États-Unis: les données de Yelp montrent que 60% des entreprises qui ont fermé pendant le Covid sont maintenant définitivement fermées

C'est confirmé - plus de la moitié des entreprises aux États-Unis qui ont fermé pendant l'hystérie Covid de 2020 sont maintenant définitivement fermées.

En juillet de cette année, l'ancien gouverneur de New York, Cuomo, suppliait les entreprises de revenir à New York. C'était trop tard. Les dégâts dus à Cuomo et à de nombreux gouverneurs tyranniques à travers le pays étaient faits. Des millions de personnes ont été licenciées et des petites entreprises dans tout le pays ont fermé.

Il est trop tard pour Cuomo et tous les gouverneurs qui ont adoré détruire les emplois, les entreprises et les moyens de subsistance des Américains. Ces emplois sont définitivement perdus.

Les données de Yelp montrent que les emplois ont disparu .

Yelp a publié mercredi son dernier Rapport d'impact économique, montrant que les fermetures d'entreprises aux États-Unis augmentent en raison des répercussions économiques de la  pandémie de coronavirus .

Au 31 août, 163'735 entreprises indiquaient sur Yelp qu'elles étaient fermées. Ce chiffre est en baisse par rapport aux 180'000 qui ont fermé au tout début de la pandémie. Cependant, il montre en réalité une augmentation de 23% depuis la mi-juillet.

En plus du suivi des fermetures temporaires, Yelp prend également en compte les commerces dont les fermetures sont devenues définitives. Ce nombre a régulièrement augmenté au cours des six derniers mois, atteignant maintenant 97'966, c'est-à-dire que 60% des entreprises qui ont fermé ne rouvriront pas.

"Dans l'ensemble, les données de Yelp montrent que les fermetures d'entreprises ont continué d'augmenter, avec une hausse de 34% des fermetures permanentes depuis notre dernier rapport à la mi-juillet", a déclaré à CNBC Justin Norman, vice-président pour la science des données chez Yelp.

Bravo au Dr Fauci, au Dr Birx, à Nancy Pelosi, aux Démocrates, aux RINO, aux antimasques et à tous ceux qui n’ont pas su voir plus loin que le bout de leur nez pour comprendre que le remède était pire que le Covid. Maintenant, des millions de personnes sont sans travail, sans argent et ont perdu leurs rêves. Vraiment, bravo.

source: https://www.thegatewaypundit.com/2021/09/data-yelp-shows-60-businesses-closed-covid-now-permanently-gone/

Traduction Albert Coroz

Charles Gave – Inflation : le débat fait rage…

Le lecteur, même le moins attentif aux choses de l’économie, a sans doute remarqué que l’inflation revenait à la mode chez les journalistes et les commentateurs de l’économie et que donc le nombre d’articles portant sur le sujet est en train d’exploser.

Et comme d’habitude, ce petit monde se scinde en deux.

  • D’un côté, les pessimistes qui attendent la fin du monde depuis des lustres et qui nous annoncent l’hyperinflation « à la » République de Weimar.
  • De l’autre, ceux qui sont persuadés que les hausses de prix actuelles sont « temporaires » et que tout va rentrer dans l’ordre une fois que les goulots d’étranglements actuels, dus au Covid, seront résorbés.

Et ces deux groupes s’étripent à qui mieux mieux sous les yeux ébaubis des spectateurs en se lançant force chiffres et statistiques à la figure,
lesquels ne font que renforcer la sidération générale.

Et je me retrouve une fois de plus en face du problème : Tout le monde me pose la même question, inflation, ou pas ?

Je ne vais pas me défiler. A la question du moment, l’inflation va-t-elle repartir fortement ou non, je vais apporter une réponse claire et sans ambiguïté : Je n’en ai pas la moindre idée et qui plus est, je m’en fous complètement puisque la question est idiote.

Et pourquoi la question est-elle idiote ? parce que toujours et partout une hausse généralisée des prix a été le résultat d’un processus qui avait commencé souvent depuis plusieurs années  et c’est simplement quand les conséquences de ce processus deviennent visibles sur le niveau général des prix que les commentateurs et les journalistes se mettent à courir en rond comme des poulets sans tète en criant « inflation, inflation », ce qui ajoute à  la panique mais pas à la qualité de la réflexion…

Et donc, une fois encore, je vais procéder devant les lecteurs à une analyse de la façon dont je regarde un problème économique et dans le cas présent, il s’agit d’une hausse des prix généralisée, c’est-à-dire pour un économiste, d’une baisse de la valeur de la monnaie.

Je commence toujours par les grands anciens quand je cherche à comprendre quelque chose, et en ce qui concerne la monnaie, le plus grand a sans doute été Milton Friedman (quoique Cantillon…) qui affirmait que l’inflation toujours et partout avait été le résultat d’une création de monnaie excédentaire. Mais Friedman était tres subtil : il disait simplement : toutes les périodes inflationnistes ont été précédées par une hausse anormale de la masse monétaire, ce qui est vrai.

Mais il n’a jamais dit que toutes les hausses anormales de la masse monétaire amenaient à l’inflation. Il y a eu de nombreux cas où une hausse de la masse monétaire tout à fait excessive n’a entrainé aucune accélération dans le niveau général des prix.

Et donc, pour qu’il y ait une hausse générale des prix, il FAUT qu’il y ait eu une hausse anormale de la masse monétaire quelque temps auparavant, mais cela ne SUFFIT pas. La condition est donc « nécessaire » mais « non suffisante » comme l’on disait en mathématiques dans ma jeunesse.

A la première question : Avons-nous eu une hausse extraordinaire des masses monétaires depuis quelques années, la réponse est un OUI sonore partout dans le monde, sauf en Asie.

La condition nécessaire est donc remplie mais cela ne veut pas dire qu’inflation il y aura et qu’elle sera la même partout.

Dans un deuxième temps, il faut regarder à qui cet argent est allé, et pourquoi ?

Et c’est là que je retrouve un autre grand spécialiste de la chose monétaire, français celui-là, Jacques Rueff quand il énonce cette vérité éternelle : « L’inflation c’est de subventionner des dépenses qui ne rapportent rien avec de l’argent qui n’existe pas ».

En termes simples, ce que veut dire Rueff, c’est que si la monnaie créée ex nihilo par la banque centrale va dans des investissements désastreux, alors la poussée inflationniste sera plus forte que si l’argent avaient été dans de bons investissements.

Et enfin, troisième condition, il faut qu’il y ait un vecteur commun à toutes les entreprises et à tous les ménages pour transmettre le virus inflationniste, et dans le passé il s’est agi soit des salaires quand ils étaient indexés, soit du prix de l’énergie.

Et nous savons tous que depuis 2020, l’argent « magique » a été principalement utilisé dans des transferts sociaux certes, mais surtout dans des éoliennes et autres panneaux solaires qui ne répondent en rien aux besoins énergétiques des pays.

Et donc, à mon sens et dans ce cycle, le coût de l’énergie devrait être le vecteur inflationniste global, et c’est donc ce coût qu’il faut surveiller comme du lait sur le feu.

A mon avis, il va inéluctablement monter, non pas parce que l’énergie est plus rare comme le croient les Malthusiens mais parce que certains gouvernements ont décidé de taxer les formes d’énergie les plus performantes au profit de celles qui le sont moins, ce qui va faire monter le prix de l’énergie.

Pourquoi ?

  1. D’abord, personne ne supporte d’être vilipendé nuit et jour au motif qu’il serait en train de détruire la planète, et les producteurs d’énergie « ancienne » ont donc décidé d’arrêter de chercher ou de produire des nouvelles ressources « fossiles » (Pouah, quelle horreur) et nucléaires (double Pouah). Il suffit pour s’en convaincre de regarder le budget d’exploration d’Exxon ou de Shell qui ont baissé de moitié dans les 10 dernières années ou les programmes de construction de centrales nucléaires par rapport aux programmes de destruction des vieilles centrales et la vérité apparait comme aveuglante.
  2. Ensuite les énergies vertes sont par nature intermittentes et requièrent d’être doublées par des centrale à gaz, ce qui double la dépense en capital mais pas la capacité et fait monter le prix de l’énergie. Et du coup, les fabricants de centrales thermiques au gaz sont très favorables aux énergies vertes, ce qui n’étonnera que les naïfs.
  3. Enfin, pour qu’une énergie soit efficiente, il faut que la production soit « faite au centre du réseau », pour être dispersée ensuite, à la périphérie. Dans le cas des énergies vertes, nous avons le schéma inverse, ce qui en fait un système peu efficient et de ce fait très couteux.

Et donc le prix de l’énergie va être tiré vers le haut en raison de ces nouvelles technologies plutôt que vers le bas, comme cela était l’usage dans le passé.

Et donc il me parait probable que si l’on additionne :

  1. Le passage vers le tout électrique.
  2. La fin des investissements dans les énergies classiques (charbon, pétrole, nucléaire).
  3. La remarquable inefficacité des technologies vertes qui n’existent que grâce aux subventions.

Et donc, l’on peut être à peu près certain que le prix de l’énergie sera le vecteur qui nous fera passer d’une forte création monétaire à une hausse généralisée de tous les prix.

Et l’embêtant va être qu’une hausse du prix de l’énergie est équivalente à une hausse des impôts qui amène à chaque fois à une baisse de la rentabilité des entreprises et donc des marchés des actions.

C’est ce que montre le graphique suivant.

Quand la ligne noire baisse, cela veut dire que le prix du pétrole monte plus vite que l’activité économique nominale et donc que les marges des sociétés consommatrices de pétrole baissent, ce qui va faire chuter la bourse (ligne rouge baissant).

Certes, nous n’en sommes qu’au début du processus, mais une longue expérience m’a apprise que les mouvements vers le bas peuvent être extrêmement brutaux.

Et la meilleure façon de se protéger n’est certes pas de mettre une éolienne dans son jardin, ou des panneaux solaires sur son toit mais d’acheter les grandes sociétés productrices d’énergie qui savent produire de l’énergie de façon rentable, verte ou pas verte.

Et curieusement, ces vieilles gloires depuis le début de cette année se sont mises à faire mieux que les nouvelles stars de la nouvelle économie verte, comme le montre notre deuxième graphique.  Le marché saurait il quelque chose que les hommes politiques ne sauraient pas ?

 

Conclusion.

Il y a une Loi de la Science Politique qui ne connait que peu d’exceptions : Les résultats d’une action politique sont souvent inverses aux promesses faites à l’origine. Le blocage des loyers amène à une pénurie de logements, une augmentation du salaire minimum à une hausse du chômage, l’éducation pour tous à une hyper sélectivité par l’argent pour que les enfants des élites se retrouvent bien entre eux etc…

Les « oints du Seigneur » et autres « hommes de Davos » ont identifié et le problème (le réchauffement atmosphérique créé par le CO2) et la solution au problème, l’énergie décarbonée (non sans en exclure la seule efficace, l’énergie nucléaire.)

Il me parait donc probable que nous sommes à la veille d’un mini âge glaciaire et que nous allons manquer d’énergie fossile très bientôt.

Si j’étais facétieux et farceur, je recommanderais bien au lecteur de l’IDL de se bourrer de valeurs pétrolières dans des pays surs comme la Russie ou le Kazakhstan, mais je suis sérieux et à mon avis, avoir une proportion anormalement élevée dans son portefeuille (>20%) des bonnes vieilles valeurs pétrolières cotées chez nous, devrait aider le dit- lecteur à surnager dans le Tsunami énergétique qui risque d’arriver un de ces jours.

Source: https://institutdeslibertes.org/inflation-le-debat-fait-rage/

Coronavirus. Economie : la Chine communiste se moque de nous

Aucun autre pays n'est autant à blâmer que la Chine pour la pandémie mondiale du Covid, qui a tué 1,5 million de personnes jusqu'à présent. Et aucun autre pays ne traverse la crise aussi bien que la Chine.

Par exemple, plus de 40 programmes de formation professionnelle financés par l'Allemagne avec des prêts de la Kreditanstalt für Wiederaufbau [NDLR :  Institution de droit public allemande. Elle fait partie des quinze premières banques d'Allemagne.] sont toujours en cours en République populaire de Chine, selon le ministère du développement.

La banque de droit public finance notamment des formations dans les domaines de la technologie automobile, des produits pharmaceutiques ou de la fabrication de voitures et de pièces détachées - des domaines dans lesquels la Chine menace de nous dépasser ou nous a déjà relégués au deuxième rang.

Ce n'est pas la seule raison pour laquelle le pays dirigé par la dictature a traversé la crise dans les meilleures conditions possibles après avoir contribué à déclencher la pandémie mondiale de Covid par sa politique de dissimulation.

L'économie chinoise devrait croître de près de 2 % cette année, tandis que celle de l'Allemagne est en perte de vitesse (moins 6,6 %). Rien qu'en novembre, les exportations chinoises ont augmenté de 21 % par rapport au même mois de l'année dernière. En revanche, les exportations allemandes ont diminué de 6,5 % en octobre par rapport à octobre 2019.

[...]

Pendant ce temps, la Chine, censée avoir besoin d'aide, fait ses courses dans l'économie allemande en crise. Tout récemment, un investisseur chinois a racheté pour un euro l'entreprise de mode hambourgeoise Tom Tailor, en pleine crise, avec ses quelque 3 000 employés. Difficile à croire : Le gouvernement fédéral et les gouvernements des États garantissent 100 millions d'euros aux Chinois.

Dans le calme et le secret, le cinquième plus grand aéroport de fret d'Allemagne - Frankfurt-Hahn - est également tombé entre les mains du Parti communiste chinois au cours de la crise. En mars, les cadres du régime ont pris le contrôle du groupe HNA de la région de Hainan, en difficulté financière.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de


Note : Remarquez à quel point les gauches européennes et nos médias se taisent au sujet de la responsabilité de la Chine communiste. Aucun d'entre eux ne fait la moindre remontrance à l'égard de cette dictature, idéologiquement proche de la leur.

Rappels :

Coronavirus : Certains produits médicaux importés de Chine sont de très mauvaise qualité

Les prix des masques chinois ont été multipliés par 15

La Chine « se prépare à la guerre » avec les États-Unis, et comment Tik Tok est exploité par la Chine

Trump reproche à la Chine d’avoir «infecté le monde»

La Chine après le virus et l’économie mondiale

 

Le triomphe de la raison

Rodney Stark Le triomphe de la raison p. 113-)

Vers la fin du Xème siècle, une industrie du fer commença à se développer dans certaines régions du Nord de la Chine. On a estimé qu’en 1018, les hauts-fourneaux créaient 35'000 tonnes de fer par an. Soixante ans plus tard, c’était 100'000 tonnes. Cela s'accomplit uniquement par des entrepreneurs privés, l’état n’y était pour absolument rien du tout. Ces sidérurgistes accumulaient des revenus considérables et cela fît boule de neige pour améliorer le bien être de toute la population, y compris la production agricole, via les outils agricoles en fer.
Mais tout cela cessa lorsque les mandarins de la cour impériale, voulant que tous les riches et toutes les élites n'appartiennent qu'à leur groupe social, décidèrent de prendre en main ce secteur d'activité afin de ne pas chambouler l’ordre traditionnel. Ils décrétèrent alors que le fer était monopole d’état et saisir le tout. Ensuite, la Chine a connu des siècles de stagnation économique et sociale parce que "la propriété n’y était pas sûre".

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Richard Détente reçoit CharlesGave et OlivierDelamarche pour traiter le sujet du chômage en France.
La crise du COVID19 ne cesse d’affaiblir l’économie de notre pays.
Elle fragilise notre système, aussi bien dans ses institutions démocratiques que dans ses perspectives d’emploi.
Les travailleurs salariés et non-salariés se retrouvent coupés de leurs revenus, sans activité aucune pour certain.
Aucune perspective réjouissante ne semble se dessiner pour eux à court-terme. Alors que l’État semble se dresser pour faire barrière en proposant des plans de financement pour les entreprises en difficultés, alors que l’argent semble tomber du ciel pour panser l’hémorragie que cause le coronavirus, on ne peut que constater la faiblesse de ces stratégies attentistes et réactionnistes.
Le problème est sans nul doute bien plus profond.
Que peut-on envisager comme solutions pour endiguer ce chômage de masse qui se profile à l’horizon pour les français ?
Quel plan de relance sera assez pertinent pour contrecarrer cette misère sociale qui s’installe de manière lancinante ?
Faut-il en passer par une remise à plat complète de l’administration en France et de ses rouages ?

Macron: Le gouvernement tente de se sauver des poursuites pénales

Philippe de Villiers fait une incroyable révélation. Il cite le président Macron qui lui aurait confié : le gouvernement tente de se sauver des poursuites pénales.

Le souci majeur de ces pseudo-dirigeants serait d’organiser leur impunité pénale. Ils sont en train de désorganiser totalement le pays, ils alimentent une véritable psychose dans la population pour masquer leurs agissements douteux.

[...]

article complet: https://www.dreuz.info/2020/09/15/gestion-de-la-grippe-covid-19-plus-dure-sera-la-chute/

Sauve qui peut, le PS et les Verts donnent leur recette pour sauver, l’économie, le climat, la planète !

Cenator : Toujours et partout, la gestion de l’économie par des Socialistes a abouti à la ruine des pays où ils sévissaient. Ces pays dont l’économie pouvait même être prospère avant cette gestion socialiste.

Par ailleurs, les pays socialistes, l’ancienne URSS en tête, figurent parmi les pays n’ayant eu aucun, ou très peu, d’égards pour la préservation de la nature.

« Le socialisme échoue toujours, quelles que soient les formes qu’il prend, communisme ou social-démocratie, parce que la création de richesses ne se décrète pas, parce qu’elle n’est pas le résultat des stimuli des dépenses publiques, qui ne permettent que de faire plaisir à sa clientèle électorale, parce que seule la liberté économique permet la prospérité. » (Francis Richard).

« Le socialisme est le triomphe de l’illusion sur l’intelligence »
« Car un moment viendra où l’État, soit qu’il demeure dans les mains des conservateurs ou qu’il tombe dans celles des socialistes, pèsera sur la société d’un tel poids qu’elle cessera de pouvoir le porter. »

En effet, les socialistes ne peuvent créer que des taxes, des impôts, des fonctionnaires, des règlements, des lois et des empêchements perpétuels à une saine liberté des parents, des entrepreneurs, des citoyens… bref, de tous les acteurs sociaux.

Lorsque des politiciens, trop bien payés et sans expérience professionnelle dans le secteur privé, prennent en charge des domaines où ils n'ont aucune compétence, cela devient dangereux, vu que les dogmes ne servent alors plus à rien !

Voici enfin le plan de relance, de portée intemporelle et universelle, inventé par le parti conservateur anglais en 1999 :

- Toujours moins d’impôts et moins d’état.

- Rétrocession  de pouvoirs au peuple.

- Chasse aux assistés sociaux professionnels.

- Et surtout, défense de la souveraineté nationale menacée par l’Europe.

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Le PS suisse veut un plan de relance lié à la protection du climat

Pour un nouveau départ après la crise du coronavirus, le PS suisse réclame des investissements ciblés dans les énergies renouvelables, l'efficacité énergétique et la revitalisation des réserves naturelles. Il demande au Conseil fédéral de prolonger le programme de crédits de la crise.

Le Parti socialiste a présenté mardi devant les médias à Berne un papier de position dans lequel il estime que "notre pays ne peut pas se contenter de revenir à la normale comme si de rien n’était". A ses yeux, les prochaines années détermineront si la Suisse parvient à créer des emplois durables et si elle contribue à éviter la catastrophe climatique.

Le parti exige que la Confédération corrige le recul des investissements de ces dernières années. Elle doit aussi accélérer l’expansion de l’énergie solaire et des solutions de charge et de stockage de l’électricité, l’assainissement des bâtiments et des processus de production ainsi que la revitalisation des réserves naturelles et des cours d’eau.

La loi sur le CO2 fournit des bases importantes à cet égard, mais cela ne fonctionnera pas sans programme d’incitation financé par l’Etat. Celui-ci doit être prolongé, demande le vice-président du parti Beat Jans (BS).

Pour "donner du souffle à l'économie"

Un programme d’impulsion lié à la protection du climat donne du souffle à l'économie, avance la conseillère aux Etats jurassienne Elisabeth Baume-Schneider. Premièrement, dit-elle, cela permettra à l’économie suisse - qui ne fonctionnera qu’à faible capacité au cours des prochains mois - de se préparer à l’avenir.

Deuxièmement, la Suisse pourra réduire les importants besoins d’ajustement structurel et d’investissement nécessaires pour atteindre les objectifs climatiques. La stabilisation du climat mondial ne peut réussir que si l’on met à profit le nouveau départ de l’économie pour créer des emplois dans la production d’énergie aussi neutre que possible en CO2.

Le PS "ne revendique pas l'impossible"

L'UE, la Grande-Bretagne et 50 autres Etats lancent déjà des programmes d'investissements pour une reconstruction respectueuse de l'environnement de leur économie.

Dans son dernier rapport, l'OCDE pousse aussi la Suisse à investir dans la protection du climat. "

Le PS ne revendique pas l'impossible", estime la Jurassienne.

Le soutien étatique aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique a des effets macroéconomiques positifs, note encore le parti. Les importations d’énergies fossiles sont remplacées par la création de valeur et d'emplois sur le territoire national.

Ainsi, l'argent qui partait à l'étranger pour l'importation de pétrole et de gaz restera en Suisse. Par ailleurs, le transfert vers des énergies renouvelables créera cinq fois plus d'emplois que si la Suisse soutient un système fossile, précise Beat Jans. Selon plusieurs experts, 50'000 emplois pourraient voir le jour. Cela réduirait les coûts sociaux.

ats/oang

Seuls le sang et les larmes redresseront le pays, pas l’ISF

Le matraquage fiscal des « riches », majoritairement perçu comme légitime, est tellement ancré dans les mentalités qu’à la moindre difficulté, la réponse quasi-unanime est de rétablir l’ISF.

Un problème ? Faites payer les riches ! L’idéologie socialo-communiste est omniprésente dans les esprits et il n’existe aucun obstacle qui ne puisse être surmonté par un nouvel impôt sur les riches, au nom de la justice sociale, ce fourre-tout prétexte à tous les abus.

Pour une majorité de Français, supprimer un impôt contreproductif et stupide comme l’ISF, c’est faire un cadeau aux riches. Le rétablir, c’est une preuve de justice sociale, même si cela ruine un peu plus le pays.

Plus personne ne raisonne sereinement, seul le symbole compte. Aucun autre pays n’a instauré cet impôt confiscatoire, mais peu importe !

Comme si les riches étaient en mesure de payer l’ardoise faramineuse de la pandémie, qui se traduit par 300 milliards de dettes supplémentaires et une chute du PIB équivalente.

L’ISF, avant sa transformation en impôt sur la fortune immobilière, n’a rapporté que 4,2 milliards d’euros en 2017. Pas de quoi rembourser les 2 800 milliards de dettes que nous aurons fin 2020.

Cet acharnement sur les riches est vraiment une maladie française, alors que la France est le pays le plus redistributif et le plus égalitaire de l’OCDE.

Sur 48 millions de foyers, 43 % paient l’impôt sur le revenu et  57 % en sont exonérés. Donc, près de 6 Français sur 10 ne paient pas d’impôt sur le revenu !

10 % des foyers paient 70 % de l’impôt.

2 % en paient 40 %.

Rétablir l’ISF n’est donc pas la solution puisque cet impôt coûte plus cher à récolter qu’il ne rapporte. D’autant plus qu’il fait fuir les plus riches et décourage les investisseurs étrangers.

Entre 2003 et 2016, ce sont  750 gros contribuables qui ont  fui chaque année notre enfer fiscal. Ces 10 000 exilés fiscaux, partis avec leurs capitaux, sont  allés créer des richesses et des emplois chez nos voisins. Beau bilan !

Sur 30 ans, on estime que l’ISF a fait perdre 300 milliards de recettes à l’État  (IR + TVA)

Par conséquent, la solution miracle n’est pas dans le rétablissement de l’ISF, comme le clame l’économiste  Thomas Piketty, l’idole de la gauche.

En effet, avant de vouloir taxer les riches, il  serait  plus urgent de créer des richesses. Le PIB va chuter de 2 500 à 2 200 milliards, il faut donc remonter la pente.

1° Le redressement national ne peut venir que par un accroissement de la production, en travaillant plus. Du sang et des larmes pour tous.

Toute journée travaillée rapporte 2 milliards de recettes à l’État.

Deux jours fériés travaillés, ce sont 4 milliards d’engrangés. Est-il  judicieux de conserver autant de jours fériés et de ponts dans notre calendrier, alors que la crise est monumentale et va mettre des millions de travailleurs et de jeunes sur le carreau ?

Est-il judicieux de conserver les 35 heures, qui ont  sabordé notre compétitivité  sans créer un seul emploi ?

Avec 1 526 heures de travail par an, les Français travaillent 200 heures de moins que la moyenne des 39 pays de l’OCDE.

Selon un récent sondage, les 2/3 des Français ne sont pas d’accord pour travailler plus. Curieuse façon d’affronter la plus grave crise depuis la guerre.

Mais seront-ils d’accord quand ils perdront leur emploi parce que leur entreprise fait faillite par manque de fonds et de compétitivité ?

Seront-ils d’accord quand leurs enfants arrivés sur le marché du travail trouveront porte close devant les entreprises ?

Cette crise économique et sociale est la plus dramatique depuis 1945. Elle a détruit des centaines de milliards de richesses et des millions d’emplois.

Les Français ne peuvent s’en sortir en s’arc-boutant  sur leurs acquis sociaux et en refusant de  retrousser leurs manches, comme l’ont fait nos aînés en 1945.

2° La sagesse élémentaire est d’en finir avec cette immigration de pauvres, totalement inutiles à une économie moderne, et qui nous ruine depuis 40 ans.

Nous avons 6,5 millions de chômeurs. Il y en aura 2 millions de plus dans 3 mois. A-t-on besoin de 500 000 immigrés de plus chaque année, alors que la plupart sont sans diplôme ni qualification ?

La Cour des comptes vient de chiffrer le coût de l’accueil des nouveaux immigrés pour l’année 2019 à  6,6 milliards.

256 576 titres de séjour ont été accordés.

154 620 demandes d’asile ont été déposées.

50 000 mineurs isolés ont été accueillis.

100 000 clandestins au bas mot (migrants économiques n’ayant pas droit à l’asile) se sont fondus dans le paysage.

Total = 561 196 immigrés qui ne repartiront jamais puisque la France n’expulse pratiquement plus depuis que Macron est arrivé au pouvoir.

Ce coût de 6,6 milliards ne concerne que l’accueil des migrants pour l’année 2019.

Rien à voir avec le coût annuel de l’immigration qui donne le vertige et  atteint 130 milliards par an, toutes dépenses confondues.

En conclusion, il est totalement illusoire de vouloir redresser le pays sans travailler plus et sans stopper l’immigration, devenue un fardeau  insupportable.

Certains m’objecteront que demander un effort général quand on est retraité ne manque pas de sel. Exact. Mais le seul effort que les retraités les plus aisés puissent fournir serait un effort financier, ce que je trouverais parfaitement légitime pour contribuer ensemble à l’effort national.

Jacques Guillemain

source: https://ripostelaique.com/seuls-le-sang-et-les-larmes-redresseront-le-pays-pas-lisf.html

Votre épargne détruite par “l’argent gratuit” : Piège de la création monétaire

Dans cette vidéo, Richard Détente reçoit Simone Wapler et ils s’interrogent sur les risques de la création monétaire. Parce qu’on est en droit de se demander ce qu’il est possible de faire concrètement avec la monnaie quand on voit que les banques centrales peuvent, d’un seul clic créer autant de richesse qu’une génération entière de travail ... Peut-on naviguer dans un monde où les taux d’intérêts sont négatifs, où des milliards de dollars et d'euros sont créés à partir de rien à chaque alerte ou presque ? Richard Détente et Simone Wapler reviennent aux sources de la création de la monnaie et du crédit. Dans cet épisode, on parlera des Sumériens, des Romains, des Hébreux, de monnaie-marchandise et de monnaie-crédit.
On rappellera que de tout temps, le crédit était considéré comme un danger et sa croissance limité, Simone Wapler nous rappellera le principe du Jubilé et de la réduction en esclavage, du temps des sumériens, de celui qui avait trop emprunter : un moyen efficace de contrôler l’expansion du crédit...
John Maynard Keynes sera cité et ses apports au débat économique seront remis à leur juste place et leur contenu rectifié. Le risque de l’inflation et de sa capacité à enrichir les riches et appauvrir les pauvres sera également abordé.
Mais surtout Richard Détente et Simone Wapler nous rappellerons qu’à chaque fois que le pouvoir en place a créé de la monnaie ou du crédit, les peuples se sont appauvris.

voir aussi: Votre épargne paiera la dette : l’état se servira sur vos comptes. Simone Wapler vous alerte.

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image: John Law

Energie, économie, social, immigration : L’Allemagne de Merkel est en feu et vit dans le mensonge.

Si l'Allemagne était une entreprise, il y aurait un panneau accroché à l'entrée déclarant : "On ferme." Infrastructures endommagées, Internet plus lent qu'en Roumanie, écoles sales, système énergétique en panne, avenir gâché : Le pays de Merkel est en feu.

Autrefois, l'Allemagne était un pays de précision, de fiabilité et de fabrication de la plus haute qualité, dont les produits sont demandés et appréciés dans le monde entier. Après quatorze ans de gouvernement Merkel, l'Allemagne n'est pas seulement un champ de ruines sur le plan économique. Et la prochaine crise frappe déjà à la porte.

La récession bat déjà son plein. Et cette fois, les choses ne se passeront pas aussi bien qu'il y a dix ans, pendant la crise financière mondiale. Car à présent, le noyau industriel souffre. Audi, BASF et Bayer, Thyssen-Krupp, Siemens et SAP annoncent des licenciements et des suppressions d'emplois.

Les constructeurs automobiles sous pression

Et il ne s'agit que des grands noms. D'autres grands constructeurs automobiles sont également en difficulté, aux prises avec des pertes, des problèmes massifs de ventes et des restructurations. Les entreprises de taille moyenne et les leaders du marché sont également sous pression depuis longtemps - des noms brillants comme Krone, WMF ou Vorwerk.

Dans le sillage des grands acteurs, les petits et moyens sous-traitants tombent également dans le piège. Si une petite entreprise de Basse-Bavière ou de Lusace doit fermer ses portes, ce n'est peut-être pas une grande nouvelle nationale. Mais pour la région touchée, quelques centaines d'emplois perdus sont aussi une catastrophe.

La classe moyenne se vide de son sang

Ce ne sont pas des cas isolés. Avec les nombreuses petites et grandes faillites et autres pertes d'emplois, la structure industrielle nationale, qui était jusqu'à présent l'épine dorsale de la prospérité allemande, est en train de s'effriter. Par le biais de cette hémorragie, la crise s'installe dans les salons de la classe moyenne et de la classe ouvrière.

Rien de tout cela ne tombe du ciel

Des politiciens, qui veulent continuer à collecter et à redistribuer l'argent des contribuables comme s'il n'y avait pas de lendemain, insistent encore à l'envi sur Donald Trump et sa guerre commerciale avec la Chine, ou sur le "démoniaque" Boris Johnson et son adhésion au "Brexit" : Or cette crise économique est essentiellement interne.

La "protection du climat" ruine le noyau industriel

[...] Les raisons des difficultés rencontrées par le principal équipementier automobile Continental sont déterminées par l'abaissement des limites d'émissions de gaz d'échappement et de CO2 pour les voitures à moteur à combustion interne et le passage forcé aux voitures électriques, ce que les politiciens veulent, mais pas les acheteurs de voitures. [...]

En période de récession, les politiciens forcent l'économie et l'industrie allemandes à s'attaquer à plusieurs projets de changement structurel important à la fois. Après la sortie du nucléaire, la sortie du charbon est également prévue. Pour les régions minières de lignite d'Allemagne de l'Ouest et de l'Est, cela signifie que même le dernier employeur industriel va migrer.

[...]

Le réseau routier et ferroviaire est depuis longtemps devenu obsolète et inefficace. Pendant des années, les investissements nécessaires à la préservation et au développement des infrastructures de transport n’ont pas été effectués. Malgré les recettes fiscales records - durant les années Merkel, les recettes fiscales des administrations publiques ont presque doublé - il n’y a jamais eu assez d’argent. [...]

L'argent dilapidé aujourd'hui fera cruellement défaut lorsque, dans une ou deux décennies, les baby-boomers d'aujourd'hui prendront leur retraite et que la demande de paiements augmentera fortement. Le conte de fées du "pays riche", avec lequel chaque gouvernement fédéral a justifié la poursuite du pillage des contribuables, a depuis longtemps cessé d'être vrai : en ce qui concerne le patrimoine moyen des ménages privés, l'Allemagne est presque au bas de la liste de l'UE, et se situe même loin derrière les pays du sud, qui demandent des transferts toujours plus urgents de l'Allemagne.

[...]

Le système éducatif allemand produit un grand nombre de diplômés de l'enseignement secondaire qui non seulement ne sont souvent pas apte aux études universitaires, mais ont également des difficultés avec l'allemand et les mathématiques, ainsi que des diplômés universitaires qui maîtrisent les études de genre et la pédagogie sociale, mais qui ne sont pas adaptés aux tâches complexes d'une société industrielle moderne. Parallèlement au déclin des Hautes Ecoles et des Ecoles secondaires, le nombre de spécialistes et de travailleurs qualifiés dont l'économie a un besoin urgent diminue également.

Les politiciens prétendent que les travailleurs qualifiés qui font défaut seront importés. La réalité est différente : Sur les deux millions de "travailleurs qualifiés" qui sont entrés dans le pays depuis l'ouverture des frontières par Merkel, une grande partie ne trouvera jamais sa place dans le monde du travail allemand ; une proportion considérable d'entre eux est analphabète et incapable de se former.

En revanche, les professionnels ont tendance à négliger les tentatives de recrutement allemandes. Qui voudrait travailler dans un pays qui offre des salaires plus bas et des impôts plus élevés que les pays d'immigration ? Face à l'escroquerie fiscale, les autochtones hautement qualifiés fuient également à l'étranger, tandis que le gouvernement importe constamment de nouveaux prolétariats migratoires.

Outre les projets idéologiques, les charges fiscales exorbitantes surtout liées à l'expansion incontrôlée de l'industrie du social, pèse sur la population active. Dans les partis et les médias dominants, des mécènes et des partisans maintiennent fermement le lobby social sous contrôle.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour les Observateurs.ch)

Deutschland-kurier.org/

Allemagne : pour l’économiste Daniel Stelter « la prochaine génération d’Allemands héritera de milliards de dettes à cause de Merkel. »

Dans un article du magazine allemand Ciceron, l'économiste Daniel Stelter s'en est brutalement pris à Angela Merkel, soutenant que la prochaine génération d'Allemands héritera de milliards d'euros de dettes et que Merkel et son gouvernement ont détruit une quantité record de richesses.

"Rarement autant de prospérité a été détruite en temps de paix que par le gouvernement d'Angela Merkel (...) Ils sont l'héritage coûteux de 13 années de mauvaises décisions politiques ", écrit Stelter dans un article intitulé "The Bill".

Selon l'auteur, si l'Allemagne affiche actuellement de bons résultats économiques, cela ne durera pas éternellement : "Il est prévisible que notre situation économique particulière connaîtra une fin douloureuse".

Stelter pense qu'à ce moment-là, les erreurs du gouvernement Merkel coûteront très cher à l'Allemagne.

"Les charges supplémentaires créées au cours des 13 dernières années sont estimées entre 3 700 et 4 700 milliards d'euros et les coûts à long terme pourraient être encore plus élevés, en plus des charges qui découleront du vieillissement de la population, et pour lesquelles aucun gouvernement des 40 dernières années n'a pourvu," déclare l'économiste.

Entre autres choses, les coûts de l'immigration sont terribles pour l'économie allemande : "L'immigration pèse sur le système social", écrit l'économiste en citant un collègue :

"En 2015, le chercheur financier Bernd Raffelhüschen a calculé que le coût total de l'immigration s'élèvera à près de 900 milliards d'euros au cours des prochaines décennies ; si les descendants de ces migrants ne sont pas aussi bien intégrés dans le marché du travail que la génération autochtone, les coûts s'élèveront à 1500 milliards.

Voice of Europe / Cicero.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

 

 

 

 

 

 

La croissance américaine bondit, Donald Trump triomphe

La croissance des Etats-Unis a fait un bond au deuxième trimestre, franchissant la barre des 4% pour la première fois en quatre ans, une performance saluée avec triomphe par Donald Trump.

D'avril à juin, l'expansion du Produit intérieur brut (PIB) a atteint 4,1% en rythme annuel, la cadence la plus forte depuis le dernier trimestre de 2014.

"Nous faisons envie au reste du monde (...) L'Amérique est respectée !", a lancé le président Donald Trump évoquant un "miracle économique" après la publication vendredi de cette première estimation du département du Commerce.

"Nous avons réalisé un retournement économique d'ampleur historique", a-t-il ajouté assurant que conformément à ses promesses électorales, le pays était "sur la bonne voie pour arriver au plus fort taux de croissance annuel en treize ans".

"Nous allons atteindre une croissance annuelle de plus de 3%, probablement bien au-dessus de 3%", a encore assuré le président, ajoutant qu'au cours des deux précédentes présidences cette expansion avait en moyenne plafonné à 1,8%. La Réserve fédérale prévoit pour l'instant 2,8% pour l'ensemble de l'année 2018.

(...)

- Consommation vigoureuse -

Au 2e trimestre, l'expansion de la première économie mondiale a été tirée par une vive consommation, en hausse de 4%, son meilleur chiffre depuis fin 2014 également.

Les coupes d'impôts, adoptées par les républicains à la fin de l'année 2017, semblent avoir enfin dopé les dépenses des ménages. Les Américains ont surtout acheté davantage de biens durables (+9,3%) et particulièrement des voitures.

Un autre point fort des chiffres du trimestre: les exportations ont grimpé de 9,3%, au plus haut depuis cinq ans. Cette forte hausse apparaît comme un effet secondaire des tensions commerciales causées par l'administration Trump au début du printemps avec l'imposition de taxes sur l'acier et l'aluminium importés, notamment de Chine.

Avant que les Chinois ne répliquent et n'imposent des taxes en juillet sur le soja américain, les acheteurs étrangers paraissent avoir anticipé et fait le plein des silos.

Les exportations ont ainsi contribué pour 1,12 point à la croissance, un sommet depuis cinq ans. "Le déficit commercial a baissé de plus de 50 milliards de dollars, une chute formidable", a affirmé M. Trump qui a lancé un bras de fer commercial avec la plupart des partenaires commerciaux de Washington.

Du côté des entreprises, grandes bénéficiaires de la réforme fiscale, les investissements se sont bien comportés, progressant de 7,3%.

Ce dynamisme de l'activité devrait conforter la Réserve fédérale dans sa stratégie de relever progressivement les taux d'intérêt afin de prévenir une surchauffe.

La Fed tient une réunion monétaire mercredi dans une atmosphère un peu tendue alors que le locataire de la Maison Blanche, rompant avec la tradition récente de respect d'indépendance de la Fed, n'a pas hésité à s'en prendre à l'institution monétaire, lui reprochant de renchérir le coût de l'argent.

"Je ne suis pas content" de la politique monétaire consistant à relever progressivement les taux d'intérêt, "mais en même temps je les laisse faire ce qu'ils estiment être le mieux", a affirmé M. Trump la semaine dernière dénonçant aussi la montée du dollar qui peut commercialement handicaper les Etats-Unis.

Les prochaines hausses de taux de la Fed ne sont toutefois attendues qu'à partir de septembre par les acteurs financiers.

Source

Etude: L’Union Européenne nuit à l’économie suisse par le biais de mesures illégales. 200 mesures nocives recensées contre… 37 favorables.

Les Etats membres de l'Union européenne et la Commission européenne ont pris 200 mesures qui ont nui à l'économie suisse depuis le début de la crise économique en 2008, selon une étude.

Cependant, 37 mesures ont été jugées favorables, selon l'étude menée par l'Université de Saint-Gall.

En octobre 2016, 151 mesures nuisibles et 23 mesures favorables étaient encore en vigueur, a révélé la SRF vendredi.

L'étude, dirigée par Simon Evenett, professeur de commerce international et de développement économique à l'université, a récemment été publiée par le Secrétariat d'Etat à l'Economie (Seco) dans son magazine Die Volkswirtschaft.

En ce qui concerne les 200 mesures nuisibles, Evenett a déclaré à la SRF «qu'aucune de ces mesures ne vise directement la Suisse. Beaucoup d'entre elles sont des dommages collatéraux ou sont des impacts de mesures que ces gouvernements européens ont prises pour tenter de stabiliser leurs économies ».

Il a ajouté que la plupart de ces mesures sont issues de sauvetages et de subventions de l'État. Et les mesures néfastes se sont accumulées beaucoup plus rapidement ces derniers temps. En dépit du fait que l'UE a accepté, par le biais de plusieurs accords internationaux, de ne pas prendre de telles mesures.

La Suisse n'est pas membre de l'UE, mais elle possède de nombreux accords bilatéraux. L'UE est également son principal partenaire commercial.

Les principaux pays responsables des mesures préjudiciables sont les voisins directs de la Suisse et les plus grands membres de l'UE: l'Allemagne, la France et l'Italie.

(...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Aldo

Pendant que Neuchâtel doit faire des économies dans l’éducation, la Suisse offre 32 millions pour l’intégration des migrants

Plus de 32 millions de francs pour l'intégration

Après un bilan intermédiaire, le Conseil fédéral demande au Parlement de libérer jusqu'à 32,4 millions de francs par an pour 2018 à 2021, soit 10% de moins que lors de la période précédente.

Depuis 2014, la Confédération et les cantons appliquent des mesures d'encouragement spécifique de l'intégration, dans le cadre de programmes cantonaux qui durent quatre ans. Le bilan intermédiaire souligne que ces programmes, cofinancés par Berne et les cantons, sont un «instrument flexible de l'encouragement de l'intégration des personnes étrangères», relève mercredi le gouvernement.

 

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Neuchâtel: les élèves iront une heure de moins à l'école pour des raisons d'économie

Pour respecter le budget 2017 et en raison de la conjoncture difficile, le canton de Neuchâtel présente un programme d'économies de 100 millions de francs. Conséquence: les élèves de 8 à 12 ans auront une période d'école en moins par semaine dès la rentrée d'août.

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Propagande simpliste: « L’économie allemande dopée par l’arrivée des réfugiés en 2015 et 2016 »

Christian Hofer:

On relèvera le non sens de l'affirmation: si verser de l'argent à quelqu'un pour que celui-ci dépense dans les entreprises locales était autant profitable, l'état allemand aurait très bien pu le distribuer aux autochtones eux-mêmes, les aidant ainsi à constituer des familles nombreuses, réglant du même coup le problème de la natalité tout en sauvegardant la cohésion sociale.

Or ici, Merkel a spécifiquement choisi d'accueillir des gens qui ne possèdent ni la langue, ni la culture, ni le niveau d'éducation adéquat (et qui par conséquent ne produiront rien à court et moyen terme). Cela signifie qu'il en résultera d'énormes problèmes, que cela soit dans la structure sociale, scolaire ou sécuritaire. Sans compter les conflits inter-ethniques que l'Allemagne a importés par la même occasion.

Le Monde s'en réjouit, et cela alors même que l'Allemagne vient de subir un attentat sur un marché de Noël: les familles des victimes apprécieront le mépris de ce journal!

Magiquement encore, vider les caisses publiques devient LA solution pour l'économie d'un pays. Exit le frein à l'endettement, la culpabilisation des autochtones pour les soins. Doublons vite les dépenses, achetons chaque jour et le pays se portera deux fois mieux! Comment n'a-t-on pas pensé plus tôt à ce remède miracle?

D'autre part, l'argent injecté dans ce processus ne se retrouvera pas forcément en Allemagne, les migrants étant enclins à envoyer l'argent des contribuables allemands dans leur pays d'origine. Le Monde n'en pipe mot. C'est plus prudent, on le comprend.

Enfin, la pénurie des appartements devient elle aussi une chance. Sauf que si les appartements vacants deviennent rares, alors les prix des loyers vont augmenter en conséquence. Et puisque les autochtones ne sont pas soutenus financièrement par l'Etat, à contrario des "réfugiés", je vous laisse deviner qui en paie le prix!

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L’accueil d’1,1 million de migrants en 2015 et 2016 a eu sur l’économie allemande l’effet d’un véritable plan de relance. Suggérée par les économistes en fin d’année, cette hypothèse a été largement confirmée, jeudi 12 janvier, par l’institut fédéral de statistiques Destatis.

La croissance de l’économie allemande, qui s’élève à 1,9 % en 2016, est supérieure d’un demi-point à la moyenne des dix années précédentes (1,4 %). La hausse des dépenses de l’Etat et l’augmentation globale de la consommation liée à l’arrivée des réfugiés ont eu sur l’économie un fort effet d’entraînement.

L’Etat a été le principal acteur de ce phénomène : pour accueillir en urgence un million de personnes démunies, il a dépensé comme rarement dans l’histoire du pays. Vingt milliards d’euros ont été consacrés à l’accueil et aux soins des réfugiés en 2016. En conséquence, les dépenses publiques ont bondi de 4,2 %. Une telle progression n’avait pas été observée « depuis 1992, juste après la réunification du pays », a relevé jeudi matin Dieter Sarreither, président de Destatis.

La hausse soudaine de la population a également stimulé la consommation des ménages (+2 %). Au total, la consommation privée et publique a augmenté de 2,5 %, ce qui a représenté le plus gros soutien à la croissance allemande en 2016.

Demande immobilière forte

A côté de la consommation, les investissements en biens d’équipement et la construction ont constitué les autres moteurs de l’activité. Et leur bonne tenue doit également beaucoup à l’arrivée des réfugiés. Ces derniers, en renforçant la demande immobilière dans les centres urbains, ont stimulé la construction de logements neufs. Celle-ci a bondi de 4,3 % l’an dernier, quand les investissements ont augmenté de 2,5 %.

Source

« La Suisse profitera des mesures économiques de Donald Trump » (Audio)

"La Suisse va profiter des mesures économiques" que prendra le prochain président américain, estime jeudi sur les ondes de la RTS Thomas Borer, ancien ambassadeur suisse en Allemagne et fin connaisseur des Etats-Unis.

La Suisse a toujours été mieux servie avec un président des Etats-Unis républicain qu'avec une administration démocrate, analyse Thomas Borer, interviewé dans le Journal du Matin. En exemple, l'ancien diplomate cite l'affaire des fonds en déshérence à l'époque de la présidence de Bill Clinton dans les années 1990 ou plus récemment les négociations sur le secret bancaire avec l'administration Obama, tous deux des dirigeants démocrates.

Sur le plan économique, Donald Trump a promis d'investir 500 milliards de dollars dans l'infrastructure des Etats-Unis. Ce projet sera bénéfique pour les secteurs des biens d'équipement et des nouvelles technologies, deux domaines dans lesquels les entreprises suisses sont très présentes, rappelle celui qui est désormais consultant.

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Rappel: Le Temps prétendait que l'élection de Trump serait mauvaise pour notre économie

Brexit : Contrairement aux pronostics de l’UE, l’économie britannique affiche une bonne santé

Malgré le vote en faveur du Brexit, le 23 juin dernier, l'économie britannique affiche une bonne santé. «Jusqu'à présent, le vote pour le Brexit ne parvient pas à affecter les indicateurs économiques officiels. Il est encore tôt, mais il est évident qu'une baisse de la confiance n'est pas avérée, tant pour les consommateurs que pour les entreprises», lance Laith Khalaf, analyste chez Hargreaves Lansdown.

Les dernières statistiques officielles sont quasi-unanimes à l'image des ventes au détail, publiées jeudi 18 août, qui ont nettement rebondi de 1,4% en juillet, bien plus que prévu par les analystes, laissant penser que les consommateurs n'ont pas changé leurs habitudes.

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Pendant que les coûts de l’asile explosent, le CF déclare que «la Suisse doit encore économiser 3 milliards»

En 2018 et 2019, l'Etat va devoir réaliser de nouvelles économies, estime le ministre des finances.

La Confédération va devoir se serrer encore un peu plus la ceinture ces prochaines années, avertit lundi le ministre des finances Ueli Maurer. Outre le programme de stabilisation, trois milliards de francs devront être économisés en 2018 et 2019, selon lui.

«Nous présenterons le programme de stabilisation à la fin mai. Mais en plus, en 2018 et 2019, nous aurons besoin d'un nouveau programme d'économies d'environ 1,5 milliard de francs par an», déclare M. Maurer dans un entretien diffusé lundi par laNordwestschweiz. «Le ciel s'assombrit», lance-t-il.

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Rappel: Les coûts de l’asile doubleront d’ici 2018

LSK, la société de DSK, a laissé un passif de 100 millions d’euros

L'ex-patron du FMI serait poursuivi par la justice luxembourgeoise...

La société d'investissement luxembourgeoise LSK, présidée jusqu'en octobre par Dominique Strauss-Kahn, a laissé un passif de près de 100 millions d'euros et un total de 150 créanciers, dont le fisc luxembourgeois, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier.

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