Julie, une ado belge de 14 ans, se suicide 4 jours après avoir été agressée et violée par 5 « jeunes » dans un cimetière

C’est une horrible histoire que relatent ce mardi nos confrères du Nieuwsblad. Le 15 mai dernier Julie*, une adolescente de 14 ans originaire de Gavere (Flandre-Orientale), devait rencontrer un ami au cimetière de Gand, ville dans laquelle habite sa maman. Sauf qu’une fois sur place, ce n’est pas un garçon qui attendait la jeune fille mais cinq adolescents.

Et la situation a rapidement dégénéré. Julie a été agressée avant d’être violée par ses cinq agresseurs qui ont également filmé la scène. Des images qui ont ensuite été diffusées sur les réseaux sociaux. Quatre jours après les faits, Julie est décédée

[...]

Une enquête qui a porté ses fruits puisque les cinq agresseurs (trois mineurs et deux adultes) ont pu être identifiés.

Les trois mineurs ont été placés et les deux adultes arrêtés. Ils sont accusés de viol, attentat à la pudeur ainsi que de prise et diffusion d’images pouvant mettre en danger l’intégrité personnelle. [...]

source 1: https://www.fdesouche.com/2021/06/01/julie-une-ado-belge-de-14-ans-se-suicide-4-jours-apres-avoir-ete-agressee-et-violee-par-5-jeunes-dans-un-cimetiere-ma-fille-ne-mavait-rien-dit/

www.sudinfo.be

Bruxelles : «Je (romps) mon ramadan à cause de toi fils de p…»: un accompagnateur de train violenté par des jeunes

Une vidéo vraisemblablement tournée récemment sur un quai de la gare du Nord montre un accompagnateur de train essuyer des coups de pied de la part de jeunes (au moins deux différents auteurs) dont l’un lance en quittant les lieux : « Je (romps) mon ramadan à cause de toi fils de p… » !

 

 

Selon nos informations, l’accompagnateur de train – dont le képi et la sacoche ont valsé à terre lors de cette altercation – leur aurait au préalable fait une remarque pour « non-respect du port du masque dans le train ».

Sudinfo.be

Nos remerciements à Pierrebxl

Bruxelles : Une étude met en lumière l’homophobie, la judéophobie et le sexisme des jeunes musulmans

Chercheurs au Centre européen d’études sur la Shoah, l’antisémitisme et le génocide, les Belges Joël Tournemenne et Joël Kotek (par ailleurs politologue à l’ULB) ont publié à la Fondation Jean Jaurès une étude commencée il y a deux ans. Réalisée auprès de 1 672 jeunes, dans 38 écoles secondaires francophones bruxelloises, ils en tirent une double conclusion. Globalement, les jeunes se montrent plus libéraux et progressistes, moins racistes et moins antisémites que leurs aînés. Tous ? Non : pas les jeunes croyants, et principalement les jeunes qui se disent musulmans. Ces derniers auraient "trois fois plus de préjugés judéophobes, homophobes, sexistes que les non-croyants". Les chercheurs postulent donc l’existence d’un "effet religion" dans la représentation de l’autre.

(...)

Vous évoquez le déni de la société belge face à cette jeunesse en décalage avec les valeurs libérales qu’elle prône. D’où viendrait ce déni ?

J.K. Du fait que la vérité que nous soulignons est dérangeante. Il y a donc des raisons électorales qui poussent les partis progressistes à ne pas évoquer ce décalage, tant ils sont soucieux de maintenir le contact avec leur électorat musulman. Notre étude met également à mal la vulgate intersectionnelle qui pose les "Blancs" en racistes invétérés, et postule une sorte de solidarité intrinsèque entre les diverses minorités qui cohabitent au sein de notre société. Or, ce que nous constatons est un net recul des préjugés racistes chez les assignés "blancs", et au contraire une prégnance homophobe, sexiste et raciste chez les jeunes qui se réclament de l’islam. Les récentes mesures homophobes et sexistes adoptées tout récemment en Turquie témoignent par l’absurde de l’absurdité des thèses intersectionnelles.

(...)

Vous prenez le contre-pied de sociologues avançant que les causes du sexisme ou de l’antisémitisme sont principalement dues à des facteurs socio-économiques. Pour vous, ils sont plutôt dus à des représentations culturelles et religieuses. Mais ces facteurs ne sont-ils pas liés ?

J.T. Ce que dit en effet notre étude, c’est que s’agissant de l’antisémitisme, du sexisme ou encore de l’homophobie, ce sont bien moins les facteurs socioéconomiques que les représentations culturelles et religieuses qui déterminent l’opinion. Il faut souligner que nos données statistiques rejoignent les conclusions de toute une série d’études européennes comparables, comme celles par exemple du sociologue néerlandais Rudd Koopmans, des Français Anne Muxel et Olivier Galland, des Allemands Günther Jikeli, Jürgen Mansel et Viktoria Spaiser et évidemment du Belge Mark Elchardus. Nous arrivons tous aux mêmes conclusions, c’est-à-dire que le facteur religieux prédomine sur les autres, sans pour autant totalement les annuler.

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Lalibre.be

Nos remerciements à pierrebxl


Rappels :

Suisse : un homosexuel de Macédoine raconte les sévices qu’il a endurés de la part de sa famille musulmane pratiquante.

Suisse. Etude : Conflits amoureux des jeunes. Les musulmans sont davantage violents.

Suisse. Meyrin: Les musulmans veulent un carré musulman, uniquement entourés de leurs coreligionnaires. «Ils se sentent suisses avant tout»

La Suisse confrontée aux mariages forcées de mineures à cause de l’immigration musulmane

Belgique. Attentats islamistes du 22 mars : « Le traumatisme de la communauté… musulmane! » selon la RTBF

Il y a cinq ans, le 22 mars 2016, deux attentats allaient secouer Bruxelles, deux explosions simultanées à l’aéroport de Zaventem à 7h58 et une autre, dans une rame de métro à la station Maelbeek, à 9h11.

Les bombes allaient provoquer la mort de 32 personnes – en plus des kamikazes, en blesser 340 autres et marquer un pays tout entier. Les attentats, revendiqués par l’organisation terroriste État islamique, allaient aussi traumatiser la communauté musulmane.

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RTBF

Nos remerciements à David Dobsky

Liège (Belgique) : 200 casseurs en marge d’une manifestation #BlackLivesMatter

Une manifestation devait se tenir ce samedi vers 14h30 de la place de la République française à la place Saint-Lambert, en lien avec la polémique d’arrestation musclée d’une femme d’origine africaine qui s’était déroulée lundi matin sur la place Saint-Lambert. Une situation qui dégénère actuellement totalement dans le centre-ville. Un policier a été frappé et emmené en milieu hospitalier. Des poubelles ont été renversées, des vitres brisées… par des jeunes qui cherchent visiblement l’affrontement. La police est présente en masse et demande à tout citoyen d’éviter le centre ! On évoque la présence de 200 casseurs.

(...)

 

 

 

 

Ces casseurs ont totalement saccagé le centre-ville, aux alentours de la place de la République Française et de la place Saint-Lambert ce samedi après-midi. Des vitres ont été brisées, des arrêts de bus détruits, des poubelles renversées, des magasins ont été pillés, des pavés ont été lancés...

(...)

Sudinfo.be

Belgique : Les auteurs des attentats du 22 mars ont commis un « assassinat test » auparavant. L’islamiste souriait lorsqu’il racontait le meurtre.

Ibrahim El Bakraoui, l'un des kamikazes de l'attentat du 22 mars 2016, a commis un assassinat fin 2014 avec l'appui de son frère Khalid, qui a par la suite aussi déclenché une bombe dans le métro de Maelbeek. Ils souhaitaient "tester" un assassinat dont un pensionné de Jette a été victime, rapporte le quotidien De Morgen vendredi.

Osama Krayem, un des terroristes qui a survécu, a surpris les enquêteurs le 20 décembre 2016 avec des informations qu'il a reçues d'un de ses collaborateurs terroristes Ibrahim El Bakraoui. "Khalid m'a raconté que lui et Ibrahim ont tué quelqu'un en rue. Une personne choisie au hasard. Il a affirmé que la police avait découvert le corps et que c'était tout. Il souriait quand il me le racontait", a-t-il indiqué.

(...)

Rtbf.be

Deuxième ville “la plus cosmopolite du monde”, Bruxelles dégringole au classement annuel des villes les plus sûres de la planète

Pour la cinquième année consécutive, c’est Abou Dabi, la capitale des Émirats arabes unis, qui prône en première position sur les 431 villes présentes dans le classement, avec un indice de sécurité de 88.46 sur 100. Le pays du Moyen-Orient peut même se targuer de placer deux autres villes dans le top 10, Sharjah (6e) et Dubai (7e). Les villes de Doha (Qatar) et de Taipei (Taiwan) complètent le podium avec un indice de 87,96 et 86,55 sur 100. La ville la moins sûre du monde qui apparaît dans le classement n’est autre que la capitale du Venezuela, Caracas, avec un indice de sécurité de 15.32 sur 100.

En Europe, la première ville à figurer dans le classement n’est autre que la ville suisse de Zurich, qui se classe en 7e position.

(...)

Enfin, Bruxelles dégringole au classement puisque la capitale se retrouve seulement à la 293e place avec un indice de 49,20 sur 100.

Dhnet.be

Via Fdesouche


Note : Le Venezuela est un pays dirigé par Nicolás Maduro, membre du Mouvement Cinquième République, un parti de gauche.

Belgique : le djihadiste Gelel Attar, alias “Abou Ibrahim” de Molenbeek, veut récupérer la nationalité Belge

Ce jeudi, un Belge déchu de sa nationalité en juillet dernier s’est opposé à cette déchéance par l’intermédiaire de son avocat, devant le tribunal correctionnel de Bruxelles. Gelel Attar, qui résidait à Molenbeek-Saint-Jean, a été condamné par le passé dans la filière Zerkani pour des faits de terrorisme. Le trentenaire était également proche de deux terroristes des attentats du 13 novembre 2015 à Paris.

LaCapitale.be

*Qui est le djihadiste belge Gelel Attar ?

Gelel Attar, alias “Abou Ibrahim” (…) avait des amitiés très fortes avec Abdelhamid Abaaoud, cerveau présumé des attaques, et Chakib Akrouh, l’un des tueurs des terrasses.

(…) Gelel Attar n’est pas un inconnu pour la justice belge. Il s’est fait remarquer dans le cadre d’un très gros dossier de filière terroriste jugé en juillet 2015, à Bruxelles, – dit dossier « Zerkani » – du nom d’un des plus importants recruteurs de djihadistes belges de ces dernières années. Une affaire pour laquelle ont été convoqués plus d’une trentaine de prévenus et où Gelel Attar a été condamné par contumace à cinq ans de prison. Il était en effet absent lors des audiences, comme une bonne part des autres prévenus.

Avant d’être interpellé au Maroc, Gelel Attar, natif de Castel San Giovanni en Italie, habitait Molenbeek, ce quartier défavorisé de Bruxelles, où il s’était installé en décembre 2011. C’est là qu’il avait rencontré Khalid Zerkani. Lors de son procès, il a été considéré comme le bras droit du prédicateur. La justice belge lui a notamment reproché d’avoir hébergé Khalid Zerkani à son domicile en 2012, et d’avoir organisé maintes réunions, chez lui, pour convaincre d’éventuels candidats au départ, avec tout un matériel d’endoctrinement. Gelel Attar encourageait en outre les jeunes recrues à diverses activités délictueuses (vols, petits larcins, etc.) afin de financer les départs vers la Syrie, son « travail », comme il l’appelait, ont révélé les écoutes téléphoniques.

Gelel Attar s’est aussi fait épingler par la justice belge pour avoir accompagné jusqu’en Syrie, par avion, en janvier 2013, Chakib Akrouh. C’est Gelel Attar, selon des confessions qu’avaient alors faites le jeune homme à sa famille, qui l’avait encouragé. Les deux hommes ont été radiés des registres de la population de Molenbeek quelques mois après leur départ. A la différence de Chakib Akrouh, Gelel Attar est toutefois vite rentré en Europe. Les services de renseignement belges ont pu établir que dès le 28 mai 2013, il était rentré en Belgique via l’Allemagne. Et dès juin 2013, ils savaient qu’il avait rejoint le Maroc.

L’enquête a pu montrer qu’il avait clairement bénéficié d’un entraînement et participé à des combats lors de ses quelques mois passés en Syrie en 2013. Des faits établis par divers témoignages et des photographies prises de lui, en tenue de combat, avec d’autres djihadistes. Comme d’autres, il communiquait régulièrement par téléphone avec ses proches restés en Belgique sur un numéro repéré par les services d’enquête.

Comme la plupart des prévenus du dossier « Zerkani », Gelel Attar avait d’abord rejoint le Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaida, avant d’être enrôlé par l’organisation Etat islamique (EI). Il a notamment combattu au sein de la katiba des « muhajirin » (« les immigrés », en arabe) où se sont retrouvés bon nombre de jeunes prévenus du dossier. (…)

*Publié le 18 janvier 2016 dans LeMonde.fr

Via Fdesouche

Belgique : Sous le couvert de collectes de fonds à des fins caritatives en Afrique, ils finançaient des groupes djihadistes

“L’enquête a révélé qu’un certain nombre de personnes sont en contact avec plusieurs organisations internationales terroristes. Sous le couvert de collectes de fonds à des fins caritatives, comme l’achat de puits dans les pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, elles collectent de l’argent et en transfèrent une partie à différentes organisations terroristes telles que l’État Islamique, Al Qaïda, Boko Haram, Al Shabaab, etc.”, a expliqué le parquet fédéral.

Émirat du Caucase

“En outre, la plupart des personnes visées par l’enquête semblent également être des partisans de l’organisation terroriste Émirat du Caucase. Cette organisation lutte pour la création d’un émirat islamique en Tchétchénie, au Daghestan et en Ingouchie entre autres. De nombreux pays enquêtent sur ces pratiques, notamment la France, la Suède, les États-Unis, la Russie, la Norvège et la Belgique”, a encore indiqué le parquet.

7sur7.be

Belgique : Mohamed, Mohammed et Ahmed sont, en 2020, dans l’ordre, les trois prénoms les plus courant à Bruxelles, Molenbeek, Anderlecht, Schaerbeek . . entre autres

Ville de Bruxelles : 185.100 habitants.

Molenbeek : 98.000 habitants.

Anderlecht : 120.000 habitants.

Schaerbeek : 132.800 habitants.

Koekelberg : 21.959 habitants.

Saint-Josse-Ten-Noode : 27.497 habitants.

Forest : 56.581 habitants.

Jette : 52.728 habitants.

Berchem Sainte-Agathe : 25.500 habitants.

Evere : 42.650 habitants.

Ganshoren : 25.234 habitants.

Saint-Gilles : 49.678 habitants.

NB : Toutes ces communes font partie de la région de Bruxelles-Capitale

Description : Prénoms de la population totale par commune

Période : 2020

Métadonnées : Nous ne publions des chiffres qu’à partir de 5 occurrence, noms et prénoms sur base du Registre national.

Vous trouverez plus d’informations, de données et de publications à ce sujet sur Statbel.

Les open data sont des données publiques à caractère non personnel, qui sont informatisées, répondent aux normes du format ouvert et peuvent être réutilisées gratuitement. Tout le monde peut utiliser gratuitement ces open data, à des fins aussi bien commerciales que non commerciales.

Statbel met des open data à disposition depuis 2015. Cela concerne actuellement environ 400 fichiers et l’offre est progressivement étoffée. Les nouveaux sets de données sont annoncés sur cette page, sur  notre compte Twitter et dans notre newsletter.

Source (mention obligatoire) : Statbel.be / Direction générale Statistiques.

Via fdesouche

Bruxelles : l’enseignante et militante Nadia Geerts menacée après avoir soutenu Samuel Paty et dénoncé le voile à l’école, elle envisage de quitter l’enseignement

30/01/21

La professeure envisage de quitter l’enseignement car elle craint pour sa vie, et une réunion de crise a été menée ce jeudi avec l’administrateur général de Wallonie-Bruxelles Enseignement (WBE) et la direction de l’école pour tenter de trouver des solutions.

 

 

LeSoir.be


26/01/21

Maître-assistante en philosophie à la haute-école Bruxelles-Brabant (HE2B), Nadia Geerts, initiatrice du Réseau d’Actions pour la Promotion d’un Etat laïque, est désormais la cible des réseaux sociaux.

La professeure envisage de quitter l’enseignement car elle craint pour sa vie, et une réunion de crise a été menée ce jeudi avec l’administrateur général de Wallonie-Bruxelles Enseignement et la direction de l’école pour tenter de trouver des solutions.

« Il y a trois mois et quelques jours », écrit Nadia Geerts sur son blog, « j’étais encore un prof heureux. Des cours qui me passionnaient, des collègues sympas, des étudiants avec qui le contact était vraiment bon… Aujourd’hui, je ne vois plus comment continuer, tout simplement. » Les problèmes ont débuté, expose la professeure, lorsqu’elle a publié sur la page Facebook gérée par le conseil étudiant de la HE2B, un post « Je suis Samuel Paty », au lendemain de l’assassinat de ce professeur. « Le problème a visiblement été que ce soit moi, militante pour la laïcité dans l’enseignement, qui l’écrive », explique-t-elle. « Rapidement, j’ai essuyé des commentaires qui me qualifiaient d’islamophobe, de raciste, qui affirmaient que je ne devrais pas être autorisée à enseigner

[…]

Il y a huit jours, sur sa page Facebook, la militante/enseignante a écrit « voilà, on y est » en partageant un article annonçant que le port des signes d’appartenance religieuse serait autorisé notamment dans son école. Sa publication a déclenché une salve de commentaires haineux. « Jusqu’alors, je défendais le règlement des études de mon école. Maintenant que le règlement va changer, c’est vu comme “la méchante a perdu”, tout le monde peut se lâcher », explique-t-elle. Un influenceur qui compte 6.000 abonnés sur Instagram et 50.000 sur Snapchat a ainsi écrit « va te faire foutre, Nadia Geerts ».Sur tous les réseaux sociaux, le nom de la féministe circule – on l’y accuse notamment de « promouvoir le privilège blanc ». « Je me vois mal retourner à l’école après la pandémie. Avec mon horaire de cours, tous les élèves sauront où je suis et quand et cela pourrait être communiqué à une personne mal intentionnée », explique-t-elle.

[…]

Au cabinet du ministre Daerden, qui a la tutelle sur WBE, on confirme la réunion de crise de jeudi. WBE va, en tant qu’employeur, déposer plainte et Nadia Geerts fera de même pour harcèlement, menaces et diffamation. L’école avait déjà fait suivre au parquet de Bruxelles les premiers commentaires haineux, ceux faisant suite à la publication sur Samuel Paty. Par ailleurs, ce lundi, « les autorités de la haute école communiqueront leur soutien officiel à l’enseignante auprès de toute la communauté éducative », poursuit le porte-parole du ministre.

[…]

LeSoir.be

Via Fdesouche

Belgique : jugé pour meurtre, le migrant irakien est aussi suspecté d’un viol sur mineur, d’une prise d’otage, d’extorsions, de vol à main armée, de vol avec violences et autres

Procès à Liège: à 16 ans, a-t-il tué Galaad en le poussant du toit d’un immeuble de 27 étages?

H.D., un Liégeois âgé de 20 ans est accusé d’avoir commis un meurtre pour faciliter le vol lorsqu’il était âgé de 16 ans. Le jeune homme est considéré comme psychopathe avec des tendance paranoïaque.

[…]

H.D. est également accusé d’avoir commis en avril 2017 le viol d’une jeune fille âgée de 16 ans.

[…]

L’accusé répond de nombreux autres faits commis entre mai et décembre 2017. Il s’agit de faits de prise d’otage, d’extorsions, de vol à main armée, de vol avec violences, de tentative de cambriolage ou encore de faits de destruction commis dans un centre psychiatrique. Enfin, il est accusé de rébellion contre un assistant de sécurité lors d’un transfert dans une institution publique de protection de la jeunesse (IPPJ).

Né en Irak, H.D. est décrit comme réfractaire, violent et bagarreur. Au premier jour de sa majorité, il avait été transféré dans une prison pour adultes en raison de son comportement violent. Il présente une personnalité psychopathique, avec des risques d’escalade dans la criminalité et de récidive très élevés

Il présenterait aussi une maladie mentale et une importante dangerosité.

[…]

L’article dans son intégralité sur RTL Info Belgique

Via Fdesouche

Belgique : une manifestation d’étrangers dégénère à Bruxelles. Le convoi royal se fait caillasser

Environ 400 manifestants se sont réunis ce mercredi pour manifester après le décès d’Ibrahima, mort après avoir été interpellé par la police de Bruxelles-Nord.

La manifestation pour Ibrahima, décédé après une interpellation policière, a dégénéré vers 16h cet après-midi à Saint-Josse, place Saint-Lazare, et se poursuit place Liedts à Schaerbeek. Les manifestants s’en sont même pris à la voiture du roi des Belges, dont le convoi passait par là.

 

 

La voiture du roi Philippe est reconnaissable parmi toute à sa plaque d’immatriculation, la numéro un. Nous ne pouvons néanmoins pas confirmer à ce stade que le roi était bien dans la voiture située au milieu des manifestants.(…)

Sudinfo.be

Via Fdesouche


Saint-Josse : six blessés et 112 arrestations administratives lors d'un rassemblement à la mémoire d'Ibrahima

Environ cinq cents personnes avaient répondu à l'appel. Vers 16 heures, la tension est montée d’un cran et les forces de police, présentes en nombre, sont intervenues suite à des débordements. Plusieurs véhicules de police ont été pris pour cible et du mobilier urbain a été dégradé. Des projectiles ont également été lancés en direction du commissariat dit "Brabant". Un début d’incendie a d’ailleurs dû être maîtrisé.

 

 

Rtbf.be

Belgique : la jeune Ahlam voulait vivre à l’européenne. Elle a été retrouvée les mains attachées dans le dos, une balle dans la tête

Ahlam gisait sur son lit, dans son appartement de la rue de la Cathédrale, à Liège. La malheureuse avait été tuée d’une balle dans la tête et avait les mains attachées dans le dos. L’arme du crime, un pistolet se trouvait à côté du corps.

Vu les causes du décès, le parquet de Liège a été averti et a organisé une descente sur place. Il est très vite apparu qu’Ahlam Younan avait un mode de vie à l’européenne qui, toujours selon nos collègues, ne plaisait pas à son cercle familial. D’aileurs un de ses cinq frères lui en avait déjà fait le reproche.

Nombre d’auditions ont déjà eu lieu, mais personne n’a encore été interpellé. Il faut dire que les membres de la famille d’Ahlam sont répartis un peu partout en Europe et que d’autres sont restés en Syrie.

Lalibre.be

Via Fdesouche

Belgique : un ex-djihadiste algérien condamné à 8 mois de prison pour avoir menacé de décapitation 2 réfugiées syriennes dans un centre d’accueil

8 mois de prison pour un ancien djihadiste : il avait menacé une mère et sa fille de leur couper la tête et de répandre leurs tripes.

Le prévenu avait proféré des menaces de mort au centre Fedasil de Senonchamps

Le tribunal correctionnel de Neufchâteau vient de condamner un homme de 71 ans à 8 mois de prison pour avoir proféré des menaces de mort envers une mère et sa fille de 6 ans.

Les faits remontent au mois d’août, alors que le prévenu d’origine algérienne et les victimes originaires de Syrie séjournaient au centre Fedasil de Senonchamps. Le prévenu les aurait menacées de leur trancher la tête. Par la nuque, pour que la souffrance dure plus longtemps.

(…)

Dhnet.be

Via Fdesouche

Belgique : un Belge de 9 ans, enfant de djihadiste, rapatrié de Syrie

Un garçon de 9 ans, né en Belgique, a été rapatrié ce vendredi de Syrie, après que sa mère, détenue par les forces kurdes au camp Roj, a laissé partir son fils aîné pour qu’il retrouve son père. Cette maman est la première Belge à accepter de se séparer de l’un de ses enfants.

L’histoire de cette famille a soudainement basculé le mardi 8 décembre, lorsqu’en visite au camp Roj, situé à l’extrême nord-est de la Syrie, la directrice de Child Focus Heidi De Pauw a rencontré cette mère de 3 enfants, dont l’aîné est né à Bruxelles en 2011. La délégation, avec Le Soir dans ses bagages, a pu échanger avec l’ensemble des femmes belges détenues au camp Roj. Soit 11 femmes, avec une vingtaine d’enfants.

(…)

Le Soir

 

 

(…) Dans le bureau d’accueil du camp de Roj, à proximité de la frontière turque, le jeune garçon écoute parler sa mère avec un large sourire malgré la rudesse des propos. Sollicité pour savoir s’il souhaite en effet rejoindre son père en Belgique, l’enfant confirme d’une voix basse: ” je l’aime et j’essaie de venir mais je n’y arrive pas “.

Son choix a été celui du califat du groupe terroriste Etat islamique. Avec le père de ses deux plus jeunes enfants, un djihadiste bien placé dans les rangs de l’organisation rencontré sur place, ils ont été parmi les derniers à quitter la zone de Baghouz, ultime réduit du groupe terroriste tombé en mars 2019. Dans les mois suivants, elle a continué à marquer son soutien au djihad, ainsi qu’en témoignent des déclarations rapportées par plusieurs médias. (…)

RTBF

Via Fdesouche

Belgique : l’incroyable vidéo d’une intervention policière lors d’une lockdown party à Bruxelles

L’intervention de deux policières pour mettre fin à un rassemblement illégal dans la cave d’un immeuble à appartement vendredi dernier à Anderlecht a été filmée par la caméra d’une télévision russe.

Sur la séquence, on peut voir les deux agentes qui, après avoir reçu une plainte pour tapage nocturne, entrent dans la cave et se retrouvent face à une trentaine d’hommes, qui ne semblent pas savoir ce qu’on leur reproche : « Madame l’agent il y a quoi ? », demande d’ailleurs l’un d’entre eux.

 

 

« Qu’est ce que c’est que ça ici, c’est quoi tout ce monde ? », lâche de son côté la policière en découvrant l’ampleur de la situation. Elle va alors faire barrage pour que les fêtards restent sur place pour procéder à leur identification.

Si tout se passe bien dans un premier temps, la présence de la caméra va quelque peu faire monter la tension.

Quelques instants plus tard, une bonne partie des fêtards va réussir à prendre la fuite, en forçant le passage, en attendant l’arrivée des renforts. Finalement, cinq personnes ont été verbalisées. La police tente d’identifier les fuyards sur base des images

Selon les informations de nos confrères du Nieuwsblad, qui se sont procuré la vidéo, les personnes présentes étaient réunies suite au décès d’un proche. Sauf que l’ambiance était festive. Il y avait de la musique et l’alcool coulait à flot.

Sudinfo.be

Via Fdesouche

Des députés belges vont visiter un camp d’islamistes en Syrie : ils sont caillassés par les enfants musulmans et traités de kouffars

Le reportage de la RTBF se nomme "Syrie : la radicalisation dans les camps", comme si les islamistes n'avaient pas égorgés les chrétiens ni traitées les non musulmans de "kouffars" auparavant.

Dans ce reportage, Heidi de Pauw, présidente de l'association Child Focus, déclare que ces enfants qui caillassent sont "victimes de cette radicalisation". Peut-être devrait-elle parler des véritables victimes, à savoir les non musulmans qui ont tant souffert avec l'islam au Moyen-Orient ainsi que des associations (dont la sienne) qui veulent faire venir ces extrémistes dans nos pays au détriment de notre sécurité. Si des adultes ont déjà peur d'être caillassés, que se passera-t-il pour nos enfants ?

 

 

Rtbf.be

Nos remerciements à pierrebxl

La Mocro Mafia (mafia marocaine), réseau mafieux ultraviolent, frappe encore: 367 millions d’euros ont transité en Belgique dans une affaire de drogue !

L’incroyable enquête du parquet fédéral : l’argent de la drogue a été transporté dans des valisettes.

La justice belge a lancé trois mandats d’arrêt internationaux à charge de ressortissants marocain, hispano-marocain et pakistanais, dans un dossier de blanchiment chiffré à plus de 360 millions d’euros, géré à Bruxelles par le juge Michel Claise.

Dans ce dossier, le parquet fédéral veut renvoyer vingt suspects en procès devant le tribunal correctionnel, dont neuf femmes, pour participation à une organisation criminelle.

[...]

Dhnet.be

Nos remerciements à pierrebxl


A lire également :

Ces réseaux mafieux sont composés de plusieurs bandes, pour la majorité des Marocains issus de l'immigration en Belgique ou aux Pays-Bas. Ayant une relation proche avec les cartels colombiens, ils importent quotidiennement la drogue en Europe par les ports d'Anvers, les ports de Rotterdam et les ports d'Algésiras.

Belgique : une adolescente de 16 ans aurait été victime d’un viol collectif, diffusé sur les réseaux sociaux

La vidéo d’un présumé viol collectif diffusée sur les réseaux sociaux

La Recherche locale de la police de Bruxelles Capitale / Ixelles a ouvert ce jeudi une enquête pour des faits de mœurs suite à la diffusion sur les réseaux sociaux de la vidéo d’un présumé viol collectif.

[…]

L’article dans son intégralité sur SudInfo


Les auteurs présumés ont été affichés sur les réseaux sociaux.

Via Fdesouche