Londres : Le jihadiste considérait les femmes Yazidis comme des esclaves qu’on pouvait violer « conformément au Coran »

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Sudesh Amman partageait des vidéos violentes et de la propagande avec sa famille et ses frères et sœurs sur Internet avant d'attirer l'attention de la police.

Sudesh Amman n'avait que 17 ans, il était étudiant et vivait chez lui quand il a commencé à partager du matériel extrémiste sur Internet dans un groupe WhatsApp avec sa famille, ses amis et même sa petite amie.

Dans des messages avec un membre de sa famille, Amman a laissé entendre que les femmes Yazidi étant des esclaves, le Coran permettait de les violer.

Il a même envoyé des vidéos de décapitations à sa petite amie - qui, selon lui, devait tuer ses parents "kuffar" [NDLR : Le musulman non content de s'approprier une femme non musulmane l'incitait à tuer ses propres parents.].

Amman lui a dit : "Si tu ne peux pas fabriquer de bombe parce que ta famille, tes amis ou des espions t'observent ou te soupçonnent, prends un couteau, un molotov, des bombes assourdissantes ou une voiture la nuit et attaque les touristes (les croisés), la police et les soldats du taghut (NDLR : taghut = qui est en dehors d'Allah), ou les ambassades occidentales dans chaque pays où que tu te trouves sur cette planète."

Son procès à Old Bailey a révélé qu'il possédait également des manuels de fabrication de bombes et un document intitulé "Techniques sanglantes de combat au couteau brésilien".

Il a été emprisonné pendant trois ans et quatre mois, mais avec les lois actuelles, il a été automatiquement libéré à la moitié de sa peine. [...]

Depuis sa libération le mois dernier, il était sous surveillance et soumis aux conditions les plus strictes car il était toujours radicalisé. [...]

Amman avait attiré pour la première fois l’attention de la police en avril 2018, lorsque des agents ont été alertés de publications de matériel extrémiste sur Telegram sous le nom de compte @strangertothisworld

Les spécialistes de la police scientifique ont déchiffré l'identité d'Amman et les officiers ont décidé de l'arrêter afin de procéder à une analyse de ses communications électroniques.

L'équipe a récupéré plus de 349 000 fichiers multimédias issus des appareils numériques d'Amman, y compris des manuels sur les techniques de combat, le combat au couteau et la fabrication de bombes. Ils ont également passé au crible plus de 180 000 lignes de messagerie sur Skype, identifiant qu’il avait partagé quatre liens vers des vidéos illustrant la violence graphique de l'Etat islamique.

Il a également fait part à sa famille, à ses amis et à sa petite amie de ses opinions fortes et souvent extrémistes concernant le djihad, le "kuffar" et son désir de perpétrer une attaque terroriste.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Telegraph.co.uk

Nos remerciements à Daniel Brand

2 commentaires

  1. Posté par Rikita le

    Alex le 4 février 2020 à 18h25@ … Collective pour toute la famille, les 10 épouses et les 40 bâtards tous malades mentaux comme se plaisent à nous manipuler les médias au service de la propagande. Et quoi de plus normal puisqu’ils épuisent les impôts et le taxes liées au social. Bientôt une taxe sur l’essence pour l’Islam ? Mais c’est déjà fait ils se servent depuis le puits !

  2. Posté par Alex le

    Une seul solution : peine de mort.

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