Apologie du terrorisme : deux Afghans interpellés dans un centre pour migrants à Poitiers

Les deux suspects afghans âgés de 25 - 30 ans sont toujours en garde à vue. Ce sont des messages repérés sur Facebook il y a quelques jours qui ont déclenché l'ouverture de l'enquête, indique le parquet de Poitiers.

Des investigations et des vérifications techniques sont en cours notamment pour vérifier qui est le titulaire du compte et s'il a été usurpé pour publier les propos litigieux.

Ils font référence à l'assassinat de Samuel Paty auquel un hommage national était rendu ce lundi dans les établissements scolaires.

L'un des suspects est soupçonné d'avoir diffusé les messages, l'autre a été interpellé car la chambre d'hôtel où se trouvait son compatriote est à son nom.

[...]

Lanouvellerepublique.fr

Poitiers : un homme poignardé par un clandestin algérien “gentil et serviable”

Le 26 juillet dernier, un homme de 29 ans, domicilié en Belgique, se faisait violemment poignarder lors d'une partie de pétanque dans le quartier de Beaulieu à Poitiers. Son pronostic vital avait été d'abord engagé, avant que sa situation ne s'apaise. Il s'était vu attribuer un arrêt de travail d'un mois, relate La Nouvelle République.fr.

Le procès du suspect présumé se tenait mercredi 29 juillet. Mohamed A. a été jugé en comparution immédiate et a demandé un délai. Il s'agit d'un clandestin algérien de 30 ans qui fait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français notifiée depuis le 28 juillet.

France. Poitiers : Une jeune femme résiste au viol d’un réfugié syrien, sauvée par son jean et son téléphone

Le jeune homme de 20 ans aurait agressé une passante dans le quartier de la gare, à Poitiers. Il nie mais les charges contre lui sont accablantes.

Le 5 juillet dernier, à minuit et demi, le commissariat de police de Poitiers reçoit un appel affolé d’une jeune habitante du quartier de la gare qui dit être victime d’un agresseur qui tente de la violer.

Une patrouille arrive rapidement sur place, à proximité du parking de la gare, juste à temps pour voir un individu qui s’enfuit en courant, passe sur la passerelle Léon-Blum et se débarrasse d’un certain nombre d’objets.

Sauvée par son jean et son téléphone. Quelques secondes plus tard, le fuyard est interpellé. Il s’agit d’un dénommé Muhammad N., ressortissant syrien, bénéficiant d’un titre de séjour d’un an. L’homme porte des traces de griffures, celles que lui a infligées la jeune femme de 23 ans pour l’empêcher d’arriver à ses fins.

Interrogé, le Syrien reconnaît avoir abordé la jeune femme mais « juste pour lui parler ». Telle n’est pas la version de la victime. Elle explique aux policiers avoir été abordée par le garçon qui lui a proposé du cannabis. Devant son refus, l’individu est devenu agressif, l’a empoignée et a glissé une main dans sa culotte. L’homme semble avoir été gêné dans son projet par la résistance de sa victime mais aussi parce qu’elle portait un jean serré.

Dans la bagarre, la jeune femme parvient à saisir son téléphone, à composer le 17 et à lancer son appel à l’aide.

Source : lanouvellerepublique.fr

Via Suaelos.eu

France. Poitiers : une jeune femme et son compagnon tabassés pour avoir répondu « Non, vive la France ! » à des individus qui criaient « vive l’Algérie ! »

Si d’autres grandes villes ont connu une nuit beaucoup plus chaud, Poitiers a tout de même été le théâtre d’incidents dans la nuit de dimanche à lundi.  

Vers minuit, quartier de Saint-Eloi, deux jeunes de 19 ans sont dépassés par une voiture d’où sort un cri : « Vive l’Algérie ! ».

Les passants ont le malheur de répondre « Non, vive la France ». Le conducteur descend, donne un coup de poing à la jeune femme qui tombe au sol. Puis des complices arrivent à pied et frappent son compagnon qui s’en tire avec des bleus sur tout le corps. Il a un arrêt de travail inférieur à 8 jours. Les agresseurs sont recherchés par la police.

(…)

France Bleu

Poitiers : l’imam révèle que la Grande mosquée porte le nom de la bataille de Poitiers (Balat al-Chouhada) sur une chaîne qatari

Dans un reportage de la chaîne qatari Al Rayyan, l’imam de la Grande mosquée de Poitiers Boubaker El Hadhj Amor, révèle que sa mosquée porte le nom arabe de la Bataille de Poitiers.

 

 

 

 

Scandale: Génération Identitaire condamné à plus de 40 000 euros d’amende pour l’occupation pacifique du chantier de la mosquée islamiste de Poitiers

Communiqué de Génération Identitaire:

Nous venons d’apprendre avec consternation la décision du Tribunal de Grande Instance de Poitiers qui vient de prononcer une condamnation hallucinante de 1 an de prison avec sursis et à plus de 40.000€ d’amende à l’encontre de 5 de nos anciens militants, Maxime, Benoit, Alban, Damien et Julien, accusés d’avoir organisé l’occupation pacifique du chantier de la Grande Mosquée de Poitiers en 2012. Plus de 70 militants de Génération Identitaire avaient occupé pacifiquement le toit du chantier de cette mosquée islamiste, pour réclamer un référendum sur la construction de mosquées et l’immigration.

Le procès était intenté par l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF), antenne française des Frères Musulmans, organisation islamiste classée terroriste dans plusieurs pays. Par cette décision, la justice de notre pays montre clairement qu’elle a choisi son camp : celui des islamistes de l’UOIF contre celui des défenseurs de la France.

Après les attaques terroristes islamistes de Charlie Hebdo, du Bataclan, de la promenade des Anglais ou de Marseille, la condamnation de jeunes citoyens pacifiques avertissant les Français sur le danger que représentait le développement de l’islamisme et de l’immigration massive est particulièrement scandaleuse. Elle envoie un signal terrifiant à tous ceux qui dénoncent avec courage les islamistes et à toutes les victimes.

Révoltés par cette décision, les « 5 de Poitiers » et leurs avocats ont annoncé leur intention de faire immédiatement appel et de se battre jusqu’au bout.

Nous appelons solennellement aujourd’hui tous les adhérents, amis et sympathisants de Génération identitaire, mais plus largement tous les défenseurs de la France et tous ceux qui sont révoltés par cette décision à faire preuve de solidarité avec Maxime, Benoit, Alban, Damien et Julien et à publiquement faire part leur solidarité en partageant cette vidéo ou en apportant un soutien financier pour les aider à couvrir leurs frais d’avocats en faisant un don ici.

Source

Poitiers: L’école met en garde contre l’intégrisme musulman

Une circulaire du rectorat de l’académie de Poitiers, visant à aider les enseignants à détecter les élèves en phase de radicalisation religieuse, est critiquée par des syndicats.

B3BueITCIAA6Pj4

Le document embarrasse le ministère de l’Education nationale. Une circulaire du rectorat de Poitiers, envoyée par mail aux chefs d’établissement de la Vienne, a pour ambition de prévenir la radicalisation en milieu scolaire. Ce document de 14 pages, rendu public par Mediapart, est critiquée par des syndicats qui y voient au mieux une « maladresse », au pire du « racisme », seul l’islam étant visé.

« Habillement musulman, refus du tatouage, perte de poids »… Dans ce document intitulé « Prévention de la radicalisation en milieu scolaire », les enseignants sont appelés à prendre en compte plusieurs critères. Et tous concernent l’extrémisme musulman, alors que le document ne précise à aucun moment de quelle radicalisation il s’agit.

A la manière d’un « petit guide pratique du parfait djihadiste, le Powerpoint énumère plusieurs critères, parmi lesquels figurent une « barbe longue non taillée (moustache rasée) », des « cheveux rasés », un « habillement musulman », le « refus du tatouage », une « perte de poids liée à des jeûnes fréquents ».

Sont mentionnés également des comportements de type « repli identitaire », « exposition sélective aux médias », « rhétorique politique » concernant notamment la Palestine, la Tchétchénie, l’Irak. La circulaire invite aussi à surveiller ceux qui s’intéressent de près à l’histoire des débuts de l’islam. Toutefois, à aucun moment, le document ne précise comment doivent réagir les chefs d’établissement s’ils constatent ce type de comportement.

« C’est extrêmement dangereux ». A Poitiers, Magali Espinasse, secrétaire départementale du Syndicat national des enseignants du secondaire (SNES), dénonce une circulaire qui stigmatise certains élèves. « Tout est choquant. C’est simpliste, schématique et faux. C’est extrêmement dangereux. C’est n’importe quoi. ‘Habillement musulman’, ça veut dire quoi ? ‘Cheveux rasés’, ça veut dire quoi ? ‘Refus du tatouage’, vous êtes pour ou contre la tatouage ? Et s’ils sont contre, on les dénonce comme des futurs djihadistes ? », interroge-t-elle au micro d’Europe 1.

Pour le secrétaire départemental du syndicat UNSA, Jean-François Roland, « les termes employés sont maladroits ». « Ce n’est pas vraiment le vocabulaire qu’emploie habituellement l’Education nationale. Je pense qu’il a manqué une relecture avant diffusion », a-t-il ajouté, également auprès de France Bleu.

« Un document perfectible ». De son côté, le rectorat de Poitiers a confirmé la diffusion de la circulaire, mais n’a pas souhaité faire d’autre commentaire. Interrogée sur France 3, la ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a évoqué un document « sans doute perfectible, c’est incontestable » et « une démarche isolée (…) faite dans cette académie ». « Peut-être que les mots ne sont pas parfaits, et nous allons en effet améliorer les choses », a-t-elle ajouté, tout en soulignant qu’ »on ne peut pas s’en tenir à la description faite par le papier de Mediapart pour comprendre quel était l’intérêt de ce document ».

Source