Retour sur le combat inouï des Iraniennes

Face à l’islam obscurantiste et barbare, les héroïnes des manifestations de 2022 témoignent d’un courage et d’une lucidité sans égal. Mona Jafarian en a interviewé une douzaine.

Une lecture de rage, de colère…  et parfois de larmes amères. Le témoignage d’une douzaine d’Iraniennes montre que nous n’avons pas vraiment compris le sens des euphoriques et douloureuses manifestations de 2022-2023. Le voile nous a quelque peu aveuglés. Nous avons pris un symbole pour l’origine d’une révolte. Mona Jafarian éclaire par des récits saisissants et tragiques de la réalité unique de la population iranienne dans la sphère musulmane.

«La mort de Mahsa nous a tous rendus fous. C’était l’assassinat de trop.
Ils ont réveillé toutes nos douleurs enfouies.»

L’assassinat de Masha Amini est le geyser qui a fait jaillir l’immense révolte du mouvement «Femme, Vie, Liberté». Mona Jafarian a co-fondé l’association Femme Azadi (liberté).

Phénomène unique : ce sont les femmes qui ont été les initiatrices de cette tentative révolutionnaire. Elles sont éduquées, informées, extraordinairement courageuses. Les hommes les ont rejointes dans la rue pour un combat qu’ils partagent pleinement.

«Femme vie, liberté. Homme. Patrie, prospérité! Gloire à l’Iran!»

Liberté, démocratie, laïcité, c’est le rêve de ces jeunes femmes au regard fixé sur l’Occident, dont Israël fait partie. Elles sont d’ailleurs pro-israéliennes. Mais à l’image du combat pour la démocratie à Hong-Kong qui les a laissé de marbre, les Occidentaux par dizaines, voire centaines de milliers regardent ailleurs, vers la bien-aimée Palestine qui elle ne réclame ni laïcité, ni même démocratie. Et qui pratique un islam auquel personne ne s’intéresse. En fait, l’inspiratrice de ces mouvements, bien davantage que la Palestine et ses détresses, est la haine d’Israël.

Et en ce moment, l’espoir s’effondre d’un Trump allié à Israël qui déciderait d’attaquer enfin ce régime qui finance le terrorisme et le chaos dans tout le Moyen-Orient. Au lieu de tomber, ce pouvoir maléfique risque, hélas pour les Iraniens, de sortir renforcé de ces négociations.

Nous avons oublié, j’avoue que c’était mon cas, que la population iranienne avait déjà manifesté contre l’islam et sa république. Depuis 2009 entre autres, où un soulèvement avait été réprimé dans le sang. La génération qui précède les combattantes de 2022 était donc prête à soutenir les rebelles lorsque l’Iran a pris feu. Elle les a approuvés, aidés, mais – plusieurs de ces témoins le leur reprochent – n’est pas descendue dans les rues.

Aucune autre nation musulmane ne déteste autant l’islam et sa république. En Occident, ce que ces femmes décrivent les conduirait tout droit au tribunal de l’islamophobie. Et l’on constate que question rites et dogmes, chiites et sunnites sont en parfaite harmonie.

Ce qu’elles disent de l’islam

Azadeh a 23 ans, est coiffeuse et habite Ispahan. «Comme j’ai pu rêver toute mon enfance d’être un garçon pour jouir de la même liberté qu’eux! Vous ne savez pas encore lire qu’ils vous collent déjà un voile sur la tête pour s’assurer que vous compreniez bien le statut qui sera le vôtre dans leur système.

Sommes-nous donc des animaux pour devoir subir tant d’interdits ? Faire du vélo, chanter, aller courir le matin, montrer ses cheveux, danser, voyager seule, tout, absolument tout est interdit à la femme dans le monde des croyants. Ces gens-là sont excités par tout ce qui émane du corps féminin, ses cheveux, le son de sa voix, son regard, son apparence. Peut-être serait-il temps pour eux de se faire soigner ?

ils sont obsédés par la longueur de ton manteau et par trois pauvres mèches de cheveux qui pourraient dépasser d’un voile. Nous sommes une majorité à subir leur loi, leur code de la vertu et de la pudeur, leurs conneries de haram sur tout ce qui concerne les femmes.»

Ghazal, 28 ans, vit à Téhéran. Elle est tatoueuse, ce qui n’est pas vu d’un bon œil, et chanteuse, ce qui est interdit. «Vous devez bien rire chez vous de les voir faire une telle fixette sur des cheveux, comme si les hommes en étaient dépourvus.… Ou rien qu’à imaginer que le simple fait de chanter puisse mener quelqu’un en prison. Ce sont les joies de l’islam qui a décrété il y a 1400 ans que tout ce qui fait une femme doit être caché ou combattu. Pour éviter d’exciter les mecs.(…) en quoi c’est leur problème ce qu’on fait de notre vie et de notre corps ?(…) Ces tarés disent même à la télévision qu’une femme qui ne porte pas le voile est impure et que si elle se fait agresser ou violer, elle l’aura cherché (…) Leur raisonnement est tellement tordu, c’est du domaine psychiatrique…

Les mecs se croient encore à l’époque du Prophète. Ils coupent des mains, crèvent des yeux, pendent des gens, fouettent des hommes et des femmes. Chaque châtiment a son verset. Mais sérieusement, quand vont-ils évoluer ? (…) Ces gens sont de purs malades.

Quand on aura libéré l’Iran (…) On ne les laissera plus décider pour la société ce qui est halal ou haram. Finis toutes ces conneries.»

Sepideh, née dans un quartier aisé de Téhéran, a décidé après sa participation aux émeutes de s’exiler au Canada. Elle rêve de pouvoir suivre des cours de chant et de théâtre.

«… je n’ai plus la force de rester et de voir leurs sales tronches en uniforme dans les rues, à la télé, partout. Qu’est-ce que j’en ai à foutre, moi, de leurs histoires de religion ? Ces gens sont complètement fous. Ils veulent que nous vivions comme en l’an 600, mais on est en 2024. Jusqu’à quand va-t-on devoir vivre comme à l’âge de pierre parce qu’ils craignent d’aller en enfer ?(…) La majorité d’entre nous n’en a que faire de leurs histoires de haram et de halal. Qu’ils vivent leur religion sans pourrir tout un peuple ! (…) Je rêve du jour où ce pays sera prospère, libre, démocratique, un pays où les croyants, s’il en reste d’ici là, seront dans leur mosquée, loin de nos regards.

qui a envie de faire des enfants dans ce pays, imagine donner naissance à une fille et être obligée de la voir grandir ici ? Tu sais déjà que tu la condamnes à porter le voile dès l’enfance à l’école, à écouter leurs conneries coraniques du matin au soir partout, à les laisser la traiter comme du bétail.

Dans la plupart de nos familles, il reste un vieil oncle ou une grand-mère pour croire encore à ces conneries, mais la majorité d’entre nous n’en a que faire de leurs histoires de haram et de hallal.

Je fais beaucoup de sport. J’aimerais juste me lever le matin, pouvoir enfiler un short et sortir courir sans risquer ma vie et sans remplir mes poumons de l’air pollué de Téhéran. Je rêve d’avoir un petit ami dont je pourrais tenir la main dans la rue sans crainte.»

Elham est homosexuelle dans un pays où les gays risquent la mort. Son père est opposé au régime. «Pour lui, les mollahs salissent sa religion. Pour moi, ils ne font que l’appliquer à la lettre !

J’ai commencé à suivre des influenceuses lesbiennes et je rêvais de la liberté qu’elles avaient en Occident (…) Mon orientation sexuelle ne tue pas, ne viole pas, n’impose pas, ne châtie pas, n’interdit pas. La religion, si. J’ai commencé à développer une véritable haine de toutes ces croyances archaïques.»

Rue des Barbares

Parissa a 33 ans. Elle vient de Karaj. Elle s’est toujours rebellée, notamment contre le mariage forcé que voulait lui imposer son père à 14 ans (la limite est à 13). Celui-ci est membre du corps des Gardiens de la révolution.

Elle a participé aux manifestations dès leur début. «… la barbarie dont ils faisaient preuve est indescriptible. Ils s’acharnaient à plusieurs sur une personne à terre, à coups de matraque, de batte de base-ball, de crosse de fusil, jusqu’à ce qu’ils soient fatigués de cogner. Ils tiraient à balles réelles …»

FILE - Iranians protest a 22-year-old woman Mahsa Amini's death after she was detained by the morality police, in Tehran, Sept. 20, 2022, in this photo taken by an individual not employed by the Associated Press and obtained by the AP outside Iran. Iran’s atomic energy agency alleged Sunday, Oct. 23, 2022, that hackers acting on behalf of an unidentified foreign country broke into a subsidiary’s network and had free access to its email system. Sunday's hack comes as Iran continues to face nationwide unrest first sparked by the Sept. 16 death of Amini. (AP Photo/Middle East Images, File)

D’autres, habillés en civil, avaient juste pour ordre de tirer et de tuer… «Les réseaux sociaux nous aidaient à tenir, malgré l’horreur de la répression. Voir que nous n’étions pas seuls, que partout dans le pays, les Iraniens étaient dans la rue et que toute la diaspora était mobilisée pour manifester (…) nous donnait la force de sortir chaque soir.

Nous avons un objectif, récupérer notre pays. Je rêve de voir la paix et l’apaisement, pas seulement en Iran, mais dans tout le Moyen-Orient. Je rêve de voir à nouveau notre pays s’ouvrir sur le monde.»

Mina. «Dans ce pays, ils peuvent voler, violer, torturer, pendre ou tuer de toutes les manières. Mais tant que vous priez leur Dieu, alors tout va bien et tout est permis (…) Ils ont le culot de se demander pourquoi ma génération maudit la religion

Ce régime un jour vous tue pour un hidjab mal porté ou pas porté.(…) Un autre jour, pend des jeunes pour avoir mis une poubelle au milieu de la route durant une manifestation…. Savez-vous combien de jeunes sont morts sous la torture ?»

Mona Jafarian le rappelle: «L’Iran rencontre le plus grand nombre d’exécutions d’hommes, de femmes et d’enfants au monde. La mort est donnée par pendaison, souvent à une grue. L’agonie est terrible.»

«Si vous saviez le nombre de mères endeuillées que je suis sur les réseaux sociaux ! Leurs pleurs, leurs cris et la douleur qu’elles ressentent me hanteront toute ma vie.»

Azadeh, la coiffeuse, s’est jointe aux manifestantes sans hésiter. «Moi qui craignais même de sortir en ne mettant pas correctement mon voile, voilà que je hurlais dans la rue «Mort à Khamenei !». Ou encore «Tant que tous les mollahs ne seront pas dans des linceuls, ce pays ne redeviendra pas un pays.

Quel sentiment d’euphorie et de liberté que de pouvoir crier sa rage. Nous allumions des feux pour y jeter nos hidjabs en criant «Femmes, Vie, Liberté». Les hommes applaudissaient, nous encourageaient et criaient «Gloire aux femmes, lionnes d’Iran». Quand nous marchions dans la rue, cheveux au vent, les voitures klaxonnaient en signe de soutien. Les motards applaudissaient, les piétons que nous croisions faisaient le V de la victoire. (…) Quel sentiment de liberté! Quel bonheur!»

Mais la répression arrive, impitoyable. «J’ai vu tant de scènes horribles dans la rue. Ils tiraient sur tout ce qui bougeait. Une seule de leurs douilles te balançait des centaines de plombs partout dans le corps. Ils mutilaient les jeunes…, bloquaient les accès aux hôpitaux pour s’assurer que les blessés se vident de leur sang. Si tu avais le malheur de trébucher au sol dans ta fuite, ils n’hésitaient pas à te rouler dessus à moto, à te tomber dessus à plusieurs. Et à te battre avec leurs matraques jusqu’à ce que tu ne respires plus.

J’ai vu des gens perdre un œil, d’autres à qui il manquait un bout de mâchoire. Certains avaient les vêtements dégoulinants de sang. Mais nous avons continué à manifester. Malgré tout, notre rage était plus grande que la peur.»

Mahnaz, 19 ans, de Téhéran. «J’ai vu du sang, des cris, des blessures par balle, des jeunes inconscients et même un cadavre. Khamenei avait lancé une véritable boucherie. Au fil des semaines, nous étions de moins en moins nombreux à manifester.»

Un soir, son groupe a été arrêté par des policiers et des femmes au service du régime. L’une a attrapé ses cheveux et a tiré sa tête vers le sol. «La douleur a été si intense que j’ai eu l’impression que la peau de mon crâne se détachait.» Les hommes ont jeté au sol son compagnon et l’ont roué de coups de matraque.

Au commissariat, elle a essuyé de nombreux coups, mais pas seulement. «Un homme au regard haineux s’est approché de moi et m’a dit : «Alors, c’est toi la pute qui veut se faire sauter par de petits jeunes»? Il m’a attrapé un sein et l’a pressé de toutes ses forces. Il a mis sa matraque au niveau de mon entrejambe. J’ai tenté de fermer les cuisses. Mais il a frappé de toutes ses forces.(…) Ils m’ont souillée, ils m’ont salie, ils ont fait en sorte que jusqu’à la fin de ma vie, je ne puisse plus jamais avoir de contact avec un homme…. Je suis condamné au silence et à vivre avec toute l’horreur de cette nuit et de ma putain de vie dans ce pays de merde… J’en veux à la terre entière de ne pas nous soutenir…»

Plusieurs jeunes de son quartier sont dans le couloir de la mort pour avoir manifesté.

Les manifestants ont résisté plusieurs semaines en espérant que la majorité silencieuse les rejoint. En vain.

Le pays est exsangue, les Iraniennes sont bien formées, mais ne trouvent pas de travail. L’obsession des Gardiens de la révolution islamique, qui s’attribue une bonne partie des richesses du pays, c’est de répandre leur idéologie et d’armer tous les groupes terroristes de la région.

Résistance toujours

Aujourd’hui, les Iraniens désertent les mosquées (50’000 sur 75’000 sont fermées), n’assistent plus aux cérémonies du régime, boycottent les urnes, mangent et boivent dans les rues durant le ramadan. Le régime réagit peu, conscient qu’une étincelle pourrait à nouveau mettre le feu et le menacer. Les Iraniennes résistent de multiples manières à ces règles qui les enserrent. Elles créent par exemple des vêtements design, à la mode, des voiles colorés laissant apparaître leurs cheveux, des «manteaux»(vêtement islamique classique) aux coupes originales et aux tissus travaillés. «Tu as des créateurs de mode si talentueux ! Le jour où ce pays sera libre, personne ne pourra rivaliser avec nous!»

Le peuple considère que l’islam et sa république occupent le pays. Les résistants se tournent en masse vers la culture ancestrale et prestigieuse de l’Empire perse. Ils renouent avec ses traditions, célèbrent ses fêtes, s’inspirent de sa poésie, ses chants, sa danse, sa littérature.

L’Occident aux abonnés absents

Baran, Kurde de 24 ans : «Aux Occidentaux, voici mon message.  :… donnez-nous la main. Aidez-nous à nous débarrasser de ce régime. Quand allez-vous comprendre que l’essence même de ce régime est la terreur et le terrorisme ? Il vous mène en bateau. Avec leur programme nucléaire, ils mettent le feu à la Palestine et à Israël pour vous obliger à accepter leurs demandes…»

Parissa: «Donnez-nous la main ! Aidez-nous à nous débarrasser de ce régime criminel qui occupe ce pays depuis 45 ans.»

Mina: «N’en avez-vous pas marre de vous asseoir pour négocier avec des gens qui ne savent que faire couler le sang?»

«Notre sort n’a jamais intéressé personne. Nous sommes un peuple maudit.»

La rue est désormais calme, mais le feu de la révolution brûle toujours dans les cœurs.

Mona Jafarian, Franco-Iranienne, poursuit sans relâche ce combat avec son peuple. Elle vient de publier un nouvel ouvrage, «Mon Combat», aux éditions Stock.

Attaque en Angleterre : le terroriste islamiste Hashem Abedi – complice et frère de l’auteur de l’attentat du concert d’Ariana Grande à Manchester – poignarde et ébouillante 3 gardiens de prison

En détention depuis près de huit ans, Hashem Abedi est accusé d’avoir infligé de graves blessures à trois surveillants du centre pénitentiaire de Frankland, selon le syndicat des surveillants pénitentiaires. Il aurait notamment poignardé à plusieurs reprises les agents, à l’aide d’armes tranchantes de sa propre fabrication, et leur aurait jeté de l’huile de cuisson bouillante dessus.

L’administration pénitentiaire a confirmé auprès de la BBC que trois de ses employés faisaient l’objet d’une prise en charge hospitalière à la suite d’une agression commise par un prisonnier. Il s’agit de deux hommes et une femme, cette dernière a pu regagner son domicile rapidement après avoir reçu les soins appropriés. (…)

Hashem Abedi, 28 ans, avait été condamné en 2020 à la réclusion criminelle à perpétuité avec 55 ans de sûreté pour avoir aidé à l’organisation de l’attentat qui a causé la mort de 22 personnes aux abords de la Manchester Arena, le 22 mai 2017, en marge d’un concert d’Ariana Grande. Son frère Salman Abedi, un Mancunien d’origine libyenne, s’était fait exploser au milieu de la foule en quittant le concert. (…)

 

Source

Les Palestiniens parmi les plus obscurantistes

 

Selon l’enquête de l’Institut Piew publiée en 2013, les habitants de Gaza et de la Cisjordanie ont l’une des visions les plus fanatiques de l’islam. Les nouveaux alliés avec qui ils manifestent chaque jour n’en ont cure.

On savait les Palestiniens sous l’emprise de l’islam. La glorification de leur Dieu pour la sauvagerie sanglante du 7 octobre l’a une fois de plus montré. L’Institut Piew qui avait exploré les convictions de la population de Gaza et de la Cisjordanie en 2013 le confirme.

Le Syrien d’origine Omar Youssef Souleimane rappelait récemment dans Causeur: «On grandit dans la haine d’Israël et de tous les juifs. Le mot «juif» est une insulte.»

Les conséquences du 7 octobre représentent une fête ininterrompue pour toutes les officines intégristes. Tous ont eu la Palestine (pays qui n’existe pas) en ligne de mire dès leur enfance.

Les promesses de l’islam

Les  Palestiniens soutiennent la version la plus fanatique de l’islam, qu’il s’agisse des châtiments physiques, du statut des femmes ou du rôle politique de l’islam .

L’avortement n’est pas acceptable pour 77%
33% pensent que les crimes d’honneur (qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme) sont souvent ou quelquefois justifiés.

L’isolement ou l’absence de progrès technologique ne sont pas en cause: 81% possèdent  un téléphone portable, la moitié utilisent internet, beaucoup voguent sur les réseaux sociaux.

Religion et politique

On ne s’étonnera donc pas que 89% des Palestiniens souhaitent que la charia soit la loi officielle de leurs territoires.
82% sont complètement ou le plus souvent d’accord que les musulmans doivent tenter de convertir les autres. En revanche, on sait que l’inverse est partout sévèrement sanctionné.
Parmi ceux qui sont favorables à la charia, 39% considèrent que cette loi doit s’appliquer tant aux musulmans qu’aux autres citoyens.

La connaissance de Descartes n’étant pas un prérequis parmi les sondés, 85% se déclarent satisfaits que les membres d’autres religions puissent la pratiquer chez eux et plus de la moitié préféreraient la démocratie à un leader à poigne.

Les attentats suicides contre des civils ou d’autres violences sont-ils souvent ou parfois justifiés pour défendre l’islam? Les Palestiniens arrivent en tête de l’enquête avec 49%.

Les femmes

  • 89% sont d’accord qu’une femme doit toujours ou le plus souvent obéir à son mari.
    81% sont opposés au mariage d’une musulmane avec un non-musulman.
    51% estiment qu’il faut favoriser les fils dans l’héritage.
    Les femmes ne doivent pas avoir le droit de divorcer affirment 57%.

44%, des hommes considèrent que ce sont aux femmes de décider si elles veulent porter le foulard, 61% de femmes veulent décider elles-mêmes.

Est immoral

  • Le sexe hors mariage (93%), l’alcool (92%), le suicide (90% sauf pour les bombes humaines, 49%).
    L’avortement: 77%.
    La polygamie 20%, acceptable  48%.
    Est-il nécessaire de croire en Dieu pour être moral? Oui: 86%.

Le dessin d’illustration montre quelques autres convictions

La haine d’Israël fait des heureux

Les activistes de l’islam ont participé avec délice aux manifestations de soutien à leurs frères palestiniens et fréquenté avec ferveur les universités suisses occupées. Tous sont aimablement appelés «pro-Palestiniens» alors qu’«anti-Israéliens» leur conviendrait tellement mieux. Les victimes d’autres conflits leur sont indifférentes. Le sort des Iraniens, par exemple, les laisse de marbre.

Parmi les fiers soutiens, de l’occupation genevoise figurait Adel Mejri, responsable et membre de moult mouvements intégristes. Aux élections tunisiennes de 2019, il a été candidat d’Ennadha, mouvement des Frères musulmans.

Dans 24 Heures repris par la Tribune de Genève, Sylvain Besson met en lumière les idées du conseiller communal PS lausannois Mountazar Jaffar, Suisse d’origine irakienne. Assistant en sciences politiques à l’Université de Lausanne, il like des déclarations du guide suprême d’Iran, Ali Khamenei. Il «aime» même un post relayant une déclaration des talibans qui proposent d’envoyer 400’000 hommes en Palestine pour détruire Israël. De nombreux membres des corps professoraux soutiennent publiquement ces mouvements de fureur, voire de fanatisme.

On a cru au début du soutien islamo-occidental que les activistes scandaient «Palestine libre, de la mer au Jourdain» en ignorant qu’ils appelaient ainsi à la suppression d’Israël. Depuis que la signification est connue, le slogan résonne autant, sinon davantage.

À Genève, un drapeau du terroriste Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a été déployé durant l’occupation de l’uni.

Le bal des foulards colorait les lieux des unis et les sectes LGBT participaient en rangs serrés à la fête. Pour ces «iels», les cartons de bienvenue à Gaza sont à l’impression.

En revanche, le 7 octobre et les otages ne figuraient sur aucune banderole, contrairement à l’imaginaire génocide qui dégoulinait de tous les murs.

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L’ONU vectrice majeure de la haine anti-israélienne

Journalisme ou propagande terroriste ? La presse au service du Hamas !

Libé fait sa Une aujourd'hui sur les 30 000 morts à Gaza. Problème, le journal de gauche reprend sans aucun recul les chiffres donnés par le ministère de la santé... du Hamas !

Libération, Hamas

Des chiffres invérifiable et totalement manipulés ! Explications :

Des députés belges vont visiter un camp d’islamistes en Syrie : ils sont caillassés par les enfants musulmans et traités de kouffars

Le reportage de la RTBF se nomme "Syrie : la radicalisation dans les camps", comme si les islamistes n'avaient pas égorgés les chrétiens ni traitées les non musulmans de "kouffars" auparavant.

Dans ce reportage, Heidi de Pauw, présidente de l'association Child Focus, déclare que ces enfants qui caillassent sont "victimes de cette radicalisation". Peut-être devrait-elle parler des véritables victimes, à savoir les non musulmans qui ont tant souffert avec l'islam au Moyen-Orient ainsi que des associations (dont la sienne) qui veulent faire venir ces extrémistes dans nos pays au détriment de notre sécurité. Si des adultes ont déjà peur d'être caillassés, que se passera-t-il pour nos enfants ?

 

 

Rtbf.be

Nos remerciements à pierrebxl

Renseignement : “de nombreux musulmans modérés ont glissé chez les fondamentalistes”, “Désormais, on affronte des masses qui veulent nous détruire”

[…] Car depuis plusieurs jours, les informations transmises à l’exécutif par les services de renseignement sont loin d’être rassurantes.

Le renseignement français s’intéresserait particulièrement à trois groupes, dont la porosité est “plus importante que jamais”, selon une source haut placée. Il s’agit des musulmans modérés, des fondamentalistes (les salafistes et les frères musulmans) ainsi que des islamistes, prêts à passer à l’action violente. Selon cette source, de nombreux musulmans modérés ont glissé chez les fondamentalistes. Et un nombre important de fondamentalistes, qui n’étaient pas prêts à passer à l’action terroriste il y a encore quelques semaines, ont basculé chez les islamistes.

 

 

“Là, on n’est plus face à quelques individus à surveiller. Désormais, on affronte des masses qui veulent nous détruire”, précise un autre spécialiste, qui ajoute : “Les saillies d’Erdogan contre la France, qu’il juge islamophobe et raciste, ont eu un impact considérable sur le territoire français.” […]

Europe 1

Via Fdesouche

Morges : Le meurtrier présumé est un Turco-Suisse et serait connu dans le milieu islamiste

Le suspect est en effet déjà impliqué en qualité de prévenu dans une procédure pénale menée par le MPC et il est en outre connu du Service de renseignement de la Confédération (SRC) depuis 2017.»

[...]

Selon une source proche du dossier, le suspect est âgé de 27 ans, psychologiquement perturbé, Turco-Suisse. Il a choisi sa victime au hasard. Il serait connu dans le milieu de l’islamisme. La RTS évoque pour sa part le profil d’un homme instable, sorti de préventive en juillet dernier. Il aurait été impliqué dans l’incendie d’une station-service.

 

«La caméra située dans le hall a tout filmé et la police a récupéré les images qui ont dû aider à l’arrestation»

Le patron du restaurant morgien

[...]

Série de précédents

Pour rappel, l’année 2017 avait été chargée en termes de lutte contre le djihadisme en terres vaudoises. En juin 2017, trois islamistes présumés avaient été arrêtés, dont deux dans la zone commerciale d’Aubonne et un au Jeunotel de Lausanne dont il venait de briser une vitre. À l’encontre des trois, le Ministère public de la Confédération avait ouvert une procédure pénale, notamment pour violation de l’interdiction de l’État islamique (IS) et d’Al-Qaida ainsi que pour des actes préparatoires relevant du pénal.

Alors que deux des trois accusés ont été rapidement libérés, le troisième est resté en détention provisoire. La police avait trouvé chez l’homme du Jeunotel, un Suisse ayant voyagé en Turquie et en Égypte, ancien orthodoxe converti à l’islam, des bouteilles d’essence, un couteau interdit, un Coran et des instructions sur le combat de guérilla urbaine. En prison, il avait ensuite tenté de tuer un gardien. Diagnostiqué d’une schizophrénie paranoïde, le Tribunal pénal fédéral à Bellinzone a ordonné en février 2020 une mesure de placement institutionnelle.

[...]

24heures.ch

Suisse : un jeune islamiste avait porté plainte pour s’opposer au contrôle de son téléphone portable

Un jeune homme a été emprisonné pour avoir violé la loi fédérale interdisant le regroupement à «Al-Qaida» et à «l’État islamique» et des organisations connexes. Le tribunal pour mineurs a ordonné le contrôle rétroactif des données de son téléphone portable, puis le tribunal des mesures de contrainte a approuvé le contrôle. La cour d'appel cantonale a rejeté la plainte du jeune homme qui visait à s’opposer à ce contrôle. Le Tribunal fédéral a appuyé cette décision négative.

Des mesures de contrainte sont également possibles dans les procès pénaux pour mineurs

 

 

 

Le jeune homme a argumenté que la surveillance du téléphone portable était inconstitutionnelle. La surveillance violerait en particulier la protection des enfants et des jeunes garantie par la Constitution et la Convention des Nations unies relative aux droits de l'enfant: la base juridique pour cette violation des droits fondamentaux ferait défaut.

Toutefois, comme le souligne le Tribunal fédéral, la base juridique nécessaire à l’intervention existe: conformément à la procédure pénale pour mineurs, l'autorité chargée de l'enquête peut ordonner des mesures de contrainte dans les procédures pénales pour mineurs auxquelles le ministère public est habilité, en vertu du code de procédure pénale. La surveillance du trafic des télécommunications, et par conséquent également des données du téléphone portable, constitue une mesure de contrainte.

[...]

Tdg.ch

 

Allemagne : Plus d’une centaine de combattants aguerris de l’Etat islamique sont rentrés

Le ministère de l'Intérieur estime à plus de 1060 le nombre d'extrémistes islamistes qui ont quitté l'Allemagne pour la Syrie ou l'Irak, dont un tiers environ sont revenus. Les rapatriés possèdent souvent une expérience active du combat.

Selon le ministère fédéral de l'intérieur, plus d'une centaine de membres de l'Etat islamique rapatriés en Allemagne possèdent une expérience du combat ou se sont préparés au combat. "Les autorités de sécurité disposent d'informations selon lesquelles plus de 100 personnes qui sont rentrées jusqu'à présent ont participé activement aux combats en Syrie ou en Irak ou ont reçu une formation à cette fin", a déclaré un porte-parole de l'agence de presse allemande à la demande de la Commission.

"Ces personnes sont au centre d'enquêtes policières et judiciaires". [...]

Selon le ministère de l’Intérieur, plus de 1060 extrémistes islamistes ont quitté l’Allemagne ces dernières années pour la Syrie ou l’Irak.

Environ un tiers d’entre eux sont donc de retour en Allemagne. Les autorités ont adopté une "approche holistique", qui comprenait, outre les poursuites et l’attention des autorités chargées de la sécurité, la déradicalisation et la réinsertion.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

Suisse : Retrait de nationalité à une sympathisante de l’EI

Une femme provenant de Suisse romande devrait perdre sa nationalité en raison de ses liens avec l'EI. La Franco-Suisse de 30 ans a vraisemblablement laissé passer le délai de recours contre le retrait de sa citoyenneté ordonné par le Secrétariat d'Etat aux migrations.

Il reste à voir si la femme a déposé un recours en temps voulu auprès d'une ambassade à l'étranger, a toutefois précisé un collaborateur du Tribunal administratif fédéral à Saint-Gall, suite à une information mardi soir de la radio et de la télévision suisse alémanique SRF. Si un tel appel existe, il devrait être reçu dans les prochains jours.

[...]

Le Matin

Nos remerciements à Wilhou

Londres : Le jihadiste considérait les femmes Yazidis comme des esclaves qu’on pouvait violer “conformément au Coran”

Sudesh Amman partageait des vidéos violentes et de la propagande avec sa famille et ses frères et sœurs sur Internet avant d'attirer l'attention de la police.

Sudesh Amman n'avait que 17 ans, il était étudiant et vivait chez lui quand il a commencé à partager du matériel extrémiste sur Internet dans un groupe WhatsApp avec sa famille, ses amis et même sa petite amie.

Dans des messages avec un membre de sa famille, Amman a laissé entendre que les femmes Yazidi étant des esclaves, le Coran permettait de les violer.

Il a même envoyé des vidéos de décapitations à sa petite amie - qui, selon lui, devait tuer ses parents "kuffar" [NDLR : Le musulman non content de s'approprier une femme non musulmane l'incitait à tuer ses propres parents.].

Amman lui a dit : "Si tu ne peux pas fabriquer de bombe parce que ta famille, tes amis ou des espions t'observent ou te soupçonnent, prends un couteau, un molotov, des bombes assourdissantes ou une voiture la nuit et attaque les touristes (les croisés), la police et les soldats du taghut (NDLR : taghut = qui est en dehors d'Allah), ou les ambassades occidentales dans chaque pays où que tu te trouves sur cette planète."

Son procès à Old Bailey a révélé qu'il possédait également des manuels de fabrication de bombes et un document intitulé "Techniques sanglantes de combat au couteau brésilien".

Il a été emprisonné pendant trois ans et quatre mois, mais avec les lois actuelles, il a été automatiquement libéré à la moitié de sa peine. [...]

Depuis sa libération le mois dernier, il était sous surveillance et soumis aux conditions les plus strictes car il était toujours radicalisé. [...]

Amman avait attiré pour la première fois l’attention de la police en avril 2018, lorsque des agents ont été alertés de publications de matériel extrémiste sur Telegram sous le nom de compte @strangertothisworld

Les spécialistes de la police scientifique ont déchiffré l'identité d'Amman et les officiers ont décidé de l'arrêter afin de procéder à une analyse de ses communications électroniques.

L'équipe a récupéré plus de 349 000 fichiers multimédias issus des appareils numériques d'Amman, y compris des manuels sur les techniques de combat, le combat au couteau et la fabrication de bombes. Ils ont également passé au crible plus de 180 000 lignes de messagerie sur Skype, identifiant qu’il avait partagé quatre liens vers des vidéos illustrant la violence graphique de l'Etat islamique.

Il a également fait part à sa famille, à ses amis et à sa petite amie de ses opinions fortes et souvent extrémistes concernant le djihad, le "kuffar" et son désir de perpétrer une attaque terroriste.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Telegraph.co.uk

Nos remerciements à Daniel Brand

Suisse. Terrorisme islamique : la police effectuera un exercice de 52 heures pour tester ses capacités

La Suisse testera du 11 au 13 novembre durant 52 heures d'affilée si elle est prête à affronter une menace terroriste durable. L'exercice d'état-major qui mettra à contribution 70 organisations dans tout le pays vise à éviter les crises. [...]

L'opération antiterroriste menée cette semaine dans les cantons de Berne, Zurich et Schaffhouse l'a montré: la menace existe et la radicalisation islamiste est au centre des préoccupations.

[...]

Le Matin

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Rappels :

Grégoire Nappey, rédacteur en chef du Matin: « Il faut accepter que l’univers musulman fasse partie de notre paysage »

Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Pour l’UDC Guy Parmelin, « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »

Islamisme: Des experts demandent de ne pas « surréagir ». « Cela répand la peur et la suspicion à l’égard des musulmans. »

Le socialiste Levrat veut discuter de la place de l’islam en Suisse

Pays-Bas : Cinq jihadistes marocains se voient restituer leur passeport néerlandais

Cinq jihadistes d’origine marocaine privés de leur passeport néerlandais ont été autorisés par le gouvernement à le récupérer, indique le quotidien néerlandais AD. De même, ils ne sont plus considérés comme persona non grata sur le territoire néerlandais.

Selon le média néerlandais NOS, il s’agit de combattants marocains qui ont rejoint des groupes terroristes en Syrie et en Irak. L’un d’eux serait Driss Daouayry. Selon plusieurs sources, il serait mort en Syrie en 2015. Les quatre autres sont Azzedine Benaissa, Benyamine Fadlaoui, Mounir El Kharbachi et Ridouane Öz.

Le secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères de l’époque, Mark Harbers, leur avait retiré leur passeport. Le quotidien néerlandais AD dit ne pas avoir de précisions sur les raisons ayant motivé les autorités à leur rendre leur passeport. La secrétaire d’Etat à la Justice et à la Sécurité, Ankie Broekers-Knol, n’a pas non plus été en mesure de commenter cette décision lundi soir.

Yabiladi.com / Sceptr.net / Nos.nl

Via Voice of Europe

Aix-la-Chapelle (All.) : Un islamiste présumé est à nouveau libre de voyager “Cet homme ne représente plus une menace pour l’Allemagne”

A relever l'absence d'éléments de preuve contre cet individu qui peut s'installer sans problème chez les mécréants : Il n'y aura donc aucune condamnation réelle à l'encontre des islamistes qui reviennent en Europe puisqu'aucune preuve ne peut être obtenue dans les zones de guerres.

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Mardi, le tribunal administratif d’Aix-la-Chapelle a entamé le procès concernant l’interdiction de quitter le pays à l’encontre d’un terroriste présumé.

Le tribunal a statué en faveur du plaignant.

Un homme de 35 ans soupçonné d'être un terroriste islamiste est à nouveau autorisé à voyager librement selon cette décision de justice.

Mercredi, le tribunal administratif d'Aix-la-Chapelle a levé l'interdiction de quitter la ville d'Aix-la-Chapelle qui lui avait été imposée en 2015. La situation en Syrie et la situation personnelle de l'homme ayant changé, les juges ont justifié leur décision.

 

Il est peu probable que le Syrien se rende dans son pays d'origine pour combattre ou soutenir les troupes combattantes, a déclaré le juge Harry Addicks. Cet homme ne représente plus une menace pour l'Allemagne.

 

L'homme de 35 ans aurait participé à des combats entre des groupes islamistes et terroristes dans son pays natal, la Syrie.

Le Syrien a déclaré avant le début du procès qu'il voulait mener une vie normale avec sa famille et partir en vacances.

Suite aux indications données par l'Office fédéral de protection de la constitution [NDLR : Un service de renseignement], la région d'Aix-la-Chapelle avait établi une interdiction de voyage.

Selon les autorités, l'homme aurait participé à des combats entre groupes islamistes et terroristes en Syrie en 2013.

Son profil Facebook de la même année, qui ne peut plus être consulté, le montre en tant que djihadiste armé d'une Kalachnikov. La ville syrienne d'Alep est stipulée comme emplacement.

Selon le tribunal, le plaignant vit en Allemagne par intermittence depuis 2001. Il est le père de deux enfants nés en Allemagne et il est titulaire d'un diplôme d'études secondaires.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Tag24.de

Confession d’un musulman de l’Etat islamique : “J’ai tué environ 900 personnes et j’ai violé environ 200 filles et femmes.”

Reportage de la BBC datant de 2018 mais qui est toujours d'actualité puisque ces individus sont de retour en Europe et vont pouvoir profiter de notre justice laxiste, les éléments de preuves étant souvent absents pour les condamner.

Notre administration et notre police refusent de nous informer sur la situation actuelle avec les islamistes qui sont revenus en Suisse. Tout juste sait-on que certains ne se trouvent déjà plus en détention.

D'autre part, notre justice ne poursuit pas les mineurs alors que nombreux d'entre eux sont justement entraînés pour commettre des attaques. Pire, certains enfants ont déjà commis des meurtres, vidéos de propagande à l'appui.

Les islamistes savent très bien que selon notre conception de l'humanité, nous percevons un enfant comme "innocent". Ainsi nos propres valeurs, notre propre humanisme sont utilisés contre nous par la biais de notre naïveté.

 

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Stacey accompagne Shireen, une ancienne esclave sexuelle de l'Etat islamique âgée de 23 ans, alors qu'elle retourne à l'endroit où elle a été emprisonnée à Mossoul, avant de rencontrer dans un face à face un commandant de l'Etat islamique emprisonné, qui affirme avoir tué 900 personnes et violé plus de 200 femmes.

 

 

Confronté à la journaliste de la BBC, l'islamiste a déclaré qu'il avait rejoint l'Etat islamique parce qu'il était pauvre.

"Je n'ai personne, je suis pauvre. Je n'ai que Dieu. C'était une question d'argent pour moi", a-t-il déclaré devant la caméra lors de l'interview de la BBC.

Parlant des crimes commis, il a affirmé qu'il avait tué environ 900 personnes et violé plus de 200 femmes, dont 50 adolescentes.

Le militant a déclaré que l'Etat islamique menait souvent des raids en se faisant passer pour la police.

"Nous installions de faux postes de contrôle de sécurité, comme si nous étions la police", a-t-il déclaré. "On mettait 30 à 40 personnes dans un camion. Puis, on les tuait."

Lorsqu'on lui a demandé pourquoi il avait violé tant de femmes, l'islamiste a répondu avec désinvolture : "Quand il s'agit d'avoir des rapports sexuels, personne ne peut le contrôler. C'est un désir très fort." Cependant, il a ajouté que son cœur se brisait une fois qu'il voyait ces filles pleurer, après l'acte.

 

 

Il a également ajouté que la plupart du temps, il était privé de choix et qu'il aurait été tué s'il avait refusé l'ordre d'un supérieur.

Le militant a reconnu qu'il avait perdu et qu'il attendait son sort.

"J'ai été vaincu", a-t-il dit. "J'attends mon destin. Mon destin, c'est la mort."

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Justearthnews

Les islamistes sunnites autrichiens pro-Erdogan veulent cacher leur orientation religieuse et politique

La nouvelle loi autrichienne sur les religions prévoit que, dans les livrets scolaires, la religion des enfants de mahométans ne soit plus définie pour tous comme « Islam », mais comme celle de la communauté à laquelle leurs parents appartiennent. C’est déjà le cas des enfants de chrétiens, qui sont annoncés par exemple comme « catholiques romains » ou « protestants » selon la religion de leurs parents. Mais la principale communauté religieuse musulmane d'Autriche, qui est sunnite et turque, proteste. L’ancien rédacteur en chef de Die Presse rappelle un meurtre particulièrement horrible - peu relayé par la presse de complaisance - perpétré par un Sunnite en Arabie saoudite à l’égard d’un enfant chiite, pour illustrer les profondes différences entre les divers courants de l’Islam.

https://www.andreas-unterberger.at/2019/02/ijder-islam-schulzeugnisse-und-die-wirkliche-welt/

Traduction (Claude Haenggli) : Lorsque un chauffeur de taxi de Medina, en Arabie saoudite, se rendit compte que sa cliente et son enfant de six ans étaient des Chiites, il s’empara de l’enfant, le sortit de force de l’auto, le traîna dans un café, cassa une bouteille et tua l’enfant avec les tessons. Cet acte montre le fossé profond qui existe entre les divers groupes religieux, que dans notre langage approximatif nous appelons tous « musulmans ». Cela nous ramène en Autriche, avec la dramatisation, par la communauté islamique IGGÖ, du fait que dans les livrets scolaires l’appartenance religieuse ne sera plus « Islam », mais « IGGÖ ». Cette IGGÖ ne représente qu’une partie très spécifique du monde musulman. Et, récemment, même plus l’ensemble des sunnites, car la nouvelle direction de l’IGGÖ est très, très proche du dictateur turc Erdogan. 

Un musulman suisse avait planifié un attentat en Allemagne

Dans cet article, il est prouvé que la Turquie a bel et bien soigné la racaille islamiste. On ne s'étonnera donc pas que ce pays refuse de reconnaitre le génocide arménien puisque ce pays vise à imposer l'islam et à éradiquer tout ce qui n'est pas musulman.

Pendant ce temps, la Turquie bénéficie des milliards de l'UE dans le cadre de sa préadhésion. Tout va bien.

 

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Il avait planifié un attentat de grande envergure visant un festival de musique en Allemagne. Pendant des années, le terroriste Thomas C. a réussi à échapper aux autorités. Mais aujourd’hui, l’homme suisse a été identifié comme le cerveau des opérations.

Le Suisse Thomas C., haut responsable de l’organisation terroriste «Etat islamique» (EI), serait à l’origine d’un projet d’attentat en Allemagne que les autorités de sécurité ont déjoué au cours d’une opération de plus d’un an. Comme le rapporte le «Zeit», le Service allemand du renseignement extérieur (BND) et la CIA ont tenté d’identifier le terroriste sous son nom de guerre «Abu Mussab al-Almani» pendant des mois.

Son nom revenait sans cesse dans le cadre de projets d’attaques terroristes, tout en étant entouré d’une «aura de clandestinité». Pendant longtemps, les services secrets n’ont pas su grand-chose sur Abu Mussab, mais ils ont supposé que c’était un citoyen allemand. Finalement, ils sont tombés sur Thomas C., un grand Suisse blond aux yeux bleus, né en 1987, qui a grandi en Allemagne, en France et en Suisse et parle couramment l’arabe, d’après le «Zeit ».

Il a vécu à Francfort-sur-le-Main jusqu’en 2013, date à laquelle il est devenu l’un des premiers volontaires à rejoindre l’EI en Syrie. Thomas C. y aurait fait carrière et serait devenu le fonctionnaire le plus haut placé de l’EI issu de l’espace germanophone. Les autorités lui attribuent un rôle de premier plan au sein du département «opérations externes» de l’EI, une sous-organisation chargée d’organiser les attentats à l’étranger qui ont mené des attaques comme celles de Paris.

Le Ministère public de la Confédération a ouvert une procédure en 2017

Un jour, la mère du terroriste, qui vivait occasionnellement en Allemagne, a reçu un appel téléphonique de Syrie, comme le rapporte le «Tages-Anzeiger». On lui a dit que son fils avait été grièvement blessé, qu’il devait être transféré dans un hôpital turc et qu’elle devait faire un virement d’environ 46'000 francs pour les soins.

Suite à cela, la femme aurait informé le Consulat général de Suisse à Francfort. Les autorités suisses auraient alors été mises au courant sur-le-champ et le Ministère public de la Confédération aurait ouvert une procédure en 2017.

Comme on peut le lire dans le «Zeit», selon des rumeurs, Thomas C. alias «Abu Mussab» serait mort en Syrie à l’automne 2017 à l’âge de 32 ans.

 

Bluewin.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini et à Vigilance islam

 

Rappels :

Cologne : Erdogan inaugure l’une des plus grandes mosquées d’Europe. Des Turcs l’accueillent aux cris d’Allah Akbar. (Vidéos)

Erdogan : l’Autriche pousse le monde vers «une guerre entre les Croisés et le Croissant»

Le président turc Erdogan active ses réseaux en France : un « immense campus coranique » ouvrira à Strasbourg avec le soutien de la mairie

Berne inquiet: « La Turquie organise dans 15 pays un programme pour ses ressortissants sous le prisme de l’islam et de l’empire ottoman. »

«L’islam modéré»: un concept inventé en Occident pour affaiblir la religion musulmane, selon Erdogan

France : Collomb parlant des quartiers “C’est la loi du plus fort des trafiquants et des islamistes. La situation est très dégradée.”

Lors de son discours de passation de pouvoir à Edouard Philippe, qui assure désormais l'intérim, le ministre de l'Intérieur démissionnaire Gérard Collomb a martelé qu'en France des quartiers échappaient encore à la loi de la République.

Démissionnaire à la tête du ministère de l'Intérieur, Gérard Collomb ne laisse pas derrière lui une République française sûre et apaisée – de son propre aveu. «Le terme de reconquête républicaine prend, dans ces quartiers, tout son sens. Parce que oui aujourd'hui, c'est plutôt la loi du plus fort qui s'impose, [celle] des narco-trafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République», a-t-il déclaré lors de son discours de passation de pouvoir à Edouard Philippe, le matin du 3 octobre, évoquant certains quartiers dits difficiles en France.

Le désormais ex-chef de la place Beauvau avait un «message à faire passer» : «La situation s'est très dégradée» dans certains territoires, a-t-il prévenu, listant, pêle-mêle : «Les quartiers Nord de Marseille, au Mirail à Toulouse, à la périphérie parisienne, Corbeil, Aulnay, Sevran...» «Il faut à nouveau assurer la sécurité dans ces quartiers, mais je crois qu'il faut fondamentalement les changer. Quand des quartiers se ghettoïsent, se paupérisent, il ne peut y avoir que des difficultés», a statué Gérard Collomb.

 

 

«Je crois vraiment que, dans la périphérie parisienne, on ne peut plus continuer à travailler commune par commune. Il faut une vision d'ensemble pour recréer de la mixité sociale», a-t-il encore conseillé.

Enchaînant aussitôt sur la thématique de l'accueil des migrants, toujours prégnante dans l'actualité politique française, le ministre de l'Intérieur sur le départ a estimé que si ces derniers étaient logés dans les quartiers à problèmes, la situation deviendrait d'autant plus «ingérable».

Contraint d'accepter la démission de Gérard Collomb de son poste de ministre de l'Intérieur, Emmanuel Macron a chargé dans l'urgence le Premier ministre Edouard Philippe d'assurer l'intérim, en attendant de nommer son successeur à la tête de ce ministère clé. Le 2 octobre, dans les colonnes du Figaro, Gérard Collomb avait décidé de maintenir sa proposition de démission – refusée un premier temps par le chef de l'Etat –, entérinant les dissensions entre le ministre de l'Intérieur et le président de la République. Gérard Collomb avait expliqué vouloir se consacrer pleinement à l'élection municipale de Lyon, prévue initialement pour 2020. A droite comme à gauche, de nombreux élus de l'opposition ont ironisé sur une situation qui semble échapper au président de la République.

RT / Cnews.fr

Allemagne : arrestation d’un Islamiste de 17 ans qui planifiait des attentats à la bombe dans une église et dans une discothèque gay

16BERLIN – Un adolescent a été arrêté pour avoir planifié des attentats islamistes dans la région de Francfort, ont annoncé jeudi les autorités.

Le porte-parole du Parquet de Francfort, a déclaré à l’Associated Press que le jeune homme de 17 ans avait été arrêté par la police de Hesse le 1er septembre et qu’il était soupçonné de préparer un acte terroriste grave.

Les informations conduisant à l’arrestation, fournies par les États-Unis, ont indiqué que le suspect prévoyait d’attaquer une boîte de nuit gay à Francfort et une église catholique dans la ville, selon un responsable, ayant accès à des informations de renseignement, sous couvert d’anonymat. .

(…) Au moment de son arrestation, le suspect avait reçu des instructions sur la manière de fabriquer des explosifs connus sous le nom de TATP et essayait de se procurer des produits chimiques.

De petites quantités de produits chimiques ont été trouvées lors d’une perquisition au domicile du suspect à Florstadt, au nord-est de Francfort.

Le nom du suspect n’a pas été dévoilé pour des raisons de confidentialité.

Source

Un musulman condamné à perpétuité pour son rôle dans l’attentat à la bombe contre le World Trade Center en 1993 fait un procès parce que sa prison ne fournit pas de repas halal

Cenator : En 1993, le World Trade Center avait été la cible d’un premier attentat djihadiste. Il s’agissait d’une énorme explosion dans un des parkings souterrains. L’objectif était de faire tomber la tour Nord contre la tour Sud de manière à détruire tout le complexe. L’opération avait échoué, mais avait tout de même fait 6 morts (dont une femme enceinte) et plus de 1000 blessés, et nécessité l’évacuation (non sans peine) d’environ 50'000 personnes travaillant dans les tours.

 

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Ahmad Ajaj, condamné en 1999 à plus de 114 ans de prison pour son rôle dans l’attentat à la bombe de 1993 contre le World Trade Center, affirme que les autorités pénitentiaires violent ses droits religieux.

En effet, il ne recevait pas de viande halal et l’imam qu’il a pour aumônier n’appartient pas à la même branche de l’islam que lui.

L’homme était détenu dans une prison de haute sécurité du Colorado lorsque le procès a commencé en 2015.

[…]

Daily Mail (en anglais)

Canoe.com