Argovie : Un Syrien de 14 ans brise la mâchoire de son enseignante “Il aurait demandé aux filles de mieux s’habiller au nom d’Allah”

Le jeune de Möriken-Wildegg parlait beaucoup du Coran et demandait aux filles de s'habiller plus décemment dans la cour de récréation.

L'élève qui a frappé son institutrice à Möriken-Wildegg est un Syrien de 14 ans. D'après les recherches de la "Weltwoche", l'adolescent avait déjà attiré l'attention par le passé.

L'affaire a choqué : La semaine dernière, l'Aargauer Zeitung a publié qu'un élève de l'école Chestenberg de Möriken-Wildegg (Argovie) avait cassé la mâchoire de son enseignante avec un coup de poing. Elle avait voulu vérifier si l'élève syrien avait un couteau avec lui - comme il l'avait eu par le passé.

Aujourd'hui, Alex Baur, journaliste à la "Weltwoche", s'est également occupé de l'affaire. Selon ses recherches, "M." a 14 ans. Il provient d'une famille syrienne avec de nombreux enfants, qui est arrivée en Suisse il y a environ cinq ans et qui vit de l'aide sociale. Il parle bien l'allemand et est décrit comme "assez intelligent, sûr de lui et vif d'esprit".

Mais "M." parle souvent du Coran depuis quelque temps déjà. Il aurait demandé aux filles de l'école de s'habiller et de se comporter plus décemment "au nom d'Allah". Dans ce contexte, il aurait agité un couteau dans la cour de récréation de l'école. Ce qui l'a conduit, selon la "Weltwoche", a devoir vider ses poches à chaque fois avant d'être autorisé à entrer dans la classe.

https://www.youtube.com/watch?v=iZcz-cSo-Mc

 

Deux jours de détention

Au cours de l'un de ces inspectione, l'enseignante aurait été agressée. Elle n'a pas touché l'élève, mais elle lui a seulement demandé de lui montrer le contenu de ses sacs. L'adolescent l'a ensuite attaquée et, selon des témoins oculaires cités par l'auteur de la "Weltwoche", a frappé l'enseignante de 62 ans cinq ou six fois avec son poing et le tranchant de la main. Quand elle s'est enfuie, il l'aurait encore frappée. La mère de deux fils (adultes) était sur le point de prendre sa retraite. Comme la Weltwoche l'a appris de son entourage, elle est encore sous le choc.

Le Syrien a pu être arrêté peu après son agression. Après avoir passé deux jours en détention, le jeune se trouve en liberté. Le bureau du procureur de la jeunesse enquête. Il ne retournera pas à l'école du district de Chestenberg.

Selon la "Weltwoche", un de ses amis, également syrien, a été "expulsé de l'école il y a un an pour des raisons disciplinaires et envoyé dans un lieu spécial à l'extérieur du district scolaire de Chestenberg".

Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Aargauerzeitung.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

France. Roubaix : un réfugié de 29 ans condamné pour atteintes sexuelles sur une fille de 11 ans

Depuis lundi, un habitant de Roubaix, âgé de 29 ans, était jugé devant la cour d’Assises du Nord, à Douai, pour une «  tentative d’agression sexuelle imposée à un mineur de 15 ans  » et pour «  viol sur un mineur de 15 ans  ». En raison de l’âge de la victime, qui avait douze ans au moment des faits, le procès s’est déroulé à huis-clos.

L’homme, de nationalité étrangère, est réfugié en France depuis 2013 après avoir été persécuté dans son pays. En 2015, il bénéficiait d’un titre de séjour. Il était accusé d’avoir agressé une mineure alors qu’il avait été recueilli dans une famille de Roubaix. Placé en détention provisoire depuis trois ans, cet homme n’a eu de cesse de clamer son innocence, évoquant des sentiments amoureux réciproques et une relation pleinement consentie avec l’adolescente.

Après trois jours d’audience, le mis en cause a été acquitté des faits pour lesquels il était poursuivi. Il a finalement été condamné à 5 ans de prison dont un avec sursis et mise à l’épreuve de dix-huit mois pour des «  atteintes sexuelles  ». La Cour d’Assises a estimé qu’en raison de l’âge de la jeune fille, celle-ci n’était pas en mesure de consentir «  en pleine conscience  » à des relations sexuelles avec un adulte. Son avocate s’est refusée à tout commentaire.

Nordeclair.fr

Allemagne. Trier-West : un réfugié afghan massacre sa femme avec un couteau car “elle se comportait trop librement.”

Hébergement d'asile à Trier-West : un homme poignarde sa femme douze fois avec un couteau de cuisine !

D'après les résultats des enquêtes menées à ce jour par la police judiciaire de Trèves, le ministère public estime que les éléments suivants sont probables :

Pendant plusieurs semaines, il y a eu des disputes entre les époux venus en Allemagne en tant que demandeurs d'asile et qui étaient hébergés avec leurs cinq enfants dans le logement des demandeurs d'asile dans la "Jägerkaserne" à Trèves-Ouest, parce que, de l'avis de l'accusé, la femme s'est comportée trop librement et il l'a accusée d'avoir eu des contacts avec un autre homme.

Dans la nuit de dimanche, le différend s'est intensifié : l'accusé a saisi un couteau de cuisine, dont la lame mesurait environ 18 cm de long, et a poignardé sa femme à plusieurs reprises avec ce couteau ; il lui a infligé au total 12 coups de couteau, surtout dans la poitrine et le haut du corps, dont un a blessé les poumons de la femme de manière mortelle.

(...)

 

Lokalo.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Allemagne : Un réfugié syrien accusé de 10 agressions sexuelles. Il refuse de participer à son procès.

Scène inhabituelle au tribunal de grande instance de Dresde, mardi : trois gardiens conduisent Rami A., Syrien de 23 ans, dans la salle de réunion et le présumé harceleur de Neustadt joue le mort.

Le procès devait commencer à 9 heures du matin, mais Rami A. a refusé de quitter sa cellule. Matthias Ketzer (43 ans), avocat, a tenté de convaincre son client - sans succès.

Lorsque Rami A. a été transporté dans la salle peu avant 11 heures, il a fait semblant d'être mort et n'a réagi à aucune allocution.

Le président du tribunal, Norbert Wenderoth (57 ans), a dû reporter le procès : "Nous devons déterminer la capacité de négociation, nous interrogerons également les employés de l'établissement pénitentiaire, et il n'y a eu jusqu'à présent aucun signe de déficience psychologique", a déclaré le juge.

Rami A. est en détention depuis juin 2018 et, au cours des trois derniers mois, le réfugié reconnu de guerre, dont l'épouse vit en Jordanie, aurait attaqué à plusieurs reprises des femmes à Neustadt.

Dix cas d'agression sexuelle ont été portés contre lui. Il aurait tendu une embuscade aux femmes aux petites heures du matin, les pressant contre les murs des maisons, les embrassant, les pelotant sur tout le corps.

Bild.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

 

Allemagne : un demandeur d’asile viole l’adolescente de 13 ans qui voulait lui apprendre l’allemand.

Un demandeur d'asile âgé de 27 ans, résidant à Bückeburg en Allemagne, admet avoir forcé une jeune fille de 13 ans à avoir des relations sexuelles avec lui, a rapporté le journal Unser Tirol.

La jeune fille et le migrant se sont rencontrés à plusieurs reprises en marge d’un projet de secours aux réfugiés locaux. Le migrant a déclaré qu'il voulait apprendre la langue allemande.

Mais quand il en a eu l'occasion, ses véritables intentions ont émergé. Il a attaqué et violé la fillette de 13 ans dans la chambre de son amie à Bückeburg.

"Ma fille a dit qu'il la tenait et qu'il a fermé la porte à clé", a déclaré sa mère à Schaumburg News. "Il l'a forcée alors qu'elle criait :" Non, je ne veux pas de ça. "

L'homme prétend qu'il ne savait pas que sa victime n'avait que 13 ans. «Je pensais qu'elle avait 18 ou 19 ans. Elle avait l'air grande», a-t-il déclaré devant un tribunal allemand.

La procureure Karin Dubben accuse le demandeur d'asile d'abus sexuel grave commis sur un enfant. La procureure a déclaré que l'homme de 27 ans avait eu "des rapports sexuels complets" et avait "utilisé la force" au cours de ceux-ci.

Voice of Europe / Unsertirol24.com

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappels :

Allemagne : La télévision ZDF incite les jeunes filles et les enfants allemands à passer du temps avec les migrants. (Vidéo)

Allemagne : Une adolescente de 15 ans aurait été abusée par plusieurs réfugiés dans un centre d’hébergement.

Allemagne : une mère indignée « Seuls 2 enfants sur 25 parlent allemand dans la maternelle de mon fils. » (Vidéo)

Allemagne. Halle : Des classes avec 100 % d’étrangers. « Kurdes et Syriens se livrent déjà en tant qu’enfants à leurs conflits ethniques. »

Un réfugié syrien chrétien : « Même si vous n’aimez pas l’entendre, une grande partie des réfugiés souhaite islamiser l’Allemagne. Ils auront le dessus dans quelques générations. »

Allemagne. Munich : Des musulmans imposent leur prière en pleine rue et ordonnent à un Allemand de partir. (Vidéo)

Allemagne : Les clans arabes font la loi. La police avait décidé de ne pas réagir pour éviter de se faire traiter de xénophobe.

Allemagne : Un Somalien poignarde un homme parce que celui-ci lui refuse une cigarette « Allahu akbar. Je tue les chrétiens! »

 

 

Suisse : un demandeur d’asile harcèle une femme dans un train. Il avait déjà tenté de violer une autre femme à Olten.

Prison et expulsion du pays pour le criminel sexuel Adil P.

Aujourd'hui le tribunal d'Olten (SO) a tranché : le demandeur d'asile Adil P. (24 ans), qui a exhibé son pénis dans un train et qui a aussi voulu violer une femme il y a un mois, doit aller en prison pour 3 ans et 9 mois! Mais pas que ça.

Il a été condamné pour contrainte sexuelle, tentative de viol, exhibitionnisme et violation de la loi sur les stupéfiants. Le tribunal s'est donc pleinement conformé aux requêtes de la procureur.

La cour n'a pas eu de doute concernant son exhibitionnisme dans le train de Aarburg (AG). Dans l’ensemble, les deux victimes ont été crédibles lors de leurs déclarations, contrairement à l'accusé.

Le demandeur d'asile syrien se trouvait mercredi devant le tribunal à Olten, car selon l'acte d'accusation, le 15 avril 2017 dans le train d'Olten à Aarburg, il a sorti "son organe sexuel et l'a exhibé devant Laksana K.* (46 ans).

Laksana K. (thérapeute) explique au BLICK: "J'étais en train d'aller au travail à Rothrist et je me trouvais seule dans le wagon. Il était assis dans le compartiment à ma droite. Il portait des écouteurs et sifflait. Puis c'est arrivé: Soudain il a sorti son pénis. Il m'a interpelée : "femme, femme". Je l'ai regardé et j'ai aussitôt détourné mon regard."

Au lieu d'être pétrifiée, Laksana K. est passée à l'offensive. Elle lui a demandé avec courage : "Je vais prendre une photo, d'accord"? À ce moment là, il s'est dirigé vers la porte du wagon.

Le train s'est arrêté à Aarburg. Laksana K. a voulu sortir et elle s'est également dirigée vers la porte. "J'ai eu peur, j'ai crié au secours parce qu'il voulait m'arracher mon téléphone."

Elle s'est enfuie dans le wagon suivant, le demandeur d'asile s'est enfui. Deux bonnes semaines plus tard, après le travail, elle a retrouvé l'homme à la gare de Rothrist. Elle a immédiatement appelé la police. Celle-ci est rapidement arrivée sur place et a arrêté Adil P.

Son ADN est conforme à celui, qui a été trouvé sur une femme (45 ans). Cette dernière a été agressée sexuellement le 22 mars 2017 sur le chemin de Ländiweg à Olten.

Il l'aurait poussée à terre, se serait assis sur elle, puis aurait mis son pénis devant le visage de la femme. Une tentative du viol s'en est suivie. Les détails de l'agression dans l'acte d'accusation sont abominables.

Au procès, pour le procureur général les faits sont établis : Adil P. qui se trouve en Suisse depuis deux ans, est un exhibitionniste. De plus, lors de l'agression à Olten, il a agi avec brutalité. Il n'a montré aucun signe de regret.

L'avocate d'Adil P. avait demandé un maximum de 18 mois - sous conditions. Il a de la parenté en Suisse. D'autres personnes de son entourage doivent venir. C'est pourquoi il ne devrait pas avoir à quitter le pays selon elle.

(...)

Blick.ch

 

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

Allemagne : Mohamed Youssef T. réfugié condamné pour la 6ème fois. Sa demande d’asile a été rejetée il y a deux ans!

Dresde - "Je ne vois pas de prévisions sociales favorables. Vous êtes une personne très colérique et même agressive contre moi." a déclaré le juge Philip Socher (27 ans) jeudi à Mohamed Youssef T., un réfugié âgé de 21 ans qui se nomme lui-même "roi Abode". Il a été condamné à huit mois de prison.

Mohamed Youssef T. s'est fait connaître dans toute l'Allemagne comme l'un des meneurs des émeutes de 2016 à Bautzen, où de violents affrontements ont opposé demandeurs d'asile et Allemands.

Par la suite, Abode a fait couler beaucoup d'encre, la dernière fois avec une vidéo de rap insultante contre la police. Il a déjà été condamné à cinq reprises. De nombreuses autres accusations portant sur plus de 20 infractions sont déjà devant les tribunaux.

Le procès de jeudi concernait une attaque de mars 2017 contre le train régional de Dresde à Bautzen. Le réfugié-émeutier de Libye a attaqué deux passagers, les a insultés et a mordu l'une des victimes au bras.

Il n'a pas commenté les faits pendant le procès, il s'est plaint : "Je voulais juste rentrer chez moi."

Jusqu'à présent, il s'en est toujours tiré avec des amendes, il est resté en liberté, mais hier - peu avant le procès - il a été arrêté et menotté pour ne pas avoir payé 400 euros.

Mais après le verdict, il a été autorisé à quitter le tribunal à nouveau. Raison: L’amende doit être incluse dans la nouvelle décision.

L'avocat d'Abode a annoncé un appel contre la peine de détention. Cela signifie que le réfugié ne doit aller derrière les barreaux que si le verdict est définitif.

Une autre date de procès est déjà fixée. Le 24 octobre, le tribunal administratif supérieur de Bautzen entendra sa plainte contre son expulsion. Mohamed Youssef M. (21 ans) a fait le doigt d'honneur au tribunal local.

Sa demande d'asile a été rejetée il y a deux ans!

Bild.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

France : Un réfugié soudanais attaque un surveillant de la prison de Fresnes en criant “Allah Akbar”

Jeudi 13 septembre, un individu incarcéré à la prison de Fresnes, dans le Val-de-Marne, a tenté d'agresser un surveillance pénitentiaire.

L'homme devait sortir de prison à la fin du mois... Un détenu de la prison de Fresnes (Val-de-Marne) a agressé au couteau un surveillant de l'établissement pénitentiaire, jeudi 13 septembre, révèle franceinfo.

Comportement instable et suivi psychiatrique

L'attaque est survenu alors que l'individu allait partir en promenade. Il s'est alors jeté sur l'agent en sortant un couteau de sa poche et en criant « Allah akbar ». Le gardien n'a pas été blessé et son agresseur a été désarmé, puis placé en quartier disciplinaire. D'après les informations de franceinfo, le détenu n'était pas suivi au titre de la radicalisation. Il était toutefois connu pour son comportement instable et faisait même l'objet d'un suivi psychiatrique.

Allemagne : Une adolescente de 15 ans aurait été abusée par plusieurs réfugiés dans un centre d’hébergement.

Plusieurs résidents d'un centre pour réfugiés auraient agressé sexuellement une élève de 15 ans. Deux suspects sont déjà en détention.

Les résidents du centre d'asile ont-ils commis un abus sexuel sur une adolescente droguée? L'enquête criminelle suit actuellement cette piste.

Elle fait l'objet d'une enquête pour des allégations de viol dans le foyer d'accueil de Proviantbachstraße. Selon l'enquête, une fille âgée de 15 ans a été abusée par plusieurs résidents. Deux suspects sont en détention depuis plusieurs semaines.

L’élève de 15 ans d’Augsbourg avait rencontré un Afghan âgé de 17 ans. Ils se sont donné rendez-vous le 2 juillet et se sont rendus dans une chambre située dans l’hébergement de la rue Proviantbachstraße à Augsbourg.

Après la consommation d'un joint de haschisch, l'adolescente de 15 ans est tombée dans un trou noir et a tout oublié, selon les conclusions des enquêteurs.

La jeune fille a été retrouvée après l'acte présumé, en état de détresse, à Lechhausen par des passants. La jeune fille a été conduite à l'hôpital pour enfants. Outre le soupçon de consommation de drogue, le soupçon d'abus sexuel a été confirmé ont déclaré la police et le procureur.

On ne sait pas combien de suspects auraient été impliqués.

Augsburger-allgemeine.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappels :

Allemagne : La télévision ZDF incite les jeunes filles et les enfants allemands à passer du temps avec les migrants. (Vidéo)

Allemagne. Chemnitz : L’un des agresseurs était un migrant délinquant qui aurait dû être expulsé depuis longtemps.

Allemagne. Francfort : Une bande de 15 à 20 réfugiés syriens attaquent les clients d’un bar aux cris de « Allahou akbar »

Allemagne. Chemnitz : le parti d’Angela Merkel et la gauche soutiennent les antifas face aux patriotes allemands.

Allemagne : un Afghan de 10 ans a violé un camarade de classe lors d’une sortie scolaire, un Irakien et un Afghan âgés de 11 ans ont tenu la victime durant le viol

Un Allemand raconte le meurtre de son fils par un Syrien : des antifas et des migrants le traitent de « nazi »

Allemagne. Saxe-Anhalt : nouveau meurtre d’un Allemand par des Afghans

 

Allemagne : Mécontent de ce qu’il reçoit, un réfugié vandalise un centre d’hébergement. Plus de 15’000 euros de dégâts.

Mercredi matin, un réfugié a vandalisé le logement communautaire de Wittlingen et a provoqué un dommage pour plus de 15'000 euros.

L'homme a frappé une douzaine de fenêtres. Il a endommagé deux nouveaux téléviseurs et a mis en petits morceaux la décoration intérieure de sa chambre..

Appelée sur place, la police a retrouvé l'émeutier devant le bâtiment et l'a arrêté provisoirement. L’homme de 26 ans a été dénoncé pour des dommages matériels et sera probablement transféré dans un autre hébergement.

Le motif de son déchainement provient de son mécontentement concernant son approvisionnement.

 

Verlagshaus-jaumann.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Hanovre : Un mineur syrien avait poignardé une jeune Allemande. “Dans notre culture, on peut poignarder. Je ne comprends pas pourquoi je suis en prison.”

"Dans ma culture on peut tuer". La victime de l'attaque au couteau est choquée par la confession du délinquant.

Hier, le public avait été interdit d'accès lors du procès du mineur syrien Abdullah A. (17 ans) à Hanovre.

À la fin du mois de mars, il avait poignardé la jeune femme de 24 ans. La lame de 10 centimètres a cassé ses côtes. Elle a blessé son foie, son estomac, ses reins, son intestin. Vivien était dans le coma. La rate et des parties du pancréas ont été enlevées.

(...)

Le déclencheur de l'attaque: une dispute avec le frère (14 ans) et le cousin de l'accusé au supermarché. Le trio a d'abord frappé Domenic (Nd Schwarze Rose : l'ami de Vivien) dans la rue. Quand Vivien est intervenue, elle a été poignardée. Selon les informations du site d'information BILD, Abdullah A.,  qui se présente comme "réfugié modèle", tient à la déclaration écrite, que son avocat avait donnée avant le procès.

Extrait de la déclaration : "Dans la culture de l'accusé, les conflits sont réglés au couteau. Il décrit les coutumes régionales comme suit: Si on est offensé, on peut poignarder. Dans les cas graves, on peut tuer la personne."

De plus : "Il indique que selon les prescriptions religieuses son comportement n'est pas répréhensible et il ne comprend pas pourquoi il doit se retrouver en détention."

(...)

Bild.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

 

 

Grande-Bretagne : Un demandeur d’asile qui a violé une étudiante de 17 ans dans un cimetière répond: “Oui, je l’ai fait. Pourquoi pas?”

Le prédateur sexuel Ishaq Al-Noor, 21 ans, qui est arrivé au Royaume-Uni en tant que réfugié il y a trois ans, a mené des agressions «presque identiques» contre les femmes en juin et en novembre de l’année dernière.

  • Le prédateur sexuel se nomme Ishaq Al-Noor, 21 ans. Il est arrivé au Royaume-Uni en tant que réfugié il y a trois ans
  • Il a violé l'étudiante en la coinçant dans une rue calme et en la traînant dans un cimetière
  • Six mois plus tard, Al-Noor a alors réessayé avec une autre femme mais elle s'est échappée
  • Le demandeur d'asile a reconnu le viol et la tentative de viol en disant: «Je suis coupable. Oui pourquoi pas?'

 

 

Al-Noor attendait tard le soir que les deux victimes croisent son chemin avant de les entraîner dans le même cimetière sur Spring Bank à Hull, dans le Yorkshire de l’Est.

Lorsqu'il a été accusé de viol, Al-Noor, par l'intermédiaire de son interprète, a déclaré à Hull Crown Court: «Coupable. Oui, j'ai fait ça. Pourquoi pas?'

Il a ensuite répondu «Oui, coupable» à la tentative de viol.

Il sera expulsé après avoir purgé sa peine d'emprisonnement.

(...)

 

Dailymail.co

Traduction libres Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Attentat de Manchester : l’islamiste qui a tué 22 personnes dont 7 enfants lors d’un concert était un réfugié évacué de Libye par la marine britannique

L’auteur de l’attentat suicide de Manchester qui avait fait 22 morts en mai 2017 avait été évacué de Libye trois ans auparavant par la marine britannique, a révélé aujourd’hui le quotidien Daily Mail, citant une source gouvernementale.

 

 

Sadiq Khan, le maire musulman de Londres milite officiellement pour les "réfugiés" qui sont évidemment très majoritairement... musulmans. Source : https://www.mirror.co.uk/news/uk-news/david-cameron-petrified-right-thing-6376502

 

Salman Abedi, un Britannique d’origine libyenne, faisait partie des 110 Britanniques et leurs familles évacués par le HMS Enterprise et amenés à Malte en août 2014, selon le journal. Il s’est fait exploser, à l’âge de 22 ans, à la sortie d’un concert de la chanteuse pop américaine Ariana Grande à Manchester (nord-ouest de l’Angleterre), tuant 7 enfants et 15 adultes. « Que cet homme ait commis une telle atrocité sur le sol britannique après avoir été sauvé de Libye est une pure trahison », selon une source gouvernementale citée par le journal.

 

Son frère Hashem Abedi, qui est détenu en Libye dans le cadre de l’enquête sur l’attentat, avait lui aussi été évacué. D’après un ami de la famille Abedi, cité par le Wall Street Journal l’an dernier, Abedi s’était rendu en Libye avec son père en 2011 pour se battre aux côtés d’une milice de Tripoli en lutte contre le régime de Mouammar Kadhafi.

(...)

Le Figaro

France. Lyon : deux femmes attaquées au couteau de boucher sur leur palier par un migrant syrien

Les deux jeunes femmes qui ont été agressées au couteau dans la nuit du 20 juillet dernier, ne s’attendaient certainement pas à ce que la soirée se termine comme cela.

Alors que ces dernières rentraient chez elles dans un appartement du 7e arrondissement, un jeune homme les a suivies. (…) L’individu monta les escaliers avec elles jusqu’à leur palier. Au moment où l’une d’elle tenta d’ouvrir la porte, le protagoniste brandit alors un couteau de boucher vers la seconde jeune femme qui s’était retournée. Elles ont alors crié faisant fuir l’agresseur. L’une d’elle a été blessée à la main en tentant de se protéger.

Il aurait également effrayé trois autres jeunes femmes cette même nuit leur volant de l’argent et un téléphone portable. L’agresseur âgé de 22 ans et de nationalité syrienne vit dans la rue. (…)

LyonMag.com

Suède : Un migrant syrien arrêté après le viol d’une jeune Suédoise âgée de 13 ans

Une jeune fille de 13 ans a été violée sur la plage d'Örkelljunga, dans le nord-ouest de la Scanie, rapporte l'agence de presse Nyheteridag. Peu de temps après l'incident, la police a arrêté un citoyen syrien de 16 ans soupçonné du crime.

La police a été alertée du viol présumé samedi après-midi. Une équipe de football qui se trouvait sur la plage a retenu le suspect afin que la police puisse l'appréhender.

Le porte-parole de la police, Calle Persson, s'est entretenu avec News Today:

"Il y avait une équipe de football sur la plage tenant un camp d'entraînement. Certains des joueurs et leurs parents, ainsi que d'autres témoins, ont aidé à retenir l'agresseur jusqu'à l'arrivée de la police."

La police a pu identifier le suspect sur place. Il  s'agit d'un citoyen syrien âgé de 16 ans résidant dans le quartier.

La fillette de 13 ans et le Syrien ont tous deux été transportés à l'hôpital pour vérifier si la jeune fille était blessée, mais aussi pour obtenir des pièces à conviction de la part du suspect. La fille sera également interrogée par un officier féminin spécialement formé qui s'occupe des enfants victimes de crimes.

 

Source Source 2 Source 3 Source 4

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

France. Poitiers : Une jeune femme résiste au viol d’un réfugié syrien, sauvée par son jean et son téléphone

Le jeune homme de 20 ans aurait agressé une passante dans le quartier de la gare, à Poitiers. Il nie mais les charges contre lui sont accablantes.

Le 5 juillet dernier, à minuit et demi, le commissariat de police de Poitiers reçoit un appel affolé d’une jeune habitante du quartier de la gare qui dit être victime d’un agresseur qui tente de la violer.

Une patrouille arrive rapidement sur place, à proximité du parking de la gare, juste à temps pour voir un individu qui s’enfuit en courant, passe sur la passerelle Léon-Blum et se débarrasse d’un certain nombre d’objets.

Sauvée par son jean et son téléphone. Quelques secondes plus tard, le fuyard est interpellé. Il s’agit d’un dénommé Muhammad N., ressortissant syrien, bénéficiant d’un titre de séjour d’un an. L’homme porte des traces de griffures, celles que lui a infligées la jeune femme de 23 ans pour l’empêcher d’arriver à ses fins.

Interrogé, le Syrien reconnaît avoir abordé la jeune femme mais « juste pour lui parler ». Telle n’est pas la version de la victime. Elle explique aux policiers avoir été abordée par le garçon qui lui a proposé du cannabis. Devant son refus, l’individu est devenu agressif, l’a empoignée et a glissé une main dans sa culotte. L’homme semble avoir été gêné dans son projet par la résistance de sa victime mais aussi parce qu’elle portait un jean serré.

Dans la bagarre, la jeune femme parvient à saisir son téléphone, à composer le 17 et à lancer son appel à l’aide.

Source : lanouvellerepublique.fr

Via Suaelos.eu

France. Poitiers : Muhammad, un réfugié syrien au bénéfice d’un titre de séjour, tente de violer une jeune habitante

Le 5 juillet dernier, à minuit et demi, le commissariat de police de Poitiers reçoit un appel affolé d’une jeune habitante du quartier de la gare qui dit être victime d’un agresseur qui tente de la violer.

Quelques secondes plus tard, le fuyard est interpellé. Il s’agit d’un dénommé Muhammad N., ressortissant syrien, bénéficiant d’un titre de séjour d’un an. L’homme porte des traces de griffures, celles que lui a infligées la jeune femme de 23 ans pour l’empêcher d’arriver à ses fins.

(…) Elle explique aux policiers avoir été abordée par le garçon qui lui a proposé du cannabis. Devant son refus, l’individu est devenu agressif, l’a empoignée et a glissé une main dans sa culotte. L’homme semble avoir été gêné dans son projet par la résistance de sa victime mais aussi parce qu’elle portait un jean serré.

La Nouvelle République

Allemagne: un réfugié irakien accusé de torture, de séquestration et de menace sur sa compagne. “Afin de préserver la sphère privée du prévenu, le procès n’est pas public.”

Un réfugié irakien se tient face au tribunal de district. Hussein H. (20 ans) est accusé de lésions corporelles, de contrainte, de menace et de séquestration par sa maitresse berlinoise.

L'Irakien a été arrêté en octobre 2017. À la demande de l'accusé, le procès se déroule sans spectateurs. Les juges justifient l'exclusion du public par des recherches approfondies sur la «vie intime et émotionnelle de l'accusé» et ne veulent pas mettre en péril sa «resocialisation ultérieure».

Sa partenaire aurait décrit aux enquêteurs un martyre long de six mois. Selon l'acte d'accusation, elle a été blessée plusieurs fois. Une fois, il aurait attaché les jambes et les bras de la femme, l'aurait lacérée sur tout le corps avec une lame de rasoir et aurait frotté les plaies qui saignaient avec du sel et du citron.

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Crise migratoire: un réfugié mineur seul dans l’UE peut demander à faire venir sa famille

Jeudi, la Cour de justice de l'Union européenne a décidé que les réfugiés n'ayant pas encore atteint la majorité pouvaient demander à faire venir leurs familles s'ils entraient seuls sur le territoire européen.

Les réfugiés, qui entrent seuls dans l'Union européenne (UE) en tant que mineurs, peuvent demander à être réunis avec leurs familles. Et cela même s'ils ont atteint la majorité lorsque le processus arrive à son terme, a décidé jeudi la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE).

(...)

Source

Nos remerciements à SD-Vintage

Suisse: Lorsque notre administration accueillait les criminels de l’UCK en tant que réfugiés.

Interpellation déposée par Frehner Sebastian, Groupe de l'Union démocratique du Centre en date du 15 mars 2012.

Figurant dans un rapport du Conseil de l'Europe datant de décembre 2010, les accusations portées contre des personnes faisant partie des plus hautes sphères de la société au Kosovo concernent des crimes graves et des violations des droits de l'homme. Il est problématique que H. Thaçi et d'autres dirigeants de l'UCK aient obtenu le statut de réfugié en Suisse. Il ressort d'un travail de licence présenté à l'Université de Zurich en 2008 que H. Thaçi a organisé depuis la Suisse - alors qu'il bénéficiait du statut de réfugié - un trafic d'armes et plusieurs attaques contre des unités de la police yougoslave entre 1993 et 1996.

A cet égard, je prie le Conseil fédéral de répondre aux questions suivantes:

1. Ces événements sont-ils connus des autorités compétentes (comme le DFJP, le DFAE, l'ODM, le SAP, le MPC et Fedpol)?

2. A-t-on enquêté sur X. Haliti et H.

pour des infractions en matière de stupéfiants et des infractions contre la propriété, avant tout dans le canton de Zurich, voire ouvert des enquêtes pénales contre eux avant de les suspendre?

3. Les autorités susmentionnées avaient-elles connaissance du fait que H. Thaçi avait été accusé de possession illégale d'armes en Albanie en 1993?

4. Pour quelles raisons H. Thaçi s'est-il vu prononcer une interdiction d'entrée en Suisse en 2002?

5. Pourquoi l'ODM n'a-t-il pas retiré la qualité de réfugié à H. Thaçi et à X. Haliti?

6. Qui était responsable de l'octroi des bourses à H. Thaçi et à X. Haliti et de leur immatriculation à l'Université de Zurich dans les années 1990?

7. Pourquoi le Conseil fédéral n'a-t-il pas informé la Commission de politique extérieure, en 2008, quand la proposition a été faite de reconnaître l'indépendance du Kosovo, alors dirigé par H. Thaçi, du fait que ce dernier était sous le coup d'une interdiction d'entrée en Suisse prononcée en 2002?

8. En février 1999, un avis de recherche a été lancé contre H. Thaçi pour plusieurs attentats terroristes perpétrés contre des unités de police. Les autorités avaient-elles connaissance de cet avis de recherche?

9. Pourquoi Bardhyl Mahmuti, président d'un parti en Macédoine, et Azem Syla, commandant de l'UCK, sont-ils toujours en possession d'un permis C?

10a. Les autorités fédérales connaissent-elles les sociétés "Feniks Company" et "Mabatex", qui ont leur siège en Suisse? Pourquoi des enquêtes pénales ont-elles été ouvertes contre elles?

10b. Des membres connus de l'UCK étaient-ils impliqués dans ces sociétés?

11. Quels sont les noms des membres de l'UCK qui ont pu échapper aux autorités suisses en prenant la fuite bien que des enquêtes pénales aient été ouvertes contre eux?

 

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La presse alémanique reste interloquée par les liens étroits entre Berne et Hashim Thaçi, décrit "depuis peu" comme un boucher sans scrupules.

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Avis du Conseil fédéral du 16 mai 2012

Pour des raisons ayant trait à la protection de la personnalité, le Conseil fédéral est habilité à ne pas apporter de précisions concernant certaines questions posées par l'auteur de l'interpellation en vertu de l'article 7 alinéa 2 lettre c de la loi sur l'Assemblée fédérale (RS 171.10) lorsque les informations demandées doivent rester confidentielles (cf. réponses aux interpellations Wobmann 11.3294 et Stamm 11.3271).

Par ailleurs, le Ministère public de la Confédération est tenu, conformément à l'article 73 alinéa 1 du Code de procédure pénale (CPP; RS 312.0), de garder le silence sur les faits qui lui ont été rapportés et sur les mesures prises. En vertu de cette obligation de garder le secret et selon le principe de la séparation des pouvoirs, le Conseil fédéral ne peut fournir que des réponses partielles.

1. Les événements sont connus des autorités compétentes. Dans son rapport sur la protection de l'Etat 1998, le DFJP a décrit précisément le rôle de l'Armée de libération du Kosovo (UCK) et mentionné le soutien financier et logistique fourni par des groupes d'immigrés. Hashim Thaçi a été cité dans ce contexte comme étant un dirigeant de l'UCK domicilié en Suisse.

2. Ce sont les autorités cantonales qui sont responsables de la poursuite pénale en cas d'infractions en matière de stupéfiants et contre le patrimoine.

3./8. Pour des raisons de protection de la personnalité, le Conseil fédéral ne peut fournir aucune information à ce sujet. Comme l'a indiqué le Conseil fédéral dans sa réponse à l'interpellation Stamm 11.3271, les activités de l'UCK sont mentionnées dans le chapitre intitulé "Terrorisme et extrémisme violent" du rapport sur la protection de l'Etat de 1999, publié par le DFJP.

4. Comme l'a précisé le Conseil fédéral dans sa réponse à l'interpellation Wobmann 11.3294, il s'était aussi penché sur le cas d'Hashim Thaçi lorsqu'il a pris sa décision le 3 juillet 2001 concernant des interdictions d'entrée contre trois dirigeants de l'UCK et qu'il avait pris connaissance des mesures réservées du DFJP. Ces mesures étaient dues au rôle déstabilisateur de l'UCK dans le sud de la Serbie et en Macédoine. La Suisse n'avait pas l'intention de tolérer les activités de ce groupe. Hashim Thaçi n'a cependant pas été frappé d'une interdiction d'entrée, pour divers motifs qui ne peuvent être précisés ici en raison de l'obligation de garder le secret mentionnée plus haut.

5. Hashim Thaçi et Xhavit Haliti, comme d'autres anciens membres de l'UCK, ont été reconnus comme réfugiés et ont obtenu l'asile sur une période allant du 20 novembre 1986 au 16 février 1996. Ils ont pu prouver ou, du moins, rendre vraisemblable qu'ils étaient poursuivis par les autorités de l'ex-Yougoslavie en raison de leurs opinions politiques. Les autorités compétentes en matière d'asile ont examiné chaque demande avec soin et de manière individuelle. Au moment de la décision, il a été vérifié, pour chacun des cas, qu'il n'existe aucun motif d'exclusion (cf. art. 53 de la loi sur l'asile; RS 142.31; art. 1F de la Convention relative au statut des réfugiés; RS 0.142.30). Peu après la fin de la guerre au Kosovo, une procédure de révocation de l'asile a été lancée à la fois pour Hashim Thaçi et Xhavit Haliti et pour d'autres anciens membres de l'UCK. Xhavit Haliti possédait alors déjà, en vertu de dispositions légales (art. 60 LEtr), une autorisation d'établissement à validité non limitée. Le 3 juillet 2001, le Conseil fédéral a prononcé une interdiction d'entrée à l'encontre de Xhavit Haliti, qui s'est suivie de la suppression de son autorisation d'établissement.

6. L'octroi des bourses relève des autorités cantonales et les immatriculations sont quant à elle du ressort des universités. Dans le cas d'Hashim Thaçi et de Xhavit Haliti, il s'agit de l'Université de Zurich.

7. Cf. réponse à la question n° 4. Etant donné qu'aucune interdiction d'entrée n'a été prononcée contre Thaçi, la question portant sur le fait que la Commission de politique extérieure n'a pas été informée ne se pose pas. Il convient d'ajouter que, du point de vue de la politique extérieure, la reconnaissance du Kosovo signifie la reconnaissance d'un Etat; cet acte souverain de la Suisse n'était pas lié à des personnes en particulier. Le Conseil fédéral était convaincu que cette décision, qui clarifiait la question du statut du Kosovo, permettrait de pacifier et de stabiliser la région.

9. Selon la répartition des compétences prévue par le droit des étrangers, les autorités cantonales statuent sur l'octroi et la révocation des autorisations de séjour et d'établissement. Dans le canton de Vaud, des clarifications sont en cours pour savoir si le maintien de l'autorisation d'établissement de Bardhyl Mahmuti se justifie ou si cette autorisation prend fin du fait qu'il séjourne en réalité à l'étranger.

L'autorisation d'établissement d'Azem Syla a été révoquée par jugement du tribunal administratif du 13 février 2012 et le délai de son départ a été fixé au 15 mai 2012. Après l'entrée en force de ce jugement, l'ODM examinera l'opportunité de prononcer une interdiction d'entrée pour manquements liés aux assurances sociales et pour comportement frauduleux à l'égard des autorités.

10a/10b/11. Pour des raisons de protection de la personnalité et de maintien du secret en cas de procédures pénales, le Conseil fédéral ne peut pas se prononcer à ce sujet.

Source

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