Divagations europhiles et internationalistes de nos médias.

Un de nos lecteur nous propose dans la série : «il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir», la suite des divagations europhiles et internationalistes de nos médias.

Le journal de 7 heures de la 1ère continue sur sa lancée de petit catéchisme pour européistes.  Et encore ce mardi matin 5 janvier sur les ondes -négatives- de la radio socialiste romande. Lors de l'interview d'Yves Bertoncini - directeur de l'institut Jacques Delors, c’est dire s'il en croque! - nos sempiternels donneurs de leçons en ont remis une couche. La solidarité fonctionne à plein régime entre parasites subventionnés.
Bref, entre les regrets sur Schengen, «pas mort» paraît-il (on n'a pas les mêmes lectures…) et les frontières fermées entre Autriche, Allemagne, Danemark et Suède, ces dignes représentants de la confrérie des lécheurs d’anus en profitent pour remettre une couche anti-UDC dans l'optique de la votation du 28 février prochain sur la fameuse initiative de mise en œuvre.
Pour résumer, nos 2 complices s’amusent que le nombre de naturalisations ait augmenté, comme quoi la crainte de cette initiative pousse(rait) les étrangers à demander leur naturalisation. Hi, hi. hi, l'UDC qui est contre les étrangers est directement la cause de cette augmentation, comme c'est drôle!

C’est marrant, parce que j’ai un bon copain, né de parents français, qui a effectivement demandé sa naturalisation en 2015. Les bobos de la RSR devrait l'interviewer, ils seraient surpris. Parce que si cet ami - indépendant, parfaitement intégré, en Suisse depuis sa naissance il y a plus de 40 ans - a enfin demandé sa naturalisation, ce n'est pas par peur de l'initiative, bien au contraire. Jusqu'à présent, il craignait les formalités et les complications, n’avait pas envie de se coltiner le «long parcours du combattant» (sic) d'une naturalisation, les leçons d’histoire, etc. Ce qui est risible lorsqu'on sait qu'il a fait toute sa scolarité en Suisse! Bref, convaincu par ses amis que ce ne serait qu'une formalité - justement -, il s'y est enfin attelé.
Et s'il l'a fait, c’est peut-être par peur, d'une certaine manière. Peur de ce que la France est devenue. Peur de la Socialie et du bordel ambiant. Peur de la délinquance et des zones de non-droit. Peur de devoir rendre des comptes à des fonctionnaires fouineurs, peur d’une fiscalité délirante. Peur de l'état d’urgence et de la dictature pro-européene. Peur d’une immigration incontrôlée et de de la mort des démocraties.

Mon ami a reçu son passeport et pourra bientôt aller voter. Certainement UDC.

Jeferson, janvier 2016

Ce à quoi je pense en cette fin d’année

FN-violences-3

 

Depuis décembre 2014, je publie mes articles sur Les Observateurs, à raison d'un ou deux billets par semaine. Auparavant, en fait depuis avril 2007, je publiais déjà mes analyses sur Internet. Je dois avouer que l'année 2015 qui s'achève fut particulièrement riche en événements. Au plan mondial, notamment dans le conflit en Syrie, Poutine a décidé de prendre les choses en mains, face à l'islamo-gauchiste Obama. En Europe, la migration mahométane de peuplement est devenue massive.
 
Au Proche et au Moyen Orient, ainsi qu'en Libye, l'Etat Islamique (EI), malgré la nouvelle stratégie de Poutine, continue de dominer, pour l'instant du moins, le théâtre des opérations. L'EI contrôle une partie de la Libye, à 300 km seulement de l'Europe, et, il infiltre les rangs des "migrants". Une Europe qui a résolument choisi le camp de l'islamisme conquérant et violent, allant jusqu'à alléguer que le problème majeur sur le Vieux continent, c'est "l'islamophobie" et "l'extrême-droite".
 
Je suis impressionné par le degré de stupidité et de sectarisme atteint dans les médias européens au cours des douze derniers mois. Ils sont devenus un appareil répressif qui "tue" toute personne osant écrire ne serait-ce que quelques vérités de simple bon sens. Le quatrième pouvoir est devenu le premier pouvoir et il glisse toujours plus vers le totalitarisme. Il risque, à force d'en rajouter, de faire régner le chaos, et, même, de déclencher une guerre civile européenne. Le journaliste-type en 2015 ne ressemble pas aux idiots utiles du temps de la Guerre froide. Non. le journaliste-type en 2015 va plus loin.
 
Le journaliste-type en 2015 fait, purement et simplement, partie de la nomenklatura et son appareil bureaucratique. Il n'est pas un simple idiot utile. Il est un fonctionnaire journaleux dans le système répressif et au service du système répressif. Il est un apparatchik. Nous sommes entré dans l'ère du Stasi-journalisme ouest-européen. Nous sommes des dissidents et des insoumis que l'on déporterait volontiers dans l'Archipel d'Allah, dans le Daesh-goulag, dans les camps du réchauffement islamique de la planète, une sorte de retour vers l'enfer du désert syro-irakien et son napalm vert-coranique. Apocalypse Now : this is the end my friend.

 
Sur son blog, Christian Vanneste, président de La Droite Libre, un laboratoire d’idées conservateur et libéral (voir lien en bas de page), écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien en bas de page) : On ne peut toutefois qu’être frappé par la disparition de toute cohérence entre la réalité et les discours, de toute logique dans les discours eux-mêmes. On assiste à une fragmentation de la pensée, à une fragilité des idées qui se chassent les unes les autres, sans exclure toutefois certaines obsessions qui, elles, reviennent régulièrement.
 
Christian Vanneste : On peut même constater l’accueil complaisant de certains délires. Certes, la mauvaise foi idéologique peut les expliquer. Certes, leur raison d’être peut se trouver dans un souci de se mettre en valeur par des propos excessifs, ou par le service, rémunéré ou non, à rendre à certains groupes de pression, mais jamais le « viol en réunion » du bon sens n’a atteint un degré si provoquant, comme si à force d’abêtir l’opinion, désormais tout était possible.
 
Christian Vanneste : Un récent article du « Monde » ( 24/12/2015) en donne une illustration saisissante. Le titre affirme que « La presse internationale critique l’extension de la déchéance de la nationalité. » A la lecture, il s’avère que cette presse se réduit au Wall Street Journal, au Temps suisse, à La Libre Belgique et… à un site saoudien, Arab News, qui dénonce le cadeau fait au FN. Cette leçon de démocratie venue de la monarchie absolue wahhabite laisse pantois. Le journal financier américain s’alarme en spécialiste pour les valeurs françaises, comme l’égalité. Le quotidien helvète s’inquiète pour le Président qui risque de « perdre son âme ».
 
Christian Vanneste : Qu’un individu qui a plusieurs nationalités, qui est donc plus « égal » que les autres, perde celle qu’il aime au point de tuer « ses compatriotes » parce qu’ils sont français procède cependant du plus élémentaire bon sens. Cette mesure a été réclamée par de nombreux élus de droite dont je faisais partie. Elle n’appartient pas au FN. Quant au sacro-saint et républicain droit du sol, il est sauf pour les ignares, un droit monarchique retrouvé par la République pour se faire des soldats à bon compte. Le droit du sang est celui de la République, acté lors de la rédaction du Code Civil. Notre « quotidien de référence » n’hésite pas à reprendre une double réduction. Les idées de droite sont FN, et le FN, c’est le diable. Ce sont bien sûr les mêmes qui clament : « Pas d’amalgame ».
 
Christian Vanneste : Or, ce principe ne vaut qu’à sens unique. Certes beaucoup de musulmans pratiquants vivent leur foi paisiblement. Mais il faut s’isoler sur une île déserte, sans la moindre communication, et en se bouchant par précaution les yeux et les oreilles, pour ne pas voir que de l’Afrique jusqu’à Bruneï, en passant par le Moyen-Orient, le fanatisme et l’intolérance sont associés à l’Islam, pour ne pas percevoir les difficultés de l’intégration en France d’une population musulmane trop importante et trop éloignée culturellement, pour ne pas savoir que contrairement aux Evangiles, le Coran ne contient pas que de paroles de paix. « Ce sont des maudits. Où qu’on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement » ( S33 v61) n’est pas le précepte d’un Dieu d’amour.
 
Christian Vanneste : Négligeant ces évidences cruelles, une certaine Sophia Aram a récidivé dans l’amalgame vicieux commis par Bourdin. Celui-ci avait cru deviner une communauté d’esprit entre Daesh et FN ( Pas d’amalgame ! ). Manifestement très contente d’elle-même, celle qui porte si mal son prénom a renchéri. Aucun doute pour elle : ce qui est grave, ce n’est pas de commettre des atrocités, c’est de les montrer ou d’en parler. Le vrai danger n’est pas Daesh qui tue, mais le FN qui montre les tueries, et qui avoue sa vraie nature raciste, en retirant une des trois photos, celle du journaliste blanc américain en laissant les deux autres.  Amalgame au carré, inversion des valeurs, procès d’intention : un exemple caricatural donné par une prétendue journaliste, dont la vocation de commissaire politique ne fait aucun doute. La nullité satisfaite du discours a un mérite. Ensuite, on peut dire : « le vide existe, je l’ai rencontré ».
 
Christian Vanneste : Ainsi, tous les jours, le vieux bon sens cartésien des Français est-il bombardé, atomisé. Les nationalistes corses prétendent qu’il y a une nation corse, mais s’effraient dès que la boîte de Pandore du communautarisme s’ouvre avec fracas. Un traquenard est tendu à des policiers et des pompiers dans un « quartier sensible » d’Ajaccio, habité semble-t-il par de nombreuses personnes d’origine musulmane. En réaction, une salle de prières  est vandalisée. Pas d’amalgame, bien sûr… Mais qui ne voit qu’à force de favoriser le communautarisme, en laissant s’étendre les « communautés », ou en les reconnaissant comme telles, on crée les conditions de ces affrontements ?
 
Christian Vanneste : Lorsque des discours irrationnels essaient de justifier une politique absurde, on peut pronostiquer l’issue fatale. Depuis des années, les Français sont soumis à un bourrage de crâne pour leur faire croire que la dépense publique est une vertu et l’euro une monnaie géniale, que le sexe n’est qu’une invention sociale, l’Histoire de France, une suite de crimes dont il faut se repentir, et enfin, que leur pays se résume à un espace laïc et ouvert à tous pour y « vivre ensemble ». Le fait qu’un certain nombre d’entre eux gardent toute leur tête et résistent à la schizophrénie ambiante tient du miracle, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir lien en bas de page).
 
De son côté, sur Riposte Laïque, Thierry Michaud-Nérard écrit (extraits adaptés ; voir lien en bas de page) : Lu dans la presse : « Cohabitation (UMPS) dans les régions : entre eux, ça va faire des étincelles ! Dans plusieurs régions conquises par (l’UMPS), les nouveaux maîtres (des fraternités) doivent compter avec les puissants barons locaux (des fraternités) et les maires socialistes (des fraternités) des grandes villes ». Philippe Martinat, dans le Parisien, veut nous faire croire que Xavier Bertrand « ne mange pas dans la main » de Martine Aubry, pour tromper les électeurs du ch’nord, assujettis aux notables bourgeois de province.
 
« Depuis le 13 décembre et le second tour des élections régionales, de drôles de cohabitations (UMPS) sont en train de se chercher entre certains maires (UMPS) socialistes de très grandes villes qui règnent aussi parfois sur leur métropole et les nouveaux présidents de régions, élus (UMPS) de droite. « S’ils peuvent se retrouver sur certains points, ces couples pacsés, contre leur (plein) gré, vont aussi probablement (faire semblant de) s’affronter sur d’autres (quand leur) point commun (est) la détestation du Front national. Au lendemain de sa victoire acquise… grâce au désistement de la liste PS, Xavier Bertrand, le président (UMPS) de la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a demandé à rencontrer Martine Aubry.
 
« Où ? » a questionné la maire de Lille. « Dans votre mairie », a répondu (le) conciliant Bertrand… en souvenir des gaufres qu’Aubry lui avait offertes pour le remercier de son aide au CHU de Lille, lorsqu’il était ministre… L’entretien, auquel assistait Pierre de Saintignon, a été « franc, cordial et direct », selon Bertrand ». Et finalement, Philippe Martinat nous propose, dans le Parisien, un conte de Noël : « Mais tout ne sera pas toujours sucré entre les deux barons de la gauche et de la droite. Bien qu’il s’en défende (mollement) « Je ne veux pas partir à la conquête de Lille ». Bertrand (UMPS de droite) y sera peut-être mécaniquement poussé par la dynamique en faveur de la droite (de Marine Le Pen) dans cet ancien bastion de gauche du Nord.
 
« Après avoir conquis la métropole de Lille, le département du Nord puis la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, le prochain domino est le beffroi de Lille », pronostique un socialiste (UMPS de gauche) du cru. « Même si l’interlocuteur naturel du patron de la région, sur les dossiers économiques, est la métropole de Lille, dirigée par Damien Castelain, un maire de sensibilité centre droit, élu (UMPS de droite) avec l’aval d’Aubry (et) soutenu par la droite (UMPS), la capitale régionale fait de sa maire un partenaire incontournable. Bertrand a promis de la consulter régulièrement au sein d’une conférence territoriale régionale (UMPS) ».
 
Les médias, grassement subventionnés, doivent rendre crédible le mythe de la discorde (UMPS). C’est la « rivalité négociée par les bourgeois UMPS », pour le partage en commun des rentes et des privilèges. Les bourgeois UMPS se connaissent bien et ils déjeunent ensemble sur le dos des contribuables. Ils se sont amusés à tromper les électeurs assoupis, avec leur hystérie anti-FN, ce dont Marine s’est offusquée à bon droit. Les bourgeois UMPS se complaisent à ces fausses échauffourées, alors que les relations entre les irresponsables politiques, UMPS de gauche et UMPS de droite, que rien n’oppose, sont au beau fixe. On veut nous faire croire que tout opposerait l’UMPS de gauche et l’UMPS de droite, dans le style et sur le fond, quand on a vu les attitudes de l’UMPS, après les fausses attaques et les copinages en fin de campagne.
 
L’UMPS de gauche et l’UMPS de droite se rejoignent dans une antipathie commune envers Marine, la seule à représenter « un vrai chef de file de l’opposition », dont elles ne goûtent, ni sa manière de faire de la politique de manière concrète, ni sa personnalité, courageuse et déterminée, ni sa moralité. Comme de pures mystifications politico-médiatiques, l’UMPS de gauche et l’UMPS de droite voudraient faire semblant d’avoir des désaccords, notamment sur le « financement du logement pour les migrants et les sans-papiers », jusque dans les quartiers bourgeois de la capitale. Personne ne croit que l’UMPS fera l’erreur d’être transparente.
 
C’est pourquoi on n’attend aucune vérité « des intrigues et manipulations des fraternités GOF-UMPS ». On peut suggérer à Marine l’idée d’établir des « tests de dépistage » des intrigues occultes des fraternités GOF-UMPS, qui œuvrent en sous-main, et en confiance, dans l’entourage de Hollande et de l’État-PS. Le point commun des élus des fraternités GOF-UMPS, c’est qu’ils ne sont pas rivaux. Après avoir fait semblant de s’opposer, les uns contre les autres, sur les plateaux des télés, durant les régionales, l’UMPS de droite a invité l’UMPS de gauche à la séance inaugurale des nouveaux conseils régionaux. La poignée de main de l’UMPS de droite a été pour l’UMPS de gauche, une fois élue à la présidence des régions.
 
« Une main lave l’autre et on s’entend comme larrons en foire », alors que les pommes de discorde sont des enjeux factices entre l’UMPS de gauche et l’UMPS de droite, comme dénoncées par Philippe de Villiers. Il s’agit avant tout de ne représenter aucun danger électoral pour les ambitions des élus de l’UMPS qui tiennent beaucoup à « tous les avantages indus de leur misérable carrière politicienne ». Ils n’ont donc pas à craindre la moindre critique, sur tous les aspects de la corruption des élus, dans la gestion obscure des régions et dans les « subventions pour l’aide aux entreprises amies », celles qui soutiennent les politiciens, façon Gattaz.
 
L’UMPS de gauche est, semble-t-il, sévèrement sur ses gardes, quand l’UMPS de droite ne cesse de progresser dans les régions. L’UMPS de gauche, consciente de la tactique de l’UMPS de droite, sait bien où elles veulent toutes les deux en venir, en effet, pour tromper les électeurs par leur « hystérie anti-FN ». En clair, l’UMPS de gauche et l’UMPS de droite sourient en catimini et rient sous cape, conscientes de la tactique des fraternités GOF-UMPS destinée à planter Marine. Pourtant, la ligne Bleu-Marine est la seule puissante force d’opposition au système corrompu de la fausse alternance gauche-droite. Elles ont en partage une vraie compétence commune, celle qui est de faire élire des copains des fraternités GOF-UMPS, tactique destinée à maintenir le système UMPS en place. Cela ne devrait pas poser trop de problèmes aux nouveaux élus des régions, qui sont des adeptes convaincus des « entreprises occultes des fraternités GOF-UMPS ».
 
La fausse division du système UMPS en place n’est pas de favoriser la civilisation. Elle doit susciter des groupes de copains des fraternités GOF-UMPS qui, sans elle, n’existeraient pas. Elle joue le même rôle que les maffias, où elle est la source de cohésion des clans maffieux. La solidarité maffieuse des fraternités GOF-UMPS a pour but principal de faire élire des copains, pour contourner les règles démocratiques. Le lien de solidarité des fraternités GOF-UMPS est celui dont « la réfutation des règles démocratiques constitue le vrai crime ». On saura donc ce qu’est le système UMPS, si l’on sait ce qu’est « son crime contre la démocratie », conclut Thierry Michaud-Nérard (fin des extraits adaptés ; voir lien en bas de page).
 
Introduction et mise en page par Michel Garroté
 
http://www.christianvanneste.fr/2015/12/26/une-societe-schizophrene/

 

http://www.ladroitelibre.fr/nos-publications/communiques-de-presse/apres-le-desastre-la-refondation/

 

http://ripostelaique.com/lumps-de-gauche-lumps-de-droite-et-le-grand-orient-en-ordre-de-bataille.html
   

La France menottée par sa caste politico-médiatique

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La réforme protestante, le siècle des Lumières, la Révolution de 1789, la fin de la monarchie, les deux Guerres mondiales, la guerre d'Algérie, Mai 68, la Guerre froide et la dépénalisation de l'avortement dans les années 1970, tous ces événements, en quelques siècles, ont profondément changé la France datant du millénaire capétien : mille ans de monarchie d'inspiration catholique, puis, en 250 ans, de nombreux systèmes politiques, dont pas moins de cinq Républiques.

 
Aujourd'hui, en décembre 2015, la Cinquième République n'incarne quasiment plus rien de ce que fut la France jusqu'à la fin des années 1960. Les récentes élections régionales ont été, au sein de la caste politico-médiatique française, l'occasion de se livrer à une hystérie collective impensable hors de France, dans les pays démocratiques s'entend. De plus, ce pays a cessé d'être un Etat de droit, libre et démocratique, pour devenir un pays liberticide et arbitraire. Vu de Suisse, vu de Scandinavie, vu d'Allemagne, vu des Etats-Unis, vu d'Israël, ce qui se passe actuellement en France semble hallucinant.

 
Je pense notamment à cette prétendue obligation de devoir unir l'extrême-gauche, la gauche et la droite classique dans une supposée lutte commune contre la droite patriotique. Je pense aussi à l'incroyable médiocrité, à la crasse inculture du personnel politique et médiatique. Comment en sont-ils arrivé là ? Quel événement, en quel siècle, a déclenché le détonateur de ce qui aujourd'ui, en décembre 2015, n'est plus qu'un désastre quasi-généralisé, une farce monstrueuse, un terrible gâchis ?

 
Michel Garroté
   

Dépôt de l’initiative contre la redevance radio-tv

SUISSE — Le peuple devrait se prononcer sur le maintien ou non de la redevance radio-tv prélevée par Billag.

Son initiative interdit à la Confédération de subventionner toute chaîne de télévision ou de radio et de prélever une redevance de réception. Cette dernière fonction ne pourrait pas non plus être déléguée à un tiers, comme actuellement à Billag. Tout au plus, Berne pourrait payer les diffuseurs pour la diffusion de communiqués officiels urgents.

Quant aux concessions, elles seraient mises régulièrement aux enchères par les autorités fédérales. Une seule exception semble autorisée en cas de conflit, le texte stipulant que c'est «en temps de paix» que la Confédération ne peut exploiter ses propres chaînes de radio ou de télévision.

«Il faut se rendre compte que tout le monde n'est pas prêt à payer plus de 400 francs par année de frais obligatoires», affirme Olivier Kessler, co-président du comité d'initiative. Les initiants se disent dérangés par «la domination et la tutelle progressive qui s'exerce sur les citoyens».

Dépendance critiquée

Il n'empêche que dans le même communiqué, Andreas Kleeb, copropriétaire de Radio Sunshine, accuse la SSR de subordination à l'Etat. La SSR détient un quasi-monopole sur le marché de la radio et de la télévision parce qu'elle profite chaque année d'une contribution à hauteur de plusieurs milliards de francs, perçue sous mandat de l'Etat, accuse-t-il.

«Cela rend la SSR dépendante des caprices du Conseil fédéral qui fixe la redevance. Par conséquent, ce n'est pas une coïncidence si les chaînes de la SSR critiquent rarement la classe politique, ajoute l'homme de médias.

Source

Tout ça pour ça…

 

Tout ça pour ça… L’élection de Guy Parmelin, qui ne peut bien évidemment que réjouir les Vaudois, fut finalement une élection «normale», après une campagne qui le ne fut vraiment pas.
Rarement le climat préélectoral n’aura été aussi crispé, tendu, et particulièrement irritant pour le public des médias. On doit reprocher à ces derniers un acharnement détestable à dramatiser artificiellement la situation, en rapportant avec empressement – voire en créant de toutes pièces – des complots, des manoeuvres, des «coups». On est allé débusquer et cuisiner de prétendus outsiders qui n’avaient rien demandé à personne; La Première s’est soudain prise d’amour pour Schaffhouse, réservoir bien connu de brillants politiciens (!), pour tenter de déstabiliser l’Assemblée fédérale. On est allé fouiller dans le passé des candidats mais, bien qu’ils fussent UDC, on n’a pas trouvé de cadavres dans les placards, ni même pu prouver que Parmelin… picolait !

Au chapitre des infâmes petitesses, on décernera à Christian Levrat la palme de la mauvaise foi et du mépris de l’adversaire, les trois candidats UDC étant traités de deuxième, voire troisième garniture – ce qu’il aurait dit de tout autre candidat de toute façon; comme d’autres forces de gauche, tout particulièrement les Verts, les socialistes ont pratiqué sans vergogne la discrimination et l’exclusion, les uns refusant par principe de voter pour un membre de la Lega, les autres, refusant par principe de voter pour un UDC. Dans la bouche de politiciens prônant l’ouverture à l’autre et le respect des règles démocratiques, ces attitudes bornées et méprisantes sont consternantes, et montrent que dans le consensus helvétique si souvent célébré, ils s’excluent eux-mêmes sans s’en rendre compte. Que dirait M. Levrat, si un groupe parlementaire de droite refusait par principe d’élire un ou une socialiste, jugé infréquentable comme tel ? Ce serait un scandale énorme, et à juste titre.
Le pourquoi de cette campagne détestable d’un bout à l’autre est évidemment à chercher dans la popularité et les succès électoraux de l’UDC, qui sont insupportables aux yeux de la gauche, politiciens et journalistes confondus. Alors, on se venge, on exhale sa rancœur et sa hargne, et pour un peu, on en viendrait à douter du peuple, voire de la démocratie…
Le fiel généreusement répandu dans cette campagne laissera des traces. Gageons que l’élection du relativement consensuel Guy Parmelin fera baisser la température. Il est temps d’oublier les enfantillages de la campagne, et de se mettre au travail.

Philippe Barraud

Source Commentaires.com

 

La Voix du Nord : enquête sur un fossoyeur de la liberté de la presse

Il reste quelques journalistes honnêtes à la Voix du Nord…

L’histoire que nous allons vous compter est authentique, et confirme que nous sommes confrontés à un des plus gros scandales de la presse. Il y a quelques jours, le quotidien « La Voix du Nord » a appelé les électeurs du Nord au boycott de Marine Le Pen pour les élections régionales, renouvelant ses « méthodes de voyou » du début des années 1990, que nombre de journalistes semblent avoir oubliées. Non seulement le quotidien « La Voix du Nord » est un des journaux français les plus subventionnés par l’Etat socialiste (Hollande lui a versé 2 627 888 euros en 2013, soit 0,31 euros par exemplaire), mais ce titre a tenté, pendant dix ans, de tuer toute la presse libre hebdomadaire de France, en rachetant les titres, avec l’aide des banques, et en virant la quasi-totalité des centaines de journalistes libres en poste dans ces titres (Lire aussi : Frédéric Lépinay, La Voix du Nord, histoire secrète).

La façade de « La Voix du Nord » sur la Grand’ Place de Lille.

A l’origine de ce scandale, on trouve les ambitions démesurées d’un PDG de La Voix du Nord, Jean-Louis Prévost, qui se voulait le gendarme de la presse française, petit, lunettes rondes, cheveux noirs avec quelques mèches, surnommé le « facho » dans les rédactions des journaux rachetés. Il rêvait même, comme il l’aurait un jour confié à Yves de Chaisemartin, ancien PDG de la Socpresse, de devenir «le Robert Hersant de l’an 2000». De 1990 à 1998, le « facho de la Voix du Nord » parvient à racheter une cinquantaine de journaux indépendants à travers la France, de l’Ouest au Sud-Est, via une holding qui intéressera les services financiers du SRPJ quelques années plus tard. Tout y passe !

En Haute-Savoie, au pied du célèbre plateau des Glières, haut lieu incontesté de la Résistance, le PDG de la Voix du Nord, tel un vautour, profite de la maladie de Bernard Mossu, patron des titres « Le Messager » et « L’essor Savoyard », pour rafler, sans un coup de feu et pour une poignée de sesterces, les deux titres de presse totalisant 70 000 exemplaires vendus. Comme à chaque rachat, Jean-Louis Prévost promet à Bernard Mossu, affaibli après une greffe du cœur, de conserver l’indépendance des titres et l’ensemble des journalistes et personnels. L’accord est signé en mai 1994. Le 17 septembre 1994, les deux-tiers des effectifs des rédactions ont été « liquidés », plus rapidement que ne l’avaient été les résistants du plateau des Glières par les Allemands en 1944, et la moitié du personnel technique a reçu sa lettre de licenciement, dans le cadre d’une « réorganisation du pré-presse avec la grande sœur de Lille ».

Même Marie-Christine Mossu, la petite-fille du fondateur du « Messager », à la fin du XIXe siècle, secrétaire générale de la rédaction, est liquidée sans état d’âme, par les Jacques Richard, Sorreau, Olivaux, Noirot, envoyés à Thonon-les-Bains par le siège de Lille de la Voix du Nord. Le brillant journaliste sportif Jean-Claude Ermine y passe à son tour et se retrouve veilleur de nuit aux Eaux d’Evian pour survivre. Le rédacteur en chef Vianney Burnier, à l’image du dernier des Mohicans, parviendra à résister quelques années, avant d’être liquidé à son tour.

Lors de cette épuration du « Messager », des éditions de l’Essor en Savoie, de l’Essor Savoyard d’Annecy, un seul cri s’élève dans le paysage médiatique Savoyard. Celui de Marc Peyrègne, ancien directeur départemental adjoint du quotidien Le Dauphiné Libéré, devenu directeur de l’hebdomadaire Chrétien « Le Courrier Savoyard », qui fustige, en Une de son titre les méthodes fachos des Nordistes et de la Voix du Nord, en dénonçant « l’hémorragie journalistique survenue dans les rédactions de ces hebdomadaires libres, dans l’indifférence générale… La rédaction, c’est l’âme d’un journal » s’indigne alors Marc Peyrègne lors de ce « grand remplacement » orchestré par La Voix du Nord !

On n’allait pas s’arrêter là…. Du département de l’Ain, aux plages du Nord et de Normandie, l’appétit de La Voix du Nord est insatiable, sans nuance, sans vergogne ! Jean-Louis Prévost et ses sbires formatés, tels des commandos, investissent via des prises de participation d’autres quotidiens régionaux, des hebdomadaires, des partenaires et des filiales, La Voix du Nord accentue sa présence euro-régionale, et forte de 35 sociétés, elle s’engage, avec cet ensemble de médias multiples, sur la voie du multimédia. Personne ne s’interroge alors sur les origines des financements, sur les aides de l’Etat.

Après le rachat, en Haute-Savoie et dans l’Ain, des journaux Le Messager, L’Essor Savoyard, La Savoie, La Tribune républicaine, Le Pays Gessien, et la mise en place dans les rédactions de journalistes bien à gauche, formatés à Lille au siège de La Voix du Nord, les sbires de Prévost s’emparent, pour mieux formater les esprits des lecteurs, du Journal de Montreuil, de la Presse Flamande, de l’indicateur des Flandres, de L’Écho de la Lys, du Journal des Flandres, du Réveil de Berck, de l’Avenir de l’Artois, de Nord Éclair, de La Voix des Sports, du Courrier picard, de La Semaine dans le Boulonnais, de Nord Littoral, de L’Agence Meura, de Contact, de TV Magazine, du groupe NEP TV, de La Voix l’Étudiant, de Version Femina, de Direct Lille Plus, de C9 Télévision, de Wéo, de Nordway Magazine, du Courrier Picard, de la radio Contact FM, de l’Union-l’Ardennais, L’Est-Éclair, Libération Champagne et de l’Aisne nouvelle, de la radio Champagne FM, de Wéo Picardie, de Opal’TV, de Happy FM, etc, etc.

Mêmes scénaris d’épuration dans les rédactions après les rachats de tous les journaux libres Nordistes, à l’image de La Semaine dans le Boulonnais, de L’Avenir de l’Artois, de L’Écho de la Lys, de L’Indicateur des Flandres, du Journal des Flandres, du Phare dunkerquois, des Échos du Touquet, du Journal de Montreuil, du Phare de Berck.

Le PDG de la Voix du Nord rattrapé par la justice

Le 26 mars 2002, le journal Libération indiquait dans ses colonnes : « Le tribunal correctionnel de Lille a condamné vendredi Jean-Louis Prevost, président du directoire de la Voix du Nord, à 30 000 euros d’amende pour faux, usage de faux et abus de bien social. Mêmes motifs, même condamnation pour Jean-Louis Olivaux, directeur financier du quotidien. Les deux hommes étaient poursuivis pour avoir facturé entre 1991 et 1993 à la Voix du Nord trois études réalisées par une filiale, Ageconseil, […] Une enquête judiciaire avait été ouverte le 24 avril 1996 à la suite d’une enquête des services fiscaux chez Ageconseil en 1994. Jean-Louis Prevost avait été mis en examen en février 1997…. ».

http://resume.liberation.fr/c.php?url=http%3A//www.liberation.fr/medias/2002/03/26/le-patron-de-la-voix-du-nord-condamne_398208

Puis, le 26 février 2004, Jean-Louis Prévost, PDG de la Voix du Nord, a été relaxé par la cour d’appel de Douai. En 2002, il avait été condamné en première instance à un an de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende pour « complicité de favoritisme » dans l’affaire Ageconseil, filiale de la Voix du Nord accusée en 1993 d’avoir facturé au prix fort une enquête pour le Conseil général du Nord (d’après Stratégies Magazine n°1315).

Enfin, le 23 juillet 2004, le PDG de la Voix du Nord était éjecté, en quelques minutes, par les actionnaires du titre, suite aux différentes enquêtes ouvertes par la justice, et après le rachat du groupe La Voix du Nord par le groupe de presse Belge Rossel.

http://resume.liberation.fr/c.php?url=http%3A//www.liberation.fr/medias/2004/07/23/le-pdg-de-la-voix-du-nord-limoge_487160

Une partie de nos impôts sont reversés à La Voix du Nord

Peut-on être objectifs lorsqu’on perçoit, comme La Voix du Nord, des millions de subventions de la part de l’Etat socialiste ? Lorsqu’on se goinfre avec l’argent des contribuables français ? Est-ce qu’on a le droit de faire la morale à ces mêmes contribuables français, en oubliant au passage de leur dire « Merci », et aux acteurs politiques démocratiques de ce pays ?

Rue 89 a été un des premiers médias à évoquer ces « arrosages » financiers de l’Etat français en direction de La Voix du Nord et de quelques autres titres, généralement de gauche ou d’extrême gauche, à l’image de l’enquête « L’heure des fuites sur les subventions à la presse ». Même Le Monde, dont les professionnels de la presse s’accordent à reconnaître l’engagement à gauche, s’est cru obligé, pour conserver un semblant de crédibilité, de publier « Aides à la presse : les 200 titres les plus aidés » (sur Le Monde.fr).

La Voix du Nord serait tirée à 288 000 exemplaires chaque jour

Ces sites, comme les informations syndicales, révèlent que La Voix du Nord touche de très très fortes subventions de l’État. Ainsi, ce journal a perçu 4,69 millions d’euros d’aide du fonds d’aide à la modernisation de la presse jusqu’en 2010. En 2012, le titre a touché une aide de 3 702 669 euros, soit 0,41 euros par numéro. En 2013, l’aide a légèrement diminué : 2 627 888 euros, soit 0,31 euros par exemplaire. Alors que le groupe La Voix du Nord contrôle environ 35 sociétés, et réalise un chiffre d’affaire global annuel de près de 2,5 milliards de francs (325 millions d’euros).

Et chacun comprendra que 2 627 888 euros, versés par l’Etat socialiste avec les impôts des Français, valent bien un article contre Marine Le Pen, pour remercier le généreux donateur. Et, dans le Nord, les lecteurs réguliers de la Voix du Nord payent deux fois leur quotidien : une première fois lorsqu’ils mettent la main à la poche pour sortir 1 euro pour leur marchand de journaux ; une deuxième fois lorsqu’ils règlent leurs impôts au Trésor Public (qui reverse, via l’Etat, une partie de leurs impôts au quotidien La Voix du Nord).

Une enquête de Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411

Malika Sorel : “Les médias ont une écrasante responsabilité sur le déni de l’avancée de l’islamisme”

Ancienne du Haut Commissariat à l'Intégration avant sa dissolution par François Hollande qui jugeait ses rapports trop politiquement incorrects, Malika Sorel-Sutter vient d'écrire "Décomposition française" , suite de ses travaux sur la désintégration de la France par le multiculuralisme. Emission de Radio Notre-Dame.

Terrorisme: “Les politiques et les médias ont une écrasante responsabilité” selon Malika Sorel

Ancienne du Haut Commissariat à l’Intégration (HCI) avant sa dissolution par François Hollande qui jugeait ses rapports trop politiquement incorrects, Malika Sorel-Sutter vient d’écrire “Décomposition française, comment en est-on arrivé là ?” (Fayard,2015) , suite de ses travaux sur la désintégration de la France par le multiculuralisme. Emission de Radio Notre-Dame.

“Sur la base des personnes signalées, l’Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) révèle que 67% des jeunes candidats au djihad sont issus de classes moyennes, 17% sont même issus de catégories socioprofessionnelles supérieures. L’Uclat vient d’éclairer d’une lumière crue la monstruosité des accusations portées contre les Français depuis plus de 30 ans, opération qui n’a de cesse de semer les graines du ressentiment contre la France” Malika Sorel-Sutter, Figaro Magazine du 27 novembre 2015.

Islamisation.fr

La dissidence pour mieux contourner les médias de propagande

Interview de Jean-Yves Le Gallou par Pierre Cassen

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Nous avons rencontré Jean-Yves Le Gallou, fondateur de Polemia, à quelques jours de l’organisation de la première journée de la Dissidence.

Pierre Cassen : L’association Polemia, dont vous êtes l’animateur le plus connu, organise, ce samedi, la première journée de la dissidence. D’abord, à l’heure où je vous interroge, savez-vous si cette initiative pourra se tenir ?

Jean-Yves Le Gallou : Oui ! La réunion est maintenue et aura lieu comme prévu à Cap 15.
Si une interdiction de dernière minute survenait, nous organiserions une manifestation au métro Bir Hakeim, situé à proximité immédiate du Quai de Grenelle.
L’état d’urgence doit être utilisé pour combattre les terroristes, démanteler les caches d’armes dans les banlieues de l’immigration, pas pour empêcher l’exercice des libertés européennes !

P.C. : Vous avez choisi trois symboles pour illustrer cette journée : Jean Raspail, Arthur Snowden et Alexandre Soljenitsyne. Pourquoi eux ?

Jean-Yves Le Gallou : Arthur Snowden dissident du système occidental. Soljenitsyne, double dissident : du système soviétique d’abord, du système occidental ensuite. Raspail qui a prophétisé la situation actuelle dans le Camp des saints et qui l’a payé de 40 ans d’ostracisme.

P.C. : Comment se dérouleront ces journées, et sur quels invités comptez-vous ?

Jean-Yves Le Gallou : Trois tables rondes sont organisées : Beatrice Bourges pour les valeurs, Renaud Camus pour l’identité et Robert Menard sur l’art de la dissidence. Il y aura aussi des représentants de la « génération 2013 » venus de la Manif pour tous ou des Identitaires ; la « génération 2013 » qui va avoir la tâche de reconstruire sur les ruines laissées par l’esprit de mai 68.

P.C. : Vous êtes connu comme un spécialiste des médias, en France, et avez notamment publié « La tyrannie médiatique ». Vous animez une émission hebdomadaire sur TV-Libertés, I-Médias, sur ce thème. Le traitement médiatique des attentats de Paris a-t-il réussi à vous surprendre, malgré tout ?

Jean-Yves Le Gallou : Oui, les médias arrivent encore à me surprendre par leur absence totale d’ouverture d’esprit, leur intolérance, leur aveuglement, leurs bobards à répétition, leur incapacité à reconnaître leurs erreurs.
Il faut dire que le processus de sélection des journalistes et des « experts » est hallucinant : ce qui est évalué c’est leur capacité à se tromper et à tromper l’opinion!
Ils en arrivent même maintenant – à France inter par exemple – dans une démarche typiquement orwellienne à réécrire a posteriori des articles pour tenter de cacher leurs tromperies. Tout cela avec l’argent des contribuables (600 millions pour Radio France !). Il me semble que le mot juste pour désigner radios, télévisions et presse écrite subventionnée, c’est médias de propagande. La première forme de dissidence c’est de cesser de les suivre et de les croire.

P.C. : Vous êtes également connu comme un fin observateur de la situation politique française. Pensez-vous que ces attentats vont avoir une influence sur les prochaines élections régionales, qui s’annonçaient catastrophiques pour le PS, et si oui, dans quel sens ?

Jean-Yves Le Gallou : L’oxygène risque de manquer un peu aux centristes , je veux parler des ex-UMPISTES rebaptisés « Républicains ».
Le FN dont les thèses –anciennes – sur l’immigration sont (hélas !) vérifiées par les événements devrait logiquement progresser. Comme progressent partout en Europe les partis qui s’opposent à l’invasion migratoire.
Mais les attentats peuvent aussi relégitimer le pouvoir : cela peut paraître injuste mais c’est ainsi.
Entre ces deux blocs antagonistes, les Juppé, Sarkozy et Fillon sont un peu coincés d’autant qu’ils partagent avec les socialistes la responsabilité des politiques migratoires et des stupidités de notre diplomatie qui a semé le chaos en Libye et en Syrie.

P.C. : Dans cette bataille du pot de terre contre le pot de fer, les médias alternatifs, dits de réinformation, progressent-ils aussi rapidement que vous le souhaiteriez ? Les trouvez-vous complémentaires, et à la hauteur des enjeux ?

Jean-Yves Le Gallou : Les médias alternatifs progressent extraordinairement !
Il est désormais possible, notamment grâce aux réseaux sociaux, de démasquer en quelques heures les mensonges des #MédiasDePropagande, c’est un atout décisif pour saper ce qui leur reste de crédibilité usurpée.
Il est aussi possible de passer ses messages en vidéo sans passer par eux ! Ainsi l’excellente déclaration de Marine le Pen après les attentats du 13 novembre a été vue en direct des millions de fois, sans l’intermédiaire de personne d’autre que les citoyens qui l’ont diffusée de manière virale.
La vidéo de Polémia « être Français » a atteint plus de 900 000 vues sur You Tube

La vidéo de l’Iliade « Ni Bruxelles, ni Lampedusa, être Européen » :

a été vue près de 1 200 000 fois (toujours sur You tube, indépendamment d’autres vecteurs) et ce malgré une censure de près d’un mois qui a cassé sa dynamique initiale.

P.C. : Craignez-vous que les socialistes profitent de l’Etat d’urgence et de la prétendue lutte contre le terrorisme pour attaquer la liberté de la presse et notamment celle des médias de réinformation ?

Jean-Yves Le Gallou : Une remarque sur l’état d’urgence, son histoire est liée aux troubles avec le monde arabo musulman : lors de sa création en 1956 lors de la guerre d’Algérie, en 2005 à l’occasion des émeutes dans les banlieues et aujourd’hui avec les attentats islamistes. La coexistence de deux mondes antagonistes – le monde européen, le monde arabo-musulman – menace nos libertés.
L’état d’urgence est utile s’il est utilisé pour détruire les groupes islamistes, il faudra le dénoncer si le triangle Valls/Cazeneuve/Le Drian l’utilise à d’autre fins.

P.C. : Pour finir, quel est votre regard sur l’état du camp patriotique, le départ d’Aymeric Chauprade et son appel à créer une union des droites, qui ferait concurrence au Front national ?

Jean-Yves Le Gallou : La violence des événements –invasion migratoire, attentats – simplifie la donne politique. Trois forces s’affrontent : les socialistes et leurs alliés, les centristes des « Républicains » à la remorque de l’UDI, le FN. Il sera difficile pour d’autres de creuser leur sillon. D’autant qu’après quelques flottements dans la ligne, le FN est clairement revenu sur ses fondamentaux. Le problème historique de l’heure c’est la défense de notre identité. C’est aussi le moteur électoral principal – sinon unique – du FN.

P.C. : Merci, Jean-Yves Le Gallou, et bonne chance pour cette première journée de la dissidence, samedi.

Propos recueillis par Pierre Cassen

Article publié en priorité sur RL

Attentat contre l’Airbus russe : omerta médiatique sur la vidéo de l’explosion

Une chose étonne dans l’affaire de l’attentat contre l’Airbus russe survenu le 31 octobre à 6 h 13 du matin, c’est le délai invraisemblable d’une semaine entre la date des faits et le moment où a été évoquée une explosion terroriste à bord alors que deux vidéos de revendication djihadistes montraient clairement l’explosion de la partie arrière de l’appareil (1) (2), vidéos dont la première était très facilement  disponible en tapant quelques mots-clefs sur Google en début d’après-midi ce même 31 octobre ! Or, à ma connaissance, aucune de ces vidéos n’a été diffusée les jours suivants ni aux actualités télévisées, ni dans les journaux français.

https://youtu.be/1d-xbnuvr7c

Trois hypothèses peuvent être évoquées quant à ce silence au sujet de ces vidéos :

– soit aucun journaliste ne les a vues ;

– soit ils les ont considérées comme des faux et n’en ont donc pas parlé ;

– soit ils les ont vues, les tiennent pour authentiques, mais n’ont pas voulu les diffuser, pour des raisons à élucider.

Examinons ces diverses hypothèses :

– La première d’entre elles ne tient pas debout : selon Le CCJIP, il y avait au 30 janvier 2015, 36.317 cartes de journalistes professionnels en France. Qu’aucun de ces 36.317 journalistes n’aient été capable de découvrir cette revendication terroriste alors qu’un citoyen de base tel que moi l’a trouvée en moins de trois minutes de recherche l’après-midi du crash, parait être une hypothèse totalement exclue (ou alors on se demande ce qu’on leur enseigne dans les écoles de journalisme !).

– Envisageons maintenant scientifiquement l’hypothèse selon laquelle ces vidéos seraient soit des faux, soit seraient prises au cours d’une autre explosion d’avion.

1°) Que montrent donc ces vidéos ? La  première d’entre elles est illustrée par un fond  sonore de chansons en arabe dont les paroles ont probablement une thématique djihadiste.  On voit bien qu’elle est prise par deux caméras différentes, l’une en couleurs et l’autre, de plus mauvaise qualité, en noir et blanc, et que celles-ci suivent l’avion pendant quelques secondes avant que celui-ci n’explose au niveau de l’arrière de sa carlingue et commence sa chute. La vidéo en noir et blanc suit la chute pendant de nombreuses secondes. La partie arrière de l’avion (l’empennage et la partie postérieure de la carlingue) ne sont plus visibles après l’explosion, ce qui est cohérent avec le fait que, sur le site du crash, cette partie de l’appareil est à une nette distance du reste de l’épave (3). La deuxième vidéo montre la même scène en couleurs, mais avec un fond sonore en direct dans lesquels est proférée une succession de « allah akbar » prononcés crescendo, et, au moment précis de l’explosion, avec l’exaltation qu’aurait un commentateur télévisuel de football au moment où l’équipe nationale marque un but en coupe du monde ! Cette réjouissance collective indique sans ambiguité que cet attentat est motivé par l’idéologie mahométane et non par une autre religion.

Cette deuxième vidéo est suivie, assez bizarrement, de discours de Poutine sur la situation syrienne (peut-être pour justifier le fait de s’en prendre à un avion russe ?)

Il est assez peu fréquent que des vidéastes amateurs s’amusent à filmer avec leurs caméras les avions volant à 12.000 mètres d’altitude, 40 000 « pieds » selon l’historique du vol (4), et encore moins fréquent que deux d’entre eux filment simultanément comme par hasard, le moment précis de l’explosion d’un aéronef ! Je vois régulièrement des avions passer à haute altitude au dessus de mon jardin. Si je les filmais pendant tout mon temps libre, je passerai très probablement ma vie entière sans avoir l’occasion d’en filmer par hasard un seul en train d’exploser  ! Si cette scène a été filmée au bon moment par deux caméras différentes, c’est que ces deux vidéastes suivaient précisément la trajectoire de cet avion-ci et pas un autre,  savaient précisément l’heure et l’endroit auxquels il devait exploser et avaient pour mission de filmer l’événement (la probabilité d’une coïncidence fortuite est proche du zéro absolu !).

2°) L’avion filmé est à l’évidence un biréacteur de transport de passagers dont la forme générale évoque un Airbus A321 ou un Boeing 767 (se reporter aux vues inférieures de ces deux modèles, consultables sur ce site (5 ), 13e et 14e photos).

3°) L’avion avait décollé à 5 h 51 heure locale, et a commencé sa chute à 6 h 13 (4). L’heure du lever de soleil le 31 octobre 2016 à Charm el-Cheikh était à 5 h 53 heure locale (données facilement disponibles sur internet ). La luminosité de la vidéo en couleur est parfaitement compatible avec celle qui existe 20 minutes après le lever du soleil par beau temps (ce qui était le cas).

4°) L’aspect du film paraît éliminer totalement l’hypothèse d’un trucage (qui nécessite, pour avoir l’air vraisemblable, des compétences, des moyens techniques et du temps dont n’ont probablement pas disposé les propagandistes de l’état islamique, qui ont diffusé cette vidéo le jour même de l’attentat). Il existe un « bougé »  important des images. En effet, le film a forcément été pris avec un fort zoom vu l’altitude de l’avion et la prise de vue comporte donc beaucoup de bougés. Il y a d’ailleurs par moment des problèmes de mise au point sur l’image. Un infographiste spécialisé dans les trucages ne se serait pas amusé à faire un film faussement bougé, ça aurait très lourdement compliqué sa tâche. Les scènes d’explosion d’avion dans les films avec trucages numériques mettent des semaines de travail pour être filmées de façon convaincante et le résultat paraît en général peu réaliste malgré tout leurs efforts, alors que dans cette vidéo, la scène paraît totalement réelle, en raison même des imperfections de la prise de vue. Par ailleurs la forme des fumées sortant de l’avion est la même dans les deux prises de vue (celle en couleur et celle en noir et blanc).

5°) La désagrégation (explosive ou non) de la structure d’un avion moderne en plein vol est un phénomène exceptionnel dont les causes non-terroristes sont rarissimes (les deux derniers cas bien documentés sont ceux du Comet De Havilland en 1954, au large de l’île d’Elbe, et du 747 de la Japan Airlines en 1985 qui ne ressemblaient en rien à l’avion de la vidéo).

Le dernier cas en date d’explosion d’un avion en vol est celui du vol MH17 qui a été descendu par un missile au dessus de la zone de conflit ukrainien. Mais cet accident n’avait pas été filmé du sol. Tout ceci prouve qu’il s’agit bien de la vidéo de l’accident du Sinaï et non du film d’une autre explosion d’avion «  recyclée »  pour les besoins de propagande de l’état islamique.

Donc, si les médias n’ont pas diffusé ces images, ce n’est sûrement pas parce qu’elles les estimaient fausses, puisque un raisonnement élémentaire et difficilement réfutable permet de conclure indiscutablement à leur véracité, mais pour d’autres raisons. Analysons ces raisons :

– Pour les médias égyptiens, et pour le gouvernement égyptien, il est évident que la thèse d’un attentat est catastrophique, à la fois pour le tourisme et pour des raisons politiques. La liberté de la presse n’étant pas une caractéristique fondamentale de l’Egypte, les journalistes égyptiens ont donc suivi les ordres venus d’en haut.

– Cet attentat ne fait pas non plus l’affaire du gouvernement russe. Le peuple russe, qui a un cuisant souvenir du conflit afghan, manque d’enthousiasme vis-à-vis de l’intervention russe contre l’état islamique. La perte de plus de 200 concitoyens par un attentat ne fait pas du tout l’affaire du Président Poutine, qui a intérêt à noyer le poisson en niant l’hypothèse terroriste attestée par cette vidéo, afin de ne pas perdre sa popularité.

– Reste à savoir pourquoi ni le gouvernement français ni aucun média français n’a, sauf erreur de ma part, diffusé cette vidéo, alors que le « Daily Mail », chez nos voisins d’outre-Manche, l’a diffusée (manifestement sans conviction ) quelques jours après le crash (6). Le principe de base de l’information, c’est que nul être sensé ne divulgue volontairement une information susceptible de lui nuire ! En quoi la diffusion de cette vidéo pourrait-elle nuire aux intérêts du gouvernement et de la presse française ?

On se souvient que les attentats de janvier 2015 avaient été suivis d’une gigantesque opération politico-médiatique d’une grande virtuosité pour dédouaner l’islam de toute responsabilité quant à leur survenue et d’une incroyable campagne de lutte contre l’islamophobie. Il est évident que chaque nouvelle atrocité mahométane sape cette « œuvre » de propagande, et que la diffusion de cette vidéo choquante d’une horreur islamique en train de se commettre est de nature à faire changer d’opinion sur l’islam nombre de citoyens français. Or, nous sommes à la veille d’une élection dans laquelle la gauche à tout à perdre, et la droite peut être empêchée d’en profiter à plein, et dans laquelle le seul projet politico-médiatique commun semble être d’éviter à tout prix que le Front national ne s’empare d’une ou plusieurs régions.

On peut en fin de compte et en conclusion se demander si la presse dans son ensemble, en pratiquant l’omerta sur cette vidéo, ne cherche pas tout simplement à « éviter de faire le jeu du Front national », en se basant sur une équation plus ou moins fantaisis,  « la diffusion de cette vidéo implique une progression de l’islamophobie, qui elle-même implique à son tour une progression du Front National ! »

Docdory 

Article paru en premier sur RL

(1) https://vid.me/BJ6D

( 2) https://www.youtube.com/watch?v=1d-xbnuvr7c

(3) http://www.lefigaro.fr/international/2015/11/02/01003-20151102ARTFIG00245-six-questions-autour-du-crash-de-l-avion-russe.php

( 4 ) https://twitter.com/flightradar24/status/660370049677455360/photo/1?ref_src=twsrc%5Etfw

( 5 ) http://www.jeanpierrebonin.com/aviation/observationpages/AvionsObservation-31.htm

(6) http://www.dailymail.co.uk/news/article-3297871/Russian-passenger-plane-220-tourists-board-missing-Egypt-Fears-aircraft-crashed-Sinai-desert.html

Le chaos s’installe en Allemagne tandis que les médias parlent de “flux migratoires maitrisés”

L’intox des grands médias français est à son paroxysme, concernant la situation allemande. Le chaos s’installe en Allemagne mais on lit dans la presse française dissimulatrice que les problèmes viennent d’être réglés en Allemagne en matière de maitrise des flux migratoires.

Sur Radio Classique, le repris de justice et Secrétaire d’Etat aux Affaires Européennes, l’inénarrable Harlem Désir, déclare que l’Allemagne vient de résoudre ses problèmes et que « l’UE va obliger ses Etats Membres à accueillir de manière équitable » les « réfugiés » ! (sic)

Qui croit encore leurs sornettes manipulatrices destinées à nous faire accepter ce qui commence à ressembler à un génocide ethnique européen ?

Les médias n’impriment pas dans leurs esprits obtus, et du haut de leurs certitudes, qu’il y a des citoyens multilingues dans ce pays, dont je suis, qui regardons ce qui s’écrit ailleurs ?

Ils n’ont pas compris qu’internet nous permet d’informer et rendre compte de la réalité non politiquement correcte ?

Que nous pouvons dire aux lecteurs français comment les choses sont rapportées dans la presse étrangère ?

Ici, il s’agit de la presse allemande, et en particulier du journal économique DEUTSCHE WIRTSCHAFTS NACHRICHTEN, qui ne mâche jamais ses critiques ouvertes, ce qu’aucun de ses confrères français n’oserait faire !

Voilà ce qu’il nous rapporte sur la réunion sur les réfugiés qui a eu lieu hier entre CDU, CSU et SPD. Les bras vous en tombent !

La coalition gouvernementale a décidé de suivre la ligne de la Chancelière Merkel : les frontières resteront donc ouvertes. Et le nombre de « réfugiés » qui pénètrent le pays n’est plus comptabilisé.

Le gouvernement veut gérer la crise de manière technocratique, ou donner l’impression qu’il est aux manettes … car les premières mesures sont d’abord destinées à calmer une population qui gronde. Le patron de la CSU, Horst Seehofer, qui exigeait il y encore quelques jours, un « changement de cap », entonne désormais une autre mélodie. Il prétend maintenant qu’avec cette politique, « l’on rétablira la confiance des gens. ». Des vraies girouettes, des irresponsables, dépassés par l’invasion !

Comme déjà dit dans mes deux précédents articles sur la question, le gouvernement veut mettre en place des camps pour les immigrés qui doivent être expulsés. Ils appellent cela désormais : « centres d’enregistrements », non plus « zones de transit », qui seraient inhumains et incontrôlables sur le plan de la sécurité !

 En changeant la désignation des camps, la dissimulation de la situation catastrophique commence. Les « centres d’enregistrements » seront répartis sur le territoire, et la Bavière en accueillera deux pour les demandeurs d’asiles en provenance de « pays sûrs ».

Ces installations sont destinées à donner le sentiment à l’opinion publique que les immigrants économiques seront rapidement expulsés, et à donner en outre l’impression que désormais ce sont des règles strictes et sévères qui sont enfin mise en place. Ils en ont mis du temps, depuis cet été…

Comme je le disais hier, dans la pratique l’installation de ces camps va inciter les immigrants à se faire la belle car ils éviteront de s’y rendre. Sans oublier l’explosion du commerce de faux passeports Syriens.

Hilarantes sont les critiques des partis de gauche, qui révèlent que les partis de gouvernement dissimulent la surchauffe de l’administration en charge du traitement des dossiers d’asile par manque de personnel.

Ajoutez à cela que les « sans papiers » qui se seront évanouis dans la nature se présenteront sur le marché noir de l’emploi pour vivre et – faire on ne sait quoi d’autre. Par exemple venir clandestinement en France. Et si ce sont des soldats d’Allah, obéir aux ordres de l’Etat Islamique, et frapper n’importe où, n’importe quand, n’importe qui.

Bref, nous sommes au début d’une guerre venue encore une fois d’Allemagne !

Pour clore ce sommet sur l’asile et les réfugiés, la Chancelière a de nouveau martelé, en bonne stakhanoviste : « Nous allons y arriver et nous le voulons ainsi. »

La messe est dite ! Le chaos peut se développer ! Suite au prochain épisode !

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Reproduction autorisée  / © Hildegard von Hessen am Rhein pour Dreuz.info.

Mort de l’avocat Joseph Scipilliti : festival de désinformation dans les gros médias

Le 29 octobre dernier, Me Joseph Scipilliti s’est donné la mort au tribunal de Melun, après avoir grièvement blessé le bâtonnier Vannier

Le matin même, à 6 heures, Me Scipilliti avait adressé un document de 240 pages à Pierre Cassen et à Christine Tasin, respectivement président de Riposte laïque et de Résistance républicaine, associations dont il était l’avocat, leur demandant de le mettre en ligne. Dans ce témoignage exceptionnel, l’avocat raconte le double acharnement qui l’a détruit. D’abord, celui de sa hiérarchie, et notamment du bâtonnier Henrique Vannier, qui a multiplié les procédures disciplinaires à son encontre, le faisant suspendre trois années durant pour une prétendue faute grave. Ensuite celle du fisc qui accumulera les redressements aux montants astronomiques. Deux énormes machines à tuer — sinon physiquement, du moins socialement — et qui, de fait, ont broyé l’avocat. Vers 9 heures 30, Me Scipilliti rentre dans le bureau du bâtonnier, fait feu à trois reprises, puis retourne l’arme contre lui. Il meurt sur le coup, alors qu’Henrique Vannier est grièvement blessé, mais survit.

Le traitement médiatique de l’affaire est révélateur des méthodes des médias dominants

Patriote revendiqué, l’avocat est immédiatement classé comme « proche de l’extrême droite », « dépressif », « paranoïaque ». On évoque ses ennuis financiers, sans jamais expliquer qu’ils ne sont que la conséquence du harcèlement qu’il subit quotidiennement. Me Scipilliti passait le plus clair de son temps à se défendre et n’avait plus ni l’énergie ni le temps d’exercer son métier. On transforme le différend entre l’avocat et le bâtonnier en une rancœur personnelle, occultant totalement l’abus de pouvoir hiérarchique.

Trois médias décrochent le pompon…

Thomas Vampouille, de Metronews, sommera Pierre Cassen de condamner le geste de son avocat. Devant le refus de ce dernier, le journaliste accusera le président de Riposte laïque d’apologie d’assassinat et le menacera d’une descente de police… Mediapart commencera par prendre la défense du « prolétaire », l’avocat, contre le « bourgeois », le bâtonnier. Spectaculaire rétropédalage lorsque le site d’Edwy Plenel découvre — horreur ! — que Me Scipilliti défendait des organisations « islamophobes »… Quant à l’Observateur, il conclura son article en se demandant lourdement si Pierre Cassen et Christine Tasin n’étaient finalement pas au courant des projets criminels de leur avocat… Joseph Scipilliti sera inhumé dans la plus stricte intimité familiale, en province, mais ses amis lui rendront un dernier hommage demain, samedi, à 17 heures 30, en l’église Sainte Rita, Paris XVe.

Source

Conseiller fédéral UDC: Les médias romands jouent sur la peur

ND Christian Hofer: On appréciera toute l'hypocrisie de ces médias qui n'ont eu de cesse de nous dicter comment nous devions voter et qui prétendent "informer" alors qu'ils sont totalement gangréner par l'idéologie de gauche, camouflant les délits des étrangers, passant sous silence la situation avec l'immigration de masse, censurant les commentaires, multipliant les articles contre l'UDC. Leur petite cuisine n'ayant pas fait recette, ils dévoilent encore une fois ici toute la haine qu'ils gardent pour ce parti. Il n'existe aucune neutralité dans ces journaux. Le travail des Observateurs.ch n'en est que plus important dans ce contexte.

La presse, qui rend hommage à Eveline Widmer-Schlumpf au lendemain de l'annonce de son retrait du gouvernement, ne doute plus qu'un élu UDC la remplacera. Les journaux romands s'inquiètent déjà d'une perte de collégialité au Conseil fédéral. 

A l'image d'autres collègues romands, le quotidien fribourgeois La Liberté s'inquiète du comportement de l'UDC dans les semaines à venir: «Comment croire que le loup puisse se transformer en agneau? Pourquoi abandonnerait-il la stratégie qui a fait son succès, deux pattes dans la bergerie et deux au-dehors?», questionne le journal, selon lequel «derrière les agneaux se terrent les moutons noirs».

Pour Le Courrier, le mal est déjà fait: «La Suisse en a pris pour quatre ans de politique réactionnaire et antisociale».

Mais le journal appelle à ne pas céder, à «exploiter les failles de la nouvelle majorité PLR-UDC et redonner espoir «à l'électorat naturel de la gauche», grâce entre autres à un discours autonome sur le dossier fiscal et en se montrant intransigeant sur le nucléaire.

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Strasbourg. Le Conseil de l’Europe met la pression sur les médias

Le Conseil de l’Europe a prié l’Autriche de mettre la pression sur les médias qui informent sur la criminalité étrangère. Selon un rapport présenté mardi, les autorités doivent insister pour que les médias ne divulguent l’appartenance ethnique des auteurs présumés uniquement lorsque c’est absolument indispensable. Ceci vaut également pour la police et la justice.
Par ailleurs, la presse doit être « sensibilisée » et amenée à offrir un espace approprié aux membres de groupes vulnérables pour qu’ils se présentent eux-mêmes. Le Conseil de presse pourrait par exemple obtenir plus de pouvoir pour prendre des mesures contre les médias, des « sanctions pour tous les médias » qui iraient à l’encontre du « code déontologique ».
Le Conseil de l’Europe souhaite une surveillance « systématique » des forums internet afin de lutter contre les « discours haineux ». « Les normes légales disponibles doivent être appliquées plus strictement afin d’endiguer ceux qui propagent des idéologies racistes. ». Les discours haineux doivent être systématiquement combattus et condamnés, particulièrement pendant les campagnes électorales.

Source en allemand

 

Merci à Caroline

Société civile – Entre chaos, désobéissance et prise du pouvoir


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Les cinquante dernières années ont vu la victoire anti-culturelle, amorale et politicarde du courant initié dès le début des années 1960, puis, plus encore, par cette fumisterie que l’on nomme Mai 68. La civilisation française a progressivement perdu toute colonne vertébrale. A gauche comme à droite, la langue française est massacrée tous les jours par la caste politico-médiatique confortablement installée. L’individualisme prime sur les valeurs et sur le bon sens. Le concept de République est aujourd’hui vide et creux. La laïcité est devenue allahïcité. La culture classique -- à la fois judéo-chrétienne et gréco-latine -- est interdite de séjour sur son propre territoire.

L’immigration-invasion est majoritairement musulmane, pour ne pas dire islamique. L’islamo-gauchisme, c’est très « tendance » ; et oser écrire, cela est très incorrect. Une personne ouvertement de droite est aussitôt qualifiée « d’extrémiste de droite », de « frontiste » ou de « lepéniste ». Le travail des idées a été remplacé par de pseudo-débats aussi médiocres que sectaires. Dans cette ambiance, la société civile aura bientôt le choix entre le chaos, la désobéissance ou la prise du pouvoir.

Parler la langue de Mitterrand comme une lourde vache batave

Le chroniqueur catholique de droite Bernard Antony a récemment écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Je suis resté hier devant mon poste un peu plus longtemps que d’ordinaire, je me suis promené dans les chaînes : à deux ou trois reprises, çà et là, l’indigent spectacle de François Hollande proférant d’ineptes assertions sur le bombardement du camp d’entraînement à Deir ez-Zor pour les jihadistes qui, paraît-il, ont besoin d’aller là-bas, si loin, pour apprendre à tirer à la kalach, à dégoupiller une grenade ou à placer une charge. Toutes choses pourtant que n’importe quel caïd de Marseille se ferait une joie de leur enseigner juste pour le plaisir du service rendu.

Bernard Antony : Mais le pire, ce n’est pas qu’il prend les Français pour des billes, c’est qu’il parle la langue de Mitterrand comme une lourde vache batave avec des mots impropres, des pronoms relatifs inappropriés, et des accords du participe massacrés. Cela ne manque pas de provoquer les quolibets des orateurs africains qui tous, je l’ai vérifié jadis dans les rencontres du Parlement Européen, se font un point d’honneur de s’exprimer parfaitement dans la langue de Bossuet, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).

Refaire des tissus, refaire des paysans, des esprits indépendants

Dans son dernier livre, Philippe de Villiers écrit (extraits ; voir lien vers source en bas de page) : Un jour, on retrouvera les étymologies : la patrie, la terre des pères, renvoie à la paternité. La nation – natio : naissance – renvoie à la maternité. On a voulu fabriquer une société de frères sans père ni mère. Il faudra bien reconnaître, face à la guerre contre la famille et contre la famille des familles – la communauté nationale –, l’objection de conscience, le refus de l’impôt quand on ne voudra plus payer de sa vie la mort des autres. Les premiers objecteurs iront en prison. Puis les murs de la prison tomberont, on ne peut pas emprisonner tout un peuple.

Philippe de Villiers : Car ceux qui luttent contre la vie et brisent les attachements vitaux ont choisi de ne pas survivre. Ils feront place nette. Ils n’auront pas de successeurs. Les derniers survivants seront les enfants des cercles de survie, les évadés de l’ordre marchand. Heureusement, dans un vieux pays, rien n’est irréversible. Il y a comme une mémoire quasi minérale du sol natal : le déracinement déracine tout, sauf le besoin d’enracinement. Nos âmes expirantes retrouveront un jour les sagesses instinctives. Il faudra refaire des tissus, refaire des paysans, des esprits indépendants, comme on replante des fleurs après l’hiver, conclut Philippe de Villiers (fin des extraits ; voir lien vers source en bas de page).

Une succession de trahisons et de reniements

De son côté, l’analyste Alexandre Latsa écrit (extraits ; voir lien vers source en bas de page) : Le 18 septembre dernier, un évènement assez inattendu s’est produit sur le plateau de l’émission "On n’est pas couché" (ndmg - il ne s’agit pas ici de la prestation récente de Nadine Morano). Pour la première fois sans doute depuis que le tandem de débat qui anime les discussions avec les invités existe, ces derniers ont été remis à leur place par un authentique intellectuel dont on ne peut que saluer l'honnêteté et la rigueur intellectuelle qui a été la sienne au cours de cet échange et qui, il faut bien le dire, aura laissé le binôme totalement KO, comme on peut le voir ici et.

Alexandre Latsa : Cet échange sur le plateau d'une émission du service public aura permis une nouvelle fois de constater le fossé qui existe au sein de tendances politiques pourtant plutôt similaires au sens large, entre les exécutants du système médiatique et le dernier noyau d'authentiques intellectuels français dont sans aucune hésitation, Michel Onfray fait partie tout comme par exemple Éric Zemmour. L'air totalement sonné, hagard même diront certains, de Léa Salamé ou Yann Moix sur le plateau le 18 septembre, ne peut pas ne pas nous rappeler la puissance lourde des démonstrations zemmouriennes qui mainte fois laissèrent les invités KO. Des états de fait traduisant l'écart cosmique de niveau entre Michel et Éric, et ceux qui sont censés analyser et évaluer leurs réflexions et leur production intellectuelle.

Alexandre Latsa : De gauche et de droite, Michel et Éric sont pourtant équipés d'un logiciel de fonctionnement commun, logiciel les rapprochant sans doute en réalité beaucoup plus que ne les éloignent leurs pourtant réelles différences d'orientation politique.

Alexandre Latsa : Parmi ces points communs de fond et de forme on peut citer :

Une authentique maîtrise du verbe.

Une rhétorique axée sur la stratégie de vérité et l'analyse des faits.

Une pensée authentiquement cartésienne et donc française.

Une conscience nationale et/ou populaire affirmée.

La profonde remise en question des élites politiques ou médiatiques.

Le refus de cette insupportable menace permanente d'assimilation au Front national.

La tentative de compréhension des éléments visiblement sur une longue durée historique.

Et enfin, la tentative de résister à cette nouvelle dictature qu'est devenue l'information de l'instantané, qui favorise l'émotion au détriment de la réflexion.

Alexandre Latsa : A gauche, cette rupture est plus visible qu'à droite tant les 30 dernières années ont vu la totale victoire culturelle, morale et politique de la culture initiée par mai 68, une prise de pouvoir qui s'est affirmée au cours des années 1980. Une nouvelle gauche née sur les cendres du parti communiste et qui au cours des décennies suivantes s'est transformée en une nébuleuse sociale-démocrate sans idéologie et dont les principaux représentants n'ont plus que pour compétence leur aptitude à subsister au sein de la grande kermesse médiatique, cet espace oligarchique transnational au sein duquel, fondamentalement, le peuple n'existe pas, pas plus du reste que n'y existe la nation française.

Alexandre Latsa : A ce titre et pour se convaincre de la dépendance des premiers envers les seconds, une lecture attentive des excellents dossiers de l'Observatoire des Journalistes et de l'information permet de mieux comprendre ces nouvelles interactions. Les dynamiques qui ont pris naissance en amont de mai 68 et ont abouti à ce Maïdan français avaient pour corolaire historique naturel d'entraîner la disparition totale de l'ancienne gauche, que l'on peut qualifier de plutôt nationale, populaire et cohérente. Une disparition rendue nécessaire pour permettre la prise de pouvoir de cette Nouvelle Gauche qui, sous couvert d'aspirations sociétales fort séduisantes et d'une soi-disant sacro-sainte liberté individuelle, avait surtout pour raison et finalité historique de s'accorder avec l'hyper économisme dominateur et transnational.

Alexandre Latsa : L'histoire politique de notre pays de 1981 à 2015 n'aura finalement été qu'une succession de trahisons et de reniements opérés par les enfants de mai 68, ces libertaires capitalistes qui ont soutenu les processus économiques destructeurs (pour le petit peuple) et parfois antidémocratiques de la construction européenne, que l'on pense respectivement à l'instauration de l'espace Schengen en 1995 ou au référendum de 2005 sur la Constitution européenne. Nul doute que pour cette caste, l'entrée en vigueur du traité transatlantique soutenu par tous les socialistes européens sera vraisemblablement un soulagement mais aussi et surtout, au fond, un aboutissement.

Alexandre Latsa : De nombreux points communs avec notre classe politique, qui a au cours des quatre dernières décennies évolué de telle façon que notre président est devenu une sorte de VRP, et notre Assemblée nationale, chambre d'enregistrement des décisions américaines. Un comble alors que la France, en tant qu'Etat indépendant, devrait avoir à sa tête un président qui ne pense qu'aux intérêts supérieurs de la nation et une Assemblée qui valide les grandes directions insufflées par le chef de l'Etat.

Alexandre Latsa : Pourtant, ici et là, de nouvelles dynamiques apparaissent. Les Français sont visiblement de plus en plus nombreux à mesurer l'incompétence de leur classe politique et à comprendre que la solution ne viendra pas d'en haut mais d'en bas, du peuple. Nombreux sont ceux qui envisagent désormais de nouvelles figures politiques issues pourquoi pas de la société civile. De tels scénarios ont du reste déjà été envisagés, que ce soit avec Michel Onfray et Éric Zemmour. L'avenir pourrait-il voir l'émergence d'un gouvernement d'union nationale issu de la société civile ?, conclut Alexandre Latsa (fin des extraits ; voir lien vers source en bas de page).

Michel Garroté, 30 septembre 2015

http://www.bernard-antony.com/2015/09/devant-mon-poste.html

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/09/de-la-d%C3%A9sob%C3%A9issance-civile-%C3%A0-lesp%C3%A9rance-selon-philippe-de-villiers.html

http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20150928/1018441210.html#ixzz3n8iJtIzf