En février 2020, l'ECLJ a publié un rapport démontrant des conflits d'intérêts entre certains juges de la Cour européenne des droits de l'homme et des ONG. Depuis, des réformes ont commencé et des recommandations de l'ECLJ sont à présent en vigueur.
L’ECLJ est une organisation internationale non gouvernementale fondée en 1998 et dédiée à la promotion et la protection des droits de l’homme en Europe et dans le monde.
L’ECLJ est titulaire du statut consultatif spécial auprès des Nations Unies / ECOSOC depuis 2007. L’ECLJ agit dans les domaines judiciaires, législatifs et culturels et défend en particulier le droit à la liberté religieuse, la vie et la dignité des personnes devant la Cour européenne des droits de l’homme et à travers les autres mécanismes offerts par les Nations-Unies, le Conseil de l’Europe, le Parlement européen et l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
L'ECLJ fonde son action sur « les valeurs spirituelles et morales qui sont le patrimoine commun des peuples européens et la véritable source de la liberté individuelle, de la liberté politique et de la prééminence du droit, principes qui sont à la base de toute démocratie véritable » (Préambule du Statut du Conseil de l'Europe).
Albert Coroz: En 2018, le rapport estimait que 143 millions de personnes devraient se déplacer vers le Nord à cause du changement climatique. En trois ans, la Banque Mondiale, qui publie ce genre d'alarme, a revu ses prévisions à la hausse de 50%.
Les forces mondialistes, comme la Banque mondiale (que nous finançons), sous le couvert des "objectifs du Plan climat" et du "développement durable", veulent traire une fois de plus la vieille vache laitière usée.
Selon une saine logique, ces ONG devraient forcer les pays qui ont une explosion démographique insoutenable à réguler leur natalité, en conditionnant toute aide à une promotion de la contraception, pour les amener à ne pas faire plus d'enfants qu'ils ne sont capables d'en assumer.
Si un pays manque d'eau, ou de nourriture, la baisse de la natalité serait la solution raisonnable, au lieu de planifier l'invasion du Nord.
Mais l'idéologie progressiste qui domine ces ONG travaille à la dissolution des Blancs et elles n'ont qu'un seul projet pour résoudre le problème, à savoir, faire passer davantage à la caisse les peuples occidentaux.
Les experts de la Banque mondiale avisent que ce chiffre pourrait encore varier d'ici 2050, si les Occidentaux se mettaient à vivre "plus durablement", tout en continuant à financer les projets de la BM et des diverses ONG qui luttent pour la "justice climatique".
Or non seulement l’establishment ne veut pas de limitation des naissances dans le tiers monde, mais il favorise le remplacement des Occidentaux par une immigration majoritairement musulmane, prolifique, très différente par ses systèmes de valeurs, ses manières de penser et de vivre.
Alors que le sujet du réchauffement climatique est omniprésent dans les médias et dans l'espace public, le problème de la disparition programmée de notre civilisation millénaire ne peut même pas être évoqué, car ce serait catégorisé par l’establishment comme raciste, d'extrême droite, voir même fasciste. Jamais la réflexion ne va plus loin que le constat que les immigrés font plus d'enfants que les souchiens. Le fait même d'être incapable de renouveler sa population ne peut être considéré comme une catastrophe, car pour l'establishment, le Blanc, ce n'est pas dommage : si un jour il n'y a plus de Grecs en Grèce, de Portugais au Portugal, peu importe, il y aura des Turcs et des Africains à leur place.
Il est totalement prévisible que s'il n'y a pas une mise en place rapide d'une politique familiale qui inverse la courbe démographique en faveur des Occidentaux, nous allons disparaître. Il sera bien entendu indispensable de stopper toute immigration extra-européenne et d'encourager par la fermeture des robinets financiers les extra-européens à rentrer dans leurs pays d'origine. Pour pouvoir prendre ces mesures, les peuples tyrannisés devraient se révolter contre leurs élites, rompre la dictature du politiquement correct et remplacer leur soumission aux ONG qui dictent leur système de valeurs décadent par l'amour de nos racines.
L’establishment, qui programme et favorise la disparition des pays ouverts à l'islamisation, s’applique à culpabiliser et réprimer les remplacés, car il serait bien incapable de justifier pourquoi la disparition d'autres indigènes serait déplorable, mais la disparition des Blancs serait sans importance ou même souhaitable.
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Réchauffement climatique : 216 millions de réfugiés d'ici à 2050 ?
Le réchauffement climatique pourrait pousser 216 millions de personnes, principalement d'Afrique et d'Asie, à quitter leur région d'ici à 2050, selon un nouveau rapport de la Banque mondiale.
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Banque mondiale: plus de 200 millions de réfugiés climatiques d'ici 2050
BARCELONE, Espagne — Le changement climatique pourrait pousser plus de 200 millions de personnes à quitter leur foyer au cours des trois prochaines décennies et créer des migrations massives à moins que des mesures urgentes ne soient prises pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre et combler les retards de développement, selon un rapport de la Banque mondiale.
La deuxième partie du rapport Groundswell publié lundi a examiné comment les impacts du changement climatique à évolution lente tels que la pénurie d'eau, la baisse de la productivité des cultures et l'élévation du niveau de la mer pourraient conduire à des millions de personnes, décrient comme des « migrants climatiques » d'ici 2050 selon trois scénarios différents, comportant des degrés divers d'action climatique et de développement.
Dans le scénario le plus pessimiste, avec un niveau d'émissions élevé et un développement inégal, le rapport prévoit que jusqu'à 216 millions de personnes se déplaceront dans leur propre pays dans les six régions analysées. Ces régions sont l'Amérique latine; l'Afrique du Nord; l'Afrique subsaharienne; 'Europe de l'Est et l'Asie centrale, l'Asie du Sud et l'Asie de l'Est et Pacifique.
Vidéo: Les changements climatiques pourraient engendrer la migration de 216 millions d'individus d’ici 2050 (Le Devoir)
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Les changements climatiques pourraient engendrer la migration de 216 millions d'individus d’ici 2050
Dans le scénario le plus respectueux du climat, avec un faible niveau d'émissions et un développement inclusif et durable, le monde pourrait encore voir 44 millions de personnes contraintes de quitter leur foyer.
Les résultats « réaffirment la puissance du climat pour entraîner la migration au sein des pays », a déclaré Viviane Wei Chen Clement, spécialiste principale du changement climatique à la Banque mondiale et l'une des rédactrices du rapport.
Selon un rapport parlementaire rédigé par un député européen allemand, l’UE aurait versé 34 millions de subventions à des ONG anti-israéliennes du réseau de l’Open Society Foundations (OSF), rapporte Louis-Marie Bonneau, chercheur associé à l’European center for Law and Justice (ECLJ).
La Hongrie forcée à abandonner la loi obligeant les ONG à divulguer un financement étranger de l'UE
La ministre hongroise de la Justice, Judit Varga, a déclaré que le gouvernement hongrois était disposé à se débarrasser d'une loi rendant le financement étranger des ONG transparent après que la Commission européenne a entamé une procédure d'infraction plus tôt cette semaine.
La Commission européenne a lancé la procédure d'infraction après avoir cité un arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) de juin de l'année dernière qui appelait la Hongrie à se débarrasser de la loi qui réglementait les ONG recevant des espèces étrangères.
La décision elle-même est intervenue après que la Commission eut renvoyé l'affaire devant le tribunal en 2017. La Hongrie obligeait les ONG recevant plus de 7,2 millions de forints hongrois (26 000 $ / 20 000 £) à divulguer plus ouvertement leur financement et à s'enregistrer en tant qu '«organisation soutenue par des étrangers».
Vendredi, le ministre Varga a déclaré qu'en dépit du fait que la Commission considérait la décision de la Commission comme une «procédure à motivation politique», la Hongrie chercherait à abroger la loi au printemps de cette année comme demandé, rapporte Hungary Today .
«Alors que certains politiciens de l'opposition se réjouissent de l'initiative d'une procédure d'infraction injuste contre leur pays à Bruxelles, le gouvernement hongrois fait son travail», a déclaré Varga.
En 2017, la loi était considérée comme un contre-courant à l'influence du ploutocrate milliardaire George Soros et de son vaste réseau d'ONG. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a fréquemment critiqué Soros et ses ONG pour leurs tentatives d'influencer la politique hongroise dans le passé.
«George Soros et ses ONG veulent transporter un million de migrants vers l'UE par an. Il a personnellement annoncé publiquement ce programme et lui a accordé un prêt financier. Vous pouvez le lire vous - mêmes », a déclaré Orban en avril 2017.
Le démantèlement de la loi sur les ONG n'est que le dernier coup porté à la Hongrie devant les tribunaux de l'Union européenne et intervient après que la Cour européenne de justice a jugé que le gouvernement Orban s'était engagé dans des refoulements de migrants à la frontière serbe et avait violé les règles de l'UE.
En janvier, l'agence frontalière de l'Union européenne, Frontex, a annoncé qu'elle suspendrait les opérations en Hongrie à cause de cette question.
Le secrétaire d'État hongrois à la communication et aux relations internationales, Zoltán Kovács, a réagi à l'annonce de Frontex en déclarant: «Ce n'est pas comme si nous recevions beaucoup d'aide de Frontex, mais il semble que Bruxelles veuille enlever même le peu que nous avons obtenu.»
Après avoir été fortement critiquée par une partie de la gauche et d’ONG lors de la votation sur les multinationales responsables, la conseillère nationale Isabelle Chevalley a dû être placée sous protection policière.
Il y aura un avant et un après l’initiative «entreprises responsables». La droite veut des conditions plus strictes à l’attribution de fonds publics.
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Des représailles, il y en aura peut-être d’autres. Au national, Hans-Peter Portmann (PLR/ZH) propose de stopper tous les fonds publics aux ONG qui s’impliquent dans des campagnes politiques.
Par Robert Martin ♦ En mars 2018, nous avions publié un article provenant d’un lecteur nous ayant contacté. Vu l’actualité récente, nous republions aujourd’hui ce texte édifiant. Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, Robert Martin est théoriquement soumis à un devoir de réserve ; nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Plusieurs textes très sérieux et documentés suivront cette première publication, plus légère et pratique, décrivant l’une des voies offertes aux migrants africains pour rejoindre l’Europe sans trop de difficulté.
Polémia
De faux récits faciles à construire
Après beaucoup d’hésitations, un Sénégalais décide de rejoindre l’Europe pour fuir la misère et profiter des richesses françaises. Bien qu’hétérosexuel, il décide de jouer le rôle d’un homosexuel. En effet, le droit d’asile lui sera ainsi ouvert.
Pour rédiger son récit de demande d’asile à déposer devant l’OFPRA, il lui suffit de consulter sur le site de la CNDA la fiche Pays consacrée au Sénégal, puis, d’ouvrir la fiche « Orientations sexuelles » où il aura le choix entre 7 études sur la question.
Choisissant celle de l’OFPRA, il y trouvera en 14 pages de quoi bâtir un récit crédible, en y ajoutant même un (faux) certificat de mariage avec une jeune femme (sa copine, bien entendu) à qui il est fortement attaché (évidemment, au seul plan affectif).
S’il sait bien raconter ses angoisses, il pourra même se faire parrainer par une association française de défense des homosexuels africains et obtenir ainsi gratuitement un visa et un billet d’avion.
Une fois obtenu le statut de réfugié, il ne lui restera plus qu’à demander la venue de son « épouse » dans le cadre du regroupement familial.
J’exagère à peine… En fait, il existe de très nombreuses sources sur Internet qui permettent aux migrants de construire un récit d’exil particulièrement efficace, d’autant qu’il existe des instructions « officieuses » données aux membres des juridictions de la CNDA pour « interroger avec tact » les demandeurs d’asile pour préférence sexuelle.
Si les migrants s’y prennent bien, il y a pratiquement 100 % de réussite à la demande d’asile, pour peu que le demandeur bénéficie de l’aide d’un « coach » bénévole et bien formé qui saura le faire « répéter ». C’est là qu’entrent en jeu les associations d’aide aux migrants.
La professionnalisation des travailleurs sociaux chargés d’assister les migrants
C’est la raison pour laquelle « France Terre d’Asile » a créé un centre de formation pour les professionnels de l’aide aux migrants.
En 2016, cette ONG a formé 1 482 stagiaires. En 2017/2018 elle prévoit 60 formations dont une partie répondent à la problématique que nous venons d’énoncer : « Techniques de recherche en information sur les pays d’origine ».
D’autres sont particulièrement spécialisées sur un pays (« Répression politique et tensions sociales en Guinée Conakry », « Paix et guerre en République démocratique du Congo »…) ou sur une spécificité du récit dans une zone géographique donnée (« La vendetta à l’origine d’une demande d’asile » fait référence au « kanun » auquel les demandeurs d’asile d’Albanie font très souvent référence.
C’est ainsi que « l’aide à la constitution des demandes d’asile et du dossier OFPRA » fait l’objet de deux modules de formation.
Le Niveau I coûte 440 € totalement financés par la formation professionnelle et dure 2 jours (14 heures).
L’association caritative est totalement transparente sur ses objectifs :
« L’accompagnement juridique dont peut bénéficier un demandeur d’asile durant ses démarches augmente sensiblement ses chances d’obtenir une protection. Il est donc essentiel pour le travailleur social chargé de cet accompagnement de maîtriser la constitution d’une demande d’asile et du dossier OFPRA en tenant compte de son cadre d’intervention (plateforme d’accueil, hébergement d’urgence, centre d’accueil pour demandeurs d’asile). Cette formation a pour objectif d’apporter les outils théoriques et pratiques afin de permettre aux professionnels d’accompagner de manière optimum les demandeurs d’asile dans la constitution de leur demande d’asile, la rédaction du dossier OFPRA et du récit de vie, et la préparation à l’entretien à l’OFPRA. »
Améliorer la qualité de l’information proposée et optimiser l’efficacité de l’accompagnement juridique du demandeur d’asile en étant en mesure de l’aider à constituer sa demande d’asile, à rédiger son dossier OFPRA et à le préparer en vue de son entretien à l’OFPRA en :
– acquérant une méthodologie pour établir une demande d’asile individualisée et circonstanciée ;
– apprenant à soulever les éléments de fait permettant de satisfaire aux conditions juridiques d’obtention d’une protection ainsi qu’à sélectionner et produire les preuves matérielles ;
– sachant analyser le sens des questions posées devant l’OFPRA et la CNDA et y apporter des réponses crédibles.
MOYENS & MÉTHODES PÉDAGOGIQUES
• Formation déclinée en modules comprenant une activité découverte, des apports théoriques, des mises en application (étude des cas, techniques d’entretien) et une synthèse ;
• Échange et analyse de situations pratiques à partir des situations professionnelles des participants ;
• Diffusion et remise d’un Powerpoint facilitant la prise de notes et un dossier pédagogique à caractère pratique (réglementation, exemples de récit de vie…) ;
• Visite d’étude à la CNDA ;
• Constitution du dossier de demande d’asile en vue de sa recevabilité ;
• L’établissement des faits : les déclarations du demandeur d’asile et les preuves matérielles ;
• La rédaction du récit de vie ou d’un complément de récit ;
• Oralité dans la procédure : entretien OFPRA et audience CNDA.
Selon Wikipédia, « l’association France terre d’asile a un budget de 68.249 millions d’euros qui provient presque entièrement des subventions publiques (70% du ministère de l’Intérieur). »
Répondant à un article du Monde pointant du doigt les associations recevant le plus de subventions, France terre d’asile précise qu’elle ne reçoit pas de subventions mais « des dotations en contrepartie de prestations réalisées dans le cadre de la mise en œuvre de politiques publiques ».
Elle emploie 902 salariés.
Fin 2013, par le biais d’une lettre anonyme, des accusations de détournement de fonds ont été portées à l’encontre de France terre d’asile et de son directeur général, Pierre Henry. L’enquête préliminaire menée par le parquet de Paris a depuis été classée sans suite. Deux plaintes contre X, une de la part du directeur général et une du comité d’entreprise de l’association, ont été déposées.
La police grecque a accusé lundi 35 travailleurs d’organisations non-gouvernementales d’aider des migrants à entrer illégalement dans le pays depuis la Turquie.
Les travailleurs sont suspectés d’avoir renseigné des migrants sur les positions des gardes-côtes ainsi que des passeurs sur des lieux d’accostage sur l’île de Lesbos, dans au moins 32 cas.
Ils sont poursuivis pour crime organisé et espionnage, a précisé la police, qui n’a cependant pas indiqué quand les arrestations avaient eu lieu.
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La police n’a pas dévoilé le nom des organisations impliquées, mais celles-ci ont des membres provenant d’Allemagne, d’Autriche, de Norvège, de Suisse et de Bulgarie.
Les droits des paysans doivent être mieux protégés, selon des ONG
Une étude mandatée par plusieurs ONG indique que la politique extérieure de la Suisse concernant la paysannerie va à l’encontre de la Déclaration de l’ONU de 2018 sur les droits des paysans.
La Suisse doit améliorer la cohérence de sa politique extérieure avec ses engagements internationaux concernant les droits des paysans, montre une étude mandatée par plusieurs ONG. Il s’agit notamment d’analyser l’impact des accords de libre-échange dans ce domaine.
La Suisse a joué un rôle clé dans les négociations qui ont abouti à la Déclaration de l’ONU de 2018 sur les droits des paysans – un instrument international qui permet à ces derniers de faire valoir ces droits. Elle s’est aussi engagée à l’appliquer, notent les ONG mandataires de l’étude dans un communiqué diffusé jeudi.
L’étude mandatée par Action de Carême, le CETIM, l’Entraide protestante suisse (EPER), FIAN Suisse, Pain pour le prochain, SWISSAID et Uniterre analyse, à la lumière de la Déclaration de l’ONU, la politique extérieure de la Suisse dans le domaine du commerce, des semences, des droits fonciers et de la coopération au développement.
Accords de libre-échange
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Droit aux semences
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Tous les projets doivent être conformes
L’étude montre que le message du Conseil fédéral sur la stratégie de coopération internationale pour la période 2021 à 2024 ne mentionne les droits des paysans que dans le Programme global sécurité alimentaire de la Direction du développement et de la coopération (DDC). Le rôle important octroyé au secteur privé fait planer une menace importante sur le respect des droits humains et l’usage coutumier du sol.
Or, la Suisse doit veiller à ce que tous les projets du Secrétariat d’État à l’économie (SECO) et de la DDC soient conformes aux droits des paysans. L’étude recommande que la coopération internationale aide les paysans à réclamer et à exercer leurs droits. De plus, elle doit soutenir la constitution et la promotion d’organisations paysannes, y compris à l’échelle nationale.
Les ONG ont présenté les résultats de l’étude lors de l’entretien tenu jeudi avec des services fédéraux, notamment le Département fédéral des affaires étrangères et l’Institut fédéral de la propriété intellectuelle.
« Médecins sans frontières est institutionnellement raciste et elle renforce dans son travail humanitaire le colonialisme et la suprématie blanche. » Dans une lettre adressée à leur direction, 1000 anciens ou actuels salariés de l’ONG dénoncent un racisme systémique au sein de leur organisation, des politiques de recrutement et une culture d’entreprise menées par une « minorité blanche privilégiée », cite The Guardian (en anglais), vendredi 10 juillet.
Les signataires demandent que soient menées une enquête interne et indépendante ainsi qu’une réforme urgente pour démanteler des « décennies de pouvoir et de paternalisme ». La lettre est notamment signée par les présidents des conseils d’administration de MSF au Royaume-Uni et en Afrique australe, ainsi que le directeur général de MSF Allemagne, précise le média britannique. Le président international de MSF, Christos Christou, a assuré que cette lettre était un « catalyseur » pour faire accélérer les changements déjà promis par l’organisation.
L’ONG pro-migrants Sea-Watch attire l’attention par une nouvelle demande. La Commission européenne devrait envoyer des bateaux de croisière de luxe, actuellement immobilisés, pour aller chercher les migrants de Grèce.
Sur sa page d’accueil, l’ONG écrit : « Pour empêcher à temps la diffusion du COVID-19 et ses conséquences catastrophiques, toutes les personnes se trouvant sur les îles grecques doivent recevoir sans délai un soutien médical et les camps de réfugiés surpeuplés doivent être immédiatement évacués. Les bateaux de croisière, qui de toute façon sont bloqués dans les ports européens, offrent pour cela les meilleures conditions. »
[…] La plupart de ces bateaux de croisière offrent suffisamment de place pour plusieurs milliers de personnes et ils disposent d’infirmeries relativement bien équipées, explique Sea-Watch.
"La quarantaine imposée aux seuls membres des équipages des ONG et aux migrants arrivant de Libye n'a qu'un seul nom : la discrimination".
C'est ce qu'affirme Alessandra Sciurba, présidente de Mediterranea Saving Humans, en faisant référence aux mesures ordonnées pour le débarquement des migrants sauvés en Méditerranée suite à l'urgence sanitaire du Coronavirus. Il s'agit d'un traitement "différent de tous les autres navires commerciaux", qui "poursuivent leur voyage et leurs débarquements sans être dérangés".
En outre, "à bord des navires des ONG, il existe des précautions médicales et sanitaires très strictes"
"En empêchant ces bateaux, on utilise un préjugé en profitant d’un moment de choc collectif afin de ne pas perdre une autre occasion de criminaliser ceux qui secourent les réfugiés de guerre - affirme Sciurba. Une fois de plus, les navires de sauvetage sont enchaînés aux quais alors que les gens se noient. Ajoutez également ces morts aux estimations des victimes de la contagion".
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Une caravane de migrants est organisée pour franchir la frontière hongroise
Un tract en anglais que la chaîne de télévision M1 a pu se procurer révèle l’organisation d’une «marche pour le libre franchissement de la frontière» serbo-hongroise.
Depuis des semaines, cette invasion est organisée. Les groupes se forment depuis la Grèce via la Macédoine du Nord, l’Albanie, le Kosovo, la Serbie en direction de la Hongrie.
L'ONG Médecins sans frontières est très active dans l'organisation.
Les migrants refusent de s’enregistrer dans les centres prévus, malgré la distribution de tentes et de couvertures couvertures.
Le tract est distribué aux migrants sur la route des Balkans. On y lit entre autres :
Rendez-vous à Subotica (près de la frontière nord de la Serbie) jeudi 6 février à 8 heures du soir. Départ vendredi 7 à 5 heures du matin.
S’ajoutent des instructions des ONG sur le trajet, la nourriture, la boisson, les vêtements, des recommandations de rester silencieux, d’éviter le vandalisme, de se déclarer comme une marche pour la paix.
Ils ont tous des téléphones mobiles, des affiches des ONG jalonnent la route à suivre. Les ONG distribuent nourriture, couvertures, tentes, les médecins prodiguent des soins. Il y a également des enfants en bas âge.
Les ONG donnent également des recommandations aux migrants sur les réactions face aux journalistes, qui seront nombreux sur la frontière. Ils devront prouver qu’ils sont pacifiques, avec de bonnes intentions.
Ceux qui étaient cachés dans les forêts rejoignent la caravane au fur et à mesure. La police est impuissante face à eux. Les migrants nient l’aide des ONG, ils insistent que cette marche est paisible. Les observateurs hongrois ne croient pas que cela sera possible.
Les migrants insistent aussi qu’ils ne veulent que traverser la Hongrie pour se rendre en Europe occidentale.
Des miliciens syriens font partie de la marche. Ils n’ont pas de papiers d’identité. 80 pays se sont battus en Syrie. Tous ceux qui ont participé peuvent faire partie de cette vague d’invasion. Il y a des migrants économiques mais la majorité d’eux sont des hommes de 16-30 ans. Ils nient tous avoir combattu, mais la majorité d’entre eux sont des combattants, même s’ils mettent les enfants en avant.
C’est le dernier moment pour l’Europe de se défendre.
Zoltan Lomonci Jr : Les ONG utilisent des méthodes de services secrets, leur mode opératoire se passe dans la conspiration, par des voies illégales; voici les méthodes pour organiser la migration sur mer et sur terre.
Ces ONG sont puissantes, elles parviennent à annihiler leurs opposants : voir la vendetta organisée contre Salvini, ou les rétorsions contre les pays conservateurs de tradition chrétienne comme la Hongrie.
Les ONG ont le soutien du Parlement Européen, de Paris, de Frans Timmermans qui est en lien très étroit avec Soros.
Ajouter à ce réseau les ONG qui collaborent étroitement avec les passeurs qui brassent des milliards.
Les deux vidéos qui suivent concernent le passage en force de la frontière à Röszke le 28 janvier :
https://www.youtube.com/watch?v=9cu8OgPDObg
https://www.youtube.com/watch?v=A2mCiAbN9Dg
L’attaque avait manifestement été organisée.
Les tentatives de passage illégal de la frontière sont de plus en plus organisées, d’autant plus que c’est un business extrêmement lucratif pour les passeurs. Les migrants sont de plus en plus nombreux. Ils s’organisent par le biais de groupes Facebook notamment.
Les migrants ont des smartphones, des tablettes, mais pas de documents d’identité…
Source en anglais (pour la fin de l'article) : RAIR Foundation
Inquiètes du sort des migrants en Libye, plusieurs ONG se sont félicitées que Paris renonce à livrer six embarcations rapides à ses autorités. Le pays est plongé dans le chaos depuis la chute de Mouammar Kadhafi, après une intervention de l'OTAN.
La France devait livrer six navires à la Libye pour renforcer le contrôle de ses côtes, mais il n'en sera rien. «Si la cession a été un temps envisagée au bénéfice de la Libye, la ministre a finalement décidé de ne pas livrer les embarcations à cet Etat», écrit le 26 novembre le ministère des Armées dans un mémoire envoyé à la Cour administrative d'appel de Paris, révélé par l'AFP ce 2 décembre.
Il s'agissait de six embarcations rapides, des semi-rigides Sillinger de 12 mètres. Comment expliquer ce revirement ? Huit ONG, dont Médecins sans frontières et la Ligue des droits de l'homme, avaient saisi la Cour d'appel de Paris pour demander l'annulation de cette livraison, invoquant notamment la situation des migrants dans le pays. Si la justice n'a pas encore statué dans cette affaire, le ministère des Armées a pris les devants, invoquant «la situation en Libye» qui «ne permet pas de réaliser ce don d'embarcations».
Le pays est plongé dans le chaos depuis la chute du gouvernement de Mouammar Kadhafi en 2011, après une intervention de l'OTAN à laquelle a notamment pris part la France. Divisée, la Libye est actuellement secouée par un conflit armé entre les forces du maréchal Khalifa Haftar, homme fort de l'Est, et son rival installé à Tripoli, le Gouvernement d'union nationale (GNA) reconnu par l'ONU.
Les ONG crient «victoire» Lola Schulmann, chargée des questions migratoires chez Amnesty international (qui figure parmi les ONG ayant saisi la justice administrative en avril) a estimé que la décision de ne pas livrer les embarcations constituait «une victoire importante» obtenue grâce à «la pression publique». «[Cette décision doit] marquer un tournant dans les relations de la France avec la Libye en matière de politique migratoire», a-t-elle ajouté.
Dans un communiqué commun publié le 2 décembre, les huit ONG se félicitent de l'abandon de cette initiative «qui aurait fait de la France la complice officielle des crimes commis sur les personnes migrantes et réfugiées en Libye».
Quatre volontaires d'une ONG brésilienne de lutte contre les incendies en Amazonie ont été arrêtés. Ils sont accusés d'avoir mis le feu à Alter do Chao, dans l'État du Parà, afin d'obtenir un financement international.
La police a saisi des ordinateurs et des documents au siège de l'ONG Progetto Salute ed Allegri. Sur les quatre personnes arrêtées, trois font partie des pompiers d'Alter do Chao.
La police aurait découvert par des écoutes téléphoniques que l'ONG a obtenu "un contrat avec le WWF, auquel elle a vendu 40 images pour 70 000 reais (environ 15 000 euros) et le WWF a obtenu des dons pour eux, comme celui de l'acteur Leonardo Di Caprio, d'un montant de 500'000 dollars, afin de combattre les incendies en Amazonie.
Loi créée dans l'urgence par nos "élites" qui sont censées "prévoir" alors que le problème couvait depuis de nombreuses années.
Ces mêmes politiciens s'offusquaient lorsque les patriotes demandaient de limiter l'immigration ou mettaient en garde contre l'islam, tout en clamant sans cesse que le "populisme est le véritable problème".
Berset tout comme Sommaruga ou encore Parmelin ont affirmé que la diversité est une richesse. Pourquoi de telles lois dans ce cas?
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Le Conseil fédéral souhaite que la police dispose de plus de possibilités dans la lutte contre le terrorisme.
Plus d'une centaine d'agents ont perquisitionné les domiciles de personnes soupçonnées de terrorisme dans plusieurs cantons cette semaine. À l'avenir, la police devrait également être en mesure d'intervenir plus tôt contre les terroristes potentiels [...].
La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter prévoit entre autres les mesures suivantes :
- Obligation de se présenter: Les personnes représentant un danger doivent se présenter au poste de police.
- Interdiction de contact : les personnes âgées de 13 et plus, qui représentent une menace, peuvent être interdites de tout contact avec l'environnement radicalisé
- Assignation à domicile : En dernier recours, une personne âgée de 16 ans ou plus ne devrait pas être autorisée à quitter son domicile. On pourrait la contrôler au moyen d'un bracelet électronique.
"La police fédérale pourrait prendre de nouvelles mesures, de la localisation des téléphones portables en passant par l'assignation à résidence contre les personnes représentant un danger. [...] En fin de compte, ce sont des soupçons qui ouvrent la porte à l'arbitraire. Les mesures préventives toucheront des personnes qui ne sont pas dangereuses du tout.
Nous exigeons que la détention préventive à domicile pour les personnes dangereuses soit retirée de la loi parce qu'elle n'est pas compatible avec la Convention européenne des droits de l'homme. Il est également très problématique que des mesures de police préventive soient utilisées contre les enfants âgés de 13 ans et plus et que des mesures de détention à domicile soient appliquées contre les jeunes âgés de 16 ans et plus. Les enfants sont particulièrement protégés en Suisse ; le pouvoir judiciaire ne doit pas les stigmatiser et les criminaliser, mais doit favoriser leur réinsertion sociale [NDLR : C'est ce qui avait été fait pour le jeune Albanais Vedad mais visiblement Amnesty International est prêt à réitérer ces erreurs sur le dos des Suisses.].
Non, nous n'avons pas de cœur pour les terroristes. Ce sont des criminels - et en tant que tels, ils devraient être poursuivis et punis. Cependant, les droits de l'homme fondamentaux ne doivent pas être restreints dans la lutte contre le terrorisme.
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(Traduction libre Schwarze Rose et Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Italie – « Voulez-vous un permis de séjour ? Déclarez-vous gay » : Voilà l’astuce de certains avocats qui assurent la défense des migrants arrivant en Italie.
Comment obtenir un permis de séjour lorsque les possibilités sont comptées sur les doigts d’une main ? En vous déclarant homosexuel. L’astuce doit être assez courante si la réponse des migrants rencontrés est presque toujours la même : « Mon avocat m’a dit que si je veux un permis de séjour, je dois obtenir la carte Arcigay ». Lorsque nous demandons à nos interlocuteurs s’ils sont homosexuels, la réponse fuse : « Non, je suis hétérosexuel ». Un garçon du Sénégal nous dit même qu’il a une femme et des enfants et espère qu’à l’avenir ils pourront le rejoindre en Italie. La raison de ce migrants est simple : obtenir un permis de séjour.
(…)
Un avocat nous dit qu’il a suivi plus de 500 cas et qu’il n’a jamais rencontré de vrais réfugiés. « Ceux qui arrivent dans la plupart des cas sont des migrants économiques. Souvent, leurs histoires sont toutes identiques, le même scénario, alors je leur dis tout de suite de ne pas me mentir, sinon je ne peux pas les aider. À ce stade, nous travaillons sur les détails, nous essayons de mettre en évidence les aspects qui peuvent suggérer un état de danger réel et, dans certains cas, lorsque le migrant vient d’un pays où l’homosexualité est illégale, on peut essayer de suivre cette voie: Je l’ai fait récemment avec un gars de Gambie ».
L'agence onusienne pour les réfugiés dénonce la loi adoptée par le Parlement italien qui permettrait notamment de confisquer les bateaux des ONG.
Salvini alerte l'Europe et les Nations unies. Le Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR) de l'ONU s'est dit "inquiet" ce mardi après l'adoption par le Parlement italien d'une loi plus répressive contre les ONG qui secourent des migrants en Méditerranée. La Commission européenne a pour sa part annoncé son intention "d'analyser" la nouvelle législation italienne afin de "vérifier sa compatibilité avec le droit européen", a précisé un de ses porte-parole.
— UNHCR, the UN Refugee Agency (@Refugees) August 6, 2019
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Le HCR défend le "rôle inestimable" des ONG
Après l'affront de Carola Rackete, la capitaine du Sea-Watch 3 qui avait accosté de force à Lampedusa pour débarquer des migrants secourus en mer, le texte donne la possibilité d'intercepter préventivement un navire et d'infliger jusqu'à 10 ans de prison pour toute résistance. Il accroît aussi les possibilités d'écoutes et de recours pour des agents sous couverture pour lutter contre toute forme de complicité à l'immigration clandestine.
Le HCR s'est dit "inquiet de cette décision". "Imposer des amendes ou d'autres pénalités aux commandants risque de dissuader ou d'empêcher des navires privés de mener des activités de secours en mer au moment où les États européens se sont pratiquement désengagés des efforts de sauvetage en Méditerranée centrale", a expliqué l'agence de l'ONU. Pour le HCR, les ONG "jouent un rôle inestimable" dans le sauvetage des réfugiés et des migrants qui tentent de traverser la mer pour rejoindre les côtes européennes. "L'engagement et l'humanité qui les motivent ne doivent pas être criminalisés ou stigmatisés", a estimé l'agence.
Des sanctions plus dures pour les navires humanitaires. [...]
Le décret fixe désormais à 1 million d'euros l'amende maximale dont sont passibles les navires entrant dans les eaux italiennes sans autorisation, contre 50 000 euros auparavant. Il prévoit également l'arrestation des capitaines ignorant l'ordre de rester en dehors des eaux territoriales et permet la saisie automatique des navires par les autorités navales. [...]
L'Allemagne fait pression sur le gouvernement italien afin de l'obliger à accueillir les migrants : "Quel est l'intérêt de faire attendre les navires ?"
Berlin revient pour faire lourdement pression sur le gouvernement italien.
L'appel a été lancé par le ministre de l'Intérieur, Horst Seehofer, qui l'a adressé directement à Matteo Salvini en se plaignant que, "au cours des douze derniers mois, l'Allemagne a accueilli 180 réfugiés en Méditerranée" et en accusant l'Italie de ne pas faire assez pour gérer l'urgence des débarquements. Cette accusation est totalement infondée, étant donné que l'Union européenne nous [les Italiens] a laissés seuls pendant des années pour gérer les flux irréguliers de personnes désespérées embarquant depuis les côtes d'Afrique du Nord.
Au cours des sept derniers mois, les attaques du gouvernement allemand ont été continues. Aussi la récente révélation de la présence de deux journalistes de la télévision d'Etat Ard à bord du navire Sea Watch 3 nous a fait ouvrir les yeux sur les intérêts de Berlin à fomenter le chaos en Méditerranée pour mettre en difficulté le gouvernement de Giuseppe Conte [Président du Conseil des ministres d'Italie] et, en particulier, Salvini.
Selon l'enquête publiée par un site de contre-information d'extrême droite, Journalistenwatch.com, l'attaque éclair du commandant Carola Rackete à Lampedusa (de l'incursion au large des côtes libyennes à l'arrivée dans le port sicilien, à cela s'ajoute l'éperonnage contre le patrouilleur de la Guardia di Finanza) est "une brillante œuvre de propagande" de la chaîne publique allemande, "probablement avec l'intention de provoquer à tout prix une confrontation avec les autorités italiennes". Un dessin inquiétant qui, selon une analyse approfondie du Guardian, aurait pu être soutenu également au sein de l'exécutif dirigé par la chancelière Angela Merkel (une thèse, entre autres choses, également confirmée par l'ancien chef des services secrets Hans-Georg Maaßen).
Après le silence qui a suivi le cas de Sea Watch 3, un bateau appartenant à une ONG allemande, Seehofer est revenu pour frapper fort contre Salvini, agitant le cas du "Gregoretti", un navire de la Garde côtière amarré dimanche dernier devant le port d'Augusta avec 115 migrants clandestins à son bord.
"Matteo [Salvini], quel est l'intérêt de toujours appliquer la même procédure si au final les migrants finissent toujours par débarquer à terre ?", a-t-il déclaré hier lors d'une conférence de presse à Berlin. "Je veux éviter - poursuit-il - une répétition du même schéma à chaque fois, avec un bateau transportant des migrants qui attendent 8 ou 14 jours au large des côtes italiennes et Salvini qui ne veut pas qu'ils débarquent. Mais ils finissent toujours par se retrouver à terre de toute façon, parce que les migrants s'effondrent, tombent malades ou qu'il y a des femmes enceintes".
Après le récent sommet d'Helsinki, les deux ministres de l'Intérieur devront se réunir à nouveau en septembre pour faire le point sur l'urgence de l'immigration. A cette occasion, l'Allemagne présentera une nouvelle procédure qui, d'une part, "répond au besoin de sauvetage en mer" et, d'autre part, " parvient à bloquer la traite des êtres humains par les passeurs.
Toutefois, les relations entre les deux pays restent tendues. Et pas seulement en raison des pressions continues de Merkel pour que Carola Rackete soit relâchée lorsque cette dernière avait été arrêtée. Les révélations récentes sur les "cas Dublin" renvoyés à Rome avec des vols charters après avoir été "mis sous sédatifs" ont encore davantage miné les relations. Et les demandes indues de Seehofer ne font qu'aggraver la situation, rendant la confrontation et le dialogue impossibles.Egalement parce que Salvini n'est pas prêt à reculer d'un millimètre. "Nous n'allons rien ouvrir, les ports restent fermées - le leader de la Lega l'a dit clairement lors d'une retransmission en direct sur Facebook - nous ne sommes pas le camp de réfugiés de l'Europe".
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
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