La Finlande va augmenter ses dépenses militaires de 54% en 2021

par · 23 août 2020

Les réformes structurelles conduites à partir de 2015 ont permis à la Finlande de réduire sa dette publique [59,4% du PIB en 2019] ainsi que son déficit public [-1,1% en 2019] tout en soutenant l’activité économique en s’appuyant sur l’innovation [numérique, biotechnologies] et sur ses atouts traditionnels [ressources naturelles]. En quatre ans, le taux de chômage est ainsi passé de 9,4% à 6,7%.

Seulement, et bien que relativement épargnée par la crise sanitaire liée à covid-19, avec 7.300 cas et 330 décès recensés à la mi-juillet, Helsinki a vu ses indicateurs économiques plonger. Avec une économie dépendante de ses échanges extérieurs [en particulier avec la Suède et l’Allemagne], lesquels représentent environ 40% du PIB, la Finlande a en outre pris des mesures pour limiter la propagation du coronavirus qui ont affecté l’activité. Dans le même temps, elle a bien été obligée de soutenir les entreprises et les ménages, via des dépenses exceptionnelles.

Résultat : le déficit budgétaire s’est envolé à 8,2%, de même que l’endettement public [71,3%]. Le tout avec un effondrement du Produit intérieur brut [PIB] estimé à -6/-10%. Ce qui fait l’objectif d’arriver à l’équilibre budgétaire d’ici 2023 relève désormais du voeu pieux.

Au regard des difficultés économiques que rencontrent la plupart des pays confrontés à la pandémie, certains analyses ont suggéré que les budgets militaires allaient en pâtir. Ce qui, dans le cas de la Finlande, mettrait en péril deux programmes majeurs : le Squadron 2020, qui vise à acquérir de nouvelles corvettes pour un coût estimé à 1,3 milliard d’euros, et le projet HX, lequel doit permettre de remplacer les avions de combat F/A-18 Hornet dans le cadre d’un appel d’offres de 7 à 10 milliards d’euros.

Ces deux programmes sont aussi importants l’un que l’autre, alors que la Finlande, membre de l’Union européenne [mais pas de l’Otan] a des relations difficiles avec la Russie voisine [cette dernière l’a accusée de « génocide » en Carélie, durant la Seconde Guerre Mondiale…]. En outre, Helsinki déplore régulièrement les violations de son espace aérien par l’aviation militaire russe, comme cela a encore été le cas le 28 juillet dernier, par deux Su-27 « Flanker ».

Quoi qu’il en soit, la crise actuelle n’ayant pas une origine financière comme les précédentes, les indicateurs économiques devraient repartir à la hausse l’an prochain. Pour la Finlande, les prévisions de croissance pour 2021 sont de l’ordre de +3% environ. Et, les programmes Squadron 2020 et HX ne seront nullement menacés par une éventuelle cure d’austérité.

En effet, à la mi-août, le ministère finlandais des Finances a proposé un budget 2021 de 61,6 milliards d’euros, avec un déficit de 7 milliards [contre 18,9 milliards en 2020]. Et sans plan de relance, comme cela doit être le cas en France.

Dans ce budget, le ministère finlandais de la Défense devrait obtenir 4,87 milliards d’euros, soit 1,7 milliard de plus qu’en 2020. Ce qui représente une hausse significative de +54%. Les dépenses militaires du pays dépasseront les 2% du PIB l’an prochain [contre 1,4% actuellement].

« L’augmentation est en grande partie due au financement proposé pour l’acquisition d’avions de combat polyvalents dans le cadre du projet HX », souligne-t-on à Helsinki.

[...]

article complet: http://www.opex360.com/

Oulu (Finlande) : après le suicide d’une victime, une danse pour combattre les nombreux viols de mineures par des migrants

"Ma ville natale a lancé un projet de 2,5 millions d'euros appelé Safe Oulu qui vise à lutter contre la crise du viol (des migrants).

C'est là que va l'argent. Tuez-moi maintenant.

Au moins, soyez gentil et lobotomisez-moi pour que je n'aie pas à vivre avec cette image dans ma tête."

 

 

 

 

 

TVP.info

 

Rappels :

 

Via Fdesouche

Finlande : une jeune femme tuée par son petit ami, un requérant d’asile musulman.

Dans plusieurs messages attribués à cette jeune femme, il apparaît qu'elle est très à gauche, qu'elle considère "les hommes blancs comme de la merde".


Dans la nuit du 21 janvier, le "Palestinien" Hasan A. a assassiné sa petite amie à Hämeenlinna. La femme aurait tenté de rompre, ça a été sa condamnation à mort. Par le passé, la jeune femme a milité pour l'accueil des migrants et a exprimé son mépris des hommes autochtones.

Les voisins ont alerté la police après avoir constaté qu’une grande quantité de sang se soit répandue sous la porte de l'appartement.

La Finlande est régulièrement secouée par des crimes relationnels similaires impliquant des immigrants arabes.

 

 

Jusqu'à présent, il semble que l'affaire soit étouffée en Finlande. La police ne veut pas divulguer d’informations avant le début de la semaine prochaine, jusque-là elle fait profil bas. Les rares informations proviennent de MTV Finland et de recherches émanant de sites alternatifs.

Selon cette source, le prétendu Palestinien aurait déjà reçu une décision d'asile négative.

 

 

 

 

Photos émanant du compte Facebook d'Hasan A.

 

 

 

Cette jeune femme, qui a perdu la vie sans raison, s'appellerait Sanni O., son âge n'est pas connu.

Si l'on se base sur les photos disponibles, elle devait avoir une vingtaine d'années. Comme beaucoup de jeunes, Sanni était active dans le mouvement d'ouverture des frontières et d'accueil des migrants.

Hormis de nombreux messages politiques, elle aurait systématiquement fait des remarques particulièrement désobligeantes à l'égard des hommes autochtones.

 

Le compte Twitter d'Hasan A. avec la photo du Hamas.

 

La victime a peut-être été décapitée

Quand un voisin a vu du sang jaillir sous la porte d'entrée de l'appartement, il a appelé la police. Celle-ci a fait une découverte macabre. Sanni O. avait été assassinée, son assassin se serait suicidé sur les lieux. La rumeur locale prétend que la femme a été décapitée. Toutefois, la police n’ayant pas encore publié d’informations, cela n’a pas pu être confirmé.

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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Wochenblick.at / Nationalfile.com / Extra.cz / Ntvuutiset.fi

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Luxembourg : recherché en Finlande, un migrant irakien est condamné pour violences, séquestration et viols

Condamné à 18 ans de réclusion en première instance, le trentenaire jugé pour avoir séquestré et violé sa conjointe a obtenu une réduction de peine. À la différence des premiers juges, la Cour d’appel l’a acquitté de l’harcèlement obsessionnel.

«Ça vaut toujours la peine de faire appel. Parce que deux ans dans la vie d’un homme, c’est beaucoup», réagissait, mardi après-midi, Me François Moyse à la sortie du prononcé. Il avait défendu le prévenu en instance d’appel.

[…]

Déjà condamné en Finlande

Au final, la Cour d’appel n’a pas suivi ces réquisitions. À cause de son casier judiciaire, un aménagement de peine n’était plus possible. Au cours de l’instruction, il s’était avéré que le trentenaire était arrivé en 2013 au Grand-Duché, deux jours avant qu’on ne prononce contre lui une peine de prison de trois ans en Finlande. Le nom sous lequel il avait obtenu son autorisation de séjour en Finlande n’était pas le même que celui qu’il avait quand il a atterri dans le viseur des autorités luxembourgeoises.

Recherché en Finlande, il avait tenté de refaire sa vie sous une autre identité. Depuis son arrestation en 2017, l’homme, dont le casier renseigne 12 condamnations (dont une pour viol), se trouve à Schrassig.

[…]

Le Quotidien

Via Fdesouche

Polémique en Finlande : un politicien d’origine somalienne avoue avoir inventé une agression raciste dont il disait avoir été victime

Finlande – Le politicien du SDP (centre-gauche) a déclaré au quotidien Helsingin Sanomat qu’il avait fait circuler cette fausse histoire parce qu’il était « en colère ».

Abdirahim « Husu » Hussein, conseiller municipal d’Helsinki et chauffeur de taxi, a avoué avoir inventé une agression raciste. Lundi, Hussein s’est rétracté et s’est excusé d’avoir menti.

« Je m’excuse pour mes actes et pour avoir menti. En tant que décideur, il est de mon devoir d’être honnête. (…) Je ferai tout ce que je peux pour rétablir la confiance auprès de mes électeurs », a déclaré M. Hussein.

La présidente du groupe SPD du Conseil municipal, Eveliina Heinäluoma, n’a pas répondu lorsque Yle a essayé de la joindre. Cependant, elle a déclaré sur Twitter qu’elle était « extrêmement déçue ».

Il y a environ une semaine, Hussein a envoyé un tweet à propos d’un incident au cours duquel il a affirmé s’être arrêté le long d’une route pour ordonner à un passager raciste de quitter son taxi.

(…) À l’époque, Hussein a écrit que, entre autres choses, le passager lui avait dit de retourner en Somalie pour défendre son pays.

La compagnie de taxis, Taksi Helsinki, a déclaré avoir examiné l’incident et avait découvert que son histoire ne correspondait pas aux données GPS du taxi.

(…)

Yle.fi

Via Fdesouche

Finlande : une militante des Verts bloque le décollage d’un avion pour empêcher l’expulsion d’un migrant, aucun passager ne la soutient, elle est éjectée de l’appareil

Finlande – La conseillère juridique du Parti des Verts a été escortée hors d’un avion à l’aéroport d’Helsinki après avoir refusé de s’asseoir, pour protester contre l’expulsion d’un migrant.

 

 

 

Mardi, la police de l’aéroport d’Helsinki a expulsé Aino Pennanen, le juriste du parti des Verts de Finlande, d’un avion pour avoir refusé de s’asseoir.

Pennanen a déclaré qu’elle protestait contre l’expulsion d’un autre passager. Elle a diffusé la vidéo de sa protestation en direct sur Facebook. Le départ de l’avion a été retardé d’environ dix minutes.

 

 

« De nombreux policiers m’ont escorté hors de l’avion et on m’a emmené dans un fourgon de police. Ceci [s’est produit] parce que le capitaine a refusé ma demande de ne pas décoller avant que la personne en instance d’expulsion ne soit retirée de l’avion », a-t-elle déclaré.

Pennanen a dit à Helsingin Sanomat qu’elle n’avait pas planifié de faire un esclandre, et qu’elle ne savait pas dans quel pays l’individu allait être expulsé.

Cet incident est semblable à celui qui a eu lieu en Suède la semaine dernière, lorsqu’une militante nommée Elin Ersson a protesté contre l’expulsion d’un migrant afghan qui se trouvait dans l’avion. Cependant, dans ce cas précis, Ersson a reçu le soutien de plusieurs passagers dans l’avion.

Yle.fi

Via Fdesouche.com

Finlande : le demandeur d’asile islamiste marocain qui a tué deux femmes à coups de couteau condamné à la prison à vie

Abderrahman Bouanane, un demandeur d’asile marocain de 22 ans, a été condamné aujourd’hui à la prison à vie en Finlande pour avoir tué deux femmes à coups de couteau en août dernier à Turku, à une centaine de kilomètres à l’ouest d’Helsinki. « Bouanane voulait associer ses crimes aux actes terroristes de l’Etat islamique », peut-on lire dans les attendus du jugement, prononcé par le tribunal de Varsinais-Suomi.Le mouvement djihadiste n’a pas revendiqué son acte.

 

 

Abderrahman Bouanane est arrivé en Finlande en 2016 sous une fausse identité. Il s’est radicalisé l’année suivante, après le rejet de sa demande d’asile. Le jour des agressions, il a réalisé une vidéo dans laquelle il parle notamment des frappes américaines contre l’EI Syrie. Pendant son procès, il a dit être « en guerre contre les femmes » et a prétendu avoir perdu le contrôle de ses actes, mais en a été jugé pénalement responsable.

Source

Finlande: un demandeur d’asile de 23 ans a eu des rapports sexuels avec une fillette de 10 ans. Pour le tribunal, ce n’est pas un viol.

La Cour suprême de Finlande a rendu un jugement qui fait polémique dans le pays. Un demandeur d'asile de 23 ans qui a eu une relation sexuelle avec une fillette de 10 ans, n'a pas été reconnu coupable de viol mais seulement d'abus sexuel aggravé.

La Cour suprême de Finlande a confirmé une décision selon laquelle les relations sexuelles entre un adulte, en l’occurrence un homme de 23 ans, et une fillette de 10 ans, ne constituaient pas un viol. Le tribunal a ainsi rejeté le 3 mai l'appel de l'accusation qui contestait la peine de trois ans de prison infligée en 2017 à un individu reconnu coupable d'abus sexuel aggravé. L'accusation réclamait une peine plus sévère pour des faits de viol aggravé.

Les médias finlandais ont identifié l'auteur des faits comme étant un certain Juusuf Muhamed Abbudinun demandeur d'asile dont ils n'ont pas précisé le pays d'origine.

L'incident a eu lieu près de la ville de Tampere dans le sud de la région de Pirkanmaa, à l'automne 2016. L'homme avait eu des rapports sexuels avec une enfant âgée de 10 ans au moment des faits, dans la cour d'un immeuble désaffecté. Il a également échangé des messages à caractère sexuel avec elle.

Pourtant en 2017, le tribunal du district de Pirkanmaa et la cour d'appel de Turku n'avaient pas reconnu l'incident comme un viol, jugeant que la fillette n'avait pas été forcée d'avoir des relations sexuelles. En plus d'une peine de trois ans de prison, les juges avaient ordonné à l'homme de payer à l'enfant la somme de 3 000 euros.

La décision a alimenté des débats féroces à travers le pays. Tuula Tamminen, professeur de pédopsychiatrie à l'université de Tampere, a insisté dans les médias sur le fait que l'enfant ne pouvait tout simplement pas savoir ce à quoi elle s'engageait.

En novembre 2017, le député du Parti de la coalition nationale (centre-droit), Kari Tolvanen, s'est prononcé en faveur de peines plus longues pour de telles infractions, réclamant «des peines plus sévères pour les infractions sexuelles graves contre les enfants en général». «A mon avis, cela est pleinement justifié, par exemple, à la lumière de la vulnérabilité d'un enfant, même si l'acte n'atteint pas le seuil du viol», avait-il expliqué.

En mars, le ministre finlandais de la Justice, Antti Häkkänen, avait également réclamé des lois plus strictes pour les infractions sexuelles commises sur des mineurs. «Les enfants devraient être protégés contre la violence et les agressions sexuelles par tous les moyens possibles», a déclaré le ministre avant de demander de «durcir la loi sur les crimes sexuels».

Source

Finlande : Muhamed Abbud condamné pour abus sexuels sur une fillette de 10 ans, le tribunal ne conclut pas au viol « faute de preuve que la victime n’ait pas consenti »

La cour d’appel de Turku (Finlande) a confirmé la condamnation de Juusuf Muhamed Abbud, 23 ans, pour abus sexuels sur un enfant.

Juusuf Muhamed Abbud, 23 ans, a abusé sexuellement d’une fillette de 10 ans en 2016. L’acte a eu lieu dans la cour d’un immeuble dans une petite municipalité de Pirkanmaa.

Il a écopé de 3 ans de prison, le procureur du district avait demandé qu’Abbud soit puni pour viol et donc écope d’une peine de 10 ans de prison.

L’avocat de la victime a également regretté qu’Abbud n’ait pas reçu une sanction plus sévère. Il a déclaré que la victime ne pouvait pas se défendre à cause de ses peurs.

La cour d’appel du district est parvenue à la même conclusion que le tribunal de district de Pirkanmaa : les preuves n’étaient pas suffisantes pour démontrer que la victime, âgée de 10 ans, avait eu une relation sexuelle non consentie avec Abbud. Le viol aggravé n’a pas été retenu par les juges.

Ilta-Sanomat Via Fdesouche.com

Finlande: le terroriste exprimait déjà sa haine des Finlandais dans le centre pour réfugiés

La police finlandaise a arrêté aujourd'hui deux nouveaux suspects dans le cadre de l'enquête pour acte de terrorisme ouverte après l'attaque au couteau qui a fait deux morts et huit blessées le 18 août à Turku. Ils "sont soupçonnés d'avoir préparé un crime à caractère terroriste", a annoncé le Bureau national d'enquête (BNE) dans un communiqué.

D'après l'agence de presse finlandaise STT, ces deux interpellations ont eu lieu à Turku, au sud-ouest de la Finlande. La nationalité des deux hommes n'a pas été confirmée, puisqu'"aux autorités finlandaises, ces derniers ont prétendu être des citoyens algériens, alors qu'ils ont déclaré être marocains aux autorités suédoises", a précisé le BNE.

Les enquêteurs doutent également de l'identité du principal suspect, Abderrahman Mechkah, un Marocain de 18 ans soupçonné d'avoir porté les coups de couteau. Il a été placé hier en détention provisoire pour meurtres et tentatives de meurtre à caractère terroriste. "En Allemagne, il avait plusieurs identités (...). En ce qui me concerne, le nom n'a pas été confirmé officiellement, ni son âge", déclarait hier le responsable de l'enquête, Olli Töyräs.

Les médias finlandais ont affirmé mercredi qu'Abderrahman Mechkah s'était intéressé aux idées du groupe Etat islamique (EI). Dans le centre pour réfugiés où il résidait, "les gens ont remarqué ses opinions et ses comportements radicaux. Il parlait des Finlandais comme étant des infidèles et demandait des conseils pour rejoindre l'EI", selon la radio-télévision Yle.

Trois autres suspects arrêté samedi, Abdederrazak Essarioul, Ilyas Berrouh et Mohamed Bakier, tous présentés comme étant de nationalité marocaine, ont également été placés en détention pour les mêmes chefs d'accusation que ceux portés contre Abderrahman Mechkah. La police cherche à déterminer leur degré d'implication dans le projet du jeune Marocain.

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Attaque « terroriste » en Finlande: le meurtrier marocain ciblait des femmes. C’était un demandeur d’asile.

Le Marocain de 18 ans accusé d'avoir tué deux personnes et blessé huit autres en Finlande vendredi est un demandeur d'asile qui voulait s'en prendre à des femmes lors de cette attaque que les autorités qualifient de "terroriste".

La police avait rapidement arrêté vendredi le suspect armé d'un couteau, le blessant par balle à la jambe sur une place du centre-ville de Turku, ville portuaire dans le sud-ouest de la Finlande.

"Nous pensons que l'assaillant ciblait en particulier les femmes, mais des hommes ont été blessés après avoir tenté de défendre ces femmes", a déclaré la commissaire Christa Granroth, du Bureau national des enquêtes, lors d'une conférence de presse.

L'homme arrivé en Finlande en 2016, dont l'identité n'a pas été révélée, avait poignardé à mort deux personnes et blessé huit autres, toutes âgées entre 15 à 67 ans.

Les deux personnes tuées étaient Finlandaises. Des ressortissants Italien, Britannique et un Suédois (et non pas deux comme annoncé plus tôt par les autorités) figurent parmi les blessés. Au total, deux hommes et huit femmes ont été attaqués.

"L'attaque a d'abord été qualifiée de meurtre, mais pendant la nuit, nous avons reçu des informations supplémentaires qui indiquent que les infractions pénales sont maintenant des meurtres et des tentatives de meutres avec intention terroriste", a déclaré la police dans un communiqué.

L'assaillant est toujours hospitalisé. La police ignore encore ses motivations.

"Nous avons essayé de parler avec lui à l'hôpital, mais il n'a pas voulu s'exprimer", a déclaré Mme Granroth.

D'après les médias finlandais, l'homme se serait vu refuser sa demande d'asile, une information qui n'a pas été confirmée par les autorités.

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Nos remerciements à Info

Finlande : des centaines de musulmans radicalisés recensés à travers le pays

Christian Hofer: On "découvre" tout à coup qu'il y a un nombre impressionnant de radicalisés après un attentat, comme cela est le cas en Catalogne.

En vérité, nos autorités le savent très bien et trahissent leur propre population en cachant ces informations.

On peut se poser la question sur la situation en Suisse pour laquelle Sommaruga refuse de chiffrer le nombre de tentatives d'attentats que nous avons déjà subies.

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La Finlande, nouvelle cible des terroristes ? Le pays « a recensé sur son sol, en juin dernier, près de 350 individus radicalisés« , selon Marc Ezrati, journaliste spécialiste police.

 

 

 

via Fdesouche.com

Finlande. Attaque de Turku: Le suspect est un Marocain. Ouverture d’une enquête pour acte de terrorisme

Le suspect de l'attaque, arrêté peu après les faits, a été identifié comme étant un Marocain de 18 ans, viennent d'annoncer les autorités finlandaises.

 

 

Une enquête pour "acte de terrorisme" a été ouverte en Finlande, samedi 19 août, au lendemain de l'attaque au couteau qui a fait deux deux morts dans la ville de Turku (sud du pays), annonce la police. Le suspect de l'attaque, arrêté peu après les faits, a été identifié comme étant un Marocain de 18 ans, viennent d'annoncer les autorités. Dans la nuit, cinq personnes ont été interpellées dans le cadre d'une perquisition.

Source

Finlande : attaque au couteau à Turku. 2 morts et six blessés (Vidéo)

Plusieurs personnes ont été poignardés à Turku en Finlande, le 18 août dans la journée. Selon le compte Twitter de la police, le suspect a été arrêté par des agents qui lui ont tiré dans la jambe pour le neutraliser. Les forces de l'ordres exhortent le public à quitter la zone. L'attaque s'est produite au Puutori-Market Square dans le sud-ouest de la ville comme le rapporte le journal Turun Sanomat

La police de la ville de Turku, dans le sud-ouest de la Finlande, a annoncé le 18 août que deux personnes avaient été tuées et six autres blessées après qu'un homme armé d'un couteau les a poignardé en plein centre-ville.

Attention, images choquantes d'un blessé.

 

Plusieurs personnes auraient entendu des coups de feu sur la place du marché et aperçus un corps à terre. Il aurait été recouvert d'un drap, mais, l'information n'a pas encore officialisée par les forces de l'ordre.  Les autorités demandent aussi sur Twitter aux témoins de la scène de rapidement les contacter, afin de comprendre ce qui s'est réellement passé. La police tiendra une conférence de presse à 19h, annonce le média Yle, qui appartient au groupe de télévision éponyme, transmettant des informations en finnois et en suédois.

 

 

Source Source2

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Finlande: La police invite les enfants à dénoncer les parents qui critiquent le gouvernement sur internet (vidéo)

Le système socialiste occidental est aux abois et ce que les médias d’état qualifient de « populisme » constitue, à leurs yeux, un danger majeur : les peuples blancs se réveillent et le risque d’une révolution générale se précise chaque jour un peu plus. Conséquence : des mesures policières de type totalitaires sont progressivement mises en place.

Nos lecteurs se demanderont si par le terme « totalitaires », nous n’exagérons pas. Qu’ils en jugent par ce clip vidéo réalisé à destination des enfants par la police finlandaise. En substance, les forces de sécurité du pays demandent aux enfants de surveiller leurs parents et, si ces derniers critiquent le gouvernement, de les dénoncer immédiatement à l’État.

Ce que vous venez de voir était une procédure standard dans les régimes communistes d’Europe de l’Est ou de Russie soviétique.

Dans le clip, on peut notamment entendre mis en chanson le slogan suivant :

« Quand vous mettez une insulte abominable sur internet, vous devrez bientôt payer une énorme amende… Attention, attention, attention ! Ne mettez rien de stupide sur les réseaux sociaux, s’il vous plaît !

La petite fille, habillée en policière, invite les enfants visés par le clip à devenir des auxiliaires de police contre leurs propres parents, dans leur intimité.

L’exemple de Pavlik Morozov

Selon  » l’histoire  » officielle de l’U.R.S.S., en 1932 Pavlik Morozov, un jeune garçon d’un village de l’Oural, dénonce son père au NKVD, la police politique, pour des menées contre révolutionnaires. Le père fût condamné à 10 ans de camp. Sans doute disparût-il dans un camp de travail du Goulag ou dans une prison désolée de l’enfer stalinien.

Quelques mois plus tard, en septembre 1932, Pavlik et son frère Fyodor âgé de 9 ans sont retrouvés assassinés dans les bois. Le meurtre fût attribué à ses grands-parents, oncles et cousins, qualifiés de  » nid de Koulaks « , et à leur tour ils furent condamnés et exécutés.

Le mythe du héros Pavlik Mozorov pouvait prendre son essor. Pourvu du titre officiel de « Héros des pionniers de l’Union soviétique, informateur 001 », il fût des années durant promu exemple pour la jeunesse soviétique.

Le culte de Pavlik Morozov se développa par la suite pour éduquer les enfants à la haine et à l’idée que « tous les frères ne sont pas des frères », inculquant une morale impitoyable. La personnalité de Pavlik Morozov fût bien sûr trafiquée à des fins de propagande.

Une statue dédiée à l’Informateur 001 Pavlik Morozov, était érigée à Moscou jusqu’en 1991, non loin de l’ambassade américaine. Une nuit d’août 1991, elle a été renversée par la foule.

« Les Espions » dans 1984

Dans son roman « 1984 », George Orwell évoque un système totalitaire où les enfants sont très tôt recrutés par l’État et le Parti comme espions. Extraits (source) :

Cette pauvre femme, pensa Winston, doit vivre dans la terreur de ses enfants. Dans un an ou deux, ils surveilleront nuit et jour chez elle les symptômes de non-orthodoxie. Presque tous les enfants étaient maintenant horribles. Le pire c’est qu’avec des organisations telles que celle des Espions, ils étaient systématiquement transformés en ingouvernables petits sauvages. Pourtant cela ne produisait chez eux aucune tendance à se révolter contre la discipline du Parti. Au contraire, ils adoraient le parti et tout ce qui s’y rapportait : les chansons, les processions, les bannières, les randonnées en bandes, les exercices avec des fusils factices, l’aboiement des slogans, le culte de Big Brother. C’était pour eux comme un jeu magnifique. Toute leur férocité était extériorisée contre les ennemis de l’État, contre les étrangers, les traîtres, les saboteurs, les criminels par la pensée. Il était presque normal que des gens de plus de trente ans aient peur de leurs propres enfants. Et ils avaient raison. Il se passait en effet rarement une semaine sans qu’un paragraphe du Times ne relatât comment un petit mouchard quelconque – « enfant héros », disait-on – avait, en écoutant aux portes, entendu une remarque compromettante et dénoncé ses parents à la Police de la Pensée.

Cet effort vise à faire de l’État et de l’idéologie officielle qu’il porte le détenteur exclusif de l’autorité et du lien social. Les cellules naturelles comme la famille, capables de résister à la loyauté exigée par le gouvernement, sont progressivement détruites par un embrigadement actif de la jeunesse.

Ce qu’entreprend la Finlande s’élargira bientôt à d’autres pays. Le système globaliste n’entend pas laisser les nations blanches et chrétiennes se révolter contre leur plan d’asservissement dont la destruction raciale et identitaire est un élément central. Cet appel à la dénonciation vise tous ceux qui, sur Facebook, s’opposent au remplacement de population et au gouvernement qui le met en place.

Source Via CivilWarInEurope

Finlande: Quatre blessés après qu’une voiture fonce dans la foule, le chauffeur arrêté

Une personne a été arrêtée dans la capitale finlandaise après avoir foncé dans la foule près d'une station de métro d'Helsinki, blessant grièvement trois personnes et une plus légèrement. L'homme a été arrêté et est interrogé par la police.

La police a indiqué au média finlandais Yle uuttiset que quatre piétons, deux hommes et deux femmes, avaient été blessés après qu'une voiture a foncé dans la foule, près d'une station de métro d'Helsinki, le 31 décembre en début d'après-midi. Les secours ont précisé que trois des victimes étaient grièvement blessées et une plus légèrement.

L'inspecteur Henri Helminen, du département de police de Helsinki, a déclaré au site Helsingin Sanomat que le conducteur avait été arrêté et placé en garde à vue.

«Rien pour le moment ne suggère que cet acte était intentionnel», a-t-il ajouté.

Selon des témoins, une voiture a dévié sur le trottoir et a percuté plusieurs véhicules stationnés, ainsi que des piétons.

Des ambulances ont été dépêchées sur place et la police enquête pour déterminer les causes de l'incident. La circulation a été coupée dans la zone.

Source

Finlande : Un enfant blanc agressé par des enfants immigrés (Vidéo)

Christian Hofer: On notera la technique que l'on retrouve dans les banlieues françaises: Une attaque dégueulasse, l'un des protagonistes se postant derrière la victime et l'autre l'attaquant par devant, toujours en surnombre, toujours de manière gratuite. Ils savourent la peur de l'Européen, nourri au vivre-ensemble qui ne comprend absolument pas ce qui se passe. La gauche a totalement désarmé les Européens, les culpabilisant d'être simplement blancs. Pendant ce temps, ces immigrés se régalent de notre naïveté, la violence ne leur faisant absolument pas peur. Mieux même, ils savent qu'ils ont déjà pour eux l'excuse de "la migration et de la guerre". Par conséquent, ils ne risquent rien de nos tribunaux.

Ici aucune excuse possible: le garçon blanc n'a aucun geste agressif et n'est nullement "xénophobe", essayant de parler avec eux calmement. C'est une attaque totalement gratuite et raciste de la part de ces immigrés contre un Européen qui est pourtant chez lui...

 

Cette fois c’est la guerre jusqu’en Europe

Europe-nordique-1

   
En Europe nordique la guerre civile a commencé :
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Suite à l’implantation du mouvement de légitime-défense "Soldats d’Odin" en Norvège (après la Suède et la Finlande), les islamistes de ce pays nordique ont créé une milice islamiste en charge d’assurer la "progression" (quelle "progression" ?) de l’islam en Norvège. En clair, les islamistes ont formé une milice dénommée "Les Soldats d’Allah en Norvège", en réponse à la présence des "Soldats d’Odin".
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Les islamistes de Norvège ont présenté des uniformes arborant le drapeau de l’État Islamique (c'est donc clairement une présence officielle et offensive de l'EI en europe nordique). La nouvelle organisation islamiste et affiliée aux "Soldats d’Allah" et à l'EI ; elle est basée à Oslo ; et elle s’est donnée le nom de "Jundullah". Elle patrouillera dans les rues norvégiennes. Elle a donc bel et bien été créée afin de "contrer" le mouvement de légitime-défense "Les Soldats d’Odin" qui s’est récemment développé dans le nord de l'Europe.
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Pour celles et ceux qui n'auraient toujours pas compris : le mouvement de légitime-défense "Soldats d’Odin" répandu en Europe nordique est combattu par le groupe islamique "Jundullah" qui déclare -- ouvertement et sans la moindre gêne -- être affilié à l'Etat Islamique (EI). Je parie que nos médias vont diaboliser le mouvement de légitime-défense "Soldats d’Odin" et fermer les yeux sur la milice islamiste dénommée "Les Soldats d’Allah" et sa filiale norvégienne "Jundullah" affiliée à "Les Soldats d’Allah en Norvège" et à l'Etat Islamique (EI).
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L'Arabie saoudite passe à l'offensive :
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L'Arabie saoudite a lancé, dimanche 28 février 2016, des manœuvres militaires sans précédent sur son territoire. Y participent des militaires venus d'une vingtaine de pays, dont le Maroc, le Pakistan ou encore le Sénégal. Baptisée « Tonnerre du Nord », cette opération est paraît-il destinée à "former les troupes à la lutte antiterroriste". En réalité, il s'agit des prémices d'une éventuelle intervention terrestre saoudienne en Syrie. En faction depuis la mi-février à la frontière saoudo-irakienne, plus de 250'000 militaires participent à ces manœuvres lancées par les Saoudiens.
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Toutes les forces aériennes, terrestres et navales des vingt pays en présence, sont engagées sur le terrain. L’Arabie saoudite, qui multiplie depuis un an ses initiatives militaires dans la région, et notamment au Yémen, a envoyé il y a deux jours quatre avions de chasse F-15 en Turquie pour participer aux frappes contre la Syrie. Ces manœuvres baptisées « Tonnerre du Nord » ne visent pas l'Etat Islamique (EI) soutenu par l'Arabie saoudite et par la Turquie. Elles visent en réalité l'Iran.
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La Turquie aux côtés de l'Etat Islamique :
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Des policiers turcs ont eu des échanges téléphoniques avec Mustafa Demir, un important membre de l'Etat islamique (EI) : "Où es-tu, grand frère ? Là où je t’ai dit ?", demande l'officier turc à Mustafa Demir. Ces conversations téléphoniques constituent une nouvelle preuve de la collaboration entre l'EI et la police turque à la frontière entre la Syrie et la Turquie.
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L'officier de la police turque s’adresse à Mustafa Demir et l’appelle à le rejoindre immédiatement : "Viens ici, de ce côté, les hommes sont ici", indique le policier. "OK grand frère, j’arrive. C’est cet endroit où j’ai donné une voiture au lieutenant Burak ?", lui répond Mustafa Demir. Ces révélations interviennent après que des armes aient été livrées par la Turquie à l'EI en Syrie.
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Michel Garroté, 29.2.2016
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