir son fils. Une première dispute éclate, vers minuit. Le jeune homme reçoit un coup de ciseau à l’aine, qui ne le blesse que superficiellement. Le lendemain matin, l’altercation reprend, toujours sur fond de jalousie. La jeune femme aurait d’abord mordu son ex-compagnon au niveau de l’épaule. Celui-ci l’aurait alors frappée à son tour. S’étant munie d’un couteau de cuisine, Fatou aurait voulu « lacérer la veste » de Brice. Mais elle lui occasionne trois plaies de 10 cm au bras et au poignet. Des blessures qui lui vaudront cinq jours d’incapacité de travail.

« Dépendance affective et conjugopathie »

Prévenus par les deux anciens amoureux, les policiers découvrent « quasiment une scène de crime » en arrivant sur les lieux. C’est l’expression qu’a employée la procureur de la République de Caen, Carole Étienne, lundi 14 mai 2018, à l’occasion du procès des deux jeunes gens.

L’appartement comporte de nombreuses traces de sang, Brice est en pleurs dans le canapé tandis que Fatou, réfugiée dans sa chambre, semble inconsciente au pied de son lit, face contre terre. Elle reconnaît :

J’ai simulé un malaise pour ne pas qu’il me frappe.

L’expert psychiatre qui l’a examinée décrit une jeune femme « impulsive, aux réactions disproportionnées », qui souffre de « dépendance affective et de conjugopathie ». « C’est une femme battue, désespérée », plaide son avocat, Me Julien Duval. « Elle lui a déchiré ses papiers d’identité », rétorque Me Aude Texier, l’avocate de Brice, Mauritanien en situation irrégulière depuis 2015, quand son permis de séjour n’a pas été renouvelé.

Ils veulent « passer à autre chose »

Chacun à une barre, de chaque côté de la salle d’audience, les deux anciens compagnons semblent désormais apaisés, même s’ils assurent tous deux avoir frappé l’autre pour se défendre. Décidés à mettre fin à leur relation « toxique », ils affirment leur souhait de « passer à autre chose ».

Le parquet a requis des peines de 8 et 10 mois de prison avec sursis et une mise à l’épreuve, respectivement à l’encontre de Brice et Fatou. La procureur de la République suggère une interdiction de se contacter pour les deux. Finalement, le tribunal a renvoyé Fatou et Brice dos à dos, avec chacun sept mois de prison avec sursis simple. Ils pourront se voir pour échanger la garde de leur fils.

*Les prénoms ont été modifiés.

Source Via Fdesouche.com

France: En situation irrégulière et connu des services de police, il séquestre, frappe et brûle sa petite amie

La jeune femme de 18 ans s'est échappée in extremis de l'appartement où elle était torturée.

L'horreur, dans la ville de Saint-Herblain, en Loire-Atlantique. Une jeune femme de 18 ans, séquestrée sur le balcon d'un appartement situé au 9e étage d'un immeuble, a réussi à s'échapper en nouant un drap sur le balcon pour se réfugier chez sa voisine, qui a contacté les forces de l'ordre, selon des informations de France Bleu Loire-Océan.

La raison de cette fuite ? Les tortures et les coups de son compagnon, en situation irrégulière et déjà connu défavorablement des services de police. La jeune fille, en couple depuis dix mois avec cet homme, a notamment été frappée avec une tringle et un câble de branchement de fer à repasser, a eu la main plongée dans de l'huile bouillante et le crâne en partie rasé.

Le bourreau de la jeune femme est actuellement en garde à vue.

Source Source2

Nos remerciements à Victoria Valentini

Emeutes à Madrid suite à la mort d’un clandestin

Un lecteur nous demande de publier. Merci à lui.  

"Des squatters et gauchistes ultras ont brûlé des voitures et blessé 16 policiers pour protester contre les violences policières et la mort d'un clandestin voleur à la sauvette. Quartier: Lavapies, populaire et tout à fait central à Madrid.
La vérité?
Le clandestin s'est senti mal sur le seuil de son immeuble et le SAMU est intervenu pour le sauver peu après que des policiers sur place par hasard lui aient prodigué les premiers soins. Il est mort d'une crise cardiaque malgré l'intervention rapide et dévouée des services municipaux.
Le responsable madrilène de Podemos a twitté à propos de ce fait divers que "La démocratie a failli". Les services municipaux madrilènes concernés vont déposer plainte contre lui."

Source et vidéo en espagnol

Vaud: Un clandestin kosovar se marie avec une Péruvienne à l’aide sociale. La Cour cantonale régularise leur situation.

Les magistrats n’ont pas mis en doute la réalité des sentiments des tourtereaux, qui font ménage commun depuis 2016

L’homme, qui s’exprime en français, travaille et gagne 5500 fr. brut par mois. La future épouse, qui est dans l’attente d’une rente d’invalidité, perçoit de son côté près de 6000 fr., entre le RI, les pensions alimentaires et les allocations familiales. Elle dispose d’un grand appartement de cinq pièces et demie. 

La Cour cantonale vient dès lors de considérer qu’une autorisation de séjour devait être délivrée au Kosovar, dont l’activité professionnelle sera suivie. Reste aux tourtereaux à agender leur mariage.

Source et article complet

 

Le secours catholique milite pour les migrants musulmans: « Notre filleul s’appelle Ali Omar. »

Pour le plus grand plaisir de Tariq Ramadan...

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Dans le prolongement de son action menée sur le terrain par ses équipes bénévoles auprès des exilés, le Secours Catholique-Caritas France agit auprès des pouvoirs publics pour défendre le droit des personnes migrantes à vivre dignement sur le territoire français (Nd Christian Hofer: Nos frontières n'existent plus pour ces extrémistes.).

Membre de la Coordination française pour le droit d’asile (CFDA), il plaide pour un accueil décent des demandeurs d’asile qui, très souvent, sont contraints de dormir dehors ou de squatter, contrairement aux « devoirs en matière d’asile » incombant à l’administration française.

Il se mobilise aussi pour une révision au niveau européen des « accords de Dublin » qui obligent toute personne exilée à faire sa demande d’asile dans le premier pays de l’Union européenne où elle a posé le pied.

L’association prône enfin la reconnaissance au niveau international d’un droit à migrer, socle du respect de la dignité et de l’intégrité des personnes migrantes.

 

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Mathilde chante pour son père policier condamné à la prison à cause d’un clandestin violent

Son père, policier à Calais, a été condamné à 6 mois de prison ferme  pour avoir giflé un « migrant » violent qui essayait de lui donner un coup de tête.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/11/24/6-mois-de-prison-ferme-pour-le-policier-qui-escorte-un-type-en-situation-illegale-et-lui-met-une-baffe/

C’est la consternation et la révolte dans les rangs patriotes, et la peur. Parce que, en sus, le pauvre condamné va passer en Conseil de discipline et risque bien de se retrouver à la rue, comme Sébastien Jallamion. 

On ne plaisante pas avec le respect de l’islam et des clandestins, dans la police française.

Il a fait appel, il n’est pas en prison – pour le moment -, réponse le 11 décembre.

La fille aînée de ce policier ne reste pas les deux pieds dans le même sabot. Elle veut une pression populaire, que nous relayons ici, parce que, au travers de ce désastreux et scandaleux  verdict, c’est la police qu’on assassine, c’est la France qu’on assassin.

Elle a 15 ans, elle a lancé une pétition et a enregistré avec ses 3 frères et soeurs cet appel de Noël.

Nous répétons ici que les pétitions ne servent à rien, et encore moins des pétitions envoyées aux juges. Fort heureusement. Si les juges rendaient la justice en obéissant aux pressions populaires ce serait tout aussi catastrophique ce qui se passe actuellement, où ils obéissent aux politiques.

Cette pétition pourrait peut-être  par contre montrer aux politiques un sursaut citoyen… Si tant est qu’ils le prennent en compte, alors que leurs engagements politiques et idéologiques au service de Bruxelles, de l’OCI et de la libre circulation des biens et des personnes.

Mais envoyer des courriers est bien plus efficace.

Je vous engage à envoyer à Collomb, au Ministère de l’Intérieur, des milliers de lettres postales, de courriels…Cela, oui, pourrait peut-être jouer pour éviter la destitution du policier.

Ministère de l’Intérieur : 1 Place Beauvau, 75008 Paris

https://www.interieur.gouv.fr/Contact/Ecrire-au-ministre-de-l-Interieur

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France: Un clandestin algérien viole une femme de 81 ans. Il était « sous contrôle judiciaire ».

Le violeur de l'octogénaire était en situation irrégulière

Montauban (82)

En politique aguerrie, Brigitte Barèges, maire (LR) de Montauban est fortement montée au créneau, hier matin, sur les conséquences de l'actualité en matière de sécurité. Brigitte Barèges a appuyé son implacable réquisitoire contre l'Etat sur l'actualité (procès Merah à Paris, agressions mortelles à Marseille) et sur un terrible fait divers qui s'est déroulé, vendredi, dans le quartier Lalande.

Pour illustrer son propos, Brigitte Barèges a donc pris l'exemple d'un sordide fait divers, survenu vendredi dernier, dans une maison du quartier Lalande. Un ressortissant algérien, âgé de 38 ans, «en situation irrégulière et connu des services de police» s'est introduit au domicile de retraités et a commis une terrible agression sexuelle sur une dame de 81 ans, qui gardait le domicile d'une amie. Cette dernière était, au même moment, au commissariat de police pour dénoncer les provocations de l'agresseur qui avait tenté de lui dérober une voiture la veille.

Pris en flagrant délit, l'auteur est aujourd'hui sous les verrous, mis en examen «pour viol sur personne vulnérable». Evidemment choquée, l'octogénaire se remet doucement.

Brigitte Barèges a rapproché cette affaire de celle de Marseille, s'étonnant que le violeur de Lalande, sous le coup d'une procédure pour violence aggravée à Paris, n'ait pas fait l'objet d'une procédure d'expulsion de notre territoire. Il ne pouvait pas l'être : une personne sous contrôle judiciaire ne peut être expulsée avant son jugement…

Plus globalement, Brigitte Barèges a «profité» de ce fait divers pour dénoncer le fait que «Montauban soit le réceptacle des problèmes sociétaux» actuels, dénonçant le nombre «trop important» de mineurs isolés dans sa ville et regrettant une fois encore de ne pas avoir accès aux noms des fichés S pour radicalisation, séjournant dans sa ville. Elle souhaite que «les maires soient remis au cœur du dispositif au moment où l'Etat nous demande de plus en plus d'efforts pour sécuriser les manifestations publiques, ce qui est normal».

«Immigration clandestine»

Entouré de son adjoint en charge de la sécurité, Christian Pérez et du chef de la police municipale, Patrick Carballo, Brigitte Barèges n'a pas mâché ses mots : «à l'heure où l'on se rappelle que Montauban a payé un lourd tribut aux victimes du terrorisme, mon devoir est de dénoncer cette immigration clandestine qui ne fait qu'empirer».

Le maire de Montauban a enfourché, hier, sans surprise, les habits d'une élue très à droite : «L'État nous doit une transparence totale. On nous cache la vérité sur le nombre d'étrangers en situation irrégulière ou demandeurs d'asile sur notre sol». Et le maire de Montauban de dégainer quelques chiffres : «la part régionale des demandeurs d'asile est d'une place pour 1799 habitants. Elle est d'une place pour 1 250 habitants en Tarn-et-Garonne. A Montauban, nous comptons 114 places d'hébergement pour 58 000 habitants soit une place pour 508 habitants. Il faut arrêter ces flux».

Brigitte Barèges également affirmé son refus catégorique d'une implantation, à Montauban, d'une plate-forme des demandeurs d'asile : «Il faut une répartition équitable. Nous ne pouvons pas accueillir les personnes parce que Toulouse est débordée».

Brigitte Barèges s'est également attardée sur la question des mineurs isolés étrangers, révélant le contenu d'une lettre adressée, il y a quelques jours, au conseil départemental : «Nous n'avons pas les moyens de satisfaire cette immense attente de ce Noir Eldorado de ces enfants qui arrivent en masse sur le territoire français et espèrent tout».

Egalement dans le viseur de Brigitte Barèges, des mariages (trois exactement) que l'adjoint au maire soupçonne d'être «blancs» et qui n'ont donc pas été célébrés. Un réquisitoire complet, justifié ou opportuniste, chacun jugera…

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Nos remerciements à Victoria Valentini

France : l’aide médicale pour les clandestins va augmenter de 108 millions d’euros

C’est une augmentation qui n’a pas fait grand cas dans la presse. Selon le projet de loi de finances épluché par Capital, le budget de l’aide médicale d’État (AME) va s’accroître de 108 millions d’euros en 2018. Pour se justifier, Bercy avance l’obligation de « répondre à un objectif humanitaire et sanitaire ». L’AME, mise en place en 1999, permet la prise en charge médicale des personnes en situation irrégulière et résidant en France depuis plus de trois mois. En 2018, son budget s’élèvera donc à 910 millions d’euros, soit une augmentation de 13 % par rapport à l’année précédente.

Le gouvernement souligne toutefois « un renforcement de la politique de contrôle et de lutte contre la fraude », sans donner les détails de cette action d’encadrement. L’AME est souvent agitée comme un chiffon rouge, surtout à droite : pendant la dernière campagne présidentielle, Marine Le Pen souhaitait la supprimer, la qualifiant de « pompe aspirante de l’immigration », tandis que Nicolas Dupont-Aignan et François Fillon prévoyaient de la restreindre fortement.

Source : https://www.valeursactuelles.com/economie/laide-medicale-pour-les-clandestins-va-augmenter-de-108-millions-deuros-89226

Via CivilWarInEurope

Italie. Sicile: Un clandestin algérien s’amuse à torturer et à tuer les animaux errants

C'est l'histoire poignante de Nerina, chienne errante maltraitée, torturée et tuée par un immigré clandestin algérien, qui a causé sa douleur atroce et une hémorragie interne,

Le clandestin arrive à vélo, la chienne Nerina sociable le salue pleine de joie, à la recherche d'une caresse de la part de ces mains qui sont là pour la massacrer.

A la fin du film, qu'on ne peut pas visionner en raison de sa brutalité, la petite chienne s'échappe agonisante des griffes de son bourreau. Les faits remontent au mois d'octobre de l'année dernière.

Mais à présent, les habitants de la région se sont insurgés contre l'Algérien, qui, en dépit du fait d'avoir été immédiatement identifié comme étant l'auteur du crime, a continué à rester libre et à s'amuser en torturant d'autres animaux errants, comblant ainsi l'ennui découlant de son statut de clandestin en Italie.

 

 

Les habitants n'ont pas oublié ce gentil petit chiot et ont organisé en son honneur un rassemblement de protestation, qui se tiendra demain Victoria, le 16 septembre, à 15 heures, en face de la maison dans laquelle l'assassin loge sans autorisation, et ils demanderont son expulsion immédiate.

 "L'homme qui a brutalement tué, inutilement et par cruauté, la chienne errante est un clandestin violent, socialement dangereux et sans identité. Même si les faits ne sont pas récents, nous avons livré la vidéo inédite de la caméra de surveillance qui montre toute la dynamique de la tuerie. De plus, les citoyens sont exaspérés et préoccupés parce qu'il continue de harceler les animaux errants.

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Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini