Grande-Bretagne : La police du Devon et Cornwall publie une vidéo contre “la haine” où le seul coupable est un Blanc

La police de Devon et Cornwall a travaillé avec des étudiants de l'Université Falmouth pour sensibiliser les gens et aider à prévenir les crimes haineux. Une série de vidéos animées expliquant ce qu'est un crime haineux et comment le signaler ont été créées par les élèves.

Ce premier court-métrage s'intitule : "Apple". Il utilise l'animation pour montrer comment les gens peuvent faire l'objet de discrimination en raison de leur race, de leur religion ou de leur handicap. Le film a été produit par Jamie Alcantara, Erin Clarke, Naomi Benham, Jack French, Hamish Campbell et Rory Free - tous étudiants à l'Université de Falmouth - en collaboration avec divers officiers.

 

https://youtu.be/HrMojG5_LIw

 

Cette animation d'une minute s'inscrit dans le cadre de la campagne britannique "Tolérance zéro aux crimes haineux", qui pousse des hommes blancs à harceler et agresser continuellement les musulmans, les Noirs, etc.

 

 

 

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Devon.gov.uk

 

Rappels :

Rochdale (Royaume-Uni): jugés pour avoir attaqué 4 ouvriers, qualifiés de « bâtards blancs »

Grande-Bretagne : Telford, des centaines de jeunes mineures battues, violées, vendues et parfois tuées par des gangs ethniques depuis 40 ans

Grande-Bretagne: l’Etat islamique menace les Blancs de Manchester dans une affiche de propagande « Nous allons tenir nos promesses »

Grande-Bretagne: Les enseignants fustigent les parents «racistes» qui refusent l’enseignement de l’islam pour leurs enfants

Gilets jaunes : Sous les ordres de Macron, la police française viole les règles de sécurité

Reportage du journal Le Monde, pourtant un média de gauche, qui démontre l'extrême gravité des actions policières françaises : tirs en pleine tête sur des manifestants ne représentant aucun danger, violences disproportionnées, grenades de désencerclement lancées en violation des règles d'usage, non assistance à personnes blessées, mépris des manifestants...

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Grâce à l’analyse de centaines d’images, la modélisation 3D des lieux et une quinzaine d’interviews, « Le Monde » raconte le drame vécu par Olivier Beziade, le 12 janvier.

 

 

Le 12 janvier 2019, à Bordeaux, après une charge de la police, le manifestant « gilet jaune » Olivier Beziade est gravement blessé à la tête. Plongé dans le coma artificiel par les pompiers, puis immobilisé par 90 jours d’ITT, il souffre toujours d’hémiplégie.

Lemonde.fr

 

Essen (All.) : La police se plaint du manque de respect “Parmi ceux qui nous insultent, les jeunes migrants sont particulièrement nombreux.”

Urlich Faßbender, porte-parole de la police d'Essen, se plaint du manque de respect pour la police. Les secouristes, les pompiers et les journalistes sont également touchés par ce phénomène. "C'est un processus rampant, un problème pour la société dans son ensemble, qui s'est développé ces dernières années.

Les femmes policières sont souvent insultées

La police est de plus en plus souvent confrontée à des invectives du genre "fils de pute, tu n'as rien à me dire". Et ce sont encore les moins pires.

Les insultes sexistes ne sont pas rares, surtout à l'égard des femmes policières, car le respect n'est souvent plus présent [NDLR : Accueillir au nom du multiculturalisme des individus issus de cultures ultra-patriarcales, souvent de religion musulmane, ne gêne aucunement cette gauche qui prétend défendre les femmes, l'hypocrisie habituelle que l'on a déjà pu constater à Lausanne.].

[...]

Auparavant, il y avait moins d'agressions contre les policiers

Ces insultes et ces altercations physiques ne surviennent pas toujours lors d'un conflit déjà existant. Souvent, cela se déroule lors d'un "engagement assez banal, par exemple lorsqu'on enregistre un accident", qui dégénère par la suite.

Urlich Faßbender déclare que parmi les individus qui insultent les policiers, les jeunes hommes issus de l'immigration sont particulièrement nombreux - contrairement à ce qui se passait autrefois où la plupart des individus [responsables de ces actes] étaient encore sous l'influence de l'alcool

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Derwesten.de

 

 

USA : un Noir n’est pas davantage en danger face à un policier blanc, selon une étude

Les policiers américains blancs ne sont pas plus susceptibles d'abattre des personnes noires ou hispaniques que leurs collègues issus des minorités, selon une nouvelle étude.

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«Nous n'avons trouvé aucune relation entre la couleur du policier et celle de la personne tuée»

Mais après différents calculs, «nous n'avons trouvé aucune relation entre la couleur du policier et celle de la personne tuée», résume Joseph Cesario. Les chercheurs ont alors cherché quel autre facteur augmentait la probabilité d'être tué par un policier et ils ont trouvé que «le taux de criminalité local de chaque groupe ethnique» était déterminant.

«En d'autres termes, dans un comté où les Blancs commettent beaucoup de crimes violents, les Blancs ont plus de chances d'être abattus par des policiers», et de même pour les Noirs ou les Hispaniques, explique le chercheur. «Cela semble suggérer qu'au niveau national, le fait qu'il y ait une plus grande proportion de Noirs tués par des policiers que leur part dans la population ne vient pas de préjugés des policiers, mais des personnes avec lesquelles ils entrent en contact», ajoute-t-il.

Pour autant, les universitaires insistent: leurs conclusions «ne peuvent pas incriminer ou exonérer des agents dans des dossiers spécifiques». Selon eux, augmenter la diversité dans le recrutement des agents peut présenter des avantages, notamment en terme de confiance de la population envers les forces de l'ordre, mais ne permettra pas de diminuer la proportion des Noirs qui meurent sous les balles policières.

Le Figaro

France. «Wallah on baise les condés» : une vidéo de jeunes insultant des policiers fait le tour du web

Une association policière dénonce les violences commises contre les membres des forces de l'ordre et oppose aux revendications «anti-flics» le calme olympien d'un équipage policier copieusement insulté lors d'un contrôle, vidéo virale à l'appui.

Ce 17 octobre, l'association policière Mobilisation des policiers en colère (MPC) a décidé de publier sur ses pages Facebook et Twitter une vidéo non-datée tournée en pleine nuit lors d'un contrôle policier à Champigny-sur-Marne dans le quartier sensible des Boullereaux.

A l'image, on peut voir des jeunes qui insultent les policiers dans l'exercice de leurs fonctions alors qu'ils procèdent manifestement à un contrôle routier. L'individu qui filme les membres des forces de l'ordre les invective : «Voici une salope, sale pute, retourne-toi si tu es un homme, espèce de pute, montre un peu ta tête si tu es un homme, pétasse, sale pute.»

Un autre individu lève son majeur et proclame devant le contingent policier : «Nous, on nique les condés», puis : «Wallah on dirait un éducateur, wallah. Nous, on baise les condés.» S'ensuivent des ricanements et cette légende symptomatique à l'écran : «Boullereaux Champigny 94, ici les conder y fond pas les fou [sic]».

 

 

Dans une publication Facebook, l'association policière assume son intention de publier la vidéo et explique : «Ces jeunes ne sont ni harcelés, ni humiliés, ni contrôlés au faciès. Ces jeunes ne sont pas des victimes. Seulement cette fois leur publication peut être rendue publique, seulement cette fois nous espérons qu’ils assumeront, et que le peuple nous comprendra.»

MPC interpelle les internautes et propose : «Regardez cette vidéo, et mettez-vous une seconde à leur place. Ce n’est pas un cas isolé sachez-le… C’est ça tous les jours. [...] Nous sommes filmés à la moindre interpellation, même quand elle se passe bien, nous sommes accusés d’agression.»

Et de déplorer : «Nous voyons pulluler sur des pages anti-flics, antifa, anti-système [...] que les policiers ne se maîtrisent pas. Qu’ils sont des cow-boys, des gens sans sentiment et sans maîtrise de soi.»

En guise de conclusion, l'association de policiers en colère rappelle : «Nous sommes le dernier rempart, celui qui sépare le mal du bien, la malhonnêteté de la justice, l’ordurerie du respect. Nous œuvrons pour la sécurité de tous, mais sans moyen, sans soutien, jetés en pâture à la vermine délinquante.»

RT 

Dans la police judiciaire de Seine-St-Denis, les musulmans décident de bannir la viande de porc et interdisent aux femmes de préparer les grillades

En Seine-Saint-Denis, les musulmans décident qui prépare les grillades lors des barbecues de la police judiciaire et avec quelle viande.

 

 

 

Via Fdesouche.com

La police britannique présente un nouvel uniforme féminin compatible avec les normes de l’islam

Un nouvel uniforme de police a été mis au point spécifiquement pour les femmes musulmanes dans le but de recruter davantage d’agents des minorités ethniques et noires.

La police du West Yorkshire possède un uniforme "plus modeste" pour ses agents musulmans féminins. L’uniforme est ample, «conçu pour ne pas montrer de forme féminine» avec une tunique plus souple dans l’espoir de recruter davantage de femmes appartenant à des minorités ethniques.

 

Dans une déclaration concernant le nouvel uniforme, ils ont déclaré être ouverts aux suggestions de «toutes les communautés» sur les styles d'uniformes. Le hijab ou foulard fait déjà partie des policières musulmanes du Royaume-Uni, mais il s’agit du premier design du genre.

Selon le chef de la police, Dee Collins, des préoccupations concernant la conception de l’uniforme existant pourraient empêcher certaines femmes de s’inscrire. On espère que le nouvel uniforme contribuera à améliorer le nombre de recrues ethniques noires et minoritaires (BAME).

Mlle Collins a montré le nouvel uniforme au Conseil des femmes musulmanes à Bradford qui l'a accueilli posiviement. «Je suis absolument déterminée à continuer d’améliorer ces chiffres», a-t-elle déclaré. "Nous avons absolument besoin de le faire."

Angela Williams, chef de la police adjointe, a déclaré: «Le mois dernier, nous avons testé un nouvel uniforme pour femmes, conçu pour ne pas montrer les formes féminines.

«Ceci a été suggéré par un agent féminin musulman et a été conçu par notre responsable du vêtement en collaboration avec l’officier.

«La tunique est un ajustement plus souple et plus long, avec des manches complètes. Cela a été bien reçu par les officiers de la force et nous avons fait des livraisons supplémentaires de cet uniforme pour que d’autres officiers puissent le tester s’ils le souhaitent.

«J'espère que cet uniforme encouragera les gens des groupes sous-représentés à envisager une carrière dans les services de police (...)"

Voice Of Europe / DailyMail.co / Metro.co.uk

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappels :

Une Anglaise blanche emprisonnée par un gang de violeurs musulmans pendant 12 ans et contrainte à 8 avortements

Grande-Bretagne: la police interdisait aux victimes de mentionner l’origine pakistanaise des violeurs

Grande-Bretagne. Filles blanches violées par des gangs ethniques: Le 20 Minutes refuse de mentionner l’origine des coupables!

Grande-Bretagne: Scandale des viols collectifs de Telford par des gangs pakistanais « Le silence honteux de la télévision publique pour le bien de la diversité »

Grande-Bretagne : Telford, des centaines de jeunes mineures battues, violées, vendues et parfois tuées par des gangs ethniques depuis 40 ans

Grande-Bretagne. Une députée forcée de démissionner pour avoir dénoncé les Pakistanais coupables de viols sur des filles blanches.

 

 

 

 

Allemagne : des policiers agressés par des migrants lors de l’arrestation d’un Libyen pour agression sexuelle (Vidéo)

Mise à jour du 24 août, 13h17 : le journal Die Welt reprend l'information et on peut enfin cerner le lieu de la séquence. Mais au lieu d'incriminer clairement cette immigration, le texte pointe plutôt du doigt le manque de professionnalisme des policiers. Or il n'y avait pas besoin de cela pour faire face à la population allemande par le passé.

 

Deux policiers à Plauen, en Saxe, filmés par des téléphones portables par plusieurs jeunes hommes, dont certains parlent également arabe, et qui ne suivent pas les instructions de la police qui tente de les arrêter.

Il est clairement visible dans le comportement des auteurs que dès le début, ils n'éprouvent aucun respect pour la police et ne prennent pas les instructions des 2 agents au sérieux (...).

Deux fonctionnaires ont d'abord cherché le Libyen en vain chez lui. Ensuite, l'accusé a finalement été arrêté et arrêté sur la place de la Poste à Plauen, un lieu de rencontre très fréquenté du centre-ville.

Le jeune Libyen était accusé de tentative d'agression sexuelle.

Les membres du gouvernement de l'Etat saxon n'ont jusqu'à présent pas commenté l'incident. La vidéo a jusqu'à présent été commentée plus de 1000 fois et partagée plus de 6000 fois.

Alors que la vidéo fait le buzz sur Internet, la situation à Plauen s'est calmée. Le Libyen a été présenté au juge jeudi. Selon la police, les hommes qui ont entravé l'opération et ont attaqué la police sont un Macédonien de 38 ans, un Libyen de 21 ans et un Croate de 16 ans.

Die Welt

 

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Malheureusement aucune date ni lieu ne sont liés à cette séquence mais le rapport de force (en plein jour) démontre ce qui se passe désormais en Europe.

Lorsque le policier allemand se dirige vers l'individu qui filme. Il lui demande ses papiers. Ce dernier lui répond qu'il n'en a pas.

La situation dégénère lorsque le policier saisit le téléphone portable. L'individu qui avait été appréhendé et placé dans la voiture en profite pour en sortir.

 

 

 

Ce sont ces "robocops" qui sont censés nous protéger alors qu'ils sont incapables de le faire pour eux-.mêmes.

 

Rappels :

Barbara John (CDU) aux Allemands : N’ayez pas peur de devenir une minorité !

Irak : des policiers allemands ont « libéré » secrètement d’une prison, deux djihadistes allemandes de Daesh

Allemagne : un Turc agresse verbalement une famille « Tu es un Allemand de merde et tu resteras un Allemand de merde. » (Vidéo)

Allemagne : meurtre d’un médecin par un migrant somalien – La télé publique ARD se tait, l’AfD manifeste

Allemagne. Rosenheim : Une jeune femme violée en rentrant chez elle par 2 demandeurs d’asile somaliens

Une ex-esclave yézidie fuit l’Allemagne après y avoir revu son bourreau de l’Etat islamique, devenu également réfugié (Vidéo)

Allemagne : Une famille syrienne reçoit 5239 euros de prestations chaque mois, un bel appartement de 220 mètres carrés à la clé.

Allemagne. Unna : violente rixe entre migrants. Un témoin déclare : « C’était la guerre. Unna a perdu son innocence ! » La police a dissimulé la vérité.

Allemagne : Une femme de ménage condamnée à 1’650 euros d’amende pour avoir critiqué les réfugiés sur Facebook

France : Les forces de l’ordre sont “au bord de la rupture”, selon un rapport sénatorial

Selon le rapport, policiers et gendarmes travaillent avec des "moyens nettement insuffisants". Il recense 21,82 millions d'heures supplémentaires non récupérées et non indemnisées.

Policiers et gendarmes sont "au bord de la rupture" et travaillent avec des "moyens nettement insuffisants", affirme mardi au Figaro le sénateur François Grosdidier (LR), rapporteur d'une commission d'enquête sur "l'état de la sécurité intérieure". Le rapport sénatorial, cité par Le Figaro, décrit notamment des rythmes de travail "pénibles et déstructurants" : "Avec les cycles de travail actuels, un policier passe un week-end sur quatre ou sur cinq en famille".

Un taux de suicide supérieur à la moyenne nationale. Le taux de suicide dans la police - de 36% supérieur à la moyenne nationale - a été à l'origine de la création de cette commission, dont le président, le sénateur PS Michel Boutant, évoque "un épuisement moral, en particulier dans la police, qui présente un esprit de corps moins soudé que les gendarmes, protégés par leur statut militaire". Sur le plan matériel, le rapport pointe des "locaux délabrés et indignes de l'accueil du public" ou encore le "vieillissement du parc automobile des deux forces".

21,8 millions d'heures supplémentaires non récupérées ou non indemnisées.Il recense 21,82 millions d'heures supplémentaires non récupérées et non indemnisées, "un niveau jamais atteint à ce jour", "conséquence directe de l'augmentation importante de l'activité opérationnelle des services", en lien notamment avec la menace terroriste. La lourdeur de la procédure judiciaire et le temps qui lui est consacré sont mis en cause par la commission d'enquête qui déplore que "certaines mesures de simplification, pourtant adoptées par le législateur depuis un certain temps, ne (soient) toujours pas entrées en application".

"L'Etat doit investir dans le régalien". "Nous sommes vraiment au bord de la rupture. Policiers et gendarmes travaillent avec des moyens très nettement insuffisants", insiste le rapporteur François Grosdidier dans Le Figaro. Selon lui, "l'Etat doit réinvestir dans le régalien" car "des forces de l'ordre modernes ne peuvent pas accepter un parc immobilier qui est par endroits une honte et des véhicules vieillissants". La commission propose une loi de programmation sur cinq ans, "avec notamment un crédit de 400 millions d'euros en faveur de l'immobilier dans la police nationale", précise François Grosdidier.

Source

“Lutte contre les commentaires haineux sur Internet” : La police perquisitionne des logements dans toute l’Allemagne

Jeudi, pour lutter contre les commentaires haineux sur Internet, la police a perquisitionné des appartements dans dix États fédéraux et a notamment saisi des ordinateurs.

La «journée d'action pour lutter contre les commentaires haineux» a été coordonnée par l'Office fédéral de police criminelle (BKA). 20 postes de police de Berlin, de Bavière, de Brandebourg, de Hesse, de Brême, de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, de Saxe, de Schleswig-Holstein, de Saxe-Anhalt et de Thuringe ont participé, comme l'a annoncé le BKA.

La police localise 29 suspects

Les 29 individus sont accusés, entre autres, d'avoir publié sur Internet des propos haineux punissables tels que des propos antisémites ou des propos xénophobes. En outre, ils sont soupçonnés d'avoir publiquement appelé à commettre des crimes.

Avec ce troisième jour d'action contre les messages haineux, les enquêteurs veulent souligner qu'Internet n'est pas une zone de non droit. L'incitation à la haine sur les réseaux sociaux ou dans les forums peut être punie d'une peine d'emprisonnement allant jusqu'à cinq ans. L'Office fédéral de police criminelle appelle à signaler la provocation et la haine sur Internet à la police.

 

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Devoir de précaution

 

Rappels:

Allemagne : Des députés de gauche perturbent la minute de silence pour une jeune fille de 14 ans assassinée par un migrant (vidéo)

Allemagne. Le meurtre de Susanna par un immigrant : de la presse du système à Merkel, tous coupables 

Allemagne. Göttingen : des migrants attaquent la police à coups de planches (Vidéo)

Allemagne. Susanna Feldman violée et tuée : le demandeur d’asile irakien a été arrêté. Il était déjà connu pour divers actes de délinquance.

Allemagne : 46 islamistes ont pu rester dans le pays grâce à l’office fédéral des migrations et des réfugiés

Chanteloup-les-Vignes : les policiers pris dans un guet-apens par une soixantaine de “jeunes” « qui voulaient en découdre »

Ils ont été pris pour cible à plusieurs reprises par une soixantaine de jeunes.

Nuit agitée dans la cité de la Noé à Chanteloup-les-Vignes. Durant la nuit de mardi à mercredi, les policiers ont été pris pour cible à plusieurs reprises par des jeunes du quartier qui voulaient en découdre. Peu après minuit, alors que les fonctionnaires intervenaient en compagnie des pompiers pour un feu de poubelles, une soixantaine de jeunes gens ont chargé en direction des forces de l’ordre qui ont essuyé une pluie de projectiles.

Les policiers ont dû utiliser leur armement de défense pour disperser les assaillants. Ces derniers se sont regroupés plus loin. Ils ont alors confectionné des barrages au milieu de la chaussée à l’aide d’ordures ménagères, de détritus et de poubelles. (…) Deux boules de pétanque et plusieurs pierres de ballast SNCF, jetées sur les policiers, ont été conservées pour les besoins de l’enquête.

Via Le Parisien Via Suavelos

Zurich: L’UDC exige la nationalité des auteurs de délits

Rappelons que c'est un individu de gauche qui a pris cette décision, d'où la victimisation des délinquants.

Bien entendu, les Suisses ne pourraient jamais invoquer la pauvreté ou le manque d'éducation selon le même schéma gauchiste.

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L'UDC du canton de Zurich a déposé mercredi une initiative exigeant que les polices du canton précisent dans leurs communiqués la nationalité des auteurs présumés de délits. La ville de Zurich renonce à cette précision depuis novembre dernier.

Pour l'UDC, la décision de la ville de Zurich de ne plus donner la nationalité des auteurs présumés de délits et des victimes est de la "censure". C'est pourquoi la section cantonale a lancé une initiative. Elle a récolté 9500 signatures (6000 étaient nécessaires).

Le texte exige que la loi cantonale sur la police stipule expressément que la police informe avec transparence sur les délits. Dans les communiqués et pendant les conférences de presse, la nationalité, l'âge et le sexe des auteurs présumés de délits et des victimes devront être précisés. En cas de demande, il faudra aussi dire si l'auteur ou la victime sont issus de la migration.

Intérêt public

Il existe un véritable intérêt public à connaître la nationalité, souligne l'UDC dans un communiqué. Si l'initiative est acceptée, la ville de Zurich "devra corriger sa pratique de désinformation".

Depuis novembre 2017, la police de la ville de Zurich ne précise la nationalité des auteurs présumés de délits que sur demande. Le responsable de la police Richard Wolff a mis en pratique un postulat du PS et des Vert'libéraux adopté en 2015.

"Préciser la nationalité ne sert la transparence qu'en apparence", avait alors indiqué le département de la sécurité de la ville de Zurich. Ca laisse suggérer que l'origine du délinquant ou du criminel explique l'acte tout en cachant les causes exactes, qui sont notamment la pauvreté, un bas niveau d'éducation et la consommation de drogues.

(...)

Source

Nos remerciements à Info

 

Rappels:

Zurich: Pour la Présidente de l’Eglise catholique romaine qui est favorable à l’islam « un bon chrétien ne peut pas voter UDC »

Zurich: le PS contourne la décision du peuple et continue à financer les « réfugiés admis provisoirement ».

Zurich : un groupe de jeunes Suisses agressés à coups de tesson de bouteille par une quinzaine d’Afghans

Zurich: Des policiers attaqués à coup de barres de fer par des extrémistes de gauche

Zurich: Un musulman se prénommant «Jihad» souhaite être naturalisé.

Marseille: 50 individus obligent un véhicule de police à quitter le quartier. “Ce sont des faits au quotidien. Les gens sont abandonnés.” (Vidéo)

50 individus obligent un véhicule de police à quitter le quartier : il est grand temps que les policiers reçoivent les ordres de réagir face à cette racaille !

 

 

 

Commando à Marseille: “On n’avait aucune chance”, assure un policier qui est intervenu

DOCUMENT BFMTV - L’un des agents des forces de l’ordre qui ont poursuivi les malfaiteurs de la cité de la Busserine raconte son expérience. Il évoque la peur et le caractère inhabituel de cette intervention.

Berne. Centre d’extrême gauche de la Reitschule: Encagoulés, ils caillassent une voiture de police

La Reitschule étant un point d'appui de l'extrême gauche comme on peut le lire ici.

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Une patrouille roulait vers 2 heures sur la Neubrückstrasse lorsque, à hauteur du centre culturel de la Reitschule, elle a soudainement été prise pour cible par plusieurs individus cagoulés, lit-on dimanche dans un communiqué.

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Nos remerciements à Christelle B.

EXCLUSIF. France: Les noms de 2 626 agents du renseignement aux mains d’une radicalisée

Des fichiers sensibles ont été trouvés sur la clé USB d'une jeune femme, actuellement entendue dans l'enquête sur l'attentat djihadiste de Magnanville.

L'information est connue des autorités depuis un an mais était traitée avec la plus stricte confidentialité. En avril 2017, une jeune femme, Mina B., fichée S, est entendue dans le cadre d'une enquête judiciaire portant sur ses liens avec la mouvance radicale. Lors de son audition, Mina s'épanche. La police va alors découvrir des informations si sensibles qu'elles feront l'objet d'une seconde enquête préliminaire…

Interrogée par les policiers, la jeune femme, placée depuis en détention provisoire, reconnaît en effet avoir aidé financièrement et hébergé en septembre 2016 Sana O., une connaissance. Cette dernière, très radicalisée, est privée de son passeport après avoir tenté à deux reprises de rejoindre la Syrie. Selon nos informations, Mina B. aurait participé aux projets de son amie en l'accompagnant au moins une fois à la gare.

Des contacts avec des djihadistes

Les policiers vont perquisitionner son domicile et y découvrir un téléphone portable, dont Mina B. se servait pour effectuer des recherches sur un terroriste belge de la cellule de Verviers, aujourd'hui démantelée. Cette cellule, qui projetait des attentats contre des policiers et des commissariats, avait été visée par un coup de filet antiterroriste le 15 janvier 2015, une semaine après l'attentat contre Charlie Hebdo.

Deux djihadistes avaient été tués lors de l'opération, un troisième blessé. Un quatrième homme, considéré comme le cerveau de la cellule, avait pris la fuite et quitté le pays. Son nom est devenu tristement célèbre : il s'agit d'Abdelhamid Abaaoud, coordinateur des attentats du 13 novembre 2015 à Paris, et mort dans l'assaut de Saint-Denis cinq jours plus tard.

Clé USB

Les enquêteurs vont poursuivre leurs recherches et trouver sur l'ordinateur de Mina B. un certain nombre de photographies et de discussions sous pseudonyme, montrant que la jeune femme est en contact avec plusieurs djihadistes sur zone. Surtout, ils vont mettre la main sur une clé USB remplie de documents et fichiers de police sensibles, comprenant notamment une liste… de 2 626 agents du renseignement.

Cette liste, que Mina avait pris le soin d'effacer, date de 2008. Elle correspond à des policiers affectés à la Direction de la surveillance du territoire (DST) et aux Renseignements généraux (RG), au moment de la création de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), qui a fusionné en partie les deux entités. Cette direction a été remplacée en 2014 par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). De très nombreux policiers de l'époque présents sur la liste sont toujours en fonction. D'autres ont quitté le renseignement. D'autres enfin ont rejoint la DGSI et ne figurent donc pas sur cette liste.

Rebondissement

La découverte de ce document va conduire le parquet de Paris à ouvrir une seconde enquête préliminaire, et à mettre Mina B. en examen en octobre 2017. Avec cette principale question, terrifiante à l'heure où des policiers sont pris pour cible : comment Mina B. s'est-elle procuré ces fichiers ? La réponse pourrait bien être connue dans les prochaines heures.

Car ce lundi 9 avril 2018 s'est produit un incroyable rebondissement. La jeune femme a été extraite de sa cellule de Fresnes pour être interrogée par la sous-direction antiterroriste (Sdat) sous le régime de la garde à vue, dans le cadre de l'enquête ouverte sur l'attentat de Magnanville. En juin 2016, un policier Jean-Baptiste Salvaing et sa compagne Jessica Schneider ont été assassinés dans leur propre maison par Larossi Aballa.

Une policière des Yvelines entendue

Cinq autres personnes sont actuellement entendues par la Sdat, dont une policière, ancienne déléguée départementale du syndicat Alliance dans les Yvelines. Selon L'Express, Mina était une amie de la fille de la policière et aurait été hébergée à leur domicile, courant 2016. Le magazine ajoute : « Mina fait partie des suspects entendus par les policiers de la Sdat, au même titre que son frère, décrit comme un proche de Larossi Aballa. »

La jeune femme a-t-elle profité de son incursion dans l'entourage de la policière pour obtenir cette liste confidentielle d'agents du renseignement ? Le parquet ne souhaite pas commenter ces informations. En 2016, la fonctionnaire avait déjà fait l'objet d'une enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) pour avoir hébergé Mina, fichée S. Mais les investigations, précise L'Express, avaient conclu à l'absence d'infractions.

Source

Vaud: Toujours plus malmenés, les agents disent leur colère

Les fonctionnaires des forces de l’ordre sont de plus en plus victimes de menaces ou de violences. Une tendance nationale.

«C’est très difficile d’expliquer cette augmentation, mais on peut toutefois cibler deux points, avance Jean-Christophe Sauterel, responsable prévention et communication à la police cantonale. Premièrement, c’est un phénomène lié à une modification de la société: les individus ont de moins en moins de respect pour eux-mêmes, pour autrui et pour les autorités. Ensuite, il y a une volonté des policiers de dénoncer plus systématiquement les cas de violence ou de menaces.» Cependant, l’augmentation mesurée dans le canton de Vaud correspondrait à un phénomène réel et ne serait pas que statistique. «Ce n’est pas uniquement lié à des dénonciations à la hausse, affirme Jean-Christophe Sauterel. On est de plus en plus souvent amené à fournir des avocats à nos collaborateurs dans des procédures où ils sont les victimes.»

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France: La police tente d’identifier les islamistes dans ses rangs. Le syndicat de police crie à l’amalgame.

(…) Le 16 janvier, les services de renseignement ont peut-être déjoué le premier attentat de l’année 2018. L’homme de 23 ans arrêté ce jour-là à Bagnols-sur-Cèze (Gard) a prêté allégeance au groupe Etat islamique (EI) dans une vidéo tournée, à l’automne dernier, devant un drapeau noir. Sur Internet, il aurait manifesté sa volonté d’acheter d’une arme. Chez lui, « des produits pouvant servir à la confection d’explosifs » ont été découverts.

Le suspect est inconnu des services de police. Pas de la gendarmerie. Et pour cause : c’est un ancien gendarme adjoint volontaire, l’un de ces contractuels recrutés pour une période de deux à cinq ans. A la caserne de la Bachellerie à Tulle (Corrèze), il a suivi une formation de neuf semaines dont l’une des priorités affichées est « la connaissance des armes de dotation ». Il aurait servi pendant quelques mois dans une unité territoriale du Sud- Est, au deuxième semestre de 2017, avant de démissionner.

(…) Ces scénarios ne relèvent pas de la pure fiction. En juin 2017, une équipe de la direction générale de la Sécurité intérieure fait irruption au commissariat du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) pour arrêter le gardien de la paix Mamadou N. Ce quadragénaire bien noté par ses chefs est accusé d’avoir aidé son frère cadet à monter une escroquerie sur le Dark Web, la face cachée d’Internet, pour financer l’un des émirs français de l’EI en Syrie. Sur les réseaux sociaux, planqué derrière des pseudos, il relaie la propagande de Daech. Un an plus tôt, il s’est même réjoui de l’assassinat d’un couple de fonctionnaires de police des Yvelines. Ses collègues tombent de haut. Mamadou? Un « pote », « le type sur qui tu peux compter ». « Très croyant », oui, mais pas prosélyte pour un sou. Mamadou N. a été révoqué et mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

En mars 2017, c’est une exgendarme adjointe volontaire, radicalisée elle aussi, qui est jugée à Paris pour le même motif. En poste au peloton autoroutier de Saint-Maximin (Var), Ahlam El Haddad, impliquée dans une filière de recrutement djihadiste, a consulté des fichiers administratifs et judiciaires. Elle rêvait de partir en Syrie où elle « voulait combattre ». La jeune femme a été condamnée à cinq ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis et mise à l’épreuve.

(…) Sur le terrain, l’application des principes édictés en haut lieu n’est pas toujours simple. « On se sent parfois bien seul », soupire un commissaire en poste dans une banlieue parisienne. Voici quelque temps, l’un de ses policiers demande sa mise en disponibilité. Accordée. Quelques mois plus tard, il souhaite réintégrer son service. Dans l’intervalle, le flic fêtard amateur de bars et de boîtes de nuit s’est métamorphosé en pieux musulman dont le front porte la marque de la prière. « Je n’ai trouvé personne auprès de qui exprimer mes doutes et mes réticences », regrette son supérieur. L’homme, lui, a repris son poste.

Ce genre d’histoire fait bondir Sofiane Achatib, responsable du pôle juridique du syndicat Unsa Police, qui met en garde contre les « amalgames ». « Le principe de précaution ne doit pas conduire à montrer du doigt des gens qui pratiquent leur foi, tranche-t-il. Ou alors, il faudra se demander si à l’avenir, en France, on peut encore être flic et musulman. »

Pourtant, parmi ses collègues, beaucoup sont plutôt enclins à regretter la frilosité de la maison police, qu’ils soupçonnent de minimiser les faits, parfois, pour ne pas être taxée de discrimination. Comme dans cette compagnie de sécurisation et d’intervention de la région parisienne, où un gardien de la paix a été mis à pied pour propos radicaux et retards répétés imputables à sa pratique religieuse. Une enquête administrative plus tard, il a été réintégré au sein du même service.

Un autre gardien de la paix, adepte d’un islam rigoureux, a retrouvé son poste dans un commissariat de banlieue, lui aussi, malgré les lourds soupçons pesant sur lui. Alors que son frère vient d’être interpellé et sa voiture saisie, il arrive sur les lieux et tente de récupérer le véhicule en brandissant sa carte professionnelle. Le fonctionnaire de service ce soir-là, intrigué par son insistance, inspecte l’auto, dans laquelle il trouve un drapeau de Daech. Selon l’enquête interne, le gardien, qui travaille de nuit, a passé de longues heures à consulter les fichiers de police, avec différentes variantes orthographiques des mêmes patronymes, assortis de diverses dates de naissance. « Peut-être voulait-il tester de fausses identités », avance l’un de ses collègues. En prime, les deux frères ont cassé les puces de leurs téléphones, rendant leurs communications inexploitables. Néanmoins, ni les services de renseignement ni la police des polices n’ont jugé l’affaire suffisamment grave pour muter le policier dans un autre service. Ou lui retirer son arme.

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Suisse : la police bâtit des ponts entre les communautés pour prévenir les conflits et la radicalisation islamique.

Manque de respect et surtout de confiance: l'interaction entre la police et les communautés culturelles n'est pas toujours aisée. Pour y remédier, de plus en plus de polices misent sur des "bâtisseurs de ponts", des agents spécialistes du contact avec les minorités.

Le cas est édifiant: une migrante turque violentée par son mari avait peur de s'adresser à la police, pensant que celle-ci, comme souvent dans son pays d'origine, donnerait raison à l'homme. La policière de l'intervention a dû lui expliquer comment travaillent les forces de l'ordre helvétique pour la rassurer.

Cet exemple provient d'un travail de master consacré aux "bâtisseurs de ponts", rendu cet automne à la Haute école des sciences appliquées de Zurich (ZHAW). Il illustre la nécessité d'expliquer le travail de la police à la population interculturelle grandissante.

Zurich pionnière en Suisse

Une des premières polices à avoir reconnu ce besoin en Suisse est la police cantonale zurichoise. Elle a fondé son service de bâtisseurs de ponts il y a tout juste dix ans.

Une des dernières en date est la police de Winterthour (ZH), qui a créé un poste de bâtisseur de pont il y a une année. La démarche s'inscrit dans l'effort de la ville de prévenir la radicalisation islamiste. Elle avait fait les titres après le départ de plusieurs jeunes pour rejoindre les rangs de l'Etat islamique (EI).

D'autres polices comptent des bâtisseurs de ponts, mais pas toujours sous ce titre. A Lausanne par exemple, ils agissent sous l'égide du "Projet Multiculturalité".

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Source

Rappel:

Pour le socialiste Alain Berset « renforcer les minorités, c’est renforcer le pays »